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 Revue de presse (1 - 6 novembre 2016)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (1 - 6 novembre 2016)   Revue de presse (1 - 6 novembre 2016) Icon_minitimeJeu 10 Nov - 15:36

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(La chatre) Nouveaux documents sandiens pour enrichir le Musée
Né en 1862, à Éguzon, propriétaire du château de Charon, à Maillet, Joseph Pierre était un érudit berrichon, directeur de La Revue du Berry, secrétaire général de l’Académie du Centre. Il a consacré sa vie à réunir de nombreux documents relatifs au département de l’Indre. Une grande partie de ses collections a été dispersée lors de ventes aux enchères, à Issoudun, cette année. Lors de la vente de mars, le Musée George-Sand et de la Vallée noire a acheté divers documents remarquables. On citera un herbier de George Sand, datant de 1827, actuellement prêté pour l’exposition George Sand et les sciences de la vie et de la Terre, au Muséum de Bourges ; des lettres de Maurice Sand, ainsi que son attestation de membre de la Société géologique de France. « Nous avons également acquis une série de partitions reliées de musique classique et traditionnelle, dont certaines sont dédicacées à George Sand., explique Annick Dussault, directrice du musée. On y trouve, notamment, la musique des Trois Fendeux qui apparaît dans le roman Les Maîtres Sonneurs. Elles ont été prêtées au festival des Lisztomanias qui vient de s’achever, à Châteauroux. » Lors de la vente du 22 octobre, le choix du musée castrais s’est porté sur un lot important de divers documents, dont des journaux qui évoquent le rayonnement international de George Sand, avec des articles en français et en langues étrangères.
NR IndreE, 01/11, p.12

(Mer) Jennifer quitte la Corbillière
Après avoir présenté les deux artistes de l’exposition « Éclosion de la femme », Martine Nodot, première adjointe, a annoncé le départ de Jennifer Lusseau. Celle-ci quittera son poste d’animatrice du musée pour raisons personnelles à la fin du mois. Au nom de la municipalité et des Amis du musée, elle lui a rendu un chaleureux hommage. Il faut dire que depuis un an et demi qu’elle est à Mer, Jennifer a fait un travail remarquable pour animer cette belle maison et créer une dizaine d’événements artistiques par an. C’est elle qui établissait la programmation du musée, qui sélectionnait les artistes susceptibles d’exposer, qui établissait avec eux les contacts préalables, qui organisait les accrochages, l’éclairage, les vernissages. Avec compétence, goût et discrétion, elle a su proposer au musée des expositions variées de grande qualité. (intégral)
NR Loir et Cher, 01/11

(Ormes) La maison de la polyculture rouvre ses portes

Victime des inondations de juin dernier, la maison de la polyculture avait dû fermer ses portes au public pour une durée indéterminée. Après de longs mois d’attente, les travaux de nettoyage et de réparation viennent tout juste d’être terminés. Dès le 6 novembre, l’espace culturel accueillera les visiteurs, le premier dimanche de chaque mois, aux horaires habituels, soit de 14 à 18 heures. Les curieux pourront y découvrir ou redécouvrir une exposition sur la vigne et le blé avec une sélection d’outils qui permet la mise en lumière de ce travail agricole local des XIXe et XXe siècles : houe, faux, van, tarare, meule, pioche de vigneron, hotte de vendange, fouloir, pressoir…  Initialement prévue au mois de juin dernier, mais annulée pour cause d’inondation, l’exposition des fouilles archéologiques de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) au bois d’Ormes est de nouveau programmée pour l’été prochain.
RC Orleans, 03/11, p.14


(Chateauneuf sur Loire) Un pavé dans la Loire: la mémoire du commerce négrier
“C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe”, le titre de cette exposition du Musée de la Marine de Loire consacrée au commerce du sucre en val de Loire, est extrait de “Candide” de Voltaire. Dans ce célèbre conte philosophique publié en 1759, Voltaire place cette phrase dans la bouche d’un esclave noir du Surinam qui explique au héros: “Quand nous travaillons aux sucreries et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main, quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe: je me suis trouvé dans les deux cas. C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe.“  C’est une dénonciation saisissante du philosophe des Lumières, de la condition des esclaves d’Amérique et du commerce négrier qui sévit depuis bientôt deux siècles entre les deux rives de l’Atlantique, appelé aussi “commerce triangulaire”, commerce qui durera  encore près d’un siècle avant que l’esclavage ne soit définitivement aboli par la France en 1848. Mais que viennent faire le Val de Loire et Orléans dans ce lointain commerce de bétail humain, puisque c’est ainsi qu’étaient comptabilisés les nègres dans les registres des exploitations agricoles ? C’est ce que nous explique cette exposition du Musée de La Marine de Loire de Chateauneuf, qui avec des moyens modestes mais fort bien documentée nous rappelle qu’une partie de la prospérité du Val de Loire était due au commerce en amont de Nantes, grand port du commerce négrier, auquel les négociants de l’intérieur fournissaient les biens servant à la traite négrière, recevant en retour les matières premières très prisées venues du nouveau monde: café, cacao, coton, et surtout le sucre extrait de la canne, dont le raffinage devint une activité très rentable.
Mag'Centre, 02/11

