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 Revue de presse (7-13 octobre 2013)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (7-13 octobre 2013)   Revue de presse (7-13 octobre 2013) Icon_minitimeDim 13 Oct - 14:37

Musées de la région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Vierzon) Matrice de cachet du district de Vierzon de la fin XVIIIe siècle

C’est l’une des dernières acquisitions des Amis du musée. Provenant de la collection privée de François et Octave Roger, mise en vente fin juin à Bourges, ce cachet matrice représentant la Liberté debout, tenant un faisceau et une pique surmontée d’un bonnet. C’était la signature du district de Vierzon (fin XVIIIe-début XIXe siècles), ancienne division administrative qui a précédé les arrondissements. Constitué d’un alliage cuivreux avec manche en bois (24 x 28 mm), il a été acquis au prix de 216 euros. C’est une pièce rare. (intégral)
Le Berry, 11/10

(Saint Amand) Un musée privé sur l’école d’autrefois

La place lui manque. Sinon, Pierre Desfougères aurait depuis bien longtemps installé une estrade et un tableau noir dans sa maison de Bouzais. Son rêve : «avoir une classe», restera à jamais une utopie. Nostalgique de l’école de son enfance, celle du groupe scolaire Joliot Curie à Saint Amand, Pierre Desfougères, cinquante quatre ans, retraité de la gendarmerie depuis mars dernier et qui, depuis, est coordonnateur famille jeunesse à la mairie de Saint Amand, accumule depuis une quinzaine d’années les objets qui ont marqué ses années sur les bancs de l’école primaire. «Des années douces, sans souci», résume t il, tranquillement installé dans son bureau. Son antre entièrement dévolue à l’école d’antan. Pas un mur, pas une étagère qui ne fleure l’école des années cinquante.
Le Berry, 11/10, p.29

(Bourges) Hans va réveiller sa mémoire

Hans n’est pas seulement un spécimen parmi d’autres, au muséum d’histoire naturelle de Bourges. C’est le plus ancien éléphant naturalisé connu au monde (entre 1802 et 1803). En 1784, deux éléphanteaux sont  capturés à Ceylan et embarqués sur un navire de la compagnie des Indes orientales, destinés au prince de Hollande. Hans et Parkie y resteront jusqu’en 1798, date à laquelle ils arrivent à Paris, au Jardin des plantes. Le 29 mai, un concert est offert aux deux éléphants. «Un article va relater les observations scientifiques du pouvoir de la musique sur les animaux, avec une expérience faite sur le comportement de Hans et de sa femelle Parkie.» C’est ce document qui sert de base à l’événement organisé au muséum qui propose un concert et une conférence théâtralisée.
Le Berry, 09/10, p.14

(Eguzon) Le Radeau d’automne au musée

Le Musée de la Vallée de la Creuse présente une exposition des photographies grand format réalisées par Nils-Udo, intitulée Le Radeau d’automne. Ces dix clichés ont pris sur le site de Crozant, où sa monumentale création a été mise à l’eau, le 10 novembre 2012. Ce projet artistique est né de la rencontre de Nils-Udo avec ce lieu lors d’une visite, en 2009, à l’occasion de la présentation de ses peintures au musée sous l’impulsion de Djamel Meskache, des Éditions Tarabuste, de Saint-Benoît-du-Sault. Ce créateur de «l’Art dans la nature» tombe alors sous le charme du site et prend des photos. Le lieu lui semblait tout indiqué pour y exercer son art et y laisser son empreinte. C’est ainsi que l’idée du radeau est né.
NR, Indre, 09/10, p.17

(Orleans) La mémoire vive est de retour

Les Rendez vous du Cercil (pour Centre d’étude et de recherche sur les camps d’internement dans le Loiret) font leur rentrée. Avec une programmation dévoilée jusqu’à fin décembre. Primo, et pour ceux qui l’ignoreraient encore, chaque mardi, place aux «Mardis du Cercil». Avec, sans être exhaustifs, des temps forts à ne pas manquer comme ceux qui vous amèneront à rencontrer les «Grands témoins». Le Cercil propose aussi des projections.
RC, Orleans, 08/10, p.10

(Orleans) L’autre vie des musées orléanais…

Ils l’ont bien compris. Les galeries et les musées ne peuvent plus se permettre d’attendre les visiteurs. Alors, les directeurs multiplient les initiatives, les signes d’ouverture, pour séduire une nouvelle clientèle et investir de nouveaux créneaux. La galerie du Lion ne s’en prive pas. Sa spécificité : la location de salles à des professionnels pour des réunions, des séminaires ou des réceptions. Les plus jeunes sont également ciblés par le musée des Beaux Arts, avec des ateliers de création artistique pour les enfants et des stages d’arts plastiques durant les vacances scolaires.
RC, Orleans, 06/10, p.10

(Ezy sur Eure) Ils feront l'accueil et les visites du musée

Avec le départ de Nicole Moslé fin juillet dernier, il fallait que le musée trouve de nouveaux personnels pour assurer l’accueil des visiteurs et les visites de la manufacture. C’est chose faite. Arlette et Jacques Teillet ont investi les lieux. «Nous sommes venus plusieurs fois afin de nous familiariser avec les ateliers et le musée, ainsi qu’avec toutes les personnes qui gèrent ou assurent les travaux et la scénographie», explique le couple.
L'Echo, 05/10, p.22

(Issoudun) Anne Gorouben : un univers tellement trop humain

Certes, il y a un sens de la visite, un sens pour voir les œuvres d’Anne Gorouben, installées dans le musée Saint-Roch, au milieu de la pharmacie, derrière une porte, à côté de pierres anciennes sculptées… Et c’est pourtant dans l’autre sens que nous ferons la visite comme si nous remontions le temps. Anne Gorouben doit encore déposer une plante dans un recoin du musée. Une petite plante qu’elle installe à quelques pas de la peinture de Saint Roch, d’Alfred Courmes. «Je me suis rendue compte que dans cette toile, il y avait tout mon atelier.» Des objets, bien souvent similaires, qu’elle rapporta de son atelier parisien pour les installer au musée. L’occasion de donner un écho visuel à la toile en apportant une valise, un chien en peluche, une baguette de pain…
Nr, Indre, 12/10, p.23


Dernière édition par valerie.maillochon le Sam 26 Oct - 22:51, édité 5 fois
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MessageSujet: Revue de presse (7-13 octobre 2013)   Revue de presse (7-13 octobre 2013) Icon_minitimeDim 13 Oct - 14:41

Archéologie de la région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(La Chapelle Saint Mesmin)  Deux sarcophages découverts à l’église

Les ouvriers qui travaillaient à la réfection du parvis de l’église de La Chapelle ont fait, il y a une quinzaine de jours, une intéressante trouvaille. Deux sépultures datant probablement du Moyen Âge ont été mises au jour, à l’entrée de l’édifice. «Pour l’instant, ce sont une partie d’un sarcophage profondément enfoui et la dalle de couverture d’un deuxième sarcophage qui ont été découvertes. Le premier sarcophage appartiendrait à la période du haut Moyen Âge. Le second serait plus tardif. Mais il se pourrait qu’il y en ait d’autres», explique t on à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac). Alertés par le groupe chapellois d’histoire locale, les services de l’État viennent d’ordonner des «fouilles archéologiques de sauvetage urgent». Celles ci doivent commencer ce jeudi, se poursuivre jusqu’à la fin du mois, et être menées par le service archéologique de la ville d’Orléans.
RC, Orleans, 09/10, p.21

