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| | Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 12 Déc - 9:28 | |
| Musées région Centre-Val de LoireSource : latribunedelart.comMusée des Beaux-Arts d’Orléans : préemption, souscription, dons...Orléans, Musée des Beaux-Arts - Certains musées ne s’enrichissent pas en prétextant qu’ils ne disposent pas de budgets d’acquisition. Mais en exerçant une veille attentive sur le marché de l’art, il est possible d’acquérir des œuvres dignes des collections publiques pour des prix parfois ridicules. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/musee-des-beaux-arts-d-orleans-preemption-souscription-donsSource : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire(Epineuil le Fleuriel) Appel aux dons pour sauver la rentrée«Malgré l’avenir incertain, l’équipe qui m’entoure ne souhaite pas baisser les bras », assure David Depardieu, président de la Maison école du Grand Meaulnes, à Épineuil le Fleuriel. Derrière ces mots, prononcés vendredi soir lors d’une démonstration de vitrine holographique, se cache une réalité autrement plus percutante : la Maison école du Grand Meaulnes est menacée de fermeture. « En l’état actuel des choses, on envisage de ne pas rouvrir au 1er avril, confirme David Depardieu. Financièrement, à force de taper dans les réserves, avec des subventions qui diminuent, on est au pied du mur. » L’association vient d’ouvrir une cagnotte sur le site de financement participatif leetchi.com : « C’est un moyen d’alerter, d’appeler à l’aide, pour continuer à faire vivre cette maison d’écrivain, où Alain Fournier a passé son enfance et qui l’a inspiré pour l’écriture du Grand Meaulnes. Une maison des illustres, classée monument historique, lieu mythique du patrimoine littéraire français et site essentiel à la vie de notre village. » + Une vitrine sur l’avenir idéal Le Berry, 11/12, p.5(Bourges) Redécouvrir tout l’art d’EstèveArtiste majeur du XXe siècle, Maurice Estève cherchait « la lumière à travers la couleur ». En 1985, le peintre né à Culan a fait don, avec son épouse Monique, de 125 oeuvres à la Ville de Bourges. En 1987, le musée Estève voyait le jour, au sein de l’hôtel des Échevins tout juste restauré. Pour célébrer les trente ans de ce musée, une large rétrospective de l’oeuvre de l’artiste se prépare. Elle s’intitule Par la laine et le papier, les trente ans du musée Estève. Elle fédère de nombreux partenaires, dont sa veuve, Monique Estève. « À travers cette exposition, explique cette dernière, je cherche à donner une cohérence à quelque chose de compliqué… » En effet, toute sa vie d’artiste, Maurice Estève a expérimenté. « Il ne voulait pas exploiter sa réussite. Il cherchait. Il était curieux de tout. » Le Berry, 11/12, p.11(Maillé) La secrétaire d’État attendue avec espoirPas de communication du cabinet. Seulement l’annonce d’une visite officielle prolongée d’une réunion en comité restreint. La maison du Souvenir de Maillé prépare la réception de Geneviève Darrieussecq, ce lundi. La secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées prévoit une halte en ce lieu de mémoire chargé d’histoire. Là où 124 personnes ont été massacrées par des colonnes SS le 25 août 1944. Si les secrétaires d’État se sont succédé à Maillé, cette visite intervient en dehors de toute commémoration alors que l’on a vu l’inquiétude poindre au sein de la structure communale. « C’est une lueur d’espoir pour envisager notre avenir », veut y voir Romain Taillefait, responsable du musée. Près de 6.500 visiteurs ont poussé les portes de la maison du Souvenir depuis le début d’année. Une affluence enthousiasmante pour la direction qui n’élude toutefois pas les fragilités quotidiennes. En cause, notamment, un fonctionnement dépendant de l’investissement des survivants vieillissants pour un lieu de mémoire contraint de composer avec trois salariés. NR Indre et Loire, 11/12, p.5 (Orleans) Séance beauté pour oiseaux naturalisésQuelques fragments de plumes sur le sol. Un bruit de compresseur. Des oiseaux plein les caisses. Des instruments de chirurgien, d’ophtalmo, des sèche cheveux éparpillés sur les tables. Des femmes habillées de blouses blanches. Les professionnels chargés de la restauration des collections d’animaux naturalisés ont investi le muséum d’Orléans pour la biodiversité et l’environnement (MOBE), depuis fin novembre. « La restauration des quelque 2.900 animaux naturalisés des collections du muséum est divisée en deux corpus. Quatre cents d’entre eux seront nettoyés, dépoussiérés et restaurés de façon approfondie afin qu’ils soient exposés dans le futur parcours muséographique. Ces collections naturalisées nécessitent un soin particulier. Les autres feront l’objet d’une restauration moins poussée car ils ne seront pas exposés. En revanche, nous réfléchissons à l’amélioration des conditions de conservation de ces spécimens. Il y aura aussi un travail de restauration sur 13 squelettes », expose Laure Danilo, conservatrice du MOBE. RC Orleans, 12/12, p.7 (Orleans) Conférence sur les « Tissus coptes, paganisme et christianisme... »En partenariat avec le musée du Louvre et dans le cadre de l’exposition « Du Nil à la Loire », le musée des Beaux-Arts d’Orléans accueille, aujourd’hui, Roberta Cortopassi, conservateur en chef du patrimoine au Centre de recherche et de restauration des musées de France. Elle présentera les « Tissus coptes, paganisme et christianisme à la fin de l’Antiquité » à l’auditorium du musée des Beaux Arts. Cette conférence vient enrichir l’exposition