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Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 29 Jan - 13:55 par valerie.maillochon

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 Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMar 25 Fév - 10:49

Musées région Centre

Source : panorama de presse de la DRAC Centre

(Chinon) La faïence de Langeais se dévoile au Carroi

Pour ses débuts sous son nouveau nom de «Le Carroi», l’ancien musée d’art et d’histoire crée déjà l’événement. Le vernissage de ses premières expositions 2014, vendredi soir, a en effet permis de constater tout le travail accompli, notamment par Sophie Nicolin et Cindy Daguenet, mais aussi au public d’ouvrir grand les yeux et de ressortir enrichi intellectuellement par cette visite. Si, comme nous le présentions dans notre édition de vendredi dernier, la salle des expositions temporaires accueille les œuvres d’art brut, les créations colorées, naïves et imaginatives de Pierre Petit, si également, le musée a trouvé un emplacement, volontairement monacal, pour «Alter», l’oeuvre d’Emmanuel Saulnier, qui avait été présentée la première fois en juin dernier dans le narthex de la collégiale Saint-Mexme, et si, enfin la boutique à l’entrée se veut encore plus accueillante, le point fort de cette saison est à découvrir en la salle des arts et traditions populaires.
+ Quand Chinon vante Langeais
Nr, Indre et Loire, 24/02, p.12

L’expo faïence de Langeais fait réagir

Suite aux articles parus à propos de l’exposition consacrée à la faïence de Langeais, au musée de Chinon, Pierre-Alain Roiron, maire de Langeais, tient à préciser que «la municipalité de Langeais a, à plusieurs reprises, eu des contacts avec la famille de M. Souriau (NDLR : le collectionneur) qui nous avait proposé de nous faire une donation ou un legs de ce qui est certainement la plus belle collection de faïences de Langeais. Nous avions examiné avec attention cette proposition qui était un grand honneur pour notre ville». Cependant, poursuit M. Roiron, «la Ville de Langeais n’a pas à ce jour la capacité financière, ni la possibilité d’avoir un lieu dédié pour exposer de façon permanente ces pièces de grande valeur». Voilà qui confirme donc pourquoi la famille s’est ensuite tournée vers Chinon. M. Roiron rappelle aussi que «Langeais, avec ses associations, a publié un livre retraçant l’histoire de la faïencerie, à la suite d’une exposition qui avait reçu près de 15.000 personnes». Précisons simplement que c’était en 1991, il y a plus de vingt ans. Parallèlement à cette réaction du maire, sa 5e adjointe et présidente des Amoureux du Vieux- Langeais, Monique Masfrand tient à « souligner le travail effectué depuis 30 ans par les bénévoles de l’association », qui a encore «promu récemment l’histoire de Langeais avec une exposition des poupées Clodrey-Corolle qui a drainé plus de 11.000 personnes sur deux mois». Nul ne le conteste évidemment. Il ne s’agit pas ici d’opposer des associations méritantes du même territoire. L’article soulignait simplement l’originalité du fait que ce soit le musée de Chinon qui, durant toute cette année, consacre son exposition principale aux productions langeaisiennes. (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 26/02

(Chartres) Le grand dépoussiérage des œuvres

Le tableau de Sainte Lucie, signé en 1636 par Francisco de Zurbaran, est l’une des raretés du musée des Beaux Arts de Chartres. Le nom de la sainte, invoquée pour la guérison des malades, évoque la lumière. Installé depuis deux ans face à une grande baie, il était paradoxalement trop éclairé. En arrivant à la tête du musée en novembre dernier, la conservatrice Séverine Berger a souhaité déplacer rapidement cette œuvre. Elle est visible désormais au dessus de la cheminée de l’un des premiers salons de l’ancien palais de l’Évêché. Ce déplacement est néanmoins loin d’être anecdotique. «Dans cette salle, tous les tableaux ont été décrochés et dépoussiérés. Ce n’est pas un détail, c’est de la conservation préventive, qui évite ensuite de lourdes restaurations» explique la conservatrice. «Les agents ont suivi une formation pour apprendre à enlever la poussière, qui peut retenir des insectes, et l’humidité qui peut altérer les œuvres. On ne fait pas n’importe quoi. Des pinceaux et un aspirateur spécial à filtration absolue sont utilisés. L’équipe a appris à diagnostiquer un tableau.»
+ Le grand public est convié à redécouvrir des trésors méconnus
L'Echo, 01/03, p.7

(Orleans) Quand l’art se savoure à l’oeil

Les allées du musée des beaux arts grouillent de monde en ce dimanche 2 février : environ 700 personnes. Une très belle fréquentation. La moyenne, un 1er dimanche du mois, tourne aux alentours de 400. Jeunes enfants avec leurs parents ou grands parents, touristes, étudiants, chômeurs, artistes… La gratuité, beaucoup viennent exprès pour en profiter. Pour découvrir ou redécouvrir.
RC, Orleans, 02/03, p.9

