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 Revue de presse (23-29 novembre 2017)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (23-29 novembre 2017)   Revue de presse (23-29 novembre 2017) Icon_minitimeJeu 2 Nov - 22:11

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Henrichemont) Quatorze nouvelles venues au musée

Renaud Régnier, directeur du musée de la Poterie de la Borne, les a choisis autant pour leur histoire que pour leur aspect esthétique. En tout, quatorze nouvelles pièces ont intégré la déjà très importante collection du musée. « On possède désormais environ trois cents objets, ce qui est vraiment rare pour un musée de province », précise le jeune directeur de trente cinq ans. Cette collection s’est construite au fur et à mesure du temps et grâce à un certain niveau d’investissement. « Sur les quatorze pièces qui entrent, on en a acheté cinq, ce qui nous a  coûté environ 4.000 euros. Le reste, on nous l’a donné », continue Renaud Régnier. Des dépenses justifiées par le caractère hors du commun des nouvelles poteries, à l’image de l’immense saloir de Jean-Eugène Bedu qui trône désormais au centre du musée. « Il est important de se renouveler. J’ai deux objectifs pour le futur. Que les gens reviennent voir le musée même s’ils le connaissent et, surtout, en faire un lieu vivant avec, pourquoi pas, consultation de documents, enregistrements de potiers qui expliquent comment ils travaillent… Bref, offrir un patrimoine immatériel au musée. » Surtout, Renaud Régnier aimerait que tous les enfants du département connaissent l’histoire des poteries de la Borne.
Le Berry, 26/10, p.17

(Chartres) Le musée de l’École a prêté du matériel pour le tournage du film de Nicolas Vannier L’École buissonnière
Le dernier film de Nicolas Vannier, L’école buissonnière, actuellement au cinéma, a bénéficié, entre autres, de matériels prêtés par le musée de l’École de Chartres. Sa présidente, Marie-Françoise Soulier, ne cache pas sa satisfaction : « Notre but étant de collecter et de sauvegarder des objets et du mobilier de l’école du passé, c’est avec joie que nous avons répondu aux demandes de l’équipe du film. C’est aussi le but de notre musée de pouvoir être utile à un tel film.  Cela ne peut que le mettre en valeur. Pour L’école buissonnière, l’équipe de décoration a puisé uniquement dans notre réserve. Pas question de prendre les objets exposés ! » Cependant, les décorateurs y ont trouvé, « largement de quoi subvenir à leurs besoins, notamment plusieurs pupitres, planches pédagogiques et cartes. Ils sont venus un jour pour repérer ce qu’ils pourraient utiliser, puis une seconde fois pour charger dans un camion plusieurs dizaines d’éléments devant constituer l’environnement scolaire de Paul, le jeune héros. »
L'Echo, 26/10, p.8

(Blois) L’équipe de France de magie ne prend pas de vacances

Chaque jour, trois jeunes artistes de l’équipe de France de magie, en résidence-spectacle, se succèdent sur scène pour présenter à trois reprises leurs numéros. C’est en partenariat avec la Fédération française des artistes prestidigitateurs (FFAP) que ces représentations sont organisées, le public a donc la chance et l’avantage de découvrir ce dont ces nouveaux magiciens sont capables et c’est évident, ils ont du talent ! Samedi dernier, leurs spectacles étaient très courus, « c’est une aubaine que de pouvoir en profiter tout en visitant la Maison de la magie, on apprécie la surprise », confiaient deux jeunes mamans orléanaises.
NR Loir et Cher, 26/10, p.10

(Graçay) Du paysage à l’architecture en expos
Le musée de la Photographie Lucien Prévost propose deux expositions qui viennent clore une saison riche en événements. Au musée, les visiteurs peuvent se régaler l’oeil avec Les Pensées architecturales de Laurent Lacoste et au café du Commerce, devenu salle d’exposition partenaire, Rémy Duroir propose d’admirer ses compositions Quasi abstraites. Ces deux amis de longue date emmènent les visiteurs dans deux univers différents avec pour point commun, un travail en postproduction de l’image qui lui procure une dimension singulière et originale.
RC Orleans, 24/10, p.8