(Bourges)  Avis des lecteurs : Le coût des fouilles

La recherche archéologique est une activité où les intérêts de certains sont en jeu et leur protection juridique entraîne des actions désagréables dans des endroits les moins protégés et pourtant les plus riches de notre ville (Marie Immaculée, rue Carolus, le cœur d’Avaricum). Que font vraiment nos archéologues et pourquoi leurs recherches ne deviennent elles pas publiques ? Notre Maison de la Culture est stoppée par des vestiges qui font partie de l’ensemble découvert lors de la construction de l’immeuble notarial qui s’est fait sans difficultés, mais pour la Maison de la Culture, quelques centimètres de trop vont coûter très cher. La gestion de notre ville passe par la finance. À Marie Immaculée, on avait détruit le jubé de l’église du château, maintenant c’est la crypte de Sainte Blandine. Le nouveau site choisi pour la Maison de la Culture est un sanctuaire romain ! ■ Robert Billiot, Bourges (intégral)
L'Echo, 08/10

L’archéologie gallo-romaine à l’écomusée du Véron

Dans le cadre de la Fête de la science, manifestation nationale, l’écomusée du Véron propose un après-midi consacré à l’archéologie gallo-romaine,  dimanche 13 octobre, à 15h. Jean-Philippe Chimier, archéologue à l’Inrap, donnera une conférence sur la Touraine antique, suivie d’une visite guidée de l’exposition «Les Gallo-Romains entre Loire et Vienne, 40 ans de découvertes archéologiques».
Nr, Indre et LoireW, 08/1

(Chartres)  Des décors muraux découverts sur le chantier de l’îlot Casanova

Des décors muraux découverts sur le chantier de l’îlot Casanova À 1,50 m de profondeur, sur la coupe de 25 m2 qui délimite une cave gallo romaine, le service municipal d’archéologie a mis au jour, cette semaine, des fragments de décors muraux datés du 1er siècle de notre ère. Ils auraient été déposés dans la cave de la maison (domus), dont le périmètre a été tracé, avant la construction d’un programme immobilier.
L'Echo, 05/10, p.9


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MessageSujet: Revue de presse (7-13 octobre 2013)   Revue de presse (7-13 octobre 2013) Icon_minitimeDim 13 Oct - 14:44

Patrimoine de la région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Vierzon) La maison dite de Jeanne d’Arc à vendre

 La ville de Vierzon (Cher) a mis en vente la maison médiévale, dite de Jeanne d’Arc, qui est en réalité l’ancienne demeure des vicaires. Classé au monument histor ique, ce pan symbolique du patrimoine local, situé rue Armand Brunet, a été mis à prix à 36.000 €. (intégral)
RC, Orleans, 11/10

Les pans de bois sont mis en vente

Il s’agit, sans aucun doute, de l’une des maisons les plus anciennes de Vierzon encore debout. La maison dite de Jeanne d’Arc, en réalité ancienne demeure des vicaires, est un pan symbolique du patrimoine local… La ville a décidé de mettre en vente cette fameuse bâtisse du XVe siècle à pans de bois, sise rue Armand Brunet et classée monument historique. Une annonce a été mise en ligne, il y a peu, sur le site Internet de la ville. Le prix de la maison, qui comprend deux logements, sur deux niveaux et 150 mètres carrés, sans terrain ni dépendance, a été fixé à 36.000 euros. L’édifice médiéval avait été acquis par la précédente municipalité de Jean Rousseau, en l’an 2000. «Nous avions acheté cette maison dans le cadre d’une succession, pour éviter qu’elle ne soit transformée ou démolie», précise Frédéric Morillon, historien local, à l’époque conseiller municipal délégué au patrimoine et aujourd’hui conseiller municipal d’opposition. «L’idée était de la restaurer pour qu’elle soit mise en valeur et en faire un bâtiment fort.» «Je suis stupéfait, et je n’arrive pas à comprendre cette décision», réagit Frédéric Morillon, à l’initiative de l’achat. «Je conçois que la ville ait besoin de vendre le patrimoine qu’elle a en trop, mais pas les bijoux de famille !»
Le Berry, 11/10, p.21

(Saint Jean de Braye) Les cartes postales vont parler

Pour faire vivre la grande Histoire, rien de tel que de petites histoires. De celles qui contribuent à entretenir le devoir de mémoire. Et parce que les témoins de ce passé vieillissent, il est urgent de recueillir leur savoir. Tout ceci, le groupe d’histoire locale (GHL) l’a bien compris. Il propose un diaporama de cartes postales anciennes de Saint Jean de Braye et de ses alentours intitulé «Si Saint Jean de Braye m’était conté».
RC, Orleans, 11/10, p.21

(Germigny des Prés) La restauration de l’église avance

D’ici la fin de l’année, courant novembre ou décembre, l’office de tourisme Val d’Or et Forêt devrait équiper son bureau de Germigny en audioguides. Un outil complémentaire aux visites guidées de l’oratoire, également assurées par un guide conférencier. Ce nouvel équipement constituera un atout non négligeable, qui permettra à la clientèle touristique une visite libre ou hors saison de l’édifice. Par ailleurs, «la mise en place de ces audioguides, explique Élisabeth Baudet, responsable du service, vient également palier le retrait de la borne audio de l’oratoire qui avait été vandalisée».
RC, Beauce, 11/10, p.22

(Dangers) Saint-Rémy retrouvent des vitraux

Plantée en pleine campagne, à quelques centaines de mètres du bourg, l’église Saint Rémy n’avait plus, depuis des lustres, de vitraux. Devant ce constat l’association «Les Amis de Saint Rémy», présidée par Marie Hélène De Oliveira, a été créée en 2010 afin d’organiser des manifestations pour aider au financement de vitraux. Une initiative, aujourd’hui, presque finalisée. «Nous avons récolté la somme de 1.500 € en proposant des concerts et nous avons remis le montant à la Fondation du Patrimoine», a indiqué une présidente heureuse. «Nous allons continuer nos actions pour financer, maintenant, la sauvegarde de la statue de saint Rémy.»
L'Echo, 11/10, p.16

(Meunet-sur-vatan) Réception des travaux de l’église

La réception des travaux de réparation de l’église Saint-Loup à Meunet-sur-Vatan a eu lieu, mardi, en présence d’Olivier Pierrel, maire ; de Marc Cioffi, architecte du patrimoine, et des différents représentants maître d’oeuvre. La deuxième tranche étant terminée, elle consistait en la réfection extérieure de l’église et de sa toiture. La plupart des travaux ont consisté à reprendre l’existant, quand  cela était possible, de restituer les rampants de la nef et du coeur et de réparer les poutres maîtresses usées soutenant le clocher. Les travaux de cette deuxième tranche se sont élevés à 141.868 € avec l’aide de  différentes subventions et de fonds propres. MM. Pierrel et Cioffi se sont dits «satisfaits de ces travaux entrepris» et ont souligné «l’osmose parfaite entre les différents intervenants sur le chantier et la commune». Après l’inspection du tour de l’église pour admirer les travaux accomplis, MM. Pierrel et Cioffi ont signé les documents de réception. (intégral)
Nr, Indre, 11/10, p.21

