Revue de presse (12 - 18 novembre 2012)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Vierzon) Pas de musée

Maurice Jouhault a décidé de ne pas acheter l’église Saint-Éloi : «J’ai beaucoup réfléchi. Je l’ai visitée en long, en large et en travers et je ne me vois pas mettre ma collection d’objets d’art religieux dans ce lieu.» Ce passionné, originaire du Doubs, possède huit cents objets. Il est en quête d’une église pour la transformer en musée ou lieu d’exposition. Mais pour lui, Saint-Éloi manque de cachet religieux. «Et il faut prévoir des travaux à l’entrée», a constaté Maurice Jouhault qui recherche plutôt un édifice datant du début du XXe siècle. (intégral)
Le Berry, 13/11

(Châteauroux) Les chantiers s’exposent

Par arrêté ministériel, les collections des musées doivent être récolées tous les dix ans. La mise à jour de l’inventaire doit être prête pour 2014. C’est pour montrer le travail de l’ombre que représentent un inventaire et son récolement, que le musée propose cette exposition. Une opération qui consiste à vérifier sur pièce et sur place les pièces inventoriées de la collection, état, marquage, conformité de l’inscription, etc., et ainsi faciliter une gestion rationnelle des oeuvres. Un travail de police scientifique, en quelque sorte, où tout objet est une énigme qu’il faut élucider… une histoire sans fin où le passé et le présent s’interpellent, explique Michèle Naturel, directrice. En regard de quelques pièces insolites de la collection qui sont présentées, ce sont les témoignages illustrés, proposés par des élèves de 1re du lycée Pierre-et- Marie-Curie et de l’École municipale des Beaux-Arts, qui interpellent le visiteur.
Nr, Indre, 13/11, p.10

(Chartres) Inquiétudes autour du musée

Quels sera l’avenir du musée des Beaux Arts de Chartres une fois le bail emphytéotique qui lie le Conseil général d’Eure et Loir, propriétaire du bâtiment à la Ville de Chartres, quand arrivera à son terme au milieu de l’année 2013 ? «Le bâtiment st vieillissant et il nécessite énormément de travaux», explique François Tulpain, le président de l’association des Amis du Musée à l’occasion de l’assemblée générale. Un comité de pilotage auquel participe l’association a été mis en place. Pour le moment, aucune décision n’aurait été prise.
L'Echo, 15/11, p.11

(Déols) Mémoire militaire : le défi

Il faut oser. Avons-nous le droit de laisser tomber ce patrimoine ? Jean-Jacques Berenguier, président de l’Association des anciens du site militaire de La Martinerie, a choisi son camp. Avec ses 306 adhérents, il veut ouvrir un lieu dédié à la mémoire militaire de l’Indre. « La zone militaire de La Martinerie a été créée en 1915 et vient de fermer. Quasiment un siècle d’existence… Plus de 300.000 personnes ont travaillé ici pour l’armée française, sans compter les Américains. » Un premier pas vient d’être franchi. La Communauté d’agglomération castelroussine (Cac) a accepté, lors du dernier conseil, la vente à l’association, pour l’euro symbolique, d’un terrain de 7.500 m2 en zone nord. « Nous disposons du bâtiment n° 001, de 700 m2, qui abritait le maître tailleur et le maître bottier. C’était un bâtiment important pour les Américains, celui de la paie. Nous disposons aussi d’une chaufferie de 100 m2 », explique le président, qui connaît très bien le site. Les bénévoles amassent peu à peu témoignages et documents. Ils seront aussi aidés par le Musée de l’arme du Train, de Bourges, qui mettra des collections temporaires à disposition. Sur le papier, ce lieu de mémoire est prêt. Il reste à trouver l’essentiel : le financement.
Nr, IndreE, 15/11, p.12

(Noizay) Le musée de la Coiffe est-il à vendre ?

Geneviève Arsicaud a commencé sa collection de coiffes tourangelles il y a une quinzaine d’années. Ce qui n’était au départ que le passetemps d’une passionnée collectionneuse s’est transformé en un musée avec plus de 200 coiffes, dont la plus ancienne date de 1840. Ce musée est visité par des centaines d’amoureux de bonnets brodés, qui font la fierté et l’identité de la Touraine traditionnelle au début du XXe siècle. On y trouve aussi des globes de mariés, des collections de poupées habillées en Tourangelle, des landaux jouets de 1900 et même des bouilloires et des téléphones de la Première Guerre mondiale. Le grand âge venant, Geneviève voudrait bien se séparer de son musée «mais pas à n’importe quel prix et surtout qu’il reste en Touraine. Heureusement, les Chinois ne m’ont pas encore fait de propositions», ditelle en souriant. Entre- temps, les visites, gratuites, sont toujours acceptées tous les jours. (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 15/11

