Revue de presse (2 - 9 septembre 2012)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Orléans) Frédéric Brandon retouche son tableau... au Musée des Beaux-arts

Pour cause de tableau déplacé et de lumière inadaptée au Musée des Beaux-Arts à Orléans, l'artiste contemporain Frédéric Brandon -que l'on a pu admirer à la galerie Le Garage notamment- a décidé de retoucher début août son tableau intitulé ''Solitude''. (intégral)
Tribune Orléans, 23/08

(Orléans) Martine Lafon voit rouge

Dans cette exposition présentée au cabinet d’arts graphiques du musée des Beaux Arts, jusqu’au 12 octobre, Martine Lafon s’est interrogée sur la présence de cette couleur dans les toiles de Mark Rothko. Autre questionnement, celui du paysage, «quelles ont été les interférences des paysages de l’enfance dans son travail d’artiste adulte». Elle l’avoue d’emblée, son travail «est un peu audacieux, peut être même prétentieux mais c’est un mélange de mes deux formations : artiste et historienne de l’art».
RC, Orléans métropole, 06/09, p.12

(Vendôme) Les ateliers reprennent au musée

A la fin de l’été, un stage de figuration libre était organisé par le musée de Vendôme. «La figuration libre, c’est un mouvement de peinture né dans les années quatre-vingt, explique Philippe Berthomier, assistant spécialisé d’enseignement pratique au musée. Ce mouvement est exclusivement orienté vers la culture populaire : graff, bande dessinée… Mais cela reste de l’art plastique à part entière.» Pendant trois jours, les quatre jeunes stagiaires inscrits à ce stage ont donc découvert ce mouvement artistique, de manière théorique, puis de manière pratique.
Nr, Loir et CherN, 06/09, p.16
Lire la suite

(Chartres) Objets ethnographiques et agricoles

Une nouvelle exposition est proposée par le Compa depuis samedi. Sont présentés des objets en lien direct avec l’agriculture et l’alimentation, ramenés d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud et d’Europe. «Ce sont des objets que le Compa vient de recevoir. Ils proviennent de l’Agropolis Muséum de Montpellier, établissement consacré aux différentes civilisations», a indiqué Ludivine Nion, médiatrice culturelle au Compa. Suite à la fermeture du musée montpelliérain en 2010, le Compa est devenu propriétaire de cette collection composée de près de deux cents pièces rapportées par différentes missions scientifiques.
L'Echo, 07/09, p.10

(Château-renault) L’horloge du musée du Cuir reprend du service

Au musée du Cuir et de la Tannerie, l’horloge de l’ancienne usine Peltereau-Tenneson vient d’être remise en marche. Samedi, elle sonnera à nouveau les heures et les demi-heures, comme autrefois. « L’horloge est située sur un mur de la sèche, nommée ainsi car on y faisait sécher le cuir. Ce bâtiment, qui date de la première moitié du XIXe siècle, est aujourd’hui le plus ancien de l’usine », explique Daniel Viaud, historien et membre de l’association des Amis du musée du Cuir et de la Tannerie. L’artisan qui l’a posée faisait partie de la famille Gourdin, des horlogers connus localisés à Mayet (Sarthe). Lorsque l’entreprise a fermé en 1978, le mécanisme de l’horloge a été enlevé.
Nr, Indre et LoireE, 07/09, p.24

Norbert Pagé a levé l’encre

Après avoir appris la disparition de Norbert Pagé, parti à Tours dans la nuit de jeudi à vendredi pour la plus grande des traversées, je suis allé saluer sa mémoire, hier, sous la coque boisée des Cordeliers. Sa biographie retiendra donc que c’est à Châteauroux (1) que l’immense peintre de Touraine a amarré ses dernières oeuvres, avec le courage d’un capitaine face à la tempête d’une maudite maladie. Au-delà du constat que cet artiste était digne de ses maîtres – de Zao Wou-Ki à Tàpies – j’ai été happé par ses ultimes encres, dans le Dortoir des Moines. Quand on a exploré ses huiles, les lumineuses couleurs du fabuleux diptyque céruléen de 2008 (Émergence), on est secoué en arrivant au bout de sa route. Ici, Pagé a accroché ses dernières encres, en brun.Ou plutôt embruns inspirés de la fin des terres d’Ar Gelveneg, naviguant comme un frêle esquif sur des nuances mordorées ou sombres, commes’il se préparait déjà à lever l’ancre. (1)Jusqu’au 16 septembre. (intégral)
Nr, Indre, 09/09

(Ormes) Le passé de la ville mis en lumière

À l’occasion des Journées du patrimoine, qui se dérouleront les 15 et 16 septembre prochains, la municipalité ormoise a décidé d’ouvrir, pour la première fois, les portes de son tout nouvel espace culturel : la Maison de la polyculture. Un événement attendu de longue date par tous les passionnés d’histoire locale, mais aussi par toute une population qui a pu suivre, pas à pas, la réalisation de ce projet datant d’une dizaine d’années. Ce nouveau patrimoine, dénommé Maison de la polyculture, abrite aujourd’hui tout le passé d’Ormes. Il met en lumière une sélection d’outils, témoins du travail agricole des XIXe et XXe siècles. Ou encore certains autres objets de la vie quotidienne rurale de ce petit village, occupé par plus de 200 hectares de vignes, à l’époque.
RC, Beauce, 08/09, p.18

(Chartres) Musée : un transfert envisagé

Les élus chartrains ont fait leur rentrée, jeudi soir, au salon Marceau. Et elle a été plutôt paisible. Les trente deux points inscrits à l’ordre du jour ont été examinés en moins d’une heure et pratiquement tous votés à l’unanimité. Seule la délibération dix huit anime un peu la séance. Elle porte sur une demande de subventions «la plus élevée possible» auprès de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) et du Conseil régional afin de cofinancer l’acquisition par la Ville du tableau Route de village, de Maurice de Vlaminck (environ 19.400 €), d’un masque de case de type Mwai (environ 5.000 €) et d’un linteau de case initiatique (environ 3.700 €) au profit du musée des Beaux Arts. «Est ce qu’il y a un projet de transfert, des projets de résidence ?», interroge Noël Billard (PS), qui souhaite connaître «l’avenir» du musée des Beaux Arts.
L'Echo, 08/09, p.8

