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 Revue de presse (13 - 19 août 2018)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (13 - 19 août 2018)   Revue de presse (13 - 19 août  2018) Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 12:20

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Vierzon) Montant record pour une acquisition

Cette assiette en porcelaine de Mouche Chemla a été réalisée en 1930, à une période où l’artiste a séjourné à Vierzon. Elle vient enrichir les collections du musée. « Depuis la création de l’association, c’est la plus grosse acquisition que nous venons de réaliser pour une simple pièce, s’enthousiasme Frédéric Morillon, le président des Amis du musée de Vierzon. C’est la plus importante et la plus symbolique aussi. » Cette assiette dodécagonale (douze côtés), en porcelaine, vient d’être obtenue  lors d’une vente aux enchères parisienne, chez Millon. Avec l’accord du musée, l’association a déboursé au total 325 euros (250 pour la pièce, plus les frais). Exposée en septembre Né en 1897 à Tunis (alors sous protectorat français), Moïse – dit « Mouche » – Chemla est issu d’une famille de potiers et céramistes. « On suppose que cette assiette a été réalisée à  Vierzon, reprend Frédéric Morillon. Entre 1925 et 1931, Mouche Chemla a voyagé à travers le monde. Il a notamment séjourné à Limoges et Vierzon pour se former. » En 1955, il devient meilleur ouvrier de France puis s’illustre dans une Tunisie qui accède à l’indépendance. Mouche Chemla meurt en 1977 dans le Var. Une nouvelle génération lui succédera, via son neveu. Les Vierzonnais auront le plaisir d’admirer cette pièce lors du forum des associations qui se déroulera les samedi 22 et dimanche 23 septembre, au parc des expositions. (intégral)
Le Berry, 11/08

(Anet) Derrière la bibliothèque, un musée secret

En cas de journée trop chaude, il existe un lieu de replis, ombragé et méconnu qui, situé passage Lemaître, réserve bon nombre de surprises. Pour y accéder, il suffit de franchir les portes de la bibliothèque et d’y découvrir un petit musée. Une collection d’oeuvres d’art du plus grand intérêt qui en surprendra plus d’un de part sa variété. Provenant du legs d’un collectionneur avisé, la collection Pierre-André Gourgand fut rassemblée au début du XXe siècle. Cette dernière présente un panel d’oeuvres  s’étalant sur près de deux millénaires. Les curieux découvriront une ancienne statue chinoise de l’an 200 côtoyée un monumental soldat de métal de 1967.
L'Echo, 11/08, p.12

(La Chatre) Les oeuvres du musée habillent les vitrines vides
Depuis quelques jours , Vanessa Weinling et Brigitte Massonneau du Musée de La Châtre, accompagnées de Jean-Marc Gomis, agent municipal, habillent certaines vitrines de la ville de reproductions d’oeuvres issues de la collection du musée. Cette exposition hors les murs et hors du commun, intitulée Le Musée sort de ses réserves ! concerne une vingtaine de commerces. Ce projet original a un double objectif : permettre aux habitants du territoire et touristes de découvrir un pan de la collection du musée et donner un coup de projecteur sur les locaux vacants en ville. Le calendrier a été choisi pour permettre de valoriser les collections conservées dans les réserves jusqu’à la réouverture du musée. Les oeuvres sont reproduites sur un matériau microperforé, adapté à la taille de la vitrine, et apposées à l’extérieur, accompagnées d’un cartel présentant le nom de l’artiste, le titre de l’oeuvre, la technique et la date de réalisation.
NR Indre, 11/08, p.14

(Issoudun) Une oeuvre sur mesure pour le Musée Saint-Roch
Artistiquement, c’est une expérience incroyable. Être sollicitée pour créer une oeuvre sur mesure pour un lieu, c’est rare dans une vie d’artiste, souligne Cécile Le Talec. C’est Sophie Cazé, conservatrice du Musée Saint-Roch, qui est allée à sa rencontre après être tombée sous le charme de son Lithophaone, installation sonore réalisée pour la triennale d’art contemporain de Vendôme, en 2015. Elle lui a ainsi donné carte blanche pour concevoir l’une des oeuvres du futur parc de sculptures du Musée Saint-Roch. Seuls critères posés : l’oeuvre devait être pérenne, avec une dimension sonore, et composée d’un matériau adapté à une exposition en extérieur. Cécile Le Talec avait déjà visité le musée d’Issoudun. Cette fois, elle y est revenue avec  un autre regard, laissant les murs et les collections lui parler et nourrir sa réflexion. « J’avais envie de penser une oeuvre in situ qui serait en écho avec les sculptures et tableaux exposés dans les salles du musée », explique l’artiste qui eut un véritable « coup de foudre » pour l’Arbre de Jessé de la chapelle de l ’hospice Saint-Roch. De ce cheminement intellectuel, est née une oeuvre monumentale de 2,50 m de hauteur sur 4,60 m de largeur qui  prendra place prochainement dans l’extension extérieure du Musée Saint-Roch. Telle une harpe géante, cette sculpture sonore sera composée de 260 cordes tendues que le visiteur pourra caresser pour déclencher des harmoniques.
+ “ Les oeuvres ont besoin d’être touchées ”
NR Indre, 13/08, p.13

