Flux | |
Mars 2024 | Lun | Mar | Mer | Jeu | Ven | Sam | Dim |
---|
| | | | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | Calendrier |
|
| | Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) | |
| | Auteur | Message |
---|
valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Mer 17 Jan - 10:18 | |
| Musée région Centre-Val de LoireSource : latribunedelart.comLes grands formats des XVIIe et XVIIIe siècle raccrochés à OrléansLe Musée des Beaux-Arts d’Orléans continue sa réorganisation, entamée l’année dernière avec le deuxième étage (voir l’article). La salle des grands formats des XVIIe et XVIIIe siècle vient en effet d’être inaugurée avant qu’au mois d’avril rouvre tout le premier étage qui sera consacré à ces deux siècles. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/les-grands-formats-des-xviie-et-xviiie-siecle-raccroches-a-orleansSource : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire(Orleans) Richelieu, le retourDans la continuité du travail entrepris il y a deux ans avec la restauration des salles du deuxième étage, le musée des Beaux Arts d’Orléans a ré-ouvert ce samedi la grande salle du premier étage après des travaux qui ont totalement repensé la présentation des œuvres. Cette grande salle, au cœur du musée, réunit dorénavant un ensemble de cinquante cinq toiles monumentales et dix sculptures dans une présentation qui, de la couleur des murs à l’éclairage en passant par l’écriture des cartels, donne une nouvelle vision de ces œuvres pour le moins impressionnantes. Mag'Centre, 14/01(Orleans) Une oeuvre d’art comme point de départLaissez parler les petits papiers. À l’occasion papiers chiffon… C’est ce que pourrait chanter Catherine Rime lors de ses « Papiers d’art », les séances d’arts plastiques pour adultes qu’elle conduit à partir de mercredi. « J’anime des ateliers pour les enfants depuis quatorze ans et, souvent, les parents me demandaient s’il n’y avait pas la même chose pour les grands », sourit la médiatrice culturelle du musée des Beaux Arts. La formule a donc été calquée sur le modèle enfantin et, plusieurs fois dans l’année, Catherine Rime propose une série de quatre ateliers, la prochaine session débutant ce mercredi. RC Orleans, 15/01, p.12(Chatillon Coligny) Auto sport muséum : le premier bilanL’association ASM (auto sport muséum), musée de l’auto ouvert depuis mai, tenait sa première assemblée générale, vendredi, au foyer club de Châtillon. Didier Soucheyre, président, a fait le bilan : après 8 mois de travaux, le musée a ouvert en mai et fermé pour une trêve hivernale le 5 novembre. L’association, forte de 120 adhérents, compte plus de 2.400 visiteurs accueillis au musée. L’entrée n’étant que de 5 € et l’investissement en matériel très important, cette année elle n’a pas dégagé de bénéfice. Mais le nombre de visiteurs croissant, qu’il s’agisse des expositions ou des concerts, est très encourageant. Pour 2018, des actions de communication seront entreprises (site Web, réseaux sociaux), actions locales ou nationales, voire internationales. De nombreuses animations sont déjà prévues. RC Loiret, 15/01, p.15(Orleans) Une collection égyptienne à redécouvrir«Pour que son nom vive ». Vendredi, Danièle Michaux, présidente de l’association orléanaise Soleil ailé, docteur en philologie et histoire du Moyen Orient ancien, tient une conférence autour de l’histoire des 121 cônes funéraires actuellement présentés à l’Hôtel Cabu. Si elle regrette le peu d’informations et la présentation de ces objets « sommairement alignés, sans traduction des inscriptions », Danièle Michaux reconnaît aussi le côté exceptionnel de cette collection « qui fait partie de l’histoire d’Orléans ». « Ces cônes sont à découvrir. Ce sont les modestes témoins d’une mémoire socio culturelle intense qui ont beaucoup à nous apprendre », assure t elle. De fait, l’objectif de la conférence est, d’une part, de raconter comment cette collection s’est retrouvée à Orléans et, d’autre part, d’expliquer à quoi servaient ces cônes, quel était leur sens. + Une exposition qui divise RC Orleans, 16/01, p.11(Orleans) Les stars du muséum déboulonnéesDans le bureau transformé en espace de stockage provisoire, cohabitent deux ours polaires, un paon, des ours bruns, des félins… Les grandes manoeuvres sont en cours au muséum d’Orléans pour la biodiversité et l’environnement. Le premier étage est déjà vide, selon Laure Danilo, conservatrice de l’établissement. Depuis lundi dernier et jusqu’à jeudi, le groupement CRPArt, l’équipe de restauration choisie par la ville d’Orléans, s’occupe d’une partie peu connue du grand public, quand il s’agit de restauration des collections d’animaux naturalisés : le soclage. « Il faut extraire les spécimens des dioramas pour les mettre sur socle, afin de les transporter et de les restaurer », indique Laure Danilo. Certains animaux comme les ours étaient fixés au sol par des tiges filetées. « Le problème en restauration, c’est que nous n’avons pas toujours la mémoire de comment cela a été fait », ajoute t elle. + Dégraisser les squelettes, nettoyer les gros mammifères RC Orleans, 17/01, p.10 (Orleans) L’exposition autour d’Antigna décalée à 2020Initialement annoncée pour cet été, la grande rétrospective reconstituant le panorama artistique de l’époque du peintre orléanais Alexandre Antigna (1817-1878) n’aura finalement lieu qu’en 2020. Les raisons de ce contretemps ? « C’est une exposition très complexe à monter car les tableaux d’Antigna sont éparpillés dans les réserves partout en France et également aux États Unis, précise t on du côté du musée. Ce sont également des oeuvres qui vont demander un gros travail de restauration ». De fait, en repoussant l’événement en 2020, l’établissement se donne donc plus de temps pour mieux restaurer les tableaux mais aussi rassembler des oeuvres majeures. « 2019 sera, en effet, l’année du bicentenaire de la naissance du peintre Courbet, contemporain d’Antigna, dont il sera alors impossible de se faire prêter les tableaux », explique t on encore… On parlera malgré tout d’Antigna au printemps 2018, à l’occasion de la restauration, en public, de son tableau L’Incendie, actuellement exposé dans la salle rouge du musée. RC Orleans, 17/01(Vierzon) De nouvelles pièces pour le muséeGrâce aux Amis du musée, les collections municipales continuent de s’enrichir. L’an dernier, l’association a acquis plusieurs productions vierzonnaises anciennes, qu’elle a remises officiellement à la ville lundi soir, salle du Beffroi, lors de son assemblée générale. « L’année 2017 a été celle de la continuité. Nous travaillons avec passion et professionnalisme », assure Frédéric Morillon, président de l’association. Celleci a effectué six achats au cours de l’année, principalement des céramiques pour lesquels elle a déboursé 938,14 euros. Des acquisitions rendues possibles grâce à la subvention annuelle de 2.000 euros allouée par la municipalité. « Le partenariat avec les Amis du musée permet d’acquérir des pièces avec une plus grande souplesse que si la ville les achetait elle même, souligne Fleurance Lachaud, attachée de conservation et responsable du musée. Il faudrait, en effet, que les acquisitions soient validées par une commission de la Drac (direction régionale des affaires culturelles, NDLR). » Les achats de l’association sont le fruit d’une prospection sur les brocantes, dans les salles de ventes aux enchères et sur la toile. Le Berry, 17/01, p.16(Saint Amand) La Maison de l’or cède sa place au privéLe cambriolage, commis dans la nuit du 1er au 2 octobre derniers, a été fatal à la Maison de l’or : le musée a notamment perdu sa pièce maîtresse, le lion de Goudji. La fermeture provisoire, alors décidée par la municipalité, s’apprête à devenir définitive. « Nous avions un questionnement, il y a quelques années, sur l’intérêt d’avoir deux musées (la Maison de l’or et le musée Saint Vic, N.D.L.R.), explique Thierry Vinçon, maire de Saint Amand. Le vol nous a amenés à nous réinterroger. Si on veut faire un grand musée de l’or, il faut avoir un peu plus que ce qu’il nous reste. Sans la pièce symbolique, est ce qu’il ne serait pas mieux de se concentrer sur Saint Vic ? » La réaffectation des pièces de la Maison de l’or vers le musée Saint Vic est donc en réflexion. Le déplacement des 643 pièces devrait se dérouler d’ici la fin du mois de février. « On va voir comment on transfère, ajoute le maire. D’abord, on va stocker. On va y aller étape par étape. » De nouveaux arrivants se profilent déjà à la Maison de l’or, qui avait fait l’objet d’une rénovation