Revue de presse (30 janvier - 5 février)

Musée de la région Centre

Source : artclair.com

Le label d’exposition d’intérêt national 2012 a été décerné à 19 expositions

Le ministère de la Culture et de la Communication a publié le 27 janvier 2012 la liste des expositions de l’année qui ont reçu le label d’ « exposition d’intérêt national ». Elles ont toutes lieu en province.
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Source : Panorama de presse de la Drac Centre

(Tours) Les dessous affriolants du musée des Beaux-Arts

Dévoiler au grand public les dessous du musée des Beaux-Arts : voilà une belle idée qui a conquis le public ce week-end, pour la première, au-delà même de toute espérance. Il faut dire que le programme était alléchant, avec une visite déclinée par Agathe Chambord, la guide, en deux parties, le haut et le bas. Normal pour des dessous. Le bas, c’est une plongée dans les souterrains du palais des archevêques. Au pied d’une volée d’une dizaine de marches, vingt siècles de l’histoire de la cité vous contemplent. Une impressionnante plongée dans le temps, quand Tours s’appelait Caesarodunum, avec ses monuments et ses temples, qui, au fil des siècles, serviront de matériau pour ériger des remparts.
Nr, Indre, et LoireT, 30/01, p.11

(Saint Marcel) La région Centre a visité le musée archéologique

Un investissement important à égale part entre la région Centre et le contrat de projets État-Région (CPER) de l’ordre de 1.500.000 € est à l’origine de la rénovation du musée. Vendredi dernier, une visite importante était destinée à se rendre compte comment tout cela vit après les travaux. «Nous ne prenons pas les décisions seulement à partir de notre bureau. Nous allons souvent sur place, comme aujourd’hui, pour nous rendre compte des résultats de cette opération de rénovation du musée archéologique», a expliqué Carole Canette. La vice-présidente du conseil régional, chargée de la culture et de la créativité numérique, était accompagnée pour cette visite officielle par Annick Gombert, conseillère régionale, et Christophe Marion, directeur de l’activité culture à la Région.
Nr, Indre, 31/01, p.18


(Orléans) Le Cercil en chantier jusqu’au 17 février

Un an à peine après son ouverture, le Cercil (centre d’étude et de recherche sur les camps d’internement du Loiret), rue du Bourdon-Blanc, est en travaux. Objectif : rendre possible la consultation de facsimilés et d’originaux mis en dépôt par les archives départementales.
RC, Orléans métropole, 02/02, p.9

(Blois) Label national pour “ Festins de la Renaissance ”

L’exposition “ Festins de la Renaissance ” prévue au château royal de Blois, du 7 juillet au 21 octobre prochains, vient d’être reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture.Un label obtenu par seulement 19 expositions en 2012 qui récompense chaque année les musées de France mettant en œuvre un projet d’exposition remarquable par sa qualité scientifique, ses efforts en matière de médiation culturelle et son ouverture à un large public. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 02/02

(Orléans) « C’est une belle victoire »

L’exposition ne se tiendra pas à Paris, ni aux États Unis, mais à Orléans. Pour le directeur du Muséum d’Orléans Philippe Guillet c’est «une grande victoire». Il est fier de présenter l’exposition «Le Chant des Dinosaures» grâce une collaboration avec la Chine.
RC, Orléans métropole, 03/02, p.12

(Montargis) Le musée Girodet fermé

Exceptionnellement, le musée Girodet est fermé au public jusqu’au vendredi 10 février inclus. Il rouvrira le samedi 11 février, à partir de 9 heures. Des travaux d’étude des plafonds sont actuellement menés dans le cadre du chantier de grande envergure qui sera lancé cette année. (intégral)
RC, Pithiviers, 03/02

(Bourges) Avis de soldes sur des livres d’art

Lors du conseil municipal du 20 janvier dernier, un point concernant quelques ouvrages vendus au musée Estève a été voté. Il s’agit de baisser les prix de vente de deux catalogues, de retirer une plaquette de la vente aux librair ies – celles ci ne l’achetant plus depuis 2000 – et de retirer également de la vente une cassette vidéo pour cause de support obsolète. Cette décision du conseil municipal – la ville étant l’éditeur – doit encore être validée par la préfecture. Ces changements de prix et ces retraits devraient donc intervenir dans les jours à venir.
Le Berry, 03/02, p.10

(Châteauroux) Deux sirènes offertes

Au-dessus de la porte d’entrée du domicile de M. et Mme Mathias, rue Voltaire, trônait un magnifique chapiteau représentant deux sirènes, sculptées en pierre d’Ambrault. Lors de la réception de cet élément historique, lundi soir, au Musée Bertrand, Jean-François Mayet, sénateur et maire ; Michel Blondeau, maire de Déols et conseiller général ; Anne-Marie Delloye-Thoumyre, maire adjointe à Châteauroux ; Marc du Pouget, directeur des Archives départementales ; les membres de l’association Les Amis du Vieux Châteauroux, présidée par Pierre Remérand ; Michèle Naturel, conservatrice, et, bien entendu, les époux Mathias, assistaient à cette cérémonie. « La maison était inscrite comme monument historique depuis 1924 à cause de ce chapiteau », expliquait René Pécherat, historien et membre de l’association des Amis du Vieux Châteauroux. Après une kyrielle de courriers et autres autorisations, il était enfin convenu que les deux sirènes prendraient place dans un lieu consacré officiellement à l’art et à l’histoire, en l’occurrence au musée de Châteauroux, avec l’assentiment des municipalités déoloise et castelroussine.
Nr, Indre, 03/02, p.9

(Châteauneuf S/Loire) Découvrir l’histoire du métro aérien

« Le métro aérien de Châteauneuf et l’aérotrain » sera le thème de la conférence organisée par les Amis du musée de la m a r i n e d e L o i re et du vieux Châteauneuf, mardi 7 février, à l’espace Florian. Présentée par JeanMichel Hervé, ingénieur à la retraite et membre de l’association, elle retracera l’histoire de ces deux véhicules d’exception, de leur étude jusqu’à leur disparition.
RC, Orléans beauce, 04/02, p.21