(Chartres) François Bonneau à la Maison de la Beauce

Pendant un mois, l’exécutif régional visite les départements pour découvrir le résultat de certaines actions et présenter les contrats régionaux de solidarité territoriale. L’équipe félicitée pour l’utilisation des aides En Eure et Loir, après Epernon, la Maison de la Beauce, à Orgères, recevait, mercredi, François Bonneau, président du conseil régional. Accueilli par Philippe Lirochon, président des Amis de la Maison de la Beauce, et Dominique Guilleux, président du comité départemental du tour isme, le président a visité l’exposition Feugereux, la présentation permanente de la Beauce et du grain et, en avant première, la nouvelle exposition «villages et villageois». Le personnel de la Maison de la Beauce a commenté cette visite.
RC, Beauce, 16/11, p.16

(Belleville s/Loire) Le fleuve promu auprès de tous les publics

Créée dans le cadre du contrat de plan État-Région, la Maison de Loire du Cher oeuvre, depuis son ouverture en 1990, à la découverte et à la protection du patrimoine ligérien, aussi bien paysager, bâti, que naturel et culturel. Son conseil d’administration est composé de dix sept membres actifs, tous passionnés de Loire et issus des communes riveraines du Cher, du Loiret et de la Nièvre. Une équipe professionnelle d’animation composée de cinq salariés, en CDI et à temps complet, met en oeuvre les différentes actions définies dans le projet annuel. Ces actions sont soutenues par la Municipalité de Belleville sur Loire, le Conseil Général du Cher, la Région Centre et l’État par l’intermédiaire de la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement). D’autres partenaires, publics ou privés, participent également au financement comme l’Agence de l’Eau Loire Bretagne, l’Établissement Public Loire, Plan Loire grandeur nature, le Crédit Agricole…
RC, Montargis-Gien, 16/11, p.17

(Orgères en Beauce) Plongée dans les villages du XXe siècle

La nouvelle exposition temporaire de la Maison de la Beauce a été inaugurée, jeudi soir, en présence de nombreux membres de l’association et des élus des communes ou cantons beaucerons. Philippe Lirochon a présenté l’historique de cette exposition mise en place par Bertrand Chabin. Des mois de recherches ont été nécessaires pour rassembler des documents exceptionnels issus des archives départementales ou de collections privées.
L'Echo, 17/11, p.26

(Blois) La vie à la cour royale comme si vous y étiez

Pour quatre euros, on peut depuis la Toussaint visiter le château avec l’appui d’un audioguide. Une façon plus ludique de découvrir les lieux qui s’adresse d’abord aux adultes mais aussi aux plus jeunes. « Nous avons voulu théâtraliser la visite » explique Pierre-Gilles Girault, conservateur adjoint. Ces audioguides s’inscrivent dans le cadre de la muséographie mise en place depuis le printemps. Signalétique plus contemporaine, plus abordable et plus décorative, création d’ambiances sonores, éclairage modernisé, le parcours aura été totalement revu pour faciliter la lisibilité. Dernièrement, c’est le musée lapidaire qui a bénéficié de nouveaux aménagements. Pour que la rénovation soit complète, il reste à installer dans la salle des Etats six écrans multimédia interactifs qui seront commandés depuis des pupitres et à poser la signalétique extérieure à l’aile François Ier. Les contraintes imposées par le conservateur régional des Monuments historiques ont entraîné un peu de retard mais aussi des dépenses supplémentaires de près de 50.000 €, ce qui porte le coût total du programme à 1.472.735 €. Toujours dans un souci d’immersion dans la vie de la cour et d’enrichissement du parcours de visite, le conseil municipal de lundi prochain doit approuver l’acquisition d’une tapisserie rare datant du XVIe siècle intitulée «Le Char du triomphe de l’envie et de la guerre».
Nr, Loir et CherN, 17/11, p.14

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC centre

(Chartres) Un cimetière fermé à la Révolution

Si les ouvriers de la Ville n’étaient pas intervenus pour effectuer des travaux sur le réseau électrique de la maison du gardien, les archéologues du service municipal n’auraient jamais fouillé en urgence près de la collégiale Saint André. Une tranchée a été ouverte et l’équipe dirigée par Marie-Camille Vivant-Fuster a mis au jour des ossements humains, visibles à moins de 40 cm de la surface du sol. «Pour travailler, nous avons dû élargir la tranchée de 60 cm», précise l’attachée de conservation du patrimoine du service d’archéologie. Les spécialistes n’ont guère été surpris de trouver ici d’anciennes sépultures. Après la fouille, les ossements devront être lavés. L’étude anthropologique débutera. Les données recueillies sur le terrain seront enregistrées, y compris les photos qui révèlent le positionnement précis des sépultures. «Nous aurons besoin d’accéder à de nombreuses archives pour compléter toutes ces informations. Quelques données se trouvent sans doute dans les récits des visites pastorales des évêques», ajoute Émilie Portat. Les rapports précis sur la fouille seront ensuite transmis aux services de l’État. La suite la plus favorable serait le déclenchement d’une fouille programmée dont tous les archéologues rêvent pour approfondir leurs recherches.
+ Les origines de l’ancienne église Saint-André remontent au XIIe siècle
L'Echo, 14/11, p.7