lorsque la ville avait repris la gestion de la pyramide, en 2011. Une partie de la surface du site, dont celle libérée par le musée, sera louée par la municipalité à des entreprises privées, dont le nombre reste encore à déterminer. Le Berry, 17/01, p.22 (Orleans) Un début d’année riche de propositionsAu carnet de rendez vous que le Cercil–musée mémorial des enfants du Vel d’hiv fixe au grand public, le premier trimestre 2018 est particulièrement fécond. Par le biais de rencontres aux formes les plus diverses, expo Élie Wiesel, concert de soutien, conférence... le Cercil poursuit inlassablement son travail de mémoire. Avec un temps fort les 28, 29 et 30 janvier. RC Orleans, 18/01, p.5 (Nogent le Rotrou) Projet de nouveau muséeLe projet du nouveau musée de l’histoire du Perche au château Saint Jean avance. « Je suis convaincu que le résultat en surprendra plus d’un », a souligné François Huwart. L’ouverture est prévue en avril 2019. (intégral) L'Echo, 18/01(Saint Amand) Quel avenir pour le musée ?Le donjon des Chauvigny, devenu, il y a plus de soixante ans le Musée George-Sand et de la Vallée noire, est actuellement une coquille vide. Sa fermeture, en octobre 2016, était liée à la sauvegarde de ses collections, conservées sur quatre niveaux, dans de très mauvaises conditions. Depuis, cinq mille pièces ont été dépoussiérées, conditionnées une à une et transférées dans les nouvelles réserves de la halle par le personnel de l’établissement et les services municipaux. La venue d’une agence spécialisée en conservation préventive, le cabinet Futur antérieur, de Bourges, a permis à deux restauratrices en peinture et sculptures de réaliser les interventions d’urgence en attendant le retour de ce précieux patrimoine dans le donjon. Mais des murs épais de deux mètres ne suffisent pas à protéger un fonds particulièrement fragile. « Les derniers travaux, la construction de la partie neuve où se trouve l’accueil, ont eu lieu en 1990 », explique le maire de La Châtre, Patrick Judalet, qui a hérité d’un serpent de mer : la création d’un nouvel établissement. Il fut un temps question du château d’Ars, et, dernièrement, l’ancien palais de justice semblait tenir la corde. + ••• Le départ forcé d’Annick Dussault Dire qu’Annick Dussault a été « virée » de son poste de directrice de Musée George-Sand est peut-être exagéré. Disons tout simplement qu’elle réintègre complètement la Communauté de communes du Pays de La Châtre - Sainte-Sévère, d’où elle était détachée à temps partiel depuis 2003, pour assurer le fonctionnement de l’établissement. Bien qu’elle ait eu vent, cet été, d’une telle décision, la pilule passe mal. Elle estime avoir énormément donné pour un site qui lui avait été confié « sans personnel scientifique et avec des collections non inventoriées ». NR IndreE, 18/01, p.15(Romorantin) Céra’brique apporte sa “ pierre ” au Musée d’OrsayAvec 580 visiteurs sur le seul week-end des Journées du patrimoine 2017, la collection « Céra’brique de l’argile à l’architecture » a pu vérifier l’intérêt suscité auprès des Romorantinais. « On est encore dans une année test », rappelle Julie Brossier-Duclos, la responsable de cette collection de céramiques architecturales dite « Pasquier » qui a ouvert ses portes à la Fabrique Normant au mois d’avril dernier. Les vitrines installées dans la grande salle Hennebique n’ont pour l’heure été visibles qu’en de rares occasions, notamment des manifestations comme le salon Artec, le Printemps de la photographie ou encore le Téléthon. Ce qui se prépare à changer de manière imminente. A partir du 3 février, l’exposition de briques et faïences sera en effet ouverte le mercredi après midi de 14h à 17h en visite libre. L’équipe du Musée de Sologne a aussi décidé d’ouvrir l’exposition en continu au mois d’août 2018. « Avec une animation et deux visites guidées par jour », détaille Julie Brossier-Duclos, qui annonce également une exposition temporaire du conseil départemental sur « La terre et faïence de Loir-et-Cher ». « Il nous a fallu du temps pour voir comment concilier le public avec les locations de salle », rappelle l’assistante de conservation qui a aussi prévu d’ajouter des vidéos aux pièces et matériel déjà visibles dans les vitrines. Des vitrines vers lesquelles regardent déjà certains musées prestigieux dont le musée d’Orsay, qui doit emprunter cinq pièces à Céra’brique entre les mois de juin et septembre pour une exposition consacrée aux couleurs dans la sculpture au XIXe et XXe siècles. NR Loir et CherN, 18/01, p.20(Bourges) Depuis le 1er décembre, Sébastien Minchin est conservateur et directeur du muséumComme Ulysse, il a fait maintes traversées, avant de retrouver le pays de ses vertes années. Début décembre, Sébastien Minchin a été nommé directeur du muséum de son enfance. Celui qu’il visitait, haut comme trois pommes, avec ses parents. Celui où il a été étudiant vacataire, le week end, pendant ses études. « Je vis ce moment comme un retour aux sources, explique le conservateur. Je suis originaire de Mehun, je suis né à Bourges. J’ai joué à l’US Berry pendant dix ans. Revenir ici, c’est retrouver ses souvenirs d’enfance, d’adolescence, et une qualité de vie sympa. » Rencontre. Le Berry, 26/12, p.8(Montargis) Le musée Girodet reprend (enfin) vieÀ défaut de visiteurs, le musée Girodet, à Montargis, commence à se repeupler. Depuis maintenant quelques jours, les agents sont en train de prendre possession de leurs bureaux dont la vue donne sur le jardin Durzy et le Loing ! Au fur et à mesure, les salles relookées de ce bâtiment, datant de 1862, vont être garnies d’oeuvres. Après les retards liés aux problèmes d’architecte et la couche supplémentaire rajoutée par la crue du Loing, elles n’attendent que ça. Si tout se passe comme prévu, la réouverture est programmée fin mars. Sans être des spécialistes, les visiteurs auront de quoi faire dans un espace à la surface doublée par rapport au précédent musée, suite à une extension réalisée à l’arrière, du côté du jardin Durzy. À l’étage, même vide, on apprécie les plafonds qui ont été nettoyés et réparés lorsque c’était nécessaire. Une application numérique est en cours d’élaboration. RC Loiret, 28/12, p.11(Dreux) L’Écomusée revoit ses horaires à la baissePas une âme qui vive à l’Écomusée de Dreux. François Fillon, président de l’association Flora Gallica, a pris la décision, à contre coeur. Mais il a décidé de fermer les locaux pendant quinze jours. « Le prieuré Saint Thibault est fermé depuis vendredi dernier et rouvrira le lundi 8 janvier. Ça ne s’est jamais vu depuis la création de l’association en 1987 ». Il met cette décision sur le compte du non renouvellement d’une partie des contrats aidés. Sur sept contrats de ce type, l’association en a perdu trois. La priorité pour les 200.000 contrats que le Gouvernement maintient en 2018 est donné aux contrats aidés signés dans le secteur sanitaire, l’urgence sociale, l’éducation nationale et l’outremer. « Certes Flora Gallica est une association culturelle, mais nos interventions indirectes au niveau social sont nombreuses et variées : emplois de Drouais handicapés, âgés, chômeurs, accueil de stagiaires des lycées professionnels drouais… », plaide François Fillon qui a écrit au maire, au sous préfet et à Guillaume Kasbarian, député En Marche de Chartres. + Le musée risque-t-il de disparaître ? L'Echo, 28/12, p.13(Chateaudun) «Nous allons redorer l’image du renard»Qui dit nouvelle année, dit nouvelles expositions ! Le musée des beaux arts et d’histoire naturelle de Châteaudun va en proposer trois, aussi originales qu’inédites, en 2018. L’exposition qui a sorti de l’oubli le sculpteur et parisien Paul-François Berthoud (18701939) se termine le 7 janvier et les visiteurs pourront découvrir, à partir du samedi 20 janvier et jusqu’au dimanche 11 mars, une nouvelle intitulée « Renard et Cie ». « Le renard est toujours présenté comme un voleur de poules. Nous avons voulu redorer son image, précise Anna David, la naturaliste du musée. Il est persécuté par les chasseurs qui le considèrent comme un concurrent mais il est loin d’être un nuisible. Il protège les cultures en mangeant les campagnols. Il mange, également, des animaux malades et nous protège ainsi de la maladie de Lyme. Il peut, aussi, semer des graines en forêt en déposant ses crottes qui contiennent les graines des fruits consommés. Les végétaux peuvent représenter jusqu’à 50 % de son régime alimentaire en été et en automne. » Du samedi 24 mars au dimanche 27 mai, le musée dunois rendra hommage à Roland Sig, artiste autodidacte qui a réalisé des collages surréalistes de 1950 jusqu’à sa mort en 1985. « Des oeuvres prêtées par sa famille seront présentées ainsi que des panneaux illustrant sa vie et des personnes qui l’ont influencé. » + Le dernier Conseil municipal de Châteaudun, réuni le 14 décembre, a sollicité l’attribution d’une subvention au taux de 80 % auprès de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) du Centre-Val de Loire pour chacune des trois nouvelles expositions qui seront à voir en 2018 au musée des beaux-arts et d’histoire naturelle. Le total de la dépense de la Ville s’élève à près de 2.500 € pour « Renard et Cie », 3.600 € pour l’hommage à Roland Sig et 4.000 € pour « Suprenantes graines ». L'Echo, 29/12, p.16
