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 Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeMar 30 Juil - 10:09

Musées région Centre

Source : magcentre.fr

Château de Blois: guerre et paix ne doivent pas faire oublier le passé

Le symbole est fort, presque provocateur. Dans la dernière salle d’expositions du château royal de Blois, celle de La Rotonde, l’épée de François1er, dite de Pavie, est là, droite comme un I, illuminée, resplendissante. Unique. Jamais copiée. Et face à elle, on constate qu’il a été vendu plus de 100 millions de carabines Kalachnikov ou Kalashnikov dans le monde depuis son invention, sans compter les imitations, les répliques, les copies plus ou moins réussies.
Lire la suite

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Saché) Nocturne au musée Balzac

Pour la première année, le musée Balzac s’ouvre pour quatre nocturnes au cours de la saison, apportant une nouvelle dimension à ce lieu cher à l’écrivain et auréolant le parc de mystère. Au charme de la nuit,  s’ajoutent plusieurs animations originales et ludiques autour de Balzac et de l’exposition de l’été pour découvrir autrement l’art de Pierre Alechinsky et ses oeuvres réalisées pour l’illustration du «Traité des excitants modernes» de Balzac. La première de ces nocturnes a eu lieu lundi et les visiteurs étaient enchantés de cette soirée originale.
Nr, Indre et LoireW, 27/07, p.18

(Chartres) Un îlot de nature et d’histoire en ville

C’est une visite qui plaira aux petits comme aux grands. À travers ses collections, le Muséum d’histoire naturelle et de préhistoire de Chartres propose de découvrir les richesses du patrimoine naturel et préhistorique d’Eure et Loir. Insectes, oiseaux, mammifères, on trouve plus de 250 espèces dans la première salle du muséum. L’endroit a tout pour impressionner les visiteurs. C’est l’opportunité de se tenir près d’un loup,  naturalisé depuis le XIXe, qui a traversé le temps. Une sonnette installée à proximité fait résonner le hurlement du loup, de quoi faire frissonner les enfants.
L'Echo, 29/07, p.3

(Blois) “ Histoires sur-naturelles ” : l’humour au musé


Depuis le 2 9 juin et jusqu’au 15 septembre, le muséum d’histoire naturelle de Blois accueille l’exposition baptisée «Histoires sur-naturelles» de l’artiste Laurent Zagni. Originaire de Lorraine il a passé sa jeunesse dans la campagne meusienne. Il est aujourd’hui guide nature dans la réserve de la Baie de Somme au parc ornithologique du Marquenterre. Pour cette exposition, l’artiste a choisi de mettre en valeur ses deux passions : la nature et le dessin avec un zeste d’humour.
Nr, Loir et Cher, 01/08, p.7

(Tours) Des collections du Muséum en soins intensifs

Il ne fait pas bon être un animal naturalisé par temps de canicule. Le Muséum d’histoire naturelle a été contraint de fermer ses collections d’Océanie, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique car la chaleur a permis la prolifération de mites et d’anthrènes, genre de coléoptères dont la larve se développe dans les poils et les plumes. « Cela touche aussi bien les lions, hyènes, kangourous que les pélicans et autres perruches. La  chaleur n’explique pas tout. Les mites peuvent être également véhiculées par les visiteurs» explique Arnaud Leroy, directeur adjoint de l’établissement et surtout biologiste des collections.
Nr, Indre et Loire, 01/08, p.10

(Vailly-sur-Sauldre) Le protecteur de voitures anciennes

«Je suis la SPA, la Société protectrice des automobiles !» À soixante dix huit ans, François Pigny n’a rien perdu de sa gouaille et de sa vivacité. VRP en confiserie-biscuiterie pendant trente ans et ancien quincailleur, ce passionné de véhicules anciens a créé en 2007 le Musée rétromécanique à Vailly sur Sauldre. Les yeux pétillants et d’un pas assuré, François Pigny est fier de faire découvrir sa caverne d’Ali Baba à ses hôtes. Avec plus de 700 mètres carrés, le Musée rétromécanique expose trente cinq automobiles berlines françaises, produites ou conçues entre 1945 et 1960, les quinze années de la relance industrielle d’après guerre. «Il y a aussi du matériel agricole, un Solex, une vieille moto…», précise le collectionneur. Et parmi ces nombreux trésors (Citroën Traction, FacelVega, Talbot, Samlson…), trône au centre du musée  le plus vieux véhicule que possède le retraité : une locomobile à vapeur servant à actionner une batteuse agricole, datant de 1885.
Le Berry, 31/07, p.18

(Villaines-les-Rochers) De l’osier en veux-tu en voilà

Le village de Villaines-les-Rochers livre les secrets de la vannerie à travers un musée ludique. Une ancienne école en guise de décor, et l’odeur de la craie remonte immédiatement à la surface. Pourtant ce musée sent l’osier. Et comment ! La bâtisse scolaire abrite désormais le musée de l’osier et de la vannerie. Jacqueline accueille les touristes, avec un large sourire, dans une grande salle de 200 m² aux couleurs sombres «cela fait ressortir l’osier». Le musée présente une série «d’objets d’art», explique-telle, dans des matières différentes et des façons de tresser variées.
Nr, Indre et Loire, 31/07, p.3

(Graçay) Havre de la photographie, sans cliché

Ambiance feutrée. Le musée de la Photographie de Graçay se décline au fil des pièces et des couloirs de la maison qui l’abrite, sur la place du Marché. Petit musée de province, il accueille près de cinq cents visiteurs chaque année. On est loin de la fréquentation du Louvre mais la collection du musée de Graçay n’a pas à rougir devant ses homologues nationaux. D’ailleurs, les objets présentés sont un tout petit échantillon de ce que le musée possède. Pour mettre en valeur et exposer chaque pièce, il faudrait une surface quatre fois plus grande.
Le Berry, 02/08, p.4

(Thésée) Le musée archéologique cherche un nouveau site

Une large banderole placardée à Thésée invite à visiter le musée archéologique. Environ 2.000 personnes se laissent tenter chaque année. Un chiffre bien modeste eu égard à l’intérêt des collections gallo-romaines réunies à la suite des campagnes de fouilles effectuées sur le proche site des Mazelles et sur celui d’un ancien village de potiers proche de Pouillé. Logé petitement au second étage de la mairie, inaccessible aux handicapés, mis en valeur par une animatrice à mi-temps, le musée fait l’objet d’un projet de transfert dans un local mieux adapté. «Nous avons demandé à un cabinet spécialisé d’étudier son installation dans une maison que possède la commune juste à côté des Mazelles» explique le maire, Daniel Charluteau. «Mais la Direction des affaires culturelles a émis des exigences telles que l’affaire a pris des proportions incompatibles avec nos moyens financiers. Nous sommes passés d’une estimation initiale d’un million d’euros à 2,5 !» Compte tenu des charges liées à l’exploitation, en particulier le recrutement d’un conservateur, le déficit annuel s’élèverait à 40.000 €.
Nr, Loir et Cher, 02/08, p.3

À Lorris, les cheminots face à l’histoire

Des casquettes de contrôleurs, des boutons de vestes, des pinces pour poinçonner, des brassards, des plaques d’information, des billets, des cartes postales des gares, des sacoches d’agents, du matériel pour vérifier l’usure des rails, un vieux téléphone, des drapeaux, des lanternes… Toutes ces pièces qui ont trait au monde des cheminots sont exposées au musée de la Résistance et de la Déportation de Lorris jusqu’au 15 septembre. Après les imprimeurs clandestins l’an dernier, la directrice de l’établissement Marie-Pierre Le Men a choisi de mettre à l’honneur les cheminots.
RC, Montargis/Gien, 03/08, p.7

