Revue de presse (17 - 23 décembre 2012)

Musées de la région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Épineuil le Fleuriel) La suite imaginaire du Grand Meaulnes

Dans le cadre des manifestations qui fêteront le centenaire de la parution du Grand Meaulnes en octobre 1913, la maison école du Grand Meaulnes organise un concours littéraire. L’idée ? Se replonger dans l’univers du roman et essayer d’imaginer les destins du père et de sa petite fille. Survivent ils ? S’enfuient ils ? Se sont ils perdus dans la foule ? Cent ans après la sortie du livre, la maison école du Grand Meaulnes lance ainsi un concours sur le thème Une suite au Grand Meaulnes. Et chacun aura sa liberté. De placer leur récit dans le passé, dans le temps présent, ou dans un futur rêvé ou redouté. Le concours est ouvert à tous, et la copie est à remettre le 2 mars au plus tard. Le concours est ouvert à tous, individuels ou ateliers d’écriture. L’inscription doit se faire avant le 2 mars, les textes seront déposés avant le 17 juin et les résultats seront promulgués le 26 octobre. Pour tout renseignement, Maison école du Grand Meaulnes, 02.48.63.04.82 - maisonecole@grandmeaulnes.eu (intégral)
Le Berry, 21/12

(Vierzon) Un petit musée de la gendarmerie

«Quel est le dernier objet en date ajouté à votre collection ?» «Une tunique de gendarme de la garde impériale de Napoléon III, elle devrait arriver chez moi demain», répond Christian Beaugendre, qui ne cache pas son sourire. Sa collection est tellement fournie, grâce à internet et aux brocantes, qu’il ne trouve normalement plus grand chose qui puisse la compléter. Mais, cette tenue là, il l’attendait depuis longtemps. «Ma femme m’a autorisé à me l’acheter pour ma retraite, que je vais prendre dans quelques jours…» Christian est passionné d’objets en lien avec la gendarmerie nationale française. Il n’a jamais fait ce métier de sa vie, mais trouve qu’il n’y a pas meilleure manière de découvrir l’histoire qu’à travers celle de la gendarmerie. Il est l’un des rares Français à collectionner les objets liés à l’histoire de la gendarmerie nationale. Quasi à la retraite, il aimerait mettre en place des expositions.
Le Berry, 20/12, p.12

(Vendôme) L’histoire taillée au grain de la pierre

De l’ère des pierres utilisées comme outils aux outils utilisés pour tailler la pierre : la période évoquée par la nouvelle exposition du musée est conséquente, ses pièces riches. «Nous avons souhaité profiter du dernier chantier de restauration de la Trinité pour ressortir des pièces de la collection du musée en lien avec la pierre», détaille Laurence Guilbaud, conservatrice du musée. Le visiteur retrouve ainsi le résultat des fouilles effectuées sur Pezou et Droué il y a des années et qui avaient mis au jour des pierres taillées ou polies, marqueurs de la préhistoire.
Nr, Loir et CherN, 20/12, p.22

(Communauté de Véron) Un vaste programme pour l’Écomusée

Le conseil communautaire a approuvé à l’unanimité le programme d’activités de l’écomusée du Véron. La date d’ouverture est fixée samedi 16 février et la fermeture à la fin des vacances de Toussaint. Les expositions «La légende du Véron» et «Les Gallo-romains» seront reconduites. La salle consacrée à la ferme sera réaménagée. L’écomusée propose un programme culturel d’une cinquantaine de dates avec des activités pour tout public : balades découvertes du patrimoine du Véron, visites d’exploitations et participation à plusieurs manifestations nationales. Quelques dates importantes : mise à l’eau de la toue fin avril, mise en fonctionnement du four à pain le 18 mai. De nouvelles propositions pour les groupes scolaires seront lancées avec des activités sur une journée. L’atelier «laine» sera développé. Des travaux d’agrandissement des locaux et d’aménagement des espaces extérieurs sont prévus. La ferme et les espaces naturels seront remis à niveau.
Nr, Indre et LoireW, 19/12

(Lorris) 200.000 € pour agrandir la bibliothèque

Jeudi s’est déroulé le dernier conseil municipal de l’année 2012. L’ordre du jour portait essentiellement sur les questions administratives et financières. En fonction des précédents accords pris avec le musée horloger pour son agrandissement, une subvention de 10.000 € lui a été accordée.(intégral)
RC, Montargis/Gien, 15/12

(Saint Benoît sur Loire) Un centre d’interprétation sur l’art roman

Au cours du conseil de la communauté de communes Val d’or et forêt, l’élu de Bonnée Roland Cailleux s’est interrogé sur le budget de fonctionnement du futur centre d’interprétation de Saint Benoît sur Loire, sur l’art roman, les bénédictins et la vie bénédictine. Il est évalué à 400.000 € pour 100 000€ de recettes propres (sur une année de «croisière»). Des fonds de concours attribués Le conseil a approuvé la poursuite de faisabilité du projet. Le bureau d’étude commencerait à travailler dès janvier 2013 et le concours de maîtrise d’oeuvre serait lancé fin mars et le choix de l’architecte effectué en septembre 2013. Ce centre d’interprétation accueillerait également dans ses locaux l’office de tourisme, qui actuellement se trouvent dans un bâtiment appartenant à la commune. (intégral)
RC, Montargis/Gien, 15/12

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chambord) Des traces archéologiques

En préambule à la création d’un jardin anglais et de l’installation d’un réseau de chauffage biomasse, le Domaine de Chambord, sur prescription de l’Etat, a fait exécuter un diagnostic archéologique par l’institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). L’intervention qui s’est déroulée du 4 au 20 décembre, a mis en évidence des traces d’une occupation concentrée autour de l’église, visible sous la forme de vestiges de structures légères. Des traces qui restent mal datées pour l’instant. D’autres vestiges du XVIIe siècle ont été mis au jour, qui semblent correspondre aux premières écuries provisoires installées pour Louis XIV à l’ouest du château. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 20/12

(Chartres) Un déversoir, pas un chemin des lépreux
En se penchant vers le fossé de la Porte-Guillaume, un empierrement perpendiculaire est parfaitement visible. Il est daté du milieu du XVe siècle. Vincent Achéré, du service municipal d’archéologie, a conduit les fouilles à proximité, sur le périmètre de la barbacane (NDLR : ancien îlot artificiel fortifié). Avec son équipe, il a pu baliser l’empierrement. Mais pour en savoir plus, une campagne sera nécessaire. Elle n’est pas encore programmée.
L'Echo, 19/12, p.11

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Saint Satur) Un nouveau chantier en 2013?

La restauration de l’abbatiale Saint Pierre a été le point principal du conseil municipal de Saint Satur, qui s’est tenu mardi soir, sous la présidence de Claude Cineau, maire. Si la fin des travaux engagés il y a plus de deux ans et demi approche, le monument pourrait une nouvelle fois se parer d’habits de métal pour accueillir un autre chantier. Dans le cadre du plan État Région, une enveloppe financière reste disponible pour poursuivre des travaux de réfection. Un diagnostic a été réalisé pour déterminer les plus urgents à réaliser. Il s’agit des parties extérieures du baptistère, de la sacristie et de la première chapelle (Saint Guinefort). Le montant de l’opération s’élèverait à 299.053,43 euros HT, dont 295.099,21 euros (98,68 %) seraient pris en charge par l’État.
Le Berry, 20/12, p.25

(Chartres) La cathédrale à chœur ouvert, un décor presque totalement conservé

Restituer un décor quasi intact prend du temps. Le travail d’orfèvre entrepris dans le déambulatoire et le choeur de la cathédrale Notre Dame de Chartres aura pris à peu près quatre ans. Les derniers échafaudages du déambulatoire nord seront retirés dans quelques jours et la Vierge noire retrouvera sa chapelle pour Noël. Dans le même temps, le public pourra traverser le choeur rénové en empruntant les portes latérales. Pour Noël, il pourra assister à la messe de Minuit dans le chœur. Le choeur est déjà bien visible, malgré l’échafaudage de la croisée des transepts présent jusqu’au printemps sous le contrôle de la direction régionale des affaires culturelles (Drac). La rénovation redonne leur lustre au choeur et au déambulatoire. Le chantier a coûté plus de 8 millions d’euros, financés par l’Union européenne, la Région Centre, l’État et des mécènes. Il s’intègre dans une campagne globale de nettoyage de la cathédrale menée sur plus d’une dizaine d’années.
+ Deux cathédrales et des légendes
L'Echo, 19/12, p.7

(châteauroux) Le livre ancien comme un objet d’art

Jusqu’au 5 janvier, la médiathèque Équinoxe propose une exposition sur l’art de la reliure au XIXe siècle. Elle a été officiellement inaugurée samedi, en présence d’Anne-Marie Delloye-Thoumyre, maire-adjoint chargée de la culture et du patrimoine historique. Intitulée Du maroquin à la percaline – matières utilisées pour recouvrir les livres –, cette exhibition représente l’évolution des techniques au cours de ce siècle charnière qui a vu l’arrivée de l’industrialisation. A travers la soixantaine d’ouvrages exposés, dont la majorité léguée à la médiathèque par le collectionneur Jean- Louis Bourdillon, les visiteurs peuvent admirer le travail minutieux et artistique des plus grands relieurs comme Purgold ou les frères Bozérian, à cette époque où le livre compte plus par sa reliure, signée telle une oeuvre d’art, que par son contenu.
Nr, IndreW, 19/12, p.11

(Saint-denis-sur-loire) Restauration du pont de l’allée des Platanes

Importante rencontre vendredi dernier à la mairie de Saint-Denis-sur-Loire. Les promeneurs des bords de Loire connaissent bien ce petit pont qui permet de rejoindre la levée, mais personne ne se doute que celui-ci est en danger. Vieille de plus de huit siècles, la structure qui le soutient menace de s’effondrer. Le diagnostic de la DDT (direction départementale des Territoires) est sans appel : «fissures de l’intrados (intérieur de la voûte) et déformation de l’ensemble tympan-parapet, tant en verticalité qu’en alignement» C’est pour sauver ce patrimoine local que la municipalité a signé une convention de souscription avec La Fondation du Patrimoine. En présence de Benoît Simonnin, maire de Saint-Denis-sur-Loire et de Claudine Bocquel (communication, culture, sport et vie associative), les représentants de la Fondation du patrimoine (Annette Doire et Pierre Laurand) ont exprimé leur satisfaction en soulignant l’intérêt de la convention.
Nr, Loir et Cher, 19/12, p.16

(Chartres) Les ouvriers au chevet de l’église

C’est un chantier qui nécessite rigueur et précision. Des ouvriers se sont attaqués, hier, à la pose d’une nouvelle charpente sur le bas côté nord de l’église Saint Martin au Val, à Chartres. En début d’après midi, les ouvriers de l’entreprise Perrault ont commencé à assembler au sol les différents éléments de la charpente en chêne, fabriqués dans leur atelier, à Angers (Maine et Loire). «On fera la même chose sur le bas côté sud. Il nous faudra plus d’une semaine pour tout terminer», commente Rodolphe Dupont, l’un des charpentiers. Ces travaux s’inscrivent dans le cadre d’une campagne de rénovation de l’église Saint Martin au Val, classée au patrimoine des monuments historiques. Entamée en 2009, la réfection de la toiture devrait être achevée à l’automne 2013, pour un coût global de 1,2 million d’euros.
L'Echo, 18/12, p.10

(Chartres) Une nouvelle charpente

La Ville de Chartres, propriétaire de l’église Saint Martin au Val, classée au patrimoine des monuments historiques, poursuit son programme de rénovation. Une grue va poser aujourd’hui, à partir de 10 heures, la nouvelle charpente des bascôtés. Les travaux de toiture de l’ancienne abbatiale des XIe XIIIe siècles devraient s’achever en 2013. Mais d’autres travaux seront nécessaires. L’installation électrique, coupée pour des raisons de sécurité, devra être remise aux normes et une réfection de l’enduit sur l’un des murs de l’église est également prévue. Ce programme de 473.300 € a été approuvé en novembre dernier par les élus. (intégral)
L'Echo, 17/12

(Saint-bohaire) Église : les travaux sur la bonne voie

Le conseil municipal de Saint-Bohaire, lors de sa réunion du 13 décembre, a pris diverses décisions. La maîtrise des travaux de réfection des enduits extérieurs de l’église a été confiée à Bernard Ruel, architecte du patrimoine DESA, qui était présent pour en détailler l’avancement. Ceux-ci se dérouleront en deux phases bien distinctes, la première concernera le transept et la façade nord de la tourelle d’escalier, travaux estimés à 43.000 € TTC, la seconde portera sur la façade nord de la nef, estimation 43.300 € TTC. Deux devis ont été présentés pour la réalisation d’une vitrine forte pour préserver la chasse, préalable indispensable à l’obtention de subventions. Une demande de réalisation de travaux pourra donc être déposée, et, après l’obtention du permis de construire, rien ne s’opposera à solliciter des subventions. (intégral)
NR, Loir et Cher, 17/12