(Romorantin) Les 24 Heures du Mans au musée Matra…

Il y a quarante ans, Matra entrait dans la légende du sport automobile. Le 11 juin 1972, à 16 h, Graham Hill et Henri Pescarolo remportaient les 24 Heures du Mans au volant de la fameuse MS 670. Durant vingt deux ans, aucune voiture française n’avait franchi le drapeau à damiers en premier. Mieux, Pescaloro et Gérard Larrousse récidivaient les deux années suivantes. Ces trois victoires d’anthologie sur le mythique circuit Bugatti, surnommées « les années bleues » par les aficionados Matra, le musée automobile Matra de Romorantin a tenu à les fêter à sa manière. Comment ? En organisant une exposition temporaire consacrée aux voitures qui ont marqué les 24 Heures du Mans.
Nr, Loir et CherN, 04/02, p.26

(Tripleville) L’Écomusée s’apprête à déménager

L’assemblée générale de l’Écomusée de la vallée de l’Aigre se tenait samedi matin, à la salle des fêtes. Après avoir remercié les membres de l’association et les élus présents, Chantal Amary, la présidente, a fait approuver les rapports moral et financier. Puis, elle a rappelé les moments forts de l’année écoulée et, surtout, a mis l’accent sur plusieurs projets en prévision. «...L’Écomusée aura bientôt de nouveaux locaux. Ils seront situés dans les anciens bâtiments de la maison de retraite de La Ferté Villeneuil (Eure et Loir), ce qui nous permettra de travailler dans de meilleures conditions.»
RC, Orléans beauce, 06/02, p.19

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre

(Châtillon s/loire) Naissance des Amis de l’Archéologie

«Les Amis de l’archéologie», c’est la dernière née des associations culturelles de Châtillon sur Loire. Créée le 26 décembre dernier et figurant sur le journal officiel du 7 janvier, elle est le résultat de la volonté de quatre personnes : Philippe Jarret, Guy Palluau, Béatrice Gaudichon et Michel Mazué. Ils veulent combler un vide : aucune structure locale ne couvre leur domaine d’activité. Le président, Philippe Jarret, explique que le but est de faire l’inventaire des sites archéologiques de la région, qu’ils soient préhistoriques, gaulois, galloromains, mérovingiens ou médiévaux. En tant que conseiller municipal, Philippe Jarret s’occupe déjà du musée archéologique de la ville. Il désire qu’une association sérieuse et munies d’agréments puisse s’impliquer dans la gestion de son contenu.
RC, Pithiviers, 1er/02, p.20

(Loches) ••• Sforza repose-t-il dans la collégiale ?

Le duc de Milan, Ludovic Sforza (1452-1508), mécène de Léonard de Vinci, emprisonné et mort au donjon de Loches, repose-t-il dans la nef de la collégiale Saint-Ours ? Ses restes ont-ils été exhumés pendant la Révolution ? Pour en avoir le coeur net, la ville a décidé d’engager des travaux de fouilles dans la nef. « Une seule fosse dans la nef pourrait être la tombe de Sforza, indique Pascal Dubrisay, adjoint au patrimoine. Il faudrait soulever trois dalles pour y accéder. » Au delà de l’intérêt scientifique et historique, la ville voit aussi l’aspect touristique.
NR, Indre et LOire, 02/02, p.17

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre

(Gien) La Shag se lance dans la bataille

Pour ceux qui le connaîtraient mal cet épisode important de l’histoire de Gien, 2015 sera l’occas i o n d e s’y pl o n g e r. Da n s trois ans, la Société historique et archéologique de Gien (Shag) compte organiser un événement d’ampleur, pour célébrer les 75 ans de la bataille de Gien. « Nous allons proposer au comité d’entente des sociétés patriotiques comme à la ville de Gien d’organiser une manifestation grandiose », a lancé Michel Tissier, président de la Shag, avec un grand sourire. Le contenu est à préciser et il sera défini par les instances prenant part au projet. « Nous sommes preneurs de volontaires et de propositions», a t il ajouté. Toutefois, le souhait de Michel Tissier, est que l’événement donne lieu à des festivités au moins égales à celles organisées pour le 50e anniversaire de la bataille de Gien.
+ Un nouveau bulletin de la Shag consacré à deux anciens maires
RC, Pithiviers, 30/01, p.17

(Huêtre) La réfection de l’église prévue en 2012

Fidèle à la tradition, Thierry Bracquemond, maire de Huêtre, a adressé, jeudi soir, à la salle des fêtes, ses voeux aux habitants. ...« 2012 sera une année de réfection pour l’église, car il est nécessaire de refaire la toiture, les enduits extérieurs, et de rénover et protéger les vitraux », annonce le maire. « C’est un très gros chantier pour notre petit village. Comme notre endettement est nul, nous avons pu boucler notre financement, mais pas sans subvention. »
RC, Orleans beauce, 30/01, p.18

(Bourges) A la cathédrale, que la lumière soit !

