Flux | |
Mars 2024 | Lun | Mar | Mer | Jeu | Ven | Sam | Dim |
---|
| | | | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | Calendrier |
|
| | Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) | |
| | Auteur | Message |
---|
valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 9:11 | |
| Musées région Centre-Val de LoireCharlotte de Maupéou à voir au muséeC’est un vrai plaisir pour l’œil que de se promener d’une toile à l’autre. Sauter d’un paysage à un portrait, d’une fleur à une composition qui nous en rappelle une autre… Charlotte de Maupéou signe bien là sa présence au sein du musée. Lire la suite : https://www.lanouvellerepublique.fr/vendome/charlotte-de-maupeou-a-voir-au-museeSource : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de LoireAu Musée d’Orléans, Motais de Narbonne, l’art et le cœur sur la mainAvec “De Vouet à Boucher, Au cœur de la collection Motais de Narbonne”, nouvelle et magnifique exposition du Musée des Beaux-Arts d’Orléans, sa directrice , Olivia Voisin, conjugue âme et beauté. Beauté d’œuvres singulières d’une collection particulière d’amoureux du monde des musées, et âme de deux collectionneurs de charme prestigieux, Guy et Héléna qui, en plus d’aimer que leurs œuvres soient partagées par le plus grand nombre ont, ce vendredi, à l’occasion d’une présentation à la presse nationale, offert au Musée des Beaux-Arts d’Orléans la toile “Le Repos pendant la fuite en Egypte”, une œuvre de Gregorio de Ferrari (Porto Maurizio 1647-Gênes 1726) que le musée présentera dans l’avenir dans sa salle italienne. Ici, on aimera voir Joseph se saisissant d’une branche de palmier pour protéger Marie et offrir à l’enfant Jésus une poignée de dattes. Mag'Centre, 15/09 : http://www.magcentre.fr/161980-au-musee-dorleans-motais-de-narbonne-lart-et-le-coeur-sur-la-main/(Sancerre) Bientôt une Maison de la géologie ?C’est en 2013 que l’association des géologues du Sancerrois (AGS) a vu le jour. Une association de passionnés de géologie qui, dès sa fondation, a eu notamment pour objectif de mettre en valeur la « quantité astronomique de fossiles trouvés dans le coin », explique Valentin Carayol, président de l’AGS. Au fil des rencontres, et notamment du directeur de l’office de tourisme du Grand Sancerrois, Nicolas Jean, les géologues ont mis sur pied le Sancerre Jurassic Tour, un circuit qui réunit paléontologie, géologie et vin. Circuit qui a su évoluer année après année. « On a fait mûrir le parcours en l’enrichissant avec la lecture paysagère, la recherche de fossiles ou encore une exposition au sein du point info de Saint Satur, complète le président. Mais l’objet de l’association a toujours été la création d’un site de visite. » Un site qui mettrait en avant à la fois les trouvailles des géologues, mais qui ferait également la part belle à l’explication de la formation des différents paysages. Depuis plusieurs années, les membres de l’association ont donc tapé à plusieurs portes afin de trouver une structure qui pourrait accueillir cette Maison de la géologie. D’un local commercial à Boulleret, en passant par la maison communale de Feux ou une salle sancerroise, les visites se sont multipliées jusqu’à la rencontre avec Rosalinde Jaarsma, directrice de la Maison des Sancerre, qui cherchait à maximiser le potentiel des caves de la Mignonne. Le Berry, 15/09, p.16(Dreux) Un clic et la Joconde est là, devant soiDes fils électriques qui pendent du plafond, des murs recouverts de peintures écaillées, des fenêtres qui laissent à peine passer la lumière : difficile d’imaginer qu’on entre dans un musée du XXIe siècle. C’est pourtant là, au rez de chaussée de la maison Proximum Dunant Kennedy, que va s’installer la MicroFolie de Dreux, un espace où le numérique se met au service de la culture et la création. « Avec ce nouvel équipement, nous mettons la culture à la portée de tous », se réjouissent Christophe Le Dorven, adjoint au maire, chargé de la culture et Wassim Kamel, sous préfet de l’arrondissement de Dreux. « On pourra avoir la Joconde pour soi. » Les oeuvres des musées nationaux, régionaux et locaux seront projetées sur des écrans géants. Des tablettes seront à disposition des visiteurs qui pourront tout connaître sur les oeuvres de leur choix, zoomer sur tel ou tel détail. L'Echo, 15/09, p.20(Fréteval) Ouverture du musée de la FonderieSamedi à partir de 14 h, la commune de Fréteval va renouer pleinement avec son passé métallurgique avec l’ouverture au public du musée de la Fonderie dans l’ancienne cabine de peinture de l’établissement qui a fermé ses portes il y a vingt ans. Ce projet a été porté par plusieurs volontés conjointes dont la toute première, celle du colonel Jean-Pierre Verrier, petit-fils du fondateur de la célèbre entreprise Genevée, Pierre. « Au sein du conseil municipal, Martial Moyer, premier adjoint, a défendu cette idée au fil de plusieurs mandatures. Un premier essai n’a pu se concrétiser faute de moyens mais sa ténacité est aujourd’hui récompensée », précise Bernard Pillefer, maire. Le nouveau musée, d’une surface de plus de 100 m2, présente dans une mise en espace et en scène très aboutie, les modèles produits à Fréteval au cours des XIXe et XXe siècles, allant des cuisinières en fonte émaillée, aux encadrements de cheminée en passant par les fameuses lucarnes ou même les escaliers des derniers temps de la fabrication. NR Loir et CherN, 15/09, p.21(Descartes) Un calendrier prometteur au muséeLe mois de juillet a débuté à la Maison Musée René-Descartes par les Journées des maisons d’écrivain qui proposaient une animation phare, cadrée sur des dates communes. Le projet ambitieux de cette année était de centrer l’intérêt du public sur l’oeuvre même du philosophe René Descartes. Ainsi, du mercredi 4 au dimanche 8 juillet, c’est vers 18h30, qu’étaient programmées les soirées-lecture des six Méditations métaphysiques par le comédien Aurélien Lemant. L’idée était d’associer ces lectures en des lieux et des activités diverses. Un auditoire choisi a donc pu écouter le talentueux lecteur, mais aussi pratiquer la « méditation de pleine conscience » grâce à Bruno Daguet, se laisser ravir par la sublime interprétation à la flûte de Sylviane Leroux dans la magnifique église Notre-Dame, se laisser emporter par les chants anciens de la chorale « Entre Vienne et Creuse », et enfin partager un repas en toute amitié. Si les touristes ont manqué à l’appel en ce mois de juillet caniculaire, occupé par la Coupe du monde, ils ont heureusement bien fréquenté le Musée au mois d’août puisque la barre des 400 visiteurs a été dépassée. L’année se terminera au Musée Descartes par la Fête de la science du 7 au 14 octobre. NR Indre et LoireE, 15/09, p.20(Ormes) Les Supers Jeudis de la culture ont commencéC’est aussi la rentrée pour la Maison de la polyculture qui propose de découvrir, jusqu’au 30 septembre, une nouvelle exposition intitulée « Architecture au jardin en Val de Loire ». Composée d’une dizaine de panneaux prêtés par le service inventaire et patrimoine de la Direction régionale des affaires culturelles, elle a été inaugurée, jeudi, par Jacques Seguin, adjoint à la culture. Cette exposition sert également de lien au lancement des Supers Jeudis. Ce nouveau concept propose des rendez vous culturels, chaque jeudi, dans les différentes structures de la ville, Maison de la polyculture, bibliothèque, salle Rabelais ou Espace des carrières. RC Orleans, 17/09, p.18(Saint-cyr-sur-loire) L’archéologie comme outil pédagogiqueA l’initiative du service culturel et en lien avec les enseignants, jeudi 13 et vendredi 14 septembre, soixante-quinze élèves de CE2 et