(Dordives) «Le verre à cœur» en expo au musée

«Le verre présente la faculté d’irradier la lumière de l’intérieur », écrit Natacha Mondon qui, avec Éric Pierre, expose une trentaine d’œuvres au musée du Verre et de ses Métiers à Dordives depuis hier et jusqu’au 18 mai. Lors du vernissage, le sous préfet Paul Laville, dont c’était la première visite au musée, a rendu hommage à « l’inspiration, ce don de l’âme » qui anime ces deux artistes installés à la Selle sur le Bied depuis trois ans. C’est en réalisant une commande pour le cloître des Billettes à Par is qu’ils «rencontrent» le verre : une série d’anges va voir le jour, intemporels, lumineux, traversés d’infini. Ils vont alors explorer de multiples techniques verrières (thermoformage, casting, fusing) qui aboutiront à des oeuvres où l’esprit s’exprime avec grâce, élégance et sensualité. Une énergie palpable rayonne au travers des créations d’Éric et Natacha. Leur talent est reconnu par de nombreuses récompenses, dont la plus récente est le Prix départemental des métiers d’arts décerné par le conseil général.
RC, Orleans, 02/03, p.18

(Argenton-sur-Creuse) Deux siècles de costumes militaires

La fermeture annuelle du musée de la Chemiserie et de l’élégance masculine est l’occasion de réaménager des vitrines. Elle permet aussi de préparer la première exposition de la saison, à voir jusqu’à début décembre. Depuis le 15 février, le thème de La guerre à travers ses uniformes est abordé à travers vêtements, accessoires et documents. «Nous avons voulu retracer l’histoire du costume militaire, du XVIIIe siècle à la Seconde Guerre mondiale», résume Nathalie Gaillard, directrice, en présentant des tenues qui se sont adaptées progressivement aux innovations techniques de l’armement.
Nr, Indre, 02/03, p.11


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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMar 25 Fév - 10:50

Archéologie région Centre

Source : panorama de presse de la DRAC Centre

Un diagnostic archéologique à Chambord

Des photos du diagnostic archéologique réalisé à Chambord en 2012 sont en ligne sur l'iconothèque de l'Inrap.
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Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 3 Mar - 10:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMar 25 Fév - 10:51

Patrimoine région Centre

Source : panorama de presse de la DRAC Centre

(Abondant) Le retable retrouve son faste d’antan

En 2013, le conseil municipal d’Abondant avait décidé de consacrer une partie de ses finances pour sauver le patrimoine communal et religieux. En coordination avec le Père Jacques Pottier, le choix de la remise en état de pièces maîtresses s’est porté sur les sculptures de Saint Roch, Saint Benoît et Saint Sébastien et sur le tableau du retable du maître autel, La résurrection du Christ.
Après de plus de trois mois d’absence, le tableau vient d’être remis en place. «Il a été magnifiquement restauré par Quentin Anguillère qui a travaillé dans son atelier du sud parisien», indique Martine Gerseaux maire adjoint. Cette restauration a été financée par l’État, le Conseil Général et la Commune d’Abondant.
L'Echo, 24/02, p.17

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (47) Sur la piste des Forges disparues

Nous avançons sur le petit chemin de la prairie de Dournon, aux confins du quartier des Forges. La patouille hivernale, sous les semelles, n’entame en rien la quiétude des lieux. Qui fait oublier qu’on est – presque – encore en ville. Au bout du sentier, les eaux de l’Yèvre et un barrage. D’un côté, la rivière suit son cours, va tutoyer le canal de Berry et rejoint le centre de la ville. De l’autre, une dérivation. Elle est longée par notre chemin et va alimenter l’étang. Nous sommes devant un témoin du temps où balbutiait l’industrie vierzonnaise. Ce canal, après avoir fait tourner les moulins vierzonnais, a servi à alimenter en eau les forges de Vierzon. Celles qu’avait voulues en 1779 le comte d’Artois, qui allait devenir le monarque Charles X. Celles qui, en 1863, rachetées par la Société des forges de Chatillon Commentry, devinrent une pointerie – «la» pointerie, qu’ont connue des générations de Vierzonnais, jusqu’à sa fermeture, en 1978. En revenant sur nos pas, on rejoint l’étang auquel les forges ont donné leur nom. Il abreuvait la manufacture, qui s’élevait de l’autre côté de la rue, bien plus large aujourd’hui qu’autrefois. L’usine n’est plus qu’un souvenir, sur les clichés sépia, dans les archives et les mémoires.
Le Berry, 24/02, p.15