(Blois) Incendie de la caserne : l’enquête s’annonce difficile

Après le sinistre spectaculaire qui a endommagé la caserne Maurice-de-Saxe, mercredi soir, à Blois, le bâtiment principal tenait toujours debout, mais la toiture centrale a été détruite. Le feu a été maîtrisé vers 22 h, l’intervention d’une soixantaine de pompiers a permis d’empêcher une propagation au reste de l’édifice datant du XIXe siècle. Un long travail de déblaiement a par la suite été accompli jusqu’au lever du jour suivi de rondes de surveillance. Le bâtiment sinistré était interdit d’accès par la police municipale. Hier après-midi, les enquêteurs du commissariat de Blois sont venus inspecter les lieux dans le cadre des investigations destinées à déterminer les causes du sinistre.  Ils étaient accompagnés d’officiers des sapeurs-pompiers spécialistes en recherche des causes et circonstances des incendies (RCCI). Leur expertise est indispensable pour ce type d’enquête : l’état de carbonisation des poutres peut, par exemple, donner des indications sur la direction suivie par le feu.  
Nr, Loir et Cher, 11/10, p.5

(Chailles) La maison éperonnée ne sera pas détruite

La maison éperonnée de Chailles est familière des automobilistes circulant sur la levée de la Loire. Ce curieux bâtiment, situé entre Blois et Candé-sur-Beuvron, dans le lit endigué du fleuve, est une maison éperonnée. Son rez-de-chaussée construit en pierres de taille est percé en amont et en aval par des ouvertures munies de portes s’ouvrant dans le sens du courant en cas de crue. Deux éperons permettent d’affronter les flots venant de l’amont, et deux contreforts protègent l’escalier. L’étage constituait le logement, on y accédait par l’extérieur. La maison éperonnée de Chailles est l’une des rares dans le Val de Loire à tenir encore debout. Pour sa préservation et sa restauration, l’Association de sauvegarde de la maison éperonnée de Chailles (l’Asmec) vient d’être constituée et une convention de souscription signée avec la Fondation du patrimoine.
Nr, Loir et Cher, 11/10, p.8

(Blois) Pierre Weber, maître artisan joaillier d’exception

Mis en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoirfaire artisanaux et industriels d’excellence, le label d’État entreprise du patrimoine vivant (EPV) est attribué au terme d’une sélection minutieuse menée par des experts. Attribué pour une période de cinq ans, ce label rassemble des fabricants attachés à la haute performance de leur métier et de leurs produits. Pierre Weber s’était déjà vu attribuer cette distinction en 2008. «Mais tout est toujours remis en question. Et cette fois ci, le contrôle a été plus approfondi. Des experts sont venus voir mes archives, mes outillages, mes moules, ma documentation et ma grande photothèque.» Car depuis quarante-cinq ans qu’il exerce ce métier, Pierre Weber photographie une grande partie de ses oeuvres. Il est aussi en train de rédiger un ouvrage sur l’évolution de la bijouterie entre l’époque de Louis XVI et la Seconde Guerre mondiale.
Nr, Loir et Cher, 11/10, p.14

(Huêtre) La restauration de l’église avance

Le conseil municipal de Huêtre s’est récemment réuni. Après avoir fait le point sur la première phase des travaux de restauration de l’église, portant sur l’électricité et l’éclairage, les élus attendent les réponses à l’appel d’offres pour la deuxième phase, les extérieurs et alentours du bâtiment. Parmi l’ensemble des sujets traités, l’attention a été portée sur les nombreuses plaintes d’administrés concernant des coupures d’électricité. La mairie souhaite la résolution rapide de ce problème. (intégral)
RC, Beauce, 10/10

(Chambon la Forêt) Le Pithiverais perd son dernier briquetier

Avec la disparition de Philippe Bertrand, un pan de l’histoire locale se tourne. Le village de Chambon la Forêt perd une personne de valeur et l’un des derniers briquetiers de France. Impossible de dissocier l’homme sans histoires, le «taiseux», de l’artisan hyperactif dont l’histoire trouve son empreinte dans la terre, l’argile et le sable chambonniots. «Loin d’être une corvée, à douze ans c’était un plaisir immense d’aller couper des briques aux côtés de mon père dans la fabrique du grand père, à Nibelle. C’est donc naturellement et avec une grande fierté qu’après mon certificat d’études, à 14 ans, je les ai rejoints !», rappelait le vieil homme lors des Journées du patrimoine, dans sa briqueterie rue du Cardinal de La Luzerne, à La Rive du Bois. Dans une église pleine à craquer, élus, habitants, artisans et amis ont souligné avec émotion les nombreuses œuvres réalisées en totalité ou en partie par le professionnel et sa famille maisons solognotes, lavoir de Chambon, restauration des briques du château de Sully, grandes cheminées de la sucrerie de Pithiviers le Vieil, etc.
RC, Pithiviers, 10/10, p.12

(Chartres) Le diable à la cathédrale...

Le colloque “Faire mémoire, les arts sacrés face au temps”, a réuni une trentaine de chercheurs dans l’hémicycle du Conseil général, le weekend dernier. «Nous avons une politique active de soutien au patrimoine  religieux», précise Albéric de Montgolfier, président du Conseil général. Il a annoncé que le Conseil général participe à une souscription lancée par l’association Rencontre avec le patrimoine religieux, pour publier un livre, en février, sur les représentations du diable dans la cathédrale de Chartres. PRATIQUE. Bulletin de souscription à télécharger sur le site rencontrepatrimoine-religieux.com (intégral)
L'Echo, 10/10

(Nogent le Rotrou) Il y a comme quelque chose qui cloche

Certains ont pu croire à une mauvaise farce. Comme pour la Brave Margot de Brassens, il y avait du monde, hier matin, au pied du clocher de l’église Saint Laurent : le maire de Nogent le Rotrou, des adjoints et des conseillers municipaux, des responsables de services de la Ville, le curé et des paroissiens, l’architecte et les charpentiers, la secrétaire générale de la sous préfecture, l’officier de gendarmerie, des policiers municipaux, des riverains, des passants et même quelques touristes qui visitaient le monument. Sans oublier la presse locale. Tous étaient là, une soixantaine de personnes quand même, pour assister à un événement important, à savoir la remise en place de la cloche, après plusieurs mois de restauration, dans le clocher de l’église Saint Laurent. Ils en sont tous restés coi quand ils ont appris dix minutes à  peine avant la cérémonie que ce pourquoi ils étaient là n’allait finalement pas avoir lieu. Tous abasourdis ! Mais pas par le tintement en “mi 3” de Marie Joseph, la belle de bronze de 1.050 kg pour 1,20 mètre de hauteur, mais par le fait que la cloche en question présentait une fissure, visible à l’oeil nu, sur l’un de ses points névralgiques. En partie ce pourquoi elle avait justement été dépendue le 17 avril du clocher de Saint Laurent pour être restaurée dans une entreprise de fonderie allemande. Autant dire, pour faire un peu le moqueur, que les relations franco allemandes ont comme pris un coup de froid hier matin à Nogent.
+ Une fissure jugée dangereuse oubliée par les fondeurs
L'Echo, 10/10, p.35

