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| | Revue de presse (10 -16 juillet 2017) | |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Jeu 13 Juil - 9:03 | |
| Musées région Centre-Val de LoireSource : magcentre.frBlois : Gaston d’Orléans, la rebelle attitudeJusqu’au 15 octobre, le château de Blois présente une très intéressante exposition sur le mal-connu Gaston d’Orléans. L’année 2017 sera l’année Gaston d’Orléans à Blois. En effet, une grande exposition basée sur les dernières recherches en historiographie et qui retrace la vie de ce personnage méconnu et malaimé de l’histoire de France est installé au château jusqu’au 15 octobre prochain. Lire la suite : http://www.magcentre.fr/134122-blois-gaston-dorleans-la-rebelle-attitude/ Source : latribunedelart.com Jean-Baptiste Perronneau. Portraitiste de génie dans l’Europe des LumièresIl est heureux que la parution récente de catalogues raisonnés ne soit pas un frein à l’organisation, après coup, de rétrospectives des mêmes artistes, accompagnées de catalogues qui apportent à leur tour de nouvelles informations et découvertes. C’est ainsi qu’avant Nicolas Régnier, qui ouvrira bientôt à Nantes et qui avait fait l’objet d’un livre Arthena (voir l’article), le Musée des Beaux-Arts d’Orléans présente une exposition dédiée à Jean-Baptiste Perronneau, également sujet d’une monographie publiée en 2015 chez le même éditeur. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/jean-baptiste-perronneau-portraitiste-de-genie-dans-l-europe-des-lumieresSource : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire(Pithiviers) Cinquante ans après sa création, le musée des transports (de l’AMTP) continue d’évoluerCeux qui l’ont récemment visité risquent d’être surpris en y revenant. Quelques jours après le départ de deux véhicules sur voie métrique, la place était déjà occupée par d’autres engins, longtemps restés au dépôt secondaire, donc inconnus du public. Voici quinze jours, le déménagement d’une locomotive 130 Cail de 1895, ainsi que d’une voiture salon de 1904, avait été pour le moins spectaculaire. Deux camions spéciaux étaient affrétés pour l’occasion. Arrivés en 1971, les deux véhicules n’avaient jamais bougé depuis lors. Leur départ vers d’autres musées va permettre à l’AMTP de se recentrer sur la voie de 60 cm, sa véritable vocation. Les visiteurs pourront désormais admirer du matériel qui n’était visible qu’en de trop rares occasions. Comme le Crochat de 1922 (exemplaire unique d’une petite série de tramways à propulsion pétroléoélectrique), qui fonctionne encore. Sur la même voie, un wagon de marchandises est encadré par la 35 Le Minihic (de 1902) et par l’AlcoCooke (de 1916). Sont désormais également visibles, la DFB 040 (1918) et le petit locotracteur de campagne de 1920, aussi appelé « La Betterave ». Le dernier grand véhicule sur voie normale est le tramway de Lille, qui devrait quitter le musée en octobre. (intégral) RC Loiret, 17/07(Fréteval) Trois artistes au muséeDans le cadre de la valorisation du patrimoine communal bâti mais aussi dans une démarche de mémoire collective, un musée de la fonderie va être créé dans les bâtiments anciennement Genevée. Après consultation d’entreprises pour les travaux, les offres retenues sont : Bellec pour le lot maçonnerie-carrelage (8.107 €) ; Barré pour l’électricité (3.050 €) ; RIVL pour le plafond isolé (3.850 €) et Magnier pour la peinture (1.781 €). (intégral) NR Loir et Cher, 17/07(Bourges) Rodin exposé grâce à un ami berruyerCent ans après sa mort, l’oeuvre d’Auguste Rodin s’expose partout en France et dans le monde. Le musée du Berry s’associe à la célébration de ce centenaire en exposant cinq pièces du sculpteur. Des oeuvres qui sont dans les collections des musées de la ville grâce à un Berruyer qui s’était lié d’amitié avec l’artiste. « Nos Rodin nous viennent de Georges Hecq, raconte Christophe Gratias, chargé des publics dans les musées de la ville. Né en 1852 à Bourges, c’est un fonctionnaire du ministère de l’Instruction publique et des cultes. Il est chargé du secrétariat des beaux arts (il n’y a pas de ministère de la Culture à l’époque). Il va devenir ami avec Rodin, favoriser la carrière du sculpteur, lui faire obtenir la Légion d’honneur, lui trouver un grand atelier. Et surtout – c’était un collectionneur –, il va acheter quatre de ses oeuvres entre 1880 et 1903. Dans les années 1880, Rodin n’est pas encore très coté », précise Christophe Gratias. En 1946, trente trois ans après la mort du Berruyer, sa belle soeur, Lucie Hecq, a fait don au musée de quatre sculptures. Ces oeuvres seront visibles au moins jusqu’au 31 décembre, à l’occasion du centenaire Rodin. Le Berry, 14/07, p.8(Sceaux-du-Gâtinais) Musée du site archéologiqueLe conseil départemental du Loiret vient d’apporter sa contribution financière à quatre projets menés par la communauté de communes des Quatre Vallées (CC4V), dont le siège est à Ferrières en Gâtinais, présidée par Georges Gardia, le maire de Corbeilles. Il a tenu à évoquer l’investissement de Frédéric Néraud, vice président