(Blois) Tapisseries Langlois : 150 ans d’histoire

Les centaines de milliers de touristes qui passent devant chaque année se doutent-ils que La «Manufacture des tapisseries Langlois, maison fondée en 1865», sise rue de la Voûte-du-Château, abrite un siècle et demi de patrimoine et d’histoire ? Que de grands noms des arts et des lettres (Colette, Bernard Shaw, Paul Claudel, Edwige Feuillère), des têtes couronnées (de Belgique, Luxembourg et Suède) et même un futur pape (Mgr Roncalli avant de devenir Jean XXIII) ont fréquenté les lieux ? Et surtout que s’y cultivent l’art et la manière de restaurer des oeuvres uniques témoins du passé ou d’en concevoir de nouvelles ?
NR, Loir et Cher, 24/02, p.8

(Dreux) Le dépoussiérage va coûter près de 14.000 €

Après avoir été restauré voici une vingtaine d’années, l’orgue de Saint-Pierre va faire l’objet d’un grand nettoyage. La poussière n’est pas seulement l’ennemie de la ménagère. En s’accumulant dans les tuyaux de l’orgue de Cavaillé Coll, à l’église Saint Pierre, elle rend l’accord de ces derniers de plus en plus difficile à réaliser et, comme elle retient l’humidité, elle empêche les bois de respirer normalement. Aujourd’hui, il faut donc songer à faire subir un sérieux dépoussiérage à cet instrument. Lors du dernier Conseil municipal, François Lemonne, adjoint au maire, a présenté le détail des opérations à réaliser : nettoyage de l’ensemble de la tuyauterie et des parties instrumentales, reprise du réglage de toutes les transmissions de notes, révision de la machine Barker et de l’alimentation en vent. La facture s’élève à 13.867,68 €. L’orgue étant classé, l’opération pourra bénéficier d’une subvention de la DRAC (direction régionale des affaires culturelles) d’un montant de 4.622,56 €, le solde (9.245,12 €) restant à la charge de la Ville. (intégral)
L'Echo, 25/02

(Lourouer-Saint-Laurent) Marguerite effeuille ses cinq siècles

Depuis quelques jours, Madeleine se sent bien seule. Marguerite, dont elle partage l’existence depuis deux cents ans dans l’église de Lourouer-Saint-Laurent, est partie en voyage. Cette dernière aurait pu, comme toutes les cloches, attendre Pâques pour s’envoler vers Rome en sa compagnie, mais la coquetterie l’emporte souvent sur la raison. La vieille dame est allée se refaire une beauté  dans le Maine-et-Loire. Il faut dire qu’elle a de la bouteille, Marguerite. Née sous François Ier en 1514, elle a certainement célébré la victoire de Marignan avant de sonner bien des joies ou des peines. Ces derniers temps, son timbre s’éraillait et une visite quasi médicale a montré une altération de son tablier en cuivre et en étain, à l’endroit de la frappe. Ses anses étaient également usées et un lifting s’imposait. Le coût de l’opération (11.700 €) a incité la commune à faire classer cette vénérable pièce de patrimoine pour obtenir 70 % de subventions de l’État et du Département. Marguerite est donc partie pour la fonderie Trémentines après la descente solennelle de ses 280 kg.
Nr, Indre, 25/02, p.5

(Dreux) Le dépoussiérage va coûter près de 14.000 €


Après avoir été restauré voici une vingtaine d’années, l’orgue de Saint-Pierre va faire l’objet d’un grand nettoyage. La poussière n’est pas seulement l’ennemie de la ménagère. En s’accumulant dans les tuyaux de l’orgue de Cavaillé Coll, à l’église Saint Pierre, elle rend l’accord de ces derniers de plus en plus difficile à réaliser et, comme elle retient l’humidité, elle empêche les bois de respirer normalement. Aujourd’hui, il faut donc songer à faire subir un sérieux dépoussiérage à cet instrument. Lors du dernier Conseil municipal, François Lemonne, adjoint au maire, a présenté le détail des opérations à réaliser : nettoyage de l’ensemble de la tuyauterie et des parties instrumentales, reprise du réglage de toutes les transmissions de notes, révision de la machine Barker et de l’alimentation en vent. La facture s’élève à 13.867,68 €. L’orgue étant classé, l’opération pourra bénéficier d’une subvention de la DRAC (direction régionale des affaires culturelles) d’un montant de 4.622,56 €, le solde (9.245,12 €) restant à la charge de la Ville. (intégral)
L'Echo, 25/02