Chartres. Henri Villain aux cimaises du musée des Beaux-Arts
Le musée des BeauxArts, à Chartres, accueille une exposition lumineuse du peintre Henri Villain. Cet Eurélien, né en 1878, à Châteaudun, a consacré sa vie à la peinture orientaliste.
Écho rép. 17/08/2018, p. 2

La Ferté-Villeneuil. L’écomusée anime le territoire
Chauve-souris, meules et farine, archéologie, pattes d’animaux, château de Guédelon… l’écomusée anime la vallée de l’Aigre, cet été.
Rép. Du Centre Orléans, 17/08/2018, p. 11

Châteauroux (36). Nivet : “ Un sculpteur bienveillant et humain ”
Décédé en 1948, l’artiste berrichon a laissé une empreinte indélébile. Une exposition est à découvrir au Musée-hôtel Bertrand. Au cœur de l’exposition, œuvres, maquettes et croquis du sculpteur sont à découvrir. On retrouve, par exemple, un mur de l’atelier d’Ernest Nivet où l’on aperçoit des essais et esquisses faites par l’artiste lui-même. Sont également présentés des travaux d’amis ou de proches de l’artiste berrichon.
NR Indre 20/08/2018, p. 3


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MessageSujet: Revue de presse (13 - 19 août 2018)   Revue de presse (13 - 19 août  2018) Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 12:20

Archéologie région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Montargis) Le Moyen Âge dans votre assiette
Avec Fabian Müllers, l’histoire arrive jusque dans votre assiette. Dernier exemple en date, Le Moyen Âge, ouvre de  cuisine médiévale, richement illustré, qui propose cinquante cinq recettes provenant des XIIe et XVe siècles. Ce condensé  de connaissances sur la cuisine médiévale vient évidemment de l’expertise de l’auteur, mais aussi d’un riche travail collectif de documentation. Dans ce livre, Fabian Müllers, historien et cuisinier, s’attache à décrypter les ouvrages culinaires d’autrefois et à en reproduire les recettes, pour les adapter à la cuisine d’aujourd’hui. Outre les célèbres Mesnagier de Paris ou autres Viandier de Taillevent, l’auteur a souhaité porter à la connaissance du lecteur d’autres ouvrages peu ou pas connus du grand public. Nous découvrons ainsi des recettes destinées au pape Martin V de Rome tirées du Registrum Coquine, « un Réceptaire  du XVe siècle », explique Fabian Müllers ou le Manuscrit de Durham, datant du XIIe siècle, détrônant ainsi le Manuscrit de Sion comme livre de recettes du Moyen Âge le plus ancien en langue française.
RC Loiret, 11/08, p.11

(Châteaumeillant) Les trésors  archéologiques de l’oppidum
Depuis le XIXe siècle, Châteaumeillant est le cadre de fouilles archéologiques ; des fouilles qui ont mis au jour de nombreux objets permettant de comprendre le mode de vie des habitants de cet oppidum gaulois. « Les toutes premières fouilles ont été réalisées par Émile Chenon aux alentours de 1880, explique Sophie Lacan, responsable scientifique du musée qui porte le nom de ce pionnier des fouilles. Puis, à l’appel de l’archéologue Jacques Gourvest, Émile Hugoniot est le premier à avoir réalisé de grandes campagnes permettant, notamment, de découvrir une cave à amphores en 1956, dans le jardin d’un habitant de Châteaumeillant. » C’est en 1963 que le musée est ouvert au public, à l’initiative de Jacques Gourvest, afin d’y exposer le résultat des foui lles. « Quatre vingts amphores complètes ont également été découvertes en 1972, c’est unique sur le territoire français », poursuit Sophie Lacan. « Ces découvertes permettent de penser que la  population de l’époque était assez riche, analyse Sophie Krausz, archéologue qui travaille sur le site de fouilles depuis dix huit ans. Les habitants de l’oppidum faisaient venir du vin d’Italie, un produit très cher à l’époque. » L’importante quantité d’amphores peut aussi laisser penser à un  commerce du vin depuis Châteaumeillant. « Peut être y avait il une activité de négoce ? », s’interroge Sophie Krausz. La dernière découverte de cave à amphores dans le coeur de la ville remonte à 1996, à l’occasion de travaux de voirie. « Aujourd’hui, nous réalisons les fouilles au sein de la réserve archéologique de six hectares située au sud de Châteaumeillant, explique Sophie Krausz.  Ces terrains ont été achetés pendant vingt cinq ans par la commune. »
+ Un immense rempart massif mis au jour en 2018
Le Berry, 12/08, p.2/3