(Tours) Cligman : du plomb dans l’aile de la donation ?
Dans les annales des affaires artistico-politiques, la tranquille Touraine avait défrayé la chronique internationale avec la femme Loire, de Michel Audiard. Moins folklorique, un autre dossier arrive servi sur un plateau doré : la donation Cligman au musée des Beaux-Arts de Tours. Installé à Saint-Avertin, ce discret et richissime industriel de 96 ans veut offrir 1.200 oeuvres à la collectivité, une infinitésimale partie de sa collection, à conserver dans une extension du musée des Beaux-Arts de Tours qu’il se propose de faire construire pour 5 M€. Il a déjà son architecte, Jean-FrançoisBodin, celui de l’aménagement du Musée Picasso. Et aussi sa petite idée. Dans cette aile à bâtir dans les jardins de l’ancien archevêché, il verrait bien conservés quelques grands noms (Toulouse-Lautrec, Caillebotte, Dufy, Durain, Van Dongen, Degas, Rodin, Germaine Richier) aux côtés des oeuvres de sa femme, Martine Martine. L’inventaire des oeuvres dure depuis un an. Un « mausolée, le plus voyant possible […] », dit le principal contestataire du projet, Didier Rykner, fondateur du site La Tribune de l’art, un militant de la protection du patrimoine. Il dénonce ce projet assimilé sous sa plume à un « massacre ». D’après lui, les procédures administratives ne seraient respectées que pour la forme car le généreux donateur s’est d’abord adressé à l’Élysée qui lui a rappelé l’existence d’un minimum de formalisme à respecter. Pour Didier Rykner, les services de l’État s’échineront à donner l’habillage juridique nécessaire à la réalisation du projet alors qu’il dispose de tout l’arsenal juridique pour protéger le site (Monument historique, périmètre classé, secteur sauvegardé, site classé, patrimoine de l’Unesco). Pas moins de cinq niveaux !
+ Une association prête à attaquer le permis
+ ••• “ Faut-il désespérer de la loi ? ”
+ L’Unesco saisie du dossier Cligman
NR Indre et Loire, 04/11, p.10

(Nogent-le-Rotrou) Château des Comtes du Perche
Dans le cadre d’un projet de grande ampleur que la Ville de Nogent-le-Rotrou souhaite mener au sein de son château-musée Saint-Jean, avec des financements de l’État et de la Région, l’édifice, l’un des plus anciens châteaux forts d’Europe, pourrait changer de nom. En même qu’une muséographie actualisée qui devrait raconter l’histoire du Perche et un restaurant qui doit être aménagé dans le pavillon Louis XIII, le château Saint-Jean devrait être rebaptisé “château des comtes du Perche”. Voilà qui sonne plutôt bien et assoit la notoriété de la capitale du Perche sur son ancienne province. (intégral)
L'Echo, 06/11


Dernière édition par valerie.maillochon le Jeu 10 Nov - 15:48, édité 3 fois
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MessageSujet: Revue de presse (1 - 6 novembre 2016)   Revue de presse (1 - 6 novembre 2016) Icon_minitimeJeu 10 Nov - 15:37

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Orleans) Voyage archéologique
Le conseil départemental présente dans le hall de l’hôtel du département, 15, rue Eugène Vignat à Orléans, une exposition sur le thème « Voyage archéologique au coeur du Loiret ». Celle ci montre les opérations archéologiques du service départemental. Son objectif est de « faire comprendre l’évolution du Loiret, de l’âge de bronze à aujourd’hui ». Outre les panneaux explicatifs, cette présentation comprend un espace où des manipulations seront possibles sur un atelier de fouilles en céramique. L’exposition, tous publics, est visible jusqu’au 27 novembre. Elle s’adresse tout particulièrement aux élèves de cinquième et de sixième. (intégral)
RC Orleans, 05/11

(Saran) Dans le bourg, les fouilles archéologiques suivent leur cours
Financées par la Direction régionale des affaires culturelles et menées par la Fédération archéologique du Loiret, les fouilles viennent tout juste de dévoiler leur secret. À quelques mètres seulement de l’église Saint Martin, la dizaine de bénévoles dirigés par Sébastien Jesset, ont mis à jour les vestiges d’un habitat carolingien du IXe siècle. Un beau chantier sur lequel s’affairent les membres de l’association et des étudiants venant des facultés d’Orléans, Paris, Tours et Nantes. L’équipe a pu constater que ces fouilles ne présentaient pas, cette fois ci, des restes d’une zone artisanale de potier, comme ce fut le cas à la Médecinerie, mais plutôt le début d’un lieu d’habitation qui s’étendrait ainsi vers l’ouest de la commune jusqu’à l’église.
RC Orleans, 05/11, p.13