(Lourouer-Saint-Laurent) Marguerite effeuille ses cinq siècles

Depuis quelques jours, Madeleine se sent bien seule. Marguerite, dont elle partage l’existence depuis deux cents ans dans l’église de Lourouer-Saint-Laurent, est partie en voyage. Cette dernière aurait pu, comme toutes les cloches, attendre Pâques pour s’envoler vers Rome en sa compagnie, mais la coquetterie l’emporte souvent sur la raison. La vieille dame est allée se refaire une beauté  dans le Maine-et-Loire. Il faut dire qu’elle a de la bouteille, Marguerite. Née sous François Ier en 1514, elle a certainement célébré la victoire de Marignan avant de sonner bien des joies ou des peines. Ces derniers temps, son timbre s’éraillait et une visite quasi médicale a montré une altération de son tablier en cuivre et en étain, à l’endroit de la frappe. Ses anses étaient également usées et un lifting s’imposait. Le coût de l’opération (11.700 €) a incité la commune à faire classer cette vénérable pièce de patrimoine pour obtenir 70 % de subventions de l’État et du Département. Marguerite est donc partie pour la fonderie Trémentines après la descente solennelle de ses 280 kg.
Nr, Indre, 25/02, p.5

(Loches) 226.925

C’est, en euros, la somme que vient de toucher la Ville de Loches à l’issue d’une procédure judiciaire au long cours. En 2001, une partie du rempart du fort Saint-Ours s’est effondrée au droit des propriétés appelées Bobin-Boulanger. Quelques années plus tard, la commune avait dû financer la consolidation de la muraille afin d’éviter un nouveau sinistre, alors même qu’elle n’en était pas nécessairement propriétaire. Le Juge a récemment confirmé que l’État est bien propriétaire, lui enjoignant de payer pour ce chantier. L’État avait décidé dans un premier temps de faire appel. La Justice lui a demandé, en attendant la décision définitive, de rembourser la moitié du coût total des travaux à la Ville, soit 226.925,58 €. Cette somme est donc revenue dans les caisses de la commune. Et l’État a, depuis, retiré son appel. Il devrait donc sous peu faire un second versement du même montant à la Ville. (intégral)
Nr, Indre et LoireE, 25/02

(Vendome) Les murs de la ville ont désormais leur interprète

Une odeur de térébenthine plane encore sur les 160 m2 du Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine, le CIAP, qui sera inauguré mercredi soir pour ouvrir, jeudi matin à 10h aux visiteurs. La première salle accueille des «expo-dossiers». «Ce sont des expositions, petites en taille, qui sont appelées à changer, sans doute tous les neuf mois, au rythme des années scolaires», explique Laurence Guilbaud, conservateur du musée. Et pour donner le ton, les oeuvres exposées sont contemporaines, elles datent de 1940. Montrer, «éduquer le regard», précise Valérie Coiffard, animatrice du patrimoine. Tous les prétextes ont donc été utilisés pour aiguiser les connaissances du visiteur.
+ ••• Un chantier qui a duré près de trois ans
+ Billet de journaliste : Avec les doigts - Le CIAP ne révolutionne pas la manière de présenter le patrimoine mais il exploite de manière astucieuse les ressources du musée et du multimédia. Au-dessus du plus grand des écrans tactiles, on s’amuse à voir la ville sous toutes ses coutures. Plaisir enfantin de zoomer au maximum, de suivre le cheminement des rues qu’on croit deviner, de les recouvrir de plans des siècles précédents pour se rendre compte de leur évolution et voir le Loir lui aussi être déplacé au fil des siècles. Et tout cela dans une salle rénovée où nous toisent des habits religieux issus de l’église Saint- acques, des pièces venues du château ou de l’abbaye. À consommer sans modération. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 25/02, p.16

Le parc de Richelieu n’est pas à vendre !

Quel avenir pour le domaine de Richelieu ? Le récent rapport de la cour des comptes demandant la suppression de la chancellerie des universités de Paris a jeté le trouble aux confins de la Touraine et du Poitou.  Depuis 1930, le parc de 475 hectares et les vestiges du somptueux château bâti en 1631 par le Cardinal sont en effet la propriété (par donation) de cet établissement public dont la gestion est aujourd’hui fortement décriée. «La chancellerie ne sera pas supprimée et nous avons nullement l’intention de vendre le domaine de Richelieu», rétorque François Weil, le recteur de l’académie de Paris, qui est venu ces derniers jours en Touraine pour calmer les esprits et rencontrer les autorités locales. Si l’on en croit le porte-parole de l’institution, la chancellerie des 13 universités de Paris reste particulièrement attachée au domaine de Richelieu qui a été légué par les héritiers du Cardinal à la condition expresse qu’il demeure dans la sphère publique. «Ce domaine fait partie de notre patrimoine. Sa gestion est équilibrée. Il ne coûte pas un centime à l’État», insiste François Weil en saluant au passage le partenariat conclu avec la communauté de communes qui permet de préserver l’ouverture du parc au public.
Nr, Indre et LoireT, 26/02, p.7