Dernière édition par valerie.maillochon le Ven 19 Jan - 11:48, édité 6 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Mer 17 Jan - 10:18 | |
| Archéologie région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire
(Bourges) Les vestiges se dévoilent un peu plus Après le temps des fouilles, celui des études. Échantillons de mortier, objets métalliques, fragments de céramique ou de statue. Les vestiges prélevés, entre novembre 2016 et en avril 2017, sur le site de la future Maison de la Culture, doivent être passés et repassés au peigne fin par les spécialistes. Ces analyses permettront de tout savoir ou presque du passé de Séraucourt. Une infime mais spectaculaire partie des secrets du quartier a déjà été présentée en avril 2017, avec la découverte d’une cave antique renfermant une peinture qui représentait un faune, créature de la mythologie romaine mi homme mi chèvre. D’autres résultats seront dévoilés ce soir, lors d’une conférence organisée dans le cadre de l’assemblée générale de la Société d’archéologie et d’histoire du Berry. À la veille de ce rendez vous, Mélanie Fondrillon, archéologue du service d’archéologie préventive de Bourges plus, qui a supervisé les fouilles et animera la conférence, nous a ouvert les portes de son bureau et des réserves. Ce soir, la divinité romaine, extraite de sa niche, ne sera pas présentée au public. Elle restera sur son étagère, en attendant de partir, en février, pour Soissons, et de passer entre les mains expertes des archéologues du Centre d’étude des peintures murales romaines. « Avant de peut être la restaurer et de la présenter au public, il faut stabiliser la peinture si nous ne voulons pas qu’elle se dégrade », explique Mélanie Fondrillon. Le Berry, 18/01, p.9
Dernière édition par valerie.maillochon le Ven 19 Jan - 9:28, édité 1 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Mer 17 Jan - 10:19 | |
| Patrimoine région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire
(Veigné) La belle reconversion de la grange des Varennes Le bâtiment de la grange des Varennes était utilisée il y a quelques mois pour du rangement au bénéfice de la commune. La municipalité conduite par Patrick Michaud a décidé de rénover ce site à des fins associatives. La réhabilitation de cette grange du XVIIe siècle permet de sauvegarder et mettre en valeur un patrimoine de qualité. Aujourd’hui les enduits à la chaux sont terminés et mettent en valeur le bâtiment. Bientôt vont débuter les travaux intérieurs, visant à créer plusieurs salles. De ce fait, des cloisons vont être créées, l’électricité refaite entièrement, ainsi que les enduits muraux et les sols. On notera l’excellente situation de cette grange, proche de l’école élémentaire du Bourg, à deux pas de la salle des fêtes, du gymnase, de l’accueil de loisirs et de la nouvelle salle des spectacles, dont les travaux vont débuter prochainement. Une fois l’ensemble achevé, ces bâtiments constitueront un espace sportif et culturel de qualité dans un environnement non bétonné. (intégral) NR Indre et Loire, 14/01
A l'occasion des voeux en commune Chuisnes : « Nous engagerons aussi des travaux dans l’église Saint Sanctin avec le changement de la couverture du clocher et la réhabilitation de la cloche. Il n’y a pas de projet éolien sur la commune et ce point n’a pas été abordé en Conseil municipal », a conclu Jacky Jaulneau, le maire. Janville : Un point sur les travaux a été effectué. La chaudière de l’église a été changée. Mais des pertes d’énergie ont été constatées. Côté isolation, des travaux seront prochainement effectués. Des solutions ont, déjà, été mises en oeuvre. L'Echo, 15/01 Seigy : L’engagement de travaux importants de restauration de l’église fera l’objet d’une souscription participative. NR Loir et Cher, 15/01 Loches : La première phase de la restauration des remparts (100.000 € prévus par la Ville, après 75.000 € l’an dernier) concentrera la majorité des investissements concernant le patrimoine en 2018. Elle porte sur la rue des fossés Saint-Ours et le mail de la Poterie. L’ensemble du chantier « dépassera sans doute la durée du mandat », a précisé le maire. Concernant la restauration programmée de la porte royale (2) et de la collégiale Saint-Ours (3), 2018 sera essentiellement une année d’études. (2) En 2019 viendra le temps de la restauration de la salle des gardes de la porte royale. (3) La restauration de la collégiale, dont le coût global est évalué à 6,3 millions d’euros, devrait prendre une dizaine d’années. 120 000 C’est, en euros, l’investissement que la Ville consentira d’ici 2019 pour la sécurisation des cavités du faubourg Bourdillet. Rien, en revanche, n’a été dit lors des voeux sur la carrière du Rocard, à propos de laquelle le Conseil d’État a décidé en juillet dernier que la société Gillard avait obligation de réaliser les travaux de consolidation. En 2018, 70.000 € sont prévus pour la mise en sécurité du jardin suspendu, effondré, rue des fossés Saint-Ours. NR Indre et Loire, 15/01
(Vierzon) Attentifs au patrimoine local Fidèles à la mission qu’ils se sont fixée depuis plusieurs décennies, les Amis du vieux Vierzon sont attentifs à la sauvegarde du patrimoine de la ville. Lors de leur assemblée générale, jeudi soir, ils ont décidé d’apporter leur soutien à l’Association pour la réouverture du canal de Berry (Arécabe), afin d’aider à la préservation du Cher, rare bateau berrichon que cette dernière vient d’acquérir. Les passionnés de patrimoine local ont voté un don de 1.000 euros à l’association. Une somme qui devrait servir à l’aménagement de l’embarcation se trouvant actuellement sur un chantier fluvial du Val de Marne. L’Arécabe prépare son retour prochain sur le canal, à Vierzon, où elle a navigué autrefois. Par ce geste, les Amis du vieux Vierzon poursuivent leur dynamique de partenariats avec les associations locales. Le Berry, 15/01, p.15
(Saint-Firmin-des-Prés) Une chapelle (à emporter) mise aux enchères Au sein de la propriété privée du château de Moncé, à Saint-Firmin-des-Prés, une vente particulière se prépare. Lundi 22 janvier, Maître Philippe Rouillac, commissaire-priseur à Vendôme, se déplacera sur site pour proposer aux enchères publiques une chapelle datant de la fin du XIXe siècle. Un édifice désacralisé auquel il manque le clocher et une partie de la toiture. En un coup d’oeil sur la droite, les automobilistes qui empruntent la N10 direction Châteaudun depuis Vendôme, peuvent l’apercevoir. À l’intérieur, l’autel est encore presque immaculé. Mais le bénitier est envahi de lichen. Et de la mousse parsème le sol. Ce bâtiment « ni inscrit, ni classé à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques », sera vendu en un lot, et « mis à prix 5.000 € », précise le commissaire-priseur. Mais il ne s’agit pas d’une vente immobilière… Car le futur propriétaire devra « repartir » avec l’édifice, pour une reconstruction à l’identique dans un autre lieu. « C’est l’engagement que devra prendre l’acquéreur », avertit Maître Rouillac. Le transport s’annonce complexe. Mais plusieurs personnes intéressées se seraient manifestées. Cette vente insolite est en fait une opération de sauvegarde. En effet, pour le propriétaire du château de Moncé, le sexologue reconnu Jacques Waynberg, la restauration de cette chapelle – qui commence à poser d’importants problèmes de sécurité – serait « bien trop onéreuse ». NR Loir et Cher, 15/01, p.2