(Ferrières-Gâtinais) Prenez un café avec un artisan d’art

Mieux découvrir le métier d’un artisan, c’est ce que propose la Maison des métiers d’art de Ferrières avec son animation «Un café avec un artisan». Après une brodeuse d’art, un tapissier décorateur, un potier, une restauratrice de tableaux, un vitrailliste, aujourd’hui, à partir de 15 heures, le public pourra rencontrer Thierry Herbelin. Ce peintre de Fontenay sur Loing présente son expo Corps d’amour jusqu’à fin août au premier étage de la Maison des métiers d’art.
RC, Orleans, 04/08, p.14

(Argenton) Enveloppe spéciale pour les chemises

Pour marquer les vingt ans du Musée de la chemiserie d’Argenton, La Poste met à disposition au sein de cet établissement une nouvelle série d’enveloppes. L’illustration retenue met en lumière l’affiche réalisée pour cet anniversaire. Cette nouvelle série d’enveloppes “prêt-à-poster”, découle d’un partenariat entre les deux structures qui porte sur l’édition de 2.000 enveloppes pré-timbrées. «Installé dans un ancien atelier de confection, rue Charles-Brillaud, ce musée est le témoin d’une aventure industrielle qui unissait très souvent les ouvrières à leur atelier», souligne Michel Sapin, ministre du Travail, qui a participé avec plaisir à la présentation de cette nouvelle création aux couleurs d’Argenton.
Nr, Indre, 03/08, p.14

(Mehun-sur-Yèvre) Trésors d’église sortis de la collégiale


L’exposition temporaire Trésors d’église au Pôle de la porcelaine, à Mehun-sur-Yèvre montre à voir une centaine d’objets et vêtements liturgiques provenant de la collégiale Notre-Dame de Mehun-sur-Yèvre. Démarrée le 17 mars et devant se terminer en juin, l’exposition a rencontré un tel succès qu’elle a été prolongée jusqu’au 25 août. L’explication en est simple : certains de ces objets n’ont pas été vus depuis un siècle. Et c’est tout à l’honneur de l’association mehunoise pour la sauvegarde des objets sacrés (AMSOS) –forte d’une trentaine de membres– que de les avoir sortis de l’oubli, et notamment de la tour du clocher de l’abbatiale, où ils étaient remisés.
Le Berry, 03/08, p.4


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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeMar 30 Juil - 10:11

Archéologie région Centre

Source : panorama de presse de la DRAC Centre

Des Gallo-Romains contre les crues

Les fouilles archéologiques entamées depuis le mois de juin près de la Porte Guillaume devait s’achever le 26 juillet. Pour compléter les informations déjà connues sur les niveaux gallo romains mis au jour par les archéologues, le chantier est prolongé d’une semaine, jusqu’à vendredi. Au pied des ruines de la Porte Guillaume, entouré par les fossés de l’Eure, le chantier, qui plonge à plus de cinq mètres de profondeur est dirigé par Vincent Achéré. Il est présent sur le terrain avec une équipe de sept fouilleurs. «Grâce à cette campagne de fouilles, nous comprenons un peu mieux l’occupation antique sur cet emplacement. Nous sommes au Ier siècle de notre ère, dans une zone très sensible aux crues. Nous avons mis au jour des niveaux sableux, plus ou moins importants, dans un sédiment verdâtre. Il doit sa couleur à la décomposition des végétaux. Au dessus, sur une couche d’argile et de silex, se sont installés des bâtiments eux mêmes soumis aux crues. Pour se protéger, les habitants ont remblayé avec du charbon de bois et des sédiments, avec un système d’évacuation d’eau», explique Vincent Achéré.
L'Echo, 29/07, p.10

Réglementer la détection de métaux

Ils seraient près de 1.000 adeptes de la détection de métaux dans le Berry. Nombre d’entre eux assurent ne pas être des «pilleurs» de sites archéologiques et souhaiteraient que cette discipline fasse l’objet d’une réelle réglementation. Un Conseil national de la détection de métaux à d’ailleurs vu le jour il y a peu. Ses membres ont rédigé un cahier blanc dans lequel figurent plusieurs propositions comme  l’obligation d’acheter un timbre spécial. «Cela freinerait beaucoup de personnes malhonnêtes. Une licence à 100 euros acquise par 50.000 personnes (nombre supposé des utilisateurs de détecteur de métaux en France), pourrait rapporter 5 millions d’euros au ministère de la Culture», souligne Franck Despezelle, habitant de l’Indre qui pratique cette discipline depuis quatorze ans. (intégral)
RC, Orleans, 29/07
+ «On n’est pas tous des pilleurs»
Le Berry, 29/07, p.6

(Esvres) L’église Saint-Médard a révélé ses secrets


Depuis le mois de septembre, Élise Lauliac, étudiante en deuxième année de master, en archéologie à la faculté de Tours, a effectué une étude approfondie sur les origines de l’église Saint-Médard. Ce travail et le  mémoire d’Élise font partie du programme de recherches archéologiques mis sur pied par l’université tourangelle et financé par la région Centre, le ministère de la Culture, et soutenu par la commune tant sur le plan  technique que logistique. Les recherches de la jeune femme viennent d’aboutir et ont été confirmées par Jean-Philippe Chimier et Nicolas Fouillet, archéologues à l’Inrap.
Nr, Indre et LoireT, 29/07, p.16

(Montrond) La forteresse assoupie reprend vie

Les fouilles ont repris cet été à la forteresse de Montrond. Une tradition qui perdure depuis quarante ans. Sept jeunes bénévoles épris de vieilles pierres ont investi les lieux du 15 au 28 juillet pour déblayer et restaurer  les ruines partiellement enterrées de l’ancienne citadelle. Dominique Lallier, responsable du Cercle d’histoire et d’archéologie du Saint Amandois (Chasa), se félicite de la motivation dont ont fait preuve ses troupes. «C’est ce qui importe le plus pour nous. Nous prenons d’abord en compte ce critère lorsque nous sélectionnons nos jeunes pour l’été.» Le site, qui emploie deux encadrants professionnels, ne peut accueillir plus d’une dizaine de personnes sur un chantier. Il faut donc procéder à une sélection. «Chaque année, nous refusons du monde.» La tenue de ces chantiers est nécessaire pour lutter contre les outrages du temps : lente érosion des pierres, verdure envahissante et parfois même actes de vandalisme. «Certaines personnes s’amusent encore à détruire les escaliers ou à enlever des pierres», grince Bernard Vannier, président du Chasa.
+ Des bénévoles passionnés par l’histoire ou l’architecture
Le Berry, 31/07, p.20

(Ceton) À la découverte de la Motte de Prez

Sur des bases probablement plus anciennes que millénaire, une motte féodale qui appartient à la ligne de fortification des seigneurs de Bellême a été construite au XIe siècle. La Motte de Prez appelée couramment la Grande Motte «est une des mieux conservée du Perche avec d’impressionnants fossés secs et une grande basse cour», explique Claire Elie, guide conférencière nationale. Point culminant et stratégique entre La Ferté Bernard et Nogent le Rotrou, la Motte de Prez constitue un véritable point de vue des alentours de Ceton.
L'Echo, 03/08, p.20

(Landes-le-Gaulois) Le passé gravé dans la roche

D’après les mots du préfet, Gilles Lagarde, «c’est une belle réhabilitation». Les travaux ont duré tout l’hiver, «ils ont mis un peu plus de temps que prévu à cause du mauvais temps», explique Vincent Guillard, le gérant de l’entreprise Environnement 41 qui s’est occupé de la mise en valeur et de la sécurisation du site. Le projet a coûté 25.000 € et a été financé par le conseil général, des fonds européens, l’Agglopolys, la commune et le conservatoire des espaces naturels. Pour en arriver à ce résultat, «il a fallu beaucoup de persévérance et de la ténacité» d’après Jackie Despriée qui travaille au Muséum d’histoire naturelle de Paris. En effet, le site a été découvert en 1972 par des ouvriers qui travaillaient sur la carrière de calcaire. Un crâne d’aurochs avait été mis à jour. Dès lors, des recherches ont commencé mais ce n’est que depuis très récemment que le site appartient au domaine public.
Nr, Loir et Cher, 04/08, p.2


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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeMar 30 Juil - 10:14