Maisons paysannes : contre la standardisation

François Côme, paysan par profession et avocat des belles pierres par nature, mène ses troupes avec un enthousiasme très communicatif. Sans doute pour cela que l’association Les Maisons paysannes de Touraine compte aujourd’hui 500 adhérents et devient le premier département de France en nombre de sociétaires. «C’est l’amour du patrimoine qui nous rassemble», sourit le patron devant l’assemblée générale réunie samedi, aux halles de Tours. Grâce à de nombreux professionnels du bâtiment et de l’environnement arrivés à la retraite, l’association se bat sur tous les fronts pour sauvegarder l’exceptionnel bâti ancien de Touraine. «Nous luttons contre la pavillonnage des maisons anciennes. Petit à petit, les demeures sont standardisées et se ressemblent toutes. Voilà pourquoi nous intervenons également auprès des mairies pour les conseiller.»
Nr, Indre et LoireT, 26/02, p.7

(neuvy-le-roi) Restauration des registres de la commune

Un accord de principe est également donné aux devis établis par la Reliure du Limousin pour la restauration des registres état-civil de 1834 à 1840, celui des délibérations de la commune du 8 mai 1995 au 11 décembre 2003, ainsi que les registres des délibérations du C.C.A.S du 27 novembre 1796 au 10 février 1882 et du 23 novembre 1882 au 19 janvier 1928. (intégral)
Nr, Indre et LoireE, 26/02

(Chartres) Un chantier de 30 mois et de 4 millions


Les pèlerinages de la Pentecôte auront lieu à Chartres du 7 au 9 juin. Pour pouvoir accueillir sans encombre les milliers de pèlerins, c’est après cette date seulement que de grands travaux sont programmés dans la cathédrale. «Un énorme chantier se prépare. Nous lançons en ce moment les procédures administratives» indique Daniel Allazard, ingénieur du patrimoine au conservatoire régional des monuments historiques. Aux alentours du 10 juin, des échafaudages intérieurs et extérieurs seront installés pendant environ deux mois. Ils seront ensuite visibles dans le monument pendant une durée de trente mois. Après la restauration menée dans le choeur et le déambulatoire entre 2009 et 2012, l’objectif de la direction régionale des affaires culturelles du Centre (DRAC) est le même : restaurer les décors intérieurs du XIIIe  siècle, mais également les vitraux, qui seront protégés par des doubles verrières et l’ensemble des serrureries.
+ Le mécénat et les dons permettront de restaurer quatre vitraux
L'Echo, 28/02, p.6

(Vendome) Manège


Avec les travaux en cours de réfection de toute sa toiture, le grand manège Rochambeau s’offre un vrai bain de lumière. Une aubaine pour découvrir ce qui est, depuis des années, le discret dépôt lapidaire des monuments historiques régionaux avec des parties de sculptures abîmées par le temps… des cathédrales d’Orléans, de Tours, de Bourges, de La Trinité. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 28/02

(Saint Satur) Claude Cineau a tenu son dernier conseil municipal, jeudi

...Autre dossier à l’ordre du jour, l’abbatial Saint Pierre. La restauration des parties extérieures du baptistère, de la sacristie et de la chapelle Saint Guinefort, à savoir la réfection des couvertures et des charpentes, va être mise en place. Le coût de l’opération est estimé à 297.706 euros hors taxes dont un financement de l’État à hauteur de 296 euros et une participation de la commune de 2.600 euros. (intégral)
Le Berry, 01/03

(Le Boullay Thierry) Les Amis du patrimoine fêtent leurs dix ans

Entre autres, la restauration des cinq toiles principales de l’église et des sept premières stations du chemin de croix, la réalisation du panneau «histoire du village» avec le plan actuel de ses rues, la création d’une exposition permanente d’objets ruraux en mairie, l’identification du village comme étape sur le Chemin de Saint Jacques de Compostelle ; les objets souvenirs «made in Boullay Thierry» comme les cartes postales anciennes, les sets de table mais aussi les confitures. Les projets pour cette année comprennent la mise en place des panneaux d’information historiques permettant l’aboutissement d’un véritable «circuit patrimoine» dans le village, la restauration des 5 dernières toiles de l’église rendue possible grâce à l’aide décisive liée à la subvention, provenant de la réserve parlementaire du député Jean-Pierre Gorges, le voyage annuel qui sera consacré aux sites remarquables du Perche, une soirée concert, et la participation active de l’association aux Journées Européennes du Patrimoine.
L'Echo, 02/03, p.11