composée par la collection égyptienne des musées d’Orléans restée en réserve depuis 1940, notamment les dessins de cette collection de tissus coptes aujourd’hui disparus. Pour rappel, le mot copte était utilisé par les Grecs pour désigner les habitants de l’Égypte. Plus largement, ce mot désigne une culture dont la langue et l’écriture sont attestées dès le 2e siècle av J.C. ■ Pratique. Mardi 12 décembre à 18 heures à l’auditorium du musée des Beaux-Arts. Conférence incluse dans le billet d’entrée du musée (6 €/3 €) et gratuite avec la carte Pass musée. (intégral) RC Orleans, 12/12(Montargis) Mécènes pour la restaurationLes choses avancent au musée Girodet qui avait payé un lourd tribut aux inondations de mai-juin 2016. Alors que les agents ont réintégré les locaux depuis la semaine dernière, la réouverture du musée est programmée pour fin mars. Hier après midi, la société des amis du musée Girodet a remis symboliquement un chèque de 41.963 € au musée, géré par l’agglo montargoise. Cette somme, qui représente la mobilisation de nombreux mécènes (dont la Caisse d’Épargne à hauteur de 10.000 €), va contribuer à la restauration d’oeuvres majeures de la collection impactée par la brusque montée des eaux. Total auquel il faut rajouter 5.300 € du Crédit agricole. (intégral) RC Loiret, 12/12(Issoudun) Conseil municipal : MuséeUne provision de 45.000 € est votée pour l’extension du musée. Le conseil a par ailleurs accepté le don de plusieurs oeuvres : une gravure d’André Masson ; sept sculptures en céramique d’Anita Tullio ; une sculpture de Vincent Batdebat accompagnée de l’achat (3.000 €) d’une autre sculpture de l’artiste. (intégral) NR Indre, 12/12 (Maillé) Maison du Souvenir : l’État fait un premier gesteGeneviève Darrieussecq s’est voulue rassurante, hier, depuis une maison du Souvenir en attente de garanties. La secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées a « bien compris » les espoirs qui entouraient sa visite, hier, à Maillé. Si l’ancien maire de Mont-de-Marsan (Landes) a semblé découvrir à son arrivée les préoccupations de ce « lieu de mémoire important » en difficulté, elle est ressortie d’une réunion à huis clos avec des « pistes ». A court terme, cela devrait se concrétiser par une convention d’objectifs formalisant notamment l’engagement de l’État. « La maison du Souvenir est un beau lieu, qui a du sens », a-t-elle commenté, assurant la quarantaine de personnes venues la rencontrer de « notre volonté de faire en sorte que les choses continuent ici ». Pas de prise de position officielle quant à d’éventuels crédits supplémentaires débloqués pour Maillé mais un premier geste apprécié qui ponctuait un déplacement de la ministre dans la Sarthe. NR Indre et Loire, 12/12, p.25(Dreux) Le musée d’art et d’histoire est aujourd’hui accessible aux personnes à mobilité réduiteUne sonnette. C’est avec l’installation d’une simple sonnette à la grille d’entrée que le musée s’ouvre à tous les publics. « Curieusement, il n’y en avait pas », observe Damien Chantrenne, directeur du musée d’art et d’histoire qui espère qu’elle retentira souvent. « Aujourd’hui, tout le monde pourra admirer Les Glycines de Monet ou le gisant de la duchesse d’Alençon de Barrias ». Le musée est désormais accessible aux personnes à mobilité réduite. « Nous nous conformons à la loi handicap de 2005 et loi musées de France de 2002 qui visent à offrir des conditions de confort, de sécurité à tous les visiteurs », indique Julie Alexis, ingénieure sécurité prévention à la Ville de Dreux. « Nous sommes déjà musée label handicap mental », précise Damien Chantrenne. « Ici, c’est normal d’accueillir tout le monde, sans distinction aucune. » Pour tous les handicaps Il est impossible de réaliser des travaux d’envergure dans le vieux bâtiment du musée. « Mais les personnes en fauteuil pourront le visiter facilement », promet Julie Alexis. L'Echo, 15/12, p.15 (Bourges) L’exposition Photographes de natures 2017 est à découvrir jusqu’au 18 marsCette exposition, c’est le meilleur : une centaine de photographies primées au concours du Natural History Museum de Londres, parmi des milliers de photos envoyées. On comprend pourquoi chaque cliché est aussi saisissant. Le muséum d’histoire naturel de Bourges accueille, chaque année, cette exposition qui va tourner dans le monde. « Nous avons ici des choses que nous ne voyons pas tous les ans, des photos très sombres, révélées par l’éclairage, comme ces hippopotames qui ressemblent à une mêlée de rugby. Nous voyons des photographes revenir, avec leurs sujets de prédilection. On suit leur évolution », a déclaré Laurent Arthur, conservateur. Il a également salué l’apparition du grand tamanoir « que l’on connaît grâce à Tintin et le temple du soleil ! », invitant chacun à lire les textes accompagnant les photos, qui racontent une histoire. Michèle Lemaire, directrice des musées et du muséum, a présenté Sébastien Minchin, nouveau conservateur, en poste depuis le 1er décembre. Le Berry, 14/12, p.9 (Tours) Deux acquisitions au musée des beaux-artsLe musée des beaux-arts de Tours vient d’enrichir ses collections grâce à deux belles acquisitions de nature très différente. D’une part, une esquisse de Georges Clairin (1843-1919) pour le décor du Grand Théâtre de Tours, achetée en vente publique par l’association des Amis de la bibliothèque et du musée des beaux-arts de Tours. D’autre part, neuf oeuvres données directement par l’artiste contemporaine Isabelle Champion Métadier. (intégral) NR Indre et Loire, 14/12(Orleans) Delaperche rentre à