de CM1 des écoles République, Engerand et Périgourd ont rencontré Christian L’Hermite pour une visite commentée du petit musée archéologique installé au manoir de La Tour. Dans plusieurs vitrines, est exposée une partie du résultat des fouilles réalisées par cet enseignant avec ses élèves de l’atelier d’archéologie du lycée Balzac, à Tours, de 1982 à 2002. Il s’agit de vestiges de l’époque gallo-romaine : poteries, cruches, amphores, éléments de toiture (tuiles), outils anciens, céramiques et matériel de batellerie des XVIIe et XVII Ie siècles ainsi que d’armes datant des deux dernières guerres mondiales. Le chercheur a expliqué aux enfants comment, pendant plus de vingt ans, il avait travaillé avec ses étudiants pour faire ces trouvailles sur quatre sites de la rive droite de la Loire NR Indre et Loire, 17/09, p.15(Orleans) Les Motais de Narbonne font un don au musée des Beaux-ArtsCouple de collectionneurs atypiques, et généreux, Héléna et Guy Motais de Narbonne ont annoncé le don d’un de leurs tableaux au musée des Beaux-Arts orléanais. Le Repos pendant la fuite en Égypte de Gregorio de Ferrari rejoindra donc la salle des peintures italiennes du XVIIe siècle au 2e étage du musée orléanais. En attendant, les visiteurs peuvent le découvrir lors de l’exposition qui présente la totalité de la collection des Motais de Narbonne. 80 tableaux des XVIIe et XVIIIe siècles, français et italiens, tournés vers l’histoire. L’occasion de rappeler que les collectionneurs ont toujours tenu une place importante dans l’histoire du musée. « Notamment lors de sa fondation », souligne Olivia Voisin, directrice des musées d’Orléans. RC Orleans, 18/09, p.13 (Gien) Le musée de la Faïencerie devrait bientôt tripler de surfaceSi les archives numérisées sont destinées principalement à des recherches pointues sur la faïence de Gien, il est évident que cet outil d’archivage en ligne sera également un trésor pour le futur musée 2.0. « On espère pouvoir commencer les travaux pour le nouveau musée en 2019 », affirme Yves de Talhouët, président de la Faïencerie de Gien. Le projet est d’agrandir le musée en occupant ses étages actuellement vides. « Le bâtiment sera rénové et permettra d’accroître la surface d’exposition », complète t il. Le but est de terminer les travaux et l’installation courant 2021… Pour un anniversaire très spécial. Mais, pour l’instant, la Faïencerie de Gien attend encore certains retours sur les dossiers de subventions envoyés à la Ville, au Département et à la Région. « On croise les doigts », a déclaré Yves de Talhouët, plein d’espoir. Ce nouveau musée proposera une immersion dans la fabrication du Gien, montrera au public plus de pièces et plongera les visiteurs dans l’Histoire. Pour un voyage dans le temps, rien de tel que des archives fraîchement numérisées et renseignées. RC Orleans, 18/09, p.13 (Bourges) Enquête autour d’une sépultureCréée par le muséum de Toulouse, l’exposition tourne depuis deux ou trois ans. Elle est arrivée au muséum de Bourges avec deux semi remorques et a été installée au bout de trois jours de montage méticuleux. Cela en jette quand le visiteur monte les escaliers et qu’il se retrouve devant le dispositif. Au centre, deux squelettes retrouvés lors de fouilles en 1928 et qui étaient dans les réservés du muséum de Toulouse. Tout le processus de l’exposition est de partir de cette vieille découverte pour mettre en action des nouvelles technologies et faire en sorte que le visiteur les utilise pour mener son enquête. L’exposition est conseillée pour les enfants à partir de huit ans et pour les familles afin que les différents indices soient utilisés à bon escient. Le Berry, 19/09, p.10(Issoudun) Zao Wou-Ki : une donation d’oeuvres aux mille facettesL’exposition de 2016, où était présentée la donation au Musée Saint-Roch d’une partie de la collection privée du peintre Zao Wou-Ki, à laquelle avaient été associées des oeuvres de sa production qui avaient alors été prêtées, ne reviendra pas de sitôt. C’est une tout autre manière de présenter cette donation qu’a choisie le conservateur, Patrice Moreau : « On ne présente que dix huit oeuvres de la donation mais nous avons décidé de le faire par thématique. Nous montrons le contexte des artistes qui étaient amis de Bram Van Velde à travers le fonds Zao Wou-Ki et le fonds Pons ». Car ce qu’il faut bien comprendre lorsque l’on visite un musée en dehors de l’émotion dégagée par tel ou tel tableau, c’est qu’un tableau vit dans un contexte. Un contexte d’époque, un contexte d’amitiés, un contexte de rencontres. Exposition au Musée Saint Roch, jusqu’à la fin de l’année. NR Indre, 19/09, p.19(CC territoires vendômois) Lundi, le musée au conseil d’agglomérationLes élus de la communauté d’agglomération se retrouveront à Lunay ce lundi à 18h30. Parmi les trente-neuf points à l’ordre du jour, se trouve la décision de principe portant sur la désaffectation des locaux du musée au Quartier Rochambeau. Les élus devront délibérer sur la proposition de repousser à la fin octobre le délai prévu lors des délibérations d’avril pour libérer les quatre salles d’exposition du musée, les ateliers éducatifs, les réserves au 4e étage et de la salle dédiée aux cours de guitare de l’école de musique du Bâtiment A. Le projet de délibération les invite à décider du principe de la désaffectation des locaux du musée (sur 880 m2) mis à disposition de l’Agglo par la Ville dans le Bâtiment A pour permettre la vente de la deuxième partie de ce bâtiment à la fabrique de maroquinerie Louis Vuitton : les locaux du Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP) au rez-de-chaussée, les bureaux et réserv es du 1er étage, les trois salles d’exposition du 2e étage, les quatre salles d’exposition du 3e étage. Les locaux de 880 m2 seront réinstallés avec la totalité du musée dans le Bâtiment H au Quartier Rochambeau dans un délai de six ans à compter de l’acte de déclassement. Dans l’attente, le musée sera logé à titre gratuit par l’acquéreur. (intégral) NR Loir et Cher, 20/09(Tours) Les illusions attendues au musée des Beaux-Arts en 2019Des centaines de spectateurs profitent depuis trois ans du spectacle son et lumière, gratuit, « Les Illusions de la cathédrale ». Un vrai succès. Tellement même que la Ville va relancer un nouveau marché public pour les trois prochaines années. Un nouveau marché mais également un nouveau lieu et un nouveau thème. Fini la cathédrale et saint Martin, place désormais au musée des Beaux-Arts et à la Renaissance. « Nous voulions poursuivre mais également totalement renouveler le son et lumière qui est apprécié des Tourangeaux comme des touristes, mais la sécurité est primordiale. Il fallait trouver un lieu historique de la ville mais capable de respecter toutes les consignes de sécurité. Le musée des Beaux-Arts est apparu le mieux adapté. Nous gardons la même ambition avec un budget de 750.000 € », résume Jérôme Tébaldi, adjoint au rayonnement. Les prochaines illusions seront sur le thème de la Renaissance, 2019 étant annoncée comme l’année des 500 de Renaissance en région Centre-Val de Loire. NR Indre et Loire, 21/09, p.11(L'interview politique : C. Térouinard, président du conseil dépt) Où en est le projet d’implantation du Compa au sud du département ?Daniel Guéret, conseiller du canton de Chartres 1, prend les rênes. On réfléchit à une implantation en milieu rural : sa vraie place. Il faut que cet espace soit un lieu d’animation de l’histoire de l’agriculture, avec une scénographie, un peu comme le Puy du Fou. Un petit Puy du Fou. (intégral) L'Echo, 22/09(Chartres) 2019, année charnière pour les Beaux-ArtsDevenu la