Revue de presse (24 - 31 août)

Musée région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Un siècle de caricatures à Chécy

Jusqu'au 27 septembre le musée de la Tonnellerie accueille des dessins de presse satirique de 1830 à 1920. Reflet de la société qu'elle raille, la caricature était un art populaire.
RCO 25/08 p. 12

Du musée au papier

Comme le veut la tradition de l'évènement : l'actuelleexposition du château Saint-Jean à Nogent-Le-Rotrou, un catalogue tout en couleurs a été édité à 400 exemplaires. Il s'intitule Hue! Dia ! Le cheval au travail ; la cinquième édition de Variations équines laissera ainsi une trace sur le papier.
L'Echo 25/08 p. 13

Musée Girodet

"Le Japon illustré", une exposition qui démarre le 18 septembre, présentera une soixantaine d'estampes datant des XVIIème et XIX ème siècles.
RC Montargis, 27/08 p.8

Gaudier-Brzeska à Beaubourg jusqu'au 14 septembre

L'exposition est réalisée avec la participation du musée des Beaux-Arts d'Orléans.
RC Orléans 28/08 p. 37

Source : Patrimoine en Blog

Le nouveau musée du Grand-Pressigny ouvre le 20 septembre

Vidéo présentant le nouveau musée du Grand-Pressigny qui rouvre ses portes lors des journées du patrimoine, le 20 septembre 2009. Voir la vidéo

Une exposition archéologique

Du 19 septembre au 18 octobre se tiendra à la salle des fêtes, une exposition archéologique intitulée « Evena, aux origines d'Esvres-sur-Indre ». Elle est organisée par la municipalité en partenariat avec la Direction régionale des affaires culturelles du Centre, l'Institut national de recherches archéologiques préventives et la Société archéologique de Touraine. Une première en région Centre qu'une commune affiche le résultat des fouilles préventives et associatives qui se sont déroulées dans un passé récent. Elle mettra l'accent sur les origines de la ville, qui remontent à l'époque gallo romaine. Plusieurs vestiges en témoignent, notamment une tombe reconstituée d'un guerrier gaulois visible par le grand public. Des conférences animées par des professeurs sont au programme. Elles seront animées le 24 septembre à 20 h 30 par Raphaël de Filippo, Inrap ; le 1er octobre à 20 h 30 par Christian Cribellier, Drac Centre ; le 8 octobre à 20 h 30 par Jean-Philippe Chimier, Inrap ; le 15 octobre à 20 h 30 par Pierre Audin, Sat.
NR Indre-et-Loire, Esvres, 24/08

Les tombelles de Sologne

En trente ans, 120 bulletins et quelque 300 articles, les historiens professionnels ou amateurs du Grahs (*), basés à Lamotte-Beuvron, ont fait progresser notre connaissance de la Sologne. C'est avec eux, et en particulier, cette semaine, grâce à Frédéric Auger, Henri Delétang et Pierre-Yves Milcent que nous vous présentons ces découvertes. Ils s'intéressent aujourd'hui aux tombelles ou sépultures de Sologne.
(*) Groupe de recherches archéologiques et historiques de la Sologne.
NR Loir-et-Cher, Romorantin, 25/08

Atelier de poterie du haut Moyen-âge - Saran

Le site archéologique du lac de la Médecinerie à Saran recevra le public samedi prochain. Une occasion de découvrir un site exceptionnel en France.
RC Orléans, 26/08 p.2

La maison de Jeanne D'Arc, une curiosité

La maison dite de Jeanne d'Arc fait partie des maisons à colombages, une des richesses patrimoniale de la cité des Stuarts. Située au 7, rue des Dames, presqu'en face de l'office de tourisme, cette maison classée a été construite au XVIe siècle. Elle fait partie de ces bâtisses régulièrement prises en photo. Si l'objectif croise celui du propriétaire, Pierre Turpin, dynamique retraité de 88 ans, il se fait un plaisir de faire visiter sa maison.
NR, Cher, Dampierre-en-Graçay, 24/08

Une souscription pour sauver "La résurrection du Christ"