(Chartres) Un chantier aux multiples surprises

Laurent Coulon est responsable de la fouille conduite sur le site de l’ancienne piscine de la Courtille par le service municipal d’archéologie. Les Chartrains ont découvert l’ampleur de l’opération en juin et en septembre. Ils sont invités à découvrir ce weekend le chantier de fouille qui est prévue jusqu’à la fin de l’année. «Le public se promènera le long d’une rue et voyagera entre le Ier et le IIIe siècle. Il pourra tourner autour du site, sur lequel la fouille se déroulera normalement. Si la météo le permet, des petits groupes descendront dans la zone de fouilles et pourront discuter avec l’équipe d’une quinzaine de fouilleurs», précise Laurent Coulon. Les vitrines contenant des échantillons extraits de 200 caisses de céramiques compléteront cette visite.
+ Pauline Denat, céramologue : «Tout ce qui se trouve ici est authentique»
L'Echo, 16/11, p.6

(Chartres) D’étranges crânes et rues

Les curieux et les amateurs d’histoire n’ont pas oublié hier après midi d’enfiler des bottes ou des chaussures de randonnée pour découvrir le chantier archéologique de la Courtille conduit depuis un an sur l’ancienne piscine. «Je ne suis pas un amateur de vieilles pierres. Je suis venu par curiosité», confie Dominique, 67 ans, après avoir écouté les explications de l’archéologue Laurent Coulon pendant près de deux heures. Cet habitant de Nogent le Phaye a retenu que les archéologues ont creusé jusqu’à près de 125 mètres de profondeur. Dominique a également été intrigué par les 135 crânes de chevaux mystérieusement alignés le long d’une route qui existait aux II-IIIe siècles après Jésus Christ.
L'Echo, 18/11, p.6

(Allonnes) Une cavité pour invoquer la pluie

En plus d’une rarissime nécropole mérovingienne, le patrimoine des Allonnais s’est enrichi l’an dernier de la chapelle d’une maladrerie. «On isolait les gens malades dans des maladreries pour éviter les épidémies. Ici on leur avait construit une petite chapelle, la chapelle Saint Sulpice, dont les archéologues ont retrouvé les fondations cet hiver», explique Claude Gallet, le maire de cette commune, qui compte quelque 350 habitants. «En travaillant sur le tracé de la déviation de la RN 154, les archéologues ont découvert quelques vestiges et des sépultures de gens plutôt malades. C’est ainsi qu’en concentrant leurs recherches, ils ont découvert les fondations d’une chapelle. L’emmarchement de cet édifice de 15 mètres de long sur 5 de large les a étonnés et ils ont alors découvert un déambulatoire sous la chapelle.» Avant ces recherches, le seul vestige apparent était une croix de fer forgé, scellée à une pierre, reposant elle même sur de plus gros blocs, le long du chemin du Moulin, à la bifurcation de deux routes.
L'Echo, 18/11, p.29

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Saint Pierre les Bois) LES ENQUÊTES DE COLUM BOISCHAUT : L’étrange sixième doigt de saint Pierre

...«Je t’explique, commence Jean Michel sur la route du Châtelet. Sur le fronton de l’église de Saint Pierre les Bois, il y a une petite sculpture, qui représente saint Pierre – facilement identifiable avec sa clé à la main – qui a été ramenée assez “tard”. Au XIVe siècle, soit deux siècles après la construction de l’édifice. Une de ses mains compte six doigts. Forcément, je me demande si cette anomalie est volontaire et, si c’est le cas quelle signification elle a… Ce que je voudrais savoir, c’est s’il s’agit là d’une farce du sculpteur – pour se moquer de quelqu’un – ou si celui ci a vraiment voulu représenter quelqu’un qui avait six doigts. J’ai beau chercher, je ne trouve rien sur cette sculpture.»
Le Berry, 13/11, p.23

(Vernou-sur-Brenne) De l’or pour le doreur sur bois

Il suffit parfois d’une rencontre pour déterminer le fil d’une vie. Sébastien David peut en témoigner. Ce Vouvrillon débonnaire n’aurait sans doute jamais connu la brillante carrière qui est aujourd’hui la sienne s’il n’avait pas découvert le métier de doreur sur bois à l’occasion d’un stage en classe de troisième. D’emblée, le collégien a été fasciné par l’éclat des dorures mais aussi par le travail de préparation de l’ornemaniste. Récemment, Sébastien David a restauré les 200 cadres du musée Fabre à Montpellier. Il a aussi redonné tout leur lustre aux fauteuils de nos sénateurs. Régulièrement, il honore des commandes pour le Louvre ou Versailles. «Bien souvent, j’ai la chance d’aller dans les réserves, là où le public ne va pas. C’est la magie de ce métier», s’émerveille-t-il encore. Hier, l’artisan de Vernou a reçu le prix Touraine Métiers d’art pour la restauration d’un retable en bois sculpté du XVIIe dans l’église des Roches Levêque, près de Vendôme.
NR, Indre et LoireT, 13/11, p.10