(Tours) Ils apprennent à lire les vieux documents

Tous les généalogistes le savent : la principale difficulté de leur activité tient à la lecture des actes anciens. Pour les aider, le Centre généalogique de Touraine (environ 600 adhérents) a demandé hier à l’un de ses membres, Catherine Bas, de donner aux autres des éléments de paléographie. Une règle à la main comme une institutrice d’antan, elle montrait sur un écran quelques cas typiques. Détail amusant, un contrat de mariage du début du XVIIIe précisait que l’achat de la robe était à la charge du marié. Il doit aussi verser de l’argent à sa femme tant qu’elle n’a pas d’enfant. «Parfois, il y a des majuscules là où il n’en faut pas. Les abréviations étaient déjà nombreuses. Il arrive aussi que les lettres changent selon leur emplacement dans le texte. Le J et le I peuvent se confondre, comme le U et le V, et le G et le Q. Il faut isoler les graphies, prendre les jambages, afin de recomposer le mot», explique-t-elle. Selon les époques, des documents restent plus difficiles à lire que d’autres.
Nr, Indre et Loire, 02/03, p.2

(Vendome) Le Grand Manège se découvre

Face à la gendarmerie, le Grand Manège Rochambeau est aux mains des couvreurs et des charpentiers depuis le 6 janvier. Mai s , depuis quelques jours, un tiers de sa toiture d’ardoises angevines de Trélazé est retiré. Le temps pour les ouvriers de revoir l’état de la charpente et d’agir sur les maçonneries hautes de pierre de tuffeau, qui, pour certaines, portent les affres de l’âge. Le manège a en effet été construit entre 1856 et 1857, pour répondre aux besoins de l’instruction des cavaliers militaires. Un long bâtiment de 1.300 m2 percé de fenêtres en demi cercle et surtout doté d’une charpente exceptionnelle. «Elle est en effet conçue par le système inventé en 1837 par l’ingénieur Camille Polonceau», rappelle Pascal Chauveau, technicien des Bâtiments de France, rencontré jeudi lors d’une visite de chantier. Un chantier de réhabilitation de 873.000 € TTC, totalement à la charge du ministère de la Culture.
Nr, Loir et CherS, 02/03, p.18


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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 26 Fév - 14:39

Source : lemonde.fr

Visiteurs rares, addition salée : à Biarritz, la Cité de l’océan fait des vagues

Double vague comme posée face à la mer, la Cité de l’océan aura suscité à Biarritz autant de diatribes qu’elle a amené de visiteurs, selon de mauvaises langues. Elle s’est ouverte le 26 juin 2011, et c’est d’abord son financement qui a créé des remous. Confié par la ville à l’architecte new-yorkais Steven Holl, le site s’étend sur 3 500 m² et sa réalisation a été votée par le conseil municipal, le 24 septembre 2004.
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 26 Fév - 14:42

Élections municipales

Source : lemonde.fr

Le musée qui affole l'arène politique nîmoise

Pour l'heure, c'est une longue et haute palissade, très opaque, mais ornée de séduisantes images et d'une belle promesse : «Ici, l'histoire a de l'avenir. » Face aux célèbres arènes doit se construire à Nîmes (Gard) le futur Musée de la romanité, dont l'ouverture est prévue en 2018. Il remplacera l'ancien bâtiment vétuste qui abrite non loin les collections archéologiques de la ville. Sans nul doute, le plissement de verre translucide et flottant qui s'étirera sur la façade du bâtiment, signé par l'architecte Elizabeth de Portzamparc, donnera une juste réplique à sa monumentale voisine. Mais, passé l'attrait de ses atours, et de son programme muséographique qui fera largement appel aux reconstitutions en 3D et à la réalité augmentée, le projet ne laisse d'interroger. Quelle en sera la validité économique, sociale et régionale, pour une ville qui détient le record de France de la fiscalité locale, et tandis qu'à moins de 150 km, à Narbonne, un autre musée antique doit voir le jour en 2016 ?
Le Monde, 25/02, p.11

A Blois, l’ombre de la Fondation du doute plane sur l’héritage de Jack Lang

Ils aimeraient ne pas être d’accord les uns avec les autres. Une campagne électorale sans conflit, c’est comme un 14-Juillet sans flonflons. Mais l’échiquier politique de Blois est désespérément raccord : leur patrimoine, c’est leur richesse, et ce patrimoine retrouvé, ils le doivent à Jack Lang (PS) – ses réseaux, ses boîtes à idées, ses « lignes de crédit » – lorsque celui-ci occupa le poste de premier magistrat de la ville de 1989 à 2001.
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Guerres des roses à Moissac

Pelleteuses et ouvriers terminent les travaux du jardin qui jouxtera au printemps l'abbatiale de Moissac, dont le cloître est répertorié parmi les « chefs d'œuvre de l'art roman » sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. « Ça sera très bien mais ça coûte cher et ça ne changera rien au quotidien des habitants », grince Me Pierre Guillamat.
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A Bourges, on enterre bien la Maison de la culture

