Revue de presse ( 12-17 janvier 2015)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre

(Tours) Musée de la Typo : l’avenir en pointillés

Sur le livre d’or, les commentaires noircissent des dizaines de pages et sont pour le moins élogieux. «Merci pour cette magnifique visite très instructive. C’était passionnant», a écrit un jeune visiteur. « Merci pour toutes ces explications et votre passion que vous partagez avec beaucoup d’humour», a glissé un autre. Des témoignages qui mettent en lumière la qualité du travail et de l’accueil de Muriel Méchin, président de l’Association de la typographie d’antan, qui gère le Musée de la Typographie, installé rue Albert-Thomas, dans le quartier de la cathédrale. Sur 70 m2, ce typographe à la retraite y présente une impressionnante collection d’objets et matériels anciens (comme des presses taille-douce et typographiques) amassés pendant quarante ans. Il s’appuie sur ce patrimoine pour raconter aux visiteurs de tous âges (1.000 à 2.000 chaque année), y compris étrangers, l’histoire du papier et de l’imprimerie. Des ateliers pratiques sont même proposés aux scolaires, qui s’initient à la création de papier (à partir de boites d’oeufs) et jouent ensuite les apprentis imprimeurs. Ludique et pédagogique. Mais l’avenir du musée s’écrit aujourd’hui en pointillés. «L’immeuble l’abritant (depuis trois ans, NDLR) a été vendu, et on va sûrement perdre nos locaux, dont le bail arrive à échéance en mars», explique Muriel Méchin, qui a sollicité l’aide de la municipalité pour tenter de dénicher un nouveau lieu d’accueil. Avec un loyer forcément modeste, car le  musée, dont l’entrée est gratuite, ne roule pas sur l’or. Si aucune solution n’est trouvée, son sort sera malheureusement scellé, selon son créateur : «Ce sera la fin, je serai obligé de tout vendre…» (intégral)
NR, Indre et Loire, 13/10

(Montargis) Le P’tit Musée voit les choses en grand

Le P’tit Musée Girodet présente depuis le 6 janvier sa nouvelle exposition, intitulée Collection en jeux. «Le thème choisi est en lien  avec celui du prochain Salon du livre, en mars», explique Myr iam Portal, chargée des publics et plasticienne. Les quelques pièces présentées dans la lumineuse (autant qu’exiguë) galerie de la rue Dorée sont toutes piochées dans la collection du musée montargois : Moreau, Chaplin, et bien sûr Anne-Louis Girodet sont quelques uns des artistes exposés. Il y a aussi une maquette de
pirogue et un awalé (jeu de société africain). En parallèle, et comme à chaque nouvelle exposition, des ateliers sont proposés aux Montargois, adultes et enfants. Le programme de toute l’année a dans la foulée été dévoilé. Un menu gastronomique pour les gourmets affamés d’art.
RC, Loiret, 15/01, p.15

(Vierzon) Trois oeuvres de Karcher au musée

«Elle voulait que ses œuvres rejoignent Vierzon car son cousin avait un attachement particulier pour la ville pour laquelle il a créé le monument aux Morts et le square Lucien Beaufrère», raconte Fleurance Lachaud devant les sculptures sur  bois d’Eugène Henry Karcher dont le musée vient de faire l’acquisition suite à un don. La responsable du pôle patrimoine musées au service culture et patrimoine a rencontré Louisette Pineau, cousine de l’architecte statuaire, aujourd’hui âgée de plus de 90 ans, vivant désormais en maison de retraite en Ille et Vilaine. La ville entretient des relations régulières avec cette descendante de Karcher qui a décidé de faire don au musée de trois sculptures sur bois réalisées dans les années 1920 : L’âge de la pierre, Derniers rayons et La tête de chien. Louisette Pineau possède, aussi, de nombreuses archives de l’architecte qu’elle a confiées aux Archives départementales du Maine et Loire. Le 24 septembre dernier, la commission interrégionale des musées de France, réunie à Orléans (Loiret), a émis un avis favorable «à l’unanimité» pour l’acquisition de ces pièces. «La procédure est en cours», précise Fleurance Lachaud. Les pièces seront à découvrir à partir du 17 février, jour de la réouverture du musée au public.
Le Berry, 16/01, p.19

(Tours) Peintre de la lumière

L’actuelle exposition temporaire du musée des Beaux-Arts de Tours, consacrée au peintre Édouard Debat-Ponsan, vaut de s’y attarder, de se plonger  dans l’oeuvre prolixe de ce peintre attaché à la Touraine et dont le petit-fils, Olivier Debré, disait «se sentir très proche». Ce ne sont pas moins de 80  tableaux d’Édouard Debat-Ponsan que le musée des Beaux-Arts a accrochés et mis en valeur grâce à une scénographie basée sur la couleur, la modernité et des clins d’oeil biographiques, comme ces agrandissements de photos noir et blanc de la famille du peintre ou celles prises dans son atelier parisien, qui donnent une touche très personnelle à cette grande exposition. «Parmi les 80 peintures exposées, explique Sophie Join-Lambert, commissaire générale de l’exposition et directrice du musée des Beaux- Arts de Tours, un très grand nombre n’avait jamais été montré. Beaucoup sont encore conservées chez des descendants de l’artiste.»
NR, Indre et Loire, 16/01, p.30

Le safari au mammouth ouvert au Muséum de Tours

Par Crao, les mammouths reviennent ! Les enfants, à qui la nouvelle exposition du Muséum de Tours est prioritairement destinée, ne manqueront pas d’être impressionnés par cet animal à trompe (proboscidien) sorti d’Afrique il y a 2,5 millions d’années. Inversement proportionnelle à la taille de l’animal, l’exposition est très pédagogique, avec dix panneaux plus la présentation d’animaux naturalisés contemporains du mammouth. L’un des mérites de l’exposition est de lutter contre les idées venues. Sur le rôle des défenses par exemple. Elles ne servaient pas tant à éloigner les prédateurs qu’à disperser la neige pour trouver, dessous, de l’herbe.
NR, Loir et Cher, 16/01, p.9

