Revue de presse (13 - 19 août 2012)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chécy) Une toue rien qu’à eux

Un atelier de fabrication de toues de Loire a eu lieu, mercredi après midi, au musée de la Tonnellerie, à Chécy. Un rendez vous en lien avec l’exposition «Il était un petit navire», visible jusqu’au 30 septembre. L’atelier s’adressait aux enfants âgés de 8 à 12 ans. Quatre jeunes avaient pris place autour des tables, installées au coeur de l’exposition, pour s’amuser à reproduire, sous forme de maquette, ce bateau qui était utilisé, autrefois, par les pêcheurs de saumon.
RC, Orleans métropole, 10/08, p.15

(Seuilly) Chez Rabelais, les lundis se vivent en famille

Quand Gargantua était petit, il faisait beaucoup de bêtises… Il se vautrait dans la boue, se mâchurait le nez, pissait sur ses chaussures, se mouchait sur sa manche, pataugeait n’importe où, buvait dans sa pantoufle, etc. Énumérée par la guide de la Devinière, la liste est longue. Chaque annonce est ponctuée de «Oooh !», de «beurk !» ou de rires. Les enfants sont ravis de découvrir les frasques du héros de François Rabelais. Ils le comparent à Hulk, dont le jeune Tom connaît parfaitement l’histoire : il la raconte aux autres petits visiteurs… Agés de 4 à 10 ans, ils sont cet après-midi une quinzaine à profiter des «Lundis en herbe». Accompagnés par l’une des cinq guides du musée Rabelais, ils découvrent à leur rythme l’univers de ce grand auteur. Leurs parents (ou grands-parents) sont, eux, avec Murielle en train de visiter la Devinière et son exposition temporaire «Gargantua - Robida».
Nr, Indre et LoireT, 10/08, p.15

Saint-George-sur-la-Prée. Le musée de l’Ocre retrace l’histoire locale de ce colorant minéral

Histoire locale de l’ocre, exposition de pigments, vie d’autrefois au village. Les visiteurs du musée de l’Ocre vont être enchantés par toutes ces découvertes.
Berry Républicain, 13/08/2012, p. 6

Vatan (Indre). Le musée abrite de nombreuses pièces données par des passionnés ou d’anciens artistes

Né de la volonté de passionnés, le musée du Cirque de Vatan (Indre), qui fêtera ses vingt ans en 2013, retrace l’histoire du cirque. De nouveaux dons viennent régulièrement enrichir ses collections. À sa création en 1993, le musée a bénéficié du prêt d’une partie de l’extraordinaire collection d' Alain Frère, conseiller artistique au Festival du cirque de Monte-Carlo. Au fil des ans, le musée s’est enrichi de dons et de prêts d’anciens artistes de . Récemment des reproductions grand format de chars de parade inspirées du cirque Barnum sont venues enrichir la collection.
Berry Républicain, 11/08/2012, p. 4

Sur le même thème : Le fils d’Émilien Bouglione veut que ses collections puissent profiter à tous les amateurs de spectacle. La collection Bouglione bientôt peut-être au musée du cirque
Berry Républicain, 11/08/2012, p. 13

Meung-sur-Loire. Sur les traces des mousquetaires

À l’initiative de Rudy Van Oeveren, maître d’armes, le musée de l’escrime de Meung-sur-Loire est un livre ouvert sur la grande histoire de la discipline. de s’installer dans le Loiret, il y a un an le musée se trouvait à Bourgueil, en Touraine. Rudy Van Oeverena réussi à rassembler entre 4. 0 0 0 e t
5.000 pièces qui racontent l’escrime à travers les armes, les duels, le cinéma, le sport, les femmes.
RC, Orléans-métropole, 13/08/2012, p. 3

Orléans. L'artiste retouche son oeuvre !