Le cultuel et le culturel n'auront pas de tours jumelles à Bourges. Tandis que la cathédrale n'en finit pas de se refaire une beauté, la Maison de la culture, dont il ne reste que la façade Art déco de brique rouge, à un jet de pierre de l'église Saint-Etienne, nourrit une « guerre civile » entre les Berruyers, pratiquants ou non. La restauration de la première Maison de la culture, inaugurée en 1963 par André Malraux, alimente depuis plusieurs mois un long feuilleton (Le Monde du 3 mai 2013).
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Vol d'un tableau de Gérard à Versailles

Source : lefigaro.fr

Un tableau du château de Versailles disparaît

La direction n'arrive plus à mettre la main sur le Portrait du comte Regnault de Saint-Jean d'Angély peint par le Baron Gérard. Une plainte contre X a été déposée.

Consternation au château de Versailles! Un petit tableau du Baron Gérard, intitulé Le Portrait du comte Regnault de Saint-Jean d'Angély a purement et simplement disparu. «La dernière fois que nous l'avons vu de manière certaine, c'était en 2010, au cours de l'inventaire que nous menons», indique-t-on au château de Versailles.
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Source : latribunedelart.com

Un petit portrait de François Gérard volé à Versailles


Vol - Versailles, Musée national du Château et des Trianons - De l’utilité des expositions... Un tableau de François Gérard représentant le portrait en pied du comte Regnault de Saint-Jean d’Angély a disparu des réserves du château, une information donnée par Le Parisien et confirmée par le musée. Ce vol n’a pu être constaté que le 14 février alors que la Réunion des Musées Nationaux avait demandé à voir l’œuvre pour la comparer au grand format, également conservé à Versailles, et qui sera prêté à partir du 29 mars prochain à Fontainebleau pour une rétrospective de l’œuvre de portraitiste de Gérard.
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 26 Fév - 16:13

Source : lefigaro.fr

Vase brisé à Miami: Ai Weiwei «ne s'inquiète pas beaucoup»


Au Perez Art Museum de Miami, Maximo Caminero, peintre dominicain, a brisé un vase à un million de dollars du célèbre artiste et dissident chinois en signe de protestation. Contacté par CNN, l'artiste réagit avec flegme à ce pseudo-acte artistique.

«Souviens-toi du vase de Soissons» avait lancé Clovis au soldat qui avait osé briser son urne, avant de lui fendre le crâne à coup d'épée. Espérons que Maximo Caminero ne subisse pas le même sort. Lui aussi a brisé un objet de valeur. Un million de dollars dispersé façon puzzle. Lors d'une exposition au tout nouveau Perez Art Museum de Miami dédiée à l'artiste dissident et assigné à résidence, Ai Weiwei, l'impétueux a délibérément lâché l'œuvre à terre. Un vase vieux de 2 000 ans que le Chinois avait transformé en œuvre contemporaine en le trempant dans des couleurs vives.
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 26 Fév - 16:25

Source : latribunedelart.com

La Semaine de l’Art n° 7 - 20/2/2014 - Invité : Paul Lang


En savoir plus
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 26 Fév - 16:27

Centenaire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Loiret) Poignants écrits de la Grande Guerre

«Quant à moi, je voudrais bien être seulement cent ans plus vieux pour avoir oublié cette histoire là», confie dans une lettre à sa mère Achille Sailleau, le 30 août 1915. Une semaine plus tard, le caporal du 331e régiment d’infanterie, originaire de Chilleurs aux Bois, meurt au champ d’honneur. Poignant témoignage. Comme la plupart des correspondances de Poilus à leurs proches. Ces écrits font l’objet d’une exposition jusqu’au 7 mars, en accès libre et gratuit dans le hall de l’Hôtel du Département, 15, rue Eugène Vignat à Orléans. «La République du Centre, pour avoir lancé, en février 2013, un appel aux dons auprès des familles du Loiret, a largement contribué à la richesse des documents et pièces présentés sur les dix neuf panneaux de cette exposition», expliquent, de concert, Karine Pinault et Françoise Lemarié, responsables aux Archives départementales et chevilles ouvrières de l’expo. Cela avec l’appui de Sylvain Négrier, professeur d’histoire au lycée de Beaugency. Soixante dépôts ou dons, émanant de Loirétains, ont ainsi été réalisés. Des lettres, des affiches, des tickets de rationnement : autant de petits morceaux du quotidien, tantôt synonymes de courage, de souffrance, de douleur ou d’espoir.
Rc, Orleans, 26/02, p.3
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeMer 26 Fév - 16:31

Source : latribunedelart.com

Après la démission de Michel Draguet du Cinquantenaire, quel avenir pour les musées bruxellois ?