propriété de la Ville de Chartres voilà quinze mois, le musée des Beaux arts doit être rénové pour répondre aux exigences du ministère de la Culture qui sont, entre autres, de rendre accessible ces lieux à tout type de public et donc devenir un musée du XXIe siècle. Isabelle Vincent, adjointe à la culture et au patr imoine de Chartres, explique : « Le programme scientifique et culturel (PSC), qui sera renouvelé tous les cinq ans, est en cours d’élaboration. Il doit être validé par le ministère de la Culture avant d’amorcer la réelle réouverture du musée. Avant son départ, la précédente conservatrice avait posé les bases, présentées et validées par le Conseil municipal avant l’été 2017. Ce PSC prévoyait trois axes dont le dernier sur l’accueil du public. On a donc souhaité savoir ce que les gens voulaient. La rédaction du PSC est en cours et son bilan sera rédigé par un expert de la Drac. On attend sa restitution fin octobre début novembre. Après, on recrutera un conservateur. » Le début des travaux n’est donc pas pour tout de suite : « Avant de commencer, il y a des études préalables, des marchés d’appels d’offres à lancer et un architecte à trouver. On attend 2019 pour avoir des retours. 2019 sera une année de choix et de réflexion. C’est après que l’on commencera les travaux. » Julia Bigot-Rideau, coordinatrice de la communication culturelle, ajoute : « Les travaux se feront par tranche et catégorie de rénovation. » Toutefois, la Ville a déjà une trame. + « Il faut que les Chartrains se réapproprient les lieux » L'Echo, 22/09, p.7
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 25 Sep - 10:44, édité 10 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 9:11 | |
| Archéologie région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire
Cepoy, haut lieu de la préhistoire Samedi, le maire de Cepoy, Jean-Paul Schouleur, a inauguré l’espace André Thomas dédié à la préhistoire et à la géologie, aux côtés de Frédéric Chéreau, conseiller municipal et enseignant d’histoire géographie. Ce dernier est à l’origine de ce grand projet qui a permis de partager avec le grand public la remarquable collection, constituée par l’ancien gardien du château, André Thomas, qui avait fait don à la commune de ce fabuleux trésor. Les vitrines d’exposition abritent également fossiles, des objets du néolithique (12.000 ans avant Jésus Christ), des minéraux et leur utilisation par nos ancêtres lointains. Ont par ailleurs été présentés des objets provenant d’une fouille réalisée en 1972, sous la direction du Dr Allain, sur le site de la Pierre aux Fées, après la découverte d’un gisement, et juste avant l’exploitation d’une gravière. RC Loiret, 20/09, p.15
Dernière édition par valerie.maillochon le Jeu 20 Sep - 16:14, édité 1 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 9:12 | |
| Patrimoine région Centre-Val de Loire Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire(Orleans) Son et lumière, la claque de finC’est à ce signe là aussi que l’on prend conscience que l’été s’effiloche… Le son et lumière projeté sur la façade de la cathédrale d’Orléans depuis les Fêtes de Jeanne d’Arc sera donné pour la toute dernière fois ce soir. Avant les ultimes représentations de la saison, l’affluence relevée équivalait à celle de 2017. « Nous étions à 41.800, quand l’an passé, nous avions comptabilisé au final plus de 42.000 visiteurs, relaie Martine Grivot, adjointe au maire d’Orléans chargée du tourisme. Peut être que l’on dépassera un peu le total de 2017 ? Sur le dernier week end, 1.000 personnes avaient été recensées… » La trilogie de Xavier de Richemont terminée, une autre voie sera explorée l’an prochain. Peut être avec le même concepteur, peut être avec un nouveau… Le jury tranchera à l’automne. RC Orleans, 15/09, p.16(Saint Vitte) Les projets évoqués avec la sous-préfèteClaire Maynadier, sous préfète de l’arrondissement de Saint Amand, et Florence Rouerie, chargée des dotations à la maison d’État de Saint Amand, étaient en visite sur les communes d’Épineuille Fleuriel, Saint Vitte et Vesdun jeudi dernier. Le maire de Saint Vitte, Guy Berçon, et une partie de ses conseillers ont reçu leurs invités dans la salle du conseil. Ils ont pu échanger sur les projets futurs de la commune, et aussi récolter de nombreux conseils pour leur élaboration. Le projet de réfection du beffroi de l’église et de ses cloches se poursuit, une étude de sol a été faite concernant la fissure d’un de ses murs. « Il est important de mettre notre patrimoine en valeur, a déclaré la sous préfète. Il ne pas faut hésiter à le promouvoir et faire de son mieux pour le maintenir en état. » Le Berry, 15/09, p.26 (Chartres) La séance de conseil municipal en bref Périmètre sauvegardéUne étude sera lancée pour examiner la pertinence et les possibilités d’extension du périmètre qui détermine le secteur sauvegardé autour de la cathédrale. Une réflexion qui vient s’intégrer dans le programme Action Coeur de ville. Les églises se refont une beauté Les travaux de l’église Saint Pierre ont pris du retard. La raison : il a fallu protéger et consolider les peintures anciennes découvertes dans un local attenant au porche clocher. Ils devraient toutefois être terminés en novembre. Quant à l’église Saint Aignan, mise en valeur par les travaux de rénovation de sa place, elle va encore s’embellir, grâce à des éclairages spécialement étudiés par une conceptrice lumière. Une mise en lumière opérationnelle courant 2019. (intégral) L'Echo, 15/09 Chambord voit loin !Fol symbole de la Renaissance, symbole aussi de la volonté d’un roi, le château de Chambord reste le phare des châteaux de la Loire, à l’histoire toujours en mouvement. « Le souhait de François Ier était d’en faire une île ! » explique le directeur Jean d’Haussonville. « Des écrits l’attestent en 1545. Mais François Ier mourait deux ans plus tard. » Les propriétaires successifs du château – Gaston d’Orléans, Louis XIV, Stanislas Leszczynski (roi de Pologne en exil), Maurice de Saxe – n’auront de cesse d’effectuer des travaux tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, le château se trouvant planté milieu d’un marécage. « Et Louis XIV entendait sortir à pied sec. » Justement, au temps de Louis XIV, on n’arrivait pas au château par cette route perpendiculaire à l’aile nord qu’on salue aujourd’hui (quand on fait face à cette route, on arrivait plus par la droite, si on peut dire). Cette formidable perspective, contemporaine des jardins à la française fleurissant en 1734 – et qui vivront deux siècles tant bien que mal avant leur très récente renaissance – c’est elle qu’on a inaugurée jeudi, après bien des travaux. Deux personnages étaient invités à cette inauguration : Henri de Castries, président des mutuelles Axa, et Jacques de Peretti, PDG d’Axa France. En effet, ces travaux, d’un montant de 950.000 €, n’ont pu être réalisés que grâce au mécénat des mutuelles. NR Loir et CherN, 15/09, p.7(Tours) Son et lumière : à la cathédrale ou aux Beaux-arts ?A la mairie, on l’assure, le lieu du nouveau spectacle son et lumière pour 2019 n’a pas encore été défini. « Les façades du musée des Beaux arts ou de la cathédrale restent envisagées. Toutes les possibilités sont à l’étude, répond Jérôme Tébaldi, adjoint au maire en charge des relations internationales et du rayonnement. On miserait sur davantage de variété, sur une nouvelle offre. » Comment expliquer cela ? « Toutes les réponses techniques doivent être prises en compte, en particulier le dispositif de sécurité autour de l’évènement », commente-t-il. De fait, seul le feu vert de la préfecture est attendu afin de confirmer le