(Saint Amand) Les apprentis bijoutiers à l’honneur

«Du croquis préparatoire à la fabrication finale, les lycéens élaborent intégralement leurs bijoux. Pour eux, c’est la première fois», explique Jean-Pierre Marcadier, enseignant et coordonnateur du projet au lycée saint amandois, spécialisé notamment dans les métiers du bijou. Des travaux qui seront à admirer dès mercredi dans le cadre de l’exposition Bijoux européens 2015 : un bijou qui voyage, à la Cité de l’or. «Nous collaborons régulièrement avec d’autres pays européens. Mais cette fois, le projet Un bijou qui voyage (qui s’étend au total sur une durée de trois ans, NDLR) s’inscrit dans le cadre du programme européen Erasmus +, précise Jean-Pierre Marcadier. Nous sommes en partenariat avec quatre autres établissements scolaires en Belgique, en Italie, en Espagne et au Portugal, qui exposeront eux aussi leurs bijoux.» À raison d’une vingtaine de pièces sélectionnées par établissement, ce sont en tout une centaine d’objets – parmi lesquels bagues, broches et pendentifs – qui seront exposés la semaine prochaine.
Le Berry, 17/01, p.28

(Salbris) Un écomusée ouvrira ses portes en février

Jean-François Vernusset, Salbrisien de souche, s’est toujours impliqué dans des activités liées au tourisme. Il va ouvrir un écomusée en réponse aux attentes des touristes mais aussi des habitants de la région qui veulent «redécouvrir l’authenticité de la vie d’antan». Installé dans une longère près du centre ville, le lieu présente les activités du métier de ferblantier et un superbe four à pain. Sa famille est installée depuis six générations dans les lieux magnifiquement conservés. L’écomusée possède de nombreux outils d’origine puisque l’activité de ferblantier, née en 1784, s’est développée jusque dans les années 1920 pour prendre fin en 1980.
Le Berry, 18/01, p.12

(Vatan) Un Musée du cirque rouge et or

Accueilli avec des gazouillis d’oiseaux sitôt la porte passée, le Musée du cirque de Vatan, ouvert toute l’année, plonge le visiteur dans l’ambiance des grands soirs de spectacle, avec son décor rouge et or. Composé de six salles d’exposition, le Musée retrace l’histoire des origines du cirque à nos jours à travers des objets, des affiches, des matériels utilisés par les artistes. Le lieu possède quelques pépites, comme ce smoking blanc porté par Roger Lanzac lorsqu’il présentait la fameuse Piste aux étoiles. Chaque année, le musée s’enrichit d’une exposition temporaire. Cette année, la thématique choisie est Le cinéma au cirque. Denis Granai, directeur de production des studios Vidéomage de Boulogne-Billancourt, qui a réalisé de nombreux films sur le cirque, prête ainsi affiches, photos et scénarios à découvrir dès à présent. Autre temps fort à inscrire sur les agendas : le 8e Festival de Vatan en piste se déroulera du 19 au 21 juin.
NR,Indre, 18/01, p.11

Patrimoine région Centre

Source : site Drac Centre

L’hôtel Goüin dévoile sa façade restaurée à Tours (37)

Les portes de la cour de l’Hôtel Goüin, propriété du Conseil général d’Indre-et-Loire, rue du Commerce à Tours, vont s’ouvrir à nouveau du 13 décembre au 4 janvier 2015 !
Il est désormais possible d'admirer le résultat du vaste chantier de rénovation effectué sur la cour et la façade du monument, dont les sculptures datant du XVIe siècle étaient particulièrement dégradées.
Lire la suite : http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/Drac-Centre/Actualites/Actualite-a-la-une/L-hotel-Gouein-devoile-sa-facade-restauree-a-Tours-37

Source : Panorama de presse de la Drac Centre

(Chartres) 200.000 euros pour l’église Saint-Aignan

Chartres ne se limite pas à sa cathédrale, incontournable. Plusieurs églises valent le détour et nécessitent un entretien régulier. C’est pour cette raison que la Ville a débloqué de nouveaux moyens, pour des travaux dans les églises Saint Aignan et Saint Pierre. La somme de 200.000 euros est affectée à l’église Saint Aignan, pour, notamment, des reprises d’enduit et la mise en conformité du réseau d’eaux pluviales. La couverture, donnant sur le bas côté sud, sera refaite cette année. L’électricité sera mise aux normes à l’église Saint Pierre. L’aménagement des abords des églises est aussi envisagé, mais pas pour cette année. (intégral)
RC, Orleans, 12/01

(Saint Brisson sur Loire) Le maire, Claude Pléau, a prononcé un discours percutant lors de ses voeux

«La moindre des choses que l’on puisse dire, c’est que notre mandature a hérité d’un sacré cadeau», a déploré le maire, qui a poursuivi : «Je voudrais d’abord vous rassurer, le château va rester à Saint Brisson, mais s’il change de main, personne ne va venir le démonter pierre par pierre et le transporter au fin fond de je ne sais quelle province chinoise. Et il ne va pas mourir : sans doute va t il se reposer pendant un an, le temps de se refaire une beauté et de se relooker. Et sans doute aura t il une vocation plus touristique que culturelle.» «Le château sera vendu à un particulier, à un prix correspondant à l’évaluation qu’en a faite l’administration des Domaines, et non bradé comme je l’ai lu dans certains journaux. Lequel particulier s’obligera, après travaux, à l’ouvr ir au public avec gratuité d’accès pour les Saint Brissonnais !» Claude Pléau a ensuite une nouvelle fois justifié la décision de vendre. «On peut regretter que l’aventure s’arrête ainsi mais que peut on quand l’argent manque ? La commune ne peut pas seule faire face quand ses charges augmentent, ses ressources diminuent et quand les appels au secours que nous avons lancés restent lettre morte.» La décision définitive de vendre pourrait être prise dans les prochaines semaines par le conseil municipal.
+ Quelques mots pour les bénévoles
RC, Loiret, 10/01, p.20

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (74) Silence sur les eaux du bassin

On l’appelait la «gare d’eau». Ou encore «la tourne», car les fameux «bés de canne», ces embarcations typiquement  berrichonnes, pouvaient y faire demi tour. Aujourd’hui envahi par le silence, troublé par le seul bruit des trains circulant sur la ligne ferrée toute proche, le bassin des Forges bouillonnait autrefois d’activité. C’était au temps de l’âge d’or du canal de Berry. De l’ouverture de la voie d’eau à Vierzon, au début des années 1830, jusqu’à son déclassement en 1955, de nombreux bateaux
se sont amarrés aux quais du vaste plan d’eau. Et bien plus encore l’ont traversé. Pour se rendre à Vierzon, les mariniers venant de Mehun sur Yèvre devaient passer par le bassin, avant de franchir l’écluse des Varennes, à hauteur du Vieux Domaine. Ils parcouraient ensuite
le long bief qui rejoint le bassin du centre ville.
Le Berry, 12/01, p.13

