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 Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015)   Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015) Icon_minitimeLun 2 Nov - 8:56

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chateaumeillant) 3.000 euros pour le musée EmileChenon


La caisse locale du Crédit agricole Centre Loire Patrimoine a pour vocation d’aider certains projets visant à préserver le patrimoine des régions. Mercredi soir, une petite réception était organisée au musée Emile Chenon qui fait partie des sites soutenus par Centre Loire Patrimoine. Les dirigeants de la caisse locale ont remis un chèque de 3.000 euros au maire Guy Bergerault, une somme qui sera réinjectée au profit d’une des vitrines du musée. (intégral)
Le Berry, 30/10

Les pièces fermées de la maison de Nohant

Durant la basse saison touristique (de novembre à mars), la Maison de George Sand propose une visite commentée spécifique intitulée Nohant autrement. Elle permet de comprendre comment George Sand a fait aménager sa demeure, en particulier à partir des années 1850, quand la romancière décida de s’établir de manière quasi permanente dans le Berry, l’arrivée du chemin de fer à Châteauroux depuis Paris, lui donnant désormais une grande liberté de déplacement par rapport à la capitale.Vivre à Nohant à longueur d’année est un choix de vie qui a obligé George Sand à repenser sa maison afin de la rendre plus confortable, plus pratique et plus accueillante. Les aménagements qu’elle fit réaliser, souvent longs et coûteux, ont fait de sa demeure un «nid» particulièrement moderne et douillet. Découvrez quelques-unes des pièces de la maison qui sont habituellement fermées au public : l’atelier de peinture de Maurice Sand ; la chambre de Marcelina Calamatta (épouse de Maurice) ; la petite salle de bains de la demeure. Premières visites les 7 et 21 novembre, à 15h. Réservation obligatoire (intégral)
Nr, Indre, 30/10

(Orleans) Le futur muséum se dessine en coulisses

Les pas des visiteurs ne résonnent plus dans les vastes salles. Les ours sont entrés en hibernation. Les pièces composant l’exposition sur les baleines sont reparties vers les musées qui les avaient prêtées.Mais le personnel du muséum, lui, ne cesse de s’activer. L’équipe scientifique travaille sur le contenu du projet tandis que quatre personnes sont actuellement en charge de l’inventaire des collections. «Il faut identifier les pièces qui s’intégreront au propos du nouveau muséum», précise Nathalie Kerrien (UDI), adjointe à la culture. En effet, le timing est serré pour faire du vieillissant musée un lieu scientifique d’envergure. La semaine dernière, le maire Olivier Carré (Les Républicains)s’est rendu sur place, lors d’une visite du quartier. Accompagné de plusieurs de ses adjoints, il a évoqué ses ambitions pour le lieu avec René Rosoux, directeur, et Cécile Rémy, chef de projet pour la rénovation. Et c’est toujours en mouvement, bousculant un peu le programme prévu par ses collaborateurs que le maire a visité le muséum, exprimant ses souhaits et envies pour la rénovation complète du lieu.
+ Le volet architectural du projet
RC, Orleans, 29/10, p.7

(Chateaumeillant) Une messe pour honorer un ancien maire

C’est une bien étonnante histoire que celle survenue à Jean-Luc Daugeron, le président de l’office de tourisme et adjoint en charge de la culture. Lors des récents travaux de réhabilitation du musée Émile Chenon, l’intéressé a fait une découverte peu banale dans une niche en partie murée, et que les ouvriers venaient de mettre partiellement à jour. En l’occurrence, des parchemins (six au total) et une plaquette d’ardoise signés Jean-Baptiste Légier de La Chassaigne, premier maire de Châteaumeillant après la Révolution et ancien propriétaire du bâtiment abritant aujourd’hui le musée (dit le petit château ou bien maison Grégueil). Légier de la Chassaigne avait caché des feuillets attestant son acquisition en 1777 et le début des travaux en 1778. Découverte qui permet d’officialiser un peu plus l’histoire des lieux, puisque la date de son acquisition par Légier de la Chassaigne n’était pas connue avec exactitude. Une missive assortie d’une requête un brin particulière. La suite, c’est Jean-Luc Daugeron qui nous la   raconte : «Légier termine sa lettre en demandant que la personne qui trouve le document en question fasse dire douze messes basses pour son salut ». Voilà Jean-Luc dans l’obligation de faire célébrer au moins un office religieux en hommage à Légier de la Chassaigne, à défaut des douze requis. C’est le    dimanche de la Toussaint que ladite messe sera célébrée, urbi et orbi, pour la mémoire et le repos de l’âme de Légier. Harmoniste régulier de la paroisse, Jean-Luc officiera à l’orgue durant cette messe dominicale. Gageons que la mémoire de Légier de la Chassaigne s’en contente… (intégral)
Le Berry, 28/10, p.25

(Bourges) L’opposition municipale hostile à la fermeture de l’animalerie

L’opposition considère comme une «erreur» de vouloir «supprimer cette approche du vivant». «Aujourd’hui, alors que nous sommes baignés dans un monde d’images et de rapidité, le public apprécie de visiter les musées pour y rencontrer “le vivant” ou être confronté aux œuvres d’art, estime Agnès Sinsoulier. Expériences qui ne sont pas proposées sur Internet.» Pour le groupe PS et apparentés, la disparition de l’animalerie du muséum est « une mort programmée par la mairie». «Seules deux heures d’un intervenant extérieur sont désormais payées pour l’entretien des aquariums, vivariums, etc. Tout l’entretien est aujourd’hui à la charge du personnel, ce qui est trop lourd. Cette organisation du travail ne peut être maintenue sur  le long terme.» Enfin, l’opposition estime que «l’offre muséale de Bourges sera impactée négativement par la fermeture de l’animalerie. À cela s’ajoutent une muséographie des autres musées déjà vieillissante et un service d’accueil au public qui n’est pas à niveau. Dans le même conseil municipal, la ville a été reconnue comme ville touristique. Or, nous constatons que l’offre muséale berruyère est aujourd’hui en décalage et ne cesse de décliner.» Et de souhaiter que Bourges «retrouve une ambition pour ses musées dont les collections sont d’envergure internationale.» (intégral)
Le Berry, 28/10