C'est en juin que la municipalité se penchait sur l'état du tableau La Résurrection du Christ de l'église Saint-Barthélemy de Brinon. Datant du XVIIIe siècle, avec un encadrement du XIXe, l'œuvre est inscrite sur la liste supplémentaire des Monuments historiques. Le tableau avait été soigneusement décroché afin d'en évaluer l'état et le montant de sa restauration. Laurence Didier, spécialisée dans la conservation et la restauration de peintures, diplômée de l'école du Louvre, avait établi un devis de 15.207,14 €. Le conservateur des Monuments historiques, Irène Jourd'heuil, a émis un avis favorable : « Le tableau a subi des dégradations ce qui rend difficile la lecture de l'œuvre et une restauration s'avère nécessaire pour lui redonner tout son éclat ». Pour faire face à cette dépense et contribuer à la restauration, la municipalité a lancé une souscription. Et vendredi matin, salle de la mairie de Brinon-sur-Sauldre, le maire, Dominique Girard, procédait ainsi à la signature du contrat de souscription publique, avec Jean-François Gimonet, délégué départemental de la Fondation du patrimoine. Aux côtés des deux signataires, le père Stéphane Quessard, enchanté de cette décision ; Martine Dessus, François Gréau et Roch Senly de la Fondation du patrimoine ; Denis Mardesson, maire du chef-lieu de canton d'Argent-sur-Sauldre ; ainsi que Christophe Dezalis,responsable de la caisse locale du Crédit agricole qui s'est déjà porté partenaire de cette opération. C'est grâce aux dons que ce projet pourra aboutir. Déduction d'impôts possible ; renseignements à la mairie de Brinon ; envoyer son chèque à l'ordre de la « Fondation du patrimoine, tableau de Brinon-sur-Sauldre », délégation Centre-Est, ZI d'Ingré,45926 Orléans, Cedex 9. INTEGRAL
NR, Cher, Brinon-sur-Sauldre, 24/08

Le chirurgien de nos chers luths

Dans leur minuscule atelier niché au fond du bourg de Saint-Chartier, Daniel Sinier et Françoise de Ridder restaurent des instruments d'un autre âge. Ils sont devenus de véritables experts dans les ventes d'instruments anciens, à Vichy par exemple. Inutile, par conséquent, de chercher à les bluffer dans cette discipline où il est vain de chercher à s'imposer à la frime ou à la hussarde. Ils en sont déjà à plus de trois mille instruments datés, pour la plupart des XVIIe et XVIIIe siècles. Avec « 0 % de notre chiffre d'affaires en France ». Loin, mais alors très loin du défunt festival de musique traditionnelle de Saint-Charthier Les luthiers de Saint-Chartier cultivent aussi le souvenir attendri d'Alain, le frère de Boris Vian, grand batteur devant l'Éternel. Lui qui n'avait pas coutume d'aller « cracher sur nos tombes » avec son petit côté jazzy.
NR Indre, 24/08

Ernest Nivet le sculpteur des "Ravaudeuses"

Peu de sculpteurs d'envergure auront laissé une trace de leur art dans l'Indre. Indiscutablement Ernest Nivet occupe une place majeure et son travail a plus qu'une valeur esthétique : il traduit une réalité sociale, un état de la société. Ernest Nivet, issu d'une famille plus que modeste, aimait les gens simples, les gens de peu. Il n'était pas insensible à la souffrance humaine et les très nombreuses commandes d'édifices publics – monuments aux morts, en particulier – témoignent qu'il ne rechignait pas à exprimer par la pierre l'immortalité du souvenir dû aux disparus dans la sauvegarde de la patrie. Son autre majestueuse voie d'expression est celle des petites gens. « Les Ravaudeuses » sont un témoignage superbe de son attachement à la peine ordinaire, à la difficulté de vivre des Berrichons de son temps. Lucien Lacour le dit avec à la fois avec pudeur et une profonde vérité dans l'article qu'il consacre à cette pièce dans son livre « Un cabinet de curiosités », paru à l'initiative des Amis des musées de Châteauroux, sous l'égide des musées de la ville. « On a souvent cité Ernest Nivet parmi les ultimes représentants du réalisme en sculpture. On l'a comparé à Jean-François Millet pour lequel il nourrissait en effet une admiration fervente. On l'a aussi enfermé, malgré ses protestations, dans les limites étroites d'un courant régionaliste. Nivet entendait assumer ce pourquoi il avait quitté Paris et l'atelier de Rodin, en restant fidèle à ses origines, c'est-à-dire à lui-même. » INTEGRAL
NR Indre, Châteauroux, 24/08