la maisonJean-Marie Delaperche est de retour à Orléans. Grâce à la campagne de financement participatif – qui s’est déroulée du 21 octobre au 12 décembre –, le musée des Beaux Arts a récolté 31.745 €, ce qui permettra d’acquérir, en totalité, le fonds des 90 dessins. Bravo aux 125 mécènes qui ont permis l’opération, lancée pour la première fois par le musée et la ville après la découverte, par une galerie parisienne, des dessins de cet artiste orléanais tombé dans l’oubli après son départ en Russie vers 1795. Les 90 bonnes feuilles vont ainsi rejoindre les réserves du musée avant d’être exposés dans la rétrospective qui sera consacrée à l’artiste en 2019. RC Orleans, 16/12, p.16(Bourges) Pour retrouver intacte la lumière de Maurice EstèveIls se sont rencontrés grâce à Picasso. C’était à Culan, l’été 1967. « J’avais participé à l’organisation d’une exposition Picasso dans le château. Maurice Estève était invité. Il s’était fait prier pour venir. Cela a été un coup de foudre. J’ai appris, beaucoup plus tard, qu’il avait été réciproque. » Monique Prudhomme-Estève a les yeux qui brillent quand elle parle de son homme, Maurice Estève, le peintre de la lumière. Participer à l’organisation d’une exposition pour le trentième anniversaire du musée berruyer qui porte son nom, n’est pas étranger à l’émotion qui la submerge. « J’ai l’impression qu’on le ressuscite. Je vois son petit ” gargandin” (*) courir dans les couloirs. Je suis tout le temps avec lui, je n’ai jamais pu faire mon deuil. » Dans les années soixante, leur idylle n’allait pas de soi. « Nos entourages ont essayé de nous dissuader, le sien surtout. » Le couple a trente ans d’écart. Ami du scénariste Jean-Claude Carrière ou du poète Jean Tardieu, Maurice Estève ne vivait que pour son art. Il admirait Fernand Léger pour la solidité de ses compositions. Mais son modèle inatteignable, c’était Paul Cézanne : « C’était son maît r e à p e n s e r e t s o n tourment. Il a réalisé une c o p i e d e s B a i g n e u s e s quand il était jeune. » Il a été son grand amour et c’est pour Monique Estève une grande souffrance de lui survivre si longtemps. « Vous vous rendez c o m p t e, ce l a f a i t dix sept ans que je vis sans lui. Il est au XXe siècle, moi au XXIe, c’est très difficile. ». Une peine sur laquelle l’exposition agit comme un baume salvateur. + Un survol de toute beauté + À Culan, sa maison de famille (*) Mot de patois pour décrire un canaillou, et logo du musée. Le Berry, 17/12, p.2/3
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 19 Déc - 16:33, édité 6 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 12 Déc - 9:30 | |
| Patrimoine région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire
(La Selle en Hermoy) L’appel aux dons pour l’église est lancé La réunion de lancement de la souscription pour recueillir des fonds nécessaires à la restauration de l’église Saint Pierre ès Liens de La Selle en Hermoy s’est déroulée à la Maison des associations du bourg. En présence de : Jean Bour illon, maire ; Frédéric Néraud, vice président du Département ; Bernard Vella délégué de la Fondation du patrimoine pour le Loiret ; Antoine Leriche, architecte du Patrimoine ; de représentants d’Epona, qui soutient le projet, et d’une centaine de personnes. Le conseil municipal a décidé d’entreprendre la restauration de l’église qui fait partie des édifices cultuels remarquables du canton de Courtenay. Des origines du XIIe et XIIIe siècle, il reste des petites baies de la nef et une partie des charpentes. Des modifications ont été apportées au XVIe siècle, notamment sur le clocher. RC Loiret, 11/12, p.20
(Aubigny sur Nère) Le grand lifting du château commence Regardez bien la façade du château des Stuarts, côté rue du Château, car elle est en passe de changer. Ce matin, l’entreprise berruyère Jacquet, spécialisée dans la restauration du patrimoine, doit commencer à monter l’échafaudage indispensable pour la rénovation de l’édifice, classé monument historique depuis 1862. Un montage qui devrait un peu perturber la circulation dans ce secteur cette semaine, mais qui marque surtout le début d’un chantier devenu urgent depuis la chute d’une pierre, au printemps dernier, sur le trottoir de la rue du Château. « L’échafaudage sera monté pour six mois au moins », annonce JeanClaude Turpin, maire adjoint en charge des travaux, « car ce n’est que la première tranche, mais il y a déjà pas mal de travail à faire. » La société Jacquet va en effet reprendre les murs de pierre et les enduits – qui seront refaits à la chaux – d’une partie de la façade, depuis l’angle de la place Résistance et de la rue du Château jusqu’aux escaliers, ainsi que toute la façade le long de la rue du Château. L’entreprise de couverture Battais, d’Olivet (Loiret), va « conforter la cheminée », qui menace de s’effondrer, et reprendre la toiture en ardoise d’Espagne. Le chantier devrait durer jusqu’en juin. « On l’espère en tout cas. Car le château en travaux pour les Fêtes francoécossaises, ce ne serait pas terrible. » Le Berry, 11/12, p.20