nouveau lieu de représentation. Par ailleurs, un appel d’offres va être lancé pour déterminer le prestataire des nouvelles « Illusions », qui ne sera pas forcément Damien Fontaine, l’artiste responsable du spectacle actuel. « On plébiscite une solution sur trois ans plutôt que sur une année, car cela se révèle plus intéressant budgétairement parlant », avoue-t-on à la mairie. NR Indre et Loire, 15/09, p.12(Saint Avertin) Architecte des Bâtiments de FranceAnne-Françoise Hector, architecte des Bâtiments de France et son instructeur mettent en place des permanences à l’hôtel de ville destinée aux administrés dont le projet se situe au sein du périmètre de protection d’un monument historique. Uniquement sur rendez-vous, elles se dérouleront le mardi, de 10h à midi, les 25 septembre, 6 novembre et 18 décembre. Inscriptions : service urbanisme de la mairie, tél. 02.47.48.48.32. (intégral) NR Indre et Loire, 15/09 (Langeais) Le château poursuit sa cure de jouvenceA peine la saison estivale terminée, les travaux de restauration reprennent au château de Langeais comme en témoigne l’impressionnant échafaudage en cours de montage. Ce chantier qui s’inscrit dans la continuité des précédents, est prévu pour se terminer, en principe, pour les vacances de Pâques et s’effectuera en deux phases. La première concerne la petite tour carrée en façade au sud du pont-levis, la seconde le châtelet et la petite tour d’escalier de l’entrée des visiteurs dans la cour intérieure : maçonnerie et nettoyage des pierres, toiture (la charpente est en bon état) menuiserie et paratonnerre. Un chantier de 300.000 € financé par l’Institut de France avec une aide de 50 % de la Drac. Les travaux à suivre seront programmés selon les urgences, l’état de la toiture étant évidemment prioritaire. NR Indre et LoireW, 15/09, p.20Le château de Chémery lance un chantier de bénévolesL’association des Amis du château de Chémery et de la Tour Beauvoir s’est recentrée sur la restauration du château et la transmission de savoir-faire. Elle lance un chantier de bénévoles. « L’idée est d’organiser des chantiers où chacun apporte ce qu’il sait. La liste des travaux est longue. Donc, si vous avez envie d’apprendre la taille de pierre, l’utilisation de la chaux grasse, comment l’éteindre, la maçonnerie traditionnelle, repeindre vos volets à la peinture à la farine, vous serez les bienvenus », écrivent Axel Fontaine, le propriétaire des lieux et Lydie Watts, présidente de l’association. Ils précisent : « Nous allons organiser des chantiers de bénévoles trois samedis après-midi par mois, à partir du 6 octobre. L’accent sera d’abord mis sur la présentation du château, donc refaire les jardinières en bois du pont. » Adhésion à l’association 18 € (individuel), 25 € (couple). Pour tout renseignement et inscription, tél. 06.88.15.62.64. Accès au château : gratuit pour les moins de 18 ans. Tarif : 8,50 € (intégral) NR Loir et Cher, 16/09(Vendôme) MassacreLa protection du patrimoine n’a pas toujours été une évidence. Un petit tour ce dimanche à l’école de musique de Vendôme permet de s’en convaincre. Des peintures murales du début du XIXe évoquant le passé militaire du Quartier Rochambeau « piquetées » pour plaquer du plâtre, sont aujourd’hui en cours de restauration. Des fresques sur les murs et dans une cage d’escalier détruites ou largement cachées par les marches… et des canalisations ! (intégral) NR Loir et Cher, 16/09(Chateau Renault) Plus d’un million d’euros de travauxEn présence de très nombreux habitants, après avoir symboliquement coupé le ruban qui libère l’accès à la tour de l’horloge, en présence du conseil municipal, de Philippe François, sous-préfet de Loches, et d’élus, le maire de la ville, Michel Cosnier, a rappelé combien le chemin avait été difficile et laborieux pour réussir ce pari. Il a d’ailleurs rendu hommage aux membres du conseil municipal, Christian Benois et surtout à Delphine Henry, directrice générale adjointe aux projets de ville, qui a énormément contribué à la réussite de cette résurrection, aux côtés de Thierry Guittot, architecte du patrimoine. « Ce projet a coûté 1.100.000 € : 260.500 € pour la mise en sécurité et le réaménagement d’un nouvel accès, 25.200 € d’études préalables, 765. 520 € de travaux et 48.780 € d’aménagement des abords », a détaillé le maire. Le tout a été couvert par des subventions, à hauteur de 556.646 € versés par l’État, 245.300 € par la Région, 20.310 € par le Département, 43.505 € provenant des dons d’une souscription en partenariat avec la Fondation du patrimoine, et enfin 234.239 € financés par la Ville. NR Indre et Loire, 16/09, p.10 (Olivet) Deux nouveaux tableaux restaurés à l’église Saint-MartinVendredi, en préambule aux Journées du patrimoine, la ville d’Olivet avait choisi de présenter deux tableaux qu’elle vient de faire restaurer. Cette restauration s’inscrit dans un programme entamé, en 2013, par Hugues Saury, sénateur et conseiller départemental, lorsqu’il était maire, et poursuivi par son successeur, Matthieu Schlesinger, et son adjointe à la culture, Cécile Adelle. Le premier magistrat olivetain a accueilli plusieurs personnalités pour l’inauguration de ces deux huiles sur toile, La Sainte Famille, de Wattebled (1849) et Le Baptême du Christ, d’un peintre anonyme, (daté entre le XVIIIe et le XIXe siècles). La restauration a été confiée par la Ville à l’atelier aubois de Valérie Trémoulet, restauratrice professionnelle d’oeuvres peintes dans l’Aube. RC Orleans, 15/09, p.16(Ainay le Vieil) «Installer le château dans le XXIe siècle»«Ainay, on y pensait comme un endroit qu’on aime profondément, mais on ne s’était jamais dit que c’était nous qui allions le reprendre… » Voilà pourtant Arielle, fille de Marie Sol de la Tour d’Auvergne, et son mari Hervé Borne, à la tête du château d’Ainay le Vieil. Dans la famille depuis 1467 et vingt six générations, ce château du XIIIe siècle, classé Monument historique, a commencé à accueillir le grand public à partir de 1954, à l’initiative du baron et de la baronne Géraud d’Aligny, qui avaient notamment participé à la création de la route Jacques Coeur. Dès lors, la famille a toujours partagé son patrimoine, entre visites, spectacles, festivals, etc. De remarquables jardins ont été aménagés. Jean-Baptiste, Michel, Auguste, Jean-Pierre d’Aligny, Marie-France de Peyronnet et MarieSol de la Tour d’Auvergne, les six enfants, ont beaucoup développé, ensemble, l’aspect culturel et touristique. Depuis deux ans, toutefois, la question de la succession se posait entre les treize cousines et cousins de la génération suivante ; tous, même loin, prenant part à l’aventure. Les nouveaux propriétaires prévoient de poursuivre l’organisation du Salon des curiosités, qu’ils ont initié et dont ce sera la douzième édition l’été prochain. Et d’ouvrir le château à de nouvelles activités : un accueil et une boutique repensés dès le prochain, un restaurant et cinq chambres d’hôtes en 2019, l’ouverture de trois gîtes d’ici deux à trois ans. Le Berry, 17/09, p.18 (Chartres) L’église reçoit le Prix des Rubans du patrimoineÀ l’occasion des journées du Patrimoine, samedi, avait lieu la remise à la commune du Prix Départemental des “Rubans du patrimoine” pour la restauration menée entre 2013 et 2016 sur la toiture de l’église Saint Jacques (XIIe siècle). C’est la seule distinction décernée sur le département d’Eure et Loir. Organisé en partenariat par la Fédération française du Bâtiment, l’association des Maires de France, la Caisse d’Épargne et la Fondation du patrimoine, ce concours vient saluer l’initiative exemplaire de la commune pour son patrimoine bâti