(Chezal-Benoit) Longtemps délaissé, le lavoir est réhabilité

Il aura fallu toute la pugnacité et la détermination de Raymonde Mauguin pour voir la réhabilitation du lavoir situé dans un pré, en contrebas de l’église. À l’abandon et obturé par des branchages depuis des années, une douzaine de bénévoles a réussi à lui redonner vie après de nombreuses heures de travail qui ont débuté en mars 2012, avec la participation de la mairie et de généreux donateurs pour les matériaux et le matériel. Ce lavoir, que quelques uns se souviennent avoir vu fonctionner, est donc de nouveau opérationnel. Son inauguration devrait avoir lieu prochainement. (intégral)
Le Berry, 10/10

(Tours) Le monument des Américains restauré

Le monument des Américains, à proximité de la bibliothèque centrale, quai Malraux, fait actuellement l’objet de travaux d’entretien. C’est l’entreprise Hory-Chauvelin, d’Avoine, qui effectue la restauration des parties en pierre, et l’atelier de dorure Sébastien David, de Vernou-sur-Brenne, qui se charge de la statue d’Indien portant un aigle des Rocheuses qui domine l’édifice. Ce monument a été érigé en 1932 sur un terrain acheté par le gouvernement américain à l’emplacement où s’élevait, jusqu’en 1927, le Cirque de la Touraine, une grande salle de spectacles et de bals très prisée des Tourangeaux.
Nr, Indre et LoireT, 10/10, p.14

(Blois) La caserne Maurice-de-Saxe en proie aux flammes

Il y a de la fumée qui s’échappe de la caserne Maurice-de-Saxe ! Et puis des flammes aussi, précise notre interlocutrice au téléphone. Il est 18h45 ce mercredi 9 octobre et le toit du Maréchal – c’est le nom de cet ex-bâtiment de commandement de la caserne – est en feu. Les habitants des logements périphériques convergent lentement dans et autour de la cour principale. «Ça devait arriver un jour», estiment-ils. «C’est squatté régulièrement.» Pour les pompiers qui déploient la première grande échelle, la question n’a pour l’instant aucune importance. Il faut connecter les lances pour attaquer l’incendie, par les airs, mais aussi de l’intérieur.
Nr, Loir et Cher, 10/10, p.3

(Châteaudun) « Monument jeu d’enfant », au château

Les enfants, dès 6 ans, vont se transformer en apprentis maîtres verriers et tailleurs de pierre, ce week end, au château de Châteaudun. En rapport avec l’opération nationale «Monument jeu d’enfants», ils pourront  participer à deux ateliers créatifs, samedi et dimanche, de 10 à 12 heures ou de 14 à 16 heures. Une manière ludique de découvrir le savoir faire des artisans du Moyen Âge dans un cadre exceptionnel. «Cette année, la sainte chapelle, avec sa collection de statues et de vitraux, sera au centre de notre programmation», commente Anne Rousset, administratrice du château. Nathalie Rouxelin proposera à ses apprentis d’un jour de sculpter un bas relief sur le thème du Moyen Âge. La plasticienne Nathalie Chesneau initiera, quant à elle, les petits artistes à la peinture sur verre à la grisaille médiévale. Réservations indispensables, au 02.37.94.02.92 ou au 02.37.94.02.90. (intégral)
RC, Orleans, 09/10 + L'Echo, p.27

(Montargois) Que sont devenues les anciennes gares ?

Faire Montargis-Orléans ou Montargis-Sens, en train, ce n’est plus possible. Les lignes ont été fermées. Il ne reste plus que celle qui mène à Paris (ou Nevers). Ces voies ferrées étaient «garnies» de nombreuses gares. Si certaines ont été détruites, d’autres ont une deuxième vie. Sur la ligne Paris-Nevers, le train s’arrête toujours à Dordives. Mais la gare a été détruite. Il ne reste qu’un abri et le passage à niveau. À Ferrières, la bâtisse est toujours sur pied mais fermée. «Il y a des installations électriques qui sont conservées à l’intérieur», explique Dominique Viguet, ancien cheminot et collectionneur de tout ce qui touche à la SNCF.
RC, Beauce, 09/10, p.9

(Nogent-le-Rotrou) Marie-Joseph est de retour !

Marie-Joseph, la cloche de l’église Saint-Laurent de Nogent-le-Rotrou, retrouve son clocher, aujourd’hui, à 10 h 30. Fondue en 1857, elle était partie pour restauration en Allemagne depuis le 17 avril. Une imposante pièce en bronze de 1.050 kg pour 1,20 m de hauteur.
RC, Beauce, 09/10

(Saint Lubin de Cravant) La croix et le coq descendus du clocher

Des travaux sont actuellement entrepris, sur le clocher de l’église de Saint Lubin de Cravant. Ils font suite à la tempête de 2011 et à ses dégâts. Ils concernent la croix et le coq, installés à une hauteur de dix huit mètres.
L'Echo, 09/10, p.25

(Chateaudun) Des travaux en cours de finition

Après l’ouverture du jardin suspendu, cet été, le château de Châteaudun espère encore étendre son circuit de visite d’ici la fin de l’année. Des travaux de mise en sécurité sont en cours de finition pour le chemin de ronde, fermé au public depuis quatre ans. La terrasse, inaccessible depuis trois ans, bénéficie, elle aussi, d’un chantier du même genre : une lice en fer forgé va habiller les remparts. La direction du château aimerait ensuite y aménager un espace détente pour les visiteurs. Autre nouveauté, l’exposition permanente consacrée au jardin suspendu s’étoffera au cours du premier semestre 2014. De nouveaux panneaux présenteront les jardins suspendus italiens. (intégral)
L'Echo, 09/10

(Buzançais) Exposition : les vitraux du XXe siècle dans l’Indre

Entre 2005 et 2009, la région Centre a confié le recensement de l’ensemble des vitraux de l’Indre à l’association Rencontre avec le patrimoine religieux. Afin de faire partager cette connaissance renouvelée du département, la direction de l’inventaire du patrimoine de la région a publié, en 2012, le livre Vitraux du XXe siècle dans l’Indre : le choix de la modernité. En 2013, une exposition itinérante a été conçue pour accompagner le livre et révéler les innovations artistiques et techniques dont témoignent ces oeuvres. Exposition à la médiathèque Jean-Duplaix, jusqu’au 26 octobre. Mardi, de 14h à 17h30 ; mercredi, de 10h à 12h et 14h à 17h30 ; jeudi, de 14h à 17h30 ; vendredi, de 10h à 12h et de 14h à 17h30 ; samedi, de 10h à 16h. (intégral)
NR, Indre, 09/10