(Châteauroux) Équinoxe et Jean-Zay témoins du XXe siècle Quand Jean-François Mémin a posé la question – « Savez-vous qui était Albert Laprade ? » –, les enfants de l’école Jean-Zay ont répondu quasi de concert : « C’est l’architecte qui a construit l’école. » Et c’est lui qu’a voulu récompenser, jeudi, le ministère de la Culture en attribuant à l’établissement castelroussin, réalisé en 1936, le label Patrimoine du XXe siècle. « C’est une reconnaissance pour la ville, s’est félicité Jean-François Mémin, qui a dévoilé la plaque devant les élèves. Peut-être n’avons nous pas de grands monuments historiques, mais nous avons des bâtiments de caractère. Comme je le répète souvent, le patrimoine et la culture, c’est l’âme d’une ville. » Quinze minutes plus tard, il s’adonnait au même exercice, cette fois-ci devant Équinoxe, né en 1994 des plans de l’architecte parisien, Jean-Louis Godivier. Contrairement aux Monuments historiques, le label Patrimoine du XXe siècle n’engendre pas le versement de subventions pour l’entretien ou la rénovation des bâtiments concernés. Mais il est censé assurer une visibilité dépassant le cadre de l’utilité des édifices. NR Indre, 11/12, p.7
(Buzançais) Immaculée-Conception : portail en souscription Mercredi après-midi, le président de l’organisme de gestion de l’enseignement catholique (Ogec), Pierre Fournier-Montgieux, et Laurence Fraissignes, déléguée départementale de la Fondation du patrimoine, se sont rendus au collège de l’Immaculée-Conception. Devant enseignants et parents d’élèves, un point a été fait sur les phases 1 et 2 des travaux en cours : la construction d’un réfectoire pour un montant de 450.000 € ; la démolition de l’ancien gymnase, puis la construction d’une extension qui accueillera deux salles de classe, et le CDI, pour un montant de 1.340.000 €. L’inauguration de ces agrandissements est prévue au début du printemps. Après cette présentation, le président de l’Ogec a abordé la troisième phase des travaux, avec la rénovation du grand portail, victime des aléas du temps. Il s’agit de préserver son architecture, mais aussi de sécuriser l’entrée de l’établissement scolaire, car l’état des deux vantaux principaux devenait préoccupant. Cette réfection s’élève à 32.000 €. Les travaux de taille de pierre seront réalisés par Les Bâtisseurs du Berry. NR Indre, 11/12, p.9
(Preuilly-la-Ville) Pierre qui roule engagée pour le patrimoine local L’association Pierre qui roule a tenu son assemblée générale, jeudi soir, à la Maison du Parc. Rappelons qu’elle a été créée pour acquérir, en 2014, une ruine du hameau de Prépicault, à Preuilly-la-Ville. Ce bâtiment daterait au moins du XVIIIe siècle. Il comprenait, à l’origine, un logement et une petite étable transformée, par la suite, en logement secondaire. Située au bord d’un chemin communal, desservant des pelouses calcicoles, la vallée du Suin et la ferme de Fonterland, la maison garde un côté bucolique. Des bénévoles de l’association et un maçon passionnés l ’ont sauvée de la démolition en entreprenant, peu à peu, sa restauration. Jeudi soir, le président de l’association, Bernard Perriot, a détaillé les travaux réalisés, en regrettant les dégâts sur la toiture, suite à la tempête de mars dernier. L’association s’est aussi intéressée, dernièrement, à lavente aux enchères du contenu de La Tuilerie de La Lorne, en faisant l’acquisition de la chaîne de production de tuiles, pour un montant de 5.560 €. NR Indre, 11/12, p.10
(Thizay) Préservation du Dolmen Pour renforcer la protection de ce vestige, le conseil municipal demande qu’une prescription soit ajoutée au règlement du PLUI-H. Rayon des monuments historiques : après discussion, le conseil municipal décide de ne pas revenir sur la décision prise au mois d’octobre. (intégral) NR Indre et LoireW, 11/12
(Ferrière en Gâtinais) Trois labels pour des propriétaires La remise des diplômes du label de la Fondation du patrimoine aux propriétaires privés du Loiret a eu lieu à Orléans, en novembre. Trois propriétaires privés, appartenant à la communauté de communes des Quatre vallées n’avaient pas pu être présents à Orléans ; ils ont reçu le label lors d’une cérémonie particulière. Bernard Valla, délégué régional de la Fondation, et Roberte Tomassone, son adjointe, ont remis les diplômes à Michel et Valérie Cornet pour la restauration de la dépendance d’un moulin à Courtempierre ; à Gildas et Sylvie Bourdet pour la réfection de la toiture d’une maison à Chevry sous le Bignon ; et à Catherine Lemaître pour la réfection des toitures d’une maison et d’une tour à Mérinville. (intégral) RC Loiret, 12/12
(Blois) Les Playmobil® débarquent au château royal En avant les histoires au château ! Après les Lego® à Cheverny, voilà l’exposition Playmobil® au château royal de Blois. La petite figurine élaborée dès 1970, par Hans Beck, chef de la création de Geobra-Brandstätter à Dietenhofen, près de Nuremberg, s’empare pendant trois semaines de l’histoire de la ville ! L’exposition mettra en scène cinq diaporamas de reconstitutions historiques d’1,50 m2 à 11 m2 avec des milliers de personnages et accessoires. Le premier représentera « une scène de cour dans la cour du château, le second l’assassinat du duc de Guise, le suivant le passage de Jeanne d’Arc à Blois, le quatrième la crèche napolitaine et Noël, enfin, la dernière scène concernera la Renaissance », annonce Aurélie Foucault. Au total cela représente « plus de 40 m2 de scène », ajoute la responsable du développement touristique et commercial du château. Détournés par l’artiste et collectionneur Jean-Philippe Broussin, les personnages – hauts de 7,5 cm – sont customisés dans des décors inédits ; de quoi raviver quelques souvenirs d’enfance aux parents et raconter l’Histoire – avec un grand H – aux enfants ! NR Loir et Cher, 12/12, p.11