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MessageSujet: Revue de presse (1 - 6 novembre 2016)   Revue de presse (1 - 6 novembre 2016) Icon_minitimeJeu 10 Nov - 15:38

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chapelle Saint Mesmin) Après les façades, l’intérieur sera aussi rénové
Une nouvelle étape débute. Après avoir supervisé les travaux de rénovation extérieure de l’église jusqu’en 2014, Régis Martin fait son retour en terre chapelloise. Architecte en chef des monuments historiques, il a été reconduit par la commune pour suivre, cette fois ci, la rénovation intérieure. Si les travaux « pourraient débuter avant la fin 2017 » selon Nicolas Bonneau, maire PS de La Chapelle, le chemin est encore long. Régis Martin, qui officie sur le chantier de la cathédrale Sainte Croix, à Orléans, en est aujourd’hui au stade de la maîtrise d’oeuvre (dossier permettant de réaliser les travaux). Ce n’est qu’une fois le projet acté par le conservateur régional des monuments historiques que la rénovation pourra débuter. À l’intérieur du « fleuron architecturale de la commune », les changements devraient être nombreux afin de « redonner un coup de jeunesse, et gagner en clarté », annonce Nicolas Bonneau.
RC Loiret, 01/11, p.11

(Bué) L’église retrouve de sa superbe
Dimanche, la messe cantonale a été célébrée, à Bué, par le père d’Aligny, dans l’église du village, qui dégage une effervescence nouvelle. Cette célébration était pour les Buétons l’occasion de procéder à la bénédiction des nouveaux et nombreux travaux effectués dernièrement. Située sur la place du village, et parée de sa nouvelle « robe », l’église offre en journée une très belle image esthétique, et la nuit, cette dernière se transforme en féerie, grâce à son jeu de lumière. Outre ses murs extérieurs, côté route, et sa façade refaite, de nombreux
travaux à l’intérieur ont également été réalisés. Ainsi, cette importante réfection a été réalisée grâce à la volonté, la réflexion et le financement de plusieurs acteurs, l’Association buétonne d’éducation populaire (Abep), la paroisse, la confrérie de Saint Vincent ainsi qu’une collecte communale.
Le Berry, 01/11, p.16

Les plus beaux cimetières d’Eure-et-Loir
Les cimetières ne sont pas que des endroits austères auxquels la mémoire des défunts confisque tout intérêt patrimonial. Le département recèle de nombreux sites funéraires insolites, historiques et pleins de cachet qui méritent le détour. Retrouvez un panorama photo avec des clichés d’autres cimetières remarquables ou insolites du département d’Eure-et-Loir, sur le site Internet www.lechorepublicain.fr
L'Echo, 01/11, p.3

(Mignières) Mosaïque de l’église : une renaissance

Le père Hugues de Tilly, curé de la paroisse de la Trinité, sur le chemin de saint Jacques, a tenu, dimanche, à remercier les deux restauratrices, les mécènes (Conseil départemental, habitants de la commune et des environs) et la municipalité de la commune qui ont porté le projet de restauration de la mosaïque du porche de l’église. Très colorée, représentant le matin de Pâques, la mosaïque s’était dégradée au fil du temps. Certaines tesselles (petits morceaux de marbre, de pierre, de pâte de verre ou de céramique que l’on relie avec du mortier) s’étaient décrochées, faisant un trou et entraînant parfois toute une série d’autres  tesselles. Carole Acquaviva et Astrid Maréchaux, restauratrices en mosaïque, objets archéologiques et peintures murales, ont travaillé pendant deux semaines cet été : « La restauration est une véritable passion qui mêle le contact avec les objets, l’habileté, la sauvegarde des sites, le respect des traces de l’Histoire… ». La réussite est à la hauteur de leurs talents et l’ensemble de la communauté paroissiale a apprécié « ce travail admirable qui permet aux trois Marie et à l’ange de Pâques de retrouver leur intégrité et leur beauté ».
L'Echo, 01/11, p.10

(Cours les Barres) L’église a retrouvé toute sa superbe
L’ancienne municipalité, placée sous l’égide de Michel Pouillard, avait décidé d’effectuer une restauration globale de l’église. Samedi après midi, sous la houlette de Pierre Mancion, maire, s’est déroulée la cérémonie de réouverture de l’église. Des travaux ont permis à l’église, dédiée à Saint Pantaléon, de retrouver toute sa superbe originelle : peinture, charpente, toiture, dallage, électricité, de chauffage sans oublier l’achat de bancs et d’un nouvel autel ainsi que le cirage des meubles par les bénévoles. « L’objectif de cette opération a été de rénover entièrement ce bâtiment communal à l’identique de l’aura qu’il avait en 1867, en sauvant les fresques du choeur, l’ensemble des décors et des dorures faites à la feuille d’or, a déclaré le maire. Par facilité, beaucoup d’églises ont été repeintes en blanc. Cependant, les équipes successives ont voulu conserver cette page d’histoire, ce qui a été pour tous un vrai challenge, notamment pour les entreprises ».
Le Berry,  02/11, p.21