(Orleans) La statue de Jeanne réparée

Jeanne d’Arc et son cheval se refont une beauté depuis jeudi et jusqu’à la fin du mois. Sous les mains expertes de Jean-Daniel Bellamy, artisan d’art. «Là on dépoussière et on bâche les frises. Avant de nettoyer les joints, de passer un produit biodégradable qui va rendre le granit plus brillant en expulsant la mousse et de rajouter de la matière à certains endroits abîmés par des impacts de balles de la Seconde Guerre mondiale. Comme sur l’épaule droite de Jeanne d’Arc, à l’endroit même où, selon les récits historiques, elle fut blessée par une flèche.» (intégral)
RC, Orleans, 08/10

(châteauroux) Échos du Berry à l’aube du XXe siècle

Dans l’auditorium de la médiathèque Équinoxe, une dizaine d’universitaires et chercheurs amateurs ont présenté une grande variété d’études qui montrent combien le Berry et le Limousin ont été, à la fin du XIXe et au début du XXe siècles, des terres riches d’intérêt pour les chercheurs en linguistique ou en ethnologie. En particulier pour Ferdinand Brunot, professeur de linguistique à la Sorbonne, qui a réalisé des enregistrements de dialogues, de chants et de témoignages populaires sur la vie de l’époque dans les Ardennes (1912) et en Bas-Berry et Corrèze (1913). Longtemps réservés à une consultation limitée, sur place, le Fonds Brunot et, plus largement, les Archives de la parole, toujours conservés à la Bibliothèque nationale de France, à Paris, sont désormais pour partie librement accessibles sur Internet. L’appel est donc lancé : fouillez vos greniers à la recherche de disques, bobines ou cassettes d’enregistrement de briolage ou de témoignages de vie et interrogez vos aînés qui détiennent probablement des trésors de la connaissance populaire.
NR, Indre, 08/10, p.9

(Bouges le Chateau) Spectacle équestre au château

Dimanche 13 octobre, à 15h, le Centre des monuments nationaux présente un spectacle équestre au château. Ces numéros équestres feront découvrir au public de magnifiques chevaux de pure race espagnole, ainsi qu’un splendide poney Welsh. L’harmonie entre les écuyères et leurs chevaux apportera de la grâce, du charme et de la délicatesse au féminin. Au programme de ce spectacle : dressage en main, travail en liberté, carrousel, sauts d’école… Goûter offert aux enfants à la fin du spectacle. (intégral)
NR, Indre, 08/10

Quatorze labels remis par la Fondation

Cela fait dix ans que la Fondation du patrimoine œuvre en Loir-et-Cher, avec le soutien du conseil général. Aux côtés des propriétaires qui ont le courage d’entreprendre d’ambitieux travaux pour que le patrimoine local –celui qui n’est pas classé donc le plus fragile– puisse survivre. Et continuer à offrir à tous la «beauté des pierres et la mémoire des lieux». En dix ans, 354 projets de restauration ont été menés à bien, soit dix-huit millions de travaux qui ont permis de maintenir 527 emplois dans le bâtiment. Pour l’année écoulée, ce sont quatorze projets qui ont obtenu le label, et ainsi pu profiter d’une subvention entre 1 et 5% du montant des travaux. Pascale Desurmont, déléguée départementale de la Fondation du Patrimoine, a procédé hier soir aux côtés de Maurice Leroy, président du conseil général, et de l’équipe de la Fondation du patrimoine, à la remise symbolique des labels. Une occasion pour les propriétaires de présenter leurs réalisations.
NR, Loir et Cher, 08/10, p.5

(Loches) Les plans d’Argenson à l’honneur

A l’invitation des Amis du Châtelier à Paulmy, les Amis du pays lochois (APL) et le Caméra photo club du Lochois se sont associés pour une journée d’études consacrée aux plans commandités au XVIIIe siècle par le comte d’Argenson. Après deux siècles et demi d’histoire mouvementée, ces plans sont aujourd’hui conservés au Châtelier. Les différentes communications ont mis en évidence la qualité des plans et leur richesse exceptionnelle  au point de vue informatif. Leur examen n’aurait pas été possible sans le minutieux travail réalisé par l’équipe du Caméra photo club du Lochois, à la demande et aux frais des Amis du pays lochois qui souhaitaient ainsi préserver ces précieux témoins. Marie-Pierre de Voyer de Paulmy, comte d’Argenson, avait une connaissance précise de ses différentes possessions et des droits qui s’y rattachaient, comme le prélèvement des rentes. Grâce à la couverture numérique en HD, on peut examiner dans ses moindres détails le paysage du pays lochois.
Nr, Indre et LoireE, 08/10, p.18

(Huetre) Nouvel éclairage à l’intérieur de l’église

Les membres de l’équipe municipale de Huêtre se sont réunis, mercredi, après la tombée de la nuit, pour pouvoir constater de visu les nouveaux éclairages de l’église, dont la rénovation se poursuit. L’installation est constituée de basse consommation et répond aux nouvelles normes de sécurité. Elle a pour but de permettre aux fidèles de suivre les cérémonies, sans être éblouis, mais aussi de profiter pleinement des vitraux et de la peinture de l’église, qui date du milieu du XIXe siècle. La prochaine étape concernera les extérieurs et les peintures. (intégral)
RC, Beauce, 05/10

(Orleans) Du retard pour le Studium

Le centre internationa l de recherche et d’accueil de chercheurs associés étrangers doit déménager à l’hôtel Dupanloup courant novembre. Cette première étape dans le retour du campus en centre-ville pourrait néanmoins avoir du retard. Sur place, les ouvriers confient que les bâtiments ne seront pas terminés à temps ; les équipes encadrantes de la fac se montrent aussi pessimistes quant à une installation complète avant début 2014. (intégral)
RC, Orleans, 06/10

(Talcy) Un très joli « manoir de campagne »

Les toits effilés du château de Talcy émergent des plaines céréalières de la petite Beauce. De 1517 à 1933, des banquiers florentins aux pasteurs protestants, les familles qui s’y sont succédé sont venues y chercher le calme et la vie paisible d’un manoir de campagne. Marqué de poésie et de littérature (Stendhal et Prosper Mérimée y sont passés), le château témoigne aussi d’une douceur de vivre et de la condition de cette haute bourgeoisie qui a vécu dans ces lieux. La richesse du mobilier et des œuvres qu’ils contiennent font de ce domaine un petit bijou. Entrez, le maître des lieux va vous recevoir ! C’est en tout cas l’impression qui se dégage lorsque l’on passe dans ces pièces qui ont conservé leur mobilier d’époque.
+ Six hectares de potager, verger et autres jardins
RC, Orleans, 06/10, p.24

(Baugy) Des dons pour le monument aux morts

La parution de l’article : Natif de Baugy, Eugène Sachet parmi les premières victimes, dans le Berry républicain du 10 novembre 2011 avec la photo du monument aux morts avait suscité courriers et appels à propos de l’état de cet édifice. Depuis, la municipalité a réagi et a décidé d’engager une procédure de restauration avec le soutien de la Fondation du patrimoine. Mercredi, François Gréau, délégué départemental, et Martine Dessus déléguée adjointe à la Fondation du patrimoine Centre sont venus parapher le document qui permet à la collectivité de restaurer le monument dédié au souvenir. Le coût estimé de la restauration est de 13.000 euros.
Le Berry, 05/10, p.17