(Charnizay) L’église a souffert Une partie du pignon de l’église de Charnizay s’est écroulée en début de matinée. Les pompiers de Saint-Flovier ont appelé en renfort la brigade de Loches. Une déviation a été mise en place pour contourner le monument. En fin de matinée, les pompiers ont retiré les pierres fragilisées et ont bâché la partie détériorée du pignon de l’église dans l’attente de la restauration de l’édifice. Un périmètre de sécurité a été délimité autour du bâtiment.. (intégral) NR Indre et Loire, 12/12
(Loches) Le mécénat, pas seulement pour l’amour du fisc Pourquoi est-on là à donner du temps et de l’argent ? Lucio de Risi, président du fonds de dotation Loches Patrimoine et Culture, fait les questions et les réponses devant une assemblée d’élus de la ville et de membres de son association, réunis vendredi soir à la mairie. Pourquoi les personnes, généralement aisées, acceptent-elles de mettre la main à la poche pour restaurer les monuments de la ville ? Lucio de Risi ne nie pas la raison fiscale. Chaque don est défiscalisé à 66 %. Mais lui voit d’autres motivations. «On a une région qui offre des espaces qui n’existent pas ailleurs en Europe, des maisons, des châteaux d’un rapport qualité prix imbattable », dit ce natif transalpin, citant en contre- exemple la Toscane. « D’un point de vie personnel, c’est de notre intérêt d’avoir une ville qui fonctionne bien. » En clair, si Loches était à l’abandon, si son patrimoine culturel et touristique allait à vau l’eau, des personnes fortunées en quête de résidences secondaires passeraient leur chemin. « Nous devons avoir une relation adulte avec cette ville. Elle nous fait un cadeau en étant ainsi, nous lui faisons un cadeau en fin d’année. Il faut de l’argent à cette ville. Si on peut le faire, c’est un geste citoyen », estime Lucio de Risi. Loches Patrimoine et Culture, fort de cent membres environ à ce jour, a vu le jour en 2009. Impulsé par le maire, Jean-Jacques Descamps, il peut engager des sommes dans les travaux liés au patrimoine et alléger ainsi la contribution financière de la collectivité. + ••• La collégiale Saint-Ours devrait être restaurée d’ici à 2025 + La Porte royale ouverte au public en 2020 ? NR Indre et Loire, 12/12, p.25
(Orleans) Une passion dévorante pour le chocolat Au commencement, il y a une boîte. Minuscule. Après trente cinq ans, il y a une collection. Impressiante. Une passion. Dévorante. Dans la petite boîte, que Didier (*) a trouvée au fin fond du grenier de son grand père, il y avait des vis et des écrous. Mais surtout, sur la petite boîte qui appartenait à son tant aimé « pépé », il y avait le nom de Menier, le chocolatier. Cet aïeul, Didier l’adorait. Comme son arrière grand père, il a fait, chez Menier, toute sa carrière. Alors Didier s’est mis à collectionner. Tous les objets ayant trait à ce célèbre chocolatier. Didier, 57 ans, vit dans l’agglomération. Ce « menierphile » qui estime posséder « l’une des deux plus grosses collections au monde » sur le chocolatier entretient, logiquement, une certaine discrétion. « Ce que j’ai chez moi, c’est l’aboutissement de 35 ans de chine. J’ai sans doute plus de 1.000 pièces, mais je n’ai jamais compté. Mon but n’est pas d’accumuler. » Plutôt de traquer de belles pièces rares. « L’argent n’achète pas tout », tient il à souligner. Et surtout : « Ce qui est récupéré est sauvé. » RC Orleans, 15/12, p.12
(Olivet) Lifting pour les tableaux Deux tableaux de l’église Saint Martin, patrimoine de la ville avaient rejoint, à l’automne, l’atelier aubois de Valérie Trémoulet, restauratrice professionnelle d’oeuvres peintes qui collabore avec Olivet depuis 2013. Depuis plusieurs semaines, cette dernière travaille avec passion sur ces deux huiles sur toile La Sainte Famille de Wattebled (1849) et Le Baptême du Christ, d’un peintre anonyme, (daté entre le XVIIIe et le XIXe siècle). La restauratrice, qui a choisi de débuter par Le Baptême du Christ, s’est exprimée en début de semaine. « Le travail est plus conséquent sur cette toile car dans sa partie haute, il y a plus de repeint que je ne pensais. Le travail de retouche est également important. » Au total, début 2018, six tableaux auront été restaurés dans la commune grâce à un programme auquel tient tout particulièrement l’adjointe à la culture, Cécile Adelle. Elle expliquait récemment que « la préservation du patrimoine est essentielle. Nous avons tout le soutien de la DRAC et du Conseil Départemental qui nous accompagne financièrement dans ces opérations de restauration. » Désormais, seule La Crucifixion n’a pas bénéficié de ce programme. RC Orleans, 15/12, p.18
(Clémont) Église : nouvelle souscription Les élus de la municipalité de Clémont et les délégués de la Fondation du Patrimoine, François Gréau et Roch Senly, avaient tous rendez vous à la mairie, lundi dernier, pour la signature d’une souscription concernant la rénovation de l’église Saint Étienne. La quatrième tranche des travaux de la bâtisse du XVe siècle devrait en effet commencer début 2018, il s’agit de la restauration du dernier quart de la façade extérieure. Et si un minimum de 6.500 euros est attendu de cette opération, le maire, Xavier Tabournel, ne cache pas son souhait de voir ce chiffre largement dépassé : « Nous espérons battre la précédente souscription de 17.000 euros, explique t il. Le coût des travaux s’élève à 106.000 euros, une somme disproportionnée par rapport au budget de la commune. » Le Berry, 15/12, p.25
(Romorantin) Choeur de l’église La quatrième et dernière tranche des travaux de restauration de l’église Saint-Etienne a fait l’objet d’un plan de financement. Le coût de cette phase qui concerne les chapelles du déambulatoire est estimé à 641.898 € TTC. (intégral) NR Loir et Cher, 15/12, p.21