du conseil départemental, sur ce dossier. Le cahier des charges est ficelé. Un investissement de 2,65 millions est prévu sur trois ans. L’ouverture du musée est prévue en 2019. (intégral) RC Loiret, 15/07, p.11(Orleans) Recherche mécèneLe musée des Beaux-Arts voudrait restaurer un tableau en très mauvais état, qui se trouve actuellement roulé en réserve. Il s’agit d’une toile monumentale d’Edmond Aman-Jean de 1887, représentant Jeanne d’Arc à Orléans. Le musée vient d’accrocher une reproduction sur son parvis afin d’attirer le regard et de susciter l’émotion d’un éventuel mécène. La facture de la restauration se monterait à 30.000 ou 40.000 €. (intégral) RC Orleans, 13/07 (Loigny la Bataille) Loigny la Bataille) Le musée rouvrira le 16 septembreDepuis la fusion des trois Communautés de communes (Beauce d’Orgères, Beauce de Janville et Beauce Vovéenne), le Musée de la Guerre de 1870 de Loigny la Bataille est porté par la Communauté de communes du Coeur de Beauce. En travaux, il rouvrira ses portes au public les 16 et 17 septembre à l’occasion des Journées européennes du patrimoine. Depuis trois ans, il bénéficie de travaux d’agrandissement et de réaménagement, qui ont permis de multiplier par quatre la surface du lieu. Ces nouveaux espaces permettront de mettre en valeur près de 200 armes, uniformes, documents et objets personnels. De nouveaux outils numériques et interactifs faciliteront, désormais, la compréhension du contexte national et local de ce conflit oublié. L'Echo, 13/07, p.21 (Tours) Expérience n° 11 “ En deux temps ”Le musée des Beaux-Arts de Tours accueille actuellement la 11e édition du projet « Expérience » (*). Cette année, les étudiants de 2e année en histoire de l’art de l’université François-Rabelais ont voulu travailler sur la « double temporalité de l’oeuvre ». Une dualité entre le temps de la création et le temps de l’exposition. Les treize étudiants, dont l’objectif avec ce projet « Expérience » est d’organiser une exposition d’art contemporain au musée des Beaux-Arts, ont choisi neuf oeuvres parmi les collections du Fonds régional d’art contemporain Poitou-Charentes. (*) Projet porté par le musée des Beaux-Arts, l’université François-Rabelais et la Frac Poitou-Charentes. NR Indre et Loire, 12/07, p.9(Tours) Mantegna au musée des Beaux-ArtsHuit gravures des collections très secrètes de la Bibliothèque nationale de France viennent passer l’été en Touraine. Dans le cadre de l’opération « Dans les collections de la BnF », ces oeuvres d’Andrea Mantegna sont hébergées dans une salle dédiée au musée des Beaux-Arts de Tours et viennent accompagner les deux remarquables tableaux du peintre italien, « La Prière au Jardin des Oliviers » et « La Résurrection ». « Je suis ravi du partenariat avec cette prestigieuse institution, qui nous offre une occasion de voir des oeuvres rares », déclare François Blanchetière, conservateur du musée. Reconnu comme l’un des plus grands peintres de la Renaissance italienne, Mantegna impressionne aussi par sa maîtrise de la gravure sur cuivre dans la deuxième moitié du XVe siècle, alors que cette technique vient de naître. NR Indre et Loire, 12/07, p.9
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Jeu 13 Juil - 9:03 | |
| Archéologie région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire
La pierre du Débard est bien un menhir C’est désormais certain : à Ouzouer sur Loire, la pierre du Débard est bien un menhir. « Yes, c’est un menhir ! », s’est écrié Marc Laroche, ne cachant pas sa joie à la vue de la pierre de calage mise à nue après deux ou trois coups de truelle. Et d’ajouter fièrement : « C’est un poudingue (soit un conglomérat de silex pris dans du grès). Cela n’a donc pas vu le jour depuis 5000 ans. » Quel enthousiasme pour les trois hommes penchés audessus de la fosse d’origine : Marc Laroche, correspondant scientifique du muséum d’Orléans pour la préhistoire, responsable du projet et membre de la fédération archéologique du Loiret comme son compère Yves Dufour, et Lucien Caillard, retraité de l’ONF et membre de la Société des amis de la forêt d’Orléans. Samedi après midi, les trois hommes, avec l’implication d’Éric Barrault, technicien ONF, ont procédé au redressement de la pierre du Débard, un chantier dans lequel se sont investis d’autres passionnés, Fabien et Lucas Dohin, et Lucie Chabrol. La pierre du Débard se situe à Ouzouer sur Loire, à la limite de la commune de Dampierre en Burly, à proximité du croisement de la route de la Noue des Usages et de la route cavalière de la petite forêt. La présence de ce monument est attestée, après des recherches historiques, sur un plan datant de 1543. RC Loiret, 13/07, p.15
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Jeu 13 Juil - 9:05 | |