La NR sur les pas de saint Martin

L’histoire de Martin de Tours, homme de foi avant d’être saint, est étroitement associée à Tours et au Val de Loire. Dans cet ouvrage de la collection « Les Patrimoines », on suit cet infatigable voyageur et évangélisateur à travers l’Europe, mais c’est à Tours et plus particulièrement Marmoutier que Martin prend toute sa dimension spirituelle.
Nr, Indre et LoireT, 13/11, p.11

(Tours) Faire vivre le patrimoine européen

Tours, membre fondateur en 1997 d’AVEC (Alliance des Villes Européennes de Culture), a reçu les adhérents –une douzaine de pays et une trentaine de villes, souvent jumelées– de ce réseau, présidé par le portugais José Ernesto d’Oliveira. AVEC a été créé « pour valoriser les patrimoines » comme l’a précisé Marie Bernard Amirault Deiss, responsable des relations internationales à la ville de Tours. Objectif de cette rencontre : écouter le bilan 2012 et soutenir des projets y compris la requalification des risques majeurs sur les patrimoines. Tours s’enorgueillit de réalisations qui serviront de tremplins à l’édification de cette Europe «basée sur le respect des différentes cultures».
Nr, Indre et LoireT, 13/11, p.14

(Loches) Le mécénat ouvre les portes de la ville

Loches n’est plus la même. Lucio de Risi, président du fonds de dotation Loches patrimoine et culture est enthousiaste. Trois ans après sa naissance, cette association de mécénat venant aider au financement du patrimoine et de l’animation de la ville va entrer dans une nouvelle ère. A compter de janvier, elle va étendre son rayon d’action aux communes de Beaulieu et Perrusson. A Loches, le fonds a contribué à la restauration d’une dizaine de tableaux. Plus récemment, il a mis la main à la poche pour la venue de l’atelier lyrique de l’opéra de Paris dans le cadre du festival Loches en voix. Avec la mairie, il cofinance les enseignes de commerce à l’ancienne. Ce qui va déboucher sur une charte d’élégance détaillant un certain nombre de recommandations visant à harmoniser devantures, terrasses… « Là, notre action va réellement devenir visible par tous, se félicite Lucio de Risi. C’est un de nos grands projets pour les mois et les années à venir. »
Nr, Indre et LoireE, 13/11, p.19

Quand Noirlac hébergeait les réfugiés

L’abbaye de Noirlac a hébergé dans des circonstances difficiles près de mille cinq cents réfugiés espagnols dans le contexte très mouvementé des années 1930. Retour sur cet épisode historique et réflexion sur la construction de la mémoire collective de cette migration avec l’historienne Jeanine Sodigné-Loustau, qui a consacré une thèse à l’immigration politique espagnole en Région Centre entre 1936 et 1946. Elle participera le 17 novembre à Noirlac à la table ronde sur les réfugiés espagnols de l’abbaye.
Le Berry, 14/11, p.4/5

(Saint-avertin) Cangé : sept siècles d’histoire par Michel Ramette

Michel Ramette est bien connu des Saint-Avertinois curieux de l’histoire de leur ville. Au fil des ans, le fondateur et ancien président des Amis de Saint-Avertin a écrit de nombreux ouvrages, tant sur l’église paroissiale et ses nombreux trésors que sur le vignoble qui couvrait une grande partie du territoire de la commune jusqu’à l’apparition du phylloxéra. Mais le plus important était à venir. C’est chose faite avec la parution du «Château de Cangé à Saint-Avertin en Touraine». Un épais volume de plus de quatre cents pages qui retrace l’histoire du château et celle, en parallèle, de la commune, à travers les différentes familles qui l’ont possédé.
NR, Indre et LoireT, 13/11, p.10

(Farges-Allichamps) Château liquidé

Le château de la Commanderie, situé au coeur de la commune et dont une partie date des Templiers, va être liquidé. Ses meubles et objets de décoration seront cédés, sur liquidation judiciaire, les vendredi 23, samedi 24 et lundi 26 novembre. Le château devrait être vendu dans un second temps. (intégral)
Le Berry, 15/11

(Dreux) La couronne a été séparée du dôme

Le bras de 76 mètres de haut est déployé au dessus de la chapelle royale de Dreux. Une pièce de 700 kilos est accrochée à l’immense filin. Le morceau de gardecorps composant la couronne rejoint doucement le sol, où il est posé comme une jeune mariée par l’immense grue. La machine de 130 tonnes est, elle, installée sur le parking situé en contrebas. Cinq ouvr iers de la société La Forge d’art, de La Pellerine (Maine et Loire), sont à pied d’oeuvre en ce début de semaine. Ils ont tout d’abord cisaillé les vieux boulons retenant la couronne posée sur le dôme, avant de les remplacer par des neufs. Puis ils se sont attaqués à un travail d’autant plus délicat que la couronne n’est pas faite d’un seul bloc : démonter les 12 gardecorps de 700 kilos chacun, les 12 poteaux, dont un seul pèse 500 kilos, et les 24 pointes de 200 kilos chacune.
L'Echo, 15/11, p.16