Des menhirs dans le Gâtinais, par Toutatis !
Les menhirs sont suffisamment source de mystère pour tordre le coup à une contrevérité majeure : non, ce ne sont pas les Gaulois qui, à la force de leur bras, ont dressé ces centaines de pierres en France. Dans la réalité, le débonnaire Obélix d’Uderzo n’aurait en fait jamais pu être livreur de menhir : « Les menhirs datent du néolithique, donc à partir de 5.000 ans avant J.C. », corrige d’ailleurs Richard Jasinski, blogueur de Paucourt et amoureux éperdu de la forêt de Montargis. L’homme s’est naturellement penché sur trois des menhirs les plus spectaculaires du Montargois, tous situés dans « son » territoire. Il y a bien sûr la pierre aux fées, au bord du lac de Cepoy. Le menhir le plus facilement accessible, en lisière de l’ancienne forêt royale. Il faut nettement plus s’enfoncer sur les longs chemins pour découvrir la  pierre du Gros Vilain (la pierre du diable !), le menhir le plus connu, du haut de son petit mètre quatre vingts râblé : « Ah, quand j’étais gamin, c’était notre balade, ça, jusqu’à la pierre du Gros Vilain », lance le maire de Paucourt Bernard Delaveau, à l’évocation du menhir. Mais le mégalithe le plus spectaculaire est planté à l’Est de la forêt, en plein champ, du côté de Louzouer. La pierre de La Chaise est tellement monumentale qu’elle a donné son nom au lieu dit. Du haut de ses 4,40 mètres de poudingue – silex et ciment naturel –, c’est le plus grand menhir du Loiret. Allez d’ailleurs savoir  pourquoi le Gâtinais est le secteur le plus riche en pierres levées du Loiret : plus de la moitié sur la quarantaine répertoriée sur le département.
+ Les mégalithes du Montargois, bien connus… des érudits
RC Orleans, 13/08, p.2

Drevant (18). Le patrimoine antique du Cher mis en valeur
Les services de l’État ont lancé les travaux de restauration et d’aménagement du théâtre antique, site classé aux monuments historiques. Objectif : une remise en valeur complète, sous surveillance archéologique constante. La Direction régionale des affaires culturelles a lancé des travaux (chantier de deux millions d’euros) pour une durée de cinq ans.
Berry rép. 20/08/2018, p. 13

Mehun-sur-Yèvre (18). Le château de Mehun joyau de l’art gothique
Transformé par Jean de Berry, le château de Mehun est un des joyaux du gothique international. Cela a été découvert tardivement, grâce à des fouilles commencées en 1980 par de jeunes passionnés. Ces fouilles ont également permis de découvrir l’art de vivre qui animait la cour des seigneurs de Mehun, le raffinement des mets ainsi que la beauté des sols en carreaux fabriqués par des artisans maures.
Berry rép. 19/08/2018, p. 2-3


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MessageSujet: Revue de presse (13 - 19 août 2018)   Revue de presse (13 - 19 août  2018) Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 12:20

Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Mérigny) Les vitraux de La Roche Belluson rénovés
Michel Liaudois, maire de Mérigny et président du conseil d’administration de La Roche Bellusson, a inauguré récemment les vitraux de la chapelle. Ces vitraux, retrouvés dans des dépendances du château, ont été restaurés par Nathalie Desnoyer grâce à la générosité de nombreux donateurs. L’association des Amis de Mérigny, présidée par Jean-Claude Fillaud, a coordonné le montage du projet. Arnaud De Montigny, responsable départemental de la Fondation du Patrimoine, a lancé une souscription populaire. La Région et le conseil départemental ont participé au financement à travers des fonds dédiés à la sauvegarde du patrimoine. Ce moment a permis de se remémorer l’importance de la famille Benazet, propriétaire du lieu. Ce n’est qu’en 1950 que cette propriété a été rachetée par l’Association des anciens combattants de la Vienne et de l’Indre. Elle est devenue Ehpad et habitat regroupé pour personnes âgées. Les vitraux sont visibles, sur demande auprès de l’accueil de l’Ehpad. (intégral)
NR Indre, 11/08

(Tours) Cloître des Capucins : le chantier se poursuit dans la sérénité
C'est un projet déjà vieux de six ans. Depuis que, suite au départ des derniers moines de l’ordre des capucins, l’association Habitat et Humanisme, a racheté le site du couvent des Capucins, rue de la Pierre à Tours-Nord, à l’association pour adultes et jeunes handicapés. Un site qui s’étend sur près d’un hectare et que l’association solidaire a réussi à ravir in extremis à l’époque, à un autre acquéreur de taille, le groupe Bouygues ! Depuis, le projet de réhabilitation du couvent et de ses abords, a été empêché par moult recours et pétitions, menés par des riverains. Le projet a été ajourné, reporté, remanié, représenté maintes fois. Désormais, tous les recours ayant été épuisés, ça s’active franchement sur place comme en témoignent  les deux grues que les passants de la Tranchée aperçoivent depuis plusieurs mois. Claude Émonet, le président d’honneur d’Habitat et Humanisme, à l’origine avec quelques autres du projet de pôle intergénérationnel, annonce une mise en service au printemps ou à l’été prochain.
NR Indre et Loire, 11/08, p.10