Sous l’architecture ogivale, la bonne parole fait entrer la lumière physique et divine depuis le douzième siècle. Le symbole chrétien éclaire la lanterne patrimoniale. Le gothique dissipe les ténèbres en inventant les arcs boutants et les croisées d’ogive. Le roman n’est plus. Le jour déflore la dame de pierre, Saint Étienne s’illumine. Samedi, le bureau des guides de Bourges a fait la lumière sur les châssis gothiques et vitraux de la cathédrale.
Le Berry, 30/01, p.8

(Cuffy) Nouvelle association pour le patrimoine

À l’initiative de Jean-Pierre Lesueur, l’assemblée constitutive de l’association de Sauvegarde du patrimoine historique de Cuffy et de son église s’est tenue à la salle des Fourmis. Cette association, dont le siège social est situé à la mairie, a pour but de préserver et de promouvoir le patrimoine historique de la commune et, en particulier, son église Saint Maurice, du XIIe siècle et classée monument historique en 1911, mais également de rechercher toute subvention et mécénat permettant d’entretenir, rénover et de valoriser ce dernier, et aussi de développer, en liaison avec la municipalité, et avec la paroisse pour son église, toutes actions susceptibles de favoriser la valorisation et la sauvegarde de ce patrimoine.
Le Berry, 30/01, p.39

(Saint-Benoît-du-Sault) Monument historique en quête d’usage

Notre équipe a chuté en 2001 à cause des opposants au projet. L’ancien maire de Saint-Benoît-du-Sault, Jean Chatelut, résume en quelques mots les passions occasionnées par le dossier du prieuré. La visite des conseillers régionaux, Dominique Roullet, Carole Canette, vice-présidents, et Annick Gombert, lui a permis de souligner la nécessité de sauvegarder ce bâtiment du XVe siècle. A l’abandon depuis le départ de la colonie des vacances de la ville de Bondy, il vient d’être consacré monument historique. Les dimensions de l’édifice (2.300 m2 sans les caves et les combles) rendent la tâche difficile. Mais Jean Châtelut se bat, depuis 1999 pour lui redonner une activité. Il s’agissait au départ d’en faire un centre culturel de rencontres axé sur le paysage. Les éventuels partenaires financiers ont traîné des pieds. L’élection municipale a enfoncé le clou et le projet, pourtant inscrit au plan État-Région 2007-2013, s’est délité, au point qu’une partie des crédits (1,5 M€) a été affectée au musée d’Argentomagus. «Personne n’y croit plus, mais la présence d’un architecte et de plusieurs ouvriers montre que nous avançons», souligne l’ancien maire. La priorité est de chiffrer une réhabilitation, estimée à l’origine 2,5 M€. Et de trouver de l’argent.
NR, Indre, 30/01, p.6

Infatigables Amis du Vieux Châteauroux

Les Amis du Vieux Châteauroux ont pour vocation de faire connaître l’histoire de la ville, y compris son patrimoine moderne. L’assemblée générale de l’association, samedi, aux Archives départementales, a permis de faire le point sur ses activités. Parmi les actions réalisées en 2011, on note la réédition du livre sur les rues de Châteauroux. L’ouvrage de 1995 a été corrigé et complété par des illustrations inédites, dans une présentation différente. A l’issue de l’assemblée générale, les Amis du Vieux Châteauroux accueillaient Francesca Lacour, archiviste paléographe. Au nom de l’association, elle a été aidée par la Direction régionale des Affaires culturelle et la Ville pour la publication de son ouvrage Les fils de saint François en Berry. Elle a retracé l’histoire du couvent des Cordeliers, thème de sa thèse à l’École des chartes.
Nr, Indre, 30/01, p.10

(La Chaussée Saint Victor) Cure de jeunesse pour sept statues de l’église

L’église de la commune abrite une importante collection de statues en bois, pierre, terre cuite et en plâtre. L’entreprise de Brice Moulinier, spécialisée dans la restauration d’art, a été retenue afin de redonner une seconde jeunesse aux six statues du choeur ainsi qu’au Christ en croix. Olivier et Anthony Courtin travaillent avec la minutie des artistes avec pour seul outil des Coton-tige tant l’ouvrage est délicat à effectuer. L’opération en cours s’élève à 10.987 euros. La restauration du portrait de l’abbé Chabaud, huile sur toile du début de XIXe siècle présentant des dégradations s’élève à 1.360 euros. Des dossiers de subventions pour ces opérations de restauration ont été présentés auprès de la Drac (Direction départementale des affaires culturelles), du conseil régional et du conseil général. Une seconde tranche de restauration pour onze statues sera proposée au budget 2012 pour un montant global de 25.000 euros.
Nr, Loir et Cher, 30/01, p.10

(Châteauroux) La fontaine sera rénovée

Ce projet de rénovation de l’ancienne fontaine Saint-Germain, en bordure de l’Indre, était récurrent depuis six ou sept ans. Aussi, Claudine Galliot, coprésidente, n’a pas boudé son plaisir lors de l’assemblée générale qui s’est tenue hier soir, à la Maison de quart ier de Saint-Denis. « Cette réhabilitation est notre gros projet pour 2012, expliquet-elle. La Ville a décidé d’investir 40.000 € et le conseil apporte le reste, soit 17.259 €. »
NR, Indre, 31/01, p.10

(Orléans) Sensibiliser pour mieux conserver

Valoriser la tradition. L’association Maisons paysannes de France veut informer élus et particuliers sur les caractéristiques extérieures des anciennes bâtisses. Jusqu’au 4 février, la maison des associations ouvre ses portes aux savoir faire ruraux, vitrines pédagogiques à l’appui. Des murs en pierres aux toits en tuiles ou ardoises en passant par les volets et le portail, tout doit être rénové dans le respect de la tradition. Les panneaux de l’exposition détaillent ainsi tous les éléments de l’architecture rurale du Loiret. «Apprendre à bien regarder son environnement, pour éviter de faire des erreurs quand il s’agit de rénovation», explique Pierre Plisson. Le délégué du Loiret de l’association assure que les coûts ne sont pas plus élevés sur le long terme, sans pour autant chiffrer précisément le montant de tels travaux.
RC, Orléans métropole, 31/01, p.15