(Tours) Laissez-vous “ Guideez ” au musée des Beaux-Arts

Voilà une idée de sortie bienvenue pour les vacances. En plus des activités destinées au jeune public, le musée des Beaux-Arts propose une balade ludique et interactive grâce à l’application Guideez. Téléchargeable sur un téléphone ou une tablette, elle s’adapte aux compétences des enfants et les laisse explorer à leur guise les salles du musée.Au début de la visite, prévue pour une durée d’une heure, l’enfant choisit un «compagnon» et reçoit une mission. En famille ou en groupe, il part ensuite à la découverte des grands peintres, tels Rembrandt, Mantegna, Delacroix, Monet, Debré. Au fil de son parcours, en suivant les conseils de son compagnon, il doit répondre à un quiz, photographier, créer un carnet de voyage, observer… Une fois l’objectif atteint, les explorateurs reçoivent une récompense.
+ Atelier cinéma et carte postale
NR, Indre et Loire, 28/10, p.12

(Bourges) L’animalerie perd ses poissons vivants

La vente de deux aquariums du muséum de Bourges est passée comme une lettre à la poste. Cette délibération n°18 que Sébastien Cartier,adjoint à l’écologie et au développement durable, présentait lors du conseil municipal du 5 octobre dernier, n’a appelé aucune réaction. Pas un élu pour demander si, demain, les poissons… Si,demain, l’animalerie… Si, demain, un nouveau projet… De fait, les poissons présentés en aquarium disparaissent, «mais pas l’animalerie», insiste Sébastien Cartier. Pour l’élu, «voir des poissons évoluant dans un aquarium n’est pas forcément très pédagogique alors que nous essayons de développer le côté pédagogique qui peut intéresser davantage les élèves». Ainsi Sébastien Cartier annonce t il que le python royal a intégré un vivarium beaucoup plus grand, l’ancien étant destiné à accueillir un squelette de python, «pour que le visiteur puisse se rendre mieux compte comment il fonctionne». Animaux naturalisés et squelettes  Et si donc l’animalerie continue, «l’idée est de garder les animaux vivants jusqu’à leur extinction naturelle». En clair, «de garder une animalerie à moyen terme». En plus clair, condamnée mais pas tout de suite.
Le Berry, 27/10, p.10

(Neuvy sur Barangeon) La maison de l’eau sera réhabilitée

Le conseil communautaire des Villages de la forêt a planché sur le projet de réhabilitation de la maison de l’eau et du siège de la communauté de communes. Devenue obsolète, la maison de l’eau va être revue de fond en comble,avec la réorganisation de la partie muséale et l’aménagement d’un espace accueil billetterie boutique, d’une salle pour des expositions temporaires et d’un espace d’exposition permanente. Le projet prévoit ainsi la création d’une nouvelle scénographie ludique et expérimentale, la mise en accessibilité des bâtiments, musée et siège, l’amélioration de la performance énergétique, la création de sanitaires. Des demandes de subventions avec plans de financement vont être effectuées auprès de la Région Centre-Val de Loire, du département du Cher et de l’État, au titre de la dotation pour les travaux de rénovation.
RC, Loiret, 25/10, p.12

(Blois) La future équipe de France en résidence

C’est presque devenu une tradition ces quelques jours de résidence de l’équipe de France de magie à la Maison de la magie de Blois.  Et cette année, Thierry Schanen, le directeur de l’équipe de  France, accueillera des nouveaux! «La troupe précédente a abouti puisqu’elle s’est présentée aux championnats de France, d’Europe et internationaux de magie. Il est temps  qu’elle passe le relais aux nouveaux. A la fin de cette semaine, les magiciens et nous-même choisirons qui s’intégrera dans la future équipe de France de magie.» Cette semaine est organisée à la Maison de la magie et en partenariat avec la Fédération française des artistes prestidigitateurs. Les «anciens» tels Maxime Minerbe, Florian Sainvet, Alexandre Laigneau et Vincent Angel seront présents afin de passer le témoin à ces nouveaux arrivants. Et tout cela se passera sous les yeux et les conseils de masters, des encadrants de « luxe » qui leur distilleront leur savoir.
NR, Loir et Cher, 26/10, p.11

(Chateauneuf sur Loire) L’histoire des mariniers au service du roi

Le musée de la marine de Loire accueille, jusqu’au mardi 2 février, l’exposition temporaire «De la Loire à la mer, les mariniers au service du roi». Elle est née de l’intérêt tout particulier pour un épisode spécifique de l’histoire de la marine de Loire : l’enrôlement des bateliers et pêcheurs de Loire dans la marine royale puis républicaine à la fin du XVIIIe siècle. Depuis le XVIIe siècle, le système de classes, en recensant et réquisitionnant à «tour de rôle» les marins côtiers, assurait le recrutement des équipages pour la marine de guerre. Or, pendant la guerre d’Indépendance américaine (1775-1783), la mobilisation fut quasi générale et, devant la pénurie d’hommes, l’enrôlement s’étendit aux bateliers et pêcheurs de Loire.
RC, Loiret, 25/10, p.12

(Bourges) Vingt ans de chefs-d’œuvre au musée

Depuis vingt ans, la ville de Bourges est la seule en France à posséder un musée des Meilleurs ouvriers de France. Son anniversaire a été célébré, vendredi, dans le musée, en même temps que l’inauguration de l’exposition. Une soixantaine de pièces des Meilleurs ouvriers de France sont actuellement exposées. Il s’agit à chaque fois de chefs d’œuvre réalisés pour l’obtention du titre de Meilleur ouvrier de France. Parmi eux, certains sont récents, puisqu’ils appartiennent aux diplômés de la 25e promotion des MOF, appelée Lucien Klotz. 225 ont obtenu le précieux sésame cette année.
Le Berry, 25/10, p.8