Senonches, de l’Italie à l’industrie

Senonches affiche une tradition industrielle forte dans un département tourné vers l’agriculture. Cette particularité est due à l’immense forêt qui la borde. Le château sera bientôt transformé en musée interactif. Questions à Xavier Nicolas, maire. Quand les travaux du musée interactif démarreront-ils ? Début octobre, ils dureront un an. Le château deviendra un musée interactif sur trois niveaux consacrés à l’histoire locale. Pour quel budget ? Deux millions d’euros. Cette somme comprend la restauration du château, qui vient de se terminer, et la scénographie intérieure du futur musée. Vous allez créer un village d’artisans… Les artisans de la filière bois pourront y louer des locaux. Le chantier sera lancé fin 2013. (intégral)
L'Echo, 08/09

(Bourges) France 5 a testé les chauves-souris

Les chauves souris s’emmêlent elles vraiment les pinceaux dans les cheveux ? La question relève t elle d’une idée reçue ou d’une observation purement scientifique ? Cela méritait d’y répondre, un jour, avec le sérieux que le sujet mérite. L’émission On n’est pas que des cobayes, diffusée pour la seconde saison sur France 5, l’a fait en images, jeudi. Forcément, en tapant chauve souris sur Internet, c’est Bourges qui arrive en tête. Et c’est donc au muséum d’histoire naturelle de Bourges que l’équipe de France 5 a débarqué.
Le Berry, 08/09, p.14

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC

(Sorigny) L’époque de la Tène sur le site de “ Montison ”

Les fouilles menées sur le site de « Montison » (zone de 2,2 ha située à quelques kilomètres à l’ouest du centre-bourg de Sorigny) ont révélé une vaste ferme datant de deux siècles avant Jésus-Christ dont les bâtiments ont été par la suite détruits au profit de nouveaux répondants aux critères de l’époque gallo-romaine. Ces fouilles réalisées dans le cadre des travaux de la ligne LGV Tours-Bordeaux ont permis d’approfondir les connaissances sur le riche passé de la commune et le maire Alain Esnault, lors de la visite mise sur pied par Lisea et Cosea, s’est montré vivement intéressé par ses recherches qui se sont terminées le 27 août.
NR, Indre et Loire T, 05/09, p.26

Des vestiges gallo-romains découverts sur le chantier de la LGV

A Monts et à Sorigny, des fouilles préventives ont mis au jour plusieurs sites archéologiques sur le tracé de la future LGV. A Monts, sur une zone de 3 ha au lieu-dit Le Petit Nétilly, les recherches ont révélé l’emplacement d’une mare, d’une voie en pierre, des morceaux de céramique et de terre cuite. Ces vestiges attestent de la présence de l’homme du IIe siècle av. J-C jusqu’au Moyen-Age. A Sorigny, c’est une zone de plus de deux hectares qui a été fouillée sur le site de Montison. Une ferme gauloise, remplacée plus tard par des constructions gallo-romaines a été découverte par les archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). (intégral)
Tribune Tours, 30/08

(Naveil) Les polissoirs mis en valeur

Lundi, le site des polissoirs de Mondétour a connu un regain de fréquentation qui promet d’être durable grâce à l’initiative d’Arkéosite. En effet, si l’endroit était très usité à l’époque préhistorique afin de réaliser le tranchant des lames de pierre, il passait quelque peu inaperçu pour touristes et autres promeneurs qui n’en mesuraient que difficilement l’importance. Aujourd’hui, un panneau explicatif remet les polissoirs dans leur contexte, tandis qu’un autre donne l’illusion d’un homme en pleine action de polissage. Francis Minier, président d’Arkéosite qui a offert cette installation à la commune de Naveil, initiative saluée par Claude Bordier, maire de Naveil, et Pascal Brindeau, député suppléant, s’est réjoui de la présence de très nombreux passionnés et défenseurs du patrimoine.
Nr, Loir et Cher, 08/09, p.21

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre

Châteauroux. La pietà de l’église Notre-Dame vandalisée

Le 22 août, le sacristain de l’église Notre-Dame a retrouvé l’oeuvre d’art à terre, l’aile du nez de la vierge cassée ainsi que plusieurs fragments de la face. La Ville, propriétaire de l’oeuvre, a porté plainte. La pietà est une oeuvre en pierre de tufeau datant du XVIe siècle. Déjà restaurée en 1993, la pietà de l’église Notre-Dame avait retrouvé sa polychromie originelle grâce à Brigitte Estève, conservatrice et restauratrice de monuments historiques. Il va sans dire que, désormais, la pietà qui n’était pas jusqu’alors fixée sur son socle, le sera et risque également de se retrouver en hauteur. « Nous devrons avoir l’aval de la Drac pour le système de sécurisation », précise Anne-Marie Delloye-Thoumyre, adjointe à la culture et au patrimoine.
Nouvelle République Indre, 4 septembre 2012, p. 4

Montargis. Des pierres, une histoire et des rêves : le château va retrouver tout son lustre

Tour d’horizon des travaux entrepris au château de Montargis : ce qui s’est fait et ce qui reste à faire, pour redonner au site l’attrait qu’il mérite. Ce qui a été fait. En 2011, le mur d’enceinte face à la ville, long de 141m, a été refait. En 2010 a été initié un vaste chantier : la recréation de jardins Renaissance : une partie a été réalisée, couvrant 1.400 m2. L’autre va commencer cet hiver (le chantier est financé à 50 % par la région Centre). À terme, les jardins devraient s’étendre sur 3.800 m2. Ce qui reste à faire : à court terme, reconstruire le mur d’enceinte nord sonne comme une urgence. À long terme. La restauration de l’emblématique tour forteresse du château (en fait un agrégat de trois tours différentes), qui commandait jadis l’entrée de la ville, est dans les tuyaux. L’étude de faisabilité sera lancée dans un an. Une promenade, faisant tout le tour du château, pourrait être aménagée, après que la municipalité aura installé des jardins en terrasse sous le rempart déjà rénové. Le nettoyage des douves est pour l’heure du domaine du rêve.
République du Centre Pithiviers - Montargis - Gien 4 septembre 2012, p. 13

(Loye S/Arnon) Le nouveau coq présenté aux Loyens

Symbole de fierté, de courage et de vigilance, oiseau annonciateur du jour, le coq veille sur la quiétude du bourg, perché à 28 mètres, au sommet du clocher de l’église Saint Martin. Posé en 1974, le vieux coq en zinc doré donnait quelques signes de fatigue et aspirait à la retraite. Invité par Dominique Nicaise, adjoint au maire, meilleur ouvrier de France (Mof) en 1979, Jean Claude Dulessis, président des Mof de la Nièvre, a réalisé le nouveau coq en cuivre martelé de 60 centimètres d’envergure du bec à la queue, une pièce superbe révélatrice du talent artisanal.
Berry républicain, 05/09, p.40