(Chinon) La Balade du ventre : un bol d’air culinaire et littéraire

Il est 17 h, mardi. La cloche sonne dans la cour de La Devinière. Depuis le 31 juillet, le musée Rabelais propose une fois par semaine La Balade du ventre, un voyage théâtralisé entre la maison de Rabelais et l’Abbaye de Seuilly. Au programme : un kilomètre de marche sur fond d’humour et de littérature. Vêtus de costumes d’époque, les deux comédiens, Nathalie Barbelivien et Pierre Treffé, alias Aglaé et Saturnin, nous font replonger en 1901, cent ans après l’invention du mot « gastronomie », concept que l’on doit à Rabelais en personne. Limitée à soixante personnes, cette animation avait fait le plein lors de sa première représentation. Mardi, c’était de nouveau le cas.
Le chiffre : 25. Comme le nombre de places encore disponibles pour l’ultime représentation de cette Balade du ventre, mardi 14 août (17 h). En effet, 35 réservations ont déjà été prises pour cette date. Tarif : 11 €.
NR Indre et LoireW, 03/08, p.13

(Boussay) Le clocher endommagé par la foudre sous protection
La foudre est tombée sur le clocher de l’église de Boussay le 19 juillet. Outre la détérioration de la couverture en ardoises, les mécanismes de fonctionnement des cloches ont été atteints, ainsi que l’électricité. Le bourg a également été privé de connexion Internet, mais les réseaux ont pu être remis assez rapidement en fonctionnement dans les jours suivants. Marguerite Ligaud, le maire, a établi un périmètre de sécurité autour du clocher en attendant les expertises. La société Bodet, de Trémentines (Maine-et-Loire),  spécialisée dans l’entretien et la restauration des cloches et horloges dans les bâtiments publics, a été contactée.
NR Indre et LoireW, 11/08, p.16

(Courville sur Eure) Les travaux de l’église sont enfin terminés
Pour clore trente quatre mois de travaux à l’église Saint Pierre, une dernière réunion a été programmée jeudi. Un moment solennel pour Patrice Calvel, architecte des Monuments historiques : « C’est mon dernier chantier, car je prends ma retraite en octobre. » Patrice Calvel a oeuvré, de 1998 à 2013, au chevet de la cathédrale de Chartres. Mais l’église de Courville a aussi sa particularité : « A ma connaissance, vous avez la plus belle charpente intérieure sculptée du département. C’est une oeuvre d’art qu’il faut bichonner ».
L'Echo, 12/08, p.8

(Diors) La typographie : art oublié mais pas disparu

Samedi 11 août, l’entreprise Les Jardins Typographiques recevait une dizaine de personnes, dans le cadre des Secrets de fabrique. À Diors, dans une grange rénovée et entourée de verdure, Christelle Fort, l’unique gérante, s’épanouit. Depuis trois ans, elle produit des livres, des  faire-part ou encore des flyers, avec des techniques et machines anciennes. « Je suis arrivé à Diors en 2016. L’entreprise est ce que l’on appelle une imprimerie traditionnelle, donc on assemble des lettres les unes après les autres pour arriver au résultat final », présente la responsable. Plasticiens, auteurs, artistes, sociétés et particuliers font ainsi appel à ses services. Au milieu des machines, papiers et petits morceaux de plomb, Christelle Fort enchaîne les travaux manuels. Les tâches sont longues et nécessitent beaucoup de concentration. En atteste la dernière impression de l’entreprise : Grammaire du français inclusif. « Pour répondre à cette commande, il m’a fallu six mois de travail », s’amuse la gérante. À l’origine, Christelle Fort a passé cinq années aux Beauxarts, avant de poursuivre avec un BTS de communication visuelle. « Ces deux années de BTS étaient davantage orientées sur la commande de clientèle et des projets bien spécifiques. Donc, de fil en aiguille, j’ai voulu allier savoir- faire et commandes », raconte- t-elle. Attirée par les papiers atypiques, elle s’est dirigée vers l’imprimerie traditionnelle : « On peut imprimer sur ce genre de support uniquement avec ces outils anciens. »
Prochaine visite, samedi 8 septembre
NR Indre, 12/08, p.6