| Patrimoine région Centre-Val de LoireSource : magcentre.frLoir-et-Cher : les petits châteaux, dans la cour des grandsCinq petits châteaux de la Loire, à l’ombre des très grands,s’associent avec l’Office de tourisme de Blois Chambord pour faire connaître leurs qualités et attirer les visiteurs. Marqueurs de la destination, Beauregard, Fougères, Talcy, Troussay et Villesavin cherchent à montrer que l’intérêt n’est pas qu’une question de taille, et qu’ils peuvent susciter l’attirance d’un public friand d’exceptions. Lire la suite : http://www.magcentre.fr/133988-loir-et-cher-les-petits-chateaux-dans-la-cour-des-grands/Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire (Nogent le Rotrou) Un élément du patrimoine remis en valeurComme s’ils n’avaient pas suffisamment à faire avec leur église, les Amis de l’église Saint Hilaire s’intéressent aussi depuis peu à la restauration d’un nouvel élément du patrimoine religieux nogentais. La tâche s’annonce toutefois moins ardue qu’avec l’édifice de la rue Saint Hilaire mais concerne un élément oublié, voire totalement inconnu, des Nogentais : la chapelle de la rue de la Malerie. Pourtant surmontée d’un calvaire qui s’élève à plusieurs mètres de hauteur, cette chapelle creusée et maçonnée dans la roche passe presque inaperçue dans le décor. Président de l’association des Amis de l’église Saint Hilaire, Patrick Hoguet interroge : « Vous ne connaissiez pas cet endroit ? Des générations entières de petits Nogentais y sont montées en procession depuis l’église Saint Hilaire le jour de leur communion. Cela s’est fait jusque dans les années 1970 ou 1980 ». Et depuis, la petite chapelle a traversé les années et les décennies sans qu’on s’en préoccupe beaucoup. Si bien qu’aujourd’hui, quelques travaux de restauration s’imposent. + Dans une rue passagère avant le train L'Echo, 17/07, p.17(Amboise) Interprète de l’oeuvre du grand Léonard de VinciC’était écrit. Léonard était fait pour Irina. Voici quelques années, la jeune femme aujourd’hui âgée de 24 ans vient visiter le Clos Lucé pendant les vacances de la Toussaint, avec l’intention de découvrir le château royal tout proche dans la même journée. Mais la visite s’éternise. Irina est sous le charme des lieux, de son histoire et de son parc. Les mois passent. Elle fait un stage au château de Fontainebleau dans le cadre de ses études en communication et de muséologie. Et prolonge sa collaboration de quelques mois, avec le statut d’auto-entrepreneur, comme chargée de communication. En février 2016, elle envoie son curriculum vitae à trente châteaux et demeures historiques. Le Clos Lucé lui répond en 24 heures et l’embauche, d’abord avec un contrat à durée déterminée de neuf mois. En CDI depuis décembre dernier, Irina s’est très vite imprégnée de l’histoire de la dernière demeure de Léonard de Vinci et des travaux du père de la Joconde. Elle accueille les médias – récemment une équipe de Télématin de France 2 –, rédige plaquettes et panneaux explicatifs pour adultes et pour enfants. NR Indre et Loire, 17/07, p.5 (Chemillé-sur-Dême) Un sculpteur ressuscite un trophée d’armeFleurs de lys et couronnes pour représenter la royauté. Cuirasses, drapeaux et casques ennemis pour symboliser le triomphe. De nombreux détails rappelant l’océan ou le roi Soleil. Ce splendide trophée d’armes de six tonnes est actuellement réalisé au Grand Niaffre, par le sculpteur Ianek Kocher. Il sera inséré au dessus de la porte d’accès de la partie sud du fort de la Conchée, située au large de la ville de Saint-Malo. L’édifice construit en 1695, pendant une période où la guerre avec l’Angleterre était devenue un élément déterminant pour la Bretagne, avait été considérablement endommagé pendant la libération de Saint-Malo en 1944. Depuis 1988, une association loi 1901, « La Compagnie du Fort de la Conchée », participe à la restauration de cette oeuvre majeure du génie militaire de Vauban. NR Indre et Loire, 08/07, p.15(Puiseaux et Aschères-le-Marché) Halles du Pithiverais,une place de choixAutant dire qu’elles se font rares dans le paysage. Une rareté qui fait leur valeur. Dans le Pithiverais, seulement deux communes comptent une halle toujours debout. Parmi elles, Puiseaux, où le marché couvert datant du XVIe siècle « fait un peu notre fierté », assure le maire Michel Touraine. L’imposante halle reste le symbole de la place centrale de cette petite ville du Gâtinais. Son coeur battant. Chaque lundi, les habitants continuent de s’y retrouver pour profiter de la présence de marchands ambulants. À l’abri du toit, les chalands peuvent prendre un moment pour discuter. L’édifice donne un certain cachet à l’endroit. Plus au nord de là, une histoire très différente. À Aschères le Marché, il s’en est fallu de peu pour que la modeste halle duvillage disparaisse face à la modernité. En 1977, le conseil municipal de l’époque projette de raser l’édifice, alors en mauvais état, pour en faire un… parking. Il n’en faut pas moins pour mobiliser les habitants. RC Loiret, 14/07, p.14(Chartres) Noël Ballay s’invite dans nos mémoiresMédecin, explorateur, diplomate et administrateur humaniste de l’Afrique occidentale française : Noël Ballay (18471902) est un illustre personnage local. Il a notamment donné son nom à une rue et à un square de Chartres, où une statue à son effigie a été érigée en 1902. Mais combien de Chartrains connaissent l’histoire hors