et le savoir faire des entreprises du bâtiment. (intégral) L'Echo, 17/0955.800 €C’est le montant auquel a été attribué samedi après-midi, à la salle des ventes Giraudeau, un album de 354 dessins romantiques du Grand Tour de Rome à Naples, réalisés en 1821 par Antoine Jean-Baptiste Desplan. « Un parfait inconnu », explique Pierre Duchemin. L’expert précise cependant que cet architecte, élève de l’école des Beaux-Arts de Paris, a travaillé sur le chantier de réfection de l’Arc de Triomphe ainsi que sur une maison de correction parisienne destinée aux femmes. Retrouvé dans une propriété de famille de la région de Tours, cet album présente la particularité de recenser un très grand nombre de dessins réalisés à l’aquarelle, à la plume, au lavis. C’est le côté « exhaustif » de cette oeuvre qui comprend des paysages et des monuments d’Italie qui en fait toute l’originalité. L’album avait été mis à prix 10.000-15.000 € précisément parce que leur auteur n’était pas connu, mais il a intéressé de nombreux étrangers, notamment des galeries d’art suisses. (intégral) NR Indre et Loire, 17/09(Loches) Remparts : sécuriser, pierre après pierreTout aurait dû être fini en mai dernier. Six mois de travaux, pas plus. Mais il aura finalement fallu presque un an pour achever la mise en sécurité des remparts de la rue des Fossés-Saint-Ours. Une intervention bien plus vaste que prévu que Lochois et visiteurs ont pu mieux cerner, samedi, grâce aux Journées du patrimoine. Sur le parking du Fou du Roy, où elle a ses installations de chantier, l’entreprise lochoise Menet, spécialisée dans la restauration de monuments historique, a expliqué au public comment elle menait à bien cette mission titanesque. C’est l’état réel de la muraille qui est à l’origine du prolongement de l’opération. Une fois enlevée la végétation, maçons et tailleurs de pierre se sont rendu compte de l’ampleur du désastre. De nombreuses pierres étaient rongées par le passage du temps et des intempéries. « Souvent, il n’en restait plus qu’une partie infime », décrit le conducteur des travaux, Philippe Chanu. Changement de plan complet. Plus question de se contenter de remplacer une minorité de pierres. Sur un large tronçon, il a fallu les enlever toutes ! NR Indre et Loire, 17/09, p.20(Charmoy) Un label pour le clos LejeuneEntouré de sa famille, son épouse et ses deux enfants, derniers descendants de plusieurs générations de la famille Lejeune, Bertrand Bakkaus était ravi d’accueillir, à quelques jours des journées européennes du patrimoine, des représentants de l’association Maisons paysannes de France. Cette visite faisait suite aux travaux de sauvegarde engagés durant plus d’une dizaine d’années, sur un très ancien bâtiment dont il avait hérité de son aïeule, madame Perdoux-Lejeune. Un patrimoine aujourd’hui dénommé « Clos Lejeune » en hommage a ses ascendants, situé au 53 route Nationale à Charmoy. « C’est un énorme patrimoine qui figurait au cadastre de 1825. Suite à mes recherches, j’ai découvert que la construction d’un des bâtiments les plus anciens datait du XIIIe siècle. Et son extension du XVIIe », explique notre hôte. Ce quinquagénaire féru d’histoire et d’archéologie a décidé d’entreprendre la restauration de ce patrimoine familial, usé par le temps. RC Orleans, 18/09, p.14Les travaux de l’église inaugurésVendredi, élus et habitants étaient réunis à l’église pour inaugurer les travaux de rénovation réalisés grâce à la générosité de tous. Pour rappel, une souscription avait été lancée en 2016, avec le soutien de la Fondation du patrimoine, pour permettre la réparation de la cloche Jeanne Augustine qui, usée par le temps, présentait d’inquiétantes fêlures au niveau de l’anse maîtresse. La générosité a dépassé les espérances, plus de 8.000 € ont été récoltés. La commune a, par ailleurs, bénéficié d’une somme de 2.500 €, allouée par le sénateur Jean-Pierre Sueur, sur sa réserve parlementaire. RC Orleans, 18/09, p.14(Saint Piat) DédicaceC’est à Grogneul, hameau de Saint-Piat, qu’Alexis Robin et Aymeric de Rougé ont choisi de dédicacer leur livre, La vallée de l’Eure vue du ciel. Pour des amoureux du patrimoine architectural, ce lieu semblait idéal. En effet, si le château et la chapelle en dépendant ont été démolis en 1719 sans que la raison n’en soit réellement connue, il reste sur les lieux plusieurs vestiges dont deux tours et le colombier et surtout la maison construite en 1770 et qui, appartenant depuis 2016 à la SCI La Maison des Champs, est en pleine restauration. Notre photo (de gauche à droite) : Alexis Robin, Olivier Borget, Aymeric de Rougé et Patrice Nazac. Oliver Borget et Patrice Nazac sont les nouveaux propriétaires de ce qu’il est convenu d’appeler le château de Grogneul. (intégral) L'Echo, 18/09(Véretz) Le sentier des Lavandières inauguréL’inauguration du troisième chemin de randonnée patrimonial baptisé « Les Lavandières » marquait le début des Journées européennes du patrimoine sur Véretz ce weekend. Place du Girouet, en présence de M. Labaronne, député, et de Mme Guillaume, maire de Véretz, un public venu nombreux a pu profiter de la première prestation de la SHVE (Société historique du Véretzois et de ses environs), une exposition des « outils » utilisés par les lavandières du temps où la machine à laver n’existait pas encore (planches à laver, réchaud…), des anecdotes locales (crues, barques…), la consultation d’interviews et de photos d’époque et la Petite Chorale bleue, qui a entonné « Le Chant des lavandières ». Après un pot convivial, baigné par un soleil resplendissant, une visite commentée du sentier était proposée par Pays Loire Touraine, avec l’accompagnement de Laurianne Keil, animatrice de l’Architecture et du Patrimoine, et d’Anne Brisson, guide-conférencière. Le sentier tracé par les Trotteurs de Véretz fait 5,5 kilomètres (balisage bleu). NR Indre et Loire, 18/09, p.17(Château-Renault) Tour de l’Horloge : un immense chantierChâteau-Renault a retrouvé son symbole ! La tour de l’Horloge restaurée, a été inaugurée vendredi, veille de son ouverture au public calée à l’occasion des Journées du patrimoine. Ce monument du XIIe siècle, qui fut la porte d’entrée principale du château et qui reste « l’une des rares tours-portes fortifiées médiévales conservées en France », précise le Pays Loire Touraine, a fait l’objet d’un immense chantier de restauration, suivi par de très nombreux habitants. Cette restauration, d’un montant de 1.100.000 €, a été subventionnée par l’État (556.646 €), la Région (245.300 €), le Département (20.310 €)… Une souscription publique en partenariat avec la Fondation du patrimoine a permis de collecter 43.505 €, et la Ville a déboursé 234.239 € pour cet immense chantier. NR Indre et LoireE, 18/09, p.20(Batilly en Beauce) Le clocher de l’église a été déposéDepuis quelques mois, l’église du village est en travaux pour restaurer le clocher qui penche dangereusement. Jeudi matin, la flèche du clocher a été déposée pour être refaite entièrement. L’entreprise Somatral s’est occupée de séparer la flèche de son fût. Après démantèlement, elle va être emportée pour être refaite par le charpentier. En voyant pencher le clocher, tout le monde pensait que c’était la flèche qui était de travers. Mais en la voyant droite sur le sol, il semble que le problème serait plutôt sur le fût. Le bois qui soutenait la flèche a dû travailler. Selon l’architecte, le clocher dans son ensemble, flèche et fût, avaient été restaurés après la guerre, dans les années 1950. Le coût total des travaux s’élève à 220.000 €. Des subventions de l’État, du conseil régional, du conseil départemental, de la réserve