Frédéric Brandon, artiste contemporain, né en 1943, issu de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, se disant inspiré du mouvement de la nouvelle
figuration, s’est emparé de ses pinceaux et de ses couleurs pour se réapproprier l’une de ses toiles et y apporter quelques retouches. « Le tableau (« Solitude ») a été déplacé, et la lumière n’est plus adaptée. Donc, je reprends certaines choses qui me gênent ! », explique Frédéric Brandon.
RC, Orléans-métropole, 13/08/2012, p. 13

Vierzon. Une bonne fréquentation du musée Laumônier pendant l’été

Depuis l’ouverture en avril dernier, 2.136 visiteurs ont pénétré dans le musée Laumônier (histoire du chemin de fer), soit en moyenne, quarante personnes qui déambulent chaque jour. Ces visiteurs sont essentiellement
originaires de la Région Centre et de la région parisienne
Berry rép., 14/08/2012, p. 16

Le Blanc. Les trésors cachés du château Naillac

Le château seigneurial qui accueille l’Écomusée de Brenne possède de nombreuses richesses ignorées du grand public. Le bâtiment aménagé sur trois niveaux et 900 m2, possède également des combles et des caves. Visite guidée sous la conduite de sa directrice Hélène Guillemot. . Le musée conserve ainsi une collection de plusieurs centaines d'oiseaux dont seule une partie est présentée au public. Les archives municipales, allant de la Révolution à la fin du XIXe siècles sont, elles aussi, entreposées dans un placard. Sans parler de « ces collections qu’on ne voit pas, provenant de diverses expositions » : briques, carreaux, épis de faîtage, coiffes traditionnelles, et même vestiges archéologiques du chantier de l’hôpital.
Nouvelle République de l'Indre, 16/08/2012, p. 6

Issoudun. Quand les pharmaciens s’appelaient apothicaires

Le Musée Saint-Roch propose un “ Parcours de l’apothicairerie ”. On peut y découvrir une pharmacie hospitalière du XVIIe siècle. La pharmacie se compose de près de 400 pots en faïence de Nevers et de 31 boîtes en bois ou silènes richement décorés, dans lesquelles étaient conservées les plantes exotiques, cornes et autres écorces. Cet ensemble, remarquable, est un des plus complets de France.
Nouvelle République Indre, 17/08/2012, p. 14

Richelieu. Des gravures militaires au musée

Le temps d’une exposition temporaire, la petite salle annexe du musée vient de s’enrichir d’une série de gravures de Jacques de Ghyen (1565-1629), peintre, dessinateur et graveur néerlandais. Les dessins de cette exposition sont prêtés par le musée des Beaux-arts de Tours. Par ailleurs, le musée du Louvre confiera tout prochainement deux bustes d’Epaminondas et Faustine ainsi que la statue d’Apollon Sauroctone de Praxitèle. La livraison est prévue le mercredi 22 août.
Nouvelle République Touraine ouest, 17/08/2012, p. 17

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(entre Boynes et Batilly en Gâtinais) Des étudiants sur les traces du passé

Depuis quelques jours, des fouilles archéologiques ont repris entre Boynes et Batilly en Gâtinais, le long de l’A 19. Le chantier école de l’université François Rabelais de Tours se déroule chaque année au mois d’août. Une vingtaine d’étudiants, trois doctorants et Stephan Fichtl, professeur d’archéologie, tentent de faire avancer la connaissance sur ce site gaulois. «Les étudiants sont pour un tiers des Tourangeaux, pour un autre tiers des Strasbourgeois. Les autres viennent de Nanterre, de Rennes…», précise Stephan Fichtl. Le renouvellement est chaque année important. Cette année, beaucoup de «débutants» sont sur place. «Il y a un vrai côté formation. On essaie de donner les premières bases. On apprend à fouiller mais aussi à diriger un chantier : problèmes administratifs, de gestion du groupe… Je fonctionne également avec des responsables, qui sont des doctorants», explique le professeur, intarissable sur l’histoire du site.
RC, Pithiviers, 10/08, p.7