(Neuillay-les-bois) L’art funéraire s’expose aux archives départementales
Le cimetière n’est pas seulement un lieu de recueillement. C’est aussi un musée où l’art funéraire excelle. L’exposition, proposée par le conseil départemental et présentée aux archives départementales de Loir-et-Cher, met en valeur ce patrimoine ignoré, et parfois en péril. Elle est le résultat d’un travail de longue haleine mené par les historiens – professionnels et amateurs – du Comité départemental du patrimoine et de l’archéologie en Loir-et-Cher (CDPA 41) qui, depuis 2007, font l’inventaire de l’art funéraire des cimetières du département. Très rapidement, « ils se rendent compte de la diversité très importante du style architectural » explique Dominique Menanteau, conservateur des antiquités et objets d’art aux archives départementales. Toute cette richesse est due au travail d’artisans notamment locaux. À travers cette exposition, on comprend que c’est l’industrialisation qui standardise la production si bien que les monuments funéraires gagnent en sobriété dans la seconde moitié du XXe siècle.
+ ••• Robert-Houdin, c’est par où ?
NR Loir et CherS, 01/11, p.8

(Loches) Ces statues qu’on ne regarde pas toujours
En ce jour de Toussaint, si vous vous rendez dans un des cimetières du Lochois, vous allez passer à côté sans vraiment y porter une attention particulière. Pourtant, l’oeuvre est généralement imposante. Depuis près d’un siècle, elle fait malheureusement partie du paysage urbain, que ce soit dans un cimetière ou sur une place d’une commune. Les élus et représentants de l’Etat y déposent des gerbes de fleurs à chaque commémoration. Un bon nombre de sculptures qui font office de monuments aux morts dans le Lochois sont signées du Tourangeau Georges Delpérier. On lui doit les stèles et monuments aux morts à Dolus-le-Sec, Ligueil, Loches, Manthelan, Orbigny, Verneuil-sur-Indre, Villeloin- Coulangé, en ce qui concerne le sud de la Touraine. Sa carrière artistique ne se résume pas à ces commandes communales. Georges Delpérier a exercé cet art au lendemain de la Première Guerre mondiale, sollicité par les communes qui pleuraient leurs enfants tombés dans les tranchées. A Loches, son monument aux morts se situe à l’entrée du cimetière des Montains. L’oeuvre a été inaugurée en 1920. Le coût de sa  réalisation s’élevait à 15.000 francs à l’époque. Après la Seconde Guerre mondiale, les noms des Lochois, civils et militaires, disparus durant ce conflit, ont été ajoutés. Et par la suite ceux des soldats tombés en Indochine (1946-1954) et en Afrique du Nord (1954-1962). En 2014, la Ville a fait restaurer le monument.
NR Indre et Loire, 01/11, p.18

(Chinon) Soixante petites histoires de la Grande Guerre

Soixante affiches qui propulsent au coeur de la « Grande Guerre ». La première, celle qui de 1914 à 1918 a inspiré lithographies et estampes dont Yves Denis fait collection. Sorties de ses archives, elles doivent être accrochées dans la galerie contemporaine de l’hôtel-de-ville de Chinon, d’ici à vendredi. Des documents – datés pour l’essentiel de 1914 à 1920 – pensés comme autant de points d’entrée sur ce pan de l’Histoire de France. Le reflet d’une passion nourrie depuis des décennies par Yves Denis. Devenu professeur d’histoire, c’est par une espèce de frustration (et de curiosité) qu’il s’est penché sur 14-18. En 2014, la Mission Centenaire a labellisé l’exposition, proposée alors à L’Ile-Bouchard. Présentée depuis à Sancerre (Cher), elle signe son retour en Chinonais pour un mois. Avec la garantie d’appréhender la Grande Guerre autrement.
NR Indre et Loire, 01/11, p.18

(Blois) Eglise Saint-Nicolas monument en péril ?
Depuis la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat,  la responsabilité d’assurer l’entretien et la rénovation des lieux de culte construits antérieurement (à l’exception des cathédrales dont la charge revient à l’Etat) incombe aux communes. Achevée au début du XIIIe siècle alors que l’art roman était à son apogée et que le premier art gothique émergeait, l’église Saint-Nicolas-Saint-Laumer entre  évidemment dans cette catégorie. Ses attraits sur le plan architectural (nef s’inspirant de la cathédrale de Chartres, décor sculpté du portail central, chapiteaux…) sont indéniables mais ils sont menacés par les vicissitudes du temps qui passe. Au cours des dernières années, les services de la Ville ont décelé plusieurs types de « désordres ». Le premier se situe au niveau de la tour abritant le clocher où ont été constatées de nombreuses fissures dans les pierres ce qui a nécessité la pose d’étais afin de soutenir la structure. Dans le cas présent, ce sont les interventions de l’homme qui l’ont fragilisée. Afin de ne pas aggraver les dégâts, le bourdon avait déjà été neutralisé en raison des ondes qu’il propageait. Le deuxième désordre concerne un plancher en bois vermoulu par lequel on accède au mécanisme de l’horloge, dommages qui ont entraîné par mesure de sécurité la condamnation du passage. Le troisième désordre identifié a trait à un effritement de matériaux consécutif aux débordements des eaux fluviales provoqués par le sous-dimensionnement des chéneaux. L’addition est déjà salée mais il faut de surcroît ajouter le coût du remplacement des tubes de gaz par des radiateurs électriques, opération rendue indispensable pour empêcher l’humidité de se propager et assainir les lieux. Inutile de préciser que la rénovation de l’orgue centenaire, qui pourrait dépasser 1 M €, n’est pas prévue dans l’immédiat… Ni même plus tard.
NR Loir et Cher, 02/11, p.9

(Epiais) L’église incendiée sera bientôt reconstruite
Dans la nuit du 4 au 5 février 2012, l’église Saint-Martin et l’ancien presbytère d’Épiais étaient détruits par le feu. Ce sinistre était dû à un incendie, survenu suite au cambriolage du presbytère transformé en résidence secondaire par plusieurs individus qui décidaient d’enflammer une nappe… pour effacer des empreintes digitales ! Pour le maire Michel Peignant commençait alors un long parcours semé de difficultés pour envisager la reconstruction ou non de l’édifice, en attendant les décisions des experts de l’assurance. Après maintes rencontres et réunions avec les diverses parties dont les Bâtiments de France, l’architecte a étudié les appels d’offres des différents entrepreneurs pour les lots de travaux qui ont été lancés  en juillet dernier, les travaux devant commencer en 2017. Toutefois, les appels d’offres sont toujours actuellement à l’étude. La reconstruction de l’église s’élèverait aux environs de 700.000 € dont 147.000 €  seront assurés par le conseil départemental, une somme qui couvrira les dépenses non prises en charge par l’assurance qui, elle, finance 90 % de l’enveloppe, soit environ 500.000 euros.
+ ••• Ni inscrite, ni classée
NR Loir et Cher, 02/11, p.18

Prison pour une vaste escroquerie immobilière
Deux des trois prévenus d'une affaire d'escroquerie immobilière, qui concerne une vingtaine de châteaux et belles demeures dont le château de Chateauneuf-sur-Cher, ont été condamnés à de la prison, hier matin, par le tribunal correctionnel de Marseille. Le procès s'était tenu en septembre dernier et la décision avait été mise en délibéré. Les victimes étaient des acheteurs qui voulaient défiscaliser des investissements dans la pierre. Comme au château de Chateauneuf-sur-Cher, elles avaient acheté des lots qui devaient devenir des appartements. Les travaux n'avaient jamais été terminés. Selon le quotidien La Provence, Yves Colaone, un promoteur de 65 ans et PDG de la société Continentale TMO, a été condamné a 3 ans de prison dont un an ferme. Un sous traitant (*), gérant de la société Segment, a écopé d'un an avec sursis. Tous deux sont interdits d'exercer la profession de marchand de biens pour une durée de 5 ans et devront rembourser des sommes importantes au titre de la réparation du préjudice subi. Le troisième homme, un architecte, a été relaxe.  (intégral)
(*) Nous ne publions les identités qu'à partir de six mois de prison ferme.
Le Berry, 03/11

(Chartres) Les Archives départementales organisent des ateliers gratuits sur la Seconde Guerre mondiale
Les Archives départementales organisent des ateliers ouverts gratuitement au public. Christiane Riguet est la spécialiste de la Seconde Guerre mondiale. L’atelier consacré à la période 1939-1945 permet
de retrouver des traces de sa famille. Christiane Riguet, spécialiste de cette époque, en charge de cet atelier, fixe tout de même u n e l i m i t e : « Si v o t re grand père a été résistant, déporté, ou si votre  grand mère était réquisitionnée pour faire le ménage à la Kommandantur, vous trouverez plus aisément car, en ce cas, tout est répertorié. Sauf si tout a été brûlé par l’occupant avant son repli. En revanche, pour les autres cas, c’est plus difficile. Mais pas impossible. »
L'Echo, 01/11, p.3

Un plat “ made in Tours ” part à 2.200 euros
Plus de deux siècles après Bernard Palissy, des Tourangeaux redécouvraient les techniques de la céramique que le célèbre savant avait mises au point. Ils se nommaient Charles-Jean Avisseau (1795-1861) ou Joseph Landais (1800-1883) ; d’autres célèbres « potiers émailleurs » tourangeaux ont laissé leur empreinte dans cet art comme Léon Brard (1830-1912) ou Auguste Chauvigné (1855-1929). L’École de Tours a fait des émules jusqu’au premier tiers du XXe siècle. Ce sont donc des enchères un peu particulières qui se tenaient hier à l’hôtel des ventes de la rue Giraudeau. Sous le marteau de Maître Jabot. Des céramiques et des faïences des XVIIe et XIXe siècles étaient dispersées. Une collection exceptionnelle constituée pendant une trentaine d’années par un collectionneur vendômois. Parmi les dizaines de lots proposés autour de 30 à 200 €, figuraient des faïences de Tours dont certains modèles rares comme ce plat « à la girafe » qui était mis à prix 2.000 € et qui fut enlevé en quelques secondes d’enchères par une personne présente dans la salle, pour 200 € de plus.
NR Indre et Loire, 03/11, p.9