parlementaire et de mécènes ont été obtenues par la commune pour l’aider à financer ce projet. RC Loiret, 19/09, p.20(Maintenon) "L'Art en partage"C'est dans la Chapelle des Arts de l'espace culturel de Maintenon, que les maîtres verriers de Chartres et d'Eure et Loir se sont groupés pour présenter une exposition "L'Art en partage" qui, visible depuis le 14 septembre, durera jusqu'au dimanche 23 septembre. Elle associe des pièces spécialement créées pour l'occasion à des pièces plus anciennes et illustre parfaitement le savoir faire d'exception des ateliers euréliens, que ce soit à travers le fusing, le thermoformage, le verre et plomb ou la peinture sur verre. (intégral) L'Echo, 19/09(Couture-sur-Loir) Au moulin Ronsard on rétablit le courantSon coeur de métier, c’est la fabrication industrielle de glaces haut de gamme, pour les restaurants. Mais Roland Manouvrier souhaitait diversifier ses activités, « et si possible dans le domaine des énergies renouvelables »… C’est ce qui l’a poussé à racheter en 2011 le moulin Ronsard à Couture-sur-Loir, pour y installer une centrale hydroélectrique dernier cri. Celle ci a été inaugurée ce vendredi en présence de nombreux invités dont le directeur régional de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne. Voilà de quoi redonner vie à un lieu abandonné riche de son passé. Une histoire qui remonte au XVIe siècle. « Des textes indiquent qu’il était alors propriété de la famille Ronsard », a rappelé Monique Richard, maire de Couture dans son discours ce vendredi. Il a ensuite au fil des ans changé de main, été utilisé pour différents types d’industrie, comme le textile, et, déjà, l’électricité. C’est même ce moulin qui a amené l’électricité dans le bourg de Couture, en 1933. NR Loir et Cher, 19/09, p.5(Bléré) Chapelle de Seigne : lancement des travauxLe chantier a pris beaucoup de retard mais cette fois, les travaux de restauration de la chapelle de Seigne démarrent. Les échafaudages viennent d’être posés, la première réunion de chantier a eu lieu vendredi dernier. « Compte tenu du retard accumulé, nous lançons sur 2018 et 2019 les deux premières tranches, soit la reprise des murs et le lanterneau. Nous essaierons de faire en 2020 la troisième tranche qui comprend les vitraux et l’aménagement intérieur en fonction des subventions que nous pourrons obtenir » explique le maire Lionel Chanteloup. A ce jour et pour un montant de travaux estimé à 700.000 €, la moitié de la somme bénéficie de subventions. NR Indre et LoireE, 19/09, p.20(La Croix en Touraine) Edouard André en son jardinLe label « Maisons des illustres » a été créé en 2011, on en compte aujourd’hui 226. Par cette distinction, le ministère de la Culture souhaite valoriser les lieux dont la vocation est de conserver et transmettre la mémoire des femmes et des hommes qui se sont illustrés dans l’histoire politique, scientifique, sociale et culturelle de la France. Soutenue par la municipalité propriétaire aujourd’hui de la maison et du parc de l’architecte paysagiste Edouard André en 2017, Florence André, son arrière-petite-fille et présidente de l’association Edouard-André avait entamé les démarches Edouard André (1840-1911) a oeuvré à travers le monde avec plus de 200 créations de jardins à son actif avant de s’installer avec sa famille à La Croix-en-Touraine. En 1879, il publie « L’art des jardins », traité général de la composition des parcs et jardins, ouvrage fondamental réédité à plusieurs reprises. La plante la plus célèbre qu’il découvre en Colombie est l’Anthurium Andreanum. Le label est accordé et c’est à l’occasion des 35e journées du patrimoine que la plaque a été posée, à l’entrée du parc samedi. NR Indre et LoireE, 19/09, p.20(Ingré) Appel aux dons pour l’égliseSamedi, dans la salle Guy Durand, le maire Christian Dumas a signé une convention de partenariat avec Bernard Vella, le délégué départemental de la Fondation du patrimoine. Le but : rénover et préserver l’église Saint Loup. Cette église paroissiale, avec son imposant édifice à plan basilical construit aux XVe et XVIe siècles, est un élément fort du patrimoine local et de l’identité d’Ingré. Son portail renaissance, sur la façade ouest, est notamment inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1925. Cependant, des travaux sont nécessaires pour préserver cette spécificité. RC Orleans, 20/09, p.16(Montargis) À vendre, chapelle du XIXe siècleEt si vous deveniez propriétaire d’une chapelle, en plein centre ville de Montargis ? C’est aujourd’hui possible, contre un chèque de 220.000 € : le Centre hospitalier de l’agglomération montargoise (CHAM) se sépare de ce qui fut la chapelle de l’ancien Hôtel Dieu de Montargis, devenu ensuite hôpital, rue Jean Jaurès, avant qu’un nouvel établissement soit construit à Amilly en 1993. Érigée en 1869 et dédiée à saint Louis, l’édifice qu’on peut admirer depuis la rue n’accueille plus de cérémonies depuis bien longtemps. La chapelle, désacralisée, a été fermée au public pour des raisons de sécurité, puis aurait servi à stocker les archives de l’hôpital montargois pendant un temps. Il y a un an, la direction du Centre hospitalier de l’agglomération montargoise a décidé de mettre en vente ce bâtiment, dont l’entretien représente un coût certain et qui n’est plus d’aucune utilité pour les activités hospitalières. La chapelle de la rue Jaurès n’est ni inscrite à l’inventaire des Bâtiments historiques, ni classée, mais néanmoins située dans un périmètre historique. Le nouveau propriétaire pourra donc aménager l’intérieur comme il le souhaite, mais devra faire intervenir un architecte du patrimoine pour tous les travaux extérieurs. Des aides de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) peuvent être demandées. RC Loiret, 20/09, p.14(Viglain) La plus ancienne cloche du Loiret retrouve son église romaneLors des travaux de restauration, réalisés en 2006 à l’église Saint André de Viglain, l’ancienne cloche et le mécanisme de l’horloge ont été descendus et exposés à la mairie. Datant de 1403 Depuis quelques jours, ces trésors ont repris place dans le lieu sacré. Six personnes ont pris part à ce déplacement millimétré, qui a nécessité manutention et précision. René Hodeau, maire de la commune, Stéphane Voisin, Daniel Agogué, Marie Thérèse Barthoux, Sébastien et Mathilde Derland, ont oeuvré pour exposer la plus ancienne cloche du Loiret, datant de 1403. RC Loiret, 20/09, p.14(Chateaumeillant) Un nouveau puits mis au jourLa place du Docteur Guyot, qui fait l’objet de travaux importants dans le cadre de la revitalisation du centre bourg, n’en finit décidément pas de créer la surprise ! Après un premier puits découvert suite à l’effondrement du sol, sans doute consécutif au passage d’un gros véhicule, un nouveau puits vient en effet d’être mis au jour. Il est plus grand, à l’ouverture, que le précédent, et d’une profondeur de huit mètres. Constitué en grès et pierre sèche, il semble avoir déjà fait l’objet d’une découverte mais n’avait alors pas été rebouché, seulement recouvert d’une dalle. Le Berry, 20/09, p.21(Châtillon-sur-Indre) Les joyaux romans de la vallée de l’Indre L’association Rencontre avec le patrimoine religieux, dont le siège est à Châtillon vient d’éditer un livre consacré au Patrimoine roman en val de l’Indre. De Déols à Cormery. Ses soixante-quatre pages présentent une quinzaine de lieux remarquables tant en matière d’architecture que d’histoire. L’auteur de l’ouvrage, Michel Maupoix, président de l’association, a rassemblé ici tout ce que compte de joyaux architecturaux, ce territoire jadis morcelé en diverses seigneuries relevant de l’Anjou, de la