(La Ferté Vidame) C’est au tour de Berthe et de Mauricette

La cloche, nommée «Jean Joseph Rosalie» a été fondue en 1769 par Nicolas Simonnot, et elle est classée aux Monuments historiques par un arrêté de juin 1943. Elle vient de faire l’objet d’une réparation par l’entreprise Goujeon, spécialisée dans ce genre d’opérations. Elle avait besoin de renforcement, présentant des usures mécaniques à l’intérieur, notamment du côté Est par la frappe du battant, et également à son attache. Le coût ces réparations s’élève à 7.500 € et a été financé par la Commune. La population a pu découvrir cette cloche dans le chœur de l’église Saint Nicolas, et y voir les inscriptions sculptées dans le bronze, mentionnant sa nomination.
L'Echo, 12/01, p.16

(Issoudun) Parc Saint-Bernard : pour découvrir la chapelle

Nous avons le devoir moral de l’entretenir et nous avons commencé, l’an dernier, à défricher les abords de cette chapelle tout à fait étonnante. Aujourd’hui, j’ai lancé un appel aux bonnes volontés pour poursuivre ce nettoyage, lance le père Olivier, curé de la paroisse. Construite vers 1850 dans le parc Saint-Bernard à Issoudun, cette chapelle qui appartenait à la famille de Bonneval, a été donnée à l’archevêché en 1927, par le vicomte Bernard de Bonneval. Il est d’ailleurs enterré dans la crypte avec d’autres personnages importants comme le comte du Quesne, fusilier marin, mais aussi des députés, des capitaines de vaisseaux, etc. Cette chapelle avait bien besoin d’une toilette importante.
NR, Indre, 12/10, p.14

(Saint Brisson sur Loire) Château : « Réfléchissez bien, M. le maire »

Le comité de soutien aux Amis du château de Saint Brisson n’a pas apprécié du tout l’éditorial du maire Claude Pléau dans le bulletin municipal de  décembre. Voici sa réponse. «Cadeau empoisonné, dites vous, à propos du château de Saint Brisson ? « Non, non et non ! Anne et Marie Brigitte de Ranst ont fait aux habitants de Saint Brisson un magnifique cadeau : leur château, celui qui est notre fierté, celui que tous nos voisins nous envient car  il illumine notre coteau (quand vous voulez bien l’éclairer), car il rayonne sur tout le Giennois et bien au delà par l’impact culturel et touristique dont il inonde notre région, marquant fièrement l’entrée du Val de Loire dont il est le premier château. ...
RC, Loiret, 13/01, p.20

(Cormainville) Les travaux de l’église au cœur des vœux

Samedi après midi, une centaine de Cormainvillois sont venus à la salle des fêtes pour écouter les voeux de Jean Luc Legrand, maire. Après le rappel de ceux exécutés en 2014, il a expliqué qu’un seul chantier serait lancé cette année : la restauration du chevet de l’église Saint Pierre (couverture, zinguerie, rejointoiement des maçonneries de pierres et restauration des vitraux). Cette partie de l’église pourrait dater de son origine, soit environ 1.000 ans, donc un patrimoine à conserver. Le montant des travaux est estimé à 150.000 euros. Afin d’obtenir plus de financements, la commune a signé, à l’issue de la cérémonie, une convention avec la fondation du patrimoine. Celle ci permet d’ouvrir une souscription ouverte à tous. Si le montant des dons atteint 5% du montant des travaux, une subvention de 15% sera accordée par la fondation. (intégral)
RC, Orleans, 14/01

(Saint Bouize) L’église sera restaurée en 2015

C’est un gros et important chantier qui attend les habitants de Saint Bouize en 2015. L’église va en effet être restaurée, comme l’a annoncé le maire Anne-Marie Terrefond, samedi, lors des traditionnels vœux de la municipalité. Parmi les nombreux travaux, la voûte  en coque de bateau renversée sera refaite, ainsi que tous les murs à l’ancienne à la chaux. L’électricité sera mise aux normes sans oublier la sonorisation et la restauration des vitraux. Le montant global de ces travaux s’élève à plus de 130.000 euros. Ils sont subventionnés par le conseil général, la Fondation du patrimoine, le Sénat, les  souscriptions, la Région, les Amis de Saint Baudel, et la commune. La commune de Couargues a également participé.
Le Berry, 14/01, p.24

(Lucé) Des artisans aux doigts de fée

Ce sont des métiers qui nécessitent de la rigueur et de la minutie, mais aussi un vrai savoirfaire technique. Depuis lundi, deux artisans couvreurs et  deux ornemanistes métalliques (spécialisés dans la fabrication d’ouvrages artistiques en métal) participent, à Lucé, aux épreuves finales du concours  des Meilleurs ouvriers de France, dans leur spécialité respective. Pour la première fois, le lycée d’enseignement professionnel Philibert de l’Orme accueille, pendant quinze jours, des candidats à ce concours national. Philippe Binoist, professeur de couverture et délégué auprès des entreprises, se réjouit de la présence des concurrents dans son établissement. Les couvreurs doivent démontrer qu’ils sont capables de réaliser tous les types de couvertures existant dans les différentes régions françaises. Les ornemanistes doivent créer une lucarne en zinc, appelée oeil de boeuf.
L'Echo, 14/01, p.5

(Mazangé) De gros travaux en perspective à l’église

Samedi, lors de ses vœux, Patrick Brionne, après une minute de silence à la suite des attentats, a rappelé que la moitié des conseillers sont des nouveaux et qu’ils vont devoir faire face à un budget contraint par la baisse des dotations de l’État. A propos de la rénovation de la toiture de la sacristie et du choeur de l’église en cours d’achèvement, il précisait que «des mesures d’urgence ont dû être prises côté nef pour protéger des chutes de tuiles, ce qui complique le stationnement autour de l’église. Après plusieurs rencontres avec l’architecte des Bâtiments de France et l’architecte
de la Direction régionale des affaires culturelles, il s’avère que la restauration de la toiture de la nef est nécessaire, les premières estimations s’élevant à 300.000 euros.» Et le maire que préciser que l’année 2015 sera consacrée au montage du dossier pour la recherche de financements.
Nr, Loir et CherN, 14/01, p.16