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chisseaux) Une sculpture au chiffre de Diane de Poitiers

De moins que l’on puisse dire, c’est qu’à 43 ans, Patrick Kalita, de Civray-de-Touraine, a sacrément bourlingué. Parti à Marseille à l’âge de 14 ans pour être compagnon tailleur de pierre, il a ensuite effectué son tour  de France pendant huit ans. «Puis je suis parti au Canada pour réaliser mon chef-d’oeuvre, une reproduction des pyramides d’Égypte», raconte l’homme de l’art. Ensuite il a travaillé un peu partout dans le monde, en Australie, aux États-Unis, «avant de rentrer au bercail». La sculpture sur pierre, il l’a apprise avec des Italiens, alors qu’il oeuvrait à la restauration, excusez du peu, de l’Arc de triomphe. Il vient de réaliser le monogramme de Diane sur un moulin fort construit au milieu du Cher, à Chisseaux.
Nr, Indre et LoireE, 27/07, p.18

(Guilly,) Le Moulin de Bel-Air souffle son histoire

Au bout d’une route qui suit les virages de la Loire, on aperçoit le Moulin de BelAir, semblant émerger d’un océan formé par des champs. À des centaines de mètres à la ronde, on ne voit que lui. Indéniablement, il en impose, surtout si l’on pense qu’il est le seul vestige d’une époque où l’on comptait des dizaines de moulins à vent, en val de Loire. Une fois arrivé à son pied, cette sensation est  décuplée. Tout paraît démesuré : l’envergure des ailes (17 mètres), le diamètre du bourdon qui sert à faire pivoter l’outil de travail du meunier et qui supporte ses 25 tonnes.
RC, Orleans, 29/07, p.4

(Germigny-des-Prés) L’oratoire au firmament…


Avant chaque début de visite, la même question. «De combien de temps disposez vous ?» Anne de Haro est la guide de l’oratoire carolingien, à Germigny des Prés. Et elle pourrait en parler des heures. «Ce lieu regorge de secrets, d’anecdotes, d’histoires…» Difficile de tout aborder. Avec 53.000 visiteurs en 2012, l’oratoire carolingien de Germigny-des-Prés fait partie des cinq monuments les plus fréquentés dans le département.
RC, Orleans, 29/07, p.4

(Corquilleroy) L’église frappée par la foudre


Vendredi, l’église de Corquilleroy n’a pas été épargnée par l’orage. En témoigne l’horloge dont les aiguilles, stoppées net à 6 h 10, indiquent l’heure où la foudre a frappé l’édifice, endommageant la toiture du clocher. Un impact juste à côté de l’horloge témoigne du choc. Des tuiles ont été soulevées laissant découvertes trois faces sur quatre. Le coq a simplement été incliné. Les pompiers sont intervenus pour sécuriser le site.  Des réparations provisoires ont été effectuées avant avis de l’assurance, pour évaluer les dégâts et réparer de manière définitive l’édifice. (intégral)
RC, Beauce, 29/07

(Châtillon sur Loire) Les murs ont une excellente mémoire


À quelques pas de la poste de Châtillon sur Loire, une petite fille observe un homme en costume… Plus loin, place Sainte Anne, M. Timide semble bien embarrassé. À proximité du champ de foire, sur un mur du centre de secours, un groupe de paysannes, avec leurs paniers… Depuis quelques années, les murs de la ville s’ornent de personnages colorés, venus des siècles passés. Un projet mené par les artistes de l’association Arteria, et plus particulièrement Elisabetta Riganti, Gabriela Gonzalez et Erik Staal, qui se sont inspirés de l’histoire locale pour «décorer la ville». Ainsi, près de chaque peinture en trompe l’oeil, une plaque a été posée pour donner quelques explications.
RC, Beauce, 29/07, p.10

(Châtillon sur Loire)  Les trésors du Loiret exposés au temple

Samedi, au temple protestant de Châtillon sur Loire, Emmanuel Rat, le maire, également conseiller général, a procédé à l’inauguration de l’exposition «Trésors du Loiret». Celle ci invite à découvrir dix neuf œuvres représentatives de l’Antiquité à nos jours ayant marqué l’histoire de l’art dans le Loiret. Le Décalogue du temple protestant de Châtillon sur Loire est l’une de ces oeuvres. Cette peinture sur toile, datée de 1636,  décorait, selon la tradition, un premier édifice élevé en 1596 rue Chambon, détruit en 1684. Le Loiret possède un patrimoine aux multiples visages, riche et varié et chargé d’histoire.
RC, Beauce, 29/07, p.11

(Boiscommun) La Vierge à l’enfant, un trésor méconnu

Quelque 800 personnes étaient cet après midi de juin en l’église Notre Dame de Boiscommun. Les célébrités du jour ? Aline Kutan, célèbre soprano canadienne, les choristes ou les instrumentistes de Radio France et des opéras Bastille et Garnier. Et non le vitrail installé au dessus de la sacristie. La Vierge à l’enfant serait pourtant le plus ancien du Loiret, «antérieur à la guerre de Cent Ans» (1337-1453) à en croire le fascicule disponible en l’église. «On peut aussi découvrir le plus ancien vitrail du département», assure de son côté le comité départemental de tourisme du Loiret. Mais estce bien vrai ? Pas de doute selon Michel Grillon, maire de Boiscommun et conseiller général du canton de Beaune la Rolande, mais «on ne sait pas vraiment de quand il date».
+ Une énigmatique tribune d’orgues d’époque Renaissance
RC, Pithiviers, 29/07, p.7

(La Chatre) Renouveau d’une ruelle

Nichée en contrebas du coteau, à côté de l’Indre, la ruelle de la Teinture donne à voir un des plus beaux panoramas sur la vieille ville, entre le donjon et les anciens moulins. Son réaménagement est en cours. La mairie a eu l’idée de le valoriser pour montrer ce défilé de passages caché entre les maisons, qui restait relativement méconnu et qui tombait en friche. Au départ de ce petit circuit dans le patrimoine ancien, paradoxalement, une maison doit être rasée : la maison dite «creuse», en haut de la rue du Pont aux Laies, que des particuliers avaient commencé à faire construire il y a très longtemps et qu’ils n’avaient pu terminer. «Nous attendons l’accord de l’architecte des bâtiments de France, explique Christiane Rivière, adjointe chargée de la commission qualité de vie et environnement. A la place, il y aura soit un petit parking, soit un espace fleuri.»
NR, Indre, 29/07, p.13

(Vendôme) Louis Leygue a magnifié les Rottes

Révérence gardée à l’égard de l’architecte qui l’a conçue, on n’est pas obligé de s’extasier devant l’église Notre-Dame des Rottes à Vendôme. Certains apprécieront l’élégance du clocher en tripode et le charme du parvis couvert. D’autres regretteront un volume intérieur qui manque d’élévation en dépit (ou à cause) de son audacieuse coupole coulée d’une seule pièce où se voient encore les traces des planches de coffrage, censées améliorer l’acoustique. Quant à l’ossature en béton brut, elle est de nature à susciter des débats sans fin. L’édifice n’en a pas moins le mérite d’offrir un lieu de culte fonctionnel et très fréquenté dans un quartier neuf.
Nr, Indre, 28/07, p.5

(Azay-le-Rideau) A l’Islette, Rodin et Camille s’aimèrent d’amour fou

Depuis le début de l’été, les visiteurs du château de l’Islette, à Azay-le-Rideau, peuvent admirer une statue d’Auguste Rodin, un événement dans ce château privé, ouvert à la visite tout l’été. C’est aussi un juste retour des choses puisque l’Islette abrita, pendant quatre ans, les amours discrètes de Rodin et de Camille Claudel. A partir de 1889, Rodin séjourne régulièrement en Touraine et s’y installe  avec celle qui fut d’abord sa collaboratrice, puis sa muse et sa maîtresse. Les deux amants s’installent chaque été au château de l’Islette dès 1891. C’est l’année où Rodin reçoit la commande d’une statue de Balzac par la Société des gens de Lettres. C’est dans ces murs que Camille Claudel entame réellement sa carrière en créant ses propres oeuvres indépendamment de Rodin.
Nr, Indre et Loire, 29/07, p.4