(Neuvy deux Clochers) Radio

Le mardi 11 septembre à 17 heures, France culture consacre un documentaire : la Cathédrale de Jean Linard, un patrimoine de notre humanité. Ce documentaire signé de Stéphane Bonnefoi et Diphy Mariani, avec prise de son de Yann Fressy, brosse la personnalité du céramiste, peintre et sculpteur installé sur la commune de Neuvy Deux Clochers où, depuis sa mort en 2010, sa cathédrale, récemment inscrite comme site protégé, reste à la merci de la météo et des indélicats potentiels. Le documentaire souligne par ailleurs le manque de moyens pour restaurer «ce patrimoine à part entière de notre humanité». (intégral)
Berry républicain, 06/09

(Bailleau sous Gallardon) L’église vue par Maurice Vié

Si vous demandez à Maurice Vié, la mémoire vivante de Gallardon et de ses environs, combien il a édité de livres sur le territoire, il sera bien compliqué pour lui de vous donner immédiatement une réponse tant sa bibliographie est conséquente. Fouineur infatigable, Maurice Vié hante depuis trente ans les différentes archives, qu'elles soient municipales, départementales ou diocésaines. Son petit dernier, Chronique de l'église de Bailleau sous Gallardon, sort tout juste des imprimeries. Dans ce nouvel ouvrage, Maurice Vié s'est,cette fois, immergé dans les souvenirs baillarmois. (intégral)
L'Echo, 06/09

(Montireau) Une centaine de visiteurs pour l’église

Les bénévoles du comité de sauvegarde de l’église Saint Barthélemy de Montireau ont profité de la brocante dimanche pour organiser des visites guidées dans l’édifice bâti au XVIe siècle. L’une des plus remarquables églises du Perche. «Nous y avons reçu une centaine de visiteurs, des gens intéressés. Les échanges ont été fructueux», a expliqué Françoise Renaudot, la secrétaire du comité. L’association oeuvre depuis sa création en 1978 à la remise en état de l’édifice classé aux monuments historiques. Elle s’intéresse aux objets mobiliers et au statuaire. «La restauration de la poutre de gloire sera terminée en octobre. Et les deux statues de la vierge et de Saint Jean en restauration vont revenir d’ici le dernier trimestre», a précisé la bénévole.
L'Echo, 06/09, p.36

(Châteauroux) Place aux festivités !

La patience est une qualité dont les Castelroussins ne sont pas dénués. Les riverains de la place Monestier en ont apporté la preuve pendant toute la durée des travaux. Ils sont néanmoins impatients de découvrir ce que, depuis un an, l’adjointe à la culture, Anne-Marie Delloye-Thoumyre, leur a concocté pour l’inauguration, en nocturne, le 15 septembre. Privée de Ballades nocturnes cette année, pour raison budgétaire, l’élue s’est impliquée personnellement dans l’écriture de saynètes illustrant l’histoire de la ville et plus particulièrement de la plus ancienne place du Vieux Châteauroux. «Nous partirons du Moyen Age, avec l’église Saint- André, édifiée en 1171 à l’emplacement des halles actuelles, et dont nous retrouvons les traces dans le pavage de la place. Puis, nous remonterons le temps à travers les grands personnages de la ville, l’échevin Guimon de la Touche, la duchesse de Châteauroux, le général Bertrand mais aussi Victor Hélin, le pharmacien, inventeur de la Quintonine, la famille Arbona… jusqu’au résistant Robert Monestier qui participa à la libération de Châteauroux.» Une trentaine de comédiens du Baz’Arts théâtre interpréteront, en voix off, ces différentes scènes historiques.
Nr, Indre, 06/09, p.7

Le CG 37 voit un avenir au château de Candé

Avec 48 000 visiteurs comptabilisés fin août (dont près de la moitié sur les 3 jours du festival Terres du Son mi-juillet !), le domaine de Candé, situé sur la commune de Monts, à moins de 20 km au sud de Tours, fait figure de Petit Poucet sur la carte des châteaux du département qui attirent chaque année plusieurs centaines de milliers de visiteurs, voire le million comme Chenonceau. Le Conseil général, propriétaire du domaine de Candé, entend le valoriser. Pour cela, l'instance départementale a commandé une étude à un cabinet spécialisé afin de définir un projet capable de dynamiser la fréquentation d'un site au potentiel sous-exploité. «Le domaine dispose d'atouts considérables, rappelle Delphine Maurin. Tout d'abord sa superficie est unique avec 250 ha de forêts, de champs et de zones humides dans la vallée de l'Indre. En plus du château lui-même, il y a une ancienne ferme tout à fait remarquable en excellent état. Il dispose aussi d'un chai en parfait été de conservation avec un système de vinification traditionnel, l'un des derniers encore visibles dans le vignoble ligérien». Des atouts très «nature et découvertes» susceptibles d'en faire un lieu de villégiature familiale privilégié pour tous les habitants du département. C'est en tous cas sur ce créneau qu'a été positionné le site ces dernières années.
Tribune Tours, 06/09, p.5

«Laissez-vous conter Tours au fil du tram»

Avec les travaux du tramway et les restructurations urbaines qui en résultent, la ville de Tours change de visage. La Maison du Tram et le service du Patrimoine de la ville de Tours vous proposent de découvrir deux lieux particulièrement emblématiques de ces mutations : la place Choiseul, au bas de l'avenue de la Tranchée, et le pont sur le Cher. Accompagnés de guides-conférenciers, vous découvrirez les spécificités environnementales, architecturales, techniques et patrimoniales de ces deux sites clés sur le tracé de la ligne. La place Choiseul et l'avenue de la Tranchée En 1765, Tours connaît une véritable révolution urbaine avec le percement du coteau et la création de l'avenue de la Tranchée, nouveau tronçon de la route d'Espagne. Avec le tramway, cet axe s'en trouve modernisé et embelli comme jamais. Visites les samedis 8 et 29 septembre à 10h (durée 2h). Le pont sur le Cher L'ouvrage d'art construit sur le Cher pour faire passer le ligne de tram se trouve sur l'emplacement d'un ancien pont de chemin de fer, le pont de Vendée, détruit au début des années 70. Rappel d'un passé pas si lointain qui vous sera expliqué en détails, le nouvel ouvrage permet de rétablir un trait-d'union entre les Rives-du-Cher et les Deux-Lions. Visites les vendredi 7 et jeudi 20 septembre à 17h (durée 2h). > Visites gratuites ; renseignements et réservation obligatoire auprès de la Maison du Tram : 02 47 47 11 06 ou maison@tram-tours.fr (intégral)
Tribune Tours, 06/09