(Tours) Face à la rédaction : L’hôtel Goüin, lieu culturel

Frédéric Thomas l’assure : il entretient «de bonne relations avec Serge Babary», maire de Tours et conseiller général. Les deux hommes partagent d’ailleurs, indique le président du conseil général, «une volonté commune de faire avancer le dossier du Centre de création contemporaine Olivier-Debré», qui va voir le jour sur l’ancien site de l’école des Beaux-Arts de Tours. A ce sujet, Frédéric Thomas annonce qu’il travaille avec Serge Babary pour «que l’hôtel Goüin (bâtiment du XVe siècle classé monument historique) fasse partie intégrante du CCC Olivier-Debré», posté dans son voisinage immédiat et dont l’ouverture est prévue au printemps 2016. Propriété du Département, qui a investi 1,173 M€ dans la réfection de sa façade (avec le concours de la Région et de la Drac), l’hôtel Goüin pourrait ainsi accueillir des résidences d’artistes ou encore des expositions. En attendant, le conseil général a décidé «de valoriser les lieux avec de l’événementiel», en les louant pour l’organisation de quatre ventes aux enchères en week-end par les commissaires priseurs Rouillac. Ces derniers s’acquitteront d’un loyer de 750 € par vente et reverseront 0,5 %du résultat net. (intégral)
NR, Indre et Loire, 14/01

(Rigny-Ussé) Avec ses 105.000 visiteurs Ussé retrouve le sourire

Il a remis la tête hors de l’eau. Le château d’Ussé, à Rigny-Ussé, renoue cette année avec le succès. Du moins, enraye-t-il l’érosion de visites subie les années passées, avec 104.500 personnes accueillies en 2014. « Une très bonne nouvelle » qui satisfait le duc Casimir de Blacas, propriétaire du château, et fait oublier deux exercices précédents décevants. Près de 100.000 visiteurs en 2013, loin du pic des 120.000 atteint en 2011. Si au château de la Belle au bois dormant, on scrute les variations de billetterie, le raisonnement est simple : une bonne année est synonyme d’investissements. La clôture de la saison, le 11 novembre, a notamment permis la réfection complète du pont d’accès. Un chantier lourd qui, «faute de moyens», était repoussé depuis trente ans. «Les arches n’auraient pas supporté le passage de  véhicules lourds comme ceux des secours ou le flux de touristes plus de deux ans supplémentaires», éclaire Jean Méré, fidèle bras droit du duc. Ussé va donc pouvoir respirer. D’autant que le château revient de loin.
NR, Indre et LoireW, 14/01, p.14

(Saint Denis en Val) Au château de l’Isle, chutes de pierres et de briques...

La semaine dernière, des pierres et des briques ont chuté du haut du château de l’Isle, fragilisant davantage encore l’édifice de Saint-Denis-en-Val. Inquiets, les membres de l’Association de sauvegarde du château de l’Isle (ASCI) et leur président, Bertrand Gault, font un appel aux dons, aux entreprises ou aux particuliers, à toute personne pour qui ce seul vestige Renaissance de la commune doit rester un témoignage des dernières colères de la Loire. Les démarches effectuées par l’association sont nombreuses ; en particulier, une étude préalable par un architecte du patrimoine, pour un montant de 13.000 euros, qui permettra d’analyser et de déterminer un programme d’action pour le confortement du château. Le résultat de cette étude est nécessaire pour mettre en place une souscription, par l’intermédiaire de la Fondation du patrimoine. L’association est en attente de financements demandés auprès du conseil général, de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) et de la municipalité, pour lancer la commande de cette étude. (intégral)
RC, Orleans, 15/01

(Cléry Saint André) La rénovation de la basilique approche

Lors de la séance du conseil municipal de lundi soir, un point à l’ordre du jour concernait les travaux sur la face nord de la basilique Notre Dame. Un chantier de plus d’un million et demi. À l’unanimité, le maire, Gérard Corgnac, a été autorisé à signer les marchés publics. Odile Bourgoin, adjointe chargée du patrimoine, a développé le dossier : «Trente et une entreprises ont présenté une offre, réparties entre les sept lots». Ainsi, pour l’année 2015, une première opération d’un montant de 725.603 euros sera lancée. «Un chiffre auxquels s’ajoutent, sur 2015, les honoraires des missions annexes déjà attribués», soit un total de 794.841 euros. Par ailleurs, à l’issue du vote, Odile Bourgoin a précisé que «nous avons une meilleure visibilité sur le plan de financement.
RC, Orleans, 15/01, p.21

(Assigny) Des travaux conséquents à l’église pour 2015

Après l’énumération détaillée et chiffrée des différents travaux exécutés en 2014, avec la poursuite du projet d’aménagement du centre bourg, Robert Guillot a indiqué que 2015 serait consacrée plus particulièrement à la restauration de l’église avec des travaux assez conséquents pour lesquels il sollicitera l’aide des pouvoirs publics et autres dons ou sponsors.
Le Berry, 15/01, p.23

(Chartres) Un nouveau cycle de visites

La plupart des visiteurs passent à côté de nombreux détails de la cathédrale. «Depuis deux ans, notre objectif, avec l’équipe du service accueil visites, est de détailler des aspects méconnus visibles sur les vitraux et les sculptures», explique Gilles Fresson, attaché au Rectorat. Trois cycles de visites ont déjà été organisés. Et dixhuit conférences ont déjà été suivies, chacune par une cinquantaine de personnes. L’observation dans la cathédrale est suivie d’une explication détaillée dans une salle du Cloître NotreDame. Le quatrième cycle Le quatrième cycle de visites va débuter le 8 février. Chaque conférence est proposée à deux reprises, le dimanche et le mardi suivant.
L'Echo, 15/01, p.8

(Voves) Sur le chemin de Gabriel

Suite à la réunion d’information une Assemblée constitutive a eu lieu, à la mairie de Voves, en présence de nombreuses personnes pour créer l’association «Le chemin de Gabriel». Elle a pour but de restaurer le chemin de croix de l’église représentant les personnages de la Bible sur fond de paysages de la Ville. Le titre de l’association, «Le Chemin de Gabriel», est adopté ainsi que les statuts et le bureau président de l’association : Hélène Schneider, secrétaire : Anne Dubreil, trésorière : Françoise Lavalade. Objectifs : des pratiques culturelles en vue de la restauration et de la réhabilitation de l’oeuvre picturale, de Gabriel Loire (1904 – 1996), dans l’église Saint-Lubin de Voves. L’organisation d’une souscription auprès des particuliers et toutes entreprises souhaitant soutenir cette action. L’organisation de concerts et de manifestations culturelles, sous toutes leurs formes afin de récolter des fonds pour la restauration des tableaux. (intégral)
L'Echo, 15/01