(Bourges) Plongée dans les entrailles de l’Ensa

Le passé dort sous nos pieds. Le bâtiment de l’École nationale supérieure d’art (Ensa) de Bourges s’élève rue Édouard Branly depuis 1623. Un bâtiment bien connu des Berruyers. Du moins pour sa partie visible. Car l’histoire se prolonge sous terre, là où s’est écrit un autre chapitre des Beaux Arts. Une histoire cachée derrière une porte que nous avons rouverte. Les escaliers mènent à l’obscurité la plus totale. Quelques soupiraux invitent la lumière dans les lieux. La première pièce visitée, d’une vingtaine de mètres carrés, se laisse deviner à la force d’une puissante lampe torche. En levant les yeux, nous découvrons une voûte en bois. Une défense passive construite au début des années 1940. Retour dans le passé. Bourges vit aux rythmes de la seconde Guerre mondiale. Les habitants se réfugiaient alors sous l’édifice, l’un des principaux abris de la ville pour échapper aux bombardements.
Le Berry, 06/10, p.13

(Chartres) La pyramide de Notre Dame

Décidément, la cathédrale de Chartres en inspire plus d’un. Au point de chercher des parallèles par-delà les mers et les époques. Ainsi, quelques amoureux et admirateurs de la grande dame de pierre, ont trouvé de multiples chiffres communs à la cathédrale de Chartres et à la pyramide de Kheops, en Égypte. Au point d’ailleurs de parler de la cathédrale de Kheops et de la pyramide de Chartres. Il ne reste plus qu’à trouver le sphinx sur les bords de l’Eure. (intégral)
L'Echo, 06/10, p.3

(Vendomois) Le vicaire se serait servi dans quatorze églises

Incompréhensible. Impensable. Les qualificatifs ne manquent pas pour commenter l’annonce publique de la mise en examen de Don Étienne Doat, 33 ans, un des trois vicaires de Montoire qui date… du 17 juillet. Date à laquelle l’évêque Monseigneur de Germiny décidait de décharger le père Étienne de tout ministère dans le diocèse de Blois alors que celui-ci était remis en liberté sous contrôle judiciaire. «Dans le cadre de l’enquête, la gendarmerie avait demandé la plus grande discrétion pour pouvoir poursuivre ses investigations en quête de receleurs mais apparemment quelqu’un est sorti du silence…», confiait hier Don Anne Guillaume Vernaeckt, nouveau curé arrivé le 1er septembre à Montoire. Remplaçant Don Camille Rey parti à Evron en Mayenne, le nouveau curé explique. Au total, ce sont quatorze églises qui ont été dépouillées de quarante objets du culte, ici un calice, là un ostensoir, le plus souvent classé ou inscrit. Il s’agit des communes d’Artins, Authon, Fortan, Lunay, Marcilly, Mazangé, Montoire, Prunay, Saint-Martin-des- Bois, Sougé, Ternay, Thoré, Villedieu et Villiers.
NR, Loir et Cher, 05/10, p.5

Thierry Holleville, écrivain par hasard

C’était dommage de perdre toutes ces informations collectées : Thierry Holleville tient dans ses mains «Vivre à Blois au XVIIIe siècle», un ouvrage riche et documenté. Un peu universitaire aussi. «C’est normal. J’ai enlevé des graphiques et certains paragraphes, mais cela reste un travail de thèse. La thèse que je n’ai pas terminée, mais sur laquelle j’ai travaillé pendant des années et pour laquelle j’ai effectué de nombreuses recherches.» L’enseignant sourit. «En fait, de déménagement en changement de vie, j’avais perdu la presque totalité de ce travail. Finalement, j’ai retrouvé une disquette échappée d’une décennie d’oubli chez mon père. C’est ce qui m’a fait penser à publier. Pour garder trace de ce morceau de vie auquel je me suis consacré.» Aujourd’hui, Thierry Holleville habite Saint-Laurent-Nouan. Il est enseignant. Blésois d’origine, il a fait ses études à Tours. Et son livre (publié par un éditeur implanté en Finlande) est une mine pour les historiens et les Blésois passionnés par leur ville.
NR, Loir et Cher, 06/10, p.5

(Vendome) Une restauration de dix ans

Enfin, la restauration de la Maison des comptes est terminée. La Maison des comptes, c’est ce superbe bâtiment, invisible pour le simple promeneur, caché au fond d’une cour avec entrée rue Renarderie, ouvert lors des Journées du patrimoine. Un bâtiment méconnu que l’association Résurgence a remis en état après un long chantier de dix ans qui vient de se terminer. En 2002, la toiture de la bâtisse, construite à la fin du XVe siècle, était effondrée et les planchers éventrés… A la demande des propriétaires et grâce au notaire, donation en fut faite à l’association Résurgence qui acceptait de tenter le sauvetage de ce qui est l’une des plus vieilles maisons de Vendôme datant des XVIe et XVIe siècles.
NR, Loir et Cher, 06/10, p.8

(Tours) Les charmes enfin dévoilés de la tour Charlemagne

Si les visites Laissez-vous conter Tours sont maintenant bien ancrées dans les habitudes des Tourangeaux, on ne pouvait jusqu’à maintenant s’empêcher de ressentir comme un petit manque : la tour Charlemagne n’était pas accessible au public. Il s’agit pourtant d’un des derniers vestiges (avec la tour de l’Horloge) de la grande collégiale Saint-Martin, dont la renommée rayonna, des siècles durant, sur tout le monde chrétien. Jeudi après-midi, lors de la première série de visites express (30 minutes) – intitulées, en toute logique, Laissez-vous conter la tour Charlemagne – un vieux monsieur résumait le sentiment de beaucoup : «J’ai 85 ans… et ça fait 85 ans que j’attends de pouvoir pénétrer dans ce monument.» La plupart des visiteurs, intéressés, voire passionnés, par leur patrimoine, viennent surtout par curiosité : ils veulent pouvoir s’imprégner de l’atmosphère de ce lieu qui leur a été, depuis toujours, interdit.
+ ••• Cathédrale Saint-Gatien : un colloque et des animations
Nr, Indre et Loire, 05/10, p.17

(Chinon) Forteresse : un nouveau toit pour la tour de l’Horloge

Au sommet de la tour de l’Horloge un dragon fait de la résistance mais il sera bientôt chassé par des couvreurs… Les employés de l’entreprise Merlot de Richelieu s’activent au sommet de l’emblématique tour depuis quelques jours déjà. Ils ont commencé par déshabiller la petite tourelle située au  nord mais gagnent progressivement du terrain. Ils auront remplacé l’intégralité de la couverture du bâtiment d’ici le 8 novembre prochain. Représentant une enveloppe de 65.000 € ce chantier est pris en charge par le conseil général, propriétaire de la forteresse.
Nr, Indre et LoireW, 05/10, p.24

(Bourgueil) Les travaux de l’église sont-ils prioritaires ?

Modification budgétaire - Pour la réfection urgente de la toiture du hall d’accueil, 58.000 € ont été transférés du compte restauration de l’église. Plusieurs membres de l’opposition ont fait remarquer que certains travaux portant sur l’église étaient urgents. L’architecte de l’ADAC doit redéfinir les priorités, car certains travaux très anciens n’ont pas été satisfaisants. L’ensemble du conseil municipal a conscience de l’ampleur des travaux. Au  cours du vote, 5 membres de l’opposition ont voté contre cette modification budgétaire et un s’est abstenu. (intégral)
Nr, Indre et LoireW, 05/10, p.29

(Perrusson) La cloche est de retour

Restaurée par l’entreprise Bodet (Mayenne), la cloche a retrouvé l’église Saint-Pierre, jeudi matin, après un voyage dans les airs de quelques minutes. Une grue pouvant soulever 50 tonnes de l’entreprise Polyservice 37 a remis en place cette cloche de 275 kg, en déployant le br as jusqu’à 30 mètres. Le coût de la restauration s’élève à 8.851,86 € (transport aller-retour, dépose et remise en place : 1.800 €). Lors des Journées du patrimoine, elle a été placée dans l’église et les visiteurs ont eu tout loisir de lire l’inscription suivante : «A été bénite par M. François Drouet Chalut, curé de la paroisse de Perrusson l’an 1803 et nommée Pierre par MM. Jacques François Mayand de Boislambert et dame Jeanne- Louise Charlotte de Bavavoin, veuve de feu M. Bernard de Cambrai, MM. Charles Musnier et François Payer et par Etienne Mardelle, maire, et Antoine Paquet adjoint.» L’entreprise Bodet, qui a fêté en 2012 la 1.000e restauration de cloche, a réparé les dommages causés par le frappement du marteau et consolidé l’accrochage. La cloche a conservé ses caractéristiques : 495 vibrations, diapason : 5.61 3, soit légèrement au-dessus du si. (intégral)
Nr, Indre et LoireE, 05/10, p.29

(Chinon) Un drone pour voler la beauté du château

La forteresse royale de Chinon entre (encore) dans une nouvelle dimension. Elle travaille à l’accessibilité de ses contenus et de ses parcours de visite. Elle va bientôt proposer à ses visiteurs (plus particulièrement à ceux ayant un handicap ou une mobilité réduite) des tablettes tactiles permettant de découvrir le site pleinement, au même titre que les valides. Ce projet ambitieux a, notamment, nécessité la venue de drones à la  forteresse ! En juin dernier, avant l’arrivée des dragons, les équipes de Vinzi Studio sont intervenues avec deux drones, pour immortaliser le château. Vincent Evrard (réalisateur) et son collègue ont passé près d’une semaine à Chinon et ont filmé la forteresse sous toutes ses coutures.
Nr, Indre et Loire, 06/10, p.9

(Azay-sur-Indre) Trois décennies à redonner vie au manoir de la Follaine

L’opération de sauvetage est réussie. Après 38 années passées au chevet du manoir familial, Hugues Verdier peut contempler l’oeuvre de toute une vie. Seul, malheureusement, depuis le décès de Monique, son épouse. Aujourd’hui, leur demeure est un des joyaux de la commune. «Le manoir est dans la famille depuis 120 ans, raconte Hugues Verdier. Il a été acheté par l’arrière-grand-père, Jean Paulmier, une famille bien implantée à Reignac-sur-Indre. C’était des propriétaires terriens, des rentiers.» Au fil des ans, la famille a vendu les 400 hectares de terre qu’elle possédait. Et il y avait ce manoir d’Azay-sur-Indre. «Ma grand mère, Gabrielle Paulmier, voulait habiter ici, mais elle n’a pas pu. Il était à l’abandon. En 1972, un de mes oncles a pris l’initiative d’engager les travaux, avec l’espoir d’être aidé par les Monuments historiques. Il n’a jamais rien reçu de l’État !», poursuit Hugues Verdier, lors d’une visite organisée en présence du maire d’Azay-sur-Indre, Jean-Jacques Meunier, et du sous-préfet de Loches, Edmond Aïchoun. À la retraite depuis un an, il lui reste deux ans de travaux pour achever la rénovation.
Nr, Indre et Loire, 06/10, p.11

(Barjouville) Célestine sur le chemin de Compostelle

«Les Chemins de Saint Jacques sont le premier itinéraire culturel européen», rappelle Michel Suchot, président de l’association des Amis de Saint Jacques de Compostelle d’Eure et Loir, lors de l’inauguration d’une plaque indiquant aux pèlerins ou aux marcheurs qu’ils empruntent un chemin spirituel. La plaque dévoilée, après une marche dans la commune, qui compte six kilomètres de chemins en direction de Saint Jacques de Compostelle (Espagne) via Tours (Indre et Loire), la petite troupe, composée d’une centaine de personnes, s’est rendue dans l’église Saint Jacques pour découvrir un triptyque de vitraux rénovés, dont celui de saint Jacques.
+ L’église Saint-Jacques en travaux
L'Echo, 13/10, p.9

(Orleans) Rénover la cathédrale, un sacré chantier

Depuis le début des années 2000, rares sont les touristes et les Orléanais qui ont pu admirer la cathédrale dans son ensemble, sans qu’un échafaudage ou une palissade ne masque, ici, un pan de façade, ou ne condamne, là, une chapelle. Telle est la dure mais nécessaire loi de la restauration du patrimoine. Ces jours ci, c’est le transept nord qui achève sa mue, lui qui n’avait pas connu de campagne de restauration de puis le XIXe siècle. Ce jour là, sur le chantier, deux tailleurs de pierre s’affairent à remplacer trois derniers blocs de roche, tandis que le couvreur rénove des pièces d’habillage en plomb. Tous mettent la dernière main à un chantier, qui aura duré près de deux ans. Mais le chantier est à peine terminé que, déjà, le regard de l’expert du patrimoine embrasse d’autres éléments d’architecture, sur la façade latérale du transept : les quatre arcs boutants de l’angle nord est. L’État, par l’intermédiaire de la Drac, s’apprête à débloquer quelque trois millions d’euros pour leur restauration.
RC, Orleans,12/10, p.9

(Orleans) Cathédrale cherche mécènes

La cathédrale Sainte-Croix serait-elle boudée par les mécènes privés ? Toujours est-il que les propositions de financements par des entreprises ne se bousculent pas aux portes de l’édifice. Contrairement aux cathédrales de Chartres et de Bourges, toutes deux inscrites au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, et qui bénéficient de mécénats réguliers de la part des fondations de GDF Suez ou du Crédit agricole, notamment. À Orléans, ces dernières années, «seules» les restaurations du Bourdon et des vitraux du chœur ont été financés, en partie par des fonds privés. (intégral)
RC, Orleans,13/10

(Saint-sulpice) Travaux à l’église en projet

Il a été décidé de modifier les lignes budgétaires d’investissement afin d’entreprendre des travaux de réfection à l’église pour un montant de 15.000 € et concernant l’abri donnant accès à l’église, l’éclairage, la réfection du sol ouest et la création d’un plafond sur ossature. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 12/10