(Rouvres) Des voeux pour sauver l’église Ils aiment leur patrimoine, multiplient idées et initiatives pour le sauver. En ce moment, les membres de l’association pour la sauvegarde et la restauration de l’église Saint Martin de Rouvres (ASRER), vendent des cartes de voeux. L’association, créée en juin dernier, a déjà organisé des visites et un concert pour se faire connaître. « Nous sommes aujourd’hui une cinquantaine d’adhérents », explique Ghislain Missonnier, président de l’association « Notre objectif est en d’avoir 200 adhérents avant mars. C’est pour cela que nous avons eu cette idée simple de cartes de voeux pour sensibiliser la population à la restauration du patrimoine ». L'Echo, 14/12, p.18
(Châteaudun ) Découvrez l’ancêtre du cinéma Les vacances de Noël approchent et vous êtes en manque d’idées pour occuper vos enfants ? Le château de Châteaudun propose de nouvelles animations gratuites. « Nous participons à la manifestation Contes & histoires organisée par le Centre des monuments nationaux (CMN), a confié, hier, Ludivine Garrigue, chargée d’actions éducatives. Un spectacle de conte projection tout en lumière, Hypolithe et la lanterne magique, sera animé par Praximage. Cette association fait découvrir le précinéma et l’image animée depuis 1997 en manipulant des appareils anciens et en expérimentant elle même ses propres créations. » Visible à partir de 5 ans, ce spectacle interactif de 40 minutes présentera aux enfants cette curiosité qu’est la lanterne magique : « Hypolithe va explorer le grenier de sa grand mère et tomber sur une malle aux trésors contenant des appareils inconnus et bizarres, a précisé Ludivine Garrigue. Ce sont de vrais appareils de projections d’images que l’on peut monter et démonter. Les enfants apprendront, ainsi, à les faire fonctionner et comprendront le mécanisme de projection d’images. » L'Echo, 14/12, p.20
(Tours) Les images cachées de la cathédrale Un jour d’été, la casquette au vent, François Tomasi se promenait du côté de la cathédrale lorsqu’il eut une illumination : il voyait différemment. De très près ou d’un peu plus loin, il distinguait des formes, reconnaissait des visages ou des messages dans la pierre du bâtiment. Il fit donc ce qu’il fait le mieux après jouer les Cassandre : photographier. Puis il y retourna et, en garçon respectueux des règles, il demanda l’autorisation de faire des clichés à l’Architecte des bâtiments de France. Accordée. Sous son oeil, l’objectif devient microscope pour observer, voir, percevoir la magie des formes et des couleurs. Ici, il reconnaît du Pollock, là du Van Dongen, ailleurs le Petit Prince ou un crâne. A l’écouter, on le croirait presque. Tirées sur une toile montée sur châssis, ses photos vibrent, donnent l’illusion de la forme voulue et parfois celle du relief. Exposition au Boccaccio, 9, rue Gambetta, jusqu’au 6 janvier. NR Indre et Loire, 14/12, p.13
Le passé de Bourges en aquarelles Jean Chen accroche actuellement les oeuvres qui constitueront l’exposition qu’il proposera à partir de vendredi 22 décembre au palais Jacques Coeur. L’artiste, qui fait revivre par l’aquarelle précise et minutieuse ce qu’était Bourges dans le passé, rassemble ainsi douze vues de la ville, dont six vues cavalières, à des époques aussi différentes que celle de Jean de Berry (1340-1416) ou de François 1er (1494-1547). L’ensemble de ce travail colossal a donné lieu à un livre, Bourges au fil des siècles dont la parution aux Éditions de la Bouinotte a été un succès. Et un deuxième ouvrage, Haut Berry, est actuellement en préparation. Cette exposition retrace ce travail au long cours. D’abord parce que plusieurs des vues cavalières ont été vendues à des particuliers. Faisant partie de collections privées, les rassembler n’a pas été une mince affaire. Ensuite parce que proposer plusieurs dessins et esquisses de réalisations sur Sancerre, Aubigny ou Mehun, qui intégreront le livre Haut Berry, revient à boucler un cycle. « Cette exposition des oeuvres au palais Jacques Coeur, précise Jean Chen, c’est un peu comme une réunion de famille. Je rassemble mes enfants, avant Noël, ce qui clôt le cycle de Bourges. » La date a également son importance puisque 2017 correspond au vingtième anniversaire de l’arrivée du jeune étudiant taïwanais, en juin 1997, aux beaux arts de Bourges. Raison pour laquelle le Bourges au fil des siècles est paru en juin dernier. Et cette exposition met un terme à cet anniversaire. Le Berry, 16/12, p.11
(Subdray) Restauration d’une des trois cloches de l’église Notre Dame Le beffroi de l’église Notre Dame du Subdray supporte trois cloches et leur permet de se mouvoir. Mais il est en mauvais état ainsi qu’une des cloches, la plus ancienne, dont le taux d’usure a inquiété le conservateur des antiquités et la municipalité. Lundi, une douzaine de Subdréens se sont rendus à l’église et les yeux rivés au plafond, ils ont attendu de voir la cloche apparaître et descendre très lentement grâce à un palan électrique. Un grand moment, surtout pour cette cloche d’airain, qui semble t il, n’avait jamais bougé de son clocher depuis 1516. Cette cloche, dont les oreilles et la couronne sont très usées, est de taille intermédiaire par rapport aux deux autres. La légende semble se prêter à l’idée qu’elle pourrait être la refonte d’une autre cloche, encore beaucoup plus ancienne. D’autres parties de l’église nécessitent aussi des réparations (crépi, couverture, charpente etc.), ceci font l’objet d’un projet de restauration globale. Le Berry, 16/12, p.15