Touraine ou du domaine royal. Ce sont souvent des ouvrages majeurs de l’art roman. NR Indre, 20/09, p.14(Tours) Une enquête à la Sherlock Holmes grandeur natureAprès plusieurs tournées dans l’Est de la France, le « Grand jeu Sherlock Holmes : Menace sur le Tchoukoumchouk », débarque à Tours. En quoi consiste-t-il ? « Les participants se réunissent en équipes de deux à six, afin de mener l’enquête en aidant Sherlock Holmes », explique Marc Monge, de Créanim Animations Ludiques, la société organisatrice de l’évènement. Au départ, les équipes reçoivent une enveloppe contenant le plan de la ville. « Sur celui-ci, des points indiquent les premiers lieux à visiter, afin de recueillir des indices, ou encore rencontrer des personnages de l’Histoire », continue-t-il. Pour mener à bien les investigations, chaque équipe utilisera un smartphone, doté de l’application officielle du jeu. « Les indices seront indiqués de manière interactive sur une carte ». Une fois l’enquête aboutie, les participants reviennent au point de départ, situé au 18, rue Nationale. Inscriptions jusqu’au 21 septembre sur www.sherlockgeant.fr Prix : 15 euros pour les adultes, gratuit pour les moins de 16 ans. NR Indre et LoireE, 19/09, p.20500 ans de la Renaissance : une tapisserie de la Cène par Leonard de Vinci au Clos-LucéLe début des festivités du 500e anniversaire de la Renaissance en Val de Loire approchent. Alors que démarre le 20 septembre le Tour Leonardo Da Vinci, dans 10 pays du monde sur 3 continents pour assurer la promotion de l’évènement avec Atout France, une partie du programme se précise dans la région. Une tapisserie de Léonard de Vinci, représentant la Cène et actuellement au Musée du Vatican sera exposée au Clos Lucé du 30 mai au 30 septembre. Celle-ci mesure 4,6 x 8,8 m, et a été peinte entre 1495 et 1498. Mag'Centre, 20/09(Meung sur Loire) Les dons ont été nombreuxC’est avec un immense plaisir que Marc Leforestier, président de l’Association des amis du château de Meung sur Loire (ACMSL) a remis, vendredi dernier, deux chèques pour sauver le pavillon de musique. Le don a eu lieu à l’occasion du concert caritatif donné par l’ensemble La Rêveuse, à l’orangerie. Les objectifs dépassés Le pavillon de musique est une jolie construction de la fin du XVIIIe siècle. Un bel escalier de pierre débouche sur une terrasse qui domine la Loire. Ce petit pavillon comporte une salle voutée, agrémentée de stuc où résonnent encore des concerts de l’évêque d’Orléans, et une salle en soubassement, qui servait probablement de laiterie. Mais aujourd’hui, la terrasse est perméable, les pierres de tuffeau sont dévorées par les intempéries et les arches s’affaissent. Une campagne de financement participatif a été menée cette année. Le premier objectif de 13.000 euros, pour sécuriser et stabiliser le bâtiment, a été un véritable succès. Un chèque de 16.987 euros a, en effet, été remis aux propriétaires, Xavier et Élise Lelevé. RC Orleans, 20/09, p.16(Saint Léger le Petit) Les statues ont été restauréesLes deux statues de l’église de SaintLégerlePetit, la Vierge à l’Enfant et la statue de saint Léger, avaient subi les affres du temps et étaient victimes d’insectes xylophages. Bientôt inscrites à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques, la municipalité avait décidé leur restauration. La Fondation du patrimoine a été sollicitée pour une aide au financement et une souscription a été mise en place, afin de mobiliser les habitants et un mécénat privé ou public. Elles ont retrouvé leur emplacement Après un travail de restauration effectué par Hélène Gruau, restauratrice du patrimoine, ces deux statues de bois ont retrouvé leur emplacement dans l’édifice. Le Berry, 21/09, p.24(Chartres) Des vins qui serviront à restaurer les vitraux de Notre-DameUne vente aux enchères de bouteilles de vin et de spiritueux sera réalisée samedi 13 octobre, à la galerie de Chartres afin de soutenir Chartres sanctuaire du monde (CSM). Récoltées depuis la Paulée de Chartres, en avril, les bouteilles ont été données par des entreprises et des particuliers. Des grands crus sont annoncés, comme une bouteille de La Tache 2007 ou des vins d’appellation Vosne Romané. Certains crus sont vieux de plusieurs décennies. « Plusieurs centaines de flacons seront à vendre », annonce Servane de Layre, présidente de CSM. Elle se félicite que la « mise en réseau d’admirateurs des vitraux et de leurs amis producteurs de vins » ait permis de recueillir ces dons insolites. Les recettes de la vente serviront à financer la restauration des vitraux du transept de la cathédrale. Un chantier conduit par l’État, que l’association aimerait cofinancer : « Nous voudrions apporter la moitié de la somme requise à l’État, soit environ 90 000 à 100.000 €. » Les dons sont possibles jusque début octobre. (intégral) L'Echo, 21/09(Saint-Etienne-de-Chigny) Restauration de l’église du Vieux-BourgLa réunion du conseil municipal de rentrée de Saint-Étienne-de-Chigny s’est déroulée jeudi 13 septembre. Après le vote des affaires courantes, le grand sujet de la séance a été le choix des entreprises pour effectuer la restauration de la voûte lambrissée de l’église du Vieux-Bourg. Avant le vote, M. De Saint Jouan, architecte en chef des Monuments historiques, a rappelé la nature et l’ampleur des travaux à effectuer sur la charpente de la toiture. La durée est estimée à sept mois avec mise en place d’un échafaudage horizontal sur toute la superficie intérieure de l’église. La commission d’appel d’offres (CAO) s’est réunie pour avis le 27 août et a procédé à l’ouverture des plis. 11 dossiers ont été reçus. Le 10 septembre, la CAO a procédé à une analyse des offres. Le conseil municipal a voté à l’unanimité le choix des entreprises retenues pour les trois premiers lots. Celui de peinture a été annulé car des paroissiens de la commune et des environs se sont portés volontaires pour effectuer les travaux sur les menuiseries de la chapelle. Ces mêmes bénévoles déménageront et stockeront le mobilier de l’église avant le début des travaux. Le budget des travaux s’élève à 292.700 € TTC avec une participation de 140.000 € de la Région et 100.000 € de la Fondation du patrimoine. (intégral) NR Indre et Loire, 21/09(Chilleurs aux Bois) Des morceaux de patrimoine paysanSi vous passez quelque part dans la Beauce ou autour de la forêt d’Orléans, vous avez toutes les chances d’en croiser, sans connaître leur nom. Beaucoup sont en ruine. D’autres, transformées en ensemble locatif, comme à la sortie de Crottes en Pithiverais. D’autres encore entretenues tant bien que mal par des enfants du pays. Elles sont un peu partout mais leur nom n’est pas connu : on les appelle des granges à porteau. Ces bâtiments, qui remontent pour certains au XVIIIe siècle, parsèment le territoire. « C’est quelque chose de très courant mais de peu connu, qui se trouve en danger aujourd’hui », note Hubert Goueffon. Cet habitant de Teillay Saint Benoît est l’un des animateurs d‘un événement organisé aujourd’hui et demain par l’antenne départementale de l’association Maisons paysannes. Conférence, exposition et visite guidée sont au programme pour (re) découvrir ces bâtiments, à Chilleurs aux Bois. RC Loiret, 22/09, p.15(Boiscommun) Un concert au profit de l’égliseLa Villanelle, chorale mixte, interprétera a cappella des chants du monde et de la Renaissance. La chorale d’hommes Les Fous des Gammes chantera quelques unes des oeuvres qui composent son répertoire varié. L’entrée au concert sera gratuite. Toutefois, un appel aux dons sera effectué. Car le montant de cette recette sera intégralement reversé à la Fondation