(Tours) Hommage à deux Moinaux… célèbres

 Quelle surprise, lorsque l’on passe dans la rue du Grand-Marché (partie la plus près de la place de la Victoire), d’avoir l’oeil attiré, en passant devant la rue Étienne-Pallu, par une belle maison médiévale récemment rénovée. En s’approchant de plus près, à côté des colombages colorés en rouge, une plaque indique «Ici naquit Jules Moinaux, le 24 octobre 1815». Jules Moinaux, nom de plume de  Joseph-Désiré Moineaux, était un écrivain et humoriste français, né à Tours et mort, le 4 décembre 1895, à Saint- Mandé (actuel Val-de-Marne). Ce monsieur, dont le père était ébéniste dans le Vieux-Tours, n’est  autre que le père de Georges Courteline dont le nom d’état civil était Georges Moineaux (ou Moineau). Un petit clin d’oeil estival à ces deux auteurs et l’occasion de se promener dans les quartiers anciens… et de lire leur oeuvre, aussi ! (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 29/07

(Nargis)  Un domaine devenu brocante géante

En général ce sont les meubles qui viennent au chineur, quand les brocanteurs et autres videurs de greniers investissent les rues d’une commune lambda. Pas au domaine de Toury, à Nargis. L’endroit est devenu une gigantesque brocante depuis que son propriétaire, Jean-Louis Percot, a décidé de vendre les lieux. Détenteur de toutes les dépendances à deux pas du château, il dispose ici d’une surface habitable de 2.500 m2 pour plus de 7 hectares de terrain. Soit bien plus qu’il ne lui en faut.
RC, Montargis/Gien, 30/07, p.7

(Bourges) Que c’est beau, la lumière, la nuit !


Les nuits bleues ? Une idée lumineuse qui dessine de nouveaux cieux au crépuscule. Le rendez vous berruyer éclaire l’été et le patrimoine depuis l’an 2000. « Il s’agit du premier parcours scénographique européen dans le milieu urbain », souligne Philippe Moreux, Monsieur 100.000 volts, chargé de la technique. Depuis, le concept rayonne sur d’autres villes. À Bourges, le succès ne s’est pas éteint, le plaisir reste incandescent. La flânerie dans les ruelles claires obscures guidées par le bleu des réverbères suscite le même engouement.
Le Berry, 30/07, p.3

(Brinay) Les mystères de l’église Saint-Aignan

On connaît beaucoup de choses sur l’église romane Saint Aignan, à Brinay. Ses fresques sont parmi les mieux conservées du Berry et son calendrier rural peint sur l’arcade qui sépare le chœur de la nef est  le plus complet de France. Mais, pour certaines parties de l’église, le mystère reste entier. En 1983, l’association Vivre à Brinay se crée pour assurer la sauvegarde de l’église car, «il était temps de faire quelque chose avant qu’elle ne tombe en ruine», explique Claude Maurice, secrétaire de l’association.
Le Berry, 30/07, p.4

Quand l’histoire locale est à la page


Maurice Vié, source intarissable d’histoire locale, vient de publier à compte d’auteur son dernier ouvrage Chronique de Saint Symphorien. Il y décrit l’église et ses patrons, le château d’Esclimont et ses seigneurs, son abbaye des Célestins et ses chapelles. Des récits issus des archives départementales, diocésaines et d’actes notariés. Un riche travail dont le texte est brut certes, mais opulent pourvu d’inventaires, de délibérations municipales dans lesquels fourmillent les détails historiques du patrimoine d’un village.
L'Echo, 30/07, p.9

Levroux, berceau des parcheminiers


Quel est le point commun entre les couvertures des ouvrages de la bibliothèque de France à Paris, et un porte-chéquier fabriqué à Levroux ? Dans les deux cas, il s’agit de parchemins, réalisés dans la petite commune, bien connue pour son travail de la peau. Les chèvres, chevreaux et moutons qui paissent tranquillement dans les campagnes aux alentours de Châteauroux ont donc un bel avenir devant eux. Enfin, leurs  peaux surtout. Les mégissiers (les ouvriers qui transforment les peaux de chèvres et moutons) et parcheminiers (transformant les peaux en parchemins), qui travaillent encore nombreux dans cette petite commune,  en savent quelque chose. Car le parchemin, ancêtre du papier, et qui a vécu son âge d’or à Levroux, connaît toujours un certain essor, grâce à l’entreprise Bodin-Joyeux.
NR, Indre, 30/07, p.5

Haras de Blois : le projet avance… lentement !

Les choses avancent. Mais sur un dossier d’une telle importance, il ne faut pas se précipiter : Louis Buteau, maire-adjoint délégué à l’urbanisme suit le dossier de la   reconversion du site des Haras. Il confirme qu’une réunion s’est tenue sur les lieux le 9 juillet dernier. Une rencontre qui réunissait tous les acteurs du projet : Christophe Huet le promoteur-développeur accompagné d’un partenaire spécialisé dans l’immobilier (dont le nom reste encore secret), les représentants locaux des Haras, le conservateur régional des Monuments historiques, l’architecte des Bâtiments de France, le  directeur départemental du Territoire, un représentant de l’État et bien sûr l’élu blésois. «Il y a des avancées concrètes dans le dossier, mais encore beaucoup de travail avant des propositions concrètes», poursuit l’élu blésois. Logements rénovés, logements neufs, résidence hôtelière et de tourisme et restauration : les Haras resteront ouverts sur la ville. «Nous souhaitons garder l’image du cheval et donner une dimension culturelle au lieu.».
NR, Loir et Cher, 30/07, p.9

(saint-claude-de-diray) Cure de jouvence pour le monument aux mort
Confiés à l’entreprise Gué- blé, des travaux de restauration sont actuellement en cours sur le monument aux morts de Saint-Claude-de-Diray. Cette cure de jouvence porte sur la reprise de pierres, le rejointoiement de celles-ci, mais comporte également le micro-sablage de l’ensemble avec mise en place d’un hydrofuge de protection. Cette opération sera complétée par la redorure des noms des morts pour la France et c’est la marbrerie Funéra-Lys qui en est chargée..
NR, Loir et Cher, 30/07, p.11

(Meung sur Loire)  Les animations se poursuivent au château

Durant le mois d’août, les animations se poursuivent au château de Meung sur Loire. Avec les «Instants d’Histoire», Élise et Xavier Lelevé, les propriétaires, proposent au public une visite interactive, durant laquelle de nombreuses reconstitutions permettent d’aborder l’Histoire de façon ludique. Un monde oublié, un univers dépaysant qui, pourtant, a été le quotidien de nos ancêtres.
RC, Beauce, 01/08, p.14

(Bourges) La cathédrale sens dessus dessous

Faire découvrir la cathédrale de façon ludique : voilà la mission d’Hélène, guide touristique, qui a animé la visite sens dessus dessous, mardi, à la cathédrale. Munie de différents objets (figurines, maquette de vitraux,  etc.) elle a fait découvr ir aux visiteurs l’édifice sous un autre angle. Bien sûr, la visite commence par une présentation habituelle de l’édifice. Avec 37 mètres, la cathédrale de Bourges est plus haute que Notre Dame de Paris. Mais ensuite, la guide s’arrête devant un pélican, au fond de la cathédrale. «Le pélican est le symbole du Christ eucharistique, qui a fait couler son sang pour les chrétiens», explique t elle. Puis, les visiteurs partent à la découverte des vitraux..
Le Berry, 01/08, p.10

(Vierzon) Avant l’office de tourisme…

L’office de tourisme est, depuis peu, situé au 5 bis, place Foch. Une nouvelle étape pour ce local qui a abrité des enseignes de renom, il y a des décennies. Une chromo de devinette donnée, autrefois, aux enfants qui accompagnaient leur mère à la Belle Jardinière. Une page d’annotations soigneusement soulignées sur l’existence de Sivry dans l’annuaire de 1926. Et des cartes postales d’anciens magasins vierzonnais, tous plus chics les uns que les autres. Sur la table de Colette Le Mouel, Vierzonnaise et grande collectionneuse de cartes postales, tous ces documents ont un point commun. Ils retracent l’histoire du 5 bis, place Foch, anciennement la place d’armes. Depuis le 13 juillet, l’office de tourisme y a pris ses aises. C’est ce qui a donné envie à Colette Le Mouel de se replonger dans ses
archives.
Le Berry, 01/08, p.16

(Cours les Barres) La restauration de l’église est en marche

Construite au XIIIe siècle et dédiée à saint Pantaléon, l’église du village a beaucoup souffert de l’outrage du temps. C’est pourquoi le conseil municipal, accompagné par l’Association de sauvegarde du patrimoine de CourslesBarres et de la protection de l’environnement, a décidé d’engager, depuis décembre dernier, de gros travaux de restauration intérieurs et extérieurs de l’édifice. Ils se dérouleront en plusieurs tranches, sur quatre exercices. Les travaux les plus urgents concernaient le clocher, en raison d’un fort endommagement de la charpente. Le financement de cette restauration bénéficie d’une aide à hauteur de 20% du conseil général, par le biais d’un contrat d’opération, d’une subvention du ministère de l’Intérieur, d’un appel au mécénat populaire grâce à la Fondation du patrimoine et du Fonds régional pour le patrimoine culturel de proximité.
Le Berry, 01/08, p.26

(Villesavin) Soirée champêtre

L’association des Amis du château de Villesavin organise sa huitième soirée estivale au profit de la restauration du monument. Elle aura lieu vendredi 2 août à partir de 19h30 selon un programme désormais bien rodé : dîner champêtre dans le parc (tables et bancs à disposition. On peut apporter son pique-nique ou acheter le nécessaire sur place : apéritif, assiettes garnies des Bergeries de Sologne, pâtisseries, vin de Cheverny). Tombola dotée de nombreux lots. L’orchestre de jazz d’Eric Luter assurera l’animation musicale jusqu’à la tombée de la nuit. Puis, projection sur grand écran du film de Laurent Charbonnier, «Profession : fauconnier».
Les ressources provenant des précédentes soirées ont été investies dans la restauration des peintures murales de la chapelle, opération aujourd’hui presque achevée. L’an passé, 750 personnes étaient présentes. (intégral)
NR, Loir et Cher, 01/08

(Saint Cyr sur Loire) Une visite des jardins d’Anatole France

Saint-Cyr possède nombre de belles demeures dont certaines ont été habitées par de grands écrivains. Ce riche héritage culturel offre à l’association Hommes et patrimoine de multiples sujets d’études. Outre les conférences, elle donne à ses adhérents la possibilité de visiter les lieux célèbres qu’elle a étudiés. La dernière visite de l’été a été celle des jardins de la Béchellerie  où a résidé Anatole France, de 1914 à 1924. La propriétaire des lieux a exceptionnellement ouvert les portes du domaine à une trentaine d’adhérents conduits. Les visiteurs ont d’abord découvert les bâtiments jadis utilisés comme granges, clapiers ou chais qu’Anatole France avait fait aménager pour servir de chambres et accueillir ses nombreux amis.
NR, Indre et LoireT, 01/08, p.14

(Grand ligueillois) Pour la sauvegarde du patrimoine

Fin 2012, un projet national de sauvegarde du patrimoine a été lancé par les étudiants de l’École du Louvre et l’association La Sauvegarde de l’art français. Ce projet vient d’être présenté au conseil municipal de  Ligueil par Marie-Garance Girard, étudiante et chargée de mission en région Centre. Elle explique : «Cela consiste à identifier des oeuvres d’art en péril dans les églises françaises et permettre leur restauration en  région Centre notamment, et plus particulièrement les communes de Ligueil et Vou. Le projet part de l’idée que les églises recèlent des trésors dignes des grands musées, et que ces trésors méritent d’être valorisés.» Sur le plan local, l’église de Ligueil mérite d’être restaurée, ainsi que le grand tabernacle de bois doré qui est l’une des plus belles pièces de ce genre en Indre-et-Loire, il présente tous les caractères du XVIIe siècle. Également un christ de chaire en bois très abîmé. A l’église de Vou, une peinture, le christ aux ouvrages, et une peinture représentant Saint-Pierre repentant.
NR, Indre et LoireE, 01/08, p.15

(Amboise) Ambacia : l’histoire couchée sur papier glacé

Dire qu’ils sont passionnés d’histoire serait un doux euphémisme ! Ils en sont mordus et mènent de véritables enquêtes, notamment dans les archives de toutes sortes, pour faire revivre l’histoire locale, grande et petite. Créé en 1971, le Cercle Ambacia, qui compte une soixantaine de cotisants, a vu le jour en 1971. Des membres fondateurs, restent aujourd’hui Roger Lecotté (fondateur du musée du compagnonnage) et André  Peyrard. Ce dernier, responsable de la publication du magazine Ambacia, est également au comité de rédaction auprès de Régis Prot, Anne Debal-Morche et Christophe Simon. Cette revue, annuelle ou bisanuelle, permet de coucher sur le papier, au travers d’articles documentés et précis, le fruit du travail mené par le cercle. Une à deux fois par an, le Cercle Ambacia publie une revue avec des articles très fouillés sur l’histoire locale. Le numéro 10 est paru récemment.
NR, Indre et LoireE, 01/08, p.16

(Limeray) Le patrimoine à l’honneur


Dans le cadre de Laissez-vous conter le pays Loire Touraine, une dizaine de personnes ont participé à la visite de la commune, animée par un guide  conférencier. Les patrimoines civil et religieux ont été abordés. A l’aide de supports photographiques, Willy, le guide-conférencier, a situé la commune  dans son contexte géographique. Parmi le patrimoine évoqué : l’église des XIIe et XVe siècles, avec ses statues anciennes, la salle des  fêtes, l’auditoire de justice, le prieuré de Moncé, le lavoir, les habitations troglodytiques… Prochaine visite le 23 août, à 21 h 30. (intégral)
NR, Indre et LoireE, 01/08

(Orleans)  L’hôtel Groslot, entre faste et pouvoir

Les murs aux tapisseries chargées résonnent encore des débats enflammés qui animaient les conseils municipaux. Jacques Douffiagues, René Thinat et avant eux Charles Sanglier, Eugène Vignat et les maires qui, après la Révolution, se sont succédé sur les lourds fauteuils en bois sculpté. La ville telle que nous la connaissons aujourd’hui s’est dessinée derrière ces épais murs de brique, jusqu’à l’ouverture de l’hôtel de ville actuel en 1982. Si le maire et la plupart des services ont traversé la rue (actuellement, le rezdechaussée de l’hôtel Groslot abrite le service éducation et l’aile gauche, la police municipale ; de même une élue a conservé son bureau au sein de l’édifice historique, Marie-Thérèse Pilet-Duchateau, adjointe au maire en charge des relations internationales), la tradition est ancrée : à la fin de son mandat, le nom de chaque édile est inscrit dans le marbre – ou presque – sur un blason peint dans l’ancienne salle du conseil municipal.
+ Un jardin privatif qui devient public
RC, Orleans, 31/07, p.11

(Artenay) Deux ailes de moins au moulin de pierre

Le moulin de pierre devrait bientôt retrouver ses quatre ailes. En effet, début juin, l’une d’entre elles avait brutalement cassé. Thierry Leynet, architecte du patrimoine, vient d’effectuer un diagnostic des travaux à réaliser. Et dans un premier temps, il avait déjà fait démonter une seconde aile. «Seules ces deux seront remplacées, les autres étant en bon état», explique le maire, Pascal Gudin. Ce chantier sera confié à l’entreprise Girard et Fils, spécialisée dans les monuments historiques.
RC, Orleans, 31/07, p.14

(Cuffy) Les vieilles pierres résistent au temps

C’est dans le vestige du château qu’une poignée de résistants ont été dissimulés des recherches de l’occupant nazi, dans les années 1945. La galerie, entre deux murs, les avait protégés de l’ennemi. Charles Boulet s’en souvient bien. Il a aujourd’hui un peu plus de quatre vingts ans et, à sa connaissance, l’un des derniers survivants de cette époque, qui demeure de l’autre côté de l’Allier, doit avoir des souvenirs à transmettre. «C’est son père qui avait, avec d’autres, fait sauter le viaduc, entre Saincaize et le pont du Guétin.» Charles et son épouse Martine sont dans le partage des lieux chargés d’histoire, surplombant le confluent de la Loire et de l’Allier, merveilleux observatoire permettant de sur veiller la navigation sur les deux fleuves. Aujourd’hui, certes, on n’y navigue guère. Mais la place forte médiévale demeure.
Le Berry, 31/07, p.4

(Saint-Amand-Montrond) Pour l’amour du patrimoine

Ils ont fini par en faire un livre. Le groupe d’arts et traditions populaires les Forestins a regroupé vingt quatre cartes postales illustrant les commerces d’autrefois et les images des reconstitutions de scènes de vie commerçante que l’association a faites en 2011, lors du centenaire de la fête de l’Aviation à SaintAmandMontrond. Des photos, des anecdotes… Ce livre, intitulé Commerces du passé au présent et réalisé main dans la main avec la municipalité saintamandoise, permet de se plonger dans une époque où la vie commerçante de la cité de l’or était plus florissante.
Le Berry, 31/07, p.8

(Nogent le Rotrou) À la découverte du château Saint-Jean

Du haut de ses mille ans d’histoire, le château Saint Jean de Nogent le Rotrou commande et surveille cinq vallées, les voies reliant Chartres et Le Mans, ainsi que les accès de Châteaudun et Thiron Gardais. Bâti sur un éperon rocheux, il domine encore la vallée de l’Huisne d’environ soixante mètres. Ouvert au public toute l’année, il abrite dans les murs du logis Renaissance, un musée consacré à la vie dans le Perche au XIXe  siècle, vie quotidienne et industrielle. Toutes les pièces, hormis le donjon, peuvent être parcourues et font l’objet de visites conférences tout au long de l’été.
L'Echo, 31/07, p.3

(Maintenon) Lumière sur le château et sur les comédiens

Le Conseil général auquel la gestion du site a été confiée et le Comité départemental de tourisme ont fait les choses de façon grandiose cet été à Maintenon. Avant la tombée de la nuit qui accueille le fastueux spectacle mis en images par Xavier de Richemont relatant le parcours de la vie on ne peut plus romanesque de celle qui fut épouse de roi sans être reine, le château de Maintenon est, chaque soir jusqu'au 17 août hormis les dimanche et lundi, le lieu où deux comédiens du Sub'théâtre, se livrent à une prestation théâtrale très particulière. Il s'agit de Dominique Chamfrau et Philippe Lipchitz.
L'Echo, 31/07, p.11

(Tours) Le monument des céramistes restauré

Après avoir financé la restauration de la sculpture en marbre « Les mystères douloureux. L’enfant… et demain » (signée en 1901-1902 par le Tourangeau Camille Alaphilippe), le conseil de la vie locale (CVL) de Tours-Est poursuit sa démarche de préservation du patrimoine du parc Mirabeau en se portant au chevet du «monument des céramistes». Une stèle en béton et brique de trois mètres de  haut, érigée en 1934 par Léon Bigot et Médéric Bruno, à la mémoire «des céramistes rénovateurs de l’art de Bernard Palissy». Huit noms, dont celui de Charles Avisseau, figurent sur ce monument –orné notamment d’une salamandre– qui s’est détérioré au fil du temps et pourrait voir disparaître à terme une partie de ses inscriptions. «Il a souffert d’infiltrations d’eau. Il y a des fissures et l’enduit est en train de tomber», résume Fulbert Dubois, restaurateur de sculptures, qui a été missionné avec son collègue Sébastien Brunner pour remettre en état la stèle et la consolider. Les travaux, d’un coût de 9.308 €, à la charge du CVL, ont été lancés le 22 juillet. Ils pourraient s’achever en fin de semaine.
NR, Indre, 30/07, p.5

(Senonches) On y a fabriqué des canons sous Louis XIV


Les forges de Dampierre fabriquaient des canons de marine sous le règne de Louis XIV. Des tuyaux y ont aussi été réalisés pour alimenter l’aqueduc de Maintenon, mais ils n’ont jamais servi. «On ne sait même pas si l’eau a coulé dedans», confie Pierre Chaillou. La métallurgie était la principale activité des forges, qui employaient des bûcherons, des charbonniers, des carriers… Le transport était effectué avec des chevaux. Il y avait plus de 200 chevaux de trait à Senonches. Les Forges de Dampierre, qui ont fermé en 1810, sont classées monument historique.
L'Echo, 02/08, p.10

(Bruère-Allichamps) Le centre culturel de Noirlac quelque peu désossé

La transformation de ces corps de ferme situés près de l’abbaye de Noirlac en centre culturel n’en est encore qu’à ses balbutiements : en témoigne cette toiture ouverte à tous les vents. Les travaux, financés par la région et le département, ont débuté le 3 juin. Ils ne se termineront qu’en novembre 2014. Ce centre deviendra un lieu de répétition et de résidence pour artistes. (intégral)
Le Berry, 02/08

(Asnières-lès-Bourges) L’orgue à rouleaux attend sa renaissance

Un orgue à rouleaux de l’église d’Asnières-lès-Bourges, datant du début du XIXe siècle, est laissé à l’abandon dans l’édifice. Ce type d’orgue, rare, présente la particularité d’alterner l’utilisation du clavier et d’un cylindre pourvu de dents de métal, que l’on faisait tourner, un peu comme un orgue de barbarie. Même sans organiste, la musique choisie parmi ses douze rouleaux pouvait accompagner les offices. Et si, aujourd’hui, il se remettait en marche, on pourrait découvrir les morceaux que les paroissiens entendaient à l’église dans les années 1850, grâce à leur curé, l’abbé Josserand, qui avait déniché cet instrument à Paris. Mais on est loin d’une telle renaissance. Pour le moment, et depuis bien des années, le buffet de cet orgue, avec ce qui lui reste de tuyaux cabossés, est remisé dans un réduit, à l’entrée de l’église .
Le Berry, 02/08, p.12

Le train historique de retour sur les rails

Et c’est reparti pour un tour. Le train à vapeur de l’association «l’Amicale des Anciens et des Amis de la Traction à Vapeur», section Centre-Val-de-Loire (AAATVCVL), basée à Orléans, a repris le chemin des voies ferrées de France. La locomotive qui circulera cet été vient d’être restaurée par l’association. «Les locomotives rénovées peuvent être mises en service pendant quinze ans, explique Jean-Gabriel Ampeau, le vice-président de l’AAATV-CVL. Et comme la 141.R.840 était sur les rails depuis 1997, nous avons dû en restaurer une autre. Elle a maintenant un livré bleu, comme celui qu’elle avait dans les années 1970.» Sa prochaine destination sera Limoges, la capitale du Limousin, samedi 3 août. Mais avant cela, le train s’arrêtera à Salbris et Vierzon, afin de laisser embarquer les Loir-et-Chériens qui  souhaiteraient faire partie de l’aventure. Ce n’est pas une simple balade en train.
NR, Loir et Cher, 02/08, p.5