(Maintenon) Le Fabuleux Noël du château, un spectacle féerique Pousser les portes de la chapelle du château, c’est déjà être plongé dans un cadre enchanteur. Partout, des guirlandes colorées réchauffent l’imposant bâtiment en pierre. En attendant le début du spectacle, les deux petites cabanes en bois qui fournissent crêpes, thé ou café et vin chaud sonnent comme une invitation. Puis on enfile une large cape verte pour notre groupe et nous voici bien au chaud, prêts à remonter le temps. Mais voilà qu’on sonne le carillon. Une femme, habillée en chef de gare, nous dirige vers les immenses portes du château, fermées. Grand sour ire, elle nous invite à « voyager à travers les âges ». Les portes s’ouvrent alors sur la façade de l’édifice, éclairé à la lueur de dizaines de bougies. “Ouah !” Dans le groupe, les spectateurs sont déjà conquis. L'Echo, 16/12, p.8
(Nohant) Noël d’abondance chez Sand L'histoire ne dit pas si, un jour de son incroyable vie, George Sand connut un Noël où elle fut ainsi gâtée. Les Ateliers Bernard Lanchais ont imaginé et conçu douze jeux et jouets inspirés du village de Nohant et du domaine George Sand. Trois mois de travail ont été nécessaires aux maquettistes et autres graphistes pour monter cette exposition organisée avec le Centre des monuments nationaux. De La Librairie du château, dans l’entrée, au Marché de Nohant, dans la cuisine, les visiteurs pourront découvrir, durant ces deux dernières semaines de décembre, douze créations fondues dans les décors des pièces du rez-de-chaussée. Dans le petit théâtre, les visiteurs tomberont sur l’une des pièces maîtresses de l’exposition : une reconstitution de la maison de George Sand en briques de construction « françaises », précise Bernard Lanchais. « On s’est aidé des plans qu’on nous a fournis et des enfants de 8 à 10 ans ont participé à la construction qui a duré une semaine. » De notre côté, on doit toutefois avouer un faible pour L’Auberge de la Petite Fadette, exposée dans la cuisine. NR Indre, 16/12, p.7
(Amboise) Le château à son tour sécurisé et labellisé Après le site du Clos Lucé et le château de Chenonceau, c’est au tour du château d’Amboise de disposer du label Sécuri-site. Hier matin, en préfecture, une convention a ainsi été signée entre la direction du site, les services de l’État, la mairie d’Amboise et le groupement de gendarmerie d’Indre-et-Loire. Le dispositif existe depuis le mois de juillet et a, pour objectif, de restaurer la confiance des visiteurs français et étrangers lors de leurs visites. Une convention imaginée à partir du programme « Tourisme et sécurité », décliné dans chaque département, qui implique les services de l’État, la police et/ou la gendarmerie, les exploitants publics et privés des sites touristiques, etc. Chaque convention de site détermine, au cas par cas, les mesures mises en place, les protocoles. Et le signale de manière visible aux visiteurs. NR Indre et Loire, 16/12, p.5
(Candes-Saint-Martin) Maison Dutilleux Sa réalisation à Candes-Saint-Martin va pouvoir se faire, après obtention des aides souhaitées, via la Fondation du patrimoine, et les investisseurs institutionnels. Le permis de construire a été délivré fin mars, et les appels d’offres vont être lancés. CVL financera 219.928 euros sur les 619.928 euros du coût total estimé. (intégral) NR Indre et LoireW, 16/12
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Lun 18 Déc - 15:53 | |
| Source : marianne.netQuand les musées deviennent des vitrines pour marquesOn ne compte plus les institutions prestigieuses qui, sous couvert d'art, sont d'abord de belles vitrines. De l'expo "Pink Floyd" au Victoria And Albert Museum, à Londres, à celle consacrée à Christian Dior au musée des Arts décoratifs, à Paris, enquête sur un (st)art système. Lire la suite : https://www.marianne.net/culture/quand-les-musees-deviennent-des-vitrines-pour-marques | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 9:00 | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 9:02 | |
| Source : laprovence.com À Marseille, les musées sortent de leur réserve Fermé." Le mot, apposé devant l'entrée du muséum d'Histoire naturelle au palais Longchamp a fait rager pas mal familles ces dernières semaines. Raison invoquée ? "Contraintes techniques". Comprenez "un problème sur les alarmes mais aussi plusieurs agents en arrêt maladie en même temps", précise l'adjointe au maire (LR) déléguée à la culture, Anne-Marie d'Estienne d'Orves. "Pas un musée de la Ville de Marseille n'est épargné par des fermetures quotidiennes de salles, quand ce n'est pas le musée entier qui tire le rideau à cause du manque d'effectifs", souligne Jean-Pierre Zanlucca, secrétaire général SDU-FSU des territoriaux de la Ville de Marseille. Lire la suite : http://www.laprovence.com/article/edition-marseille/4758856/les-musees-sortent-de-leur-reserve.html | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 9:04 | |
| Source : www.franceinter.frTicket d'Entrée pour réfugies au muséeTicket d'entrée permet à des réfugiés, généralement des jeunes afghans et soudanais de découvrir la culture française. Ses deux fondatrices organisent régulièrement des visites dans les grands musées parisiens avec et pour eux. Ils assistent aussi à des manifestations sportives comme des matches de rugby pour qu'ils puissent mieux appréhender la culture du pays dans lequel ils demandent à vivre. Beaubourg, le Louvre, le Grand Palais, le stade de France font partie du périple. Lire la suite: https://www.franceinter.fr/emissions/l-esprit-d-initiative/l-esprit-d-initiative-19-decembre-2017 | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 9:07 | |