Prieuré du Louroux : un axe touristique

Au cours de l’inauguration de l’office de tourisme communautaire, il a été fortement question de la professionnalisation du tourisme, avec cependant le concours de bénévoles pour la promotion du territoire. D’après Michel Guignaudeau, vice-président du conseil général, «c’est là une excellente chose». Ce qui amène Michel Guignaudeau a évoqué la magnifique ferme prieurale en partie restaurée ces dernières années avec la participation de la communauté de communes du grand Ligueillois. D’où cette question sur le devenir des aménagements intérieurs des bâtiments. Le tout dans le cadre d’un pole touristique du terroir digne de ce nom.
Nr, Indre et LoireW, 15/11, p.22

(Montlandon) Les travaux de l’église sont repoussés

Francis Fezard, maire de Montlandon, a fait part de son inquiétude concernant le projet de restauration de l’église Saint Jacques datant de 1766. Rappelons que la commune a monté un dossier afin de procéder aux réparations s’élevant à un montant total de 417.612,79 €. «Suite à l’appel d’offres du marché de travaux qui a été finalisé en octobre dernier, le choix de l’entreprise a été refusé par la sous préfecture car il manquait quelques éléments. Le plus embêtant, c’est qu’il faut recommencer le dossier», a expliqué l’élu. Par conséquent, le début des travaux prévu pour décembre 2012 est repoussé d’environ trois mois. «Il faut absolument que l’on débute ces travaux avant le 15 mai 2013, pour ne pas perdre une importante subvention de 80.000 €», souligne t il.
L'Echo, 15/11, p.16

Envolez-vous avec Le Loiret remarquable

En cette année 2012, La République du Centre a pris de l’altitude. Pour offrir à ses lecteurs Le Loiret remarquable, un hors série composé de vues aériennes et de textes présentant quelques uns des plus beaux monuments, paysages, villages et villes de notre département. La sortie de cet ouvrage s’inscrit dans l’édition, par le groupe Centre France, d’une collection consacrée aux départements de sa zone de diffusion.
RC, Orléans, 16/11, p.5

(Valençay) Le château brûle Monseigneur

Samedi matin chaud à Valençay (Indre) où 70 pompiers débarqués de 25 camions pour s’exercer à circonscrire un incendie virtuellement parti dans les combles. Bientôt, sous l'œil critique du conservateur des antiquités et objets d’art de l’Indre, Marc Dupouget, les soldats du feu investissaient la «salle du prince» qui fut nonobstant sa chambre à coucher, pour y bâcher avec précaution un gros meuble, un tableau de format important de la fin du XVIIIe siècle et un lustre «du XIXe en cristal et bronze doré en forme de montgolfière». À l’heure du débriefing, le conservateur rappellera les petites erreurs commises. Le diable, même boiteux, se trouve toujours dans les détails… Côté pompiers, le test préparé longtemps à l’avance, paraît avoir été positif ; «L’exercice était particulier dans la mesure où il fallait à la fois protéger le bâtiment de l’incendie et préserver les œuvres et le mobilier d’une grande valeur des dégâts collatéraux de l’eau de ruissellement». Côté château, on relevait le fait qu’une intensification du numérotage des objets était urgente. Cet exercice rare pouvait il servir pour une déclinaison générale ? Difficile aux yeux des officiers qui soulignent que chaque bâtiment historique est un cas particulier. Sauf un obstacle communément relevé, les problèmes d’accès.
Le Berry, 18/11, p.4

(Montireau) Le christ en croix restauré par Claire Dard

La restauratrice Claire Dard a travaillé toute cette semaine à la restauration du christ de la poutre de Gloire du 16e siècle à l’église Saint Barthélemy de Montireau. Comme il n’était pas question de descendre la croix, cette spécialiste de Thiron Gardais a œuvré sur place, à plus de 7 m du sol, pour traiter cette sculpture en bois polychrome. Par ailleurs, deux statues à identifier ont été descendues en vue d’être traitées à l’atelier de la restauratrice Élisabeth Wolskidy près de Tours.
L'Echo, 17/11, p.29

(Chartres) Le cheminement date du XIIIe siècle

Le labyrinthe est mal connu des visiteurs. D’un diamètre de 12,89 m, il occupe pourtant une bonne partie de la nef depuis le XIIIe siècle, cinquante ans après la construction du Portail royal. S’il était déroulé, il mesurerait 261,50 m. En pierre blanche de Berchères, comme la cathédrale, son cheminement est marqué par des pierres bleutées de Givet (Ardennes). L’image du labyrinthe est indissociable de celle de la cathédrale Notre Dame de Chartres. Il est placé entre la troisième et la quatrième travée.
+ Capucine Soupeaux : un mémoire artistique sur le labyrinthe
L'Echo, 18/11, p.5