(Vendome) L’orgue de La Madeleine entièrement remis à neuf

Tous les vingt à trente ans, tout est revu. Les 1.800 tuyaux de l’instrument allant de 2 centimètres à 5,20 mètres sont démontés et nettoyés et reformés si besoin. La surprenante mécanique de cette «bête» de 11 tonnes est revue en détail, rouleaux et tringlerie ainsi que les parties sculptées. Un travail énorme qui était officiellement réceptionné jeudi matin avec vérification par Christian Lutz, technicien conseil, facteur d’orgues dans le Bas-Rhin venu vérifier le travail de relevage conduit pendant six mois par le facteur d’orgues lyonnais Olivier Bernard. «C’est superbe de le redécouvrir ainsi», soulignait François Brossier, curé de la paroisse aux côtés de trois des quatre organistes bénévoles qui se succèdent aux claviers.
Nr, Loir et CherN, 12/10, p.24

(Saint-Julien-sur-Cher) L’église a retrouvé ses peintures murales

L’église de Saint-Julien-sur-Cher est située au sommet du coteau, à l’écart du bourg. Son abside peut dater du XIIe siècle mais elle aurait été remaniée au XVIe siècle (moulure de l’arcade du chœur) et au XVIIe siècle. A l’intérieur, de chaque côté de l’entrée du chœur, se dressent deux autels aux retables ornés de statues de bois peint et doré de la Vierge, à gauche, et de saint Julien, le patron de la paroisse, à droite. La nef est surmontée d’un clocher de charpente. A l’occasion des travaux de restauration de l’église, les peintures murales sont apparues, sur le mur de droite et au plafond au-dessus du chœur. Elles avaient été recouvertes d’enduits de plâtres. Ces peintures, patrimoine de notre histoire, méritaient restauration. C’est désormais chose faite, grâce à Brice Moulinier et son équipe de restaurateurs qui ont ainsi redonné toute la vie à ces panneaux de l’histoire ancienne, un travail soigné digne d’un grand maître qui a, par ailleurs, plus de 300 chantiers de restauration à travers l’Europe.
Nr, Loir et Cher, 13/10, p.11

(Azay sur Cher) Un carottage pour dater le château

Mardi après-midi, un chercheur en «dendrochronologie» ou datation par prélèvements d’échantillons de bois anciens, est venu opérer au château du bourg d’Azay-sur-Cher, propriété de Philippe Doudheret. Martine Lainé, de la direction de l’Inventaire du patrimoine région Centre, a organisé l’opération. Elle est chargée du patrimoine du canton de Bléré. Elle s’intéresse, à ce titre, à ce château des XIVe et XVe siècles, dont les vestiges témoignent d’une époque où il était le cœur d’une ville fortifiée. «Nous voulons en savoir plus sur ce monument historique important, dit-elle. Par ce procédé, nous pouvons obtenir une date précise à un an près.» Elle a fait appel à Christian Dormum, du laboratoire Archéolabs de Grenoble. «Il n’existe en France que trois laboratoires de dendrochronologie», précise Martine Lainé.
Nr, Indre et LoireT, 12/10, p.27

(Bridoré) Le dernier tuilier artisanal est à Bridoré

Hubert de Lacotte est tuilier à Bridoré. C’est le seul en Indre-et-Loire. Depuis 2005, avec deux employés, il produit annuellement près de 300.000 tuiles, dont certaines ont recouvert l’abside de la chapelle de Vignemont à Loches, la chapelle Saint-Jean du Liget, l’église de Villers-les-Ormes (Indre)… «Nous travaillons à l’ancienne avec des moyens modernes. Ce qui permet de fabriquer une tuile artisanale dont l’esthétique s’adapte totalement à la rénovation des bâtiments anciens, châteaux, manoirs, églises.» Les tuiles industrielles sont absolument identiques et cet aspect uniforme serait choquant sur les bâtiments anciens. La seule solution : travailler comme autrefois, ou presque. Avant de se lancer dans l’aventure, Hubert de Lacotte a appris auprès d’un tuilier de Bourgogne pour la technique et d’un autre, dans le Berry, pour la stratégie commerciale.
Nr, Indre et Loire, 13/10, p.11


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MessageSujet: Revue de presse (7-13 octobre 2013)   Revue de presse (7-13 octobre 2013) Icon_minitimeDim 13 Oct - 22:13

Source : lemonde.fr

Les Galeries Lafayette vont ouvrir une fondation d'art contemporain à Paris

"Ce ne sera pas une boîte à bijoux pour exposer notre collection de tableaux, mais un outil de production !" Guillaume Houzé, directeur de l'image et du mécénat du groupe Galeries Lafayette, dont il est aussi l'un des héritiers, définit ainsi la fondation d'art contemporain que son entreprise s'apprête à ouvrir au printemps 2016, au 9 de la bien nommée rue du Plâtre, dans le quartier du Marais, à Paris.
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MessageSujet: Revue de presse (7-13 octobre 2013)   Revue de presse (7-13 octobre 2013) Icon_minitimeDim 13 Oct - 22:31

Source : latribunedelart.com

Le point sur les funestes projets de réformes des Musées royaux des Beaux-Arts et du Cinquantenaire à Bruxelles

En août 2012, la Tribune de l’art publiait un article destiné à attirer l’attention sur les projets de réformes touchant les Musées royaux des Beaux-Arts, les Musées royaux d’Art et d’Histoire (dits le Cinquantenaire) et l’Institut royal du Patrimoine artistique. Ce plan défiait la raison par les propositions irréalistes qu’il contenait. Il était aussi apparenté à une tentative de coup de force tant il avait été élaboré sans consultation ni du personnel de cadre, ni des Conseils scientifiques, et n’était appuyé sur aucune étude de faisabilité. Il était avancé par le président de la Politique scientifique fédérale belge, Philippe Mettens, et le directeur général des Musées royaux des Beaux-Arts, Michel Draguet (qui se trouve être de surcroît le directeur ad intérim des Musées du Cinquantenaire suite à l’absence – anormale - de nomination d’un titulaire).
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MessageSujet: Revue de presse (7-13 octobre 2013)   Revue de presse (7-13 octobre 2013) Icon_minitimeDim 13 Oct - 22:43

L’état des églises parisiennes

Source : latribunedelart.com

L’état des églises parisiennes (3) : Saint-Merri

Construite en style gothique flamboyant au XVIe siècle, l’église Saint-Merri fut au XVIIIe transformée par Boffrand qui construisit une grande chapelle sur le côté sud, décorée de sculptures par Paul-Ambroise Slodtz. Désaffectée à la Révolution, elle fut restaurée et décorée au XIXe siècle, les sculptures de sa façade furent refaites, et plusieurs de ses chapelles peintes notamment par trois des principaux élèves d’Ingres : Théodore Chassériau, Henri Lehmann et Eugène-Emmanuel Amaury-Duval.
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L’état des églises parisiennes (2) : Notre-Dame-de-Lorette

Alors que le World Monument Fund a inscrit deux églises parisiennes sur sa liste des monuments en péril (voir notre article), penchons-nous ici sur l’une d’elle : Notre-Dame-de-Lorette (ill. 1). Construite par Hippolyte Lebas lauréat d’un concours lancé en 1822, l’église fut édifiée sur un modèle de basilique paléochrétienne entre 1823 et 1836. Son décor peint fut pour sa part exécuté par pas moins de vingt-six peintres,
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