(Tours) De Bruges à Rome, voyage à travers le néoclassicisme
Pousser la porte du musée des Beaux-arts, grimper les marches du large escalier en pierre qui s’élance du hall d’entrée et plonger dans l’univers foisonnant de Joseph-Benoît Suvée. Si son nom ne vous dit rien, peut être que ceux d’Anton Raphaël Mengs et de Jacques-Louis David réveilleront en vous quelques souvenirs. A leur image, le peintre flamand fait partie du mouvement néo-classique, né au milieu du XVIIIe siècle. Longtemps délaissé par les initiés comme par le grand public, l’artiste voit aujourd’hui une centaine de ses oeuvres exposées au premier étage du musée des Beaux-arts de Tours. Sa directrice Sophie Join-Lambert entend bien redonner à ce « peintre majeur du courant néo-classique » ses lettres de noblesse. Une exposition fruit d’un long travail de recherche  et de reconstitution en collaboration avec l’historienne de l’art Anne Leclair.
NR Indre et Loire, 25/10, p.10

(Gien) L’archéologie s’invite au château

Vous, qui avez toujours rêvé de devenir Indiana Jones, n’hésitez plus : ouvrez les portes du château de Gien et partez à l’aventure ! Jusqu’au dimanche 5 novembre, l’archéologie s’invite au musée. Une des salles accueille l’exposition « Voyage archéologique au coeur du Loiret », qui met en lumière des secteurs géographiques comme le Giennois, le Val de Loire, la Beauce, la forêt d’Orléans, le Gâtinais et la Sologne. Seize panneaux réalisés par le Service d’archéologie préventive du Département en novembre 2016, illustrant divers sites de fouilles : le château de Gien, mais aussi les souterrains médiévaux à Saran ZAC Portes du Loiret ou encore la Maison forte de La Neuville sur Essonne. « L’idée est de comprendre le territoire, passé et actuel », précise Jean-Michel Morin, responsable du service. L’exposition informe également les visiteurs sur les métiers liés à l’archéologie, ainsi que le travail indispensable pour le territoire fourni par les professionnels, en amont et après les fouilles.
RC Loiret, 23/10, p.15

(Chartres) L’art de la souffrance dans les oeuvres
Depuis le 21 septembre, Anne Chevée, conférencière en histoire de l’art mène des visites flash d’environ trente minutes pour faire découvrir les collections du musée de Chartres. Chaque visite est axée sur une thématique précise. Samedi matin, c’était le thème “Souffrir avec le sourire”. Vingt personnes étaient au rendez vous. « L’idée est de redonner du souffle à ces collections, faire découvrir ou redécouvrir ces oeuvres très variées qui sont extraordinaires. » Prochains rendez-vous : jeudi 26 octobre à 18h30, avec « T’as d’beaux yeux », samedi 25 novembre, à 11 heures avec « Outrances » et le samedi 16 décembre, à 11 heures, avec « Allumez-le feu ». Réservation conseillée : arthist@ymail.com et par téléphone au 06.60.67.53.66.
L'Echo, 23/10, p.10


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MessageSujet: Revue de presse (23-29 novembre 2017)   Revue de presse (23-29 novembre 2017) Icon_minitimeJeu 2 Nov - 22:12

Archéologie région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Orgères en Beauce) À la découverte des métiers gaulois
L’année 2017 est consacrée à l'histoire de la Beauce depuis la préhistoire. L’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) a fourni les résultats de ses recherches sur cette époque de notre histoire. Des activités simples en famille, comme la construction des habitations, se sont transformées en métiers comme charpentier ou maçon. Les Gaulois ont aussi découvert de nouveaux matériaux (verre…) ou travaillé le fer avec de nouvelles méthodes : cela devint la chaudronnerie. Ils ont aussi développé la bijouterie et l’orpaillage. L’Inrap présente onze kakémonos retraçant cette évolution et ces nouveaux métiers. Des jeux et coloriages y afférents sont à disposition des enfants. Jusqu'au 10 décembre. (intégral)
RC Orleans, 23/10


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MessageSujet: Revue de presse (23-29 novembre 2017)   Revue de presse (23-29 novembre 2017) Icon_minitimeJeu 2 Nov - 22:12

Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Blancafort) Le domaine a été adjugé hier à 17 h 55
Le château de Blancafort a été vendu hier, les enchères ayant atteint la somme de 1,9 million d’euros (M€). La société New Yorkaise mandatée pour organiser cette vente via la plateforme en ligne Concierge Auctions a donné ses trois coups de marteau virtuel à 17 h 55. Pendant quarante et une minutes exactement, deux prétendants à cet achat se sont disputé les enchères d’hier. Ainsi l’un des deux prétendants d’hier était il déjà présent le 19 octobre. C’est lui qui avait fait la meilleure offre à 1,5 million d’euros. Hier, il n’a donc pas eu à engager les débats, mais a suivi les enchères d’un deuxième protagoniste… sans surenchérir sur celle de 1,9 million d’euros. Ce bien revient donc à un acheteur qui n’était pas présent le 19 octobre. Il acquiert un très beau domaine composé d’un château de 2.100 mètres carrés daté de 1453, d’ un parc de 17 hectares, d’un salon de thé, d’une salle de réception, d’une boutique et d’une maison de six chambres.
Le Berry, 21/10, p.2/3

(Bourges) Le patrimoine, ça se croque
Le mouvement Berry USK va sillonner les rues de Bourges aujourd’hui, afin de croquer, ici la cathédrale, là la fontaine de la place George Sand. Une initiative d’Anne-Marie Desternes-André. Avec une trentaine de carnets de croquis à son actif et une poignée d’expositions en solo, la jeune retraitée dessine depuis longtemps. « Je suis passionnée par le dessin, la peinture, l’aquarelle… Je dessinais moins quand je travaillais. Avant d’être mamie, je dessinais tous les jours. » Lasse de dessiner dans son coin, la jeune retraitée a rejoint Urban Sketchers, un mouvement né aux États Unis. « Leur philosophie, c’est de dessiner en extérieur et en intérieur, mais de croquer sur le vif pour montrer le monde de dessin en dessin. C’est comme une chaîne. Nos dessins racontent le monde, nos voyages… »
Le Berry, 28/10, p.10

(Bonneval) Le retour de Saint-Mandé se fait attendre
Le tableau dit « Le Saint Mandé » accroché à l'intérieur de l'église Notre Dame de Bonneval, a u dessus du portail royal, était en mauvais état. En 2015, la municipalité et François Muchery, le curé de la paroisse Saint Paul en Val, ont décidé de le faire restaurer en collaboration avec Fabienne Audebrand, du Conservatoire des antiquités et objets d'art (CAOA) d'Eure et Loir, rattaché à la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC). C'est Karine Hautefort, restauratrice d'oeuvres d'art, qui a été chargée de remettre en état cette peinture de 360x245 cm, représentant  une scène de la vie de Saint Mandé, datée probablement de la fin du XVIIIe siècle. Le travail s'est révélé imposant.
L'Echo, 28/10, p.23

(Saint Pierre des Corps) En faire l’Hermione du rail
Le chemin de fer, c’est dans l’ADN de Saint- Pierre-des-Corps, c’est génétique. La Touraine n’a pas que ses châteaux à promouvoir, elle a aussi son industrie et son passé industriel. L’étoile ferroviaire tourangelle est notre fierté, notre passé.  On connaît le succès du tourisme du rail. C’est populaire, c’est la Bête Humaine ! s’enflamme le président du Département quand il vous parle du projet de la “ Reine de Tours ”. Ce projet partagé, il l’a dévoilé hier matin en session. Jean-Gérard Paumier voit grand pour la « restauration de la plus belle locomotive de l’Histoire de France », un chantier rêvé qu’il compare à ceux de la frégate l’Hermione à Rochefort ou du site médiéval de Guénelon en Bourgogne. La célèbre locomotive Pacific 231 E 41 construite avant guerre, qui filait à 130 km/h à ses heures de gloire, une rescapée de cette époque héroïque pour les cheminots, se morfond et rouille dans un immense hangar de Saint-Pierre, les Magasins généraux. La ville, une association, des passionnés veulent lui redonner vie et lui offrir un Tour de France triomphal. Le montant des travaux est estimé à 3 millions, rappelle le président Paumier. L’animation du « chantier vivant », sur dix à quinze ans, serait prise en main par une société spécialisée dans la gestion de sites culturels et touristiques, dont le château de Langeais et le train et le vélo-rail de l’Ardèche.
NR Indre et Loire, 28/10, p.3