A la découverte des arts préhistoriques

Le festival archéologique « De la trace aux gestes », sur les pas de l’Homme entre Berry, Touraine et Poitou, a regroupé plus de vingt sites partenaires. Cette 5e édition s’achèvera mercredi 15 août après avoir attiré de nombreux visiteurs lors des journées spéciales, d’expositions, de conférences et d’ateliers d’initiation. Les sites participants ont proposé cet été une quarantaine de manifestations à l’attention des familles, des passionnés d’archéologie et des novices en la matière.
NR Touraine Est, 13/08/2012, p. 11

Chartres. Dans la peau de vrais archéologues

Le service de la Ville propose de nouveaux ateliers pour les enfants
Après avoir écouté l’aspect théorique des rudiments de l’archéologie, les participants se lancent à la découverte d’objets du passé dissimulés dans un grand bac. « Ce sont de vrais objets retrouvés à Chartres, des époques gallo romaine, médiévale, contemporaine… Grâce à la céramique, on peut facilement dater », souligne Claude Rocher.,, un des animateur. Durant deux jours, chaque jeune effectue toutes les étapes que les archéologues de Ville pratiquent dans leurs différents chantiers. « Les enfants vont nettoyer leurs trouvailles. Ils vont en réaliser la synthèse, mais aussi tenter dater chaque pièce. » Un travail pris au sérieux par chacun des participants, qui n’avaient pour la plupart, jamais vu de près ou de loin, un chantier archéologique.
Echo républicain, 11/08/2012, p. 8

Saran. Une forte activité liée à la poterie, il y a plusieurs siècles, au lac de la Médecinerie

Entamées il y a trois ans par l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives , les
fouilles archéologiques réalisées sur le site du lac de la Médecinerie, à Saran, sous la direction de Sébastien
Jesset, seront terminées d’ici quelques jours. Le site sera alors recouvert.
République du Centre Orléans-métropole, 11/08/2012, p. 15

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Crézançay sur Cher) La toiture de l’église est flambant neuve

Des glissements de tuiles insidieux courant 2011, ont incité la commune à entreprendre la rénovation de la toiture de l’église. La pose de tuiles neuves et le nettoyage de la façade et des pignons, qui avaient été confiés à l’entreprise Martinet, de Blet, viennent de se terminer. Ils ont coûté un total de 43.064,09 euros et ont été subventionnés par le conseil général, ainsi que par une enveloppe parlementaire. « Il n’y avait pas eu de travaux à l’église depuis plus de vingt ans », précise le maire, René Marié.
Le Berry, 10/08, p.21

(La Guercher sur l'Aubois) Balade au fil de l’eau du canal à la tuilerie

Une balade du canal de Berry à la tuilerie est proposée le mardi 14 août, à 14 heures. Le rendez vous est donné sur le parking de l’hôtel de ville. Au fil d’une balade découverte pédestre organisée par Aline Perdereau, animatrice de l’architecture et du patrimoine du Pays Loire Val d’Aubois, accompagnée par un guide conférencier, les participants pourront découvrir une tranche de vie du canal de Berry et de l’histoire industrielle Guerchoise.

(Le Chautay) Cet après-midi, visite guidée de l’église

Aujourd’hui, à 14h30, l’église est à découvrir, dans le cadre des visites découvertes organisées par la Pays Loire Val d’Aubois. Sous la houlette d’Aline Perdereau, animatrice du service d’art et d’histoire du Pays Loire Val d’Aubois, et d’un guide conférencier, le public sera plongé au coeur de cette paroisse très ancienne, citée dès 881, dans un acte de Carloman II, roi des Francs. L’édifice construit au XIIe siècle, est placé sous le vocable de Saint Saturnin, l’un des sept évêques envoyés dans les Gaules par Saint Pierre sous le règne de l’Empereur Claude (41 à 54 après JC).
Le Berry, 10/08, p.23