(Oizon) Une nouvelle enquête à la Verrerie
Il ne s’y était plus rien produit de suspect depuis quatre ans. Mais, ce weekend, des criminels rodaient à nouveau dans l’enceinte du château de la Verrerie. Entamée dans la superbe chapelle, la visite guidée de Gaël Chênet, animateur de la route Jacques Coeur, ne s’est pas déroulée de manière conventionnelle. Le domaine était ce weekend peuplé d’une nuée de personnages, tous aussi suspects les uns que les autres une fois le forfait  découvert. De pièce en pièce, le public se retrouve entraîné dans les méandres des histoires de chacun des personnages. Et, à mesure que la  nuit tombe sur le château, le drame se noue entre ses murs. De la galerie Renaissance à la salle à manger, en passant par la bibliothèque, les indices sont distillés, prêts à être recueillis par les plus attentifs. Carnets en main, les plus soucieux d’identifier le coupable tâchent de ne rien manquer des multiples saynètes qui accompagnent la visite du château. C’est finalement dans la salle à manger que se joue le dénouement, une heure et demie après le début de la visite. Tous n’ont pas su résoudre l’énigme, mais la satisfaction est universellement partagée.
Le prochain Crime aura lieu à Sancerre, le 17 août. Réservations au 02.48.65.31.55 ou sur https ://route-jacquescoeur.com/.
Le Berry, 13/08, p.13

(Villebon) Amélie ou la passion du patrimoine
Diplômée de l’École du Louvre et après un début de carrière comme commissaire priseur à Paris, Amélie Hême de Lacotte a choisi de faire partager sa passion du patrimoine en devenant guide conférencière. « J’ai débuté en 2012 par des visites au château de Villebon puis, peu à peu, j’ai proposé à des membres de ma famille et à des copines, des visites à Paris. Au fil du temps, j’ai souhaité exercer cette profession en me spécialisant dans les groupes de moins de vingt personnes. » La guide conférencière, qui habite au Thieulin, veut inciter à regarder les monuments sous un autre angle : « J’aimerais que les gens se souviennent d’un élément architectural ou historique. Les visites doivent être une rencontre sympathique ou il faut être curieux. » Amélie Hême de Lacotte propose un panel de visites en Eure et Loir : la cathédrale de Chartres, la vieille ville de Dreux, Bonneval, les châteaux de Maintenon et de la Rivière, à Pontgouin. Mais aussi en région parisienne.
L'Echo, 13/08, p.8

(Châteaudun) «Le château, le lieu qui me plaît le plus»
«J’avais des yeux d’enfant quand je l’ai vu pour la première fois. Le château de Châteaudun, c’est le lieu qui me plaît le plus », avoue, encore émerveillée, Carla Luciani. La jeune Yvelinoise de 21 ans n’a donc pas hésité une seconde, en avril, lorsqu’on lui a proposé d’effectuer la toute première mission de service  civique de six mois au sein du monument dunois. « Le service civique m’a toujours tenté. Je me suis beaucoup investie, par le passé, dans des associations, j’avais envie d’être utile. J’aime la démarche d’être au service des autres », confie t elle. L’autre grande passion de Carla Luciani, c’est l’histoire de l’art et le patrimoine. À l’été 2017, juste après l’obtention de sa licence d’histoire de l’art, Carla Luciani décide de consacrer une année « à tester différents domaines » pour  déterminer son avenir professionnel. « Je voulais faire de la restauration d’art, j’ai suivi des stages avec des restaurateurs professionnels à Versailles et  Paris. Mais je voulais avoir plusieurs expériences professionnelles », souligne la jeune femme qui a travaillé dès sa deuxième année d’études et jusqu’à récemment aux côtés d’un agent d’artistes, à Paris, afin de préparer des expositions. Elle a, aussi, été hôtesse d’accueil, animatrice dans une maison des jeunes en région parisienne. En mars dernier, elle découvre sur un site Internet dédié la mission de service civique de six mois proposée au  château de Châteaudun. Dès qu’elle voit le monument dunois, c’est le coup de coeur. Sitôt arrivée, elle travaille sur les préparatifs de l’opération « C’est mon patrimoine 2018 », qui reçoit, chaque été, des jeunes des quartiers prioritaires d’Eure et Loir et du Loiret, ainsi que ceux de zones de revitalisation rurale.
L'Echo, 13/08, p.12

(Suèvres) La plaque du jubilé a été retrouvée
C’est en fouillant dans les placards de la sacristie de l’église Saint-Lubin de Suèvres la semaine dernière que les propriétaires ont retrouvé des morceaux de marbre gris avec des inscriptions gravées. Après un patient travail de reconstitution du puzzle, il est apparu qu’il s’agissait de la plaque commémorant le jubilé de 1865 qui avait été cassée en 1900 par des gamins. On avait sans doute conservé ces morceaux dans la sacristie… et on les avait oubliés ! En cette fin du XIXe siècle, il était fréquent que des prêtres viennent en mission pendant quelques jours dans les campagnes et que l’événement soit gravé dans la pierre pour les générations futures. La plaque était fixée sur le socle du très beau calvaire que l’on peut voir devant l’entrée sud de l’église avec un Christ en gloire. Peut-être pourra-telle retrouver sa place après une réfection à l’identique. (intégral)
NR Loir et Cher, 13/08