(Orleans) Les échafaudages sont installés depuis la mi juillet pour restaurer la chapelle du Campo Santo

C’est un édifice auquel on ne prêtait pas attention. Recouvert d’un enduit gris en ciment, abîmé par le temps et la pollution, déformé par les interventions architecturales précédentes. La ville d’Orléans a décidé de rendre son aspect historique à la chapelle Saint Hubert, qui jouxte le Campo Santo, rue Émile Davoust. L’échafaudage a été installé à la mi juillet. « Elle était dans un sale état, les fenêtres menaçaient de tomber », explique Dominique Gervais, responsable de l’opération pour la mairie. Les ouvriers de la société de restauration Roc Villemain ont commencé par déposer les murs et fenêtres qui avaient été ajoutés il y a quelques décennies à la structure du XVe ou XVIe siècle. Et sous les murs sans charme, les archéologues avaient préalablement décelé ce que les ouvriers ont mis au jour depuis quelques mois : des jambages sculptés en pierre encore debout et pour certains en bon état, qui ont permis de reconstituer les décors ; des moulures, des arcs de décharge. Les baies découvertes et encadrées de pierres de taille, hautes de 4 mètres, seront ensuite fermées par des vitraux. Ceux ci sont créés par un maître verrier du nord de la France, selon les indications de l’architecte des bâtiments de France de la direction régionale des affaires culturelles (DRAC), et ce même si le bâtiment n’est ni inscrit ni classé.
RC Orleans, 04/11, p.9

(Saint Jean de la Ruelle) Le quotidien d’une famille en 1914-1918
«Le front était loin d’ici. Alors que s’est il passé à Saint Jean de la Ruelle pendant la Grande Guerre ? Comment les familles ont elles vécu pendant que les hommes étaient au front ? ». C’est à partir de ce constat que Jean-Marie Bois et Jean-Pierre Bourdiot ont conçu l’exposition « Saint Jean, il y a cent ans, un village en temps de guerre », présentée à la salle des fêtes à partir de samedi et jusqu’au 22 novembre. Les deux historiens amateurs sont depuis 2013 membres du comité de pilotage missionné par le maire « pour commémorer la Grande Guerre pendant le temps du centenaire ». Et depuis cette date, les deux passionnés fourmillent d’idées et de projets. Pour cette nouvelle exposition, ils ont repris ce travail déjà présenté et ont voulu aller plus loin encore. « À travers l’histoire d’une famille, le père au front, la mère et les deux enfants, dont la grande fille qui prépare son mariage, on veut montrer aux visiteurs et notamment aux plus jeunes, la façon de vivre, il y a cent ans », ajoutent Jean-Marie Bois et Jean-Pierre Bourdiot. Les témoignages trouvés dans les correspondances des Poilus avec leurs familles ont servi de base, à cette histoire fictive, basée sur des faits réels. « C’est une grande exposition, la ville a fait appel à un scénographe, car nous avons beaucoup d’objets, complètent ils.
On reconstitue des pièces d’une maison pour montrer comment on vivait à l’époque. On a recréé une cuisine : il faut savoir qu’en 1916, seules trois rues de Saint Jean avaient le gaz. C’était l’exception… » Grâce à tous les objets qui leur ont été prêtés, ils ont également recréé une salle de classe, une remise à outils « avec ceux utilisés pour la vigne », un café façon place du village. L’adjoint au maire chargé de la vie associative et du devoir de mémoire, Norbert de Brezé, est fier de préciser que l’événement a été labellisé par la Mission nationale du centenaire de la Première Guerre mondiale. Et c’est d’ailleurs son président, l’historien Antoine Prost, ancien adjoint au maire d’Orléans, qui inaugurera l’exposition, à la salle des fêtes, samedi à 17 heures.
RC Orleans, 04/11, p.15

(Luynes) Demeure classée : tout n’est pas déductible
La cour a désavoué les propriétaires de La Mignonnerie, à Luynes, redressé fiscalement après avoir déduit des travaux d’aménagement intérieur. Ce bel édifice à l’ornement caractéristique de s XVI I Ie et XIXe siècles est en partie classé aux Monuments historiques : sa toiture et ses façades sont à l’inventaire supplémentaire. A ce titre, seuls les travaux concernant ces deux éléments peuvent faire l’objet d’abattements fiscaux. Georges et son épouse Aline – qui s’étaient donc vu réclamer 14.000 € de rappel d’impôts sur 2009 à 2011 – avaient été déboutés en première instance par le tribunal administratif d’Orléans en décembre 2014. Ce couple de pharmaciens maintenait que « les planchers assurent la stabilité de l’ensemble de l’édifice » ; leurs travaux pouvaient donc, selon eux, être déduits de leurs impôts. « Les dépenses en litige, toutes relatives à des aménagements intérieurs, ne concernent pas les façades et la toiture, seules parties […] inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques, constate la cour dans son arrêt. Il ne résulte pas de l’instruction […] que ces travaux ont été rendus indispensables à la préservation des toitures et de la façade principale. Les requérants n’apportent aucun document de nature à établir un lien entre les autres travaux […] et les parties de leur résidence inscrites à l’inventaire. » (intégral)
NR Indre et Loire, 04/11

(Gizeux) Un appel pour restaurer la Galerie des Châteaux
Au château de Gizeux, la cagnotte « Dartagnans » a dépassé les 50 %. La campagne de mécénat participatif est ouverte sur Internet jusqu’au 18 décembre afin de restaurer la Galerie des Châteaux réalisée dans les années 1680 par une école de peinture. « Notre projet est maintenant de redonner tout leur éclat aux scènes bucoliques situées à l’entrée de la galerie ainsi que la scène de laisser-courre », expliquent les propriétaires Géraud et Stéphanie de Laffon sur le site Internet. Avec le soutien du public, ce prochain chantier permettrait d’atteindre la moitié de surface restaurée. Cette 4e campagne de restauration est à suivre sur les réseaux sociaux chaque semaine, avec des jeux, des anecdotes sur Gizeux et la Galerie des Châteaux. (intégral)
Site Internet : http://dartagnans.fr - Facebook : Lechateaudegizeux
NR Indre et LoireW, 04/11

(Loches) 9
C’est le nombre de stagiaires de l’Ecole nationale des sciences géographiques (ENSG) qui seront accueillis à Loches du 7 au 18 novembre. Ils seront accompagnés de six enseignants chercheurs pour une coopération avec la ville de Loches sur des relevés architecturaux à la cité médiévale. L’ENSG enseigne la maîtrise de relevés en 3D d’objets et d’édifices par photogrammétrie, lasergrammétrie, et diverses techniques de positionnement. Avec la collégiale Sainte-Ours ou encore les remparts à proximité de la porte Royale, les étudiants auront matière pour travailler. (intégral)
NR Indre et LoireE, 04/11

(Sainte Solange) La rénovation vient de débuter
La chapelle, située sur la route de Maubranche, édifiée en 1874 attendait des travaux depuis plusieurs années. C’est l’entreprise Touvé de Saint Doulchard qui attaque la première cette restauration en ce début de mois de novembre. Les ouvriers qui ont installé un échafaudage remettent en état certaines pierres. Les entreprises de couverture et de restauration des vitraux prendront la suite. Comme prévu la chapelle sera mise hors d’eau pour la fin de l’année. (intégral)
Le Berry, 05/11

(Saint-Martin-le-Beau) Près de deux mille bouteilles pour une bonne cause
Dans la commune, les gens âgés ont été catégoriques. Ils refusent de mourir tant que l’église n’aura pas été rouverte. En dépit des circonstances, Angélique Delahaye, a – presque – retrouvé le sourire. Certes, les très gros dégâts occasionnés à l’église de Saint-Martin-le-Beau lors de l’incendie volontaire perpétré en avril 2015 « restent une plaie ouverte », mais l’élan de solidarité qui ne s’est pas démenti depuis a mis du baume au coeur du maire de la commune sinistrée. Dernier exemple en date, la vente aux enchères qui a débuté hier au château de la Bourdaisière, à Montlouis-sur-Loire. Quarante vignerons de l’appellation montlouis se sont départis chacun de cinquante kilos de raisins. Ça aurait pu être « les raisins de la colère », ça a été en fait ceux du partage. D’un partage évidemment placé sous l’égide d’un saint, celui de Tours, saint Martin. Alors hier, entre deux coups de marteau d’Aymeric Rouillac, le commissaire-priseur qui présidait aux destinées d’une cuvée unique – du vin blanc sec conditionné en plus de quinze cents bouteilles d’un demi-litre –, on a usé et abusé de la symbolique martinienne. L’opération de solidarité des vignerons de Montlouis s’est avérée payante. Hier, on a récolté des milliers d’euros pour l’église de Saint-Martin-le-Beau.
NR Indre et Loire, 05/11, p.7

(Amboise) L’orgue de Saint-Denis a mal à ses tuyaux
Il y a un an, Pierre de Kergommeaux, organiste de l’église Saint-Denis à Amboise, évoquait le mauvais état de certains tuyaux de façade de l’orgue qui surplombe le fond de la nef. Sensibles à la chaleur, certains tuyaux avaient souffert de la canicule de 2003 et des derniers étés chauds. Certains tuyaux de la façade ne fonctionnaient plus. Mais cet été, le 28 août, le pire a été évité. En effet, le do grave, un des plus grands tubes de métal (alliage plomb et étain) est tombé après la rupture d’une soudure. Heureusement, la chute de ce tuyau de huit pieds acoustiques soit 2,60 m (un pied égal 32,4 cm), en contrebas, sur le sol de l’église, s’est produite à un moment où il n’y avait personne. Le tuyau a été découvert en début d’après-midi. Il était tombé après la messe. Le périmètre sous l’orgue fut sécurisé, avant une visite des facteurs d’orgue, qui ont finalement retiré une dizaine d’autres tuyaux de façade, vu leur état. Cet orgue, dont les traces les plus anciennes remontent au XVIIIe siècle, fut reconstruit en 1971 et complété en 1983. Aujourd’hui, l’usure du temps est là, même s’il fut entièrement démonté et nettoyé en 2000-2001. Cet instrument compte 1.980 tuyaux, dont une cinquantaine en façade. Le reste, avec toute la mécanique, se trouve derrière, à l’intérieur. Selon les constatations des professionnels, il faudrait remplacer une vingtaine de tuyaux. Le coût s’élève à environ 18.000 €, selon l’organiste.
NR Indre et Loire, 05/11, p.26

(Beaulieu-lès-loches) Travaux au clocher
Depuis quelques jours, le clocher de Beaulieu disparaît entièrement sous une gaine métallique, faite de tubulures et de plates formes dans la partie haute, desservies par un ascenseur. Le paratonnerre est démonté. La croix et les abat-son vont suivre dans les premiers jours de novembre, selon le plan de charge et la météo. Les pierres de la partie haute ont été nettoyées. Celles de la partie basse le seront d’ici la fin du mois. (intégral)
NR Indre et LoireE, 05/11

(Vierzon) La maison interparoissiale prend forme
«Avant, on ne pouvait qu’imaginer le projet… À présent, on peut enfin le voir se réaliser sous nos yeux ! » Un plan déplié à portée de mains, le père Alain Krauth et le père Olivier Devaux accueillent une poignée de visiteurs dans la cour du 7 rue Porte aux Boeufs. L’ancien Hôtel de France est en plein chantier et, en ce samedi après midi, les deux prêtres ont tenu à le faire visiter à leurs fidèles. D’ici un an, ce qui n’est encore qu’une haute bâtisse aux murs salis par le temps sera devenu une maison interparoissiale flambant neuve. Dans l’ex-restaurant acquis par le diocèse et mitoyen de l’actuelle maison paroissiale, située au numéro 9, les travaux ont débuté en septembre. La fusion des deux propriétés permet l’aménagement d’un ensemble de salles et d’un vaste espace extérieur, répondant aux besoins de fidèles de Vierzon, Lury sur Arnon et Graçay. Un projet imaginé dès 2011, rendu possible financièrement grâce à la vente de biens immobiliers, dont l’église Saint Éloi. Déjà, les démolitions prévues sont achevées. Dans la cour au sol défoncé par les engins de chantier, la grande salle de réception de l’ex établissement n’est plus qu’un lointain souvenir, dévoré par une pelleteuse. Le mur séparant les deux anciennes cours est tombé, lui aussi. En revanche, l’écurie s’élevant dans ce qui était autrefois la cour du numéro 9 a été conservée. Si, pendant un temps l’équipe paroissiale envisageait de la démolir, l’architecte des Bâtiments de France a mis son veto. Ce sera elle qui, au final, abritera l’oratoire souhaité par l’équipe paroissiale et les fidèles. « La maçonnerie de la porte sera conservée, explique le père Krauth, désignant la porte cochère en arc de cercle. Le plancher du niveau supérieur sera retiré et la salle occupera toute la hauteur. »
Le Berry, 06/11, p.12


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Les FRAC, face au bric-à-brac territorial

13 Régions, 23 Fonds régionaux d’art contemporain. D’emblée, l’équation semble difficile à résoudre. Créés sous l’égide de Jack Lang, ministre de la culture de François Mitterrand, au fil des années 1980, les FRAC sont l’un des symboles forts de la décentralisation culturelle, assurant à la fois l’élaboration de collections, leur diffusion au sein du territoire et leur médiation auprès des publics les plus variés. Mais quid de leur avenir, depuis que la plupart des Régions ont fusionné, passant de 22 en métropole à 13 (nous excluons de ce calcul les cinq régions d’outremer, seule l’île de la Réunion étant dotée d’un FRAC) ? Promulguée par la loi du 7 août 2015, cette réforme territoriale a engendré une petite révolution au sein de ces structures administratives. D’Occitanie en Nouvelle Aquitaine, des Hauts-de-France au Grand Est, elles sont contraintes à de profondes réorganisations : fusion des équipes, réorganisation des services, déménagements divers et naissance de nouveaux pôles de compétence. A quel point les FRAC, qui opèrent tous sous la double tutelle de l’Etat et de la Région, sont-ils touchés par ce chambardement ? Certains sont-ils condamnés à disparaître, d’autres à fusionner ? Non, rassurent la plupart des acteurs ! Après avoir fêté récemment leurs trente ans, tous se veulent résolument optimistes, désireux de profiter plutôt de ce défi pour prendre un nouveau départ.
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