(Margon) Le Parc fait l’inventaire du patrimoine bâti

C’est un travail colossal auquel s’est attaqué le Parc naturel régional du Perche depuis sa création : l’inventaire du patrimoine bâti. Sur les 126 communes qui composent son territoire, 98 ont déjà fait l’objet de cette étude menée de façon scientifique. Dernièrement, les efforts de Florent Maillard, le technicien en charge du dossier, se sont concentrés sur cinq communes du canton de Nogent le Rotrou : Argenvilliers, Brunelles, Champrond en Perchet, La Gaudaine et Margon. Jeudi, lors de la restitution de l’enquête à destination des élus locaux, il rappelait : « Nous avons recensé le bâti antérieur à 1950. Cela concerne aussi bien le patrimoine religieux que le civil, et pas seulement les gros édifices ». Les puits, lavoirs, fournils et autres ponts et fontaines ont aussi fait l’objet de cette enquête.
L'Echo, 18/11, p.17

(Saint Pryvé Saint Mesmin) Le vieux four à briques renaît

La société de Cléry-Saint-André, «L’Ère des pierres», de Romain de Sousa, a débuté le chantier en juillet. Le four à briques de Saint Pryvé, situé à l’extrémité sud du pont de l’Europe et abandonné depuis de longues années, a subi un rajeunissement exceptionnel. Le résultat est des plus réussis. Le chantier a bénéficié, également, de l’assistance de Xavier Clarke de Dromantin, architecte départemental des Bâtiments de France ; des compétences d’Aymeric de Baudus de la Tuilerie de la Bretèche, pour le choix et l’utilisation des matériaux ; du concours des élèves de la section bac pro en «restauration du patrimoine» du lycée Gaudier Brzeska de Saint Jean de Braye, pour la reconstruction des murs de pierres et de briques, soutenant et protégeant l’édifice ; et de l’aide sans faille de la municipalité, et en particulier de François Nicourt, adjoint à l’urbanisme, à l’aménagement et au patrimoine.
RC, Orléans, 17/11, p.22

(Les Bordes) Une cordée pour réparer le toit du clocher

Travailler sur les hauteurs en cordée, c’est le métier exercé par David Fournier. Originaire d’Ouzouer sur Loire, tailleur de pierre de métier, ce jeune homme, à la tête de la société «Pro Accès» à Saint Martin d’Abbat, est technicien cordiste. Il était dépêché mercredi matin pour effectuer une réparation de la toiture du clocher de l’église des Bordes. Seul en cordée, il travaillait en équipe avec l’entreprise de couverture de Stéphane Marchand (restée au sol), diligentée par la commune pour la réalisation des pièces à remplacer sur la toiture.
RC, Montargis-Gien, 17/11, p.14

(Amboise) A la découverte du passé industriel de la ville

Chaque occasion est bonne pour le Cercle Ambacia de faire découvrir le riche passé amboisien. Et si pour les touristes, Amboise rime avec château, jusqu’au milieu des années 1950, l’industrie a été l’un des moteurs de la renommée de la ville, comme le souligne André Peyrard, président d’Ambacia. « Avec notamment l’arrivée du chemin de fer et l’installation des pressoirs Mabille, 98 % de l’économie provenait de l’industrie ». André Peyrard, accompagné de Régis Prot, lui aussi d’Ambacia, a mené la dernière visite publique dans le quartier du Bout-des-Ponts. Elle était consacrée au patrimoine industriel.
+ Actuellement, et jusqu’au 28 novembre, la médiathèque accueille une exposition consacrée à toute l’histoire industrielle de la ville d’Amboise. Créée par le cercle Ambacia, l’exposition se compose de panneaux qui évoquent les industries depuis le XVIIIe siècle et jusqu’aux années 1960.
Nr, Indre et LoireE, 17/11, p.19

Ministère de la Culture

Source : lagazettedescommunes.com

Patrimoine, éducation artistique, création: Aurélie Filippetti esquisse quelques-uns de ses grands projets

La ministre de la Culture et de la communication a été auditionnée lundi 5 novembre 2012 par la commission élargie « affaires culturelles » + « finances » de l’Assemblée nationale. Interpellée à maintes reprises, tant par l’opposition que par la majorité, sur ses intentions, elle a livré quelques informations sur les deux projets de loi qu’elle compte présenter en 2013 (patrimoine, création) et sur son futur plan en faveur de l’éducation artistique et culturelle.
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Source: sudouest.fr

Lascaux 4 : l'Elysée confirme son chèque de 4 millions d'euros

Ce mercredi, le président du Département de la Dordogne plaidait la cause du projet de Centre international d'art pariétal, alias Lascaux 4, auprès de conseillers de l'Elysée.
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Source : lyoncapitale.fr

Musée des Confluences : après le dérapage du chantier, l'explosion des coûts de fonctionnement ?

Alors que le chantier pourrait ne plus réserver de surprises, ce sont à présent les dépenses de fonctionnement qui sont pointées du doigt par les élus de gauche. L'exécutif avance un chiffre de 16 à 17 millions d'euros par an tandis que Thierry Philip compare la rentabilité du musée des Confluences à celle du musée du quai Branly ou du Guggenheim de Bilbao. Se pose aussi la question du statut de l'établissement.
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Source : lest-eclair.fr

Musée Camille-Claudel : quelles retombées économiques pour la ville ?