(Tours) Une souscription en ligne pour restaurer Saint-Martin

Pas encore officiellement lancée, mais confirmée par Serge Babary lors des cérémonies des voeux, une souscription pour la restauration du dôme et de la statue de Saint-Martin est déjà disponible sur Internet. Elle est même proposée en cinq langues puisqu’elle ne s’adresse pas qu’aux  Tourangeaux, saint Martin ayant une aura mondiale. Le maire avait lui-même mis cette délibération – votée à l’unanimité – à l’ordre du jour du conseil municipal du 17 novembre 2014, en annonçant «une campagne de mécénat, part le biais d’une souscription publique à destination des particuliers et des entreprises». «La signature publique entre la Ville et la Fondation du patrimoine devrait avoir lieu en mars, nous avons ouvert le site Internet avant la fin 2014 afin de permettre certains dons», confie Nicolas Diaz, chargé de mission pour la région Centre de cette fondation, dont les bureaux sont basés à Equatop, la zone économique de Saint-Cyr-sur-Loire. Cette association reconnue d’utilité publique gérera donc les dons – la mairie ayant renoncé pour des «difficultés administratives» – avec pour objectif d’atteindre le coût prévisionnel des travaux, chiffrés à 1,709 millions d’euros (M€) HT.
+ ••• Les Tourangeaux seront-ils généreux ?
NR, Indre et Loire, 15/01, p.12

(Chinon) Travaux à la chapelle Mirabeau

Une demande de subvention va être effectuée au titre de la Dotation d’équipement des territoires ruraux, pour des travaux d’aménagement (en trois phases) de la chapelle Mirabeau. Située dans le secteur sauvegardé, servant tant à l’école voisine qu’au conservatoire de musique et à diverses  associations, la chapelle a besoin d’une réfection urgente (toiture et façade ouest notamment) avant que son état ne se dégrade sérieusement. Cette première phase estimée à 220.000 € sera suivie de deux autres, notamment sur les baies, le chauffage, et l’aménagement de toilettes et vestiaires. (intégral)
NR, Indre et LoireW, 15/01

(Blois) Caserne

Depuis lundi, les choses bougent devant la caserne Maurice-de-Saxe avenue Maunoury. Les premiers signes ont été l’arrivée d’un camion blanc et l’installation d’une cabine de chantier. Hier mardi, de grandes bennes de couleur foncée sont arrivées devant le bâtiment central au fond de la cour. Elles se remplissent de tout ce qui encombre le bâtiment. Racheté en octobre 2014 par le groupe CIR, le début des travaux étaient annoncés pour janvier 2015. Il semblerait que le calendrier soit tenu. (intégral)
NR, Loir et Cher, 15/01

(Outarville) Le coq de l’église est revenu restauré

coq de l’église Saint Laurent, restauré, a repris place sur le faîte de l’édifice. Le clocher est ainsi orné de ses plus beaux atours. Un coq dont la symbolique parle à tous. C’est l’entreprise familiale Dru, implantée dans le secteur depuis 1946, qui s’est chargée des travaux. François et Frédéric, employés de l’entreprise, ont mené à bien cette œuvre. «Il aura fallu une demi journée pour le retrait, une demi journée pour refaire l’ossature métallique plancher et encore une demi journée pour réinstaller le coq», a dévoilé Thierry Dru. Le coût de l’opération s’élève à 3.200 euros hors taxes pour la municipalité. (intégral)
RC, Loiret, 16/01

Un web-documentaire sur la cathédrale de Linard nommé

Dans le cadre des sixièmes Rencontres nationales culture et innovation(s), qui auront lieu au Parc de la Villette, à Paris, le 6 février, un Prix Patrimoine & Innovation(s), récompensant le meilleur site Internet 2014, sera remis. Parmi les nommés, on retrouve le webdocumentaire de la Région Centre dédié à la cathédrale de Linard (http://jeanlinardpatrimoine.regioncentre.fr/). Il est possible de voter pour ce projet jusqu’au 19 janvier, 15 heures, à cette adresse : http://rnci.clicfrance.fr/prixpatrimoine/siteinternet. Le Club innovation et culture France (CLIC) est un réseau réunissant divers sites et lieux culturels sensibilisés à l’innovation technologique et numérique. (intégral)
Le Berry, 16/01

(Chambon sur Cisse) Les tranchées classées Monuments historiques

Le seul camp d’entraînement de la guerre 1418 connu en France. Les tranchées d’entraînement des Sablonnières, à Chambon sur Cisse (Loir et Cher), devraient être inscrites au titre des Monuments historiques d’ici peu. D’après La Nouvelle république, « c’est un historien local, Alain Gauthier, qui les a révélées au grand public au terme de nombreuses années de recherches». En juillet 2013, le label Centenaire leur a été attribué par la Mission Centenaire de la Première Guerre mondiale. L’association Vallée de la Cisse a permis leur classement aux Monuments historiques. Son but était de préserver ce site, certes resté vierge, mais qui risquait d’être abîmé par les promeneurs. Cette reconnaissance permettrait aussi de mettre en valeur la parcelle d’une surface de 23 hectares, en tant que lieu de mémoire des Poilus. (intégral)
L'Echo, 16/01

(Vrigny) Il faut sauver Notre-Dame de l’Assomption

Le maire Jean-Louis Javelot l’avait évoqué lors de ses vœux le 4 janvier : «L’église Notre Dame de l’Assomption risque une mise en péril si l’on s’en désintéresse.» Et pour cause : la structure des murs et de la voûte menace la sécurité des personnes. Un arrêté municipal a d’ailleurs été pris il y a un an interdisant l’accès au transept sud. Si rien n’est fait, il en sera sans doute de même dans un proche avenir pour le transept nord, le chœur et la sacristie. Autant dire que son accès serait probablement purement et simplement interdit. Trois architectes du patrimoine venus visiter l’édifice dans le courant de l’été dernier ont confirmé la nécessité d’entreprendre des travaux de réhabilitation afin de pérenniser le monument construit aux XIe et XVe siècles. Une étude préalable et une autre de maîtrise d’oeuvre sont en cours pour obtenir au plus vite un diagnostic estimatif des travaux à réaliser.
RC, Loiret, 17/01, p.13

(Saint Brisson sur Loire) Prémice de la vente du château

Le prochain conseil municipal de Saint Brisson sur Loire aura lieu la semaine prochaine, le jeudi 22 janvier, à 20 heures, à la mairie. À l’ordre du jour, un seul point et pas des moindres : «Déclassement du domaine public communal du château, de ses dépendances et de son parc suite à sa désaffectation.» On peut penser qu’il s’agit d’une procédure préliminaire à la vente du château, vente que le maire, Claude Pléau, annonçait dans le dernier bulletin municipal. (intégral)
RC, Loiret, 17/01

(Bourges) « Une vraie volonté d’ouverture »

Projet de nouvelle boutique, retour du Printemps, fréquentation en hausse… Entre bilan et projection, Élisabeth Braoun, qui a en charge le palais Jacques-Coeur, la tour et la crypte de la cathédrale, nous a reçus dans son bureau.
Le Berry, 17/01, p.10

(Chartres) Plus de 26 millions d’euros en 16 ans

Les nombreux touristes de passage à la cathédrale de Chartres ne manquent pas de commentaires sur les travaux en cours. Jean-Claude Flaris, sexagénaire venu de Caen, constate : «On voit bien la différence après le passage des travaux dans le centre de l’édifice. C’est superbe !» Depuis 2009, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) du Centre s’est engagée dans un vaste programme de restauration des cathédrales de la région. À Chartres, cette campagne est estimée à près de 14 millions d’euros, auxquels s’ajoutent 12 millions pour d’autres opérations, menées depuis 1998. Les résultats des travaux sont déjà spectaculaires, après cinq ans de chantier, comme le souligne Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des Monuments historiques.
+ Un chantier régulier sur le monument
+ Le mécénat américain prend de l’ampleur
+ «La mobilisation de l’État crée une dynamique de dons»
+ Les travaux en images et coût
L'Echo, 17/01, p.2

(Saint Lubin de la Haye) Des travaux en faveur du patrimoine

Chantal Deseyne sénateur, Évelyne Lefebvre conseiller général et Olivier Marleix député maire d’Anet ont assisté à la cérémonie de vœux de Philippe Sandrin maire de Saint Lubin de la Haye. Il a annoncé des travaux en faveur du maintien du patrimoine de la commune. «Pour les travaux à réaliser sur Saint Sulpice, les entreprises sont retenues. Nous n’attendons plus que l’accord de la Drac pour commencer. Je lance un appel aux dons à faire à la Fondation du Patrimoine. Il ne nous manque que 5.500 € pour obtenir une subvention de 25.000 €.»
L'Echo, 17/01, p.20

(Bonneval) Un vitrail de l’église Notre-Dame restauré

Depuis plusieurs années, un vitrail était endommagé au sein de l’église Notre Dame, à Bonneval. Les ateliers Loire sont venus de Chartres, mercredi, rénover l’oeuvre située au dessus de la tribune et derrière les orgues. Les ouvriers spécialisés sont restés sur place deux jours pour changer la tête de cet élément décoratif. Le coût de la restauration, financée par la Commune, s’élève à 5.160 € toutes taxes comprises. Ce vitrail et deux autres, dits «vitraux du crucifiement», ont été installés au cours de l’été 1899, lors de la grande période de restauration de l’église. Ils représentent le crucifiement de Jésus Christ, tandis que saint Jean et la Vierge Marie se tiennent debout, de chaque côté de la croix. À l’époque, M. Haussaire, artiste décorateur à Reims (Marne) et auteur du projet, aurait offert l’un de ces trois vitraux à l’église. (intégral)
L'Echo, 17/01

(Chateau Renault) Tour de l’horloge : un monument emblématique

Jeudi 18 décembre, une partie de la tour de l’Horloge s’écroulait créant un grand émoi dans la ville. Dans l’attente d’une restauration totale, Willy Mielczarek responsable du patrimoine a répondu à nos questions.
NR, Indre et LoireW, 17/01, p.28

(Orleans) Discrète et moderne église Jeanne-d’Arc

Il aura fallu près de 3 ans pour qu’elle sorte de terre, entre la prison et des immeubles flambant neufs. L’église Sainte Jeanne d’Arc et ses courbes modernes font partie du paysage depuis près de 50 ans. Peu connue des Orléanais, c’est elle qui a accueilli jeudi soir les représentants de toutes les religions, unis dans un moment de recueillement après les attentats. Cet édifice religieux est, en quelque sorte, la cerise sur le gâteau du quartier Gare naissant, à la fin des années 1950. «L’église locale a estimé qu’il y en avait besoin pour ce nouveau quartier, se souvient François Paumier, qui a fait partie de l’équipe de construction. L’ancienne gare se trouvait à l’emplacement de Place d’Arc. Ici, c’était le dépôt de locomotives.» Dès 1963, la paroisse se constitue. Le prêtre réunit un comité de laïcs qui refuse le projet proposé par l’architecte du quartier et lui préfère celui d’Even et Picard. La première pierre est posée en 1964 : «L’église est bâtie sur les déblais des bombardements. Des pieux sont enfoncés à 17 m». Elle repose sur un pilier unique, «qui représente le Christ». La charpente en bois, en spirale, s’élève jusqu’à la croix située à l’extérieur.
RC, Loiret, 18/01, p.8

(Pays de La Châtre) Valoriser les hameaux remarquables

L’opération Hameaux remarquables, lancée par le pays de La Châtre, a porté ses fruits. Après plusieurs mois d’études et de rencontres avec les habitants, les étudiants ont rendu leurs conclusions et suggéré plusieurs pistes. Mise en place pour la deuxième année consécutive, elle propose d’étudier les patrimoines bâti et naturel de ces petites localités isolées. Inscrits dans l’âme du pays L’idée était d’abord de faire prendre conscience aux habitants eux-mêmes de l’intérêt de leur environnement pour le préserver, le mettre en valeur et le partager. «Nous avons un des plus beaux bocages de France, et beaucoup de hameaux recèlent un patrimoine qui contribue à l’âme du pays», a rappelé Yves Pétoin, de la chambre d’agriculture.
NR, Indre, 18/01, p.8

(Saint Paterne Racan) Les restaurateurs au chevet des mages

Le groupe de l’Adoration des mages de l’église de Saint-Paterne-Racan a été mis à l’honneur par Geneviève Bresc-Bautier et François Le Boeuflors à l’exposition «Terre et Ciel» de l’abbaye de l’Épau en 2003. Au groupe sculpté par l’artiste Gervais en 1619 s’est ajouté une Vierge à l’enfant et une sainte Anne accompagnée d’une Vierge enfant. Sur la proposition de Gilles Blieck, conservateur régional des Monuments historiques, la commune souhaite présenter le groupe de l’Adoration des mages avec ses deux anges, mais sans Dieu le Père, dans un espace derrière une grille en fer forgé, où il serait mieux visible et surtout en sécurité. La Vierge à l’Enfant sera placée sur un socle de pierre fixée entre les deux retables. Sainte Anne sera placée sur un socle sécurisé. Avant d’être sécurisées, les statues doivent retrouver leur polychromie du XVIIe siècle. Les travaux de dégagement des polychromies d’origine et de restauration des pièces les plus abîmées sont en cours.
NR, Indre et Loire, 18/01, p.8