(Argent s/Sauldre) Le patrimoine religieux à l’honneur

Dans le cadre de la mise en valeur du patrimoine culturel et religieux, trois bannières du XIXe siècle ont récemment été restaurées et remises à l’honneur, dans les églises dont elles dépendent. À l’initiative du curé de la paroisse Notre Dame de la Sauldre, le père Stéphane Quessard et de son conseil économique, la bannière de saint André de l’église d’Argent sur Sauldre ainsi que les bannières de Saint Étienne et de la Vierge Marie de l’église Saint Étienne de Clémont, ont retrouvé leur jeunesse et leur lieu habituel de résidence et veillent de nouveau sur les fidèles de ces villages. Le travail de restauration a été effectué pendant dix mois par les moniales du Carmel de Lectoure (Gers). Ces objets de dévotion qui servent pour les processions et la décoration des églises les jours de fêtes seront exposés lors des Journées du patrimoine des 15 et 16 septembre.(intégral)
Berry républicain, 07/09

(Chantecoq) L’église rénovée et inaugurée

C’est par une envolée de cloches, tirées par Éric Doligé et Jean-Pierre Door en personne, que s’est clôturée mardi la cérémonie d’inauguration de l’église Saint Denis. Jean-Pierre Lapène a rendu hommage au travail effectué par les différentes entreprises départementales, ainsi qu’aux employés municipaux, qui sont intervenus sur le chantier. 440.000 € ont été nécessaires, le 1% paysager lié à la création de l’A19 fournissant 82% de la somme, le conseil général 180.000 €. Le député Jean-Pierre Door a puisé 15.000 € dans sa réserve parlementaire. Mais c’est avant tout l’investissement des citoyens dans leur patrimoine local qui est «une belle performance», comme le soulignait Frédér ic Néraud, conseiller général et président de la Fondation du patrimoine : 38.200 € de subventions ont été débloqués par la Fondation, suite aux 21.379 € de dons privés récoltés par une souscription publique.
RC, Pithiviers, 07/09, p.15

Des racines et des ailes se pose à Amboise

De la tour des Minimes du château d’Amboise, le regard plonge sur la Loire, ses bancs de sable, ses toits d’ardoise riverains. C’est ce château «les pieds dans l’eau», ou presque, que le magazine de France 3 «Des racines et des ailes», a choisi comme décor pour son plateau, plus précisément sur le toit de cette tour où l’équipe a installé sa technique. C’est un magazine intitulé « Au fil de la Loire » qui marque la rentrée de l’émission créée par Patrick de Carolis et qui fête cette année son quinzième anniversaire. « C’est une émission toujours aussi belle - dit-il - j’ai confiance dans la culture à la télévision. C’est une mission de service public.» Il met en avant l’impact de ce magazine « prescripteur » qui entraîne toujours un plus grand intérêt du public pour les sites. Après Chaumont-sur-Loire (Loir-et-Cher), la veille, le magazine culturel a tourné l’un de ses plateaux qui composent l’émission avec des reportages. Jean-Louis Sureau, directeur du château, fut l’interlocuteur du présentateur Louis Laforge pour parler du Val de Loire, de la Renaissance, de l’histoire mais aussi de la vie actuelle du site.
«Au fil de la Loire» avec reportages de la source à l’estuaire, diffusion le 12 septembre à 20 h 45 sur France 3.
Nr, Indre et LoireT, 07/09, p.8/23

Le patrimoine reste l’affaire de tous

A la veille des Journées du patrimoine, l’intérêt du public n’est plus à démontrer. Avec la Fondation du patrimoine, on peut participer à sa sauvegarde. Au cours de cet été, les lecteurs de la NR ont pu découvrir les missions essentielles de la Fondation du Patrimoine en Loir-et-Cher. Suite à ces articles, un grand nombre de demandes d’informations, de conseils, d’aides sont parvenues à nos délégations régionale et départementale. Demandes aussi diverses que le sont nos constructions de la vallée du Loir, la vallée du Cher, du Val de Loire, du Perche vendômois, de la Beauce, de la Sologne, car toutes sont construites selon les matériaux trouvés sur place et l’ingéniosité de nos ancêtres.
Nr, Loir et Cher, 07/09, p.2

(Blois) La maison des acrobates cherche acquéreur

Pas une journée ou presque sans qu’un groupe de touristes ne s’arrête émerveillé place Saint-Louis pour photographier sa façade ornée de sablières sculptées. Surnommée la maison des acrobates, c’est l’une des plus vieilles bâtisses de Blois. Par dendochronologie (méthode scientifique permettant d’obtenir des datations de pièces de bois à l’année près !), on sait que ses personnages sont antérieurs à 1480. Lorsqu’il en a fait l’acquisition à un notaire il y a cinq ans, Gérard Mineau a eu un véritable coup de coeur. «C’était pour l’habiter et puis j’ai flashé pour une maison troglodytique dans la vallée du Cher.» La maison est donc à nouveau sur le marché, au prix de 327.000 euros, frais d’agence inclus, mais avec des travaux à prévoir. En bon état, le bien est cependant trop atypique pour qu’il soit facile à vendre.
Nr, Loir et CherS, 07/09, p.10

(Saint Avit) Clocher à l’ancienne pour l’église

Ce samedi 8 septembre, à 10 h Joseph Vivet, maire de Saint-Avit et le conseil municipal inaugureront le clocher de l’église Notre-Dame. La date ne pouvait pas être mieux choisie puisque le 8 septembre, l’Église fête la Nativité de Marie. Gravement endommagé par le temps et les infiltrations, la charpente du clocher menaçait depuis plusieurs années de s’écrouler et il avait été nécessaire, dans un premier temps de la sécuriser. Grâce à la conjonction d’aides émanant du conseil général, du Fonds régional pour le patrimoine de proximité, de la dotation de solidarité rurale, d’une aide de Jacqueline Gourault, sénatrice, provenant de sa réserve parlementaire et de fonds propres, le projet de restauration a pu être mené à bien.
Nr, Loir et CherN, 07/09, p.18