Nogent-sur-Seine- Une récente étude estime que la venue de 40 000 visiteurs supplémentaires au musée entraînerait 1,6 million d'euros de recettes chaque année

« Il y avait le Nogent d'avant et celui d'après la centrale, il y aura le Nogent d'avant et celui d'après le musée Camille-Claudel », a coutume de professer le maire de Nogent-sur-Seine. Un chiffre défini par les cabinets Ecodev conseil et Pivadis vient conforter cette analyse.
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Source : lejournaldesarts.fr

Un fondeur accusé d’avoir fabriqué un faux Jasper Johns

NEW YORK (ETATS-UNIS) [19.11.12] – Le propriétaire d’une fonderie du Queens à New York a été arrêté jeudi matin à son domicile, accusé de détenir un faux Jasper Johns. Il encourt 20 ans de prison.
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Source : lejournaldesarts.fr

Le Louvre signe un partenariat de 5 ans avec les musées de San Francisco

SAN FRANCISCO (ÉTATS-UNIS) [19.11.12] – Encouragé par ses premières collaborations outre-Atlantique, le musée du Louvre vient de formaliser un nouveau partenariat de cinq ans avec les musées des beaux-arts de San Francisco.

Le Musée du Louvre multiplie ses échanges avec les institutions américaines, et s’attaque à présent à la côte ouest, comme le montre la signature d’un partenariat pluriannuel avec les musées des beaux-arts de la ville de San Francisco (le Young Museum et le Legion of Honor).
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Source : lejournaldesarts.fr

Décès de Michel Leveau, fondateur du Musée Dapper

DAKAR (SENEGAL) [19.11.12] – Créateur de la Fondation Dapper pour les arts africains, qui a donné naissance trois ans plus tard au Musée Dapper, Michel Leveau est décédé mercredi 14 novembre sur l’île de Gorée, au large de Dakar.
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Marché de l'art

Source : lejournaldesarts.fr

Sotheby’s New York accusée de tromperie dans l’affaire de la statue khmère

NEW YORK [15.11.12] – La justice américaine accuse Sotheby’s New York de collusion avec le propriétaire de la statue khmère, dans le but de masquer des informations attestant de son vol en 1972 sur le site religieux de Koh Ker.

Si Sotheby’s New York – niant ne pas avoir été informée de la provenance illégale de la statue khmère - s’est dite prête à collaborer pour son retour au Cambodge, la justice américaine en revanche, ne cesse de multiplier les preuves en sa défaveur.
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Les ventes de New York n’ont jamais été aussi élevées

NEW YORK (ETATS-UNIS) [15.11.12] – Avec un montant de 787 millions de dollars en deux vacations du soir, les ventes d’art contemporain de Sotheby’s (mardi 13 novembre) et Christie’s (mercredi 14 novembre) ont atteint un niveau inégalé. Plusieurs records ont été établis.
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Fondation Warhol : résultats de la première vente aux enchères

NEW YORK (ETATS-UNIS) [14.11.12] - Première partie d’une série de ventes du fonds de la Andy Warhol Fondation, « Andy Warhol at Christie’s » lundi 12 novembre affiche des résultats positifs.
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Picasso relève New York

NEW YORK (ETATS-UNIS) [09.11.12] – Avec près du tiers des recettes, les 12 tableaux de Picasso dispersés aux enchères à New York le 7 et le 8 novembre permettent à Christie’s et Sotheby’s d’afficher un résultat honorable mais en-dessous de leurs attentes.
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Une exposition du Centre Pompidou à Shanghai ?

PARIS-SHANGHAI (CHINE) [15.11.12] – La location des œuvres de la collection du Centre Pompidou au nouveau musée d’art contemporain de Shanghai pour une exposition prévue en décembre 2012 s’annonce plus compliquée que prévu.

Pour sa deuxième exposition programmée normalement en décembre 2012, le nouveau musée d’art contemporain de Shanghai veut montrer quelques chefs-d’œuvre de la collection du Centre Pompidou.
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L’Eli and Edythe Broad Art Museum ouvre ses portes

EAST LANSING (ÉTATS-UNIS) [14.11.12] – Imaginé par l’architecte Zaha Hadid, le Broad Museum situé sur le campus de l’université d'Etat du Michigan vient d’être inauguré par ses plus généreux mécènes.

Avec son architecture futuriste de verre et d’aluminium, tout en angles improbables, l’Eli and Edythe Broad Art Museum forme un contraste saisissant avec l’architecture de briques beaucoup plus traditionnelle qui caractérise les bâtiments de l’université d'Etat du Michigan.
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La Deutsche Bank crée sa Kunsthalle à Berlin

BERLIN (ALLEMAGNE) [13.11.12] - La Deutsche Bank met un terme à sa coopération avec la fondation Guggenheim à Berlin, et ouvrira en lieu et place une Kunsthalle à son nom au printemps 2013.