(Montrésor) Travaux Collégiale

Suite à des infiltrations d’eau dues aux intempéries et à des dégradations sur la charpente, le conseil a autorisé le maire à prendre contact avec l’Architecte des bâtiments de France et la Direction régionale des affaires culturelles, à demander des devis à des couvreurs et à solliciter tous les concours financiers possibles. (intégral)
NR Indre et Loire, 28/10

(Bagneux) Moulin de Venet : le député appelé à l’aide

Depuis dix-sept ans, Jean Favreau se bat pour retrouver son droit d’eau qui lui permettrait de faire fonctionner le moulin de Venet, dont il est propriétaire. Le retraité qui a le soutien de l’association chabriote Hier en pays de Bazelle, a épuisé les recours judiciaires après avoir gagné au tribunal administratif de Limoges, puis perdu en appel. En début de semaine, l’association a demandé le soutien du député, Nicolas Forissier, qui s’est ainsi rendu sur place. « M. Forissier a promis d’étudier le dossier  et d’essayer de débloquer la situation, se réjouit Jean-Luc Stiver, représentant de l’association. Le moulin de Venet n’est malheureusement pas le seul dans cette situation. Sur l’ancien canton de Saint-Christophe-en-Bazelle, celui de la Grange (commune de Chabris) a conservé son droit d’eau mais devrait voir, sur décision, son niveau d’eau baisser au niveau du bief, ce qui amènerait des conséquences fâcheuses pour la production de farines animales. Ce patrimoine, nous y tenons. Nous le valorisons régulièrement par des visites pédagogiques avec les scolaires mais également lors de visites découvertes avec un public adulte. » (intégral)
NR Indre, 29/10

(La Ferté Saint Aubin) Les moulins à vent oubliés
Qui se souvient encore des moulins à vents, à la Ferté Saint Aubin ? Pourtant, il y a cent cinquante ans, sept de ceux ci animaient les prés, et le grincement de leurs ailes rythmait la vie villageoise. Le dernier a cessé de tourner en 1924, ce n’est pas si loin. L’Association pour la connaissance et la sauvegarde du patrimoine fertésien a invité les habitants à une causerie, qui a réuni une cinquantaine de curieux, samedi dernier. Animée par Jean-François Baudoin, cette conférence richement illustrée a passionné l’assistance. L’association, considérant le succès de la causerie, envisage l’édition d’une monographie sur le sujet.
RC Orleans, 27/10, p.18

(Dreux) Profiter encore un peu de la chapelle
«C’est avant tout pour pouvoir répondre à une demande du public, qui à chaque vacances de la Toussaint, avait la même requête pour visiter la chapelle royale. Il y avait une certaine frustration de la part du public, lorsqu’on leur disait que le monument était fermé », confie Stéphanie Landais, la directrice de l’office du tourisme de l’Agglo du Pays de Dreux. Pour la première fois, il sera possible de visiter le monument emblématique de la cité  durocasse, à partir de lundi 30 octobre et jusqu’au dimanche 5 novembre, sauf le mercredi 1er novembre. Auparavant la chapelle royale refermait ses portes le 30 septembre et ne les rouvrait que le 1er avril. Ces visites sont possibles sur réservation auprès de l’office du tourisme. « Nous avons déjà des inscrits.
+ L’orgue Cavaillé-Coll bientôt de retour au-dessus de l’autel
L'Echo, 27/10, p.16

(Ménars) Une souscription pour restaurer le lavoir
Délaissé par les lavandières depuis les années 50, le lavoir de Ménars mérite d’être réhabilité. Ainsi s’exprime Yves George, maire de Ménars. Lundi dernier, entouré de l’équipe municipale, de Christophe Degruelle, président d’Agglopolys et d’Annette Doire déléguée départementale de la Fondation du patrimoine, le devenir du lavoir a été officialisé. En lançant une souscription, la Fondation du patrimoine s’engage à verser l’équivalent des dons reçus. Le reste à charge pour la commune est estimé à 90.000 €, cet investissement sera donc allégé par les dons des particuliers, commerçants, industriels et autres donateurs. D’ores et déjà, le club des mécènes de la Fondation du patrimoine a versé 10.000 €. La fin des travaux est prévue au premier semestre 2018.
NR Loir et Cher, 27/10, p.14

(Savigny sur Braye) Il entretient… son “ cimetière ” privé

A l’approche des fêtes de la Toussaint, la coutume est de se rendre au cimetière pour rendre un hommage à ses défunts. Les visiteurs en  profitent pour nettoyer et entretenir les tombes de leurs proches.A Savigny, pour Philippe Tournon qui collectionne, entre autres les objets et mobiliers funéraires, c’est l’occasion de nettoyer et d’entretenir… sa collection qui repose au fond du jardin. Rien de malsain dans la démarche de ce collectionneur qui aime récupérer tous les objets du quotidien d’antan. « J’ai commencé à récupérer dans les brocantes et vide-greniers, les croix, plaques, fleurs de porcelaine et statuaires. En fait, jusque dans les années 2000, j’avais pour clients, de nombreux marchands hollandais ou américains qui recherchaient ce type d’objet », explique-t-il. « Ensuite, j’ai préféré les conserver car j’ai réalisé, en poursuivant mes recherches, que l’art funéraire était un véritable patrimoine commun. Il faut donc le préserver », continue- t-il. « J’ai une trentaine de croix en fer forgé, des entourages de tombes d’enfants, des croix en pierre, des plaques, des colonnes et des “ arbres de vie ” réservés à ceux qui ne désiraient pas être enterrés religieusement. »
NR Loir et Cher, 27/10, p.20

(Neung-sur-Beuvron) Villebourgeon, l’autre star de L’École buissonnière
Pour L’École buissonnière, Nicolas Vanier s’appuie sur une distribution cinq étoiles avec François Cluzet, François Berléand, Valérie Karsenti, Éric Elmosnino ou encore Laurent Gerra. Mais l’autre star de ce casting est constituée de briques rouges solognotes : le château de Villebourgeon, à Neung-sur-Beuvron. La grande partie du long-métrage se déroule dans cette magnifique demeure du XVIIe siècle. A l’écran, François Berléand campe un comte mystérieux. Dans la vraie vie, le propriétaire de la bâtisse l’est tout autant. Il abhorre les photographies et préfère l’anonymat. « C’est le château la star, pas moi », sourit celui qui est crédité au générique pour une fugace apparition. Sa famille est propriétaire des lieux depuis 160 ans. Le descendant est fier du résultat sur grand écran. « Ils ont réussi à rendre l’âme du château, avec les scènes de brume sur l’étang ou les images magnifiques avec le drone. » L’aventure cinématographique de Villebourgeon a débuté un matin, alors que le propriétaire jardine. « J’ai vu sortir deux colosses de deux mètres d’une Fiat 500 rouge, se souvient le châtelain. C’étaient le régisseur principal et son fils. Ils m’ont dit qu’ils cherchaient un château pour tourner un film. »
NR Loir et Cher, 27/10, p.21

(Amboise) Un “ bon millésime ” au Clos Lucé
C’est un bon millésime, un grand cru. On devrait terminer l’année avec une hausse de plus de 5 % du nombre de visiteurs. François Saint Bris, le directeur du Clos Lucé, affiche sa satisfaction en regardant les chiffres : le site aura accueilli 381.000 visiteurs en 2017 contre 362.000 l’an passé. En ce début de vacances ensoleillées de la Toussaint, alors que les touristes continuent d’affluer, François Saint Bris explique que « la saison est très longue. Elle est passée d’une durée de 6 à 8 mois et demi, du 1er mars au 15 novembre. Il y a une diversification de la clientèle ». Les deux années à venir, et notamment 2019, seront des années importantes avec le 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci. Le Clos Lucé travaille au programme de ces animations. Son objectif est d’atteindre les 400.000 visiteurs en 2020.
NR Indre et LoireE, 27/10, p.14

(Beaulieu-lès-Loches) Une bénédiction à 64 mètres de hauteur

Prêt pour l’ascension… Si j’ose dire ! Le père Benoît Menoux, curé de la paroisse de Loches, a glissé ce petit trait d’humour à la fin de la cérémonie religieuse tenue sur le parvis de l’église de Beaulieu-lès-Loches, hier matin. Avec le maire de Beaulieu-lès-Loches, Sophie Métadier, et une équipe de journalistes, il avait un rendez-vous au sommet , à 64 mètres au-dessus de ses ouailles. Tout en haut l’attendait la croix, reposée sur un socle refait à l’identique, taillé dans la pierre, pour une bénédiction. « Dans le rituel de bénédiction, il est prévu de bénir une croix. Là, c’est vraiment exceptionnel, c’est la première fois que cela m’arrive », indique le père Menoux avant de monter dans l’ascenseur installé dans l’imposant échafaudage qui ceint le grand clocher. La pose de la croix marque la fin des travaux de restauration de la flèche du clocher. Cette partie a été démontée pierre par pierre puis reconstruite à l’identique. Le haut de l’échafaudage va être enlevé.  Mais les artisans n’ont pas encore fini leur ouvrage. Ils entament la deuxième tranche, en dessous de la flèche, la partie haute de la tour carrée située entre 28 et 38 mètres de hauteur. Il s’agit de restaurer les quatre façades, de traiter et consolider les pierres anciennes, de remplacer les pierres trop dégradées. Depuis 2008, la mairie de Beaulieu a cherché à boucler le financement de cette rénovation d’un coût de 2,6 millions d’euros. L’État intervient à hauteur de 60 % du financement hors taxes (1,3 M€), le conseil départemental pour 453.000 €.
NR Indre et LoireE, 27/10, p.18

(Batilly en Puisaye) Le clocher de l’église doit être rénové

Le clocher de l’église est fatigué, et doit être rénové. Ce petit édifice a toute une histoire, qui explique l’attachement. Après des vicissitudes au cours des siècles, l’église a été fermée en 1968 pour des raisons de sécurité. Des travaux sont menés de 1974 à 2003. En 1974, la toiture est restaurée. En 1994,  c’est l’assainissement du côté nord de l’église et la pose d’un nouvel enduit sur les murs. Puis le clocher est aux mains des charpentiers, qui le renforcent. Le solivage est remplacé, ce qui a permis la pose d’un parquet. En 1999, c’est le tour du ravalement, puis place à la réfection du sol, de l’électricité, et l’achat de mobilier d’église. L’église de Batilly est rouverte au public en 2005, après plus de trente ans de fermeture. Mais c’est se réjouir trop vite : en 2016, une expertise d’un architecte du patrimoine note plusieurs désordres importants affectant le clocher de l’église. La flèche penche dangereusement vers le sud ouest, la charpente est instable, de nombreuses extrémités d’assemblages sont pourries. Le conseil municipal a donc décidé d’engager des travaux.
RC Loiret, 25/10, p.19

(Chartres) La cathédrale expliquée aux bambins
C’est très grand, très silencieux, il fait froid, c’est assez sombre… Cela pourrait bien ressembler à un scénario d’un mauvais rêve. Mais l’imposante bâtisse « aux grandes vitrines multicolores », selon Léopoldine, 6 ans et demi, réserve bien des surprises. Quatre enfants, de 5 à 11 ans, accompagnés de leurs parents, profitent des vacances scolaires pour venir en apprendre un peu plus sur la cathédrale Notre Dame, hier après midi. Marie-Bernard de Saint Laumer, guide conférencière, assure la visite d’une heure. « C’est un bon moyen de visiter différemment l’édifice, avec des yeux d’enfant. » Pour la guide, « c’est une autre façon d’appréhender le monument, d’en connaître le sens. C’est beaucoup plus amusant. »
+ Le Centre international du vitrail propose un atelier sur deux jours, pour les 10-14 ans
L'Echo, 25/10, p.7

(Lèves) L’anniversaire de l’abbaye Josaphat se poursuit

L’anniversaire des neuf cents ans de l’abbaye Josaphat de Lèves se poursuit avec une randonnée ouverte à tous, qui se déroulera samedi. C’est dans ce cadre du projet Europa Compostela 2017 que l’association des amis de Saint Jacques va donc fêter, le 28 octobre, le 30e anniversaire du Premier itinéraire culturel du conseil de l’Europe "Un jour sur les chemins de Compostelle". L’occasion de proposer une randonnée entre Lèves et Barjouville en passant par Chartres. De nombreuses animations ponctueront la balade. Le départ s’effectuera à 9 heures depuis la Fondation d’Aligre à Lèves. Elle sera commentée jusqu’à la médiathèque de Chartres où une conférence sera organisée, à 10h30, sur le thème des itinéraires culturels du Conseil de l’Europe.
L'Echo, 25/10, p.11

(La Châtre) La pierre et les jeunes

Après Bordeaux, l’an passé, le Colloque annuel des métiers de la pierre s’est tenu, samedi, au collège de La Châtre. Le fait que le président du groupement national de ces métiers est Benoît Judalet, fils du maire de La Châtre, et l’implantation de la Forepabe ne sont pas étrangers à ce choix. Le colloque a réuni des représentants des établissements qui forment à ces métiers : Bordeaux (où enseigne Benoît Judalet), Paris, Uzès, Coutances, Remiremont, Orléans et, bien sûr, Forepabe, ainsi que Patrice Perrin, artisan sculpteur de Cérilly (Allier). Cette rencontre avait pour but d’évoquer les objectifs des métiers de la pierre. « Les générations changent très vite, ont souligné les formateurs. Il est difficile de recruter pour les professions manuelles. Nous formons à des métiers auxquels il faut redonner de l’attrait, qu’il faut débarrasser de la dévalorisation qui leur est attachée : les métiers manuels débouchent sur des formations qualifiantes, très bien rémunérées. » Les participants au colloque ont fait remarquer également que les jeunes d’aujourd’hui sont davantage formés au dessin assisté par ordinateur et au travail sur machine numérique qu’aux outils traditionnels : burins, ciseaux, disqueuses…
NR Indre, 25/10, p.18

(Saint-Jean-Froidmentel) Que la lumière soit !

Entreprendre la restauration d’éléments du bâti ou de mobiliers classés est déjà complexe, ne serait-ce que pour le montage financier. Mais, mener à bien une réhabilitation complète de l’électricité d’une église, relève de la gageure. Un pari relevé par la municipalité de Saint-Jean-Froidmentel qui vient de voir s’achever un chantier long de trois semaines. « Ces dernières années, grâce à plusieurs concours financiers, en particulier celui de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), nous avons pu faire restaurer deux tableaux qui ornent notre église. Mais l’installation électrique, très ancienne,  nécessitait une rénovation complète. Un tel projet ne pouvant être subventionné ni par la Drac, ni par le Département, il a fallu rechercher d’autres sources de financement », détaille Jean-François Reynaud, adjoint. Avec un investissement global de quelque 16.000 €, la commune ne pouvait tout réaliser en autofinancement. Le don de 20% d’une ancienne paroissienne est venu compléter la réserve parlementaire de l’actuelle ministre, Jacqueline Gourault, pour atteindre la moitié de la somme, un engagement réalisable par la collectivité. « Le résultat est au rendezvous. Les paroissiens peuvent maintenant lire leurs textes sans difficulté, et avec ce nouvel éclairage la magnifique charpente, en châtaignier, est remarquablement mise en valeur. L’installation comporte également un éclairage de la façade, qui devrait être activé les soirs de week-ends et au moment des fêtes de fin d’année. » (intégral)
NR Loir et CherN, 25/10

(Préaux) Vitraux inspirés de la Grande Guerre restaurés

Mardi dernier, Guy Levêque, maire de Préaux, a invité ses concitoyens ainsi que quelques personnalités à l’inauguration officielle de la fin de rénovation de deux vitraux majeurs de l’église. Étaient notamment présents des représentants de la famille Préaux – qui a habité le château pendant plus de sept cents ans, de 1250 à la fin des années 1970 – ainsi que Laurence Fraissignes, déléguée départementale de la Fondation du patrimoine, accompagnée par son prédécesseur, Arnaud de Montigny. Les vitraux retraçant des images de la Première Guerre mondiale sont l’oeuvre de l’artiste Charles Champigneulle. Avec l’usure du temps, leur rénovation était devenue indispensable. Cette délicate
restauration a été réalisée par le maître verrier M. Auclert. L’opération a coûté 4.500 €, financée pour partie par le Département, à hauteur de 1.338 € ; la commune de Préaux, pour 1.700 €, et une souscription de 1.550 € environ, principalement réunie par les descendants de la famille Préaux.
NR Indre, 2/10, p.12
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