Grands hommes : Paul-Louis Courier

Né à Paris en 1772, Paul-Louis Courier fait des études classiques, se forme à l'écriture et sort officier de l'école d'artillerie de Châlons-sur-Marne. A la Révolution, il épouse la cause des bourgeois et des paysans. Il prend part aux campagnes napoléoniennes mais déserte lors de la campagne d'Italie et quitte l'armée en 1809. Il se consacre à la traduction d'œuvres antiques gréco-romaines et se tourne vers le pamphlet pour dénoncer les persécutions policières, l'injustice, l'arbitraire et revendiquer la liberté de penser et d'écrire. En 1818, il s'installe à La Chavonnière à Véretz et s'occupe de ses terres tout en faisant de nombreux déplacements à Paris, où il fait plusieurs séjours en prison à cause de ses pamphlets : le plus célèbre pour les Véretziens est la « Pétition pour les villageois que l'on empêche de danser ». Le 10 avril 1825, il se rend dans sa forêt de Larçay pour donner des instructions à son garde-chasse. Il est tué d'une décharge de fusil dans le dos. Ce n'est que le lendemain matin qu'on retrouve son corps baignant dans deux flaques de sang (un monument est édifié en forêt de Larçay à l'endroit de l'assassinat). Crime politique, meurtre passionnel, le mystère n'a jamais été vraiment éclairci. Politiquement ou sentimentalement, Paul-Louis Courier dérangeait. En 1876, le conseil municipal de Véretz vote la dotation perpétuelle du terrain de 8 m² sur lequel est édifiée la stèle à la mémoire du « champion du bon sens et de la liberté ». Le 28 juillet 1878, le monument signé Viollet-Leduc est inauguré et un banquet de 100 couverts sur le mail de l'église clôture cette inauguration. La société des amis de Paul-Louis Courier honore tous les ans le pamphlétaire en se rassemblant au cimetière de Véretz sur sa tombe, proche de celle d'Eugène Bizeau. INTEGRAL
NR Indre-et-Loire, 24/08

Les saints de l'été

La collégiale de Bueil-en-Touraine, classée monument historique depuis 1909, est composée de deux édifices : l'ancienne église paroissiale Saint-Pierre, (église primitive datant du XIe siècle, reconstruite de 1480 à 1512 et dont la restauration récente est exemplaire) et l'église dédiée à saint Michel et aux saints Innocents, qui fut fondée en 1394 et érigée en collégiale en 1476.
NR Indre-et-Loire, Racan, 24/08

Restauration de l'église Saint-Vincent : au cours de sa dernière réunion, le conseil municipal a abordé cette questions. Suite à l'étude réalisée par Arnaud de Saint-Jouan, une nouvelle estimation des travaux a été présentée. Ceux-ci pourraient être réalisés en deux tranches. La première tranche concernerait les façades sud et est de la chapelle renaissance. Coût : 422.809,98 € HT. La seconde tranche concernerait la façade est (abside, pignon du chœur, mur gouttereau du collatéral nord et sacristie) et la façade sud de la nef. Coût : 381.104,60 € HT. Le conseil municipal approuve les deux tranches de travaux et sollicite auprès du directeur régional des Affaires culturelles une participation financière. INTEGRAL
NR Indre-et-Loire, Neuvy-Le-Roi, 24/08

Visite au prieuré du Louroux

L'association Maisons paysannes de Touraine, dont l'objectif associatif, en relation avec Maisons paysannes de France, est précisément la sauvegarde du bâti ancien et de son environnement, a choisi de les mettre en valeur. Pour cela elle a bénéficié du concours de l'un de ses administrateurs, Jean Mercier, charpentier couvreur bien connu dans le département, maintenant retraité.
NR Indre-et-Loire, Loches, 24/08

Le moulin de Montcellereux a retrouvé son âme

Grâce à un gros travail de restauration réalisé par les frères Michel et Jean-Pierre Rabier, la roue du moulin situé à Mer, tourne à nouveau.
NR Loir-et-Cher, 22-23/08 p.5

Chartres

La cathédrale de Chartres souhaite exposer à nouveau les très rares restes du jubé. Mais elle doit trouver 2 millions d'euros pour financer cette opération. Le projet de rénovation de la chapelle Saint-Piat permettrait d'abriter en son rez-de-chaussée l'exposition des pièces du jubé dans une disposition qui évoquerait l'ancien.
L'Echo 27/08 p. 4

Le rempart gaulois

A Amboise, il y a les incontournables : château, Clos-Lucé, et le patrimoine plus modeste qui a, lui aussi, une histoire. Aujourd'hui, coup de projecteur sur un site historique plus ancien que la renaissance : le rempart gaulois. Situé sur les hauts d'Amboise, au bout de la rue Augustin-Thierry, il a été élevé entre – 400 et – 50 avant J. C. Le rempart primitif est fait d'argile, de pieux en bois et d'un fossé de 10 mètres de profondeur. Au nord comme au sud, il est prolongé par des défenses naturelles, respectivement la Loire et l'Amasse. Le rempart est classé monument historique.
NR Indre-et-Loire, Amboise, 27/08

L'église de Saint-Viâtre dévoile ses secrets

Achevés fin mai 2009, les travaux de restauration intérieure de l'église de Saint-Viâtre auront presque duré un an. L'architecte des Bâtiments de France ayant vu, pratiquement dès le début des piquetages, apparaître des traces de polychromie, le service des Monuments historiques a pris le temps de faire les recherches adéquates afin d'identifier leurs dates et leurs provenances.
NR Loir-et-Cher, Romorantin,
27/08

Nouvelles des vieux comptoirs

Impossible de parler des vieux comptoirs sans évoquer le Saint-Martin, réputé la maison la plus ancienne de Vendôme. Originellement, la place Saint-Martin se limitait, peu ou prou, au parvis de l'église éponyme. Face à la Trinité, la place était longée par la rue Saint-Martin tandis que, de l'autre côté, ralliant la rue du Change, se trouvait la rue du Bourg-Saint-Martin. Que de confusions alors ! De fait, prenant le nom d'une
enseigne, cette dernière prit le nom de rue de l'Ecrevisse dont il ne demeure aujourd'hui qu'une petite impasse.
NR Loir-et-Cher, Vendôme, 27/08

Guide conférencier ce n'est pas de tout repos

Si être guide conférencier permet de travailler dans des décors somptueux, il signifie aussi précarité. Une réalité que décrit Philippe Cervera, guide à Blois.

"Etre guide conférencier ne s'improvise pas. Accompagner des visiteurs sur un lieu historique ou culturel et en délivrer toutes les clés decompréhension requiert quelques compétences.
- S'il est fortement conseillé d'avoir suivi des études d'art, d'histoire ou bien encore d'architecture, l'école du Louvre et des Beaux-Arts constitue aussi un parcours idéal. S'ensuit une formation d'un an délivrant le diplôme de guide interprète national, de niveau bac + 3, délivrant la carte professionnelle, condition sine qua non pour exercer cette fonction.
- Un examen de guide conférencier des villes d'art et d'histoire est organisé ponctuellement par la Direction régionale des affaires culturelles. Accessible à partir de bac + 2, il permet de travailler localement pour un musée, monument, office de tourisme etc.
- Cependant, le guide conférencier est généralement payé à la prestation, rares sont ceux qui sont titularisés. Un travail libéral, et souvent précaire, qui nécessite fréquemment une deuxième activité.
- A Blois, quatre guides conférenciers sont titularisés, afin d'accompagner les visiteurs dans le château ainsi que dans la ville, ajoutés à quatre guides saisonniers."
NR Loir-et-Cher, Blois, 28/08