(Chinon) Écomusée : une saison “ courte mais bonne ”

L’Écomusée du Véron a fermé samedi, après une saison écourtée pour cause de travaux. Quatre mois d’ouverture qui ont attiré près de 4.000 visiteurs.
NR 37 Tours agglo, 03/11/2015, p. 19


Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 3 Nov - 9:41, édité 7 fois
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MessageSujet: Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015)   Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015) Icon_minitimeLun 2 Nov - 8:57

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
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MessageSujet: Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015)   Revue de presse (26 octobre - 1 novembre 2015) Icon_minitimeLun 2 Nov - 8:57

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Pays Beauce-Gâtinais) La Route du blé en Beauce, c’est fini

La mauvaise nouvelle a été annoncée vendredi soir lors de la réunion de bureau du syndicat de pays Beauce Gâtinais en Pithiverais : La Route du blé en Beauce va disparaître du paysage, pour un problème de financement. L’Europe et la région Centre, deux partenaires importants, ne subventionnent plus ce « label » depuis l’an passé. La Route du blé avait déjà failli disparaître à cette époque, mais des aides exceptionnelles l’ont sauvée. Un an plus tard, le rideau est tiré sur une histoire longue de treize ans. La Route du blé était née de l’imagination d’agriculteurs et d’élus locaux du Pays de Beauce, en Eure et Loir, en 2002. Entre 2002 et 2006, cinq autres pays, répartis dans trois départements, ont rejoint l’aventure (Dunois en 2003, Beauce Gâtinais en Pithiverais en 2004, Chartrain en 2005, Beauce-Val de Loire et Loire Beauce en 2006). L’objectif était ambitieux : «faire de la Beauce une destination connue et appréciée des visiteurs». Fin 2014, une aide extraordinaire des quatre pays partenaires avait été demandée pour conserver le poste de chef de projets, basé à la Maison de la Beauce (à Orgères en Beauce). «Cette année, le Pays Dunois (Eure et Loir) n’a pas voulu mettre 1.700 €/an pour continuer», regrette Patrick Guérinet, vice président du syndicat de pays Beauce Gâtinais en Pithiverais.
RC, Loiret, 01/11, p.13

(Villedieu-sur-Indre) Qui veut sauver la tombe du général Ruby ?

Villedieu-sur-Indre n’est pas seulement la patrie d’Abel Garçault, fusillé pour l’exemple pendant la guerre 1914-1918 dont Bruno Mascle a écrit l’histoire. Un autre militaire, au parcours beaucoup plus glorieux, a également vu le jour dans la cité des bords de l’Indre. Il s’appelait Sébastien Ruby ; une plaque rappelle d’ailleurs son souvenir sur la maison où il naquit, en 1755. En décembre 1799, il achète le château de Von, où sa fille vit le jour. C’est précisément au château de Von – à l’époque, sur la commune de Saint-Maur – qu’il passe une courte retraite. Démobilisé en octobre 1808, il meurt dans son domaine, le 1er mars 1809. C’est ce qui explique qu’il repose au cimetière de Saint-Maur. Sa tombe a subi l’outrage du temps. Qui va pouvoir investir dans la rénovation de ce monument ? Le Souvenir napoléonien a inscrit l’édifice dans les monuments à sauver. Encore convient-il de trouver le financement.
NR, Indre, 01/11, p.6

(Rochecorbon) La plus ancienne église romane de France ?

Qui aurait pu soupçonner qu’en une vingtaine d’années, une chapelle en apparence modeste, nichée au creux du vallon de Saint-Georges, commune de Rochecorbon, révélerait des secrets dignes de la faire élever en cette année 2015 au rang de «monument historique» ? Construite au XIe siècle, l’église paroissiale de la commune de Saint-Georges-sur-Loire est rattachée en 1808 à celle de Rochecorbon. «A la réflexion, cette dénomination de “ chapelle ” lui convient et lui restera», indique Patrick Leloup, président de l’association Les Amis de la chapelle Saint-Georges qui organise des visites guidées de ce monument incontournable du village. C’est à partir des années 1990 que la chapelle livre les secrets de ses trésors cachés.
NR, Indre et Loire, 01/11, p.7

(Perrusson). Restauration de l’église


En ce qui concerne les peintures murales, le maire a expliqué que, suite à la liquidation de la filiale Groupe Villemain Aquitaine à laquelle la société Artis (titulaire du lot) était rattachée comme établissement secondaire, la confirmation du liquidateur judiciaire de l’impossibilité pour l’entreprise Artis d’exécuter le marché est en attente. (Intégral)
NR, Indre et Loire Est, 02/11, p. 16

(Bréhémont). Église


Les travaux de l’église avancent : les portes ont été réparées, le peintre et la société chargée du dépigeonnage vont intervenir rapidement.(intégral)
NR, Indre et Loire ouest, 02/11, p. 15

(Orléans) À vendre, bidet royal de 1757

Un bidet en noyer datant de 1757 et ayant appartenu à un ministre du roi Louis XV sera vendu aux enchères à Orléans, le 7 novembre prochain. Le bidet (très bien conservé) du comte de Saint-Florentin a été mis à prix entre 1 800 et 2.200 euros par l’étude orléananise de Marie-Édith et Guillaume Pousse-Cornet.
RC Orléans, 02/11/2015, p. 10

(Autry le Chatel) Il maîtrise le verre sur le bout des doigts

Hugo Noël parle comme il crée, avec un calme olympien. L’artiste âgé de 17 ans a installé un atelier chez ses parents, à Autry le Châtel, où il sculpte le verre, ce matériau «qui n’est pas commun» et que l’on peut façonner de mille manières. Le jeune homme a choisi une orientation originale. Après un CAP, il prépare le brevet des métiers d’art «verrier décorateur», à l’École nationale du verre, à Moulins (Allier). Son histoire professionnelle commence par un heureux hasard. En classe de sixième, il visite l’atelier d’un verrier, à Dordives. C’est l’illumination.
RC, Loiret, 31/10, p.18

(Saint Satur) Nouveaux travaux à l’abbatiale

Les travaux de l’abbatiale de Saint Satur ont occupé une partie du conseil municipal gordonien qui s’est tenu jeudi soir. Dans le cadre d’une inscription au contrat de plan État région (CPER), le monument a déjà fait l’objet de grands travaux de réfection au cours des dernières années. L’ensemble des crédits du CPER n’ayant pas été totalement consommés, la direction régionale des affaires culturelles (Drac) propose de les affecter à de nouveaux travaux. Suite à un diagnostic, il a donc été décidé de procéder à la réfection de la toiture, de la charpente et des parements du bas côté nord, du baptistère, de la sacristie et de la chapelle Saint Guinefort. Une subvention de 295.000 euros a été attribuée pour ces travaux.(intégral)
Le Berry, 31/10, p.24

(Blois) Le patrimoine Poulain au cœur d’une BD

Chaque après-midi de cette semaine de vacances scolaires, un stage de bande dessinée dédié à l’histoire de Poulain était organisé dans les locaux de la Maison de la BD pour des enfants âgés de 8 à 12 ans. «C’est conjointement que le service Ville d’art et d’histoire et BD Boum ont préparé cette session, en lien avec l’exposition consacrée aux images Poulain», a précisé Sébastien Duforestel, responsable pédagogique. Lundi, c’est avec Séverine Desgeorges que le stage s’est ouvert sur le site, occupé autrefois par la chocolaterie, pour une visite guidée. Depuis c’est avec Henoch Pixe, auteur de BD, que ce stage se poursuit, basé sur un scénario orienté vers le patrimoine architectural. Pour Sacha, Paul et Julie, qui tous adorent les BD, cette animation est une belle découverte : «On connaissait l’endroit mais on ne savait pas que c’était cette usine !» Désormais, avec leurs dessins coloriés des bâtiments et les personnages qu’ils ont choisis, ils peuvent fièrement présenter les quatre planches de leur œuvre intitulée «Chocolat Show» ! (intégral)NR, Loir et Cher, 31/10

(Saint-Branchs) La chapelle retrouve son décor

Samedi dernier, le père Gilles Meunier, curé de la paroisse Saint-Brice de la vallée de l’Indre, et six paroissiens déterminés, venus de Cormery, Truyes, Esvres, Montbazon se sont rendus tôt le matin à la chapelle Notre-Dame-de-Beauchêne, sur la commune de Saint-Branchs. L’objectif était de faire un grand défrichage et le nettoyage des abords de l’édifice religieux. «Il y avait beaucoup de travail à faire pour dégager l’excès de végétaux qui cernait la chapelle, expliquent les défricheurs. Disons que c’est la partie normale de notre intervention. Mais il nous a fallu également débarrasser le site de ce que des gens indélicats déversent ou déposent ici au lieu de se rendre à la déchetterie toute proche.» En une matinée, le lieu a été dégagé des arbustes morts et des broussailles qui l’envahissaient, le sol a été nettoyé. La chapelle, dont l’intérieur a aussi bénéficié d’une toilette bienvenue, a retrouvé un décor qui lui sied. (intégral)
NR, Indre et Loire, 31/10, p.18

(Cormainville) La restauration de l’église est lancée

Depuis le début du mois, le chevet de l’église Saint Pierre de Cormainville est entouré d’échafaudages, dont une partie est bâchée. Ce chantier de restauration du chevet devrait durer, sauf intempéries, jusqu’au mois de juin l’an  prochain.Reprise des maçonneries et de la couverture, avec sans doute des réfections de charpente, sont au programme des entreprises adjudicataires de ces travaux dirigés par le cabinet d’architecture Trouvé, architecte des bâtiments nationaux.
RC, Orleans, 30/10, p.19

(Aubigny sur Nère) Le château va être mis en sécurité

Le château des Stuarts d’Aubigny sur Nère est composé «de beaucoup d’enduits en ciment. Il y a énormément de rétention d’eau ce qui fait que la pierre est friable», a avancé le maire Laurence Renier lors du conseil municipal d’hier soir, avant d’ajouter : «Je suis entrée au conseil municipal il y a vingt ans et, tous les ans, j’ai entendu qu’il fallait s’intéresser au château. Pour développer le tourisme, il est important de faire quelque chose.» Lors de l’assemblée plénière du 25 septembre dernier, les élus albiniens avaient déjà donné leur accord pour qu’une étude diagnostique sur les façades et les couvertures de l’édifice, classé aux monuments historiques depuis 1862, soit réalisée. Le cabinet Trait carre d’Aubigny sur Nère a réalisé l’étude et a estimé le coût des travaux nécessaires à la restauration générale du clos et du couvert, enveloppe de maîtrise d’œuvre comprise, à 1.385.434 euros. Au vu du montant annoncé, les élus ont décidé, hier soir, que seuls les travaux nécessaires à la mise en sécurité de l’édifice seront entrepris. Le coût de cette opération est estimé à 584.014,80 euros. Cette délibération a été soumise dès à présent aux élus municipaux car les travaux sont susceptibles de bénéficier de subventions. Ils pourraient être financés à 60% grâce à la direction régionale des Affaires culturelles (Drac) et du conseil départemental. Les 40% restants le seraient sur l’autofinancement.
Le Berry, 30/10, p.20

(Blois) L’église Saint-Joseph fêtera bientôt ses 50 ans

La paroisse Saint-Joseph célèbre le 50e anniversaire de la consécration de son église. Les animations démarreront le samedi 7 novembre,dès 14h30, place de la Laïcité. Des jeux à destination des enfants du quartier seront organisés par les Scouts et Guides de France, et le Secours catholique. Un goûter sera offert aux enfants et aux parents qui les accompagneront. Puis de 17 h à19 h, une rétrospective audiovisuelle animée dans l’église par un groupe d’adultes contera «50 ans d’histoire paroissiale au cœur de la vie du monde et blésoise» avec la participation des jeunes de l’aumônerie et des chorales paroissiales.Le dimanche 8 novembre à 11 h, messe présidée par Mgr Jean-Pierre Batut, entouré de plusieurs prêtres ayant exercé leur ministère à Saint-Joseph. Au cours de cette messe, bénédiction de la fresque de la Création réalisée par le père Nicolas Pelat, prêtre et compagnon plâtrier,staffeur-stucateur. A la fin de la messe, dévoilement de la plaque portant les noms des curés de la paroisse. Cette plaque a été réalisée en pierre de Pontijou par l’entreprise Baglan comme celle du maître autel offerte par cette même entreprise il y a cinquante ans. Après le verre de l’amitié et le déjeuner, des visites de l’église seront proposées.
Nr, Indre, 30/10, p.12

La chapelle du Villiers reprend des couleurs

Il y avait réunion de chantier, mercredi, dans la petite chapelle Saint-Vincent du Villiers datant de la fin du XIe siècle. Autour de  l’architecte Bernard Ruel, étaient rassemblés les entrepreneurs : maçonnerie, charpente, couverture, et restauration de peintures  anciennes. Extérieurement, l’église est méconnaissable : la toiture est terminée, l’abside a retrouvé ses petites tuiles anciennes et sa corniche de modillons. Un drainage est en cours au pied des murs pour éviter la stagnation des eaux de pluie. L’entrée sur la ruelle qui était condamnée depuis longtemps a été rouverte. Celle du petit cimetière a été dallée à neuf et sa caquetoire, restaurée à l’identique. Très impressionnants aussi, les travaux actuellement en cours dans le chœur sur les peintures murales du XIIe siècle.
Nr, Indre, 30/10, p.14

(Courtenay) La fête est finie pour la salle curtinienne

Dans quelques jours, la salle des fêtes de Courtenayne sera plus qu’un souvenir. Hier, les travaux de démolition de l’édifice construit en 1925, sur les plans de l’architecte montargois Louis Philippon (qui imaginé aussi lasalle des fêtes de Montargis), ont débuté en présence du maire et sous les yeux effarés de plusieurs Curtiniens qui, jusqu’à la dernière minute, n’avaient pas voulu y croire.Il a fallu moins de deux heures à la pelleteuse de 70 tonnes d’une filiale du groupe Eiffage pour détruire près de la moitié de la façade principale, qui faisait de la salle des fêtes le bâtiment le plus remarquable de la ville. Et sans doute serait elle parvenue à l’éradiquer en totalité si une panne informatique n’était venue stopper le chantier aux alentours de 16h30. Accompagné de Serge Deville, adjoint aux travaux, Francis Tisserand a refusé de commenter l’événement. «Moi, je n’ai rien à dire», s’est il contenté de déclarer,alors que plusieurs témoins avaient du mal à retenir leur émotion. «C’est là qu’il y a cinquante ans, j’ai rencontré mon mari», confiait une septuagénaire. «C’est toute notre jeunesse qui s’en va avec la salle des fêtes.»
RC, Loiret, 29/10, p.14

(Chartres) Le carmel de Chartres ferme ses portes

Cette année, les carmélites ont célébré le 500e anniversaire de la naissance de Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582) qui avait ramené les carmels dans l’austérité, la pauvreté et l’isolement. À Champhol, l’année 2015 restera dans les mémoires : les carmélites ont annoncé la fermeture du carmel de Chartres.Le 15 octobre, dans une lettre envoyée à leur famille et à leurs amis, les sœurs ont fait part de leur décision. Sœur Nicole Marie confirme : «Cela faisait quelques années, déjà, que nous nous posions la question de l’avenir du carmel.» La crise des vocations est la raison principale de la fermeture du carmel. «La dernière profession solennelle, dans notre monastère, a eu lieu en 1988. Jusqu’en 1995, nous avons reçu quelques jeunes sœurs qui ont essayé la vie au carmel.» Ces dernières années, le carmel de Chartres a dû faire face à des épreuves de santé et n’a pu se maintenir que grâce à l’arrivée de sœurs venues d’autres carmels. Mais l’équilibre restait précaire» écrivent elles dans leur lettre. Le carmel devrait fermer après Pâques 2016. Les sœurs prendront alors chacune un chemin différent, pour rejoindre soit un autre carmel en France, soit une maison de retraite religieuse,pour les plus anciennes. Si les carmélites ont pu décider de leur avenir personnel,celui du lieu est encore trouble. «Nous mettons tout en œuvre pour que ce lieu demeure un lieu spirituel», revendiquent les carmélites. Elles souhaitent qu’une communauté religieuse occupe à nouveau les murs du carmel, qui redeviendrait un lieu de retraite.
L'Echo, 29/10, p.3

(Saint Brisson sur Loire) Les Amis du château exposeront les objets qu’ils ont achetés


Dans le cadre de sa mission statutaire, l’association des Amis du château de Saint Brisson (ACSB) a décidé, après débat et vote au sein du conseil d’administration, d’acquérir certains objets du château vendus aux enchères le 4 octobre dernier. Le choix s’est porté sur des éléments symboliques des familles Séguier et Ranst de Berchem comme, entre autres, les sceaux, la montre du marquis et le lustre du boudoir, «lequel aurait d’ailleurs dû rester dans le château suite à une décision collégiale du conseil municipal», précise l’association.Certains objets ont aussi été achetés par des personnes proches de l’ACSB. L’ensemble constitue une collection unique qui pourrait être présentée lors de manifestations ou d’expositions.
RC, Loiret, 28/10, p.17

(Chabrolles) L’intéressant atelier de chaufournier

Sur le site patrimonial de la chaux à Chabrolles, samedi après midi était consacré à l’organisation d’un atelier du chaufournier en relation avec la fête de la science.Sylvie Fougeray, agent de  développement touristique, a rappelé que l’usine de Chabrolles est une des plus importantes parmi les nombreuses usines du bassin de Beffes (dont 7 situées le long du canal latéral à la Loire, et 14 le long du canal de Berry) et qui a été acquise en 1990 par la commune. Le parcours de la chaux Denis Goutte des Ciments Calcia a fait expérimenter la transformation du calcaire en chaux pour son utilisation dans la construction, à plusieurs participants de l’atelier. Ils ont découvert la recette de la chaux vive, les ingrédients et matériaux purs.
Le Berry, 28/10, p.25

(Montipouret) Cure de jouvence pour le moulin

A une fréquence d’une fois tous les trois ou quatre ans, il faut évacuer le limon qui se dépose naturellement dans le bief amont du Moulin d’Angibault. C’est ainsi que depuis la fin de semaine dernière, le moulin du« meunier Jean-Louis », commune de Montipouret, assiste à un ballet de tracto-pelle, camion-benne, pour le curage de son bassin et de son bief. Une action nécessaire rendue possible par le niveau très bas de la Vauvre en ce moment,qui en permet le rapide curage. Le moulin sera remis en eau naturellement à la fin des travaux qui devraient durer moins d’une semaine. (intégral)
Nr, IndreE, 28/10

(Romorantin) Ils veulent redonner vie à la locomotive à vapeur


L’Association pour la préservation du patrimoine et des métiers ferroviaires (APPMF) a pour mission de redonner vie à la 230 G353, une locomotive à vapeur de 1922 (1) ; victime d’une grave avarie, elle ne roule plus depuis 2000. Classée monument historique depuis 1987, la locomotive 230 G 353 a été fabriquée en 1922 par la Société de construction des Batignolles pour les besoins du réseau du Paris-Orléans. Avant de pouvoir être restaurée, la machine doit être «démontée». «On a déjà enlevé près de 150 tubes de chauffe : ils doivent être changés», présentent Lionel et Pierre Henoch, respectivement président et vice-président de l’APPMF – association créée en 2013 dont le siège est désormais basé à Gièvres. C’est sur la commune, sur le site des Alcools, le long de la départementale 976 que la locomotive est stockée depuis plus d’un an. Propriétaire des lieux, la société CLMTP accueille l’association et ses machines. Sur place, c’était l’effervescence vendredi dernier. Une grue est intervenue pour soulever la chaudière de 12 tonnes et ainsi la dissocier de son châssis. Délicate, l’opération s’est parfaitement déroulée . (1) La locomotive appartient toujours à la SNCF, elle reste inscrite à son inventaire. Elle a été confiée à l’APPMF pour 15 ans par convention.
+ ••• Une star de cinéma
NR, Loir et CherS, 27/10, p.34

(Chateauroux) Service civique pour collecter la mémoire

Quand Tomy Lemoine a terminé son service civique, il m’en a parlé pour prendre la suite. Antoine Charpagne, 20 ans, a répondu oui sans hésiter. Il vient de signer pour un engagement de huit mois. Étudiant en troisième année de licence d’histoire au Centre d’études supérieures(CES) de Châteauroux, le Berruyer avait une réelle motivation : « Mon grand-père paternel était major de gendarmerie et j’envisage également des recherches sur le Premier Empire». Jean-Jacques Bérenguier, président des Amis de La Martinerie,rappelle cette mission de service civique que Tomy Lemoine a menée en précurseur : «L’objectif est de recueillir la mémoire et la vie de La Martinerie auprès des adhérents et aussi des non-adhérents. Tomy a déjà enregistré les récits de vingt-cinq personnes. Les comptes rendus sont obligatoirement renvoyés pour être validés et approuvés». Le président reconnaît l’ingratitude de cette mission : «Une collecte parfois difficile pour ces jeunes qui n’ont pas effectué leur service militaire et qui en ignorent souvent les règles hiérarchiques».
NR, Indre, 26/10, p.9

Les vitraux de Château-Renard inventoriés

Une opération de valorisation du patrimoine verrier des églises du département du Loiret est quasiment terminée sur le territoire de la Communauté de communes de Château-Renard (CCCR). Ces travaux, dont le but est de faire un inventaire de tous les vitraux, sont réalisés par l’association «Rencontre avec le patrimoine religieux», et financés en partie par la région, la DRAC Centre-Val de Loire, avec le soutien du département et de subventions de collectivités locales. Les données recueillies seront intégrées dans les bases de données du ministère de la Culture pour mettre à la disposition du public la connaissance de ces trésors artistiques et leur appropriation comme patrimoine culturel commun. Pour ce qui concerne la CCCR, un petit livret répertoriant les vitraux et restituant la compréhension des dix édifices religieux devrait être disponible durant le premier trimestre 2016 à la médiathèque, dans les bibliothèques, mairies, à l’office de tourisme.
RC, Loiret, 17/10

(Saint Hilaire en Lignières) Peintre et verrier dialoguent

Jean Mauret, maître verrier, a réalisé les vitraux contemporains de l’abbatiale et du réfectoire de l’abbaye de Noirlac. Joël Frémiot, peintre, emprisonne ses teintes dans les pourtours noirs du plomb qui dessinent le vitrail. Les deux artistes ont déjà croisé leurs talents lors de l’exposition Traversières, présentée à la Grange aux Verrières, à Saint Hilaire en Lignières. Ils ont à nouveau rendez vous dimanche dans cet espace d’exposition et de médiation autour du vitrail.
Le Berry, 24/10, p.8

(Sours) Le clocher de l’église bientôt restauré

Lors de la dernière réunion du Conseil municipal, jeudi soir, les élus ont accepté, à l’unanimité, la proposition du cabinet François Sémichon, architecte DPLG, pour réaliser la maîtrise d’œuvre du clocher. Le cabinet procédera à la consultation des entreprises pour la remise en état de ce clocher datant du XIIe et XIIIe siècle qui révèle des fragilités : de nombreuses pierres de taille sont descellées ou cassées, les moellons des parements sont abîmés et les poutres de renfort de la charpente sont en mauvais état. Subventions 5% du montant des travaux ont déjà été recueillis par le mécénat populaire avec la Fondation du Patrimoine. Ces travaux, qui sont éligibles à une subvention de la Région, ont également bénéficié du fond de concours de Chartres Métropole et d’une participation, réserve parlementaire, du sénateur, Gérard Cornu. (intégral)
L'Echo, 24/10

(Chateaudun) Chapelle

La Ville sollicite l’aide financière de la Direction régionale des affaires culturelles et du Conseil départemental d’Eure-et-Loir pour la restauration de la chapelle Notre-Dame de la Boissière. Lors des travaux de maçonnerie et charpente-couverture, elle a découvert que l’état sanitaire de l’édifice est plus dégradé que prévu et nécessite le remplacement complémentaire de pierres sur les contreforts de la façade sud chiffré à près de 20.000 € TTC. Les travaux de la façade sud sont, eux, estimés à près de 17.200 € TTC. «La chapelle a été utilisée par des industriels comme stockage multiple et est en désordre, a précisé le maire (LR) Alain Venot. Il y a un grand ménage à faire avant d’envisager une utilisation à des fins touristiques.» (intégral)
L'Echo, 24/10

(Ferrières en Gatinais) La broderie aiguillée sur la voie de l’art

Loin de l’image classique de la brodeuse telle qu’elle est inscrite dans l’imaginaire collectif, Christine Hurier laisse parler sa créativité et explore toutes les possibilités de son art. Ancienne brodeuse pour la haute couture et élève maître d’art pour la restauration du patrimoine brodé, Christine Hurier est une virtuose des aiguilles. Aucun fil ni aucun support ne lui résiste : mousseline de soie, oeuf d’autruche, attrape rêve, reliure en cuir, fauteuil ou peluche en tissus. C’est comme à son habitude à une exposition «à quatre mains» qu’elle convie le public à la maison des Métiers d’art de Ferrières, jusqu’au 1er novembre. Au travers de ses collaborations avec d’autres artisans d’art, elle enrichit son imaginaire.
RC, Loiret, 25/10, p.14

(Meung sur Loire) La vie de château au fil des siècles


«C’est l’un des plus anciens et des plus vastes châteaux du Val de Loire et pourtant il est mondialement inconnu», relève d’emblée Xavier Lelevé, propriétaire du château de Meung sur Loire. Cette demeure fut jusqu’à la Révolution française la prestigieuse résidence des évêques d’Orléans. Une façade austère en lien avec le statut des résidants, une autre, rose. L’une est médiévale, l’autre classique. Moyen Âge, XVIIIe siècle, dans ce château dit aux deux visages, les styles se juxtaposent. «C’est un bijou architectural et historique», poursuit Xavier Lelevé. Car cette demeure a aussi accueilli des hôtes de marque : François Ier, Louis XI mais aussi Jeanne d’Arc ou le poète François Villon, pensionnaire, lui, du cachot… Un château considérable (plus de 130 pièces, une vingtaine ouverte au public) pour une vie en toute discrétion.
RC, Loiret, 25/10, p.22

(Chateaudun) Si l’histoire des sceaux m’était contée


Les vacances de la Toussaint sont, aussi, l’occasion de se cultiver. Le château de Châteaudun organise, pour la première fois, des ateliers du patrimoine pour faire découvrir la sigillographie (l’étude des sceaux) aux enfants. «Quand ils écrivaient une lettre, les comtes de Dunois et de Longueville ne collaient pas un timbre. Ils la fermaient de leur sceau, qui était plus authentifiant que leur signature. À cette époque, peu d’hommes savaient lire et écrire», explique Patricia Ramos, chargée d’actions éducatives au château. L’usage du sceau est très ancien et remonte aux origines de l’histoire.
L'Echo, 25/10, p.13

(Le Blanc) Du travail de maître à Saint-Génitour

Bruno Tilmant d’Auxy a déjà travaillé sur des toiles de Rembrandt, de Rubens ou de Van Dyck, mais sa motivation reste la même lorsqu’il restaure des œuvres plus discrètes. Sa présence dans l’église Saint-Génitour du Blanc est donc guidée par l’envie de pérenniser un patrimoine sans en trahir l’âme. Le tableau sur lequel il s’applique depuis plusieurs semaines a été réalisé, en 1838, par le jeune artiste breton, Louis-Francis Roulin, âgé de 17 ans seulement, et déjà récompensé du Prix de Rome. «Il s’agit d’une œuvre audacieuse, originale dans sa composition, inscrite aux Monuments historiques, explique Patrick Grosjean, président des Amis du Blanc. Marc Dupouget, directeur départemental des archives, l’avait d’ailleurs remarquée, mais elle était en très mauvais état : couleurs pâles, grande déchirure… Il était urgent d’intervenir.» L’association a donc alerté la Ville du Blanc et l’intervention de 8.300 € a pu débuter grâce aux concours financiers de la Drac et du Département, la part de la commune étant assurée par les Amis du Blanc.
NR, Indre, 25/10, p.10

(Mondoubleau) Restaurations de tableaux.
Le chantier était attendu de longue date. La municipalité vient d’avoir la confirmation des subventions de la Drac (20 %) et du conseil départemental. Les travaux de restauration d’un des murs de l’église et la réfection du tableau de la « Flagellation » sont au programme. Un investissement de 18.000 € TTC. (intégral)
NR, Loir et CherN, 24/10

(Loches) Entretien avec Marc Angenault - Hôtel au tribunal : prêt à signer

Vous semblez favorable au projet architectural qui a été revu pour transformer le palais de justice en hôtel. Ce projet vous plaît-il ? «Ma réponse est oui. Il faut revenir en arrière pour comprendre ce dossier. J’ai rencontré le promoteur à l’invitation de Frédéric Thomas (ancien président socialiste du conseil général) dans son bureau. On m’a demandé de revenir sur ma décision (le maire a refusé de donner le permis de construire, NDLR). J’ai dit non, je n’acceptais pas ce projet en l’état. J’étais prêt à en étudier un nouveau. On en a parlé avec le nouvel ABF (architecte des bâtiments de France) qui lui aussi était en désaccord avec le projet initial. On a réfléchi à plusieurs solutions, pour préserver la tranquillité des riverains, pour conserver une qualité architecturale à l’ensemble. De toute manière, au regard des pertes de capacités financières des collectivités,faire de ce tribunal un centre culturel ou un centre administratif, ce n’est plus possible. On a rencontré l’architecte, les riverains… Les tensions se sont apaisées. Tout le monde juge que ce projet a évolué positivement. Les riverains, même s’ils n’adhèrent pas tous à 100%, ont trouvé ce projet mieux. L’architecte nous a dit que c’était viable. Donc le projet tel qu’il est aujourd’hui me paraît acceptable». ...
Nr, Indre et LoireE, 24/10, p.15

“ La Pietà ” de Nouans n’était pas de Jean Fouquet ?

C'est quand même bizarre qu’on n’ait rien trouvé, dit Frédéric Gaultier, historien. On ne sait pas d’où vient ce tableau, ni pourquoi il est là. On ignore le nom de son commanditaire qui est représenté à droite sur l’œuvre.» C’est la découverte fortuite d’une mention dans un bulletin paroissial de 1930 de Villeloin-Coulangé qui l’a amené à s’engager dans des recherches plus approfondies, dans une voie jusque-là inexplorée. On trouve, dans ce document, un courrier du XVIIe siècle qui évoque une représentation de l’abbé Jacques Le Roy, de Chavigny, et de son saint patron,saint Jacques, à ses côtés, dans l’église abbatiale Saint-Sauveur-de-Villeloin. Pourrait-il s’agir de «La Pietà» ? Pour Frédéric Gaultier, «tout se recoupe pour penser que “ La Pietà ” est du XVIe siècle». Elle ne pourrait donc pas être de Jean Fouquet (mort vers 1480). « Si ce n’est pas Jean Fouquet, qui est-ce ?» Il faut, selon lui,très probablement se tourner vers Jean Clouet ou son atelier.
Nr, ,Indre et Loire, 25/10, p.11

(Sancerrois, Cher) L'Unesco comme cerise sur le piton

La candidature du Sancerrois au patrimoine mondiale de l’Unesco a été officialisée, samedi matin, au Fougerat, sur les hauteurs de Crézancy-en-Sancerre, devant l’une des plus belles vues du Sancerrois. L'idéee a été lancée dans les années 2000 par Pascal Fontanille, président de l’office de tourisme du Sancerrois. La signature marquant l'officialisation de la candidature s'est faite en présence de nombreux élus locaux et vignerons.
Berry rép.02/11/2015, p. 16

(Bourges) Des passionnés au chevet de l’église

L’église Notre-Dame de Bourges souffre de problèmes de stabilité (l’édifice est construit sur une partie dure et une partie marécageuse) et son intérieur est dégradé. L'orgue démonté pour être restauré en 1990, n’est jamais revenu, le facteur d’orgue ayant fait faillite entretemps. "Sauvegardons Notre-Dame de Bourges", tel est le nom de l’association nouvellement créée avec l'intention de faire revivre l'église. Construite aux environs de 1157, l'église est protégée au titre des monuments historiques.
Berry rép.03/11/2015, p. 13

(Montlandon). La tour-clocher va retrouver son lustre

La troisième et dernière tranche de restauration de l’église vient d’être lancée par la mairie depuis début octobre. Les bois d’origine seront conservés, certains trop dégradés seront remplacés. L’entreprise Béquet, qualifiée dans la restauration du patrimoine ancien et des Monuments historiques, a déjà démonté, puis transporté les éléments du clocher dans ses ateliers de Courgeon dans l’Orne. Auparavant, en octobre 2014, la commune avait réalisé la deuxième tranche de restauration de l’église : réfection des couvertures, des charpentes et de la toiture, terminée fin 2014 (pour un coût de 152.000 €). Les travaux actuels, et à venir, portent sur la révision du plancher situé sous le clocher et la réfection des bois de l’ouvrage. Lancés en février 2012, ces importants travaux s’élèvent à
457.000 €. Ils sont financés en partie par l’État et bénéficient du soutien de la Fondation du patrimoine
Echo rép., 03/11/2015, p. 26

Un ouvrage sur les églises du Malesherbois


L’association "Connaissance et sauvegarde du patrimoine" vient de sortir son dernier ouvrage, Les Églises du Malesherbois.
RC, Loiret, 03/11, p.16

(La Châtre) Les secrets des noms de rue


Un nouvel ouvrage passe en revue l’origine des dénominations des voies et places de La Châtre. George Sand y est très présente : « La Châtre, les rues ont un nom », aux Éditions Alice Lyner.
NR 36 Est, 03/11/2015, p. 13

L’histoire des bateaux sur la Loire


En feuilletant Naviguer sur la Loire, le lecteur descend le fleuve sans effort de Nevers à Candes-Saint-Martin, en musardant sur les rives : ports, gares d’eau, bacs, marques de crues, bornes, digues… Jusque là en souscription, le livre est aujourd’hui paru grâce au service Patrimoine et Inventaire de la région Centre-Val de Loire. Une riche iconographie voit revivre l’ancienne navigation.
NR 41 Nord, 03/11/2015, p. 2


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Musées : comment accrocher le jeune public

Le 17 octobre, Dark Vador a fait son entrée au Louvre. Non pas que le musée ait été loué pour le tournage d’un énième opus de La Guerre des étoiles. Elevé au rang de figure artistique du mythe, le chevalier Jedi passé du côté obscur de la force trône, sous vitrine, aux côtés d’une statue d’Héraclès au repos du IVe siècle avant J.-C.
Le Monde, 26/10, p.20: http://www.lemonde.fr/culture/article/2015/10/24/musees-comment-accrocher-le-jeune-public_4796215_3246.html
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