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Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 19 Déc - 16:36, édité 3 fois | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 9:08 | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:22 | |
| Source : latribunedelart.comL’ouverture du Musée des Pêcheries à Fécamp Dans notre article consacré à la recension du catalogue des peintures du Musée de Fécamp, nous écrivions que celui-ci devait ouvrir en 2011. Six ans plus tard, c’est enfin le cas. Une facture de 17,8 millions d’euros, soit plus du double du budget initial, plusieurs années de retard : il n’est pas exagéré de dire que le Musée des Pêcheries de Fécamp est né dans la douleur. Mais le résultat est remarquable et fera certainement oublier cet accouchement difficile. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/l-ouverture-du-musee-des-pecheries-a-fecamp | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:24 | |
| Source : latribunedelart.comUn manuscrit des Limbourg, sorti illégalement de France, classé trésor nationalDans le Journal Officiel du 24 novembre 2017 est paru un avis de la Commission consultative des trésors nationaux d’un genre inhabituel. Concernant un livre d’heures inédit attribué aux frères Limbourg, il précise que cette œuvre « présente un intérêt majeur pour le patrimoine national du point de vue de l’histoire et de l’art et doit être considérée comme un trésor national ». Mais il n’émet pas « un avis favorable au refus du certificat d’exportation demandé », formule traditionnellement employée. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/un-manuscrit-des-limbourg-sorti-illegalement-de-france-classe-tresor-national | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:24 | |
| Source : latribunedelart.comCarnavalet : désastre muséal annoncé Pour écrire cet article sur les travaux en cours au Musée Carnavalet, nous avons longuement enquêté. Et, bien entendu, nous avons rencontré Delphine Lévy, directrice de l’établissement public Paris Musées qui gère les musées de la ville, ainsi que Valérie Guillaume, la directrice de Carnavalet. Notre première question portait sur le nombre d’œuvres qui seraient présentées à la réouverture, dont on nous avait dit qu’il serait d’un tiers en moins (nous n’avions alors aucun élément concret). Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/carnavalet-desastre-museal-annonce | |
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| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:26 | |
| Source : latribunedelart.comUne politique d’accrochage au Musée des Beaux-Arts de La Rochelle Que d’offres et d’enseignements contrastés nous livrent les musées. – Problèmes d’espace – du toujours plus au toujours moins –, mise en question des réserves : quoi, quand et comment montrer ?, effarante multiplication des prêts aux expositions extérieures, tous les pinceaux, c’est le cas de le dire, s’entremêlent ! Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/une-politique-d-accrochage-au-musee-des-beaux-arts-de-la-rochelle | |
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Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:27 | |
| Source : latribunedelart.comJeux Olympiques : une loi d’exception contre le patrimoine Les Jeux Olympiques ne vont pas seulement occasionner des dépenses inconsidérées qui se répercuteront sur les budgets du patrimoine et des musées (notamment à Paris). Ils sont aussi l’occasion pour le gouvernement de voter une véritable loi d’exception qui va mettre à mal pendant plus de sept ans les codes de l’urbanisme et de l’environnement. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/jeux-olympiques-une-loi-d-exception-contre-le-patrimoine | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:29 | |
| Source : latribunedelart.com Murat par Canova, une sculpture « sans intérêt majeur pour le patrimoine national »...Les scandales liés aux trésors nationaux se suivent et, hélas, se ressemblent. C’est le patrimoine français qu’on abandonne et que le ministère de la Culture, avec la complicité du Louvre, laisse délibérément sortir de France sans rien tenter pour le retenir. On sait que la loi oblige les personnes envisageant l’exportation hors de France d’œuvres dépassant un certain prix à demander au ministère de la Culture un certificat de libre circulation. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/murat-par-canova-une-sculpture-sans-interet-majeur-pour-le-patrimoine-national | |
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Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:38 | |
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| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (11 - 17 décembre 2017) Mar 19 Déc - 16:39 | |
| Source : latribunedelart.comLe château de la Mothe-Chandeniers sauvé grâce à « J’adopte un château »11/12/17 - Patrimoine - château de la Mothe-Chandeniers - Nous n’y croyions pas beaucoup : après l’échec - relatif, car il a été finalement acquis par un propriétaire qui s’engage à le restaurer - du rachat du château de Paluel (voir la brève du 21/9/17) par souscription publique lancée par l’association « J’adopte un château », celle-ci s’était alors tournée vers le rachat d’un autre monument, le château de la Mothe-Chandeniers. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/le-chateau-de-la-mothe-chandeniers-sauve-grace-a-j-adopte-un-chateau | |
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