A la découverte de Blois insolite et secret


Pascal Nourrisson et Jean- Paul Sauvage se sont associés afin de proposer un livre illustré de très belles photos sur Blois. Sa particularité : révéler des lieux, des empreintes, des détails à découvrir en ouvrant les yeux ou en levant la tête tout simplement. Ancien professeur d’histoire désormais à la retraite, Jean-Paul Sauvage et Pascal Nourrisson, blésois de naissance, apportent leurs connaissances de l’histoire de la ville à cet ouvrage. Les deux auteurs se connaissent de longue date et ont déjà collaboré à l’écriture d’autres livres. «Nous avons effectué des recherches sur la ville  chacun de notre côté et les avons mis en commun. Nous avions ce désir d’écrire ensemble, c’est chose faite », explique Pascal Nourrisson. Le fruit de leur travail commun a donné ce livre, Blois insolite et secret, un guide touristique original qui convie le marcheur à découvrir l’histoire de Blois d’un autre œil.
NR, Loir et Cher, 02/08, p.9

(La Chatre) La Forepabe souhaite se développer


La Forepabe, Formation pour la restauration du patrimoine en Berry, propose des cycles de formation en taille de pierre, sculpture ornementale et maçonnerie. Dirigeants, salariés et stagiaires sont impatients d’avoir une structure plus adaptée pour continuer le développement de la structure. «Depuis trois ans, nous travaillons à obtenir la validation d’un diplôme en sculpture ornementale sur pierre, qui n’existe pas sur le plan  national. La demande a été prise en considération par la Commission nationale de la certification professionnelle pour l’enregistrement du dossier au Répertoire national de certification professionnelle, avant d’être  envoyée au ministère du Travail chargé de la formation professionnelle pour une décision définitive», explique le président de la Forepabe, Philippe Van Heems.
NR, Indre, 02/08, p.13

(Meillant) Le château de sa jeunesse en héritage

Excepté des études à Paris et un service militaire en Algérie, Aimery de Mortemart a toujours vécu au plus près du château de Meillant. Un majestueux monument avec d’un côté une façade médiévale et défensive ; de l’autre : la façade transformée à la mode du gothique flamboyant. «C’est la première qui a ma préférence, souligne le marquis. C’est sous cet angle plus rustique que j’aime le château.» Aîné de trois garçons, la tradition a voulu qu’Aimery de Mortemart hérite du château. «Pour moi, cela a autant été une charge qu’un honneur de conserver un tel patrimoine. J’aimerais le transmettre à un neveu ou nièce, qu’il reste dans la famille.» De ces décennies passées à Meillant, ce sont les souvenirs liés à l’enfance que le marquis évoque avec le plus de plaisir.
Le Berry, 03/08, p.3

(Mehun-sur-Yèvre) Trésors d’église sortis de la collégiale

L’exposition temporaire Trésors d’église au Pôle de la porcelaine, à Mehun-sur-Yèvre montre à voir une centaine d’objets et vêtements liturgiques provenant de la collégiale Notre-Dame de Mehun-sur-Yèvre. Démarrée le 17 mars et devant se terminer en juin, l’exposition a rencontré un tel succès qu’elle a été prolongée jusqu’au 25 août. L’explication en est simple : certains de ces objets n’ont pas été vus depuis un siècle. Et c’est tout à l’honneur de l’association mehunoise pour la sauvegarde des objets sacrés (AMSOS) –forte d’une trentaine de membres– que de les avoir sortis de l’oubli, et notamment de la tour du clocher de l’abbatiale, où ils étaient remisés.
Le Berry, 03/08, p.4

Le charme de Bourges vu du ciel

«Magnifique», «impressionnant» sont les mots les plus employés par les intrépides qui parviennent au sommet de la tour de la cathédrale pour décrire la vue à 360 degrés qui s’offre à eux. De la terrasse, on surplombe toute la ville et ses alentours, surtout quand la vue est bien dégagée sous un soleil estival. En bas, on découvre les monuments, les rues et les places sous un nouvel angle, plus loin on aperçoit le lac d’Auron…
Le Berry, 03/08, p.10

(Maintenon) Une union secrète mais fructueuse

La notoriété du château de Maintenon est intimement associée à Françoise d’Aubigné (1635-1719), plus connue sous le nom de Madame de Maintenon. C’est en 1694 qu’elle acheta l’ensemble du domaine grâce au soutien financier du roi Louis XIV. «Elle était alors gouvernante des enfants illégitimes qu’il avait eus avec Madame de Montespan, sa maîtresse officielle», rappelle Émilie Le Bailly, responsable du château de Maintenon.
L'Echo, 03/08, p.3

(Beaune la Rolande) Une souscription pour sauver le lavoir

Avant les vacances, la commune a signé une convention de souscription avec la Fondation du patrimoine Centre, afin de mettre en place un mécénat populaire en vue de la restauration du lavoir de Beaune la Rolande. Les travaux sont estimés à 103.779 € HT. En effet, aujourd’hui, «le bâtiment s’est fortement dégradé. La toiture est hors d’usage et la charpente intérieure prend l’eau. Si le lavoir n’est pas restauré rapidement, il menacera de s’effondrer», mettent en garde les élus et la Fondation du patrimoine.
RC, Pithiviers, 03/08, p.8

(Courcelles) Des peintures murales exceptionnelles

Grâce aux bénévoles, la petite mais superbe chapelle Saint Hubert du village de Courcelles sera ouverte à quatre reprises au cours de ce mois d’août. La première visite commentée et gratuite est organisée cet après midi, de 15 heures à 18 heures. Ceux qui ne pourront pas se déplacer ce dimanche pourront se rendre sur le site aux mêmes heures, les 11, 15 e t 25 août. Il faudra bien profiter de ces ouvertures estivales puisque, contrairement aux autres années et tout à fait exceptionnellement, la chapelle et l’église Saint Jacques le Majeur seront fermées le week end des journées du Patrimoine. Après deux tentatives de restauration infructueuses, les élus de Courcelles ont décidé, dans le courant de l’année 2004, de faire appel à un architecte des monuments historiques. Le coût 200.000 euros était lourd pour cette petite commune. Mais le «tour de table» a pu être bouclé grâce à la Fondation du patrimoine, à la ville, à la Fondation de la sauvegarde de l’art français, à la région, au conseil général, à l’Europe, et à des dons. L’actuel maire, Denis Thion, avait coordonné le chantier de restauration. Dix huit mois de travaux ont redonné à cette chapelle son charme.
RC, Orleans, 04/08, p.13

(Chartres) Ces vitraux qui retrouvent l’éclat

Perché dans sa verrière du chœur, ce séraphin du XIIIe siècle est un miraculé. Grâce à une vaste campagne de restauration, lancée en 1974, par étapes successives, il a échappé comme de nombreux vitraux de la cathédrale, à une mort lente et programmée. Dans les années 1970, l’état de certaines verrières es t jugé alarmant. L’une des premières mesures prises pour préserver ce patrimoine unique en Europe, est la pose de verrières transparentes, qui doublent les vitraux et les protègent des intempéries et de la poussière, sans nuire à leur luminosité. Treize ateliers spécialisés dans la restauration des vitraux se sont succédé depuis, et continuent toujours d’agir pour redonner vie aux exceptionnelles couleurs des verrières.
L'Echo, 04/08, p.5

(Palluau sur Indre) Surprenante journée au château

Le château de Palluau-Frontenac ouvre ses portes aujourd’hui. La première pièce dans laquelle on pénètre en met déjà plein la vue. Les différents panneaux de la chapelle du château de Palluau-sur-Indre sont en effet entièrement recouverts de peintures du début du XVIIe siècle. Elles retracent la vie de la Vierge Marie, du Christ et, chose rare, les instruments de la passion. La suite de la visite ne déçoit pas. Jean-Pierre, le «guide» des lieux, ancien gérant de l’office du tourisme animé par l’histoire de son village, dévoile ainsi, les yeux pétillants, six autres pièces du château ayant appartenu, entre autres, au comte Louis de Buade de Frontenac.
Nr, Indre, 04/08, p.11

(Lassay-sur-Croisne) Un chef-d’oeuvre dans chaque pièce

On l’a vu au loin mais on ne savait pas quel château c’était. La phrase revient souvent aux oreilles des guides. Pourtant le château du Moulin accueille quelque 10.000 visiteurs par an, du 1er avril au 30 septembre. Construit entre 1480 et 1501, cette demeure seigneuriale est entourée par plus de 400 hectares de terrain. Et ici, même le propriétaire mérite le déplacement : «Chambord, Cheverny ou Blois sont de vraies locomotives, plaisante Hubert de Marcheville. A côté, nous ne sommes qu’un petit wagon qui s’accroche au train quand il passe.» Faisons donc une halte, en gare de Lassay-sur-Croisne. Le château du Moulin est considéré comme le mieux meublé de la région, même s’il reste méconnu. Une question se pose d’emblée : où est le moulin ?
Nr, Loir et Cher, 04/08, p.4

(Blois) Voir le château sous un autre angle

Fabrice Marzi, le guide du jour prévient d’emblée : la visite dure deux heures. Cela semble beaucoup mais il annonce aussi que les parties communes à la visite traditionnelle ne seront pas évoquées en détail. En suivant le guide, la petite vingtaine de personnes présentes le suit dans le château à la découverte de ces endroits insolites et inconnus du grand public.
Nr, Loir et Cher, 04/08, p.5

(Tours) La cathédrale Saint-Gatien star des clichés


Construite entre 1170 et 1547, la cathédrale réunit trois styles architecturaux différents : le style dominant, le gothique, côtoie les styles roman et Renaissance. Elle a été classée monument historique en 1862 et possède de nombreux joyaux : une remarquable collection de vitraux, ainsi qu’un buffet d’orgue et le tombeau en marbre des deux enfants de Charles VIII et d’Anne de Bretagne, morts tous les deux en bas âge, font, entre autres, partie des œuvres que les touristes viennent admirer. Lorsqu’on se rapproche du secteur de la cathédrale, on est frappé par le melting-pot environnant. On aperçoit des visages du monde entier, et les langues entendues semblent venir des quatre coins du globe. A l’intérieur de l’église, on vient en famille, entre amis ou seul. Certains admirent seulement la beauté architecturale du lieu, alors que d’autres prennent le temps de se recueillir tranquillement, avant de continuer leur visite de la ville.
Nr, Indre et LoireT, 03/08, p.13

(Pays de Racan) Fête du patrimoine du 6 au 29 septembre

La Fête du patrimoine, organisée du 6 au 29 septembre au Pays de Racan, sera l’événement de l’année pour le nord tourangeau. Huit associations culturelles et du patrimoine, la communauté de communes de Racan et des propriétaires privés se sont associés pour faire de ces journées des moments de découverte et de convivialité. Les visites libres ou commentées d’édifices (châteaux, collégiale, fuie, menhir, églises, chapelle, abbaye…), les expositions (peintures, croquis, sculptures, photographies…), les spectacles (concerts, jazz, classique, conférences…) seront au rendez-vous.
Nr, Indre et LoireE, 03/08, p.18

(Reugny) Laissez-vous conter les communes et leur patrimoine

Sur le parvis de l’église de Reugny, un petit groupe patiente. Il est bientôt 16h. Anna Brisson, la guide conférencière, vient d’arriver. C’est la première fois qu’une visite estivale, d’environ deux heures, est organisée à Reugny. Les curieux, habitants du village ou régionaux, sont venus en nombre. Une trentaine environ. Le village fait partie des 58 « villes et pays d’art et d’histoire » de Touraine. Ce label, reconnu à l’échelle nationale, est attribué aux territoires affichant la volonté de conserver et transmettre leur patrimoine. Parmi eux, dix villes de Touraine sont à découvrir lors de visites guidées tout l’été.
Nr, Indre et Loire, 04/08, p.18


Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 26 Aoû - 10:26, édité 5 fois
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeMar 30 Juil - 10:17

Source : latribunedelart.com

Encore un incendie pendant travaux sur un monument historique !

Le feu a pris dans les combles de l’aile sud et les dégâts qu’a subi l’hôtel d’Augny, siège de la mairie du IXe arrondissement, sont heureusement minimes, même si un bout de la charpente du XVIIIe siècle a brûlé. Mais l’incendie qui s’est déclaré aujourd’hui dans ce bâtiment pose une nouvelle fois clairement la question de la sécurisation des travaux qui sont menés sur les monuments historiques. Une fois de plus, en effet, ce sinistre a eu lieu alors que des travaux de réfection des toitures étaient en cours.
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeVen 2 Aoû - 10:32

Source : site Internet DRAC Centre

Sylvie LE CLECH, directrice régionale

Nommée par décret en date du 18 juin 2013, Madame Sylvie Le Clech, conservateur général du patrimoine,
est la nouvelle directrice régionale des affaires culturelles de la région Centre à compter du 1er juillet 2013.
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeVen 2 Aoû - 10:43

Source : lemonde.fr

Sophie Makariou nommée à la tête du Musée Guimet

Sophie Makariou, 45 ans, conservatrice générale du patrimoine et directrice du département des arts de l'islam, au Musée du Louvre, à Paris, devient présidente du Musée Guimet.
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeVen 2 Aoû - 11:03

Source : latribunedelart.com

Un édifice inscrit monument historique va être détruit à Nîmes


Au 23 rue Fénelon, à Nîmes, l’hôtel Colomb de Daunant (ill. 1 et 2), une demeure particulière datant de la fin du XIXe siècle, a été inscrit aux monuments historiques le 8 octobre 2010. Il sera pourtant démoli dans les prochains jours par un promoteur immobilier.
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeVen 2 Aoû - 11:05

Source : latribunedelart.com

A 10%, la TVA à l’importation des œuvres d’art menace le patrimoine

Les députés et gouvernements successifs ne comprennent-ils rien au marché de l’art et à son impact pour la conservation du patrimoine en France ? Ou ne s’intéressent-t-ils définitivement pas à ces sujets ? Peut-être les deux, hélas...
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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeLun 26 Aoû - 10:42

Source : complément d'objet 311 (juillet 2013)

INSTITUT MÉDITERRANÉEN DES MÉTIERS DU PATRIMOINE

Le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) et l’Institut national du patrimoine (Inp), établissement d’enseignement supérieur du ministère de la Culture et de la Communication, créent ensemble, à Marseille, l’Institut méditerranéen des métiers du patrimoine (I2MP), dédié à la formation des professionnels et tourné vers les enjeux et les besoins du patrimoine méditerranéen.

La mission de l’ I2MP, implanté à Marseille, au sein du MuCEM, est de former aux méthodes de conservation / restauration, à la gestion et à la mise en valeur des patrimoines. Fondé sur une définition large du patrimoine, matériel et immatériel, l’I2MP s’attache tout particulièrement à associer l’expertise technique et scientifique à une parfaite connaissance des contextes culturels dans lesquels s’inscrivent ces patrimoines.
Trois sessions de formation proposées en 2013 : Conserver, gérer, mettre en valeur un site archéologique : du 21 au 25 octobre, en partenariat avec la Direction régionale des affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d'Azur (Drac PACA) et des responsables de sites ; Gérer les risques pour le patrimoine : prévention et préparation aux situations d’urgence : du 18 au 22 novembre, en partenariat avec le Centre interdisciplinaire de conservation et de restauration du patrimoine (CICRP), des experts régionaux et internationaux ; Restaurer, conserver, mettre en valeur la mosaïque : du 9 au 13 décembre, en partenariat avec le musée archéologique de l’Arles Antique et le CICRP.
Voir les formations

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MessageSujet: Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013)   Revue de presse (29 juillet - 4 août 2013) Icon_minitimeLun 26 Aoû - 10:47

Source : inrap.fr

Pillage d’un site archéologique à Magalas (Hérault): les malfaiteurs pris sur le fait

Jeudi 27 juin, en début de soirée, un groupe de « pilleurs », équipés de détecteur de métaux, a été surpris sur un chantier archéologique de l’Inrap, à Magalas. Alertée, la Brigade de proximité de gendarmerie de Servian a pu procéder à l’interpellation des individus. Une plainte a été déposée par la Drac Languedoc-Roussillon (Service régional de l'Archéologie) ainsi que par l’Inrap.
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