Depuis des années, le port franc de Genève abritait discrètement des milliers d'objets d'art. Las ! la loi sur les douanes impose désormais la transparence. Avec l'obligation d'inventaire, "il est possible que certains squelettes sortent des placards" déclare Massimo Grassi de la direction générale des douanes à Berne.
Le Monde 26/08 p. 2

Farouchement opposée au projet de numérisation de livres mené par le groupe américain, la Bibliothèque nationale de France pourrait revoir sa position, pour des questions de coûts.

Des considérations financières pourraient avoir raison de l'indépendance de la Bibliothèque nationale de France. Après avoir prôné durant quatre ans une stratégie de ferme opposition à Google et encouragé le développement d'une bibliothèque numérique européenne, Europeana, la BNF discute avec le rival américain pour lui confier une partie de la coûteuse numérisation de ses œuvres.
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Assurer la démocratisation culturelle afin que tout un chacun puisse accéder aux richesses du patrimoine local, le musée Antoine-Lécuyer sait faire. Il a accepté de faire partie des 10 musées axonais à participer à l'opération départementale « Un été au musée », rendant gratuit la visite des sites culturels durant les week-ends du 23-24 et 29 au 29 août. Le résultat est pour le moins satisfaisant.

Les 420 employés syndiqués du Musée canadien des civilisations et du Musée canadien de la guerre se disent prêts à faire la grève dans le but d'obtenir de meilleures conditions de travail.

Ces employés, membres de l'Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), se sont prononcés à 92 % en faveur de la grève lors d'un vote tenu dans la journée de jeudi et dont les résultats ont été rendus publics hier. Ce vote avait été organisé après l'échec de la conciliation, la semaine dernière.

Relayant de nombreuses inquiétudes, l'association Paris historique a saisi le tribunal administratif. Verdict le 9 septembre.

Le propriétaire de l'hôtel Lambert, magnifique édifice du XVIIe siècle situé sur l'île Saint-Louis, affirme garder «toute sa sérénité» depuis le Qatar où il réside. Mais, à Paris, ce qu'il faut bien appeler l'«affaire Lambert» n'en finit pas de rebondir. Vendredi, l'ambassade de Pologne s'est à son tour émue des projets de restauration que le prince Hamad al-Thani compte démarrer mi-novembre. L'ambassadeur, Tomasz Orlowski, a même envoyé une lettre au mi­nistre de la Culture, afin de savoir si la restauration allait se faire «au détriment des traces ultérieures de l'épisode polonais de son histoire » : construit par Louis Le Vau au XVIIe, l'hôtel particulier a, en effet, accueilli entre 1843 et 1975 la famille princière des Czartoryski. Cette dernière y a tenu un salon, fréquenté par Frédéric Chopin, George Sand et Eugène Delacroix.
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Les positions se sont rapprochées entre les pétitionnaires s'opposant à la fermeture des musées et la municipalité. C'est le premier enseignement majeur à retenir de l'entrevue de mercredi après-midi qui a permis d'un côté à Jean Rouger et Sylvie Barre, maire et adjointe au maire chargée de la Culture, et de l'autre Philippe Ravon, président de la société des amis des musées, et Michel Blanchard, le journaliste rédacteur de la pétition, de dialoguer. Lire la suite

PARIS - Sous le coup de la crise, Paris a enregistré une baisse de 7,8% de sa fréquentation touristique au premier semestre 2009 par rapport à la même période de 2008 mais les perspectives sont meilleures pour la fin de l'année.

Selon un bilan présenté mercredi par la mairie et l'office dutourisme de la capitale, la baisse des arrivées a déjà été moins forte aux mois de juillet et d'août, même si les taux d'occupation restent inférieurs à ceux de 2008.

"On note une corrélation directe entre les indicateurs financiers et l'activité touristique à Paris. Dans la foulée dudeuxième trimestre, on considère que la tendance va se poursuivre positivement", note l'Office du tourisme dans un communiqué. Lire la suite