(Orgères en Beauce) La Maison de la Beauce fête ses 15 ans

Depuis 1997, la Maison de la Beauce organise, chaque été, des visites de villages. Ces visites, guidées et gratuites, permettent de découvrir et d’apprécier les richesses de la Beauce. Le patrimoine de la région est méconnu malgré sa richesse. 30.000 visiteurs en quinze ans et 180 communes découvertes. Ce bilan ne pouvait pas être fêté sans faste.
RC, Beauce, 08/09, p.20

(Mézières lez Cléry ) Inauguration

Dans le cadre de l’opération « ID en campagne », soutenue par la région Centre, la commune, associée à Maisons paysannes de France, a démonté et reconstruit à l’identique, sur l’un des pignons de la salle communale, un four à pain datant du XIXe siècle. Grâce au travail des élus et des bénévoles, il a retrouvé sa fierté d’autrefois. À l’occasion des Journées du patrimoine, la municipalité l’inaugurera, samedi 15 septembre, dès 10 heures, au bourg, avec démonstration de cuisson de pain dans le four. (intégral)
RC, Beauce, 08/09

(Bourges) Visite dans Bourges occupée

Documents photographiques de l’époque (et quelques dessins de Bascoulard) à l’appui, Roger Douillard, guide conférencier du service patrimoine, a offert à quelques privilégiés une visite insolite (*) : Bourges sous l’Occupation. Hier en fin d’après midi. À travers quelques lieux emblématiques, c’est devant l’histoire de Bourges entre 1940 et 1944 que les visiteurs ont défilé. (*) Cette visite unique, qui a été
organisée il y a deux ans, le sera peut être l’année prochaine s’il y a beaucoup de demandes.
Le Berry, 08/09, p.15

(Courville sur Eure) À la recherche d’un second souffle...

En bordure de la Départementale 923, en venant de Chartres, on aperçoit à gauche une longue silhouette métallique, vestige du XXe siècle pour dompter l’énergie dégagée par le vent… Malheureusement l’éolienne à orientation automatique semble un peu oubliée et un peu abandonnée. Pourtant c’était, à l’époque, un beau témoin du génie humain dans sa recherche de modernisation.
L'Echo, 09/09, p.29

(Cour s/loire) Peinture à l’ocre pour la porte de l’église

C’est en fin d’après-midi, lorsque le soleil donne sur l’entrée du monument, qu’il faut aller voir la porte de l’église de Cour-sur-Loire : elle vient d’être repeinte d’une jolie couleur rouge brique et son tambour intérieur d’un jaune safran. L’accord est très réussi. Mais le plus intéressant, c’est qu’il s’agit de peinture à l’ocre et à la farine, une technique ancienne qui remonte au XVIIe siècle. L’initiative en revient au maire, Jean-Jacques Moreau, ardent défenseur du patrimoine et de l’environnement. Très intéressé par l’article paru dans nos colonnes et le stage pratique organisé par l’association Maisons Paysannes de France, il a demandé conseil auprès de l’architecte des Bâtiments de France, Frédéric Aubanton, qui a préconisé la peinture à l’ocre et à la farine. C’est à l’entreprise Chaussard PSP de Mer, et en particulier à Jacky Pellé, que le travail a été confié.
Nr, Loir et Cher, 09/09, p.6

(Déols) Les vitraux de Saint-Étienne bientôt expliqués sur fascicule

L’église Saint-Étienne, inscrite à l’inventaire des monuments historiques depuis le 21 octobre 1947, est l’un des sites déolois particulièrement visités. Le public peut découvrir notamment les tombeaux de Saint-Ludre et Saint-Léocade et la statue de Notre-Dame de Déols. Les vitraux méritent aussi une attention particulière. L’historien déolois, Didier Dubant, et sa mère, Liliane, ont réalisé, pour la municipalité, un fascicule de 18 pages, portant la description des vitraux de l’église Saint-Étienne.
Nr, Indre, 08/09, p.13

Source : lejournaldesarts.fr

Les premières œuvres arrivent à Louvre-Lens

LENS [04.09.12] – Les premières œuvres de l’exposition inaugurale « Renaissance » sont arrivées au Louvre-Lens, antenne du musée dans la région Nord-Pas-De-Calais, qui ouvrira ses portes le 4 décembre 2012.

Les premières œuvres sont arrivées à l’antenne du Louvre à Lens dimanche 2 septembre, près de trois mois avant l’ouverture officielle.
Lire la suite

Les musées dans le monde

Source : lejournaldesarts.fr

La Galleria dell’Accademia de Venise recherche toujours des fonds pour terminer ses travaux

VENISE (ITALIE) [04.09.12] Faute d’argent, la Galleria dell’Accademia peine à achever la restauration de son bâtiment entamée en 2005.

Situé dans le bâtiment de la Scuola Grande di Notre Dame de la Charité à Venise, la Galleria dell’Accademia abrite une de plus belles collections d’art vénitien au monde. Selon le Corriere della Sera, l’institution fait cependant face à des problèmes d’ordre financier qui l’empêchent d’achever la restauration de son bâtiment : les travaux sont à l’arrêt depuis 2010.
Lire la suite

Ministère de la Culture

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Les dossiers chauds du ministère de la culture

Aurélie Filippetti s'apprête à rendre des arbitrages douloureux, compte tenu de la baisse de 3% qui devrait affecter les crédits du ministère de la culture dès 2013. Le Monde publie le premier volet d'une série de 7 enquêtes sur les dossiers qui attendent la ministre, d'Hadopi au statut des intermittents. Premier volet de la série : la remise en cause des projets de Nicolas Sarkozy : Maison de l'Histoire, Hôtel de la Marine, Centre des réserves du Louvre, nouvelle salle de la Comédie-française... En revanche il n'y aura pas de réforme du mécénat en 2013.
Le Monde 4 septembre 2012, p. 20

Source : latribunedelart.com

La ministre de la Culture opposée à la destruction de l’escalier de la BnF

4/9/12 – Patrimoine – Paris, Bibliothèque nationale – Alors que le précédent ministre de la Culture avait, nous l’avions écrit ici, finalement autorisé la destruction de l’escalier de la Bibliothèque nationale (ill.), rue de Richelieu, Aurélie Filippetti vient, devant des personnels du ministère de la Culture, d’affirmer sa volonté de décréter un moratoire sur cette destruction. Les raisons pour lesquelles cette décision a été prise doivent être mentionnées. D’une part, elle explique qu’on ne peut, en période d’austérité, détruire un escalier existant parfaitement fonctionnel pour en reconstruire immédiatement un autre. D’autre part, elle affirme qu’on ne comprendrait pas que le ministère de la Culture protège le patrimoine à Orléans et le détruise à Paris.
Lire la suite