En février dernier, la Deutsche Bank et la fondation Guggenheim avaient annoncé leur décision de mettre un terme à quinze ans de coopération. La décision avait été prise d’un commun accord, sans qu’aucune raison précise ne soit évoquée.
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Source : lejournaldesarts.fr

Le budget de la Culture augmentera de 8 % en Allemagne en 2013

BERLIN (ALLEMAGNE) [13.11.12] - Comme l’ensemble des pays européens, l’Allemagne devra se serrer la ceinture et adopter des mesures de restrictions budgétaires en 2013. Pourtant, non seulement la culture sera épargnée, mais son budget augmentera même de 8% l’année prochaine.

Alors que l’Espagne et dans une moindre mesure la France ont opéré des coupes sombres dans le budget destiné à la culture, l’Allemagne se paye le luxe d’augmenter le sien pour la huitième année consécutive.
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Un squelette de mammouth découvert en Île-de-France

CHANGIS-SUR-MARNE (SEINE-ET-MARNE) [13.11.12] – Des archéologues ont récemment mis au jour le squelette entier d’un mammouth dans une carrière d’Île-de-France. Déjà surnommé « Helmut » par l’équipe de fouilles, l’animal est l’un des seuls exemples connus retrouvés en France. La présence de silex à proximité de la carcasse en fait une découverte exceptionnelle.
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Source : lejournaldesarts.fr

Constance Rubini nommée à la direction du musée des arts décoratifs de Bordeaux

BORDEAUX [12.11.12] – La mairie de Bordeaux vient de nommer Constance Rubini à la direction du musée des arts décoratifs de la ville.

Après une première expérience chez Sotheby’s puis au Musée du Louvre où elle collabore entre autre au commissariat de l’exposition consacrée au Titien en 1993, Constance Rubini rejoint l’UCAD en 1997 où elle est chargée des expositions « Dessiner le design ».
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Source : lejournaldesarts.fr

La sculpture de Henry Moore sera bien vendue

LONDRES (ROYAUME-UNI) [09.11.12] – Le conseil municipal de Tower Hamlets (Grand Londres) a scellé mercredi soir, le sort de « Draped Seated Woman » : la sculpture de Henry Moore sera vendue. La décision – justifiée par la nécessité d’amortir l’impact des coupes budgétaires imposées par le gouvernement – est loin de faire l’unanimité.
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Source : lejournaldesarts.fr

Des restaurateurs pensent avoir retrouvé une fresque de Giotto

ASSISE (ITALIE) [09.11.12] – Des restaurateurs travaillant à la rénovation de fresques dans une petite chapelle de la ville d’Assise pensent avoir retrouvé la preuve que les peintures qu’ils ont dégagées sont l’œuvre du peintre Giotto di Bondone.
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Acquisitions des musées

Source : latribunedelart.com

Le Nationalmuseum de Stockholm achète un pastel de Vigée-Lebrun

7/11/12 - Acquisition - Stockholm, Nationalmuseum - Lors de la vente de la SVV Daguerre à Drouot, le 16 novembre, où le Louvre a préempté une toile d’Hubert Robert (voir la brève précédente), le musée suédois a acquis pour 15 000 € hors frais un petit pastel d’Élisabeth Vigée-Lebrun figurant selon toute vraisemblance1 le portrait de son unique enfant Jeanne Julie Louise (ill. 1). Celle-ci, née le 12 février 1780, est représentée ici (si l’on en croit la date inscrite) le 6 janvier 1782. La petite fille a donc moins de deux ans.
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Le Louvre préempte un tableau d’Hubert Robert

16/11/12 - Acquisition - Paris, Musée du Louvre - Le 29 novembre 1789, le baron de Bensenval, commandant militaire de l’Île-de-France et de la garnison de Paris au moment des premières émeutes de la Révolution (et grand collectionneur de tableaux nordiques), fut emprisonné au Châtelet après avoir été arrêté près de Provins et enfermé au château de Brie-Comte-Robert.
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Deux tableaux acquis par le Musée de Fécamp

15/11/12 - Acquisitions - Fécamp, Musée - Le nouveau Musée de Fécamp devait ouvrir fin 2011, installé dans une ancienne conserverie. C’est, du moins, ce que nous annoncions dans un article publié le 17 juin 2010. Depuis, les délais ont - c’est hélas souvent le cas sur ce type de chantier - fortement dérapé et l’inauguration est désormais prévue pour le deuxième semestre 2013.
Ceci n’empêche pas l’établissement de s’enrichir. Il vient ainsi d’acheter deux peintures.
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Deux œuvres préemptées chez Sotheby’s par le Louvre et Angers

15/11/12 - Acquisitions - Paris, Musée du Louvre et Angers, Musée des Beaux-Arts - Lors de la vente de la « Collection d’un érudit parisien » proposée par Sotheby’s à Paris le 9 novembre dernier, le Musée du Louvre a préempté un dessin bourbonnais réalisé autour de 1515, Narcisse se mirant dans la fontaine d’Amour, épié par Écho, adjugé 48 750 euros avec les frais (ill. 1). La composition est proche du feuillet 50 (verso) du Recueil Robertet conservé à la BnF et comporte en outre le même sizain en moyen français qui évoque les faiblesses de chacune des vertus de Narcisse : la beauté sans bonté, l’honneur sans valeur...
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