du patrimoine église de Boiscommun. Ce concert s’inscrit, en effet, dans le cadre d’un appel à la générosité pour sauver l’église de Boiscommun. Notre Dame est classée monument historique depuis le 12 juillet 1886. C’est un trésor de l’histoire médiévale, mais qui doit faire l’objet d’une restauration. L’architecte des Bâtiments de France a estimé à plus de 2 millions d’euros le montant des travaux à réaliser, en quatre tranches. RC Loiret, 22/09, p.17(Amilly) Le chantier du moulin lancéLa restauration du moulin Bardin, à Amilly, vient de commencer. Ce chantier d’ampleur, mené par la municipalité, devrait se poursuivre durant un an, pour une ouverture au public espérée lors des Journées du patrimoine 2019. Le montant des travaux s’élève à 850.000 €. La ville accompagne l’Association de sauvegarde du moulin Bardin, qui, depuis bientôt trois ans, oeuvre pour faire renaître l’édifice, en le faisant découvrir au grand public. Et elle entend bien, dans un futur proche, le remettre en fonction. (intégral) RC Loiret, 22/09 (Courville sur Eure) Le prieuré va être acheté par la commune« Le Prieuré de la porte Saint Nicolas est à vendre pour 258.750 € et nous souhaitons l'acquérir pour le préserver et éviter une démolition », a présenté Hervé Buisson. « Ce projet sera étalé sur plusieurs années » Il a renchéri : « Selon une architecte, il faudrait un million d'€ de travaux qui pourrait être subventionnés en partie, et je verrai bien la création d'un restaurant gastronomique et cinq chambres aux étages, mais je ne suis pas fermé à d'autres projets ». Un débat a suivi, certains élus étant convaincus de l'achat de cette propriété, mais d'autres se sont interrogés sur les conséquences budgétaires. « Avons nous les moyens ? ». Et le maire a lancé : « Ce projet sera étalé sur plusieurs années, et avec les possibles subventions, cette acquisition est viable ». Deux élus se sont abstenus et les autres ont validé cet achat. (intégral) L'Echo, 22/09(Tours) La fontaine Beaune-Semblançay déménage place ChâteauneufLa Ville a décidé de déplacer la fontaine Beaune-Semblançay de son emplacement actuel, le jardin Beaune-Semblançay, pour rejoindre la toute nouvelle place de Châteauneuf, après une campagne de restauration. « Il s’agit du plus bel élément Renaissance de l’espace public », a rappelé Jacques Chevchenko, adjoint au Patrimoine. ” Cette fontaine est datée de 1511. Son bassin est composé de pierre de Volvic, il a été financé par la Ville. Haute de 4,20 mètres, sa pyramide est composée de marbre venu de Gênes, payé par Jacques de Beaune. La pyramide est ornée des monogrammes de Louis XII, de son épouse Anne de Bretagne et des blasons de France et de la ville de Tours. Elle est également décoréeavec le blason de la famille de Beaune. Si la fontaine rejoint la place de Châteauneuf, ce ne sera pas son premier déménagement. La fontaine devrait être remise en eau pour l’année 2019, baptisée Année Renaissance. NR Indre et Loire, 22/09, p.15(Orleans) Un demi-millénaire pour la cathédraleSoprano, Kendji Girac, Ridsa, Amel Bent : 121 ans à eux quatre. Même en cumulant l’âge de ces artistes du Tour Vibration, impossible d’égaler le temps nécessaire pour bâtir la cathédrale Sainte Croix d’Orléans, devant laquelle ils se sont produits hier soir. Il aura fallu 542 années, calcule Jean Nivet, saluant « cette persévérance, cette volonté d’aboutir malgré les ruines et les traverses » qui « ont permis aux Orléanais de posséder aujourd’hui un monument exceptionnel : une cathédrale gothique commencée le 11 septembre 1287 et inaugurée le 8 mai 1829 […] ». Un demi millénaire pour ériger l’édifice johannique (vu comme le « plus grand chantier religieux royal de l’époque moderne en France »), trente ans pour celui de Chartres : pourquoi tant de différence ? RC Loiret, 23/09, p.7
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 25 Sep - 10:48, édité 3 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 10:36 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 10:38 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 10:41 | |
|
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 25 Sep - 11:37, édité 1 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 10:42 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 10:47 | |
|
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 25 Sep - 11:36, édité 1 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 10:56 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 11:00 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 11:01 | |
| Journées du patrimoine. Découverte du chantier des collections du Musée de la Résistance de CahorsCe n’est pas parce que le Musée de la Résistance de Cahors est fermé dans l’attente de ses nouveaux locaux que rien ne bouge. Elodie Mazel, directrice du Musée de la Résistance depuis un an, a fait appel à Mélodie Ravel-Chapuis, régisseur de collection, afin de répertorier tous les objets et documents accumulés durant 20 ans par le Musée de la Résistance de Cahors. Le public pourra découvrir ce travail titanesque lors de visites guidées à l’occasion des journées du patrimoine les samedi 15 et dimanche 16 septembre 2018. Lire la suite : https://actu.fr/occitanie/cahors_46042/le-chantier-collections-musee-resistance-cahors-est-decouvrir-journees-patrimoine_18553627.html | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Jeu 20 Sep - 11:03 | |
| Fermé depuis vingt ans : le musée de Montmorillon ressuscitéLa ville a retrouvé hier soir son musée, du moins une salle aménagée à la médiathèque, présentant une partie des œuvres stockées depuis vingt ans. La salle Raoul-Carré a été dévoilée hier soir à la médiathèque, en présence d’une assistance nombreuse, venue assister à la renaissance du musée d’art et d’histoire de Montmorillon. Lire la suite : https://www.lanouvellerepublique.fr/montmorillon/ferme-depuis-vingt-ans-le-musee-ressuscite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Mar 25 Sep - 11:22 | |
| Comment le Musée Jacquemart-André a dû « négocier » dix CaravageLe Caravage (1571-1610) est de ces rares artistes anciens qui réunissent les ingrédients capables d’attirer les foules : une vie picaresque en clair-obscur et une œuvre très expressive au goût du jour. En dix ans, d’ailleurs, pas moins d’une trentaine d’expositions lui ont été consacrées dans le monde. Mais pas une seule à Paris depuis 1965. Un vide que veut combler le Musée Jacquemart-André avec « Caravage à Rome, amis et ennemis » à partir du 21 septembre. Lire la suite : https://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/09/24/comment-le-musee-jacquemart-andre-a-du-negocier-dix-caravage_5359422_4497186.html | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Mar 25 Sep - 11:23 | |
| | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) Mar 25 Sep - 11:31 | |
| Besançon : une momie âgée de 3000 ans réintègre le muséeElle avait été stockée en lieu sûr pendant les quatre ans de travaux du musée des Beaux-Arts. Séramon est rentrée à la maison. Cette très belle momie, âgée de quelque 3 000 ans, a fait, jeudi matin et entourée de beaucoup de précautions, son retour au musée des Beaux-Arts de Besançon (Doubs). Fermé depuis près de quatre ans pour grands travaux, le musée est en train d’intégrer ses plus belles pièces avant la réouverture prévue le 16 novembre. Lire la suite : http://www.leparisien.fr/societe/besancon-une-momie-agee-de-3000-ans-reintegre-le-musee-21-09-2018-7897248.php | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) | |
| |
| | | | Revue de presse (17 - 23 septembre 2018) | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |