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 Revue de presse (8 - 14 février 2016)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (8 - 14 février 2016)   Revue de presse (8 - 14 février 2016) Icon_minitimeJeu 11 Fév - 9:16

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Dreux) Axelle Marin est la nouvelle madame culture de la Ville

À 41 ans, Axelle Marin est la nouvelle directrice de la culture de laVille de Dreux. Elle occupe cette fonction depuis le 1er janvier. «Ce n’est pas un grand écart pour moi de prendre la direction de la culture, car j’étais déjà directrice adjointe de ce service», confie t elle. L’adjoint à la culture Christophe Le Dorven dit d’elle : «Axelle Marin a les qualités humaines, techniques et professionnelles pour occuper cette fonction». Axelle Marin est arrivée à Dreux, il y a huit ans, comme directrice du musée d’art et d’histoire. Suite au départ du directeur de la culture, Olivier Van Der Woerd, en octobre dernier, la titulaire d’un DESS d’histoire et d’une licence d’histoire de l’art a alors assuré l’intérim comme directrice de la culture tout en assurant la direction du musée. Fonction qu’elle occupe encore, jusqu’à ce que la municipalité, qui est actuellement en plein recrutement, trouve un nouveau directeur du musée, qui pourrait arriver à Dreux d’ici quelques mois.
L'Echo, 12/02, p.12

(Orleans) La conservatrice des musées d’Orléans quitte ses fonctions

Après un peu plus de neuf ans aux passés à Orléans en tant que conservatrice du musée des beaux arts et du musée historique, Bénédicte de Donker partira en juin prochain pour de nouveaux horizons. À 38 ans, elle prendra la tête du département des arts appliqués du musée des arts et histoire de Genève. «J’avais envie de revenir vers un travail dans une métropole, avec aussi cette dimension internationale qui m’intéresse» confie t elle. Elle restera sans doute attachée aux établissements d’Orléans, où elle a fait ses débuts en tant que conservatrice. Avant de prendre son poste orléanais, Bénédicte de Donker a fait ses gammes dans plusieurs établissements parisiens, «notamment le petit Palais et le musée Galliera, en tant qu’assistante de conservation». Un métier qu’elle a choisi par passion, puisqu’elle décide très vite de se consacrer à l’étude de l’histoire et de l’histoire de l’art. Elle intègre ensuite l’école du Louvre, et réussi le très prestigieux concours de conservateur de musée. De son travail à Orléans,elle garde en particulier la satisfaction d’avoir pu mettre en valeur une collection d’environ 50.000estampes, inexploitées depuis 1914, qui ont notamment fait l’objet d’une grande exposition en 2010.
RC, Orleans, 10/02, p.12

(Mer) Le peintre René Vallette expose chez lui

Le pôle culturel de la ville sait se mobiliser pour faire découvrir de talentueux artistes peintres de la région. Pour succéder à l’artiste vendômois B. Lerique (plus de 200 visiteurs pour cette dernière exposition), c’est le peintre mérois René Vallette qui s’installe pour quatre semaines, dans «ses murs» du Musée de la Corbillière. Une exposition remplie d’histoire, une parabole du parcours de ce peintre renommé qui dévoile un bon nombre de ses œuvres, non seulement dans sa ville natale de Mer, mais dans cette maison de caractère «La Corbillière» où il est né. René Vallette (1874-1956), peintre illustrateur français, fut professeur de dessin au collège de Pontlevoy de 1906 à 1924 et, une fois par semaine, donnait également des cours dans différents collèges orléanais. Si le Musée de la Corbillière possédait déjà une vingtaine d’oeuvres de René Vallette, en 2015, c’est grâce à une dizaine de dons (tableaux et illustrations) de l’association du musée que l’idée de cette exposition s’est imposée.
RC, Loir et Cher, 10/02, p.12

(Tours) Gastronomie et art font bon ménage

Réunir des élèves autour de la gastronomie et de l’art : tel est le projet d’un professeurd’arts appliqués du lycée Bayet. Aidé en cela par deux enseignants de cuisine, Nathalie Piella et Michel Hastain, Bouhafs Amrane-Lessault a emmené sept lycéens de terminaleCAP cuisine, découvrir l’exposition Louis-François Cassas (1756-1828) au musée des Beaux-Arts. «Nous avons signé une convention au conseil municipal avec le musée en novembre. Nous avons mis en place ce que l’on nomme un «aperitivo», étant donné que nous partageons durant la visite les créations gustatives que les élèves ont conçu et réalisé au préalable», détaille Bouhafs Amrane-Lessault. Assisté par Ghislain Lauverjat, responsable des activités culturelles du musée, qui, en amont, a préparé les jeunes à la découverte de ce peintre amoureux de l’Italie, l’enseignant a recréé une ambiance italienne.
Nr, Indre et Loire, 10/02, p.13

(Chateauneuf sur Loire) Jean Bourillon fait don d’une sculpture au musée de la Marine de Loire

Sculpteur amateur habitant à Châtenoy, Jean Bourillon a fait don de son oeuvre, intitulée «La Loire et ses fils», au musée de la Marine de Loire de Châteauneuf. En attendant de lui trouver une place de choix, la sculpture, aussi belle que grandiose, a été installée dans le hall de l'hôtel de ville, où les visiteurs pourront la découvrir et l'admirer. «Elle contribue à valoriser notre patrimoine», s'est félicitée le maire, Florence Galzin, samedi matin, lors de la réception, avant de remercier l'artiste pour sa générosité et son talent.  
RC, Orleans, 08/02, p.35

(Ferrières en Gâtinais) Un musée du site à Sceaux-du-Gâtinais

Il a beaucoup été question des transferts de compétences à la communauté de communes (CC4V), jeudi soir. Dans le cadre d’une prise de compétence culturelle, la Maison des métiers d’art et le musée du verre de Dordives seront gérés par la CC4V. Un musée de site à Sceaux du Gâtinais sera créé sous la responsabilité scientifique et technique du musée Girodet de Montargis (maîtrise d’ouvrage et gestion par la CC4V).
RC, Loiret, 09/02, p.17

(Argenton) La civilisation gallo-romaine à la conquête d’un public

La courte fermeture annuelle du Musée d’Argentomagus a été, comme d’habitude, très active. «C’est l’occasion de retravailler les vitrines, de réorganiser tout ce qui est présenté au public pour obtenir un parcours encore plus vivant», explique Philippe Riffaud-Longuespé, conservateur de l’établissement, qui prépare déjà les mois à venir à travers plusieurs projets bien avancés. La saison 2015, marquée par les 25 ans du musée et l’inauguration de la première tranche des travaux de mise en valeur de la ville gallo-romaine, fut intense. Celle qui débute ne sera pas moins animée, avec la poursuite des aménagements extérieurs axés sur l’espace commercial, la zone cultuelle et la maison du notable Quintus Sergius Macrinus. Deux ou trois chantiers de fouilles seront également réalisés sur ces secteurs et aux environs immédiats de l’établissement. Ces interventions sont comprises dans une opération globale de 1 M€, intégrée au contrat État-Région 2015-2016. La poursuite de la signalétique sera accompagnée de la mise en œuvre des nouvelles technologies.
Nr, Indre, 09/02, p.12

Musée de Pithiviers

L’un des objectifs de la «super association» pourrait également être d’enrichir les collections des musées du Pithiverais. Et pourquoi pas, dans un second temps, de se mobiliser pour un projet qui semble tenir à coeur à ses initiateurs : la réouverture du musée de Pithiviers. (intégral) -voir également article rubrique Patrimoine-
RC, Loiret, 11/02

(Vierzon) Les Amis du vieux Vierzon soignent les collections du musée

Les Amis du vieux Vierzon sont aux petits soins pour les collections du musée. Après avoir participé à leur récolement en 2015, ils mettront encore la main à la pâte cette année. «Nous avons déjà classé, étiqueté et rangé de nombreuses pièces dans le local des Amis du musée, mais leur nombre augmente toujours. Il faut donc continuer», a rappelé Francis Fontaine, président de l’association, lors de son assemblée générale, lundi. Non contents d’inventorier les collections, les Amis du vieux Vierzon s’attachent aussi à les enrichir. L’année passée, ils ont aidé les Amis du musée à acheter un service signé Hache. Ils ont aussi fait l’acquisition d’une rare cloche à melon fabriquée vers 1900 par la verrerie vierzonnaise Thouvenin. L’association a également sauvé un verre de haute taille, au ballon gravé de motifs floraux et portant un nom, Ilda Severin.Une pièce unique.
+ Qui connaît cette cheminée ?
Le Berry, 11/02, p.14

(Montrichard) Les Amis de René Galloux très occupés

Les séquelles de mes accidents de santé ne me permettent plus d’exercer mon rôle de président comme je le souhaiterai. C’est avec regret et émotion que je me retire après 25 ans de participation à la vie de notre association avec toujours la volonté d’agir pour son bien et d’en accroître sa notoriété. Mais je suis persuadé que celui qui me succédera aura à cœur de prolonger mon action et de l’amplifier encore. C’est par ces mots que Jean-Yves Huart ouvrait l’assemblée générale de l’association des Amis de René Galloux. Beaucoup d’émotion dans la salle de l’hôtel d’Effiat après cette déclaration, surtout pour ceux qui ont travaillé longtemps à ses côtés. Comme chaque année le travail n’a pas manqué. Le réaménagement des salles de paléontologie et de préhistoire a été poursuivi. Dans la première, un descriptif plus adapté a été mis en place pour les fossiles exposés. Pour chaque pièce, il est indiqué le nom, l’embranchement, la classe, l’ère, ainsi que la période. Mme Gouin est chargée d’établir, selon la nomenclature du naturaliste Linne, une nouvelle fiche paléontologique pour chaque fossile exposé. Ce travail va occuper toute l’année. Le but de ce recensement étant de constituer un répertoire exhaustif des pièces présentées. L’œuvre de ces bénévoles passionnés a reçu la visite de M. Le Doussal, agrégé de sciences naturelles, référent pour le Loir-et-Cher pour la commission régionale du patrimoine géologique, et de deux collaborateurs. Leurs conclusions mettent en lumière tout le travail accompli et le soin apporté aux collections et à leur enrichissement : le musée présente un intérêt régional et, fait remarquable, il possède des pièces de la collection de l’abbé Bourgeois.
RC, Loir et Cher, 11/02, p.14

(Dreux) Des glycines et un gisant très expressif

Des têtes de pipes à l’effigie de François Ier ou de Léonard de Vinci. Des glycines, aux couleurs éclatantes et un gisant si expressif. Le musée d’art et d’histoire, aménagé dans une chapelle néo-romane,érigée en 1895, place du Musée à Dreux, recèle de véritables trésors. Quoi de mieux que les vacances scolaires pour découvrir en famille ou entre amis, la riche collection exposée dans ce lieu de culture. C’est en 1950 que les collections artistiques et historiques prennent place dans cette chapelle,qui appartenait auparavant à l’école catholique Saint Pierre Saint Paul. Le musée fait la part belle à la peinture du XIXe siècle. Entre autre pièce exceptionnelle, le visiteur curieux pourra découvrir un tableau peint par Claude Monnet entre 1919 et 1920, L’étude de glycine.
L'Echo, 12/02, p.12

(Richelieu) Boiseries du château achetées par Orléans

Le 21 décembre, à l’hôtel Drouot, à Paris, la mairie et le musée des Beaux-Arts d’Orléans ont acheté, pour 51.250 €, sept panneaux de lambris en grisaille, appartenant au décor du  château de Richelieu. L’œuvre, dont l’origine est encore discutée, pourrait être attribuée à Jean Mosnier ou à un peintre plus proche esthétiquement de l’école de Fontainebleau. Le traitement des sept panneaux – un camaïeu dans les tons brun rouge - et leur iconographie - des personnages vêtus à l’antique - laissent supposer qu’ils appartiennent à un seul et même ensemble semblant bien provenir du partage entre trois héritiers qui ont vendu successivement leurs parts à Joseph-Alexandre Bontron, en 1805, et à l’armateur nantais Hippolyte Collineau, en 1808 et 1810. Ces éléments viendront compléter la collection Richelieu conservée au musée des Beaux-Arts d’Orléans, ayant fait l’objet en 2011 d’une grande exposition. Depuis lors, le musée d’Orléans a décidé de donner une place centrale au château de Richelieu qui occupe le cœur du premier étage en présentant des peintures (certaines de très grand format), dessins, éléments de décor et sculptures dont certains éléments sont des dépôts du musée du Louvre. (intégral)
NR, Indre et Loire, 12/02

(Issoudun) Tal Coat : la suggestion de la matière


C’est un brouillard. Une brume, épaisse, dans laquelle les yeux plongent. Pour regarder une œuvre d’art, il faut savoir prendre son temps. Ce même temps nécessaire à l’artiste pour qu’il y mette son premier coup de griffe. Son premier coup de pinceau. Sa première pâte. Et pour cet artiste breton qui est né à Quimperlé et filera sur Paris à l’âge de 20 ans, il est nécessaire de s’imprégner pour s’immerger dans ces paysages. Tal Coat, de son vrai nom Pierre-Louis Jacob, est né en 1905. Bien évidemment, c’est la mer qui a forgé son regard. Elle n’est jamais loin, l’immensité avec tous ses gris. Une peinture suggestive à laquelle Zao Wou-Ki a été réceptif, au-delà de la rencontre entre les deux hommes qui s’est faite par l’intermédiaire d’amis communs grâce aux expositions collectives auxquelles ils participent en France et à l’étranger.
Nr, Indre, 13/02, p.15

(Chateauroux) Déambulations au Musée Bertrand

Les fidèles du Musée Bertrand, l’hôtel particulier du XVIIIe siècle ayant appartenu au général Bertrand, remarqueront plusieurs changements lors de leur prochaine visite. Dans une petite salle nouvellement aménagée, des faïences représentant la flore et la faune de la région Centre ont pris place. A quelques pas de là, des portraits, restaurés, pour l’exposition Dans l’intimité du grand siècle, viennent d’être accrochés. La pièce suivante est dédiée aux peintres hollandais. Les visiteurs y découvriront La Scène de Sabbat, de Van der Heck, tout juste de retour à Châteauroux après un prêt au Musée Stedelijk d’Alkmaar (Pays-Bas). Scène de patinage, de Schelfhout, «l’un des tableaux préférés des Calsteroussins» selon la conservatrice, Michèle Naturel, fait également son retour. (intégral)
Nr, Indre, 14/02


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MessageSujet: Revue de presse (8 - 14 février 2016)   Revue de presse (8 - 14 février 2016) Icon_minitimeJeu 11 Fév - 9:17

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Drevant) Et maintenant, il faut valoriser le site

Posséder un site galloromain comme celui de Drevant est une chance. Mais encore faut il le rendre vivant et attractif pour le public. C’est la mission que devra remplir la deuxième phase de chantier autour du site lors des prochains mois. La première étape, qui s’est achevée au mois de janvier, a permis de consolider des éléments. «Nous souhaitons mettre en valeur le site le plus rapidement possible», synthétise Pascal Chauveau, technicien des services culturels et des bâtiments de France à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) basée à Orléans (Loiret). Cette deuxième étape reste encore à peaufiner. L’année 2016 sera d’ailleurs consacrée à la réflexion sur la mise en œuvre de projets dont les travaux seront lancés concrètement en 2017. Mais plusieurs réalisations sont déjà sur les rails en lien avec la municipalité de Drevant.  
Le Berry, 08/02, p.38

(Chartres) L’archéozoologie expliquée aux ados


Une dizaine d’archéologues en herbe sont à pied d’œuvre. Durant cette première semaine de vacances, tous se sont familiarisés avec l’archéozoologie, dans les locaux de la direction de l’archéologie, aux Abbayes Saint Brice.Sous la houlette des animateurs de patrimoine,Claude et Albina, ils se sont plongés, avec patience et minutie, dans la découverte ludique de cette discipline.
L'Echo, 11/02, p.8

(Germigny des Prés) Des mesures radiographiques à l’Oratoire

Mardi et mercredi, une équipe de chercheurs a effectué des mesures radiographiques archéologiques à l’Oratoire, à l’intérieur et à l’extérieur de l’édifice. Parmi les scientifiques sur place, Line Van Wersch, une chercheuse de l’université de Louvain en Belgique, Christian Sapin, chercheur au CNRSde Dijon et Christian Camerlynck, enseignant chercheur à l’université de Paris 6. Ces nouvelles investigations autour de l’Oratoire sont dans la suite des travaux réalisés par la chercheuse Line Van Wersch. Cette dernière s’était rendue, en juin dernier, pendant un mois, à Germigny des Prés pour étudier de plus près la mosaïque et en particulier les tesselles de verre combinant à la fois archéologie et analyses physicochimiques. L’objet de ces recherches était d’identifier l’origine des matériaux et les processus mis en œuvre pour les produire.
Rc, Orleans, 12/02, p.17

(Blois) Chantier ACVL, des sondages archéologiques

Dans le cadre des travaux préalables à la 2e tranche de l’aménagement cœur de ville - Loire (ACVL), des sondages archéologiques seront réalisés entre le 15 et le 24 février.Objectif : déterminer si les travaux ACVL peuvent mettre au jour des vestiges. Ils seront réalisés par l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) avec le soutien de la Ville, via un terrassement dans le sol jusqu’à 2 mètres de profondeur. Mais où précisément ? Ces sondages archéologiques se dérouleront sur la rue Denis-Papin (sur la zone de stationnement devant la banque LCL et devant le magasin Armand Thierry) et rue Porte-Côté (sur la zone de stationnement devant les magasins Le Musicien, Eden &Fred, La Maison de Flore, le salon Françoise Brooks, l’agence Foncia, France Loisirs, L’écritoire, Fil à Fil et l’Institut Mahler). Des perturbations de la circulation sont à prévoir rue Porte-Côté, rue Denis-Papin -qui sera d’ailleurs interdite dans le sens descendant le15 février- mais aussi à proximité de la zone de travaux. Les zones de stationnement occupées pour la réalisation des sondages seront interdites. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 13/02

(Escrennes) Six millénaires d’Histoire sous terre

Les interventions archéologiques réalisées ces dernières années du côté de la zone d’activité d’Escrennes ouvrent une fenêtre vertigineuse sur le passé de la région. Plus de 6.000 ans en arrière, le Pithiverais était déjà peuplé. La présence d’Hommes dans le secteur semble avérée au cours de quatre grandes périodes du passé. Des traces éparses mettent en évidence la mise en culture du secteur dès le néolithique moyen (environ 4.500 ans avant notre ère). «Des traces fugaces, difficiles à comprendre», explique Florent Mercey, de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). Toujours est il que les spécialistes des fouilles ont la conviction d’avoir retrouvé l’emplacement d’anciens poteaux, qui devaient supporter des bâtiments. Plus tangibles, des fragments d’outils, de silex, de polissoirs (en grès de Fontainebleau, preuve que les Hommes d’alors voyageaient sur d’assez longues distances). Et, assez surprenant aussi, les archéologues ont découvert des fragments de poteries, celles ci prenant parfois la forme de vases suspendus. Un système plus raffiné que l’on pourrait imaginer pour la période… Pour Florent Mercey, peu de doutes : «Cela ressemble à un site fréquenté, il devait y avoir des habitations».
+ Le résultat d’un long travail
RC, Loiret, 15/02, p.11

(Chartres) Recherche de témoignages

La Société archéologique d’Eure et Loir édite un ouvrage évoquant l’histoire de la Grande Fonderie de Chartres (Teisset Rose Brault, SOCAM…). Afin d’animer et d’enrichir la présentation publique de ce livre, elle recourt à la mémoire locale et recherche toute forme de témoignages, souvenirs, photos, documents, provenant de personnes (ou de leurs descendants) ayant travaillé dans cette entreprise, et de personnes (ou de leurs descendants) ayant habité à proximité de ses ateliers et bureaux, dans le quartier des Filles Dieu. Contacter la SAEL : 1, rue Jehan Pocquet à Chartres (du lundi au vendredi, de14 heures à 17h30 ou le matin sur rendez vous) ou au 02.37.36.91.93 (du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 13h30 à 17h30). (intégral)
L'Echo, 15/02


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MessageSujet: Revue de presse (8 - 14 février 2016)   Revue de presse (8 - 14 février 2016) Icon_minitimeJeu 11 Fév - 9:18

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Thauvenay) Les remparts, un potentiel « inexploité »

Assez. Les membres de l’Association Bourbonnoux en ont assez de ne toujours rien voir venir dans la promenade des remparts. Cela fait des mois qu’ils réclament un relooking de ce passage qui, malgré tout, continue de taper dans l’œil des guides touristiques. «Franchement, on se demande comment le Guide vert Michelin attribue encore une étoile aux remparts. Regardez. Pour l’image de la ville, ce n’est pas terrible. Il y a un vrai potentiel inexploité.» Philippe Wybo, responsable du groupe de travail consacré aux remparts au sein de l’association de quartier, n’en finit pas de pointer du doigt ce qui cloche au pied du mur d’enceinte de la ville gallo romaine d’Avaricum, édifié vers le milieu du IVe siècle.
Le Berry, 10/02, p.12

(Saint Martin d'Auxigny) Bléron : La Drac va suivre les travaux

L’assemblée générale de l’association du Prieuré de Bléron a eu lieu samedi dernier, salle multimodale de la mairie de Saint Martin d’Auxigny devant de nombreux adhérents et en présence d’élus de Saint Martin d’Auxigny et de Saint Éloy de Gy. L’association a été autorisée par la préfète à recevoir des dons et à délivrer des avoirs fiscaux. Quatre chantiers d’entretien se sont tenus sur le site de Bléron, réunissant à chaque fois une dizaine de membres bénévoles. En octobre 2015, la Drac, direction régionale des affaires culturelles, avait annoncé sa décision d’assurer la maîtrise d’ouvrage pour les travaux de restauration de la toiture du prieuré, travaux qui pourront être réalisés cette année. Le prieuré de Bléron avait obtenu, rappelons le, l’inscription en 2013 à l’inventaire des Monuments Historiques.
Le Berry, 10/02, p.17

(Châteaumeillant) L’église Saint-Genès a besoin d’un orgue

L’église de Châteaumeillant est un bijou de l’art roman, l’une des plus grandes de la région, ce qui dénote une intense activité religieuse depuis le XIIe siècle. Étonnamment, un tel édifice n’abrite aucun orgue à tuyaux, s’étant contenté longtemps d’un harmonium. Ce dernier fut utilisé jusque dans les années 1960. À l’arrivée des Frères missionnaires des campagnes, un petit orgue électronique fut acheté. Il y a une dizaine d’années, une organiste parisienne, Mme Dutheil, qui passait sa retraite à Châteaumeillant, fit don de son orgue électronique double  clavier à pédalier à la paroisse. Aujourd’hui, cet instrument ne fonctionne plus et s’avère irréparable. Aussi, la  paroisse lance une souscription afin de réunir le financement nécessaire à cet achat.
Le Berry, 10/02, p.17

(Tours) Femme Loire à Marmoutier : le coup de grâce

Il a été proposé, lundi soir au conseil municipal, de voter une demande de classement aux monuments historiques de l’ancienne abbaye de Marmoutier. «Dans un souci de simplification mais aussi de renforcement de la valeur historique du site, le comité de pilotage (Affaires culturelles et Ville de Tours) a émis le souhait d’un classement intégral aux monuments historiques», a expliqué Françoise Amiot, adjointe au patrimoine. La demande porte sur l’ensemble du territoire de l’ancienne abbaye : la propriété communale, donc, mais aussi celle de l’institution Marmoutier, ainsi que les deux maisons familiales Rougemont. «Ce classement n’apportera aucune contrainte supplémentaire,mais donnera au monument une envergure nationale, et permettra l’octroi de subventions plus importantes», a argumenté l’élue. En cette année martinienne, il s’agit aussi, évidemment, d’un acte symbolique. Mais ce classement met aussi un point final à une polémique vieille de plusieurs années, puisqu’il interdit de fait, définitivement d’implanter la monumentale Femme Loire de Michel Audiard sur un terrain au-dessus du site.
Nr, Indre et Loire, 10/02, p.12

(Joué les Tours) La ville aux neuf monuments historiques

Neuf édifices sont inscrits aux monuments historiques. Parmi eux, le pont de l’Arche du Pin, le manoir de Chérizy et la tour de la Maucannière. Présentation.
Nr, Indre et Loire, 10/02, p.14

(Cheillé) Les amis des Vitraux Saint-Didier très actifs

Cette nouvelle association, Les Vitraux Saint-Didier, a pour but de restaurer les vitrauxde l’église du bourg de Cheillé. Petit historique : le 16 juillet 1944, deux bombardiers alliés chargés de bombes sont entrés en collision et se sont écrasés sur le plateau de Marnay, provoquant une explosion qui a soufflé les vitraux, entraînant la mort de quinze aviateurs alliés. L’association vient de vivre sa première assemblée générale, et son président, Bernard de Chasteigner, a fait le bilan de l’activité depuis sa création il y a un peu plus d’un an. Lors des Journées du patrimoine, Michel Quantin, historien, a animé une visite de l’église. la rencontre avec le chef du service de l’Architecture etdu patrimoine, souligne le président, «nous a encouragés dans nos choix et nous a donnés de précieux conseils. Nous avons remis en mairie le dossier qui lui permettra de signer prochainement la convention avec la Fondation du patrimoine et il nous aidera dans nos démarches afin de trouver les ressources financières nécessaires à la réalisation du projet. Le bilan financier, certes positif, devra décoller grâce à nos actions et avec l’appui, et la caution, de la Fondation du patrimoine».
Nr, Indre et LoireW, 10/02, p.18

(Orleans) Plusieurs édifices classés vont s’embellir

Eglises, hôtels particuliers, maisons anciennes sont des emblèmes du passé. Marqués au fer des savoir faire traditionnels relatifs au travail de la pierre, à une tradition oubliée aujourd’hui, sacrifiée sur l’autel du béton et de l’édification dans des délais serrés. Pour pallier l’usure du temps, la ville mène régulièrement des opérations d’entretien courant sur le patrimoine et y consacre chaque année 150.000 euros. Au minimum… Car pour le reste, les chiffres grimpent très vite. En décembre dernier, le conseil municipal s’est prononcé sur le plan d’action 2016-2017 budgétant plusieurs grosses opérations de restauration. «Dans le cadre de monuments classés, nous avons le devoir d’intervention. Nous avons une liste de bâtiments prioritaires et nous échangeons avec la DRAC pour voir quels bâtiments sont concernés. Nous échelonnons les choses car ce sont des sommes très importantes, qui ne sont pas entièrement prises en charge par la ville, qui bénéficie de subventions de la DRAC notamment. Ce plan pluriannuel peut bien sûr être chamboulé en cas de gros pépins», précise Philippe Barbier, conseiller municipal délégué au patrimoine historique.  
RC, Orleans, 08/02, p.117

(Bourges) Des travaux de déblaiement à prévoir

Une intervention devrait avoir à nouveau lieu sur la Maison de la Forestine, en plein centre ville, pour faciliter, notamment, le travail de l’expertise judiciaire, toujours en cours depuis le terrible incendie qui avait ravagé le bâtiment en avril dernier. «Il s’agit de travaux de déblaiement. L’idée est d’enlever les gravats pour permettre à l’expert d’accéder à certaines parties de la Maison auxquelles il n’a aujourd’hui pas accès», indique Michaël Benoist, directeur des services techniques du centre hospitalier Jacques Coeur, le propriétaire de l’immeuble. Nommé en septembre dernier par le tribunal de grande instance de Bourges, un expert est en effet chargé de déterminer les causes et les responsabilités de chacun dans le sinistre. Un préalable indispensable au lancement de toute reconstruction. Pour l’heure, l’objectif de l’intervention à venir est aussi d’éviter que le bâtiment ne se dégrade davantage. «Les gravats alourdissent la structure et la fragilisent. Et puis ils empêchent, de toute façon, les travaux de reconstruction.»  
Le Berry, 31/01, p.17

(Le Boullay Thierry) L’association des Amis du patrimoine franchit le cap des 100 adhérents

L’association des Amis du patrimoine du Boullay Thierry, présidée par Paulette Pichard, a tenu, vendredi soir, son assemblée générale, à la maison des associations. «Nous voudrions faire refaire le haut du retable, dans l’église, il manque une volute en bois doré». Un donateur anonyme ayant manifesté son désir de faire du mécénat pour cette réalisation, l’association s’est mise en contact avec un ébéniste. «Nous avons encore beaucoup de projets à réaliser, deux panneaux historiques à finaliser, pour le circuit touristique du village, celui du château et celui de la maison du régisseur. Nous voudrions également faire un fascicule sur le Boullay Thierry, sa toponymie, et la compilation de tous les documents que l’on a sur un support que l’on pourrait distribuer et le plan des circuits pédestres».  
L'Echo, 06/02, p.14

La mémoire de Chambord aux archives départementales

Il s’agit en fait d’une régularisation puisque les archives anciennes de Chambord sont conservées aux archives départementales depuis 1980 ! Toutefois, il s’agissait d’appliquer la circulaire de 2010 du Ministère de la culture qui formalise le dépôt de ces archives déjà déposées et celles à venir. Une convention tripartite entre le Département, Chambord et les Archives nationales a donc été signée ce jeudi. Et c’est même le directeur des archives de France, Hervé Lemoine, qui est venu en personne acter cela : «Chambord est un lieu singulier qui revêt une dimension nationale voire internationale… qui, par dérogation, a pu conserver ses archives localement pour un bon rayonnement territorial», confiait- il en aparté, après s’être réjoui publiquement d’une «coopération fructueuse qui permet au plus grand nombre d’avoir accès à ces fonds d’archives.»  
NR, Loir et Cher, 07/02, p.9

(Loches) Agnès Sorel repose en majesté

C'est la dernière pierre à l’édifice. Celle qui vient parachever la restauration du gisant d’Agnès Sorel, commencée début novembre, sous la conduite du restaurateur Olivier Rolland. Vendredi, le sculpteur Ianek Kocher a livré le dais qui couronne la tête de la Dame de beauté sur son tombeau de marbre de la collégiale Saint- Ours. La pose de cette pièce d’une soixantaine de kilogrammes fut une opération délicate, tant elle est sculptée sur la plupart de ses faces, ce qui ne laisse que peu de latitude pour l’installation. Le gisant, érigé juste après la mort d’Agnès Sorel survenue en 1450, a retrouvé sa configuration originelle, un peu plus bas sur la dalle. Ce qui a permis de recréer le dais, disparu, qui l’ornait au départ. Dans son atelier de Chemillé sur Dême, Ianek Kocher a sculpté de la pierre de tuffeau, couramment utilisée en Touraine pour ce genre de pièce. Il s’est basé sur des représentations du XVIIe.  NR, Indre et LoireE, 08/02, p.17

(Orleans) Les métiers d’art

La 14e édition du salon régional des métiers d’art aura lieu du 26 au 28 février, au Parc expod’Orléans. 140 artisans de la région Centre-Val de Loire et 15 établissements de formation seront présents pour promouvoir et valoriser lesmétiers d’art, les hommes, leur savoir faire.La thématique du concours de cette année est «légèreté». Les lauréats (deux artisans et deux établissements de formation) seront  récompensés pour leurs œuvres prestigieuses. Des défilés de mode animeront le salon le vendredi 26 et le samedi 27 février. L’entrée est gratuite. (intégral)
RC, Orleans, 11/02

(Pithiverais) Parfois menacées de disparaître, les structures de promotion du patrimoine pourraient s’unir

Devant eux, le document de cinq pages qu’ils viennent d’adresser à une trentaine de structures du Nord Loiret. Cinq pages qui dressent un constat simple : les passionnés s’intéressant de près ou de loin aux richesses locales sont nombreux, mais souvent isolés. Alors pourquoi ne pas se regrouper pour devenir plus efficaces ? Une proposition envoyée à l’ensemble des associations, musées, et sites archéologiques répertoriés dans les environs, partageant un point commun, celui de la promotion du patrimoine du Pithiverais. Et qui pourrait donc déboucher sur la création d’une «super association», propre à dynamiser le territoire dans son ensemble. Derrière ce projet pour le moins ambitieux, Marc Brendel, Jacques Raunet et Jean-Philippe Liger. Trois personnalités bien connues pour défendre activement les richesses des environs. Les deux premiers à travers la bien nommée association Connaissance et sauvegarde du patrimoine, le dernier notamment en tant que président du groupement des amis des musées de la région Centre. Un trio bien décidé à agir pour éviter de voir disparaître cette constellation de structures gravitant autour du patrimoine, aujourd’hui principalement menacées par le vieillissement de leurs membres.
+ Une trentaine de structures contactées
RC, Loiret, 11/02, p.12

(Vernou-sur-brenne) Sauvegarde du patrimoine : un don pour aider l’association

La sauvegarde du patrimoine de Vernou-sur-Brenne représentée par son président Charles Forestier et six de ses membres se sont rendus vendredi au Super U pour y rencontrer son directeur, Didier Sornais, par ailleurs président des commerçants, pour recevoir un don. En effet entre le 14 décembre et le 3 janvier, M. et Mme Toussaint, viticulteurs, sont devenus partenaires avec le supermarché dans une opération commerciale Sauvegarde du patrimoine. Les prélèvements effectués sur la vente de cartons de fines bulles ont permis de récolter 537,60 € au profit de l’association. Charles Forestier en remerciant, a indiqué :«Ce don va arranger nos finances, car nous n’avons que six mois d’existence. Il servira en priorité à deux actions, la réfection des fenêtres de l’église et le nettoyage du monument aux morts. Dans un deuxième temps, il nous aidera, avec l’aide de la mairie, à accéder aux subventions de la Fondation du patrimoine dans une sorte de donnant-donnant.» (intégral)
Nr, Indre et Loire, 11/02

(Theneuil) La cloche du château du Temple a disparu


Il s’était attiré les projecteurs avant sa vente aux enchères à la bougie le 29 janvier. Le château du Temple de Theneuil suscite également l’appétit des voleurs. En témoigne la cloche en bronze, située sur la partie gothique du monument et sans doute datée de la construction du château qui, depuis ce week-end a pris la poudre d’escampette…Et, d’après Me Hardy, le notaire tourangeau chargé de la vente, il semblerait qu’on l’y ait aidé. Les nouveaux propriétaires, des Parisiens qui se sont offert le Temple pour 560.000 €, devront donc faire sans… A moins que la cloche ne réapparaisse comme elle avait disparu. Discrètement. (intégral)
Nr, ,Indre et Loire, 11/02

(Bourges) Ces monuments aujourd’hui disparus

Il est bien difficile d’imaginer ce que pouvait être Bourgesdans les différentes périodes de l’histoire. Pourtant, de nombreux monuments disparus méritent d’être cités. L’historien Philippe Golman y a d’ailleurs consacré de nombreux articles dans l’ancienne revue Berry magazine. En voici une sélection.
+ Un acharnement fatal à la Sainte-Chapelle
le Berry, 12/02, p.8

(Vendome) Une borne sur l’avenue de Verdun

L’amicale “Ceux de Verdun” relève le défi : rappeler à Vendôme la sanglante bataille, en y implantant… une copie des 59 bornes de la Voie sacrée ! Une réussite que l’on doit à la pugnacité de l’amicale qui, depuis 1961, veille au souvenir des poilus, d’abord sous la présidence de Georges Aubry, puis, à partir de 1990, de Régis Lorin, aujourd’hui président honoraire. L’inauguration officielle de la borne, qui a été offerte par la communauté urbaine d’Arras, se fera avenue de Verdun, ce 21 février, jour du 100e anniversaire de la bataille de Verdun. La veille, une cérémonie se tiendra au monument aux morts où une gerbe sera déposée. Une exposition est également prévue à la chapelle Saint-Jacques. La borne devrait être inaugurée par le maire Pascal Brindeau, en présence du président de la communauté urbaine d’Arras, Philippe Rapenau, le donateur, et Régis Lorin, président honoraire et administrateur national de la fédération «Ceux de Verdun», et Laurent Ledier, président. «Vendôme faisant partie des villes qui ont participé au financement de l’ossuaire de Douaumont à Verdun, je souhaitais que la ville puisse avoir un site de mémoire. Une façon aussi de se souvenir d’Émile Sauvaget, ancien instituteur et directeur de l’école Saint-Lubin de Vendôme, rebaptisée Francis-Bretheau, qui est le soldat de 14-18 le plus décoré de France et quatre fois blessé», confie Régis Lorin.
Nr, Loir et CherN, 12/02, p.16


(Romorantin) Les nombreuses activités de la Sahas

Samedi en fin d’après-midi, la grande salle de l’ancien centre administratif était comble : près de 150 personnes, dont de nombreux élus de la communauté de communes du Romorantinais et du Monestois, ont assisté à l’assemblée générale de la Société d’art d’histoire et d’archéologie de Sologne (Sahas) et à la conférence consacrée à Georges Daudu donnée par Françoise Darmagnac. Hélène Leclert, la présidente, a retracé les activités, les sorties patrimoniales, historiques ou archéologiques de son association. Elle a souligné le fabuleux travail de recherche, qui a duré trois ans, de Cyril Berdelou : «Cyril est l’auteur d’un recueil de 339 pages consacré à nos morts de la Première Guerre mondiale. Un travail exceptionnel qui fera date car ce n’est pas seulement Romorantin mais aussi les communes voisines qui sont concernées. Un travail récompensé par l’obtention du Label de la Mission du Centenaire. L’association lui adresse ses félicitations…»
Nr, Loir et CherN, 12/02, p.19

(Loches) Remparts : l’accord voté en mars ?

Invité de nos confrères de TV Tours le 10 février, le maire de Loches, Marc Angenault, est revenu sur la convention sur le financement de la restauration des remparts, en discussion entre l’État, la commune et le Département. Il a indiqué que cette convention serait «probablement» soumise au vote du conseil municipal «en mars». Par ailleurs, il a indiqué que, selon ses informations, le promoteur du projet d’hôtel au palais dejustice pourrait déposer en mairie sa demande de permisde construire «dans le semestre» en cours. (intégral)
Nr, Indre et Loire, 12/02

(Bourges) Ces monuments aujourd’hui disparus

Il est bien difficile d’imaginer ce que pouvait être Bourgesdans les différentes périodes de l’histoire. Pourtant, de nombreux monuments disparus méritent d’être cités. L’historien Philippe Golman y a d’ailleurs consacré de nombreux articles dans l’ancienne revue Berry magazine. En voici une sélection.
+ Un acharnement fatal à la Sainte-Chapelle
le Berry, 12/02, p.8

(Vendome) Une borne sur l’avenue de Verdun

L’amicale “Ceux de Verdun” relève le défi : rappeler à Vendôme la sanglante bataille, en y implantant… une copie des 59 bornes de la Voie sacrée ! Une réussite que l’on doit à la pugnacité de l’amicale qui, depuis 1961, veille au souvenir des poilus, d’abord sous la présidence de Georges Aubry, puis, à partir de 1990, de Régis Lorin, aujourd’hui président honoraire. L’inauguration officielle de la borne, qui a été offerte par la communauté urbaine d’Arras, se fera avenue de Verdun, ce 21 février, jour du 100e anniversaire de la bataille de Verdun. La veille, une cérémonie se tiendra au monument aux morts où une gerbe sera déposée. Une exposition est également prévue à la chapelle Saint-Jacques. La borne devrait être inaugurée par le maire Pascal Brindeau, en présence du président de la communauté urbaine d’Arras, Philippe Rapenau, le donateur, et Régis Lorin, président honoraire et administrateur national de la fédération «Ceux de Verdun», et Laurent Ledier, président. «Vendôme faisant partie des villes qui ont participé au financement de l’ossuaire de Douaumont à Verdun, je souhaitais que la ville puisse avoir un site de mémoire. Une façon aussi de se souvenir d’Émile Sauvaget, ancien instituteur et directeur de l’école Saint-Lubin de Vendôme, rebaptisée Francis-Bretheau, qui est le soldat de 14-18 le plus décoré de France et quatre fois blessé», confie Régis Lorin.
Nr, Loir et CherN, 12/02, p.16

(Romorantin) Les nombreuses activités de la Sahas

Samedi en fin d’après-midi, la grande salle de l’ancien centre administratif était comble : près de 150 personnes, dont de nombreux élus de la communauté de communes du Romorantinais et du Monestois, ont assisté à l’assemblée générale de la Société d’art d’histoire et d’archéologie de Sologne (Sahas) et à la conférence consacrée à Georges Daudu donnée par Françoise Darmagnac. Hélène Leclert, la présidente, a retracé les activités, les sorties patrimoniales, historiques ou archéologiques de son association. Elle a souligné le fabuleux travail de recherche, qui a duré trois ans, de Cyril Berdelou : «Cyril est l’auteur d’un recueil de 339 pages consacré à nos morts de la Première Guerre mondiale. Un travail exceptionnel qui fera date car ce n’est pas seulement Romorantin mais aussi les communes voisines qui sont concernées. Un travail récompensé par l’obtention du Label de la Mission du Centenaire. L’association lui adresse ses félicitations…»
Nr, Loir et CherN, 12/02, p.19

(Loches) Remparts : l’accord voté en mars ?

Invité de nos confrères de TV Tours le 10 février, le maire de Loches, Marc Angenault, est revenu sur la convention sur le financement de la restauration des remparts, en discussion entre l’État, la commune et le Département. Il a indiqué que cette convention serait «probablement» soumise au vote du conseil municipal «en mars». Par ailleurs, il a indiqué que, selon ses informations, le promoteur du projet d’hôtel au palais dejustice pourrait déposer en mairie sa demande de permisde construire «dans le semestre» en cours. (intégral)
Nr, Indre et Loire, 12/02

(Sens Beaujeu) Des archives sur l’histoire locale offertes

Patrice Mathigot, le maire adjoint, a reçu à la mairie de Sens Beaujeu, en compagnie de Françoise Mathigot-Castillon, présidente de l’association Sens Beaujeu art, Marie du Berry et Jacques Hardy, venus léguer des documents sur la petite Vendée sancerroise. «Sens Beaujeu a été le théâtre d’événements historiques exceptionnels», a insisté Jacques Hardy. C’est sur la place de Sens Beaujeu, qu’à la mi avril 1796, s’est achevée l’insurrection royaliste où se sont affrontés les blancs et les bleus. Jacques Hardy a rappelé que celui qui avait été le chef de l’insurrection, le Picard de Phélippeaux, après avoir été pris et emprisonné à Bourges, avait réussi à s’évader et avait mis, par la suite, en échec Bonaparte au siège de Saint Jean d’Acre. Jacques Hardy a remis des articles et des études sur ce personnage et sur cette période agitée qui fait débat dans le Sancerrois encore aujourd’hui. Marie du Berry a offert la copie de l’Or des Chouans, roman de Pierre-Georges Duhamel qui ne se retrouve plus car épuisé. Elle a également remis une copie archivée de l’Affaire du moulin de Mourut, ouvrage de 1889 de Lucien Jenny, historien de Bué. (intégral)
Le Berry, 13/01

(Epeautrolles) Les travaux sur la toiture de l’église sont repoussés

Les baisses de dotation de l’État aux communes ont un impact direct sur les investissements à Épeautrolles. C’est que regrette le maire, Bruno Taranne : «Cela nous impose de limiter nos investissements en différant certains travaux.» Selon lui, «dans un contexte économique difficile, seule une maîtrise rigoureuse des finances de la commune nous permet de faire face aux dépenses obligatoires (cantine, transport scolaire, scolarité et pompiers), en évitant d’avoir recours à une augmentation des taux d’imposition communaux». Résultat, le réaménagement de la cour et des abords de la salle polyvalente, ainsi que la mise à l’étude d’un investissement important, la réfection de la couverture de l’église, sont repoussés en 2017.
L'Echo, 13/02

(Chateaudun) La mutation de Kellermann est lancée

Le maire (LR) de Châteaudun Alain Venot et son prédécesseur (DVD) Didier Huguet en rêvaient. C’est, désormais, une réalité concrète. La reconversion de l’ancienne caserne Kellermann va voir le jour. «Nous n’avons pas le droit à l’erreur. Il faut que ce soit réussi», a souligné Alain Venot, hier, avant de faire le point sur cet ambitieux projet qui sera «un lien entre la ville historique et la ville» et ira au delà de son (dernier) mandat en 2020. L’acte de vente de l’ancienne caserne Kellerman sera signé, jeudi, en sous préfecture, par la Ville de Châteaudun.
L'Echo, 13/02, p.18

(Orleans) Surprise

Dans ses voeux aux Orléanais, le maire Olivier Carré (LR) promettait une année 2016 pleine de «surprises». En début de semaine, on a appris que l’une d’elles serait liée à l’histoire d’Orléans. S’adressant à Laurent Mazuy, expert du patrimoine à la mairie d’Orléans, le maire a ainsi indiqué que celui-ci serait rapidement «mis dans la boucle», mais sans dévoiler du tout l’essence du projet… (intégral)
RC, Loiret, 14/02

(Courcy-aux-Loges) Nicolas Jamois gratte cent plaques


L’an passé, nous relations l’idée, pour le moins originale, née dans l’esprit d’un villageois de Courcy aux Loges : récupérer, puis restaurer les antiques plaques de cochers tombées en désuétude. Chemin faisant, preuve que l’idée tenait la route, Nicolas Jamois ramène tout juste sa centième plaque à la vie. Mises en place dès 1833 – fautil le spécifier à une époque peu coutumière de la géolocalisation par GPS –, lesdites plaques en fonte étaient destinées à préserver le voyageur de l’égarement. À lui éviter des kilomètres inutiles à travers les campagnes à dos de cheval. Au fil des ans, celles qui devaient connaître leur apogée alors qu’écrivait encore Victor Hugo ont fini par disparaître. Enfin presque. Le bouche à oreille faisant son oeuvre, à ce jour, des dizaines de villes et villages ont déjà fait appel à ses services. Au point que voilà Nicolas Jamois connu et reconnu dans la France entière. Une petite fierté, sans doute, pour celui qui vient de sauver sa centième plaque. L’honneur en revient au village loirétain de Villemurlin.
RC, Loiret, 14/02, p.12

(Nogent le Phaye) L’emblème de la ville va être restauré

Lors du Conseil municipal, jeudi, à Nogent le Phaye, le maire Brigitte Franchet et ses conseillers ont sollicité des subventions. Les conseillers ont approuvé la restauration de l’éolienne Bollée, emblème de la commune. Construite par Ernest Bollée, elle fut installée en 1898 et classée en 1993. Elle alimentait en eau le lavoir communal. Les travaux, d’une estimation de 85.000 €, pourraient démarrer en automne sous la direction des architectes Laurence et Bertrand Leys.
L'Echo, 14/02, p.7

Sur l’A 20, impossible de tomber dans le panneau

Au regard de la rédaction du contrat, l’État porte atteinte aux droits de propriété intellectuelle de l’artiste. La décision du tribunal de grande instance de Paris, rendu au début du mois de janvier 2015, était sans appel : les quatre-vingt-dix panneaux installés sur le tronçon autoroutier allant de Vierzon (Cher) à Brive (Corrèze), devaient être enlevés. Épilogue judiciaire du contentieux ayant opposé le ministère du développement durable à l’artiste, sur la durée d’exposition de représentations graphiques pouvant atteindre une superficie de 25 m2. Au cœur de l’hiver commençait le démontage des fameux panneaux «d’animation touristique et culturelle», dont trente-cinq se trouvaient entre Vierzon et Mouhet. La Direction interdépartementale des routes Centre-Ouest (Dirco), qui gère la partie non concédée de l’A 20, précisait alors que d’autres panneaux seraient «ultérieurement installés sur la zone concernée, dès qu’un nouveau schéma directeur sera élaboré entre l’État et les collectivités locales». Ultérieurement ? «Qui arrivera dans le futur», d’après la définition du Petit Robert. Si les responsables de la Dirco affirment que «le dossier avance comme il doit avancer», les élus des départements concernés s’inquiètent de l’absence de mouvement. Le conseil départemental de l’Indre a ainsi émis un voeu lors de sa séance du 15 janvier.
+ “ La saison touristique, c’est demain ”
NR, Indre, 13/02, p.2

Quand les châteaux chouchoutent les “ locaux ”

C’est nouveau au château de Cheverny,en 2016 on chouchoute les habitants du Loir-et-Cher. Une carte privilège vient d’être lancée pour avantager les Loir-et-Chériens tout au long de l’année, sur simple justificatif de domicile.A 45 € par adulte et 25 € par enfant (de 7 à 14 ans) on peut rentrer à Cheverny comme chez soi. L’objectif affiché parConstance de Vibraye ? «Privilégier les habitants de la région,leur faciliter l’accès à la culture, mais aussi leur permettre de profiter de tous nos évènements annuels : Noël auchâteau, marathon, jardin de tulipes, rallye automobile Tintin,etc.» Les offres ponctuelles sont de plus en plus nombreuses dans les châteaux, ce qui peut tenter les gens du cru. Et la carte se trouve ainsi vite amortie. Les acteurs du tourisme l’ont aussi bien compris, les “locaux”sont les premiers ambassadeurs de leurs châteaux. Ce sont eux qui vont amener leur famille et amis en visite dans la région. Ces premiers prescripteurs de sorties patrimoniales doivent donc être traités à part. Au château de Blois, c’est une autre politique qui est mise en place. Et qui vient d’être renouvelée au 1er janvier pour 4 ans. Le château appartient à la ville, seuls les habitants de Blois peuvent prétendre au pass culturel.
Nr, Loir et Cher, 13/02, p.2

(Lignières) Le retable en pleine restauration

Il y a quelques mois, la commune entreprenait, avec le soutien de la Fondation du Patrimoine, la restauration de l’impressionnant retable de son église. Du XVIIe siècle, en bois polychrome et complété par deux petits retables latéraux, l’ensemble présentait de nombreux désordres dont les assemblages déformés, entraînant la désolidarisation de l’arc et une poussée sur les menuiseries. Le décor supérieur intégrant un tableau représentant «L’Adoration des mages», dont la partie haute suit l’arc de la corniche, a été démonté. La restauration picturale en a été confiée à Karine Hautefort, de Vouvray. Sous le tableau et jusqu’au maître-autel, un cartouche formant cadre sert de décor de fond au tabernacle reposant sur trois hauteurs de gradin. Cette partie a été démontée et apportée dans l’atelier de Sébastien David pour un remaniement complet. En revanche, pour la partie fixe longeant le mur plat du chœur, primitivement percé d’une fenêtre, une restauration in situ a été indispensable.
Nr, Loir et CherN, 13/02, p.18

(Tours) Ils ont le sens du partage comme saint Martin

De plus en plus nombreux sont ceux qui demandent à la mairie l’autorisation d’utiliser le logo de Martin, le fameux M de couleur rouge, que l’on peut notamment admirer sur la façade de la tour Charlemagne et que l’on va voir un peu partout en cette année martinienne. Le 1.700e anniversaire de la naissance du saint s’avère pour eux une belle aubaine. Plus rares, en revanche, sont ceux à avoir l’esprit martinien, c’est-à-dire le sens du partage, comme saint Martin, qui coupa sa cape pour en offrir une moitié à un pauvre. En effet, seules trois entreprises tourangelles ont signé une convention avec la Fondation du patrimoine avec laquelle la Ville a lancé une souscription, il y a un an, pour la restauration de la basilique. Elles s’engagent à reverser une partie de leurs recettes pour Saint-Martin. Ce trio partageur était réuni jeudi matin, à l’occasion de la présentation officielle de leurs produits par la Fondation du patrimoine, dans l’auditorium de la bibliothèque, avec vue sur le dôme dénudé de «la basilique Saint-Martin, qui fut autrefois le centre de l’Europe chrétienne médiévale», a rappelé Serge Babary. Le maire a d’ailleurs précisé que «cette année était un point de départ et que la Ville ne va pas se limiter à 2016 ; Tours a la chance d’avoir un personnage fort, il faut renouer le lien avec saint Martin».
+ Une cape de métal pour la basilique
Nr, Indre et Loire, 13/02, p.13

Ussé : le combat d’un châtelain pour sa demeure

Sans les touristes, je ne pourrais pas garder le château ni l’entretenir. Ce dimanche est une journée qui compte pour le duc Casimir de Blacas. Le propriétaire d’Ussé attend les premiers visiteurs de la saison, ce matin, après trois mois de fermeture de sa demeure. Avec sa façade de tuffeau qui domine le Vieux Cher, ses toitures d’ardoises qui scintillent au soleil, ses orangers qui, à la faveur du printemps, ornent la terrasse supérieure, Ussé peut s’enorgueillir de son rang d’étape incontournable. Un statut que le châtelain franco-belge espère bien conserver. «Ouvrir au public est l’unique moyen de restaurer le monument et d’espérer le transmettre dans le meilleur état possible», explique Casimir de Blacas. Grâce aux visites, les toitures de la façade Est, visibles depuis la cour d’honneur, ont ainsi retrouvé une nouvelle jeunesse pendant l’hiver. En 2015, 107.000 personnes sont venues visiter le château d’Ussé. Car si l’affluence permet à Ussé de rester sur pieds, elle impose également des restaurations régulières. En témoignent le dallage de la salle, remplacé cet hiver, ainsi que les marches de l’escalier Mansard polies par le passage.
Nr, ,Indre et Loire, 14/02, p.9

(Vierzon) Un journaliste dans la peau (22) Des passionnes de machinisme agricole en plein déménagement

Il est près de 8h30, rue du Bas de Grange, dans le vaste bâtiment qui fut jadis une partie de l’usine Case et qui abrite aujourd’hui la Mémoire industrielle et agricole du pays de Vierzon. Sous les verrières dont les fêlures laissent goutter de ci, delà la pluie, une petite file de tracteurs attend. C’est une journée un peu particulière pour l’association. Comme tous les vendredis, les bénévoles se sont retrouvés mais, cette semaine, ils ont une tâche un peu particulière : préparer de quoi renouveler l’exposition présentée au musée de Vierzon, face aux fameuses façades de la Société française. Dans la salle vitrée servant de foyer aux membres de l’association et qui surplombe la vaste usine où sommeillent des dizaines de machines, on boit le café et on récapitule le déroulement de la bataille. Les passionnés de la Mémoire scrutent un plan avec les responsables du musée pour préparer l’installation des tracteurs. Le site d’exposition n’est pas loin mais, pour autant, les tracteurs n’iront pas parleurs propres moyens. Un camion benne de la ville a été mis à disposition et, en l’attendant, les bénévoles donnent un dernier souffle d’air dans les pneus. C’est le moment du départ. Pendant que les uns préparent les départs successifs, une seconde équipe s’affaire au musée. Pas une sinécure de tout faire rentrer là bas.
+ Dans la passion pour les Vierzon, « il y a un côté sentimental »
Le Berry, 15/02, p.14

(Thiville) L'Écomusée va tourner rond

L'Écomusée de la Vallée de l'Aigre a tenu son assemblée générale, samedi, dans une salle communale de Thiville. Les trois coprésidents ont dressé un bilan positif de 2015 avec une fréquentation en hausse pour les visites de groupes, une trentaine de scolaires et d'adultes, et plus de 1.400 entrées enregistrées. Le nouveau thème choisi cette année s’intitule «Et ça tourne rond». Tout ce qui est cercle ou sphère sera décliné tant en expositions qu'en sorties. L'association lance un appel à tous ceux qui auraient un objet rond ou en boule original à lui prêter et leur demande de prendre contact directement au musée.
L'Echo, 15/02, p.17

(Chouzé-sur-loire)  Musée des Mariniers : peut-être un 2e bateau

L’année 2015 a vu le renouvellement de la confiance de lamunicipalité par la signature d’une nouvelle convention pour les trois prochaines années. Elle a commenté les actions : accroissement de la collection d’objets du musée, exposition «Lumière, s’il vous plaît !», nombre des entrées du musée (775 entrées)… La toue cabanée «La Martinienne», après une importante remise en état, a effectué 763 balades. Pour bien l’identifier lors de ses sorties, des vareuses ont été confectionnées avec le logo de l’association. Aidé par la municipalité sous forme de subvention, l’emploi saisonnier a été occupé par Mélanie Laurent. L’ensemble des personnes qui, tout au long de l’année, soutiennent l’association, a été remercié. L’association a en projet un deuxième bateau : une étude est en cours de réflexion.
Nr, Indre et LoireW, 15/02, p.12

Le château de Sully s’anime…

Le château de Sully sur Loire propose au public une programmation riche en événements. À l’aide d’un livret jeu, le visiteur est invité à la découverte des métiers artisanaux et du savoir faire des artistes et artisans qui ont créé les œuvres et les objets du château de Sully. Cette animation est proposée jusqu’au 6 mars, du mardi au dimanche. En mars, le château se dévoilera au public de façon insolite : les accès, portes et salles habituellement fermés seront ouverts. Le guide invite à découvrir de façon exclusive les entrailles, passages et autres curiosités qui ont fait l’histoire du château les dimanches 6, 13, 20 et 27 mars à partir de 10h30 sur réservation (durée 2 heures). Que s’est il passé un soir de janvier 1902, qui a conduit à la mort du jeune comte Maximilien de Béthune Sully ? Le public sera plongé dans une intrigue passionnante inspirée de faits réels. Cette «visite tragique» permet de découvrir les salles non accessibles habituellement au public : le haut des tours, l’ancien jardin d’hiver, la dernière chambre oubliée ou encore la tour d’artillerie… (le samedi 5 mars à 18h30 sur réservation – durée 1h30). Enfin, la visite à la chandelle : lanternes et clés à la main, le château se découvrira exceptionnellement dans le noir. Du tombeau à la charpente en passant par les appartements luxueux du XVIIIe siècle, le guide ouvrira les portes, une à une, et fera découvrir les plus beaux espaces du château. Dans une ambiance fantomatique ponctuée de surprises, cette visite à la chandelle sera un plongeon à tâtons dans l’histoire de France et les anecdotes de ce lieu (le dimanche 27 mars, à 21 heures, sur réservation). Plus d’informations sur www.chateausully.fr ou au 02.38.36.36.86. (intégral)
RC, Orleans, 15/02

(Cléry Saint André) Une exposition de photos consacrée à la basilique

«Cette exposition veut relater le travail des hommes qui sont en hauteur». C’est en ces termes que le maire Gérard Corgnac a inauguré la présentation des photos réalisées par Jacques Bourgoin, offerte au public dans le déambulatoire de la basilique. En effet tous les jours,depuis février 2015, des hommes œuvrent pour assurer la restauration de l’édifice. Au sommet de leurs échafaudages, à 25 mètres, ils ajustent les blocs de pierre destinés à remplacer ceux détériorés par le temps qui passe. Ils sculptent et cisèlent, avec minutie, des éléments reproduisent exactement les ornements endommagés. Le résultat de leur travail, masqué par les bâches qui les protègent des intempéries, ne sera dévoilé qu’à la fin du chantier, mais ne sera pas toujours visible du sol. Les photos de Jacques Bourgoin rendent donc un juste hommage à ces artistes de l’ombre qui exercent dans des conditions difficiles.
RC, Orleans, 15/02, p.16

(Vienne en Val) La cloche de l’église va être restaurée


Jeanne Augustine, la plus grosse cloche de l’église de Vienne en Val, installée dans la partie la plus basse du beffroi, a été descendue et part retrouver une nouvelle jeunesse. Pour rappel, elle présente aujourd’hui de grosses fêlures au niveau de l’anse maîtresse, qui pourraient conduire, à moyen terme, à sa chute. Les travaux de réparation, d’un montant de 7.713 € TTC, vont donc démarrer, grâce notamment à l’aide de la Fondation du patrimoine.
RC, Orleans, 15/02, p.18

(Chartres) La cathédrale en cinq actes

Le service Accueil Visites de la cathédrale de Chartres organise un nouveau cycle de conférences, pendant deux mois. Cinq rendez vous sont prévus, avant la haute saison touristique. Les conférences se dérouleront d’abord sous forme de projections en salle, afin d’étudier au plus près les vitraux et leurs détails. Puis, les visiteurs seront invités à parcourir les allées de la cathédrale, pour replacer les vitraux dans leur contexte. Depuis quelques années, chaque thème donne lieu à deux conférences identiques : le dimanche et le mardi. Auparavant, les conférences n’avaient lieu qu’en semaine. La première a eu lieu hier et sera reproduite demain. Elle concerne l’évêque de Cantorbery, Saint Thomas Becket. La deuxième conférence sera consacrée au martyr chartrain Saint Chéron, dont l’histoire reste méconnue. Viendra, ensuite, une visite de la crypte.
L'Echo, 15/02, p.8

(Frazé) Le journaliste salue le retour de la cloche

La cloche de l’église Notre-Dame de Frazé fait son grand retour, dans son beffroi, aujourd’hui à 14h30. L’Étalon apprécie la réinstallation de ce bel objet, classé Monument historique, et qui date de 1780. Il rappelle aussi que cette restauration n’est qu’un élément d’un plus grand chantier concernant cette église, et qu’il est possible à tout un chacun d’en devenir l’un des mécènes. Il renvoie pour cela au site Internet www.fondation-patrimoine.org, où il faut ensuite renseigner “Frazé” dans l’espace “recherche”, puis se laisser guider. (intégral)
L'Echo, 15/02

(Fougères-sur-Bièvre) Exposition “ Si les châteaux m’étaient contés ”

A l’occasion des vacances scolaires de février, «Si les châteaux m’étaient contés», une exposition itinérante du Centre des monuments nationaux, est actuellement présentée dans le cadre médiéval du château de Fougères-sur-Bièvre. Depuis le Moyen Age, les châteaux sont le théâtre de légendes, de contes merveilleux ou de récits inquiétants peuplés de chevaliers et de princesses, de fées et d’êtres malfaisants. L’exposition invite à découvrir cet univers fascinant à travers une collection de jouets anciens et nouveaux, de livres illustrés et en pop-up, de BD, d’images créés par de jeunes artistes, d’extraits de films et de créations inspirées par le thème. Visite libre du château sur trois étages avec accès aux charpentes et logis meublés incluse dans le droit d’entrée. Jeu parcours découverte pour les enfants. Mise en lumière du monument tous les soirs. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 15/02

Amboise se prépare à célébrer Léonard de Vinci


En partenariat avec le comité régional du tourisme, des émissaires du château d’Amboise et du Clos Lucé viennent de prendre part à une tournée médiatique en Italie, à Milan et Rome. L’objet de ce déplacement était de présenter à la presse transalpine les prochaines manifestations et animations qui marqueront le 500e anniversaire de l’arrivée de Léonard de Vinci en Val de Loire, à la cour du roi François 1er. A cette occasion, le château royal d’Amboise proposera du 8 mai au 15 septembre des visites thématiques dédiées au grand maître de la Renaissance. Les visiteurs seront également invités à s’inspirer des panoramas du site pour créer des œuvres dans le cadre d’un atelier baptisé Léonardissimo. L’artiste italien sera aussi présent dans le cadre du nouveau spectacle nocturne créé l’été prochain. De son côté, le château du Clos Lucé (où séjourna durant trois ans Léonard de Vinci) présentera une exposition événement autour de trois chefs-d’œuvre du maître. Le monument sera également le cadre d’un festival européen de musique Renaissance les 23, 24 et 25 septembre. La présentation de ces animations a suscité un vif intérêt auprès de la presse transalpine. Les Italiens constituent la cinquième clientèle touristique en Val de Loire. (intégral)
Nr, Indre et Loire, 15/02

(Saint Jean Saint Germain) Six semaines pour restaurer la cloche

La robe de la cloche présente des traces d’usure à l’endroit des points de frappe du battant, le noyau dans les anses paraît plus faible et le battant, explique Michel Fournier, agent technico-commercial campanaire de la société Bodet (Mayenne), la seule entreprise française spécialisée dans la réfection des cloches. Elle a fêté d’ailleurs sa 1.000e restauration en 2012. Jeudi dernier, l’EURL Desperches, dirigée par Christophe Pichot, a procédé à la sortie de la cloche. Une opération très délicate, l’ouverture du clocher n’étant pas plus large que de quelques centimètres par rapport à la taille de la cloche, d’une masse de 230 kg. «Le total des travaux de l’église : toiture, cloche, beffroi, glacis contreforts, mise aux normes électriques s’élèvent à 95.700 € HT, y compris les travaux de réparation de la cloche, du mouton oméga et du battant de la cloche, de 5.411,50 € HT, et de 3.360 € HT de prestations mécaniques. Nous avons obtenu après la souscription lancée pour ces travaux une subvention de la Fondation du patrimoine pour l’ensemble des travaux de 18.759 € », précise le maire, Pierre Brodny. La cloche devrait reprendre sa place dans six semaines environ.
Nr, Indre et Loire, 15/02, p.13


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Culture O Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Culture O Centre n’est pas toute la culture

L’annonce de la fermeture de l’agence Culture O Centre commence à susciter des réactions. Face à cela, la nouvelle vice-présidente du conseil régional chargée de la culture, Michèle Bonthoux (Eure-et-Loir) a publié vendredi un communiqué. Elle y indique que la Région ne baissera pas son budget culture, mais précise que «face à une réduction des dotations de l’État de 18 M€ dès 2016, toutes les recherches d’économies possibles devaient être mises en oeuvre au plus vite». C’est ainsi qu’il est apparu qu’une partie des missions assurées par Culture O Centre (COC) «pouvait être assurée directement par les services de la Région avec l’appui d’une partie de l’équipe actuelle de COC […]» Actuellement, 13 structures associées fonctionnent avec des crédits régionaux. Elles ont des missions économiques culturelles, sociales, techniques etc. Au total, la Région subventionne à hauteur d’un peu plus de 20 M€ ces 13 structures qui emploient au total environ 300 personnes. Parmi elles, des poids lourds : château de Chaumont, aéroport de Châteauroux, Ciclic (cinéma) ou encore le comité régional de tourisme. Mais ce ne sont peut-être pas elles les plus menacées. (intégral)  Nr, Loir et Cher, 08/01

Culture O Centre va tirer le rideau !

On a appris d’un coup que la structure fermerait ses portes le 31 décembre. Et que, sauf cinq ou six reclassements, le personnel serait licencié. Les vingt salariés de Culture O Centre (COC), certains présents depuis trente ans, en sont encore abasourdis. Ils n’ont pas goûté la méthode : «Je considère cela comme de la maltraitance professionnelle», confie l’un d’eux. Ils voudraient comprendre le pourquoi de la décision et savoir ce qu’il «va advenir des actions culturelles voulues par les collectivités» qu’ils accompagnent depuis des années. Le contexte : l’État diminue ses dotations aux Régions. Cette année, 18 M€ de moins pour le Centre-Val de Loire. La nouvelle majorité régionale cherche donc les économies de fonctionnement. Elle commence par faire l’audit des treize structures qu’elle finance (20 M€ par an). Parmi elles, Culture O Centre, qui reçoit 2,3 M€. «Pas d’audit, pas de concertation, juste l’annonce brutale», explique cependant un salarié. Depuis trente ans, Culture O Centre accompagne les territoires (particulièrement ruraux) dans leur politique culturelle. Elle y a acquis une véritable expertise. Tout cela s’inscrit, évidemment, dans la politique culturelle de la Région. «Et en vraie complémentarité avec ses services», assurent les salariés. Eux, qui passent l’essentiel de leur temps sur le terrain, s’interrogent donc : «Qui fera ce travail demain ? Qui transmettra ces compétences ?» Depuis des années, la Région soulignait l’intérêt de l’action culturelle de COC, au plus près des habitants : «COC jouait un rôle essentiel dans la consolidation du lien social dans ces territoires où, il faut le rappeler, le Front national a fait des scores aux dernières régionales.» Qu’une Région de gauche agisse ainsi laisse perplexes les personnels de COC. «Cela mériterait un débat public !» S’ils comprennent bien la nécessité de dégager des économies, s’ils applaudissent au maintien annoncé du budget culturel global en 2016, ils se demandent comment les 2,3 M€ économisés sur COC ne conduiront pas à diminuer, voire faire disparaître l’action culturelle dans les territoires. «Quel est le plan B ?» Ils espèrent la réponse lors du vote du budget, le 25 février. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 12/02
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Source : lemonde.fr

Fleur Pellerin plombée par ses erreurs de communication


Dans son carnet de bal, Fleur Pellerin avait noté une escapade à Rome, où elle devait célébrer, jeudi 11 février, les 350 ans de la Villa Médicis lors d’une grande soirée déguisée. L’annonce de son éviction du gouvernement, en milieu d’après-midi, lui aura permis de se dérober à cette ultime mascarade.
Lire la suite : http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/02/11/fleur-pellerin-plombee-par-ses-erreurs-de-communication_4863941_823448.html

Audrey Azoulay, la surprise de François Hollande Rue de Valois


De l’Elysée au ministère de la culture, en passant par le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) : Audrey Azoulay, 43 ans, conseillère culture et communication de François Hollande depuis juin 2014, succède à Fleur Pellerin. Enarque, issue de la promotion Averroès, la même que Fleur Pellerin, elle est la fille d’André Azoulay, conseiller du roi du Maroc Mohammed VI, et de l’écrivaine Katia Brami.
Lire la suite : http://www.lemonde.fr/cinema/article/2016/02/12/mme-cinema-arrive-rue-de-valois_4864170_3476.html
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