(Montrichard-Val-de-Cher) Pénétrer dans les mystères de la tour
Faire revivre le passé, tel est l’objet de la société Phil et Lou de Noyers-sur-Cher créée en 2015. Ce matin du 8 août au pied du donjon, le maire, Damien Henault et deux conseillers de la commune de Montrichard-Val-de-Cher avaient donné rendez-vous à Gilbert Marcos, trésorier de l’association « Les amis du vieux Montrichard » pour visualiser l’application Histar de la société de Noyers. « Un QRCODE est désormais installé sur la petite esplanade du donjon, à droite en arrivant après la porte d’entrée. Une fois le code flashé, en ayant au préalable chargé l’application sur votre smartphone ou tablette, vous pouvez accéder à Histar, l’application qui va vous permettre de visualiser en 3D le donjon et son château reconstitués comme au XVIIe siècle, mais pas uniquement : vous pourrez “ voir ” également tout le pourtour, la cour, les remparts avec ses créneaux et une foule de personnage dont Foulques Nerra, le créateur du château au XIe siècle. Une animation complète de la vie au château, patrimoine de notre ville », dira Gilbert.
NR Loir et Cher, 13/08, p.12

(Vierzon) Les derniers trésors de la Mémoire
C’est un petit bijou pour les passionnés de machinisme agricole. Une nouvelle pièce vient enrichir les collections de l’association Mémoire industrielle et agricole du Pays de Vierzon, que l’on pourra admirer à la Fête de la terre, à Brinay, dimanche prochain. Cette petite batteuse Société Française fait la joie de Michel Hervé, président, et des bénévoles, qui s’activent dans le local de stockage et dans les ateliers, afin de préparer les tracteurs, batteuses et autres engins qui seront exposés. Fabriquée en 1927 dans l’usine vierzonnaise, ce modèle offert par un petit musée rural de Haute Savoie qui a fermé ses portes, a conservé son décor peint d’origine, aux couleurs de la Française, marque de l’époque, avec l’épi de blé, les coquelicots et les bleuets. (intégral)
Le Berry, 14/08

(Blois) “ Le renard peut manger 6.000 souris par an ! ”
Le renard mangeur de poules, rusé, voleur ou porteur de maladies. C’est pour déconstruire ces idées, bien souvent négatives, que le Muséum d’histoire naturelle de Blois organise des visites guidées et des ateliers en lien avec son exposition « Renard, qui es-tu ? », tout au long de l’été. Légalement, quatre raisons peuvent être invoquées pour inscrire le renard sur la liste départementale des espèces dites « nuisibles » : « l’intérêt de la santé et de la sécurité publiques (vecteur d’échinococcose alvéolaire), la protection de la flore et de la faune, la prévention des dommages  importants aux activités agricoles, forestières et aquacoles et la prévention des dommages importants à d’autres formes de propriété… », peut-on lire. A moins que ces motifs soient des prétextes invoqués pour justifier la destruction du renard sans quota. « 600.000 à 1 million sont tués chaque année par la chasse ou le piégeage » sans raison sanitaire ou scientifique crédible, indique Patrice Blain, animateur au Muséum, aux enfants venus en apprendre davantage sur le canidé. S’il était mieux connu, le renard serait sans doute plus apprécié. « L’objectif de cette matinée est qu’à la fin, les enfants se fassent leur idée propre sur l’animal », indique Patrice Blain.
NR Indre, 14/08, p.9

Châtillon comme on ne l’a jamais vu
Un trésor, une perle, une pépite… Les mots ne manquent pas lorsqu’on tourne les pages du nouvel ouvrage publié par Castellio, signé Guy Brucy, historien et secrétaire de l’association historique. Il révèle un pan de l’histoire urbaine et sociologique de Châtillon sur Loire, à la fin du XIXe siècle, à travers les clichés du pasteur protestant Marc Samuel Diény, qui a séjourné dans la commune entre 1891 et 1896. Un témoignage exceptionnel, puisque les premières images de Châtillon dont on disposait jusqu’ici étaient des cartes postales datant de 1901. « Cette fois, il s’agit de photographies faites sur plaques de verre, d’excellente qualité, indique Guy Brucy. Nous pouvons les agrandir sans qu’elles ne pixellisent. »
RC Loiret, 14/08, p.11