du commun de cet homme, qui aurait eu 170 ans aujourd’hui même ? En marge des commémorations habituelles Daniel Guéret, adjoint au maire de Chartres, notamment en charge des questions mémorielles, explique : « Jean-Pierre Gorges, maire de Chartres et président de l’agglo, m’a demandé de réfléchir, sur le thème de la mémoire en général, à l’organisation d’une opération autour d’une personnalité ou d’un événement qui a pu lier Chartres et une commune de l’agglomération, en marge des commémorations habituelles. Nous avons décidé de commencer par Noël Ballay parce qu’il a toute une histoire entre Chartres et Fontenay sur Eure. Savez vous, par exemple, que c’est la seule personnalité locale à avoir bénéficié d’obsèques nationales ? » Daniel Guéret poursuit : « Au delà du simple souvenir de cet illustre personnage, il s’agit de se rappeler ces femmes et ces hommes qui ont marqué l’histoire, le territoire chartrain et celui de l’agglomération, à travers différents rendez vous mémoriels et culturels. » Le prochain pourrait être l’abbé Franz Stock, en lien avec la commune du Coudray. L'Echo, 14/07, p.7 (Dreux) Renaissance de La Fille prodigueLa statue de Raoul Verlet, gardant le square de la République depuis 1931, a fini sa mue. L’oeuvre du sculpteur français, qui entamait sa cure de jouvence le mardi 13 juin, a pu revêtir son manteau de jeunesse hier. Force est de constater que les deux restauratrices en charge des travaux, Anne-Laure Goron et Hélène Dreyfus, ont réalisé là un travail d’orfèvre qui permet à la statue de s’offrir une jeunesse retrouvée. Les passants ne peuvent désormais que saluer une dame intemporelle. (intégral) L'Echo, 14/07 Abbaye de Déols : un travail de bénédictinMaire de Déols, Michel Blondeau le concède : « Ce projet qui va s’étendre sur plus de vingt ans… » Du très long terme, donc, qui a nécessité les réflexions de dix architectes et paysagistes, deux jours durant, sur le site clunisien, lors d’un forum d’architecture qui s’est tenu à la mi-mai sous la houlette du Conseil d’architecture en urbanisme et environnement (CAUE). Au final, trois projets ont été réalisés et présentés aux habitants de Déols, la semaine dernière. « Il y a du monde, c’est bien, note Michel Blondeau. Cela prouve que la population s’intéresse à cette évolution de sa ville. » Chaque équipe a ainsi expliqué sa vision de la mise en lumière du monument et de ses environs. « Ils sont tous partis du même constat : on voit l’abbaye de très loin, et on la perd quand on arrive à Déols, explique Marc Fleuret, directeur des services de la Ville. Plusieurs idées ont émergé à partir de là : refaire les espaces paysagers pour que l’abbaye soit plus visible du pont, en arrivant de Châteauroux ; mettre en place une circulation douce aux abords de la crypte qui est en souffrance ; fermer le cloître et, éventuellement, détruire l’actuelle mairie pour créer un espace piétonnier qui permettrait de voir l’abbaye depuis l’avenue du Général-de-Gaulle. » Autant d’idées qui ont surpris les habitants qui ne s’attendaient pas à des travaux éventuels d’une telle ampleur. NR Indre, 15/07, p.3(Cheverny) Sauvegarder le patrimoine du territoireInstant d’émotion, mercredi matin, à la mairie de Cheverny au moment du lancement de la souscription pour la restauration de la loge des Ruaux quand Ginette Bilan a évoqué les souvenirs liés à ce lieu : « La maison a besoin d’une restauration et je souhaite qu’elle continue de vivre », a-t-elle indiqué, expliquant la donation qu’elle fait à la commune. Pour Lionella Gallard, maire de Cheverny, qui a tenu à remercier chaleureusement la donatrice, cette construction « fait partie du patrimoine du territoire » avec son puits en pierre et son ancien four à pain, « c’est aussi une histoire, celle d’une famille agricole, petite histoire certes, mais ce sont les petites histoires qui constituent la grande histoire », a-t-elle ajouté. Afin de réaliser les travaux, la commune de Cheverny, en partenariat avec la Fondation du patrimoine lance une souscription publique. NR Loir et Cher, 15/07, p.14(Bourgueil) Les halles : un patrimoine en cours de restaurationL’un des symboles de la ville et du marché de Bourgueil, les halles, est en cours de restauration. Depuis quatre ans, la commune a engagé un cycle de restauration à raison d’une façade par an. Cette année, c’est la partie est qui sera restaurée par l’entreprise Jaillais en deux phases. Dans un premier temps, les tailleurs de pierre ont repris l’ensemble du soubassement dont le tuffeau jaune a souffert de l’humidité en grande partie à cause du revêtement en béton. Les travaux ont consisté à ôter ce dernier et à gratter la pierre pour atteindre la partie saine. Puis les ouvriers ont posé un parement de 8 cm en pierre de Sireuil et des pierres massives taillées aux angles pour garantir une bonne résistance. Cette façade est l’une de celles qui a nécessité le plus de travaux vu le dénivelé et la hauteur du soubassement. Après une pause en juillet et en août pour le bon déroulement du marché estival, les travaux vont reprendre à la rentrée NR Indre et LoireW, 15/07, p.20Chartres et le joyau de l’art gothiqueOn la distingue à plus de vingt kilomètres de distance, depuis les routes et les villages d’Eure et Loir. La cathédrale de Chartres se dresse en majesté au milieu de la plaine de Beauce depuis le début du XIIIe siècle. Au moins cinq églises différentes se sont succédé sur ce site du IVe au XIIe siècle. En 1194, la cathédrale romane, dont il reste l’église basse, est en partie détruite après un incendie. Le « Voile de la Vierge » – la relique qui s’y trouve depuis 876 – est sauvé des flammes. Commence alors le chantier de la cathédrale actuelle, dans un style gothique. Le gros oeuvre est achevé en une trentaine d’années, les vitraux y prennent place avant 1240, et la consécration de la cathédrale a lieu le 24 octobre 1260. Chartres était déjà un haut lieu de pèlerinage. Au patrimoine spirituel s’ajoute un ensemble artistique et architectural exceptionnel, qui résiste aux siècles, aux révolutions et aux guerres mondiales. Ce n’est donc pas un hasard si en 1979, Notre Dame de Chartres fait partie des cinq premiers monuments français inscrits au Patrimoine mondial. RC Loiret, 16/07, p.18(Oizon) Les trésors dissimulés du château de La VerrerieUne centaine de pièces, escaliers compris, entre les murs du château de La Verrerie, à Oizon, et tant de lieux qui échappent aux visiteurs. Des bibliothèques, des salles à manger, et toutes ces chambres qui ne sont ouvertes qu’à de rares privilégiés qui séjournent au château. Cette vaste bibliothèque, aux étagères lourdement garnies de livres de tous les styles, de toutes les époques, « elle fait partie des parties privées du château », indique Béraud de Vogüé, le propriétaire des lieux. « Au départ, la bibliothèque était une salle à manger, raconteil. Mais quand mes parents se sont installés au château, ils ont préféré aménager cette partie, qui était une partie de service, plutôt que de s’installer dans l’autre, qu’il trouvait trop grande et trop difficile à chauffer. » Alors rares sont aussi ceux qui peuvent apprécier ce tableau de 1974 signé d’un artiste vénézuélien aujourd’hui très coté… A l’étage, dans ce long couloir d’une vingtaine de mètres, une succession de chambres toutes plus raffinées les unes que les autres. Cette visite privilégiée s’achève par le salon, et sa cheminée de 1485. « Elle est d’origine, elle n’a jamais été retouchée. » Et porte les armoiries des Stuarts, les premiers propriétaires des lieux, dont l’ombre plane encore sur ce château qui n’a peut être pas encore livré tous ses mystères. + Les fresques de la chapelle révélées en 1930 Le Berry, 16/07, p.2/3 (Drouais) L’association Vallée royale de l’Eure propose la visite de trois sites drouais, le samedi 22 juilletLancée en septembre 2014, dans le berceau des amours de la marquise de Maintenon et de Louis XIV, l’association Vallée royale de l’Eure a pour ambition de promouvoir trente cinq sites, situés le long de cette rivière. Leur promotion passe par la publication du livre Vallée royale de l’Eure, de Chartres à Dreux, sorti samedi 1er juillet, mais aussi par des journées thématiques. Alexis Robin, président de l’association, en organise trois à quatre par an. La prochaine aura lieu, samedi 22 juillet, et mettra en lumière trois monuments importants du Drouais. Pour 20 €, les visiteurs (sortie limitée à quarante personnes), pourront découvrir le moulin de la Bellassière à Crécy Couvé, les vestiges de la forteresse d’Ivry la Bataille et le château d’Anet, bijou de la Renaissance. + Succès pour l’ouvrage de Bern et Robin L'Echo, 16/07, p.8(Crécy Couvé) Ils ont donné un sens à leur moulinIls ont quitté leur appartement de 80 m2, à Paris, pour l’amour des vieilles pierres. Séduits par le canal de fuite sur la Blaise. Christophe et son épouse Marie-Mercedès Ghenassia ont acheté, en 1999, le moulin de la Bellassière, à CrécyCouvé. Niché au fond de la vallée verdoyante de la Blaise, ce moulin, dont certains écrits évoquent des fondations au XIe siècle, a été profondément modernisé par la marquise de Pompadour, la favorite de Louis XV, au XVIIIe siècle. Mais avant d’y habiter, le couple a d’abord dû mettre le bâtiment hors d’eau : « On a ajouté 28.000 tuiles pour refaire la toiture. » Vivre dans un bâtiment historique demande beaucoup de passion, de travaux et de temps. L’idée du couple n’est pas seulement de rénover le moulin, mais surtout d’en faire « un lieu ouvert à tous, notamment aux personnes en situation de handicap. On voulait qu’il devienne quelque chose qui vive dans le présent, à l’image de ce qu’avait fait la marquise de Pompadour ». Si pour une partie des travaux, Christophe et Marie-Mercedès Ghenassia ont fait appel à des artisans spécialisés, ils ont également mis la main à la pâte. L'Echo, 16/07, p.8(Gargilesse) Au service du peintre Paul MadelineLe peintre Paul Madeline, né en 1863 et mort en février 1920, rencontra Maurice Rollinat et Léon Detroy dans la région de Crozant. A partir de là, il tomba amoureux de la vallée de la Creuse et revint plusieurs mois, chaque année, pendant vingt-cinq ans, pour peindre les bords de Creuse en automne. Des tableaux de la vallée de la Sédelle, complètent la collection. Annick Thévenin, propriétaire avec son mari du château de Gargilesse depuis 1998, et après l’avoir entièrement restauré et décoré avec beaucoup de goût, a voulu cette année rendre hommage à l’un des meilleurs peintres de la vallée de la Creuse de l’époque. Ces tableaux appartenant à la collection privée des châtelains, côtoient pour l’occasion, et jusqu’au 3 septembre, les sculptures contemporaines d’Yvonne Clergerie, spécialiste du nu féminin, et des tableaux de Alluaud, Jamet, Maillaud, etc., destinés à la vente. NR Indre, 16/07, p.9(Val de Loire) Les petits châteaux ont aussi du caractèreBeauregard, Troussay, Villesavin, Talcy, Fougères-sur-Bièvre… Si le nom de ces édifices parle aux Loir-et-Chériens, ce n’est toujours pas le cas des touristes en vadrouille dans la région des châteaux du Val de Loire, qui ne font généralement le détour que pour les plus connus. Une situation à laquelle l’office de tourisme de Blois-Chambord compte bien remédier. Un mot d’ordre : « Nos petits châteaux ont du caractère ! » Avec ce slogan et la campagne de promotion lancée le 1er juillet, l’objectif est d’attirer les visiteurs des châteaux du Val de Loire les plus fréquentés vers les petits châteaux du département. Depuis le début de l’été, un pass est ainsi proposé à la vente dans les offices de tourisme de Blois, Chambord, Cheverny et Chaumont. Pour le prix de 33 euros, il ouvre les portes de cinq petits châteaux de la Loire. Un tir groupé qui permet d’assurer la visibilité des monuments et d’élargir l’offre de visite pour les touristes. NR Loir et Cher, 16/07, p.2(Jussy le Chaudrier) L’église reprend des couleursLa démolition de l’église de Jussy le Chaudrier, votée en décembre dernier par le conseil municipal, n’est plus à l’ordre du jour. Du moins « pour l’instant », précise le maire, Jean-François Pasqué. Des travaux de consolidation de l’église, évalués à 200.000 euros, sont à l’étude. Le conseil municipal a décidé, lundi dernier, d’autoriser le maire à signer une convention avec un architecte, Thierry Guittot (par treize voix pour et deux abstentions). Ce dernier a désormais tout l’été pour réaliser une étude sur ces travaux de consolidation. Le conseil municipal pourrait ensuite adopter, en septembre, l’opération de consolidation de l’église. Pour mémoire, Paul Carvès, architecte des bâtiments de France, avait effectué une visite en l’église de Jussy le Chaudrier au premier semestre de cette année. À la suite de cette visite, il avait proposé un plan de consolidation de l’église. Un plan présenté en préfecture de Bourges, le 4 juillet dernier. Si le projet de consolidation est adopté en septembre prochain par le conseil municipal, il restera ensuite à monter un plan de financement. Les travaux pourraient commencer dès cette année 2017. Le Berry, 13/07, p.8(Dreux) Visites guidéesDepuis le samedi 1er juillet, de nouveaux tarifs ont été mis en place par la mairie de Dreux pour les visites patrimoine. Un pôle patrimoine a été créé, rattaché au service du musée. Il propose des visites guidées du beffroi, de l’ancienne Caisse d’Épargne et un parcours historique dans la ville, qui s’adressent à tous. Un tarif unique de 5 € par visite a été mis en place. Un tarif réduit de 4 € est proposé pour les familles nombreuses, les militaires, les chômeurs, les groupes de 10 personnes et plus, les personnes qui bénéficient du RSA et les membres des associations des Amis de musée. La gratuité est proposée aux moins de 18 ans et aux personnes handicapées. (intégral) L'Echo, 13/07Voici 57 ans, un métro roulait dans le ciel !Imaginez un rail suspendu à huit mètres de hauteur, auquel est arrimée une cabine glissant à 100 km/h. Imaginez qu’une telle infrastructure soit en mesure de régler les problèmes de circulation automobile entre deux villes. Imaginez enfin que ce projet novateur et prometteur attire des élus du monde entier. Et vous aurez une vague idée de l’engouement extraordinaire qu’a suscité le métro aérien suspendu, lorsque celui ci circulait, au début des années soixante, entre Châteauneuf sur Loire et Saint Martin d’Abbat. De cette réalisation exemplaire, il ne reste pratiquement plus rien. La mémoire des plus anciens a même fini, parfois, par gommer l’existence de ce prototype, que certains assimilent assez confusément à l’aérotrain. À l’heure où Orléans métropole s’apprête à construire un téléphérique entre la gare des Aubrais et l’ancienne friche industrielle Rivierre Casalis, il est plutôt réjouissant de faire un bond de près de soixante ans en arrière et d’ouvrir l’album de souvenirs. + Quand Truffaut filmait le métro + Jean-Michel Hervé, la mémoire RC Orleans, 12/07, p.2/3 (Mez le Maréchal) Bienvenue au « Louvre du Gâtinais »«C’est un chef d’oeuvre en péril qui n’a jamais été ouvert au public », indique Florian Renucci, propriétaire du château de Mez le Maréchal à Dordives. Il a fait l’acquisition de cet édifice il y a environ un an. Où plutôt de « ces » édifices puisqu’il s’agit en réalité de « trois châteaux qui marquent trois siècles bien distincts, emboîtés comme des poupées russes », souligne celui qui n’est autre que le maître d’oeuvre du chantier médiéval de Guédelon. Le Mez, c’est d’abord l’oeuvre de la famille Clément, dont l’un des plus illustres représentants, Albéric, a été le premier maréchal de France, en 1190. Au donjon du XIIe siècle, sont venus s’ajouter une enceinte fortifiée au XIIIe et des bâtiments royaux au XIVe. Ce sont ces fortifications, toujours visibles aujourd’hui, qui donnent au château son nom de « Louvre du Gâtinais ». L’intérêt du château du Mez le Maréchal est bien sa conservation : l’architecture ainsi que la totalité du chemin de ronde sont encore visibles. Mais le temps a fait son oeuvre et il est urgent de réaliser des travaux de restauration, pour la sécurité des visiteurs et la compréhension des lieux. RC Loiret, 12/07, p.13 (Chailly en Gâtinais) La légende de Saint-Aignan immortaliséePas d’office religieux samedi soir à l’église de Saint Aignan mais une célébration pour mettre à l’honneur le travail de l’artiste Jean-Marie Paignay pour le vitrail « La légende de Saint Aignan ». Il a été posé en juin. Yvan Falzon, membre de l’association de Saint Aignan, a relaté les étapes qui ont conduit à la réalisation de ce vitrail. Le village doit l’architecture et la luminosité du choeur de l’église à un enfant du pays : Milon de Chailly. Sept siècles se sont écoulés depuis Milon jusqu’à ce qu’un artiste, Jean-Marie Paignay, s’installe à Chailly et vienne visiter l’église. Son attention a été attirée par un motif floral gravé sur une pierre à l’entrée du choeur. Il y voit une évocation de l’arbre de vie. C’est le déclic pour Jean-Marie Paignay qui conçoit le projet de remplacer le verre dépoli qui surmonte le grand portail par un vitrail représentant sa vision de cette évocation biblique. RC Loiret, 12/07, p.15(CC communes La Châtre et Sainte-Sévère) Le patrimoine des villages se dévoile cet étéLe service de tourisme de la Communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère propose, de juillet à septembre, de découvrir les richesses du patrimoine local des petits villages du Boischaut-Sud. C’est l’animation Promenades autour d’un village. Cet été, quatre communes accueilleront les visiteurs et leur proposeront une promenade, à pied ou en voiture, d’une durée de deux heures environ. Les balades seront émaillées de relation de grands évènements locaux ou de petites anecdotes permettant de découvrir leur histoire et son passé. NR Indre, 12/07, p.16 (Bonneval) Les girouettes de Daniel Accault exposéesLes girouettes de Daniel Accault sont exposées jusqu’au 28 août à l’espace Martial Taugourdeau. Le Bonnevalais, décédé en 2015, avait fait don de sa collection de girouettes à la mairie de Bonneval. Plus de cent réalisations sont visibles tout cet été. Le sens du vent Cet habitant de la rue Saint Michel s’était pris de passion pour la fabrication de girouettes lorsqu’il a participé à la restauration du moulin de Frouville Pensier. Artisan couvreur, il avait restauré le toit du monument et construit une girouette àl’identique de l’ancienne. Dès sa retraite en 1986, il avait passé son temps libre à réaliser ces ouvrages donnant le sens du vent. Des girouettes aux thèmes multiples, qui représentent aussi bien des événements organisés par la ville de Bonneval que des métiers artisanaux, des animaux ou les passions de ses filles, présentes vendredi soir lors du vernissage. L'Echo, 11/07, p.20(Gizeux) Une galerie du château restaurée grâce aux mécènesLes exceptionnelles peintures murales du XVIIe siècle du château de Gizeux retrouvent, depuis quatre ans, un nouvel éclat grâce au mécénat participatif. Cette année encore, plus de 60 mécènes ont déposé un don via le site « Dartagnans » et ont permis de lancer la quatrième tranche de travaux. Samedi 1er juillet, Géraud et Stéphanie de Laffon, les propriétaires et gestionnaires, ont accueilli tous leurs mécènes pour une visite des travaux réalisés en début d’année 2017. Brice Moulinier et Frédéric Quilly, les deux restaurateurs blésois et tourangeau, ont présenté les différentes techniques utilisées pour redonner vie à cette galerie de 400 m². Deux peintures ont été achevées lors de cette tranche de travaux : la scène de « laisser courre » et celles, bucoliques et champêtres, à l’entrée de la galerie. (intégral) NR Indre et LoireW, 11/07
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Jeu 13 Juil - 15:27 | |
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 14:45 | |
| Orages: dégâts dans les musées parisiensSource : lejournaldesarts.com Plusieurs peintures du musée du Louvre ont été abîmées pendant les oragesPARIS [17.07.17] - Plusieurs oeuvres peintes exposées au Louvre ont été abîmées pendant les violents orages survenus à Paris dans la nuit de dimanche à lundi derniers, selon un communiqué du musée parisien. Lire la suite : http://www.lejournaldesarts.fr/site/archives/docs_article/146500/plusieurs-peintures-du-musee-du-louvre-ont-ete-abimees-pendant-les-orages.php?xtor=1116Source: lemonde.frAprès le déluge, les musées parisiens mesurent l’étendue des dégâts
« Plus de peur que de mal », souffle Sylviane Tarsot-Gillery, directrice générale de la BNF, à Paris. Lundi 10 juillet, ses équipes redoutaient le pire après les pluies torrentielles de la veille. En une heure, il est tombé l’équivalent de trois semaines de précipitations en moyenne en juillet. Les vidéos montrant le métro parisien inondé ont fait le tour des réseaux sociaux. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/arts/article/2017/07/17/apres-le-deluge-les-musees-parisiens-mesurent-l-etendue-des-degats_5161539_1655012.html#3pPqKVj2RWtSgsXl.99De légers dégâts au Louvre à la suite des intempéries à ParisLes intempéries qui ont touché Paris les 9 et 10 juillet dernier ont « entraîné la fermeture de certains espaces et l’évacuation préventive d’œuvres du département des peintures et du département des Antiquités égyptiennes », a annoncé le Musée du Louvre dans un communiqué publié jeudi 13 juillet. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/culture/article/2017/07/14/de-legers-degats-au-louvre-apres-les-intemperies-a-paris_5160379_3246.html#K7XFWXTflVCS4S2t.99Source: lefigaro.frLouvre: des œuvres d'art abîmées pendant les oragesPlusieurs peintures exposées dans le plus grand musée d'art du monde ont souffert des intempéries qui ont touché la région parisienne dans la nuit de dimanche à lundi dernier. Des infiltrations d'eau ont également entraîné la fermeture de certains espaces ou l'évacuation préventive d'autres œuvres. Des œuvres d'art abîmées par le mauvais temps? Même au Musée du Louvre, plusieurs peintures exposées ont souffert des violents orages survenus à Paris dans la nuit de dimanche à lundi dernier, comme l'indique un communiqué du musée parisien. Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2017/07/15/03015-20170715ARTFIG00034-louvre-des-oeuvres-d-art-abimees-pendant-les-orages.php
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 14:54 | |
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 15:53 | |
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 15:59 | |
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 16:03 | |
| Source : lefigaro.fr Grèce: l'archéologie pour résoudre des meurtres vieux de 25 sièclesÀ Athènes, une équipe d'archéologues enquête sur une scène de crime bien particulière: une nécropole datant du VIIIe au Ve siècle avant notre ère, où une centaine de squelettes enchaînés, portant les signes d'une mort violente, a récemment été découverte. Qui étaient-ils et pourquoi ont-ils été tués? À Athènes, une enquête a été ouverte après la découverte d'une centaine de squelettes portant les signes d'une mort violente survenue il y a plus de 2.500 ans. Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/culture/2017/07/14/03004-20170714ARTFIG00117-grece-l-archeologie-pour-resoudre-des-meurtres-vieux-de-25-siecles.php | |
| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 16:07 | |
| Source : lefigaro.frUne momie chinoise «volée» devant la justice des Pays-BasUn tribunal néerlandais se penchera vendredi sur le sort d'une statue de Bouddha contenant des restes humains momifiés. Acquise par un collectionneur, elle est réclamée par des villageois chinois qui dénoncent un «vol». Achetée par un collectionneur néerlandais, réclamée par un village chinois qui accuse son propriétaire de l'avoir volée , cette momie a bien plus de succès que celle interprétée par Tom Cruise au cinéma. La justice néerlandaise se penchera ce vendredi 14 juillet sur le sort de la statue et décidera si elle doit être restituée au village de Yangchun de la province du Fujian dans l'est de la Chine. Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2017/07/13/03015-20170713ARTFIG00264-une-momie-chinoise-volee-devant-la-justice-des-pays-bas.php | |
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Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (10 -16 juillet 2017) Mar 18 Juil - 16:12 | |
| Source : latribunedelart.frRestauration, musée (et dégât des eaux limité)... Actualité de l’École des Beaux-Arts Restauration et labellisation - Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts - Le nombre d’institutions culturelles touchées par les très fortes pluies de la nuit du 9 au 10 juillet s’étend encore. Alors que nous avons révélé que le Louvre (voir l’article) et la Bibliothèque nationale (voir la brève du 10/7/17) n’avaient pas été épargnées, alors qu’une partie des archives du ministère de la Culture a été fortement touchée (nous reviendrons sur ce sinistre car il révèle un gros scandale patrimonial), et que selon Actualitté les dégâts sont très importants dans la bibliothèque de l’Assemblée nationale, l’École des Beaux-Arts a, elle aussi, été frappée, par des infiltrations dans l’amphithéâtre peint par Paul Delaroche. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/restauration-musee-et-degat-des-eaux-limite-actualite-de-l-ecole-des-beaux-arts | |
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