A l'occasion des voeux en commune Montharville : Le maire Gilles Rousselet leur a annoncé la poursuite des travaux de voirie et d’aménagement du hameau du Grand Cormier ainsi que le projet de restauration d’un vitrail de l’église pour lequel il faudra investir 10.000 euros. Afin de trouver des fonds, la commune va participer à un concours du Pèlerin magazine et prendre contact avec l’animation de télévision Stéphane Bern. Brou : « D’autres projets sont en gestation, comme la rénovation du grand orgue de l’église Saint Lubin en partenariat avec la paroisse et grâce à une enveloppe parlementaire », a indiqué le premier magistrat, Philippe Masson. Champrond en Gâtine : Des travaux à l’église, au niveau du choeur et de la toiture sont également prévus en 2018. L'Echo, 16/01 Pontlevoy : La réfection d’une partie de la toiture de l’église Saint-Pierre grâce à une souscription avec la Fondation du Patrimoine est en prévision. NR Loir et Cher, 16/01 Très coûteux mais incontournables, alors, cela revient souvent dans les discours. A Ferrière-Larçon, une pierre de 10 kg est tombée du clocher. A Sepmes : « Pour nous, c’est un million d’euros ». A Reugny, l’église est fermée « car la sécurité n’est pas garantie ». Villaines les rochers : Projets 2018. Rénovation de l’église et du clocher. Epeigné les Bois : L’ensemble des travaux de restauration des toitures de l’église sont terminés mais d’autres la concernant sont à prévoir cette année pose d’un nouveau compteur dédié à l’église, mise aux normes de l’installation électrique, pose du paratonnerre, restauration et isolation de la toiture de la sacristie, réalisation d’une alimentation électrique pour la source Saint-Aignan, engagement de travaux de restauration de la grande communale adjacente à l’église, restauration du vitrail endommagé, réfection des évacuations des eaux de pluies, mise en accessibilité de l’édifice et de son cheminement. La restauration de trois statues est également prévue : un appel d’offres a été lancé. La remise des offres est fixée au 31 janvier. Montrésor : À propos du maintien du label des Plus Beaux Villages de France et du dernier sursis de six ans accordé à la commune, il a souligné la nécessité de « mettre le village sur la bonne trajectoire » et l’importance, à cet égard, de l’élaboration, en cours, du site patrimonial remarquable de Montrésor, véritable charte d’urbanisme qui entre dans sa phase finale et qui structurera l’avenir de la commune. NR Indre et Loire, 16/01
(La Celle) Le tableau va être restauré Anne-Isabelle Berchon et Philippe Bardelot, représentant la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et la Conservation des antiquités et objets d’arts (CAOA), étaient à l’église de La Celle, vendredi dernier. Ils étaient présents pour le retrait du tableau représentant saint Blaise exposé à l’église et qui sera restauré. C’est Florence Carly, une jeune restauratrice installée dans le Vierzonnais, qui va s’attaquer au nettoyage et à la remise en forme de ce tableau, dont Philippe Bardelot pense qu’il pourrait être l’oeuvre d’une famille de peintres se nommant Dubois, qui était installée à Bourges au XVIIIe siècle. « La restauration permettra certainement de le confirmer ou de l’attribuer à un autre artiste, a t il précisé en examinant la toile. Elle a subi les outrages du temps mais elle mérite d’être restaurée. » Le Berry, 16/01, p.19
(Chartres) La cathédrale continue d’aimanter les touristes même l’hiver Les bus remplis de touristes qui ont une heure pour découvrir la cathédrale et son quartier se font plus rares. Mais, même en hiver, la cathédrale Notre Dame continue d’aimanter les visiteurs. Tel ce couple de Versaillais. Corinne et Jean-Jacques Bruyand ne vivent qu’à une heure et demie de la cathédrale : « Pourtant, à 60 ans, nous n’y étions jamais venus ! Elle est belle, magnifique, sublime même… mais nous préférons celle d’Amiens. Nous avons été très intéressés par les différentes opérations de rénovations successives. Par rapport aux photos que nous avions vues, elle a pris un gros coup de jeune. » De leur côté, Jihye Park et Jisam Park, deux Sud Coréennes, voyageuses indépendantes, savourent : « L’architecture historique nous passionne. Cet édifice est un formidable exemple. Nous nous intéressons particulièrement aux façades. La cathédrale de Chartres offre une histoire très riche. » Et puis, il y a aussi les Chartrains. Qui viennent et reviennent dans la cathédrale. L'Echo, 16/01, p.9
Chaumont gratuit un mois pour les Loir-et-Chériens Pour faire comprendre aux Loir-et-Chériens que la dynamique profite a tous, le président Perruchot avait gardé dans sa hotte tardive un cadeau qui en satisfera plus d’un. Après avoir monté une opération à l’automne dernier sur un coup de tête, en offrant la gratuité de l’accès à Chambord à tous les Loir-et-Chériens durant un mois, il a choisi de réitérer avec le domaine de Chaumont. « Pendant un mois, à partir de la mi-septembre, Chaumont sera à vous. Et comme vous êtes nos meilleurs ambassadeurs, je vous propose non pas un mais deux sites pour 2018 gratuits et j’ai choisi les jardins du Plessis-Sasnières. » Chantal Colleu-Dumond pour Chaumont, Jean d’Haussonville pour Chambord, et Baptiste Mulot pour Beauval (devant la famille Delord au grand complet), sont revenus sur l’excellente année touristique 2017. Et sur les nombreux projets à venir en 2018. NR Loir et Cher, 06/01, p.15
(Chinon) Jeu de paume : point mort pour la levée de fonds Je ne désespère pas de rajouter Chinon à la liste. Simon Berry est l’un des visages du renouveau du jeu de paume en France. Le Britannique, qui a oeuvré à créer de nouveaux clubs et à réhabiliter les vieux carreaux du Sud-Ouest, ne cache pas ses ambitions tourangelles. Face à une détermination de mise, la réalité est toutefois parfois difficile à négocier. Pour redonner au bâtiment du XVIe siècle situé dans le Vieux-Chinon de son lustre, le Comité français de courte paume s’active. Pour convaincre des mécènes et réunir des fonds. Alors que la facture originelle se chiffrait lors du rachat, en avril 2016, à près d’un million d’euros, « 500.000 € pourraient être suffisants pour lancer les travaux et réhabiliter le court », formule Thierry Bernard-Tambour, chargé du développement du jeu de paume en France. Un cap pour le moment loin d’être atteint. « Nous souffrons d’un déficit de notoriété qui fait passer la paume pour un sport de snobs. Ça a tendance à évoluer et nous restons très optimistes », insiste Thierry Bernard-Tambour. Qui reconnaît en Chinon « un projet pharaonique » pour une fédération dont les instances sont animées exclusivement par des bénévoles. + Jusqu’à cinq courts à la Renaissance NR Indre et LoireW, 16/01, p.13
A l'occasion des voeux en commune La chapelle Saint Mesmin : Un bilan des réalisations effectuées depuis 2008 et, plus particulièrement, en 2017 a été dressé, avant d’évoquer les principaux projets. Parmi eux la restauration de l’intérieur de l’église classée monument historique. RC Orleans, 17/01 Saint-Maurice-sur-Aveyron : Réparation des gouttières de l’église, de l’horloge et du carillon. Chapelon : 2018 verra les premiers pas de la restauration du moulin Gaillardin. Après avoir fait un constat alarmant de l’état du moulin avec des désordres structurels, une solution et des perspectives de financement ont été trouvées. Le premier palier est l’ouverture d’une souscription par la Fondation du patrimoine, de façon à pouvoir recueillir 10.000 € de dons. Un appel est lancé à tous ceux qui souhaitent participer à la restauration de ce patrimoine unique, géré par l’association que préside Marie-Claude Bézille. Ferrière en Gâtinais : La réhabilitation du patrimoine sera au programme avec les travaux de l’abbatiale Saint Pierre Saint Paul et ceux de Notre Dame de Bethléem. Pour cette importante opération, le Département se montre favorable à hauteur de 30% du montant prévisionnel des travaux. L’État devrait abonder à hauteur de 50%. Seront également sollicitées la Fondation du Patrimoine et la CC4V. Saint Hilaire les Andrésis : La restauration de la cloche de l’église, fondue en 1647, donnera lieu à une souscription de mécénat populaire. Le but : recueillir 2.000 € qui s’ajouteront aux 20.000 € alloués par la Drac (Direction régionale des affaires culturelles). RC Loiret, 17/01 Cheverny: 2018 verra la poursuite des travaux de voirie avec le début des travaux du rond-point, le lancement d’une souscription pour la réfection de la loge des Ruaux. Pray : Côté projets, un premier lot de travaux est prévu à l’église : réfection du caquetoire, de la charpente et de la maçonnerie (estimation : 60.000 €). La demande de subvention à la Direction régionale des affaires culturelles et la demande de dotation de solidarité rurale ont été effectuées. NR Loir et Cher, 17/01 Très coûteux mais incontournables, alors, cela rev ucturera l’avenir de la commune. NR Indre et Loire, 16/01