Le musées des Confluences

Source : lepoint.fr

Lyon : le musée des Confluences a ouvert ses portes

L'ouverture du nouveau muséum d'histoire naturelle de Lyon, où 500 000 visiteurs sont attendus, fera-t-elle oublier les retards et les dépassements budgétaires hors-norme de ce chantier pharaonique (61 millions d'euros au départ contre plus de 300 millions à l'arrivée) ? Hélène Lafont-Couturier, la directrice de ce nouvel emblème culturel, en est convaincue : "Tout comme le Centre Pompidou dans les années 70, le musée des Confluences va marquer une rupture." C'est fort possible.
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Source : lagazettedescommunes.com

Le Musée des Confluences, cabinet de curiosités du 21e siècle

Entre gros insecte et vaisseau spatial, le Musée des Confluences qui ouvre le 20 décembre à Lyon surprend de l'extérieur, par son architecture futuriste. Mais aussi à l'intérieur, où l'art, la science et l'ethnographie s'entrecroisent pour "interroger la Terre et raconter l'Homme".
[url=Lire la suite]http://www.lagazettedescommunes.com/299600/le-musee-des-confluences-cabinet-de-curiosites-du-21e-siecle/[/url]

Source : rue89lyon.fr

Confluences, MUCEM, Vuitton seraient autant d’étapes vers la disparition du musée

Le 20 décembre, on inaugurait à Lyon le musée des Confluences. Ni François Hollande ni Fleur Pellerin n’étaient présents ce jour-là, une absence qui, pour Laurent Gervereau, président du Réseau des musées de l’Europe, en dit long sur la défaite de la culture dans notre société.
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Source : latribunedelart.com

Confluences, MUCEM, Vuitton : trois étapes de la disparition du musée

Le Président de la République est venu inaugurer (4 juin 2013) le MUCEM à Marseille, ville d’un opposant politique. Il a inauguré le 20 octobre 2014 la Fondation Louis Vuitton, établissement privé. Ni lui, ni la ministre de la Culture n’étaient présents à l’ouverture du Musée des Confluences à Lyon le 19 décembre 2014. Certes, son rôle n’est pas d’apposer des plaques partout où des bâtiments s’ouvrent. Mais cela doit faire réfléchir à ce qui est une double défaite : défaite de la culture dans les priorités sociales et politiques, défaite singulièrement du musée.
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Source : club-innovation-culture.fr

Pour son expo «des animaux et des pharaons», le Louvre-Lens propose un dispositif multimédia d’exploration de momies animales

Du 5 décembre 2014 au 9 mars 2015, le Louvre-Lens présente «Des animaux et des pharaons», une grande exposition sur le thème des animaux dans l’Égypte ancienne. À cette occasion, plusieurs dispositifs multimédia viennent enrichir la visite. En particulier, un écran tactile propose de manipuler virtuellement certaines des momies animales présentées, pour découvrir ce qu’elles renferment.
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Source : enviscope.com

Agrandi, modernisé, le musée Hydrélec a rouvert ses portes à Vaujany en Isère

Le musée EDF Hydrélec a fait peau neuve. Au terme de 3 ans de travaux, entièrement repensé, le musée a ouvert ses portes le 13 décembre dernier. Au pied du barrage le plus puissant de France, la nouvelle installation fait revivre la grande épopée industrielle de l’hydroélectricité du XIXème siècle à nos jours.
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Source : touleco.fr

Ouverture du musée Aeroscopia à Toulouse Blagnac : 120.000 personnes attendues dès cette année

Aeroscopia, est paré à décoller : ouverture des portes le 14 janvier 2015, à Blagnac. Avec ce nouvel équipement touristique, Toulouse se dote enfin du grand musée aéronautique qui lui manquait.
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Source : lagazettedescommunes.com

Une application mobile gratuite pour les musées lancée par Google

L'Institut Culturel Google à Paris lancera le 10 décembre une plateforme pour créer des applications mobiles, personnalisables et gratuites pour les musées, a indiqué ce jeudi 11 décembre le géant américain.

Avec ces applications, qui seront officiellement présentées mercredi à la conférence Le Web, par Amit Sood, directeur de l’Institut Culturel, le public pourra « préparer une visite, mais surtout découvrir les collections autrement, avec un guide personnel, qui sera désormais son propre téléphone », souligne Google.
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Source : bfmtv.com

Et si l'Etat vendait des oeuvres d'art des musées pour investir?

Un rapport parlementaire qui vient d'être rendu public met en lumière le nombre très élevé d'oeuvres d'art entassées dans les réserves des musées et jamais exposées. Certaines d'entre elles pourraient être vendues pour dégager des moyens financiers. Un sacrilège ?
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Source: algerie-focus.com

Tribune libre. À quand le retour des sépultures des résistants algériens, exposées dans les musées de France ?

Au Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris, les restes mortuaires de plusieurs dizaines de résistants algériens à la colonisation, dont ceux de chefs renommés, sont toujours privés de rituels funéraires et de sépulture depuis le milieu du XIX° siècle.
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Source : lemonde.fr

Après soixante ans de conflit, la paix revient au temple de Preah Vihear

Décembre 2014. Trente convives sont au coude à coude autour d’une nappe blanche sous un auvent de bois. Le pique-nique a été dressé à l’ombre du temple de Preah Vihear, vaisseau céleste dont la proue redessine la chaîne des Dângrêk, frontière disputée entre Thaïlande et Cambodge. Sok An, le vice premier ministre cambodgien, a organisé le repas pour annoncer « une lune de miel avec la Thaïlande ».
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Source : lemonde.fr

La culture à la portée de tous ?

Le 14 janvier, la Philharmonie de Paris ouvrira ses portes dans le parc de La Villette. A deux pas du « 9-3 », ce département de Seine-Saint-Denis qui héberge l’une des populations les plus métissées et les plus défavorisées du pays. Derrière son immense façade en alliage d’aluminium, la plus grande salle de concert de la capitale, longtemps attendue, se veut réussir un double pari.
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Source : lemonde.fr

Le Louvre toujours en tête des musées les plus visités dans le monde

Indétrônable, le Louvre ? En accueillant 9,3 millions de personnes en 2014, un chiffre stable par rapport à 2013, le célèbre musée parisien reste le plus fréquenté, a annoncé l'établissement, mardi 6 janvier.

Le public étranger représente environ 70 % des visiteurs. Les Américains, les Chinois, les Italiens, les Anglais et les Brésiliens comptent parmi les plus nombreux, précise le Louvre, qui souligne que ses collections permanentes ont été vues l'an passé par 100 000 personnes de plus qu'en 2013.
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Source : lemonde.fr

Architecture : doit-on avoir plus d'ambition pour Paris ?

ans son éditorial du 6 janvier, le Monde décrit la polémique sur le réaménagement de la Samaritaine comme « cruellement symptomatique de la tétanie architecturale de Paris  ». Un autre exemple vient illustrer ce point de vue : le projet de tour Triangle, à la porte de Versailles, lui aussi bloqué. Dans un entretien, l'architecte et urbaniste Christian de Portzamparc estimait qu' « on ne [pouvait] pas vouloir que Paris devienne une seconde Venise ».
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Source : latribunedelart.com

La Samaritaine, LVMH et la presse : l’éternel retour

C’était à prévoir ! Le chœur des amis de Bernard Arnault et du BTP réuni, les chantres de la « modernité » et de la lutte contre les « rétrogrades retardataires qui auraient empêché même la construction de la tour Eiffel », les ennemis de « Paris Ville-musée », les prophètes de la fin de la civilisation ont encore frappé (voir notre précédent article sur ce sujet), au lendemain du jugement de la cour d’appel administrative de Paris sur la Samaritaine.
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Source : lefigaro.fr

Charlie hebdo : Versailles expose Voltaire en hommage aux victimes

Voltaire! Son nom revient sur toutes les lèvres et son Traité sur la tolérance est entré dans les meilleures ventes après les attaques terroristes contre Charlie Hebdo et la marche républicaine qui a suivi.

Parmi le concert de voix qui invoquent le philosophe des lumières, le château de Versailles a décidé d'ajouter sa pierre à l'édifice. Depuis ce matin, ses visiteurs achèvent leur parcours dans une salle dépouillée où trône son portrait.
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

Les dernières acquisisions du Chrysler Museum

lusieurs œuvres ont été acquises pour le Chrysler Museum par les membres de la Chrysler’s Mowbray Arch Society en décembre dernier : une peinture de Pinckney Marcius-Simons représentant Canova enfant modelant un lion dans du beurre a été achetée aux Shepherd W&K galléries (ill. 1). Elle date des jeunes années de de l’artiste (1885) qui commença par peindre avec réalisme des scènes de genre ou des anecdotes historiques, comme l’enfance de Canova qui aurait très tôt prouvé son talent en modelant un lion dans une motte de beurre pour décorer la table d’un festin donné par le sénateur Giovanni Falieri, seigneur de Possagno, qui le prit alors sous son aile et le plaça en formation chez le sculpteur Torretti.
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31 dessins anciens offerts au Musée des Beaux-Arts de Montréal

En 2013, le Musée des Beaux-Arts de Montréal présentait une sélection de dessins anciens appartenant à un important collectionneur particulier habitant dans cette ville (voir l’article). Généreusement, celui-ci a récemment offert trente-et-une feuilles, dont beaucoup d’ailleurs (vingt-quatre) ne faisaient pas partie de l’exposition. Nous présenterons cette donation en deux parties, en commençant par les dessins français.
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Un cabinet de Pierre Gole pour un musée hollandais

Le musée d’Alkmaar, en Hollande septentrionale, est essentiellement consacré à l’histoire de la ville et de la région. Il illustre par exemple le siège d’Alkmaar en 1573, évoque la Révolution protestante, déploie les œuvres de « l’École de Bergen » entre 1915 et 1925.
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Un Mattia Preti et un Gilbert Stuart pour le Virginia Museum of Fine Arts

Le Virginia Museum of Fine Arts vient d’acquérir deux peintures l’une du XVIIe, l’autre du XIXe siècle.
La première est La Visitation de Mattia Preti (ill. 1), l’œuvre date de la période romaine du peintre. Preti en effet arriva autour de 1630 dans la Ville éternelle où il retrouva son frère Gregorio avec qui il collabora. Ce tableau de jeunesse est marqué par l’influence du Caravage et de ses suiveurs, partisans de la « manfrediana methodus » : le peintre met en scène des figures à mi-corps dans un espace indéfini, apparaissant dans un clair-obscur contrasté.
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Source : latribunedelart.com

Une collection de peintures françaises des XVIIe et XVIIIe bientôt en vente à Paris

La vente aux enchères qui aura lieu chez Sotheby’s Paris le jeudi 26 mars 2015 est un événement notable pour plusieurs raisons. D’abord parce qu’il s’agit d’une superbe collection de peintures françaises des XVIIe et XVIIIe siècles réunies pendant une trentaine d’années par un collectionneur français, Louis Grandchamp des Raux.
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Source : lemonde.fr

L’œuvre ne fait pas le musée

Les musées monographiques ont le vent en poupe. En 2014, le bâtiment consacré à Pierre Soulages a été inauguré à Rodez (Aveyron), et la Fondation Van Gogh à Arles (Bouches-du-Rhône). Surtout, l’automne a été marqué par la réouverture du Musée Picasso à Paris, après cinq ans de travaux. En 2015, deux autres établissements consacrés à un créateur font peau neuve dans la capitale : le Musée Gustave Moreau, qui rouvre le 22 janvier après six mois de fermeture, avec un rez-de-chaussée entièrement repensé, et le Musée Rodin, dont le chantier de restauration, d’un coût de 16 millions d’euros, sera terminé en septembre.
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Source : lefigaro.fr

Centre Pompidou :un nouveau succès de fréquentation

«Quand je suis arrivé en 2007 nous étions à peu près à 2,5 millions de visiteurs, mon objectif était de gagner un million et de stabiliser notre fréquentation autour de 3,5 millions. Objectif atteint», se félicite le président du Centre Pompidou, Alain Seban, dans un communiqué.
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Source : la-croix.com

Le Centre Pompidou-Metz boucle son budget pour 2015

Cinq ans après son ouverture, le musée lorrain attire de plus en plus de visiteurs, mais fait face à des difficultés financières récurrentes.

Le budget 2015 a été voté après de nouvelles négociations.

Cette fois, le compte y est. Les collectivités ont fini par se répartir les neuf millions d’euros de subventions allouées au Centre Pompidou-Metz. Ces difficultés financières sont chroniques pour l’établissement, empêtré dans les désaccords de ses partenaires publics.
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