Le plan de réformes des institutions scientifiques fédérales recalé par le ministre de tutelle

Un avis de tempête avait été lancé ces dernières semaines avec une journée du lundi 10 février annoncée comme particulièrement agitée pour les projets de réformes que l’Administration belge de la politique scientifique cherchait à faire passer depuis plus de trois ans (voir notamment). Très contestés par plusieurs directions et de nombreux membres du personnel des institutions, leurs promoteurs avaient été contraints de revoir les plans en question.
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Enrichissement des musées

Source : latribundelart.com


Une commode de Louis XV offerte à Versailles

Acquisition - Versailles, Musée national du château et des Trianon - C’est une commode royale qui vient d’entrer au Château de Versailles, donnée par la Fondation Edmond J. Safra. Destinée à orner la chambre de Louis XV au Château de Choisy, elle fut achevée en 1744 par Antoine-Robert Gaudreaus, ébéniste du Garde-Meuble de la Couronne de 1726 jusqu’à sa mort en 1746.
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Orphée et Eurydice de Nicolas de Bar acquis par le Musée Barrois

En juillet dernier, Bar-le-Duc lançait une souscription pour l’acquisition, auprès de la galerie F. Baulme Fine Art à Paris d’un tableau de Nicolas de Bar, signé et daté de 1654, représentant Orphée et Eurydice. Nous renvoyons à la brève que nous avions consacrée à ce sujet pour en savoir davantage sur cette toile.
L’appel à la générosité des particuliers a permis de réunir plus de 12 500 € grâce à 111 donateurs ayant offert en moyenne 115 €. Le reste de la somme (soit tout de même plus de 80% des 66 500 € qu’ont coûté l’œuvre) a été complétée par les collectivités territoriales (Communauté d’Agglomération de Bar-le-Duc Sud Meuse, Conseil Général de la Meuse, Région Lorraine) et l’État.
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Une statuette de Ferdinand d’Orléans acquise par le Musée de la Vie Romantique

Les descendants de Louis-Philippe vendent les meubles, peu à peu, depuis plusieurs années... Le 2 décembre dernier, la SVV Delorme et Collin du Bocage organisait à l’hôtel Drouot une nouvelle dispersion de « souvenirs royaux provenant de la famille d’Orléans ». Heureusement, le Musée de la Vie Romantique a pu préempter à cette vente trois œuvres qui seront désormais conservées rue Chaptal.
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Source : latribunedelart.com

Samaritaine et Serres d’Auteuil : dernières nouvelle des prétoires

Le temps de la justice n’est décidément pas celui des démolisseurs. On se souvient du titre de notre article consacré à la décision stupéfiante (pour parler par euphémisme) de la juge des référés du Tribunal administratif de Paris qui avait conclu, le 8 juillet dernier, à l’irrecevabilité de la contestation par les associations des deux permis de construire concernant la Samaritaine.
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeLun 3 Mar - 10:27

Source : lefigaro.fr

Taxidermie : la (deuxième) vie des bêtes

Taxée hier d'art poussiéreux, la taxidermie a retrouvé une vitalité grâce au talent d'artistes passionnés. Aperçu de quelques magnifiques spécimens visibles à l'exposition « Nuit » de la Grande Galerie de l'évolution.

Si vous parlez encore d'animaux «empaillés» et pensez que ces œuvres sont réservées aux grands-mères que même la mort n'a pas réussi à séparer de leur caniche adoré, alors mettez-vous d'urgence au goût du jour. L'art de naturaliser les bêtes, que l'on appelle taxidermie, est bien vivant. On les voit partout, ces animaux revenus à la vie par la grâce des magiciens naturalistes.
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Source : lesechos.fr

La musique classique autrement

Longtemps l’apanage des grandes institutions, la musique classique investit de nouveaux lieux.

Si les salles comme Pleyel, Gaveau ou Molière (à Lyon) demeurent les temples de la musique classique, mélomanes et néophytes n’hésitent plus à pousser la porte de lieux moins conventionnels où écouter de la musique. Moins cérémonieux et plus accessibles, ces nouveaux lieux sont de plus en plus nombreux.
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MessageSujet: Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014)   Revue de presse (24 fév - 2 mars 2014) Icon_minitimeLun 3 Mar - 10:42

Source : lecroix-com

À Rome, les Carrache sous bâche

La restauration de la galerie des Carrache, au palais Farnèse de Rome, sera effectuée grâce au mécénat de la World Monuments Fund.

Ils vont disparaître aux regards de la dizaine de milliers de touristes visitant chaque année le palais Farnèse de Rome, et de ceux qui chaque jour travaillent ou sont accueillis à l’ambassade de France en Italie. À partir de ce mois de mars, les décors de la galerie dite des Carrache seront ensevelis sous les échafaudages, pour environ un an.
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