(Saint Amand) DES HOMMES ET DES LIEUX (5/6) La vie entre trésor(s) et légendes du XVe
Il reste toujours une part de mystère à propos de la maison dite de Fradet, où vit Xavier Junchat, le pharmacien de la place du Marché. La demeure est celle que ses parents avaient achetée en 1975, alors qu’il était étudiant, pour agrandir leur commerce et avoir un endroit où habiter à la retraite. À  l’époque, il a pris part « à 100 % » à la restauration, faisant beaucoup de recherches pour en retracer l’histoire. « Elle a été construite en 1420 par de Fradet, seigneur des terres de Bannegon et de Charenton. C’était sa maison de ville. » Alors qu’il n’est, à son tour, plus très loin de la retraite, Xavier Junchat n’a rien oublié des récits des demoiselles Desroys, les couturières qui vivaient dans une partie de la maison lorsqu’il était enfant. « On y allait  avec mon frère. Elles nous racontaient les légendes et cette histoire de trésor qui y serait caché mais que personne n’a jamais découvert. Une fois, en  cherchant, mon burin est parti dans un trou, et j’ai bien cru l’avoir trouvé ! Mais il n’y avait qu’une assiette et une petite crosse en ivoire… Il faudrait  peut être  fouiller au pied du puits mais on ne l’a jamais fait. À l’époque, il fallait surtout que les travaux avancent et, aujourd’hui, j’ai un peu abandonné… » Si la façade côté place du Marché vaut le coup d’oeil, le point de vue le plus remarquable, celui qui fait s’arrêter les visiteurs de la ville ancienne et ceux guidés par l’office de tourisme, est plutôt à apprécier côté rue des Vieilles Prisons.
Le Berry, 15/08, p.12

(Meung sur Loire) Soirée blanche au château
Après avoir inauguré le festival de musique « Barock sur Loire », en 2017, les Amis du château de Meung sur Loire ont souhaité aller plus loin en écrivant un nouvel épisode de leur aventure : une soirée blanche, ce samedi 18 août. Une belle illustration de l’art de vivre à la française. Cette soirée se  veut familiale. Les participants, tout de blanc vêtus, pourront piqueniquer dans le parc du château en écoutant l’orchestre symphonique du Loiret et son programme de tubes classiques pour les petits et les grands. Une fois le concert terminé, en attendant que la nuit tombe, les spectateurs pourront jouer pour remporter les cadeaux des partenaires de l’événement. Ensuite, ils assisteront à un grand feu d’artifice tiré dans l’enceinte de l’édifice. En « After », DJ Fred animera la fin de soirée dans la cour d’honneur, l’occasion pour tous de flâner dans les jardins, de danser ou de discuter autour d’une coupe de champagne. Les bénéfices de la soirée blanche seront dédiés au sauvetage du pavillon de musique du XVIIIe, en complément des fonds récoltés, dans un premier temps, grâce au récent crowdfunding mené en partenariat avec l’agence de financement participatif Dartagnans.
RC Orleans, 16/08, p.13

(CC Coeur de France) Un patrimoine sacré pour le tourisme
Édifices identitaires des villages, les églises, chapelles et autres monuments religieux sont aujourd’hui un atout de poids pour le tourisme. En Boischaut, le secteur peut désormais s’appuyer sur un nouveau dépliant réalisé par la paroisse de Saint Amand. Ce dernier recense et décrit les vingt églises des paroisses de Notre Dame de Grâce (Charenton du Cher), Sainte Croix (Orval) et de Saint Amand. « Ce feuillet répond à trois objectifs, détaille Joël Massip, curé de la paroisse de Saint Amand. Le premier est d’aider les gens du coin et les touristes à redécouvrir le patrimoine religieux d’une manière un peu pointue. » Ce dépliant a également vocation à s’inscrire dans les itinéraires proposés par la communauté de communes (CDC) Coeur de France, à l’image du canal  de Berry ou encore du chemin de randonnée reliant Meillant à Tronçais. « Nous souhaitons prendre notre part dans cette politique touristique », confie Joël Massip. Car si les églises restent des édifices religieux, il s’agit également d’un patrimoine remarquable qui attire de nombreux visiteurs.
Le Berry, 14/08, p.11

A La Ferté-Imbault le château se dévoile
Olivier Ojzerowicz et Geoffroy Medinger sont des passionnés d’histoire et de patrimoine. Alors au moment d’acheter un domaine, et après des visites dans la France entière, ils ont eu un véritable coup de coeur pour La Ferté-Imbault. Les propriétaires ont décidé de proposer la visite de leur château rarement ouvert au public auparavant. L’extérieur, comme l’intérieur. Une ouverture attendue par de nombreux Solognots et férus d’histoire. « Quand on a été à la rencontre des habitants, beaucoup voulaient savoir si on allait ouvrir le château, il y avait beaucoup de curiosité, d’intérêt, expliquent les  propriétaires. On est passionné d’histoire, ça fait plaisir de partager, de valoriser le château. Face à une propriété de plus de 1.000 ans, nous ne  sommes que des passeurs, un maillon de la chaîne. On veut juste être fidèle à l’histoire de ce lieu. » Installés depuis un an, ils connaissent déjà l’histoire des lieux sur le bout des doigts.
Visites : 18, 19, 25 et 26 août, et 1er et 2 septembre (9h30, 10h30, 11h30, 13h30, 14h30, 15h30, 16h30, 17h30) et les 8, 15, 22 et 29 septembre (13h30, 14h30, 15h30, 16h30, 17h30). Tarif : 8 € pour les adultes et 4 € pour les moins de 12 ans.
NR Loir et Cher, 16/08, p.6