(Pontgouin) Sur les traces de la famille d’Aligre

Depuis l’été 2010, le château de la Rivière ouvre ses portes au public afin de faire découvrir ce lieu d’exception. Achevé en 1629, il possède une superbe façade aux trente deux fenêtres, trois portes et sept lucarnes situé à quelques centaines de mètres des écluses de Boizard. Lundi 6 août, à 10 heures, était programmée la première de la saison avec pour guide la Favrilloise Elodie qui, à partir du pont de pierre marquant l’entrée de l’édifice, propose un voyage dans le temps. «Je suis passionnée par l’histoire en général et j’ai tout de suite été fascinée par la beauté de ce château mais aussi par la grande générosité de la famille d’Aligre. Une famille très riche qui a su au fil des siècles, léguer aux communes environnantes quels biens et faire partager sa richesse à des démunis.»
L'Echo, 10/08, p.12

(Orléans) Descendre quand le mercure grimpe

Au rythme capricieux de la machinerie électrique, la trappe s’ouvre par moitié, pour dévoiler les entrailles de la place du Martroi. Un escalier en colimaçon de béton. Une descente de trente six marches durant laquelle l’humidité, la fraîcheur pénètrent peu à peu le visiteur. Enfin, l’arcade qui s’élève, plusieurs mètres au dessus des têtes. C’est un vestige de la porte Bannier, une partie de l’enceinte de la ville au XIVe siècle, mise au jour en 1986, lors le parking souterrain a été creusé. Comme ce colosse de pierre insoupçonnable du dessus, les sous sols d’Orléans recèlent des trésors.
RC, Orléans métropole, 10/08, p.10

(Olivet) Elles jalonnent nos chemins

Égrainées dans nos campagnes, mais aussi érigées en ville, souvent au carrefour des routes ou des sentes, les croix sont nombreuses sur le territoire de la commune d’Olivet. En bois, en pierre ou en fer, des plus simples aux plus ouvragées, une quinzaine ont été recensées. Appartenant au patrimoine historique, elles sont très anciennes. L’association À la recherche du passé d’Olivet (ARPO), présidée par Jean-Paul Boubault, a ainsi découvert que l’une d’elle, située près du bois de la Jarry et baptisée «croix d’Olivet», était mentionnée dans un document datant du XIVe siècle.
RC, Orléans métropole, 10/08, p.16

Sauvegarde du patrimoine… du Perche au Loir

Troisième volet de l’été avec la Fondation du patrimoine. Le secteur nord du département s’étend du Perche Vendômois à la vallée du Loir. Les paysages y sont variés : bocages et collines garnis de haies vives et de prairies dans le Perche Vendômois, coteaux truffés d’habitats troglodytes dominant le Loir bordé de prairies, peupleraies et cultures dans la vallée du Loir. Le secteur est riche d’un patrimoine rural : bourgs, édifices religieux, bâtiments agricoles, lavoirs, moulins. Utilisant tous des matériaux pris sur place dans le Perche tels que la terre et la paille pour le torchis, l’argile pour les briques et les tuiles plates, les pierres de champs pour les soubassements, le bois pour les colombages, la chaux et le sable pour les enduits, le roussard et le grison pour les façades. Alain Peral est le délégué du Pays Vendômois.
Nr, Loir et Cher, 10/08, p.2

Voves. Le triste souvenir du camp de Voves

La commune de Voves (protégé monument historique) est tristement célèbre pour avoir abrité un camp d’internement de prisonniers pendant la Seconde Guerre Mondiale. Son histoire aurait inspiré le film La Grande évasion. En effet nuit du 5 au 6 mai 1944 quarante-deux internés s’évadent par un tunnel de 148 mètres, dont soixante à l’extérieur des barbelés, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à 2 mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp.
Echo républicain, 12/08/2012, p. 2

Cormery. L’abbaye veut à nouveau séduire

L’abbaye de Cormery est, depuis début juillet, l’objet de travaux réalisés par des bénévoles, sous l’impulsion de l’association des Amis d’Alcuin. Les travaux se concentrent essentiellement sur les extérieurs du bâtiment, car le monument est classé et ses espaces intérieurs doivent être préservés. La fin prévue des travaux en 2014 doit coïncider avec le lancement d’un projet culturel destiné à attirer les touristes et aider les commerçants à bonifier leur activité. L’installation d’hôtels est envisagée sous couvert de l’implication de nouveaux partenaires pour soutenir son financement.
NR Indre-et-Loire, 12/08/2012, p. 7

La Bussière. Sept senteurs au château des pêcheurs

Un parcours ludique a été tracé dans le potager de ce qui fut, jadis, la forteresse de La Bussière. La nouvelle animation propose un parcours olfactif aux visiteurs. Les parfums à découvrir sont chaque fois ceux ’une plante, qui correspond à une recette élaborée autrefois pour procurer du bien-être. Au total, sept fragrances sont réparties dans ce jardin potager vaste d’1,5 ha qui regorge de fruits, de fleurs et de légumes d’autrefois (rutabagas, choux raves, etc...). Au terme du parcours olfactif, les promeneurs auront donc appr is les vertus de certaines fleurs, de plantes médicinales ou aromatiques, également appelées « les simples ».
RC, Orléans-métropole, 13/08/2012, p. 5

Orléans. Chaque jour, les intimes facettes de Sainte-Croix dévoilées : [la maquette]

Depuis un an, la maquette de l’édifice a retrouvé sa place originelle dans le collatéral nord, face à la boutique. En 2011, la maquette a été restaurée sous l’égide de la direction régionale des affaires culturelles
(DRAC). Réparations abusives, peintures superflues, comblement des fissures ont été ôtés pour lui rendre son état originel.
Rép. du Centre Orléans métropole, 14-15/08/2012, p. 10

Baugy. Un retable remis en lumière

Après un travail de restauration, le retable de la Vierge ou de la Sainte Parenté, attribué à Michel Colombe (15e siècle), a été exposé au Musée de Tours du 17 mars au 17 juin derniers dans le cadre de l’exposition Arts à Tours. Il a fait son retour à l’église Saint-Martin. De la salle basse du clocher où il avait été conservé par l’abbé Delahaye, curé de Baugy de 1863 à 1881, à la chapelle seigneuriale de la famille de Bar, l’oeuvre monumentale en pierre calcaire de pays est maintenant visible par
le plus grand nombre, un souhait partagé à la fois les paroissiens, la municipalité et la direction des affaires culturelles et plus particulièrement Philippe Bardelot, conservateur des antiquités et des objets d’art du Cher.
Berry républicain, 16/08/2012, p. 7

Nouan-le-Fuzelier. Le domaine de Chalès ouvert au monde

Le domaine de Chalès, acquis en 1948 par l’Oeuvre des orphelins des douanes (association privée financée par les cotisations des agents des douanes) se compose de bois, de deux étangs, d’un château construit au début du XXe siècle situé dans un parc de 15 hectares classé aux Parcs et jardins de la région Centre. En 1954, Chalès devient un orphelinat, dans le cadre d’une convention avec l’Éducation nationale qui installe une école sur place, qui va fonctionner jusqu’en 2009. Aujourd'hui un internat qui accueille les derniers orphelins ou les enfants dont les familles connaissent des difficultés temporaires, notamment pour des raisons professionnelles. Chalès emploie une cinquantaine d’employés, accueille trois cents enfants en colonies de vacances en juillet et en août (plus leurs moniteurs), prépare 45.000 repas et comptabilise 13.000 nuitées (par an), sans parler des mariages, réunions de familles, séminaires...
et calme.
Nouvelle République Loir-et-Cher, 14/08/2012, p.18

Orléans. Meubler comme aux grandes heures (Cathédrale Ste Croix)

On pourrait les croire relégués dans des coins. Il n’en est rien. Ces deux autels en chêne de Russie ont bien été utilisés : « Il faut s'imaginer qu'au XIXe siècle, on faisait des célébrations en divers endroits de la cathédrale, devant ces autels, dans les petites chapelles absidiales… », détaille Anne-Marie Royer Pantin, auteur du livre « La cathédrale Sainte-Croix d’Orléans, de mots en merveilles ».
République du Centre Orléans, 17/08/2012, p. 10

Marcilly-en-Villette. Des couleurs pour les statues de l’église

Depuis deux ans, Éliane Alzy, habitante de la commune, s'applique à rafraîchir et repeindre les statues de l'église Saint-Étienne. Aujourd’hui, Éliane Alzy travaille sur la Piéta qui devrait lui demander plus de six mois de travail.
République du Centre Loire-Sologne, 17/08/2012, p. 16

Orléans. Et les huit lieux les plus visités sont...

... par ordre décroissant de fréquentation : la cathédrale d'Orléans, le parc floral, l'hôtel Groslot, la maison de Jeanne d'Arc, le muséum, le musée des beaux-arts, le musée-mémorial des enfants du Vel d'Hiv, le musée historique et archéologique. Quoique figurant au palmarès des sites orléanais les plus fréquentés, certains de ces lieux semblent souffrir de la conjoncture économique et enregistrent une baisse de fréquentation par rapport à 2011. Cela est notamment le cas pour le muséum, le musée des beaux-arts et, plus encore, le musée historique et archéologique.
République du Centre Orléans métropole, 18-19/08/2012, p. 7

Orléans. Des wagonnets à charbon sous le sol

Sous les pierres blanches et noires du sol de la cathédrale, se cache un véritable four à charbon… « Le calorifère a été percé en 1850 pour remplacer les huit poêles faisant office de chauffage pour la cathédrale. Le charbon arrivait de l’extérieur par une trappe et était chargé sur des petits wagonnets : l’un d’eux est d’ailleurs encore sur place. L’ air chaud était diffusé par les grilles mais la température de la cathédrale n’excédait jamais 10° C l’hiver. Aujourd'hui d’autres moyens plus modernes ont fait tomber le calorifère dans l’oubli.
République du Centre Orléans métropole, 20/08/2012, p. 8

Source : Le Monde

Accrochage entre Aurélie Filippetti et Jérôme Cahuzac

Selon Le Canard enchaîné daté du 8 août, un accrochage aurait opposé la ministre de la culture,Aurélie Filippetti, et le ministre du budget, Jérôme Cahuzac, lors du conseil des ministres du 1er août. Premier motif de dispute : les lettres de cadrage budgétaire qui fixent les crédits et les effectifs de chaque ministère. La culture perdrait 800 postes, loin des 11000 postes gagnés au total en 2013 par les ministères dits «prioritaires» (éducation, intérieur et justice), mais loin également des 7500 postes perdus par la défense, ou des 2000 à 2500 postes que devra supprimer Bercy. Deuxième sujet de discorde: la mise à contribution du Centre national de la cinématographie (CNC). Selon l’hebdomadaire, 150 millions d’euros de son fonds de roulement seront récupérés par l’Etat. Toujours selon Le Canard enchaîné, Eric Garandeau, président du CNC, aurait donné son accord à Matignon pour libérer ces crédits, sans en informer Aurélie Filippetti.
Le Monde, 10/08

Acquisitions des musées

Source : latribunedelart.com

Le Fitzwilliam Museum veut acquérir L’Extrême-Onction de Poussin

13/08/12 - Appel au mécénat - Cambridge, Fitzwilliam Museum - Depuis la vente de L’Ordre de Nicolas Poussin au Kimbell Art Museum (voir la brève du 1/7/11), on sait hélas que la dispersion de la série des Sept Sacrements peinte pour Cassiano del Pozzo (qui avait été entamée il y a plus de 70 ans lors de l’achat du Baptême par la National Gallery de Washington) est inéluctable.
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Un tableau attribué à Pierre Mignard offert au Musée Calvet

13/8/12 – Acquisition – Avignon, Musée Calvet – Il y a des histoires de musées extraordinaires. Celle de l’acquisition le mois dernier, par le Musée Calvet, d’un très beau tableau attribué à Pierre Mignard en fait partie.
La nouvelle pourra surprendre certains visiteurs attentifs. En effet, depuis quelques années, le tableau était exposé, avec un cartel indiquant : « Autrefois collection de Montillet de Grenaud, chartreuse de Bonpas.
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Le Portrait de Fanny Claus de Manet finalement acquis par l’Ashmolean Museum d’Oxford

8/8/12 – Acquisition – Oxford, Ashmolean Museum – La nouvelle est publiée sur le site de l’Ashmolean Museum. Le musée britannique a réussi, avec la souscription lancée au début de l’année (voir la brève du 26/2/12), mais surtout grâce à l’Heritage Lottery Fund (HLF), and à l’Art Fund, qui ont donné respectivement 5,9 millions et 850 000 livres, à réunir les 7,83 millions nécessaires à son acquisition.
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Source : latribundelart.com

L’escalier de la BnF toujours gravement menacé

10/8/12 – Patrimoine – Paris, Bibliothèque nationale – Il y a un peu plus de deux ans, nous écrivions que l’escalier de la BnF, dû à l’architecte Jean-Louis Pascal, serait « sans doute sauvé ». Dès que l’on touche au patrimoine, en tout cas, et qu’il est question du ministère de la Culture, il faut rester prudent. Car ce que Frédéric Mitterrand avait décidé de manière très informelle devant la mobilisation qui se faisait jour pour sauver cet ouvrage dont on rappelle qu’il est inscrit monument historique, le même Frédéric Mitterrand s’est empressé de l’annuler.
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Source : lemonde.fr

D'inestimables statuettes nigérianes repérées à Roissy et saisies aux Etats-Unis

Six inestimables statuettes nigérianes, que des trafiquants tentaient d'expédier aux Etats-Unis via Paris, ont été repérées lors de leur transit à Roissy, saisies à leur arrivée sur le territoire américains et restituées à des représentants de leur pays d'origine, a rapporté, vendredi 10 août, la direction générale des douanes dans un communiqué.
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Marché de l'art

Source : lefigaro.fr

Poly, la Chine à l'assaut du marché de l'art

LES NOUVEAUX MAÎTRES DE LA CULTURE (16/17) - Créée au sein d'un conglomérat contrôlé par l'armée, la société de ventes aux enchères connaît une ascension fulgurante. Elle compte concurrencer les grandes maisons occidentales, Christie's et Sotheby's.
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Les musées dans le monde

Source : lefigaro.fr

Le Guggenheim, musée mondial

LES MAÎTRES DE LA CULTURE (13/17) - L'institution américaine multiplie les « filiales ». Il y a plus de quinze ans, Bilbao a ouvert la voie avant Berlin et Abu Dhabi. Cette stratégie visionnaire est aujourd'hui imitée par de grands établissements comme le Louvre.

Guggenheim, le nom résonne comme l'étendard de l'architecture moderne, comme l'art de l'Amérique à faire valoir sa culture à l'étranger. À New York, le Guggenheim de Frank Lloyd Wright (1959) est le sanctuaire de Kandinsky.
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Source : jolpress.com

Le Musée national de Kaboul retrouve ses trésors volés

Des centaines de trésors archéologiques dérobés en Afghanistan ont été rendus au Musée national de Kaboul à l’occasion d’une cérémonie dans la capitale afghane. Inutile de blâmer la coalition, ces vols sont antérieurs à la présente guerre en Afghanistan et remontent à la précédente guerre civile dans les années 90...Lire la suite

Source : metrofrance.com

En visite au musée d'Orsay, Shakira réveille la polémique

Depuis quelques jours, la chanteuse latino poste des photos d'elle en visite dans la capitale et notamment au musée d'Orsay. Problème : les photos sont interdites dans le célèbre établissement.
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