(Morée) La nouvelle mairie ouvre ses portes

Samedi, plus de deux cents visiteurs sont venus découvrir les bâtiments réhabilités composant la nouvelle aile de la mairie de Morée. Commencé à l’automne 2011, ce chantier a fait l’unanimité quant à sa réussite architecturale et ergonomique. Les bâtiments classés du XVIe siècle, acquis par la municipalité sous les précédentes mandatures, ont trouvé là une nouvelle jeunesse et de nouvelles fonctions. Cet important investissement pour la commune (près de 700.000 €) est salué comme une véritable réussite et le maire, soucieux des finances communales, rappelle que la souscription auprès de la Fondation du Patrimoine est ouverte jusqu’au 31 mars 2013.
Nr, Loir et Cher, 17/12

(Chartres) Un bel écrin construit au XVIIIe siècle

Le grand bâtiment des anciennes archives départementales est fermé au public depuis 2005 rue du Cardinal Pie. Et pour cause, ses poutres et ses planchers déformés menaçaient la solidité de l’édifice. Pour y accueillir des services économiques et touristiques, de lourds travaux sont nécessaires. Ils viennent de débuter sur le bâtiment du XVIIIe siècle inscrit à l’inventaire des monuments historiques. «Il s’agit de réhabiliter 3.000 m² de locaux, pour aménager ici un nouveau pôle économique eurélien», explique Éric Gouron, chargé du suivi du chantier pour le Conseil général d’Eure et Loir. Les équipes chargées de la réhabilitation ne touchent pratiquement pas à la façade extérieure. Le gros des opérations concerne l’intérieur, desservi par un escalier monumental d’époque. Une fois réhabilités, les 3.000 m2 des anciennes archives seront mis en valeur. Un éclairage extérieur du bâtiment est prévu par les architectes.
L'Echo, 15/12, p.7

(Dreux) Vers la chapelle royale en tintinnabulant

Mais qui sont donc ces silhouettes qui descendent de la Chapelle royale par le chemin de ronde, à la lueur des torches ? Ce sont les participants aux nocturnes proposées par l’office de tourisme de l’agglomération drouaise. Une manière de découvrir la ville sous un autre aspect, sous l’angle de la ville lumière. Les 21 et 28 décembre, deux soirées sont proposées pour découvrir la ville sous un autre angle. Le public est invité à venir avec des cloches.
L'Echo, 15/12, p.15

(Châteaudun) Une demeure médiévale miraculée

Avec sa façade à pans de bois, la maison de la Vierge fait partie des trésors patrimoniaux de Châteaudun. Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1928 et classée en juin 1945, cette demeure plantée au milieu de la rue pentue de la Porte d’Abas, est l’une des plus anciennes de la cité dunoise. Si la date de sa construction n’est pas précisément connue, des textes font mention de cette maison dès 1490. Elle est alors définie comme «loge aux portiers de la porte d’Abas», faisant ainsi référence à la personne qui y habitait et qui avait pour mission d’ouvrir la porte d’enceinte à herse de la ville.
L'Echo, 16/12, p.29

(Vierzon) Fours à globe… en débat

Les habitants ont posé des questions et obtenu des réponses, aux Assises de la citoyenneté, jeudi. Après la présentation des projets, la parole était donnée aux habitants. La publication d’une photo des fours à globe, dans notre édition de mercredi, a fait l’objet d’une question : «On avait presque solutionné le problème en 2009 avec le projet de restaurer deux des trois fours, pour un coût de 300.000 à 350.000 euros. Mais pour avoir des subventions, l’État nous oblige à conserver les trois fours, pour un coût de 500.000 euros. Nous avons fait d’autres choix et n’avons pas la capacité. Ce blocage est regrettable car ce secteur est en cours de revalorisation» a expliqué Frédéric Couturier, adjoint à la culture. (intégral)
Le Berry, 15/12

(Bourges) La Vierge donne la mesure de la crèche

Il fut un temps où la crèche réalisée par la potière céramiste Jacqueline Lerat ne ressemblait plus exactement à celle conçue par sa créatrice : un berger avait été mis à la place de Saint Joseph, l’enfant Jésus ayant vite disparu – ainsi que deux moutons de bonnes volontés pieuses mais maladroites lui avait substitué une sorte de jeune bouda… Mais aujourd’hui que tout est rentré dans l’ordre, il est préférable de lire l’histoire écrite le 24 décembre 2008 par Jacqueline Lerat sur son lit d’hôpital à Françoise Delagrange qu’elle a choisi en l’occurrence comme exécuteur testamentaire. La crèche réalisée par Jacqueline Lerat en 1954 vient d’être réinstallée dans la cathédrale.
Le Berry, 16/12, p.3

Une superbe tapisserie acquise par Chambord

Elle provient d’une “tenture” dite “des mois” ou des “Maisons royales” explique Luc Forlevisi, directeur du patrimoine et des collections de Chambord. Son sujet ? L’arrivée de Louis XIV à Chambord. «La tenture était une collection thématique de 12 tapisseries – soit autant qu’il y a de mois dans l’année – et représentait à chaque fois l’arrivée du roi dans l’une de ses maisons. Louis XIV venait souvent à Chambord vers septembre/octobre pour d’évidentes raisons cynégétiques. On peut penser que la scène se passe en 1669 ou 1670, soit respectivement pour les créations de Monsieur de Pourceaugnac ou du Bourgeois Gentilhomme, de Molière. Stéphane Bern, pour illustrer son “ Secret d’histoire ” consacré à Molière, s’est précipité pour filmer la tapisserie !»
NR, Loir et Cher, 15/12, p.7

(Fondettes) Restauration du patrimoine au Sivom

Le comité syndical du Sivom d’adduction d’eau potable, de sauvegarde du patrimoine, d’entretien et de mise en valeur des monuments historiques de Fondettes, Luynes et Saint-Étienne-de-Chigny s’est réuni sous la présidence de Jacques Sauret. Il est prévu en 2013 à Saint-Étienne-de-Chigny, la restauration de la voûte de l’église et le renouvellement du contrat d’entretien du théâtre de verdure. Par ailleurs, les vitraux des églises de Saint-Symphorien, Sainte-Barbara, et de Saint- Vincent seront restaurés. Ils sont constitués chacun de 5 panneaux réunis dans une baie comportant 4 barlotières sans feuillards. (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 15/12

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

L’influent Loyrette ne rempile pas au Louvre

Henri Loyrette quittera la présidence du musée du Louvre en avril, à l’échéance de son mandat. Prenant le gouvernement par surprise, la nouvelle fait grand bruit tant son influence est sans rivale dans le monde de la culture. A 60 ans, l’intéressé cite des motifs personnels. Il voudrait trouver un peu de temps à lui. Après douze années passées à la tête du «plus grand musée du monde», il part par le haut. Approchant les 10 millions de visiteurs, la fréquentation du Louvre a doublé en dix ans
Libération, 18/12, p.29 (pas de lien)

Source : lejournaldesarts.fr

Feu vert pour la rénovation de la Samaritaine

PARIS [20.12.12] – Après de longues péripéties, le projet contesté du groupe LVMH pour la rénovation et le réaménagement de la Samaritaine a finalement reçu l’aval de la ville de Paris, a annoncé mercredi Le Parisien. Le nouveau site devrait ouvrir en 2016.
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Source : lejournaldesarts.fr

Orsay attend « le million » au Brésil

RIO DE JANEIRO (BRESIL) [19.12.12] - Cet été à São Paulo et depuis octobre à Rio, en attendant Madrid, le Musée d’Orsay présente hors-les-murs 80 chefs-d’œuvre de sa collection. Il espère un million de visiteurs au Brésil.
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Source : lejournaldesarts.fr

Henri Loyrette va quitter le musée du Louvre

PARIS [17.12.12] – Après 12 années passées à la tête du plus célèbre musée du monde, Henri Loyrette, son président a fait savoir qu’il ne souhaitait pas être reconduit dans ses fonctions.

Nommé à la direction du Louvre en 2001, Henri Loyrette (60 ans) a estimé qu’il était temps pour lui de « laisser le Louvre écrire une nouvelle page de son histoire ». Le Président de l’établissement public a en effet informé le Président de la République ainsi que le ministre de la Culture qu’il n’était pas candidat à un cinquième mandat.
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