Le long du canal de Berry
Balade en forêt, château de Bannegon, Musée du canal du Berry (Dun-sur-Auron), abbaye de Plaimpied, découverte de sculptures renommées… Le tronçon Bannegon-Bourges du canal de Berry offre de nombreuses activités culturelles et touristiques.
Berry rép. 17/08/2018, p. 2-3

Neuvy-Deux-Clochers.
Une conférence, Vesvre au cours des siècles, aura lieu demain à 17 heures, à la Grange de Vesvre, avec Paul Hurley, guide et membre des Amis de la Tour de Vesvre. (intégral)
Berry rép. 17/08/2018, p.  12

Cuzion. Plongée dans les entrailles d’un monstre de béton
Le barrage et l’usine d’Éguzon ouvrent leurs portes pour des visites hebdomadaires qui permettent d’explorer des endroits spectaculaires.
NR Indre, 17/08/2018, p. 3

A la découverte du patrimoine médiéval
Les visites guidées de la Fédération des chemins de la guerre de Cent Ans font la promotion des sites historiques du sud de l’Indre.  www.cheminsguerrecentans.com
NR Indre, 17/08/2018, p. 6

Château-Renault. Les travaux se terminent à la Tour de l’horloge
Ceinturée en urgence en décembre 2014, pour éviter son effondrement, la Tour de l’horloge devrait bientôt être rendue aux Castelrenaudais. Sauvée, grâce à une souscription publique et à des subventions de l’État (Direction régionale des affaires culturelles, dotation de soutien à l’investissement), de la Région Centre et du Département, cette restauration commencée en mai 2017 devrait se terminer en septembre. Mais déjà les échafaudages ont été démontés et on peut entrevoir ce que donnera le résultat final. (intégral)
NR Touraine Est, 17/08/2018, p. 15

Briare, chef d'oeuvre à ciel ouvert
C’est l’un des sites les plus visités du Loiret. Le pont-canal de Briare est un impressionnant exemple
d’architecture industrielle. L’ouvrage permet aux bateaux et aux piétons de parcourir 662 mètres à11 mètres au-dessus de la Loire, dans un décor typique des édifices du XIXe siècle.
Rép. du Centre Orléans, 17/08/2018, p. 2-3

Chartres (28). L’ange-gardien de la maison Picassiette
Elle n’est pas propriétaire de la maison Picassiette mais continue d’en entretenir la mémoire. La Chartraine Cécile Roland, arrière-petite-fille d'Adrienne Dousset, l’épouse de Raymond Isidore (1900-1964), plus connu sous le nom de Picassiette., cultive l’oeuvre de son aïeul par alliance sur les réseaux sociaux.
L'Écho rép. 18/08/2018, p. 9

Dreux (28). La chapelle royale cartonne
Le monument attire une moyenne de 100 visiteurs chaque jour.
L'Echo rép. 18/08/2018, p. 13

Friaize (28). Le mobilier de l’église a été répertorié

Vendredi matin l’église dédiée à Saint Martin dont une partie du XII e siècle a ouvert ses portes pour un inventaire de son mobilier et une inspection de ses statues. C’est Fabienne Audebrand, conservatrice des antiquités objets d’art d’Eure-et-Loir à la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) qui a
répertorié le mobilier. Elle a souligné : « Ces statues en bois polychrome qui sont de la fin du 16e et début 17e ont besoin d’une restauration car elles sont attaquées par des vers mais il faudra aussi réfléchir à une autre disposition car la lumière des vitraux peut entraîner certaines détériorations et les fragiliser ». Une bonne nouvelle a aussi marqué ce rendez-vous avec le retour d’un christ qui avait disparu de l’église depuis des décennies. Il était stocké parmi d’autres mobiliers dans un entrepôt.
L'Echo rép. 20/08/2018, p. 8

Loches (37). Hanako Yasuda, trait d’union entre la cité royale et le Japon
Depuis trois ans, à la saison, Hanako Yasuda, 29 ans, travaille avec passion au sein de la cité royale. Elle fait découvrir le logis royal et le donjon aux touristes japonais. Et assure les visites en français le reste du temps grâce à sa parfaite maîtrise de notre langue et son amour pour l’histoire lochoise.
NR Tours agglo, 20/08/2018, p. 15

Le château de Meung (45) primé
Les propriétaires dy château de Meung ont reçu le prix Vieilles maisons françaises "French Heritage Society" d'une valeur de 20 000 dollars (environ 17 500 €). Ce prix est un à-valoir sur les travaux à mener en janvier 2019 sur le pavillon et la tour nord : toiture, charpente, maconnerie, soit 8% du montant global du chantier.
RC Orléans, 18/08/2018, p. 6
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