(Bourges) Difficile reconquête d’un glorieux passé

Bourges, ville peu universitaire, la faute à qui ? Pas au passé en tout cas, qui offrit à Bourges une gloire universitaire européenne. C’était du temps où un étudiant, consacré comme le plus prestigieux et emblématique, s’appelait Jean Calvin. Les murs de cette université en ont conservé la mémoire jusqu’à attribuer son nom à une salle qui a été longtemps «LA» salle des réunions politiques. C’est dans cette même salle, qui avait fermé ses portes à l’université deux cents ans plus tôt, que la faculté a repris son droit. Non sans mal. Pour récupérer ses facultés, pas seulement de droit mais aussi de sciences, Bourges a dû jouer des coudes pour retrouver un modeste espace que refusaient de lui concéder les deux villes universitaires de la Région Centre, Tours et Orléans, soeurs ennemies d’une fusion probablement aussi salutaire que naturellement inimaginable.
+ Bourges a été cité universitaire prestigieuse pendant trois siècles
Le Berry, 31/01, p.10

(Orléans) Ses cloches sonnent la samba

Les passeports sont en règle et les valises bouclées pour huit cloches 100 % bronze, qui attendent, au fond de l’atelier abraysien de la SAS Bollée, le grand départ dans les jours prochains pour le Brésil via Amsterdam. De là, elles prendront le bateau pour Rio de Janeiro, sa banlieue plus exactement, où deux églises attendent de tinter Bollée. Il fallait qu’elles sonnent làbas pour Pâques, explique Dominique Bollée. La plus grosse pèse 200 kg, ce qui signifie qu’entre le coup de battant et l’instant où la vibration disparaîtra, il se sera écoulé près d’une minute», développe l’homme qui ne peut s’empêcher de penser aux quatre minutes de vibration de son bourdon envolé de six tonnes. Celui de la cathédrale Sainte Croix, fondu par son arrière grand père, en 1898. Et parti à Annecy (HauteSavoie) – où il doit être fondu par la société Paccard – au terme d’un appel d’offres de la Drac dénoncé devant le tribunal administratif. En attendant que la justice donne raison à la SAS Bollée, ou pas, la vie continue.
RC, Orléans métropole, 1er/02, p.9

(Saint Avertin) Mécénat et château au conseil

Lors du dernier conseil municipal, le débat d’orientation budgétaire, sans vote a été suivi de quelques rapports. ...Il a été nécessaire de modifier certaines prestations des travaux de rénovation du château de Cangé. Il s’est agit de dégager le mur extérieur ouest au niveau de la salle voûtée pour le rendre étanche, de remplacer un parement en pierre bistrée (ancienne cheminée) dans une salle du 1er étage, de remplacer des WC adultes par des WC pour enfants. Le conseil a approuvé la signature des avenants au marché. (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 1er/02, p.18

(La Chapelle Saint Mesmin) La vente du château des Hauts crée des remous

Propriété du conseil général mise en vente depuis un an, le château des Hauts, situé à deux pas de la mairie de La Chapelle, pourrait être vendu à l’entreprise Pentalog, une société de services en ingénierie informatique. Ce que regrettent vivement les membres du Groupe d’histoire locale. L’association avait lancé, en septembre, une pétition (près de 400 signatures), destinée à empêcher que cette demeure du XVIIe siècle ne soit vendue à un particulier. «Ce château est situé dans une zone classée patrimoine mondial de l’Unesco. Il est même emblématique de ce classement. Il est donc dommage qu’on le laisse filer comme ça, avec le risque, en plus, qu’il soit dénaturé», note Christian Veillon, membre du Groupe d’histoire locale et de l’association Les Maisons paysannes de France, également mobilisée.
RC, Orléans métropole, 02/02, p.19

(Dadonville) L’église dévoile son passé

Révélations lors de l’assemblée générale de l’association Histoire et patrimoine, lundi soir, à la salle Pierre-Deret. Marc Petetin, le président, a rendu compte de découvertes récentes. Les yeux rivés à l’écran, la quarantaine de participants attendait avec impatience le résultat des investigations menées récemment dans l’église Saint Denis. Ils n’ont été déçus ni par le fond ni par la forme. La visite, présentée sous forme audiovisuelle, était digne d’un montage professionnel. Pour le reste, l’histoire parle d’elle même.
+ Bientôt un livre sur la commune
RC, Pithiviers, 02/02, p.9

(Vieilles Maisons sur Joudry) Cure de jouvence pour le caquetoire

Voilà des années, et même des décennies, que le projet était dans les cartons de la municipalité de Vieilles Maisons sur Joudry. En cette fin 2011, le caquetoire de l’église Saint Pierre s’est enfin refait une beauté. Rare dans le secteur, beaucoup plus courant en Sologne, le caquetoire est ainsi nommé car les femmes y caquetaient (causaient) en sortant de la messe. Celui de Vieilles Maisons est daté de la fin du XVIIIe ou du XIXe siècle. Il a été ensuite modifié au XXe siècle afin de ranger le corbillard à bras. Une partie a été fermée. Toujours repoussés pour faire passer d’autres priorités budgétaires, les travaux ont finalement eu lieu du 26 septembre au 4 novembre 2011, avec réception le 5 décembre.
RC, Pithiviers, 02/02, p.16

(Saint Maur) L’autel sauvé de la destruction

C’est un évènement très particulier que la paroisse Saint-Gildas, plus particulièrement les fidèles habitant Saint -Maur, a vécu dimanche. «Un évènement peut-être unique dans une vie, a souligné Mgr Armand Maillard, archevêque de Bourges. Un autel est unique ; il fait partie intégrante de l’édifice. Au delà de la religion, notre devoir est d’être les témoins vivants à l’attachement à notre patrimoine.» L’autel qui a été consacré dimanche était voué à la destruction. Il provient de la chapelle du dépôt de mendicité de Châteauroux, érigée en 1890, pour remplacer l’ancienne église Saint-Denis. La chapelle existe toujours mais a été désaffectée en 2007. L’autel date du XIXe siècle. Il est en pierre et sa décoration évoque l’histoire de sainte Radegonde, reine des Francs, morte à Poitiers, en 587. (intégral)
Nr, Indre, 02/02

(Valençay) L’église se refait une beauté

Vendredi, c’était la réception de la première tranche des travaux de rénovation de l’église Saint-Martin, débutés il y a un an. Les échafaudages vont être enlevés et les travaux de couverture vont commencer. Il faudra attendre encore deux ans pour voir la fin de chantier. Cette rénovation n’aurait pu être entreprise sans les subventions de la Fondation du Patrimoine et l’aide de nombreuses personnes qui ont apporté leur contribution personnelle. Elle s’inscrit dans le programme global déjà réalisé, au château et au tombeau de Talleyrand, qui enrichit l’espace touristique de Valençay et sa région. (intégral)
Nr, Indre, 02/02

(Grand ligueillois) Le patrimoine ligolien, préservé, restauré

L’association de la sauve- garde du cadre ligolien a présenté au cours de son assemblée générale, présidée par Frantz Schoenstein, le bilan de l’année 2011. Parmi les thèmes évoqués, la restauration de divers matériels agricoles, l’inventaire dans les églises du grand Ligueillois, et en cours de finition les églises de Ligueil et de Saint-Senoch. Pour la troisième année consécutive, en collaboration avec le Cham (chantier des oeuvres historiques) et la communauté de communes, de jeunes bénévoles ont, au cours des vacances d’été, participé à la rénovation des vestiges de l’église de Saint- Senoch à Varennes.
NR, Indre et LireE, 02/02,

(Bourges) Un trésor du patrimoine

Le patrimoine a ses monuments, ses oeuvres d’art mais aussi ses lettres comme la bible de saint Sulpice. Les initiales colorées, ornementées parcourent la grande bible comme autant de repères pour la lecture. Mais Anne-Catherine Lardeau, la conférencière du service du patrimoine, spécialiste de l’archéologie et de l’iconographie chrétienne, y relève des motifs comme autant de «conventions présentes aussi bien dans l’architecture, que l’art du vitrail ou les peintures romanes». Les Dimanches du patrimoine s’intéressent à l’enluminure...
Le Berry, 04/02, p.17

(Crozant) La forteresse étudiée

Chères au coeur de George Sand, principale richesse touristique de la Vallée de la Creuse, les ruines de Crozant font l’objet d’un livre savant, véritable état des lieux des vestiges de cette extraordinaire forteresse juchée entre Limousin et Berry. Crozant, forteresse d’exception entre Limousin et Berry est signé Christian Rémy, docteur en histoire médiévale, chercheur associé au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale (CESCM) et chargé de cours à l’Université de Poitiers. Il consacre ses travaux à la compréhension du phénomène castral entre Loire et Dordogne en cherchant à mettre en lumière l’organisation spatiale, sociale et politique des châteaux médiévaux. Auteur de nombreuses études sur les forteresses et leurs seigneurs, il connaît particulièrement bien les sites de la Route Richard Coeur de Lion. Crozant, forteresse d’exception entre Limousin et Berry. Christian Rémy Éditions Culture et Patrimoine. 96 pages, 24 €. (intégral)
NR, Indre, 05/02

(Blehomert-Guéhouville) Les scolaires découvrent la cloche Gillette

A Blehomert, dans un souci de sauvegarde du patrimoine protégé, l'une des trois cloches de l'église Saint Jean vient d'être restaurée par le commune pour un coût de 9 000 euros hors taxes, avec des aides du conseil régional du Centre et du conseil général d'Eure et Loir. Cette initiative a ainsi redonné vie à Gillette, la plus ancienne des cloches de l'édifice, classée monument historique depuis 1943. François Perrot, le maire de la commune, a présenté Gillette à tous les élèves de l'école communale. L'occasion de leur enseigner quelques notions de campanologie, en particulier l'histoire de cette cloche.
L'Echo, 06/02, p.35

(Pithiviers) Le monde rural tient à ses « piliers »

Samedi matin, deux «piliers» rénovés du monde rural, une mairie et une église, ont été inaugurés respectivement à Tivernon et à Attray, dans le canton d’Outarville. Ces cérémonies n’ont pas attiré que les habitants des villages concernés et les élus du canton. Le préfet, Michel Camux, le président du conseil général et sénateur Éric Doligé, le sénateur Jean-Pierre Sueur et la députée Marianne Dubois ont tenu à être présents au moins à l’une des deux inaugurations. Tous les intervenants ont fait part de leur attachement à ce qui symbolise les «petits» villages. À l’autre bout du canton, l’église d’Attray flamboie. Cet édifice du XIIIe siècle a été entièrement restauré. Le clocher a été consolidé au cours d’une première phase de travaux, puis la nef et la façade ont été entièrement rajeunies. La réussite de l’opération est totale. Visible pendant trois kilomètres depuis l’A 19, l’église d’Attray est redevenue l’une des plus belles du Pithiverais. Le préfet du Loiret a tenu à assister à l’inauguration, même si l’édifice n’est pas classé monument historique. «Cette église est un peu le coeur de nos villages. C’est un élément de la vie de nos communes. C’est la raison de ma présence», a souligné Michel Camux.
+ Pas de rénovation sans subventions
RC, Pithiviers, 06/02, p.9

Fermée depuis trois ans, l’église rouvrira en musique le 18 février

Samedi, le tout nouveau clocher de l’église de Bazoches sur le Betz a connu son premier jour de neige. Cela fait trois mois que les travaux sur l’édifice sont achevés. Ils ont duré d’avril à octobre 2011. Et on s’apprête à rouvrir l’église, fermée depuis près de trois ans, samedi 18 février, à 18 h 30, avec un récital de la chorale La Cantilène, ouvert à tous et gratuit. Grâce aux fonds récoltés, le clocher a été mis par terre d’un seul tenant... Puis la charpente a été entièrement refaite. Le coq a été redoré, la cloche nettoyée. Et on a même retrouvé dessus des inscriptions donnant le nom de son parrain et de sa marraine.
RC, Pithiviers, 06/02, p.17

L’église d’Épiais suppliciée par les flammes

Le principal c’est qu’il n’y a pas de victimes. On a le sommeil léger et quand on a vu le feu qui embrasait la maison, on est immédiatement sorti prévenir les voisins. Cet habitant d’Épiais, petit village de Beauce à quelques kilomètres d’Oucques, réconforte le couple qui se retrouve sur le trottoir à ses côtés à 3 heures du matin sommairement habillé. A contempler, incrédules, les flammes qui dévorent l’église du village et son ancien presbytère. « C’est un énorme gâchis. Notre église dont les parties les plus anciennes sont du XIIe siècle venait juste d’être restaurée. Notamment le très beau retable… » Michel Peignant, maire d’Épiais, fait ce constat amer face aux flammes qui finissent de dévorer ce qui reste de l’église. Le temps froid et le vent ont immédiatement propagé les flammes de la maison, qui est l’ancien presbytère, à l’église.
+ La restauration de l’église venait de se terminer
Pour Michel Peignant, maire depuis 1983, le coup est dur. «Dans notre petite commune de 142 habitants, même si nous n’avons plus de messes mais encore des célébrations de baptêmes, mariages et enterrements, on y tenait à notre petite église de Saint-Martin avec des parties XII et XVIIe avec régulièrement d’importants travaux : la toiture et le crépi de la façade en 1996, le clocher et la repose de son coq en 2001 et l’an passé la rénovation de la sacristie et la restauration du retable.»
NR, Loir et Cher, 06/02, p.6/7

Source : Panorama de presse de la Drac Centre

Frédéric Mitterrand chez Michel Audiard

Après sa visite matinale amboisienne, vendredi dernier, au château royal et au manoir du Clos Lucé, Frédéric Mitterrand a filé vers Rochecorbon pour y découvrir la fonderie d’art de Michel Audiard. Le ministre de la Culture s’est fait expliquer par le maître des lieux la technique millénaire et toujours empreinte d’une certaine magie, de la coulée à la cire perdue. Frédéric Mitterrand s’est ensuite rendu au domaine Bourillon- Dorléans pour une visite des caves rupestres. (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 30/01

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

La Villa Médicis, institution de hauts vols

A Rome, cambriolages et dégradations se multiplient à l’Académie de France. Sculptures mutilées, dérobées, la Villa Médicis est victime, depuis une dizaine de jours, d’un véritable pillage. Appelés par le directeur, Eric de Chassey, les carabiniers chargés de la protection du patrimoine ont investi avant-hier l’Académie de France à Rome, ramassant des débris, cherchant des indices dans les jardins et les ateliers, interrogeant pensionnaires et employés. Le directeur a convoqué une assemblée, hier, pour donner des consignes de sécurité. Les voleurs sont venus trois fois de suite pour s’emparer de sculptures à l’extérieur, dans des lieux parfaitement visibles. Ils ont d’abord dérobé le lundi 23 janvier un marbre au-dessus de la fontaine. Ils sont revenus le jeudi suivant, pour s’emparer d’une statue devant le studio de Ferdinand de Médicis. Ils ont fait éclater devant la bibliothèque un très joli Apollon en terre cuite du IIe siècle, en essayant de l’arracher de sa niche. Ils ont coupé la tête d’une statue dans la loggia, juste devant la porte de l’appartement du directeur. Ils sont enfin repassés dans la nuit de lundi à mardi pour s’attaquer aux piliers hermaïques du piazzale, qu’ils ont renversés et décapités. Ils ont alors été dérangés par un gardien.
Libération, 02/02, p.24

Source : Artclair.com

Le musée de Cherbourg fait le mur

Pour compenser la fermeture prochaine de ses salles pour travaux, le Musée Thomas-Henry met en place un projet d’exposition hors les murs d’un genre inédit en France. Pendant quatre mois, les Cherbourgeois pourront découvrir au détour des rues des reproductions des chefs-d’œuvre conservés au musée.
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Source : artclair.com

Accord à l’amiable entre le Kunstmuseum de Bâle et les héritiers de Malevitch

Le Kunstmuseum de Bâle et les héritiers de Malevitch sont parvenus à un accord. En échange de la restitution à ses descendants d’une toile du maître russe, le musée suisse pourra conserver les autres œuvres de l’artiste qui se trouvent dans ses collections depuis des décennies.
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Source : artclair.com

La hausse de la constructibilité proposée par Nicolas Sarkozy inquiète les architectes

Depuis l’annonce par Nicolas Sarkozy, le 30 janvier 2012, d’une loi augmentant de 30 % les possibilités de construction, plusieurs associations de défense du patrimoine ainsi que le Conseil national de l’ordre des architectes s’inquiètent. Ils craignent que cette mesure, destinée à abaisser le prix de l’immobilier, ne nuise à l’esthétique des immeubles et ne remette en cause les zones patrimoniales protégées.
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Source : lexpress.fr

Relèvement des droits à construire: les défenseurs du patrimoine consternés

PARIS - L'annonce par Nicolas Sarkozy de son intention d'augmenter de 30% les droits à construire sur les habitations a semé la consternation chez certains défenseurs du patrimoine, cible pour eux d'une "attaque sans précédent depuis les années 1960 et 1970".

Nicolas Sarkozy a annoncé dimanche soir un relèvement de 30% des droits à construire pour les trois ans à venir sur les habitations neuves, mais aussi anciennes, pour augmenter fortement les mises en chantier de logements neufs. La mesure sera applicable dès que le Parlement aura voté un texte.
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Source : Artclair.com

Seize artistes plasticiens dans la nouvelle promotion de l’ordre des Arts et des Lettres

Le ministère de la Culture et de la Communication a dévoilé les nouvelles nominations et promotions dans l’ordre des Arts et des Lettres par arrêté du 15 décembre 2011. 348 personnalités de la culture et du spectacle figurent sur la liste, dont de nombreux artistes, conservateurs et acteurs du monde de l’art.
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Source : artclair.com

La petite-nièce de Camille Claudel accusée de contrefaçon

Reine-Marie Paris, la petite-nièce de la plasticienne française Camille Claudel (1864-1943), a comparu devant la justice à Paris pour contrefaçon. Certains ayants-droit de l’artiste lui reprochent d’avoir violé les droits d’auteur de leur aïeule en procédant au tirage posthume d’une série de bronzes non conformes aux œuvres originales.
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Un musée Camille Claudel ouvrira à Nogent-sur-Seine

Le projet d’un musée dédié à Camille Claudel dans la ville de Nogent-sur-Seine (Aube) fait débat au sein du conseil municipal. Le point controversé : le financement « pharaonique » sur 25 ans. Jeudi 26 janvier, le maire de la ville, Gérard Ancelin (divers droite), est parvenu à faire adopter son projet.
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Source: Artclair.com

Une pétition pour sauver la « Cathédrale » de Linard

Pour défendre la « Cathédrale » de Jean Linard, menacée de disparition, quarante-trois spécialistes de l’art brut ont adressé il y a quelques jours une pétition au ministre de la Culture. Ils demandent à l’État de reconnaître la place de ce type d’œuvres d’art dans notre héritage national.
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Source : arts.fluctuat.net

La Joconde et son double

Depuis quelques heures, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Notre précieuse Joconde nationale aurait trouvé sa sœur jumelle en une copie quasi identique exhumée des réserves du Musée du Prado. Certainement réalisée par un des proches disciples de Léonard de Vinci, Andrea Salai (son amant) ou Francesco Melzi, elle se démarque des nombreuses répliques déjà existantes. D'abord par la date de son exécution, contemporaine de l'originale (1505).
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Source : Artclair.com

Une copie contemporaine de la « Joconde » de Léonard de Vinci découverte au Prado

Et si la « Joconde » avait une sœur jumelle ? Au Musée du Prado, une copie du portrait de Mona Lisa était conservée depuis de nombreuses années, mais elle n’était pas jugée digne d’intérêt Une copie comme des dizaines d’autres, réalisées après la mort de Léonard de Vinci. Pourtant, après des travaux de restauration, l’œuvre est apparue comme fondamentale pour l’histoire de l’art : elle a été réalisée simultanément à la « Joconde » par l’un des disciples du maître florentin.
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Source : lefigaro.fr

Nouvelle Joconde : «En aucun cas Léonard n'y a mis la main»

Beaucoup de bruit pour rien? Cette nouvelle Joconde découverte au musée madrilène du Prado fait les grands titres mais n'agite guère les spécialistes. La réalité est bien moins spectaculaire, quoique intéressante. Cette copie précoce, en noyer milanais et non en peuplier florentin, qui passait même au XIXe siècle pour l'originale, et qu'on prétend aujourd'hui la plus ancienne jamais exécutée parmi la centaine de copies existantes, était bien connue.
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Source : Artclair.com

Vols et vandalisme en série à la Villa Médicis à Rome

En une semaine, ils sont entrés trois fois dans les jardins de la Villa Médicis. Les voleurs ont dérobé et vandalisé pas moins de sept œuvres d’art qui ornaient les jardins. Une enquête a été ouverte et les mesures de sécurité de la villa romaine ont été renforcées.
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Source : lemonde.fr

Rome : vols à la Villa Médicis

Des sculptures ont été dérobées ou endommagées dans la nuit du lundi 30 dans les jardins de la Villa Médicis, siège de l'Académie de France à Rome. Il s'agit de deux fragments de marbres (torses féminin et masculin de l'époque impériale) et d'un fragment de terre cuite (du IIe siècle av. J.-C.), de deux parties supérieures d'Hermès datant de la Renaissance, et de deux copies récentes de têtes antiques.

Source : lemonde.fr

Tableau pas déclaré volé, mais tableau retrouvé

Divine surprise ! La Mairie de Paris vient de se voir restituer un tableau... dont elle ignorait même qu'il avait été volé, il y a plusieurs dizaines d'années, sans doute. Neige à Saint-Mandé, de Maurice Boitel (1919-2007), a été officiellement rendu au Fonds municipal d'art contemporain, vendredi 27 janvier, après six semaines d'une procédure éclair qui met en lumière les limites des inventaires officiels.
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Source : La Tribune de l'art

Musée des Plans-Reliefs : une exposition. Après elle, le déluge ?

Nous dirons ici seulement un mot de l’exposition que présente la nef du Grand Palais pendant un mois. Certes, la muséographie est excellente, et l’on n’en attendait pas moins de Nathalie Crinière qui est l’une des meilleures spécialistes dans ce domaine. Certes, les petits et les grands seront ravis de voir ces modèles dont la qualité et la précision font rêver quiconque a un peu de sens historique et esthétique. Mais l’essentiel n’est pas là.
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Source : La Tribune de l'art

Un piano sculpté par Carabin restitué au Musée des Arts Décoratifs

Le Musée des Arts Décoratifs peut exposer aujourd’hui, et pour la première fois, un piano sculpté par Rupert Carabin en 1900 qui lui avait pourtant été donné en 1938.

Superbe exemple de meuble Art nouveau, cet instrument avait été réalisé pour Alexandre Honoré Ernest Coquelin, dit Coquelin Cadet, un célèbre sociétaire de la Comédie Française, et présenté par la Maison Herz, facteur de piano, à l’Exposition Universelle la même année.
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Source : culture.fr

Hommage à André Chastel

Le 1er février, Frédéric Mitterrand s’est rendu à l’auditorium du Louvre, à Paris, où l’on commémorait le centenaire de la naissance de l’historien de l’art André Chastel.
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Source : lemonde.fr

Quelle politique culturelle pour la France ?

Face à l'essor d'Internet et aux ratés de la démocratisation, le "modèle français" est obligé de se réinventer. Des pratiques numériques aux nouvelles économies de la création, la culture s'invite dans la présidentielle car elle devient un enjeu de la compétition, écrit Vincent Dubois. Tant mieux, souffle Jérôme Clément : la culture doit refaire irruption dans la politique. Pour cela il faut ouvrir le ministère à l'intitiative privée, propose Guillaume Cerutti. Parier sur la culture fait partie du rêve français, rappelle Olivier Poivre d'Arvor qui propose un Grenelle de la création à l'ère du numérique. Il faut donc taxer les grands opérateurs du net, insiste Patrick Zelnik. Non, lui répond Thomas Paris, cessons de penser la culture en terme de taxes, mais donnons lui des catégories tout aussi simples mais sans doute plus justes : le désir, l'outil, le marché. Sauf que, coupe Emmanuel Cauvin si la révolution démocratique existe dans les structures matérielles de la société, elle n'apparaît pas dans les mentalités. Des mentalités, souligne Renaud Delourme qui si elles sont sensibles au projet du candidat socialiste, vont baigner dans le laxisme en matière de dérégulation numérique. Défendons plutôt un partage non-marchand des oeuvres, conclut Philippe Aigrain et Gaëlle Krikorian.
Le Monde, 03/02

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La culture un enjeu électoral ?

Source : lemonde.fr

"La culture devient un enjeu de la compétition électorale"

Souvent minorée par les politiques, la culture semble cette fois-ci s'immiscer dans la campagne en cours. A quoi attribuez-vous ce changement ?

Vincent Dubois : Il est effectivement rare que les questions culturelles forment un véritable thème de campagne, en tout cas pour une élection présidentielle. C'est notamment la relance du débat sur l'encadrement du téléchargement et la loi Hadopi suscitée par la fermeture du site Megaupload aux Etats-Unis qui fait qu'elles sont abordées aujourd'hui.
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La culture et la crise

La place de la culture dans la société libérale et démocratique a toujours été controversée : rappelons-nous le débat sur l'exception culturelle et l'époque – les années 90 – où les négociations du GATT voulaient inclure la culture dans la liste des marchandises à libéraliser. Pourquoi ? Parce que pour les libéraux imbus de l'idéologie d'un capitalisme triomphant, seul le marché libre de toute entrave permet d'assurer le progrès économique et le bien-être – bonheur – collectif. En 1993, il s'en est fallu de peu qu'elle ne devienne une marchandise comme les autres, soumise à la loi du marché.
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Le "rêve français", c'est parier sur la culture

S'il existe bien un rêve français, un rêve d'exception et de première nécessité, un rêve qui n'a pas fini de nous tenir créatifs, c'est bien celui de la culture. Quel responsable politique oserait nier, en cette période de campagne électorale, que si la France, avec seulement 1 % de la population mondiale, est toujours plus grande qu'elle-même, y compris économiquement, c'est à la culture qu'elle le doit ?
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Source : lagazettedescommunes.com

Le musée Toulouse-Lautrec d’Albi, transformé, rouvrira ses portes en avril

Le musée Toulouse-Lautrec d'Albi, qui possède la plus importante collection au monde d'œuvres de l'artiste, rouvrira ses portes le 2 avril 2012, transformé et avec des espaces d'exposition doublés après 10 ans de travaux, a annoncé la direction.

« Avec la nouvelle muséographie, nous allons tous redécouvrir l’oeuvre de Toulouse-Lautrec », a déclaré le conservateur en chef du musée, Danièle Devynck. « Certaines œuvres n’ont jamais été montrées parce qu’elles sont d’acquisition récente, d’autres étaient restées dans les réserves du musée », ajoute-t-elle.
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Source : ouest-france.fr

Culture : des élus formés aux résidences d'artiste - Mordelles

Mercredi 25 janvier, une quinzaine d'élus de Bretagne et Pays de Loire, responsables des affaires culturelles, participaient en mairie à une formation proposée par la Fédération nationale des collectivités territoriales pour la culture (FNCC).

Le thème abordé était « Les collectivités territoriales et les résidences d'artistes : un axe majeur d'une politique culturelle locale ». « Ce sujet est peu ou pas abordé par les élus, explique Jean-Philippe Lefevre, chargé de mission de la FNCC. Il existe de vraies interrogations sur les modalités de leur mise en place. Cela nécessite une volonté politique de se donner les moyens de le faire. »
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Source : tv5.org

Des objets d'art antique de retour à Berlin après avoir disparu en RDA

Plus de quarante objets d'art antique tardif, principalement égyptien, ont été rendus à un musée berlinois après avoir disparu en RDA dans la foulée de la Seconde guerre mondiale, a-t-on appris lundi auprès de l'institution.
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Source : artclair.com

Le projet de la Tour Médicis en Seine-Saint-Denis se précise

MONTFERMEIL [06.02.12] - Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, s’est rendu à la Tour Utrillo, le 2 février 2012 pour dévoiler les grands axes de son projet de Villa Médicis française. Outre des résidences d’artistes, le bâtiment doit accueillir une école de formations artistiques et culturelles, une salle de projection, une salle de spectacle et des espaces d’exposition. Prévue pour être terminée dans 4 ans, la réhabilitation de la tour devrait coûter 20 millions d’euros.
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Source : lemonde.fr

Le Qatar, Cézanne et les 250 millions de dollars

Mercredi 8 février, Doha sera au centre du monde de l'art. La capitale de l'émirat du Qatar inaugure ce jour-là une exposition de l'artiste japonais Takashi Murakami. Les plus grands marchands du monde sont attendus, de l'Américain Larry Gagosian au Parisien Emmanuel Perrotin. Mais aussi Philippe Ségalot, courtier new-yorkais, que le magazine Vanity Fair soupçonne d'être derrière la plus grande transaction jamais effectuée sur le marché de l'art.
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Source : lefigaro.fr

Un Cézanne serait l'œuvre d'art la plus chère du monde

Le Qatar a acheté pour 250 millions de dollars (près de 190 millions d'euros) Les Joueurs de cartes de Cézanne.
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