Acquisitions des musées

Source : latribunedelart.com

Achat d’un portrait du comte Potocki par le château royal de Varsovie

4/9/12 - Acquisition - Varsovie, Musée du château royal - La Fondation du Musée du château royal de Varsovie a acheté, sur le marché français, chez F. Baulme Fine Arts, un portrait du comte Jan Potocki réalisé par le peintre allemand Anton Graff.
Lire la suite

Une allégorie du XIXe siècle pour le Musée espagnol du Romantisme

5/9/12 - Acquisition - Madrid, Museo del Romanticismo - L’État espagnol a préempté lors de la vente du 24 mai à Madrid une Allégorie du Progrès industriel, réalisée à Paris en 1852 par un artiste espagnol qui n’a laissé que ses initiales : « MMA pintó en París en 1852 ». Adjugée 6 000 euros, la toile a rejoint les collections du Musée national du Romantisme dont nous avons contacté la directrice, Madame Asunción Cardona, qui nous a signalé qu’une étude du tableau était en cours et qu’il n’était pour l’instant pas possible d’en dire plus sur cet artiste.
Lire la suite

Acquisition d’un tableau de Jan Lievens par le Nationalmuseum de Stockholm

6/9/12 - Acquisition - Stockholm, Nationalmuseum - Le Nationalmuseum de Stockholm vient d’acquérir un tableau de Jan Lievens, Saint Paul (ill.), datant de 1627-1629, époque où le peintre travaillait à Leyde aux côtés de Rembrandt. La peinture est d’ailleurs fortement rembranesque, l’artiste présente l’apôtre de buste et de profil, assis devant un livre ouvert, plongé dans ses pensées, la main qui écrit semblant suspendue.
Lire la suite

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Paris) Innovantes architectures

À l’occasion du trentième anniversaire de la création des Frac en France, le Centre Pompidou présente, jusqu’à la mi-octobre, les projets architecturaux des Frac qui font actuellement peau neuve. Ils ont choisi le sous sol du musée parisien, ce large espace à plafond ouvert qu’on surplombe depuis le hall de la grande machine Beaubourg, pour parler architecture. Un joli symbole pour évoquer l’actuelle émergence des six nouveaux Fonds régionaux d’art contemporain (Frac), dont celui d’Orléans, qui sortent progressivement de terre. L’atmosphère de chaque Frac en devenir est dressée à coups de dessins d’architectes, maquettes, entrevues filmées et vidéos de chantier. Et les contrastes sont saisissants.
RC, Orléans métropole, 05/09, p.13

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

De l’art contemporain dans un conteneur

Amener l’art contemporain là où il n’est pas. L’idée d’Ingrid Brochard paraît terriblement simple et pourtant, il répond à une réelle demande. «Nous avons parcouru la France du Nord au Sud, puis nous sommes allés au Cameroun et en Côte d’Ivoire», raconte la Nazelloise. « Après la campagne, nous irons bientôt en banlieue, parce qu’il n’y a pas que l’exclusion géographique, il y a aussi l’exclusion sociale.» Le musée mobile (dit «Mumo») voyage d’école en école. A son arrivée, la taule de son conteneur s’ouvre et se déploie affichant un design signé Buren et un énorme lapin gonflable de l’Américain Paul McCarthy. En quatre minutes, la benne devient musée.
Nr, Indre et LoireT, 05/09, p.11

Source : latribunedelart.com

Un tableau volé de Picabia rendu à la ville de Nevers

5/9/12 - Restitution - Nevers, Musée de la Faïence - Volé au Musée de la Faïence de Nevers le 12 janvier 1974, un tableau de Francis Picabia intitulé La Rivière : bord de la Douceline à Munot près de La Charité-sur-Loire est réapparu en juin 2011 à l’occasion d’une vente à Londres. Entré dans les collections en 1935 grâce au don de Victor Bossuat, il fut subtilisé en même temps que Le Châtaigner à Ségalas de Suzanne Valadon qui fut retrouvé à Paris quelques mois plus tard ; le Picabia quant à lui quitta probablement le territoire national rapidement.
Lire la suite

Source : leparisien.fr

Retour au bercail pour un Picabia volé il y a près de 40 ans à Nevers

Dérobé il y a près de 40 ans au musée municipal de Nevers, un tableau de Francis Picabia a été vendu trois fois par des maisons d'enchères avant d'être repéré comme étant une oeuvre volée, ce qui a permis sa restitution à la ville.
Toile de jeunesse de Picabia (1879-1953), réalisée en 1906 dans un style impressionniste, "La rivière: bord de la Douceline à Munot près de La Charité-sur-Loire" a été restituée au maire de Nevers, Florent Sainte Fare Garnot, par le pdg de Sotheby's France Guillaume Cerutti lors d'une cérémonie mercredi au siège parisien de la maison d'enchères.
Lire la suite

Ventes aux enchères

Source : latribunedelart.com

Un dessin de Raphaël sera mis en vente à Londres

LONDRES (ROYAUME-UNI) [05.09.12] - Un dessin de Raphaël sera mis aux enchères le 5 décembre 2012, dans le cadre des grandes ventes publiques d’art ancien à Londres.
Lire la suite

Source : lefigaro.fr

Le miracle Fra Angelico

Un panneau inédit, pièce maîtresse d'une grande composition morcelée, sera vendu à Marseille.

Fra Angelico… Voilà un nom célèbre, mais rarissime sur le marché de l'art. Le commissaire-priseur de Marseille, Damien Leclère, qui a noué une relation de confiance avec le vendeur, n'en revient toujours pas d'avoir ce morceau de chef-d'œuvre à vendre. Depuis son acquisition au milieu du XIXe siècle, ce panneau inédit du maître du Quattrocento, connu pour la décoration du couvent San Marco commandé par Cosme de Médicis, à partir de 1440, est resté dans la même collection privée du sud de la France.
Lire la suite

Source : lejournaldesarts.fr

New York : une Little China à 75 millions de dollars

NEW YORK (ETATS-UNIS]) [07.09.12] - Christie’s et Sotheby’s anticipent un chiffre d’affaires de 75 millions de dollars pour la seconde Asian Art Week à New York de l’année, du 10 au 14 septembre 2012. Loin derrière leurs ventes à Hong Kong.
Lire la suite

Source : lejournaldesarts.fr

Les touristes ont boudé les musées londoniens cet été

LONDRES (ROYAUME-UNI) [05.09.12] - Les Jeux Olympiques ont refroidi les ardeurs des amateurs de culture. Les musées londoniens enregistrent de fortes baisses de fréquentation en juin, juillet et août.

Un des arguments majeurs avancés par les promoteurs des Jeux Olympiques, sont les retombées touristiques sur le pays organisateur. Cela ne semble pas être toujours vrai en ce qui concerne le monde de la culture.
Lire la suite

Nominations

Source : lejournaldesarts.fr

Éric de Visscher reconduit à la tête du Musée de la musique

PARIS [06.09.12] - Par arrêté du Ministre de la Culture, Éric de Visscher a été reconduit à la direction du Musée de la musique (cité de la musique), institution qu’il dirige depuis 2006.
Lire la suite

Carrie Pilto remplacera Dominique Szymusiak à la direction du musée Matisse au Cateau-Cambrésis

LE CATEAU-CAMBRÉSIS [06.09.12] - C’est une conservatrice américaine, actuellement au Musée d’Art Moderne de San Francisco, Carrie Pilto qui va remplacer la directrice du Musée Matisse au Cateau-Cambrésis.

Le départ annoncé de Dominique Szymusiak à la tête du Musée Matisse au Cateau-Cambrésis, pour fin novembre 2012, avait laissé pronostiquer un certain nombre de successeurs possibles dont Patrice Deparpe, l’actuel conservateur adjoint du musée.
Lire la suite

Source : latribunedelart

Alain Lombard nouvel administrateur général d’Orsay et de l’Orangerie

PARIS [05.09.12] Alain Lombard succède à Thierry Gausseron en tant qu’administrateur du Musée d’Orsay. Ce dernier remplace Denis Berthomier à Versailles.
Lire la suite

Source : lefigaro.fr

Primitifs italiens : à la recherche du vrai ou du faux

CHRONIQUE ARTS - Une exposition consacrée aux primitifs italiens à Ajaccio donne l'occasion de parler de la copie, présente dans la peinture dès le Moyen-âge .

Peu de musées osent s'attaquer aux faux. Dans les collections du cardinal Fesch, oncle de Napoléon, qui sont à l'origine du Musée d'Ajaccio, aucun des primitifs italiens n'est une falsification: c'est peut-être pour cela que Philippe Costamagna, directeur du palais Fesch, a choisi de traiter le sujet, en véritable maître du suspens. Hitchcockienne, Esther Moench, la commissaire de l'exposition, a hésité à l'intituler «Le primitif était presque parfait». Faux, cela ne veut rien dire. Un tableau vénitien enrichi d'une fausse signature de Bellini ne devient pas un tableau faux, même si c'est un faux Bellini.
Lire la suite

Source : lejournaldesarts.fr

La fondation Andy Warhol va mettre en vente une partie de sa collection sur plusieurs années

NEW YORK (ETATS-UNIS) [07.09.12] - La Fondation Andy Warhol mettra prochainement en vente chez Christie’s un large choix d’œuvres de l’artiste emblématique du pop art, dans le but d’augmenter ses capacités financières.

La fondation Andy Warhol a engagé la maison de vente Christie’s afin d’assurer la vente d’un grand nombre d’œuvres de l’artiste issues de sa collection, dont beaucoup n’ont jamais été présentées au public.
Lire la suite

Source : lejournaldesarts.fr

Une nouvelle ministre de la culture en Grande Bretagne

LONDRES (ROYAUME-UNI) [07.09.12] – Maria Miller, nouvelle secrétaire d’État à la Culture et Peter Bazalgette, nouveau président de l’Arts Council d’Angleterre, vont devoir gérer une situation budgétaire très tendue.

Dans le cadre du remaniement gouvernemental de David Cameron le 4 septembre dernier, le secrétaire d’État à la Culture Jeremy Hunt (promu au rang de secrétaire d’État à la Santé) a été remplacé par Maria Miller
Lire la suite

Source : Le Monde

Développer le livre numérique sans tuer les libraires

"A chaque fois que je sortais du métro Saint-Paul à Paris, je filais directement faire un petit tour à la librairie Charlemagne. Il y avait toujours des bouquins sympas, du livre de poche à l'encyclopédie", raconte Véronique, une cliente. Située à quatre stations du ministère de la culture, la librairie Charlemagne a fermé le 30 juin, dans l'indifférence générale. Seuls les heureux bénéficiaires de la liquidation du fond et de la grande braderie de Pléiade, vendues à moitié prix, ont pu se réjouir sur le moment de la fin de cette librairie de quartier, remplacée par un magasin de vêtements. Hausse des loyers en centre-ville, coût du personnel, concurrence forte de la vente en ligne, réduction drastique de la rentabilité de ce type de commerce tombée à 0,1 % du chiffre d'affaires, les causes sont connues. La hausse de la TVA, passée au 1er avril de 5,5 % à 7 %, a été le coup de grâce. Dans le secteur du livre, la première mesure de la ministre Aurélie Filippetti a été le rétablissement de la TVA à 5,5 %, prévue au 1er janvier 2013. Cela a été fait dès juillet. C'était aussi un des engagements du candidat François Hollande. En revanche, l'objectif, un temps caressé par le cabinet de la ministre, d'utiliser l'argent récolté par la hausse de la TVA pour créer un fonds d'aide aux librairies a été abandonné après un "niet" de Bercy. Rue de Valois, la défense de la librairie fait partie des urgences : on suit ainsi la lente agonie de la librairie Camponovo à Besançon. Héritage de la loi Lang, première loi de développement durable, la France connaît un riche maillage (4 000 points de vente, dont 700 librairies de référence, qui sont menacés), mais aussi des déserts, comme en Seine-Saint-Denis.
Le Monde, 07/09, p.22 pas de lien

Education artistique

Source : Le Monde

Sortir des incantations sur l'art à l'école

"La culture n'est pas un supplément d'âme, c'est l'âme même de la civilisation. C'est pourquoi je souhaite changer en profondeur la manière dont l'école enseigne la culture et les arts" (Nicolas Sarkozy, septembre 2007, premier discours de politique culturelle du président). "La culture est au coeur d'un projet politique. Ce n'est pas simplement un élément d'un programme. Je lancerai (...) un plan national d'éducation artistique" (François Hollande, janvier 2012, premier discours du candidat sur la culture).

Ces deux citations illustrent le paradoxe de l'éducation artistique. Pas un chef de l'Etat, pas un nouveau ministre de la culture qui n'ait érigé ce chantier en grande priorité. D'autant que toutes les études le montrent : qui ne prend goût pendant l'enfance au livre, au musée ou au concert n'a que peu de chances d'en découvrir les plaisirs à l'âge adulte. La réponse coule donc de source : l'école. Sauf que depuis vingt ans, ça tâtonne. "On empile les dispositifs, on multiplie les initiatives locales, souvent remarquables, dit-on au ministère de la culture, mais aucune cohérence d'ensemble, et la majorité des enfants se contentent des cours obligatoires de musique et d'art plastique" (72 heures par an à l'école, 2 heures par semaine au collège). En 2000, Jack Lang, ministre de l'éducation et Catherine Tasca, ministre de la culture avaient lancé un plan ambitieux avec un programme et des moyens. Cours, rencontres avec des créateurs et des oeuvres, ateliers de pratiques artistiques : les trois leviers étaient tenus. Mais trois ans plus tard, le duo Luc Ferry-Xavier Darcos sifflait la fin de ce qu'il considérait comme une récréation. Comment sortir des déclarations d'intention ? Aurélie Filippetti et son collègue de l'éducation Vincent Peillon, se retrouvent à leur tour face à ce défi.
Le Monde, 06/09, p.25 pas de lien

Source : territorial.fr

Concertation nationale sur l'éducation artistique et culturelle.

La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a annoncé le 31 août le lancement "dans les prochaines semaines" d'une concertation nationale sur l'éducation artistique et culturelle, dans un discours à la Cité nationale de l'histoire de l'immigration transmis à l'AFP. "Je souhaite favoriser un accès de tous les jeunes à l'art et la culture et favoriser un parcours d'éducation artistique et culturelle pour tous les jeunes", a déclaré le ministre. "Mon objectif prioritaire est que chaque enfant puisse bénéficier de parcours artistiques et culturels, à l'école et se prolongeant sur tous ses temps de vie", a-t-elle ajouté. Une "concertation nationale" sera lancée "dans les prochaines semaines" et associera "tous les partenaires publics, tous les acteurs", a-t-elle détaillé. "Le schéma national se déploiera à partir de la rentrée 2013", a-t-elle ajouté.
Donnez votre avis

source : localtis.info

Aurélie Filippetti annonce une "généralisation" de l'éducation artistique et culturelle

La ministre de la Culture a annoncé le 31 août "les grands principes qui vont guider [son] action de coordination du grand chantier national de l'éducation artistique et culturelle". Rappelant qu'il s'agit là d'un engagement formulé par François Hollande durant la campagne présidentielle, elle a indiqué que "la généralisation de l'éducation artistique et culturelle est un grand chantier national mobilisateur". Coordonné par le ministère de la Culture, celui-ci associera aussi les ministères de l'Education nationale et de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative.
Lire la suite

Source : e.wallon.free.fr

Une chance historique pour l’éducation artistique et culturelle

L’élection de François Hollande a remis la question de l’éducation artistique et culturelle (EAC) à l’ordre du jour. Sempiternellement qualifiée d’urgente, cette arlésienne du débat public pourrait enfin rencontrer l’histoire. L’initiation à l’art des enfants de toutes conditions fut l’une des priorités les plus régulièrement affichées par les prétendants à la fonction présidentielle au cours des quatre dernières décennies. Elle fut aussi l’une des promesses les plus implacablement trahies au gré des alternances depuis 1986.
Lire la suite

Archéologie

Source : localtis.info

Archéologie préventive : un compromis est toujours possible

Les relations parfois tendues entre les élus locaux, les aménageurs et les acteurs de l'archéologie préventive ne doivent pas faire oublier que les découvertes effectuées pendant les fouilles préventives se concluent souvent par un compromis satisfaisant - plus ou moins - les différentes parties. L'histoire des fouilles de la rue de La Courtine, à Limoges, en est un bon exemple.
Lire la suite

Archéologie préventive : journées en baisse, mais efficacité en hausse pour l'Inrap

L'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) publie son rapport d'activité portant sur l'année 2011. Pour la première fois depuis la création de cet organisme en 2001, l'activité s'affiche en baisse. Avec un total de 268.179 journées de travail réalisées, elle est en effet en recul de près de 6% par rapport à 2010 et rejoint ainsi son niveau de 2007. Ce recul des journées réalisées touche les diagnostics comme les fouilles.
Lire la suite

Source : latribunedelart.com

Appel au mécénat pour la restauration du boudoir Turc de Fontainebleau

9/9/12 - Appel au mécénat - Fontainebleau, Musée national du château - Le boudoir Turc de Marie-Antoinette à Fontainebleau fut créé en 1777 (ill. 1 et 2). Son décor est entièrement conservé et sera prochainement restauré. Son mobilier, dispersé sous la Révolution, fut remplacé par un autre, tout aussi luxueux, livré par Jacob-Desmalter pour l’impératrice Joséphine.
Lire la suite

Source : latribunedelart.com

Les quatre tableaux du Grand Salon de Marly réunis pour la première fois depuis plus de deux siècles

/9/12 - Restauration et exposition - Musée-promenade de Marly-le-Roi - La présentation des quatre toiles peintes en 1699 par Jean Jouvenet, Antoine Coypel, Louis de Boullogne et Charles de La Fosse pour le Grand salon du château de Marly (jusqu’au 4 novembre à Marly le Roi, puis au château de Versailles du 13 novembre au 17 mars 2013) est un événement. Il s’agit d’un ensemble majeur de l’ancienne décoration de cette résidence royale, dispersé à la Révolution et en partie ruiné. Après une importante campagne de restauration menée par le Centre de recherche et de restauration des Musées de France pour deux peintures appartenant au Musée du Louvre (La Tribune de l’Art avait déjà signalé la restauration de L’Hiver de Jean Jouvenet), il a donc été possible de réunir la série complète grâce aux prêts temporaires effectués par les musées des Beaux-Arts de Dijon et de Rouen qui possèdent les deux autres.
Lire la suite