(Bourges) Tour et crypte de la cathédrale seront fermées demain Pour profiter d’un panorama exceptionnel à 360° sur la ville ou encore descendre dans la crypte jusqu’au gisant du duc de Berry, il faudra repasser. Si la cathédrale Saint Étienne reste ouverte au public, les deux parties, gérées par le Centre des monuments nationaux, seront fermées demain. La dernière visite prévue aujourd’hui à 16h30 a été supprimée. La raison de cette fermeture pour cette seule journée si tout se déroule sans accroc ? Il fallait faire place nette pour les ouvriers qui vont s’attaquer à l’un des gros chantiers de la cathédrale : la mise en conformité électrique du vaisseau gothique. « Pour cette opération, maçons et menuisiers doivent intervenir au niveau de la guérite, explique t on aux Monuments nationaux. Cela paraissait très compliqué d’ouvrir crypte et tour sans la billetterie. » Chaque année, plus de 30.000 personnes visitent crypte et tour. Ce chantier électrique, qui permettra également de chasser les câbles disgracieux, et dont le coût est estimé à 1,2 million d’euros, doit s’étirer pendant treize mois. Le Berry, 17/01, p.10
A l'occasion des voeux en commune Tripleville : En 2018, il est prévu de rénover la toiture de l’église en deux tranches (sur 2018 et 2019), des dossiers sont en cours pour bénéficier de la subvention de la DSR et DETR. RC Orleans, 18/01 Outarville : Pour cette année, l’élu a abordé la réouverture du dossier de réfection du clocher de l’église Saint Pierre d’Allainville en Beauce. Le financement participatif, via la Fondation du patrimoine, est donc relancé. RC Loiret, 18/01 Vernais : La toiture des anciennes écuries du prieuré sera remise à neuf. Le dossier concernant la restauration de l’église Notre Dame se poursuivra avec une expertise archéologique obligatoire. Bussy : Quant à la rénovation de l’église, il faudra attendre un peu en raison des contraintes techniques et budgétaires. Le Berry, 18/01 Dreux : La rénovation du Théâtre. Construite en 1910, l’ancienne salle des fêtes devenue théâtre, bénéficie d’une réhabilitation en profondeur. Rénovation des plafonds et des gradins ; démolition et remplacement des annexes sans charme par des extensions contemporaines et, enfin, restitution de la façade telle qu’elle était en 1910 : ce chantier s’élève à 3,1 millions d’euros. Retour des spectateurs à l’automne prochain. Nogent le Rotrou : Le chantier de réaménagement du site de l’ancien Hôtel Dieu avec la démolition d’un des bâtiments se déroulera d’avril à juillet. L’aménagement du parc Daupeley qui jouxte le parking de la maison de santé est prévu plus tard. « Cela va profondément modifier l’aspect du centre ville. Ce sont 3 hectares de promenade historique et paysagère qui seront rendus aux Nogentais. » Saint Denis d'Authon : Nous effectuerons la réparation de l’éclairage de l’église. Ce bâtiment souffre de problèmes d’humidité. Probablement des infiltrations suite à des fuites de la toiture. Un projet sera donc mis au point. L'Echo, 18/01 Chailles : Les trois lots du marché de rénovation intérieure de l’église Saint-Martin sont attribués aux entreprises Gueble (lot 1) et Delestre (lots 2 et 3). Des travaux d’électricité, de chauffage, de sonorisation et de maçonnerie vont être réalisés. Tripleville : En 2018 est prévue la rénovation de la toiture de l’église en deux tranches sur 2018 et 2019, des dossiers sont en cours pour bénéficier de la subvention de la DSR et DETR. Lignières : Enfin, en partenariat avec l’atelier dédié de Résurgence, la restauration des vitraux sera poursuivie avec le concours du célèbre artiste Goudji pour la création des trois baies manquantes. Ce dernier a partagé avec ses concitoyens son actualité d’orfèvre sculpteur. Rahart : Nous avons aussi constaté que la chapelle d’Espéreuse était en train de se fissurer, des travaux de consolidation seront conduits au printemps. 18NR Loir et Cher, /01 Bueil-en-Touraine : mise hors d’eau et hors d’air de la partie choeur de la collégiale Beaumont-village : Quant à l’église, il a évoqué le projet de remise en état de la cloche de 1867, fêlée. Et la rénovation du Christ inscrit à l’inventaire supplémentaire ainsi que celle des piliers extérieurs. Ce dossier lourd donnera lieu à une demande de subventions. Et Joël Baisson souhaiterait le voir aboutir avant 2019, année anniversaire du lancement de la construction de l’église actuelle. Avon les Roches : rénovation et aménagement de la cour du presbytère, de l’arrière de l’église et des bâtiments communaux situés en périphérie afin de mettre en valeur l’église et son porche. NR Indre et Loire, 18/01
Une horloge Robert-Houdin à Saint-Gervais-la-Forêt Il y a fort longtemps, Jean-Eugène Robert-Houdin habitait Saint-Gervais-la-Forêt. C’était en 1849, année où il acheté la propriété du « Prieuré » où il a résidé jusqu’à sa mort en 1871. Ce prestidigitateur hors du commun, qui était aussi un savant et un inventeur, propose en 1856 au curé de Saint-Gervais d’y installer une horloge de sa fabrication. Enchanté, le brave curé permet au célèbre magicien d’entamer des travaux dans la tour carrée constituant la base du clocher de l’église. Malheureusement, l’église appartient à la commune et le curé a oublié de demander son autorisation. Scandale ! Lors d’une séance houleuse du conseil municipal, le maire, le préfet et les conseillers stoppent les travaux. L’horloge, quant à elle, est finalement installée au fronton de la mairie de Blois. Il sera détruit des années plus tard. En 2018, la Maison de la Magie fête ses vingt ans. Pour honorer le célèbre magicien, la municipalité de Saint-Gervais a pour projet de restituer le cadran lumineux à son église qui l’attend depuis 162 années ! La création et les travaux d’installation ont un coût qui s’élève à 10.500 € (estimation la plus haute). Le projet a été présenté lors des voeux de la municipalité en décembre. La commune fait appel à la générosité de chacun afin que ce patrimoine communal puisse être préservé pour les générations futures. La Fondation du patrimoine participe à ce projet en lançant une souscription. NR Loir et Cher, 18/01, p.2
(Millacay) Des cloches en péril à l’église Saint-Aignan Au cours de la soirée de présentation des voeux à Millancay, le maire Philipe Agulhon a signé une convention avec la représentante de la Fondation du patrimoine, Annette Doire. En effet, diaporama à l’appui, le maire explique l’urgence des travaux à réaliser afin de préserver le campanaire de l’église Saint- Aignan, un ensemble composé du clocher et des trois cloches. L’église qui a été érigée à la fin du XIXe siècle n’est pas classée. Un diagnostic réalisé par une entreprise spécialisée a mis en évidence le mauvais état du campanaire, dont l’état de péril du plancher est en partie généré par les pigeons, la charpente déformée transmet les vibrations créant des dommages importants sur la maçonnerie. Le projet porte sur la remise en état du campanaire, à savoir la reconstruction du plancher de la chambre des cloches et du beffroi, la remise en état de la maçonnerie, ainsi que la restauration des trois cloches avec le remplacement complet des installations électriques de balancement et de tintement. Ces travaux seront accompagnés de la remise en état de la couverture du clocher, la pose de grillage afin d’éviter les intrusions d’oiseaux et du nettoyage des façades. Mme Doire rappelle les conditions de déductibilité fiscale d’un tel dispositif pour les donateurs, « les dons sont à 75 % déductibles de l’impôt sur le revenu, finalement c’est l’État qui finance. » (intégral) NR Loir et Cher, 18/01
(Bridoré) Une tuilerie artisanale labellisée Une cinquantième entreprise régionale vient d’être labellisée « Entreprise du Patrimoine Vivant » : La Tuilerie artisanale de Bridoré. Cette entreprise, installée dans la commune du Bridoré en Indre-et-Loire depuis 2005, est spécialisée dans la fabrication artisanale de tuiles plates de restauration, notamment pour les monuments historiques. Le label d’État « Entreprise du Patrimoine Vivant » a été mis en place en 2006. Ces dernières représentent 1.810 emplois en région Centre-Val de Loire. (intégral) NR Indre et Loire, 18/01 + p.21
(Tours) Le sacre du guéridon du roi Jérôme Chapelle comble hier à Saint-Libert pour la rentrée de la 178e année de la Société d’archéologie de Touraine. Elle a commencé avec un don, une épée de l’âge de bronze découverte en 1952 lors de la construction du pont à Amboise. Michel Triptzky l’avait trouvée. La veuve de cet adhérent de 30 ans à la SAT a souhaité que cette arme trouvée dans la Loire reste près du fleuve, donc elle l’a offerte à la SAT. Il a ensuite été question d’un autre cadeau, un guéridon unique présent pendant longtemps dans le château de Villandry offert par Napoléon à son jeune frère, Jérôme. Ce meuble exceptionnel est revenu au château, racheté un peu moins de 200.000 € à un antiquaire parisien par Henri Carvallo, « le 58e propriétaire connu du château », avec l’aide du financement participatif. Le châtelain continue une politique d’acquisition de tableaux espagnols du XVIIe ou de meuble pour valoriser l’intérieur du monument célèbre surtout pour ses jardins. NR Indre et Loire, 18/01, p.11
(Sully sur Loire) Un scénario retenu pour le viaduc Plus compliqué que prévu. C’est ce qui ressort des études commandées par le conseil départemental du Loiret au sujet du pont de chemin de fer reliant Saint Père sur Loire à Sully sur Loire et qui sera transformé en voie douce pour les cyclistes et les piétons. Lors d’une réunion en mairie de Sully, Marc Gaudet, le président du Département, a informé les maires des deux communes, Jean-Luc Riglet et Patrick Foulon, du scénario finalement choisi. « Il y aura un platelage, c’est à dire des planches posées sur les rails de manière à former un plancher », indique Marc Gaudet. « Nous conservons les canalisations d’eau, bien sûr, et il faut installer des barrières de garde corps. Il faut aussi aménager les accès, de chaque côté du pont, avec des rampes. » Jusque là, tout paraît simple. Les études ont cependant mis en lumière un élément qui change la donne de manière considérable : le pont ferroviaire de Sully et ses rivets sont attaqués par la rouille. « Il y a des boursouflures importantes entre les plaques », regrette le président du Conseil départemental. « Il faut traiter cela en profondeur. En plus, les peintures sont chargées en plomb. Il ne faut absolument pas que des poussières de plomb tombent dans la Loire. Pour traiter, nous devrons mettre en place un système de récupération des poussières et travailler dans un espace confiné, grâce à un système de nacelles. Il y en a pour plusieurs mois de travaux. » RC Loiret, 26/12, p.13
(Mareuil sur Arnon) Conseil : débat autour de la cheminée Sous le libellé « achat d’un terrain » la délibération qui leur était soumise posait en réalité la question de la décision de recourir, ou non, au droit de préemption de la commune dans la vente annoncée de parcelles de terrain. L’une a la particularité d’être occupée par la cheminée de la Grande Forge, ultime vestige d’une industrie métallurgique. Fallait il laisser se réaliser cette vente et accepter le risque de voir cet authentique monument historique détruit ? Fallait il, au contraire, en décider la préservation en achetant le terrain en cause ? Certains élus ont souligné les risques que fait peser son état préoccupant et ont dénoncé le coût éventuel de son entretien. Ils n’hésitaient pas à en envisager, sa disparition. D’autres, en revanche, au premier rang desquels la maire, Véronique Brisson, plaidaient sa valeur patrimoniale et l’intérêt de conserver ce témoin unique d’une histoire qu’une association locale avait d’ailleurs rappelé en septembre, en prévision de ce débat, dans une exposition intitulée Les riches heures de la Forge à Mareuil. Par une très légère majorité (huit voix pour et sept abstentions) la décision de faire jouer le droit de préemption a été adoptée. Le Berry, 26/12
Vacances, mission préservation du patrimoine... Stéphane Bern se confie à L’Écho Comment s’annonce votre année 2018 ? Elle sera très studieuse. Je veux réussir la mission de préservation du patrimoine que m’a confiée le président Emmanuel Macron. Je n’y suis pas obligé, mais j’aimerais rendre un rapport sur l’état de notre patrimoine en 2018. Je veux prouver que l’on a eu raison de me faire confiance. Je rappelle que je ne coûte rien à l’État. Je suis 100 % bénévole. Je me déplace à mes frais et je garde toutes mes factures. Vous devez cerner le patrimoine qui doit être sauvé ou réhabilité. Avez-vous des dossiers en Eure-et-Loir ? J’en ai déjà une dizaine, notamment l’église de Frétigny et le château de La Ferté Vidame. Mais je ne veux pas être accusé de favoritisme sous prétexte que j’habite dans le Perche. (intégral) L'Echo, 26/12, p.4
(Chartres) La cathédrale Notre Dame a fait l’objet de plusieurs documentaires télévisés Malgré son âge, la cathédrale de Chartres séduit toujours autant les caméras, que ce soit celles des touristes ou bien celles de professionnelles. Cet automne, trois documentaires ont été tournés sur l’édifice. Gilles Fresson, coordinateur de la cathédrale, intervient dans ces reportages. Le premier reportage sera diffusé sur France 5, jeudi 28 décembre. La diffusion des deux autres est annoncée en 2018. L'Echo, 26/12, p.6
(Chateaudun) Le retour des dessins animés d’autrefois Le château de Châteaudun fait partie des 21 monuments nationaux qui participent à la manifestation Contes & histoires organisée par le Centre des monuments nationaux (CMN). En lien avec l’exposition itinérante du CMN, « Lanternes magiques et fantasmagories », qui se tient depuis le 9 septembre et jusqu’au 4 mars dans ses anciennes cuisines, il propose un spectacle de conte projection, Hypolithe et la lanterne magique, pendant les fêtes avec l’association Praximage. Une soixantaine de personnes ont découvert, hier après midi l’histoire d’Hypolithe qui part à l’aventure dans le grenier de sa grand mère chaque fois qu’il pleut et fait de nouvelles découvertes. Il tombe sur de vieux objets poussiéreux (loupe, longue vue, lampe à pétrole) qu’il prend pour un chapeau ou un instrument de musique et qui lui sont inconnus. Notamment cette curiosité qu’est la lanterne magique. « Cet appareil permet de voir des dessins animés d’autrefois. Les enfants l’utilisaient dans le temps pour se divertir », a expliqué la grand mère d’Hypolithe. Techniquement parlant, la lanterne magique est une boîte percée d’une ouverture par laquelle pénètre la lumière extérieure. L'Echo, 28/12, p.15
A l'occasion des voeux en commune Gaubertin : L’éclairage public de Sancy et Eau de Limon est à l’étude, en particulier devant l’église. Une souscription sera lancée auprès de la Fondation du patrimoine afin de réaliser des travaux de charpente à l’église de Gaubertin. RC Loiret, 19/01 Graçay : L’année verra la réfection de la cantine scolaire, la réouverture de l’église Notre Dame ainsi que différents travaux d’assainissement nécessaires au bon fonctionnement du réseau d’eau. Meillant : l’élu a indiqué qu’en 2018, les efforts seront concentrés sur le projet de réhabilitation du presbytère. Ids Saint Roch : Amorcée le 22 mai, la restauration de l’église Saint Martin/Saint Roch, monument inscrit partiellement au titre des monuments historiques, se poursuit avec son lot de découvertes inopinées et désagréables : murs et contreforts endommagés, pierres de taille fragilisées, « assimilant davantage le chantier à une reconstruction plutôt qu’à une restauration », a souligné l’élue dans son discours. Le Berry, 19/01 Athée-sur-cher : Démarrage des travaux de restauration de la tour de la magnanerie dès janvier, pour lequel une souscription publique a été lancée en partenariat avec la Fondation du patrimoine. Bourgueil : Laurence Riguet, maire, a rappelé pourquoi la municipalité se portait acquéreur de l’abbaye : « Bourgueil mérite que nous ayons une vision plus ambitieuse ». NR Indre et Loire, 18/01
(Theuville) La cloche du village part en rénovation La cloche de l’église Saint Thaurin de Pézy (commune de Theuville) ne sonne plus depuis plusieurs années et la municipalité souhaite refaire « sonner les heures ». Ce bâtiment est classé monument historique et date de 1680. Un expert du ministère de la Culture est passé et a constaté plusieurs problèmes : les brides sont oxydées, les paliers sont à remplacer et l’ancien battant et son baudrier sont à démonter. Donc, pour la sécurité des lieux et la rénovation de l’ensemble, plusieurs entreprises spécialisées ont été sollicitées. C’est l’entreprise Mamias qui a été retenue, elle est spécialisée dans la restauration à l’identique des horloges monumentales anciennes et des travaux campanaires. La cloche quittera donc le clocher de Pézy ce matin pour un voyage vers un atelier, le bélier sera remplacé par un élément en acier inoxydable, l’ancien battant sera conservé et les points de frappe de la cloche seront « rechargés ». La Direction régionale des affaires culturelles et le Conseil départemental subventionneront ces travaux qui permettront prochainement à la petite église de revivre et de ponctuer chaque heure dans le village. (intégral) L'Echo, 19/01
Tout le monde est invité à redécorer Chambord… C’est un projet emblématique du demi millénaire que Chambord s’apprête à célébrer : redécorer l’intérieur du château pour lui donner l’image que François Ier en avait lorsqu’il y pénétrait. Pas le plus élevé (entre 100.000 et 250.000 €), mais qui s’ajoute à de gros investissements opérés par le domaine pour les jardins à la française et la réfection de son mur d’enceinte. « C’est Dartagnans qui nous a proposé l’opération de crowfunding, qui n’était pas forcément évidente pour nous. Mais en se penchant sur cet appel aux petits dons des particuliers, on a vu qu’il séduisait tous les grands sites. Et que le mécénat, désormais, concerne de gros donateurs, mais aussi le grand public, les deux sont complémentaires », explique Cécilie de Saint Venant, directrice de la communication du Domaine. Dimanche 14 janvier, Dartagnans a lancé sa souscription : un décompte de 45 jours est lancé pour atteindre les 100.000 €, les premiers dons commençant à 10 euros. L’objectif est double, récupérer la somme pour mener à bien le projet et communiquer auprès d’un public jeune, souvent éloigné de la valorisation du patrimoine. NR Loir et Cher, 19/01, p.3
Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 22 Jan - 9:33, édité 2 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Ven 19 Jan - 10:55 | |
| Source : caissedesdepotsdesterritoires.frLe prix "Osez le musée" couronne l'ouverture aux publics en situation d'exclusionFrançoise Nyssen a dévoilé, le 16 janvier, les premiers lauréats du prix annuel "Osez le musée". Ce nouveau prix "distingue les musées engagés dans une politique volontariste et novatrice en direction des personnes en situation d'exclusion ou de vulnérabilité sociale et économique". Sa création s'inscrit dans la droite ligne des conclusions de la mission "Musées du XXIe siècle", conduite il y a un an avec le réseau des musées de France (voir notre article ci-dessous du 7 mars 2017). Cette mission était précisément présidée par une ancienne directrice du département de la politique des publics de la direction générale des patrimoines au ministère de la Culture. Lire la suite : https://www.caissedesdepotsdesterritoires.fr/cs/ContentServer?pagename=Territoires/Articles/Articles&cid=1250280416291Source : actu.fr Culture : Deux musées des Hauts-de-France reçoivent le premier prix « Osez le musée »eudi 18 janvier 2018, Françoise Nyssen, ministre de la Culture, décernait le 1er prix 'Osez le musée' au Palais des Beaux-arts de Lille (Nord) et au Louvre Lens (Pas-de-Calais). Lire la suite : https://actu.fr/loisirs-culture/culture-deux-musees-hauts-france-recoivent-premier-prix-osez-musee_15137476.html
Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 22 Jan - 9:40, édité 1 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Ven 19 Jan - 10:59 | |
| Source : lefigaro.frEn 1944, la Tapisserie de Bayeux s'expose au Musée du LouvreLES ARCHIVES DU FIGARO - Emmanuel Macron envisage le prêt spectaculaire de la Tapisserie de Bayeux au Royaume-Uni. Rarement déplacée, la fameuse tapisserie de la reine Mathilde a été exposée au Musée du Louvre fin 1944. Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/histoire/archives/2018/01/17/26010-20180117ARTFIG00178-en-1944-la-tapisserie-de-bayeux-s-expose-au-musee-du-louvre.php Source : lejournaldesarts.fr La France va prêter la Tapisserie de Bayeux au Royaume-UniChef-d'oeuvre du Moyen Âge et symbole quasi-millénaire des relations longtemps belliqueuses entre l'Angleterre et le continent, la célèbre Tapisserie de Bayeux va être prêtée par la France au Royaume-Uni, un geste fort pour renforcer les relations franco-britanniques en plein Brexit. Lire la suite : http://www.lejournaldesarts.fr/site/archives/docs_article/150121/fermeture-complete-du-musee-de-cluny-de-mars-a-juillet-2018-.php?xtor=1268Source : lemonde.frLe prêt diplomatique de la tapisserie de BayeuxNos amis britanniques ont la sympathique habitude de donner à leurs places, rues et squares des noms de défaites françaises : Waterloo ou Trafalgar, par exemple… En annonçant que le Musée de Bayeux (Calvados), qui doit entamer une campagne de travaux, était prêt à se séparer temporairement de la tapisserie dite de Bayeux qui fait sa gloire – et fait venir 400 000 visiteurs par an dans la ville normande, laquelle n’est que dépositaire de l’œuvre (la convention n’a été officialisée que le 20 décembre 2017, alors que le dépôt date de Napoléon) –, Emmanuel Macron leur renvoie d’une certaine façon la politesse. Lire la suite : http://www.lemonde.fr/culture/article/2018/01/18/le-pret-diplomatique-de-la-tapisserie-de-bayeux_5243423_3246.htmlSource : latribunedelart.comPourquoi la tapisserie de Bayeux ne peut (et ne doit) pas voyager Un ami conservateur et médiéviste nous a confié avoir cru dans un premier temps à une blague du Gorafi. Toute la presse en effet ne résonne que de la promesse d’Emmanuel Macron à Thérèse May de prêter à l’Angleterre la tapisserie de Bayeux. Le communiqué de l’Élysée, même si le discours commun du Président de la République et du Premier ministre anglais était ambigu, est sur ce point plus mesuré. On lit en effet (alinéa 75) que ce prêt aurait lieu « sous réserve que les exigences juridiques et les conditions scientifiques de restauration et de préservation soient respectées. » Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/pourquoi-la-tapisserie-de-bayeux-ne-peut-et-ne-doit-pas-voyager
Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 22 Jan - 10:04, édité 3 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Ven 19 Jan - 11:02 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Ven 19 Jan - 11:17 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Ven 19 Jan - 11:21 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Ven 19 Jan - 11:24 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Lun 22 Jan - 9:41 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Lun 22 Jan - 9:49 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Lun 22 Jan - 9:57 | |
| Source : latribunedelart.comLe musée avant le musée. La Société des beaux-arts de Montpellier (1779-1787)Beaucoup de villes de province créèrent au XVIIIe une école de dessins ou de peinture, basée sur l’exemple sinon sur le modèle parisien de l’Académie. Montpellier suivit cet exemple même si sa propre Société des Beaux-Arts fut créée assez tard dans le siècle, en 1779, non par des artistes mais par des amateurs. Leur objectif était double : créer une école gratuite de dessins et permettre l’organisation de salons de peinture et de sculpture. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/le-musee-avant-le-musee-la-societe-des-beaux-arts-de-montpellier-1779-1787-7081 | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) Lun 22 Jan - 9:59 | |
| Source : latribunedelart.comLe Louvre Abu Dhabi raye le Qatar de la carteRayer littéralement un pays de la carte, prétendre qu’il n’a jamais existé, et ceci dans un espace réservé aux enfants, donc à l’éducation, dans un musée qui porte le nom de Louvre. Voilà l’immense exploit que vient de réaliser, à peine plus de deux mois après avoir été inauguré en grande pompes par le Président de la République Emmanuel Macron, le Louvre Abu Dhabi. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/le-louvre-abu-dhabi-raye-le-qatar-de-la-carte | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Expérience d’accueil des migrants Lun 22 Jan - 10:34 | |
| Expérience d’accueil des migrantsEn lien avec l'opération C'est mon patrimoine (en partenariat avec le CGET) Dans C'est mon patrimoine !, plusieurs projets ont des partenariats explicites avec des CADA (centres d'accueil de demandeurs d'asile), en Ile-de-France et PACA notamment. Pour une vingtaine d'autres projets dans d'autres régions, le dispositif permet d'accueillir des migrants / demandeurs d'asiles / allophones en situation d'apprentissage du français, adolescents ou adultes, par petits groupes, soit en direct avec les structures de type CADA, soit via des centres sociaux et sociaux-culturels, par petits groupes. Même si ces publics sont très minoritaires dans le total des jeunes accueillis, ils participent de la mixité des publics propre au dispositif. Ce public n'est actuellement pas présenté comme cible dans le dispositif, il pourrait être mis en avant à l'avenir (en complément de la cible principal qui reste les enfants / adolescents des QPV). En lien avec le prix Osez le Musée, mesure Musées du XXIe siècleA partir des dossiers de candidature au prix OLM-2017, quelques exemples de l’action de musées en direction des demandeurs d’asile et des primo-arrivants. Louvre-Lens (1er prix OLM-2017) : Tour de Babel (2016-2017, soutenu par la Fondation Total) : un projet avec des demandeurs d’asile autour de la thématique de l’écriture ; un travail collaboratif sur la diversité des langues ouvrant à la mixité des publics et instaurant un dialogue multiculturel. Musée Jean-Jacques HennerL’action en direction des primo-arrivants est un axe central de la politique du musée. Elle prend appui sur un parcours multi-sensoriel (dispositifs olfactifs, sonores, et olfactifs) qui implique fortement les personnels d’accueil. Le musée fait le pari de s’adresser à de nouveaux publics : les primo-arrivants. Il souhaite ainsi « assumer son rôle de ferment de la démocratie culturelle ». Dans cette même démarche d’aide aux primo-arrivants et aux réfugiés politiques, le musée travaille avec des classes allophones A noter : dans la dynamique de son action en faveur des primo-arrivants, le musée souhaite désormais faire partie de la mission Vivre ensemble. Paris-Musées (mention spéciale du prix Osez le Musée 2017)En 2016 : l’action des musées de la Ville Paris a touché 574 migrants et réfugiés. Une politique poursuivie en 2017 : le projet inter-musées « Identités et trajectoires », en partenariat avec les centres d’hébergement Emmaüs-Solidarité, s’adresse expressément aux migrants Des interventions de médiation menées tout au long de l’année par les trois grands musées de la Ville de Paris, le musée du Petit-Palais, le musée Carnavalet et le musée d’art moderne, chacun sur des pratiques différentes. L’objectif est la confrontation des parcours des migrants, avec les œuvres du Petit Palais, pour la collecte et la valorisation d’expériences provenant de l’espace public, entre lieux fréquentés et espaces interstitiels, lieux d’hospitalités et lieux fantasmés permettant de constituer une nouvelle cartographie pour le musée Carnavalet ou encore par des ateliers vidéos et son au musée d’art moderne qui permettront aux personnes accueillies dans les centres Emmaüs de créer une œuvre personnelle ou imaginaire sur le sujet du voyage. Musée du Quai Branly (mention spéciale du prix Osez le Musée 2017)Un musée propice à l’accueil de publics d’origine étrangère. Les publics en apprentissage du français ou ne maîtrisant pas la langue française sont de plus en plus représentés au sein des groupes du champ social qui se rendent au musée (migrants, demandeurs d’asile, réfugiés…). Les trois-quarts, environ, des relais du champ social formés sous l’égide du MQB s’occupent de ces publics. En 2016, a été créée, en lien avec des professionnels de l’apprentissage du français et en réponse à la forte demande des structures sociales, une visite guidée pérenne dédiée aux publics en alphabétisation ou en Français Langue Etrangère : la visite « ALPHA ». Celle-ci permet de découvrir une sélection d’œuvres des collections permanentes à partir d’un jeu de cartes qui encourage la participation de chacun. Les prémices de cette visite ont été publiés comme exemple dans le guide du Louvre Accueillir les publics en apprentissage du français, guide à l’attention des professionnels de musées. Un peu en marge de la demande car plutôt centré sur l’apprentissage du français mais toutefois intéressant Musée du LouvreLa langue française au musée du Louvre : en lien avec la DGLFLF, des outils et programmes spécifiques « Osez le Louvre : des œuvres et des lieux pour pratiquer le français » : une journée de formation à l’attention des relais agissant auprès des publics non francophones et/ou en situation d’illettrisme ; en 2016, 136 relais touchés ; Publication d’un kit « Osez le Louvre » réalisé avec et pour les formateurs en langue française ; Semaine de la Langue Française : pour la 1ère fois en mars 2017, une semaine en direction des formateurs en français mais aussi des visites en FALC, ainsi que des conversations hors les murs en amont ou en aval de la visite ; Publication en 2016 du guide « Accueillir les publics en apprentissage du français, guide à destination des professionnels de musées », fruit d’un groupe de travail piloté par le Louvre dans le cadre de « Vivre ensemble ». A noter : le travail commun, notamment, du Louvre et du MQB sur cette question de l’apprentissage du français ; ceci dans le cadre de la mission « Vivre ensemble ». Et plus généralement dans les musées - les actions du musée national de l'immigration - les actions menées dans le réseau Vivre Ensemble avec les associations en lien avec les migrants en Ile de France et en PACA : notamment la CIMADE (exemples de visites au musée national de la Renaissance) - le MUCEM et les projets 'mix' qui travaillent avec les personnes issues de l'immigration pour mettre en regard les différentes cultures présentes. - le projet FRAME " L'art de l'inclusion" mené conjointement au musée des Beaux-arts de Montréal et au musée des Beaux-arts de Lyon : http://www.polville.lyon.fr/agenda/lart-de-linclusion-danse-au-musee-des-beaux-arts-de-lyon et https://www.mbam.qc.ca/videos/lart-de-linclusion/ au musée des beaux arts de Montréal. - Musée de la Piscine à Roubaix : de nombreuses actions également menées par la société des amis du musée (http://www.roubaix-lapiscine.com/actualites/la-piscine-souvre-sans-frontieres-des-demandeurs-dasile-en-visite-au-musee/) et prochainement lors de l'ouverture de nouvelles salles ; une salle sera dédiée aux personnalités de Roubaix et aux différentes immigrations (achat d'un vitrail représentant un immigrant africain devenu personnage local en tant que guérisseur par exemple, mais également réflexion sur la manière dont les collections reflètent les immigrations à Roubaix). De beaux projets d'expositions témoignent du rôle primordial que les musées exercent dans la cohésion sociale et le rassemblement des cultures. Les musées d'art contemporain sont aux premières loges pour refléter l'intérêt des artistes pour ces questions mais certains musées d'histoire et mémoriaux mémoriaux se confrontent également à ces problématiques actuelles, possibilité pour eux d'élargir au monde présent des projets scientifiques et culturels parfois uniquement tournés vers la mémoire du passé. 3 exemples concrets récents, porteurs de réflexions et d'actions sur la place de la culture vis-à-vis des migrants : - exposition Tous des sangs-mêlés (22 avril- 3 septembre 2017) du MAC/VAL (Musée d'art contemporain du Val de Marne de Vitry sur Seine) consacrée à ce thème global de "l'identité culturelle". Le musée a consacré un site documentaire spécifique à cette question : http://doc.macval.fr/tdsm.aspx- le Centre de la Résistance et de la Déportation de Lyon a acquis une œuvre en 2017 En vie, film de Maryvonne Arnaud à partir d'images prises des arrivées de migrants sur les plages de Lesbos en 2016. La question des migrations, le récit des populations déplacées, des départs contraints ou volontaires est un thème que le musée n’a cessé d’explorer en organisant en 2016 : « Rêver d’un autre monde – Représentations du migrant dans l’art contemporain" exposition collective livrant différentes écritures sur le thème du voyage et de l’exil des migrants extra-européens. - une démarche similaire à saluer est celle du site mémorial du Camp des Milles à Aix-en-Provence, qui réalise un important travail ouvert sur l'histoire et les débats contemporains. On peut saluer l'action de transmission et d'ouverture à la tolérance en direction des jeunes publics face à ces domaines et plus globalement, son action en tant que "musée d'idées" (conçu comme un laboratoire innovant dans son contenu comme dans ses dispositifs pédagogiques). Son action éducative et culturelle est destinée à renforcer la vigilance et la responsabilité des citoyens face au racisme, à l'antisémitisme et à tous les fanatismes. Pilotés par la MACTI (macti.centre@culture.gouv.fr), les crédits 2018 de la DRAC dédiés au développement des publics dans les musées de France de la région permettent de lancer / évaluer des projets de médiation ex : publics migrants http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/Drac-Centre-Val-de-Loire/La-DRAC/La-DRAC-et-ses-services/Les-trois-missions-de-coordination/Mission-de-l-action-territoriale-et-interministerielle-MACTIN'hésitez pas à nous solliciter. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) | |
| |
| | | | Revue de presse (15 - 21 janvier 2018) | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |