Revue de presse (16 - 22 avril 2012)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Savigny-en-Véron) Vingt siècles en arrière à l’écomusée

Une exposition sur « Les Gallos-romains entre Loire et Vienne » est visible jusqu’en novembre 2013 à Savigny-en-Véron, à l’écomusée. L’équipe du musée du Véron, dirigée par Gabrielle Michaux, aidée de différents acteurs de l’archéologie sur le territoire a contribué à favoriser la construction d’un projet scientifique et culturel de qualité. Au sein de l’exposition, l’écomusée propose un parcours jeu destiné aux enfants à partir de 7 ans. Au fil des bornes de jeu, ils découvriront les collections exposées et plongeront dans l’univers gallo-romain.
Nr, Indre et LoireW, 17/04, p.20

(Bourges) Jean Moulin, un dessinateur résistant

Tout le monde connaît le rôle de résistant de Jean Moulin (1899/1943) pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais bien peu de personnes savent qu’il a aussi été caricaturiste, sous le pseudonyme de Romanin. Soixante dessins, provenant du musée des Beaux Arts de Béziers (Hérault), sont exposés depuis hier soir au musée de la Résistance et de la Déportation de Bourges : dessins de presse, gravures, aquarelles, gouache…
Le Berry, 18/04, p.10

Le Cercil en appelle aux habitants

Un geste pour l’histoire. Celle reconstituée par le Centre de recherche et de documentation sur les camps d’internement et la déportation juive dans le Loiret (Cercil). Pour sa prochaine exposition consacrée aux dernières lettres envoyées, il y a 70 ans, par les internés des camps de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers, avant leur déportation, ainsi que celles écrites par les enfants du Vel d’Hiv, il recherche deux numéros du magazine Elle : le 609 et le 615 de 1957. Le Cercil, muséemémorial : 02.38.42.03.91 ou cercil@cercil.eu (intégral)
RC, Pithiviers, 18/04

(Seuilly) Deux géants se rencontrent à la Devinière

Près de soixante-dix personnes étaient présentes à l’inauguration de l’exposition « Gargantua - Robida », au musée Rabelais, à la maison de la Devinière, à Seuilly, samedi après-midi. Alain Lecomte, directeur du musée Rabelais, a présenté l’exposition qui propose de découvrir l’univers de Gargantua et la relation entre l’imaginaire de l’écrivain et l’image de l’illustrateur Albert Robida (1848-1926). Ce dessinateur, après Gustave Doré, a osé s’attaquer à l’illustration du pays d’Utopie. C’est la rencontre de deux géants.
Nr, Indre et LoireW, 17/04, p.20

(Romorantin) Le musée de Sologne prépare sa nouvelle expo

Le compte à rebours a commencé. Du 9 mai au 19 novembre, le musée de Sologne abritera une exposition temporaire pas banale. Intitulée « La mémoire de l’usage », cette exposition imaginée par la Finlandaise Tuul ikki Chompré permettra au public de (re) découvrir les astuces et savoir faire de l’intelligence humaine grâce aux beaux et humbles objets du monde entier qu’elle a su rassembler. Une exposition clé en main que l’équipe du musée dirigée par Martine Vallon a décidé d’agrémenter d’objets des collections de l’établissement.
Nr, Loir et CherS, 19/04, p.26

(Orléans) La Maison de Jeanne d’Arc fait peau neuve

Fermée depuis près d’un an, la Maison de Jeanne d’Arc rouvrira ses portes dimanche 29 avril. 325.000€ ont été investis pour la réhabilitation du bâtiment et la création d’une scénographie (150.000€). Exit la maquette du siège d'Orléans et vive Jeanne d'Arc sur écran HD. C'est le résumé du lifiting que vient d'offrir la mairie d'Orléans, à l'occasion du 600e anniversaire de la Pucelle, à la Maison Jeanne d'Arc, bâtiment dont André Malraux avait posé la première pierre en 1965 (le lieu devient en 1976 le lieu où le Centre Jeanne d’Arc, créé en 1974, peut présenter ses collections et des expositions temporaires). Désormais, avec le travail d'Henri Joaquim, scénographe de la société La Fabrique créative et de Michel Kouklia, concepteur multimédia (Société Ubiscène), la maison Jeanne d'Arc est passée à l'ère du multimédia.
Tribune orléans, 12/04 , p.5

(Pithiviers) Retraités de l’imprimerie, ils ont un rêve

Ils sont une dizaine d’irréductibles d’Arts et techniques graphiques en France (Artegraf ) à veiller sur lui. Trésor inestimable stocké dans un bâtiment industr iel malesherbois de l’avenue Patton. Quelque 150 machines d’impression de la collection Pozzoli prêtes à dévoiler leurs imposants squelettes métalliques au public. Dignes représentantes d’un « patrimoine industriel », elles seront aussi les pièces maîtresses du musée dont rêve Artegraf depuis tant d’années. Portes ouvertes aux actuels et éventuels partenaires, aux médias, espérées fin 2013.
+ La collection Pozzoli, pierre angulaire
RC, Pithiviers,

(La Châtre) Le musée George-Sand continue son inventaire

Les collections historiques du musée castrais sont entre de bonnes mains, celles de Sandra Pinto, qui finalise un premier inventaire mené en interne. Elle travaille depuis un peu plus d’un an dans les musées de la région Centre, dans le cadre du recollement décennal des musées de France qui doit être achevé avant 2014. Sandra Pinto a déjà travaillé dans le Loiret, d’abord à l’inventaire du Musée du verre et des métiers à Dordives, avant d’être chargée de l’inventaire des collections et de la médiation culturelle à Châtillon-Coligny. Elle est arrivée à La Châtre en début d’année pour une durée de trois mois afin de poursuivre l’inventaire des collections historiques et ethnographiques du musée George-Sand et de la Vallée noire.
Nr, Indre, 20/04, p.19

(Reuilly) Le Musée du vin dans un nouvel écrin

La belle histoire du vin de Reuilly a un nouveau sanctuaire. Installé jusqu’alors dans l’ancien presbytère, le musée a déménagé il y a deux semaines pour occuper une salle annexe de l’office de tourisme qui lui est désormais dédiée. La pièce a été aménagée dans une ancienne habitation attenante à l’office, réhabilitée par la commune.
NR, Indre, 22/04, p.7

A Chaon, histoires de braco…

Tandis qu’à l’extérieur se construit un drôle d’arbre à pièges par les bénévoles, la Maison du braconnage a, il y a quelques jours, repris son rythme. D’ici le mois de novembre, plusieurs milliers de personnes devraient franchir la porte de ce musée atypique, créé il y a quinze ans. Ici, en effet, tout vous parle de pratiques interdites, soumises à des poursuites, des amendes et même des peines de prison. Eh oui !
NR, Loir-et-Cher, 22/04, p.9

(Blois) Je suis magicien et ma vie ne tient qu’à quelques fils

Grâce à la Maison de la magie à Blois, j’ai retrouvé la ville où j’ai donné des spectacles en bord de Loire. ...j’ai été vendu et coule aujourd’hui des jours heureux au sein de la collection de Dominique et Christian Bertault. Ce sont eux, des anciens marionnettistes de Tours, qui m’ont prêté à la Maison de la magie de Blois pour leur exposition annuelle. Je ne suis pas peu fier de l’emplacement qu’on m’a réservé. Mais j’ai un secret à vous confier. J’aimerais bien retrouver ma vie qui ne tient qu’à quelques fils.
Nr, Loir et Cher, 22/04, p.10

(Dreux) Les armes racontent l'histoire des guerres et des hommes

Ils sont loin d'être bellicistes et pourtant les responsables du musée Marcel Dessal proposent une exposition consacrée aux armures. "Nous avons de nombreuses armes dans les réserves du musée" explique Eric Bruneau qui assiste la conservatrice.
L'Echo, 21/04, p.15

(Châteaudun) Nos ancêtres les mérovingiens

Jusqu'au 17 septembre, on peut toute apprendre sur la vie des mérovingiens dans le Dunois, au musée des beaux-arts de Châteaudun. Une exposition étonnante.
L'Echo, 21/04, p.18

(Bonneval) Le musée de la guerre ouvrira en 2013

C'est un trésor historique qui est en train de s'ériger au lieu dit La Chaise, route de Voves, à la sortie de Bonneval. Jean-Paul Loirat y ouvrira les portes de son musée au cours de l'année 2013. "'Ce musée abordera les guerres 1914-1918 et 1939-1945, dans un premier temps. Je suis collectionneur depuis mon plus jeune âge. Cette passion, je la dois à mon père, Auguste Loirat, estafette moto des FFI".
L'Echo, 21/04, p.23

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(selles-sur-cher) Diagnostic archéologique sous la place Charles-de-Gaulle

Les Sellois ont pu constater depuis quelques jours une activité inhabituelle sur la place Charles-de-Gaulle. Plusieurs excavations ont été réalisées puis rebouchées. Cette action est rendue nécessaire dans la perspective des travaux qui devraient dans un futur proche transformer la place et ses alentours au cours de l’opération « Coeur de village ». Or, des règles sont à respecter en raison de la proximité de l’église abbatiale et du cloître, ces deux édifications étant inscrites au registre des Monuments historiques. La direction régionale des affaires culturelles (DRAC) a supervisé le site historique et demandé un diagnostic archéologique dont s’est chargé l’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) pour ensuite poser les résultats et soumettre un rapport.
Nr, Loir et CherS, 20/04, p.24

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Nouan le Fuzelier) La grange de Courcimont

La commune dispose de trois édifices classés aux monuments historiques : le château de Moléon, l’église, et la grange de Courcimont. Cette dernière, datant de la fin du 18e siècle, présente toutes les caractéristiques de l’architecture solognote avec ses pans de bois hourdés de brique. Autour de la grange, s’est développée la ferme de Courcimont, un village de vacances qui a pour vocation de promouvoir le tourisme social. (intégral)
RC, Orléans Sologne, 16/04

(Langesse) L’église rénovée vaut bien une messe

L’église Saint Georges accueillait une foule nombreuse, samedi, pour une messe un peu spéciale. Célébrée par le père Sylvestre, celle ci marquait la fin des travaux de rénovation. Avec le concours du conseil général du Loiret, de l’association diocésaine d’Orléans et de la paroisse de Varennes Changy, la commune a investi 56.000 € dans cette réhabilitation. Le clocher a été restauré, ainsi que la charpente. Une voûte en bois de châtaignier a été fabriquée puis posée. Les enduits des pans de murs ont été refaits, ce qui a permis de mettre au jour des coussièges, sous l’emplacement d’un vitrail aujourd’hui disparu. La commune a pour projet d’en fabriquer un, tel que celui qui existait à l’origine. (intégral)
RC, Pithiviers, 16/04

(Saint Prest) Restauration

Le conseil a voté le lancement d'une souscription destinée à la restauration du tableau La translation des reliques de Saint Prest ainsi qu'à celle de différents vitraux, le tout se trouvant dans l'église. Le montant total est estimé à 25 000 €
L'Echo, 16/04

(Saint Firmin) Promenade au fil de l’eau

Le moulin de Moncé va ouvrir afin de contribuer à la meilleure connaissance du patrimoine architectural, technique et humain de l’ancien art des meuniers. Cette visite exceptionnelle à Saint-Firmin viendra clore une journée interassociative, poétiquement baptisée «Histoires d’eaux», co-organisée par Vitamines d’Ouzouer-le-Doyen, l’écomusée de la Vallée de l’Aigre à La Ferté-Villeneuil et l’Association Culturelle de Moisy. Le départ de cette excursion au fil de l’eau sera donné, samedi 21 avril, à 9 h 30, à l’Ecomusée de la vallée de l’Aigre, ancien presbytère de La Ferté-Villeneuil, avec la visite à la fontaine monumentale au chevet de l’église et la présentation des résultats des fouilles qui y ont été organisées.
Nr, Loir et Cher, 16/04, p.17

Le dernier proto du Vierzon

Lors de l’assemblée générale de la Mémoire industrielle et agricole du pays de Vierzon, samedi dernier, l’annonce a fait l’effet d’un scoop. L’association devrait bientôt compter dans son patrimoine le dernier prototype de tracteur Société française, conçu à la fin des années 1950. L’engin, connu pendant longtemps d’une poignée d’initiés seulement, sera mis à disposition par Claude Arbel, descendant du fondateur de la Société française. Il l’a sauvegardé depuis un demi siècle. «C’est symbolique, souligne Alex Massardier, président de la Mémoire industrielle. Nous aurons ainsi le premier prototype de tracteur Société française et le dernier !» Il rejoindra Vierzon, ville qu’il n’a pas connue à l’époque. Il a en effet été conçu en Alsace et en région parisienne, dans d’autres sociétés de la marque.
Le Berry, 17/04, p.19

(Saint Amand) L’étrange modèle réduit des capucins

Dans une des vitrines situées à l’accueil de la forteresse de Montrond, il y a une toute petite sculpture en pierre. Discrète. L’oeuvre, naïve, a interpellé l’inspecteur Colum Boischaut (journaliste au Berry). Dans la vitrine presque dissimulée par la porte, une petite sculpture se dresse. Une sorte de chapelle en pierre miniature. « Tu ne l’avais jamais vue ? C’est Bernard Vannier, le président du Chasa, qui l’a déposée ici. Il est dans la pièce à côté, si tu veux des explications », lance Dominique Lallier, encore le nez dans les photos. Sans attendre, le fin limier saint amandois se glisse dans le bureau d’à côté. «Ah, la petite sculpture… C’est un Saint Amandois qui l’a trouvée il y a peut être quarante ans, dans un jardin près de la Marmande. Elle était enterrée. C’est une sculpture, dédiée à la Vierge, qui semble être une réduction de la chapelle des capucins», note, posément, d’un ton presque monocorde, Bernard Vannier. Le couvent des frères capucins, Colum Boischaut en connaît un peu l’histoire.
Le Berry, 17/04, p.24

(Orléans) La cloche majeure revient dans sa ville natale, vendredi

La cloche Sainte-Jeanne d’Arc, partie à Annecy (Haute–Savoie) pour y être refondue, voyagera de nuit. Dans celle de jeudi à vendredi, avant de réintégrer le narthex de la cathédrale Sainte Croix, dès potron minet, «entre 7h30 et 8h30», précise le père Claude Girault, recteur de la cathédrale. C’est le lendemain, le samedi, que Mgr Blaquart, évêque d’Orléans, procédera à la bénédiction de la cloche majeure.
RC, Orléans métropole, 17/04, p.10

(Chavin) Des peintures murales à mettre en valeur

L’église Saint-André de Chavin est intégrée au circuit départemental Ldes édifices romans. Si son intérieur très sobre n’en fait pas un site majeur, la découverte récente de peintures murales pourrait lui donner une autre dimension. Les sondages préalables à d’importants travaux de restauration ont en effet révélé la présence d’oeuvres moyenâgeuses. Ces scènes religieuses abîmées par le temps, situées au-dessus du porche d’entrée et dans une chapelle, ont été patiemment dégagées de leur badigeon et les experts les qualifient déjà d’exceptionnelles. La commune de Chavin, déjà engagée dans la rénovation du monument (1 million d’euros), programmée en quatre tranches et subventionnée à 55 %, souhaite bien sûr assurer leur pérennité. «Dans le but d’obtenir davantage de subventions, nous avons demandé que l’église, déjà inscrite aux Monuments historiques, soit classée, explique Jean-Pierre Fleuret, maire de Chavin. Il faudrait que l’État prenne en charge la totalité de l’opération.»
Nr, IndreE, 17/04, p.8

(Rigny-Ussé) Un prix national pour Notre-Dame de Rigny

La fondation Vieilles maisons françaises (VMF) a réuni récemment, dans ses locaux parisiens, les acteurs de la restauration du patrimoine français, membres de son association, pour présenter les projets qu’elle avait décidé d’aider en 2012. Parmi les dix actions récompensées, celle de l’association Notre-Dame de Rigny, présidée par le docteur Marc Jacquet, s’est vue accorder sur le plan national, l’une des deux aides les plus importantes, soit 25.000 €, pour la sauvegarde de l’ancienne église paroissiale de Rigny-Ussé, en raison «du caractère exceptionnel de cette église classée, des peintures murales qu’elle renferme et de la mobilisation que l’association a su déployer».
Nr, Indre et LoireW, 17/04, p.19

Un peu du Berry à bord du Titanic

Quel rapport entre Foëcy et un naufrage ? Dyonisos, un village grec jumelé à la commune du Cher depuis de nombreuses années. Et le Titanic, du ventre duquel, en 1994, furent remontés les désormais célèbres plats à oreilles de la manufacture de porcelaine de Louis Lourioux. Comment ces plats, toujours fabriqués par l’entreprise (mais sur le site de Chauvigny, dans la Vienne) se sont ils retrouvés dans les cuisines du paquebot ? La mémoire, à ce propos, est fragile, comme la porcelaine.
Le Berry, 18/04, p.3

Reprise en main à Chambord

L’établissement public Domaine de Chambord passait devant le tribunal administratif d’Orléans, hier, pour avoir dénoncé en décembre dernier un contrat qui le liait avec la société Traîneurs de Loire jusqu’en 2015. Après avoir refusé, l’an passé, de renouveler, à trois restaurateurs, l’autorisation d’installer leurs terrasses, l’établissement public Domaine de Chambord a décidé de reprendre, en régie directe, l’activité de location de barques et de bicyclettes. En dépit du fait que la dénonciation du contrat avait été décidée par le seul directeur de l’établissement public (et non par le conseil d’administration), le rapporteur public a suggéré au tribunal de ne pas donner gain de cause à Traîneurs de Loire. Le jugement a été mis en délibéré. (intégral)
Le Berry, 18/04

(Saint Denis en Val) Un château à sauvegarder

L’association de sauvegarde du château de l’Isle (ASCI) a tenu son assemblée générale, en fin de semaine, à Saint-Denis-en-Val. Gérard Mazzochi, le président, a souligné que 2011 a été une année de transition, dans l’attente d’un architecte du patrimoine (chose faite), d’une autorisation préalable pour la future clôture (qui sera installée lors du deuxième semestre 2012), et de nouvelles recherches de subventions. Une souscription nationale, avec l’aide de la Fondation du patrimoine, sera lancée, après accord sur une déclaration préalable de construction, travaux, installation et aménagements non soumis à permis. Cette souscription devrait être engagée en 2013.
RC, Orléans métropole, 18/04, p.22

(Châteauvieux) La sauvegarde des moulins en large débat

L’assemblée générale de l’Association de sauvegarde des moulins du Loir-et-Cher, réunit samedi matin, sous la présidence de Jean-Pierre Rabier, 79 personnes très motivées dans la salle associative de Châteauvieux. Après cette assemblée, un large débat s’instaura sur les craintes partagées par tous les propriétaires de moulins à eau face aux conclusions du « Grenelle de l’environnement » d’amélioration de la qualité des eaux et ses objectifs menaçants pour les moulins.
Nr, Loir et CherN, 18/04, p.9

(beauce ligérienne) Les maisons paysannes au patrimoine

Dimanche, la délégation du Loir-et-Cher de Maisons paysannes de France avait organisé sa première sortie annuelle. Deux visites étaient au programme qui avaient de quoi combler les amoureux des vieilles maisons et du petit patrimoine. Le matin, c’était la maison Montrichard à Suèvres. Ce fut l’occasion pour Bernard Talichet et Daniel Perchet, les responsables de l’association, de présenter le chantier-école qui se déroulera ici au cours de sept week-ends d’avril à septembre. Il s’agit de la restauration extérieure de l’ancien pigeonnier carré de la maison.
Nr, Loir et CherN, 18/04, p.16

(Saint Amand) Un coup de jeune rue Kléber

Autant l’avouer tout de suite : au départ, en entendant les chansons de Dalida et de Daniel Balavoine interprétées en choeur, on ne s’attendait ni à un chantier, ni à des jeunes. Raté. Depuis plusieurs jours, un des bâtiments industriels acquis par le Chasa (Cercle d’histoire et d’archéologie du SaintAmandois) pour faire un entrepôt rue Kléber, en 1997, est en effet en cours de rénovation. «Une équipe de jeunes volontaires, de personnes en insertion et un jeune en ser vice civique travaillent à la stabilisation du site, explique Dominique Lallier, responsable de l’association. Le chantier devenait urgent : il n’y avait pas de couverture ni de charpente quand on a acheté. Et ça devenait dangereux parce que des pierres pouvaient tomber sur la chaussée.»
Le Berry, 19/04, p.26

(Bourges) La chapelle va retrouver ses tapisseries

Située à l’entrée sud de la cathédrale, la chapelle du Sacré Coeur comptait deux grandes tapisser ies des Gobelins, réalisées à Paris. Elles ont été déposées en 2003, restaurées par la société Chevalier conservation et stockées dans le Mobilier national en attendant la restauration de la chapelle. Le financement a été assuré par l’État (*). La chapelle a été rénovée par l’État en 2011. Hier matin, les tapisseries sont arrivées à la cathédrale de Bourges. Mais en raison d’un problème technique, il faudra patienter quelques jours avant de pouvoir les admirer. La chapelle du Sacré Coeur a été réaménagée au XIXe siècle par la famille d’Étampes. Elle a été réaménagée au XIXe siècle. Sa restauration a été achevée en septembre 2011. «Les soulèvements d’enduit ou de couche picturale ont été dépoussiérés et nettoyés, les manques ont été restitués ou intégrés » précise t on à la Drac.
(*) Nous n’avons pas réussi à obtenir le montant de la restauration.
Le Berry, 20/04, p.10

(Orléans) Six tonnes d’histoire de retour en ville

La cloche majeure de la cathédrale – bombardée en 1944 – fait son grand retour à Orléans. Après que sa refonte a créé la polémique. Un pan minime de son histoire…
+ Je me nomme Sainte-Jeanne-d’Arc et, dorénavant, ça se voit
RC, Orléans métropole, 20/04, p.9

(Vouzon) Presbytère : poutres classées

En 1985, des travaux sont entrepris dans l’ancien presbytère du village. En faisant tomber les plafonds, des dizaines de poutres, ornées de peintures datant du début du XVIIe siècle, sont découvertes. Elles représentent la Bastille ou encore un pont sur une rivière. Mais certaines d’entre elles n’ont pu être identifiées. Pour autant, elles sont classées par les monuments historiques et font le charme de ce qui est aujourd’hui une salle communale. (intégral)
RC, Orléans Sologne, 20/02

(Artins) La fin des travaux de l’église

...neuf ans de restauration dans cette église Saint-Pierre construite en 1865 et qui n’avait depuis connu aucuns travaux. De gros investissements (348.200 €) soutenus par le conseil général et la Drac pour un total de subvention de 138.300 euros..
Nr, Loir et Cher, 20/04, p.20

(Orléans) Le bourdon, refondu à l'identique, de retour à la cathédrale, hier
reportage photo

+ Petits poucets… Sous le coup de l’émotion, sans doute, vendredi matin, le couple Paccard – du nom du fondeur de cloches annécien qui a refondu le bourdon de la cathédrale d’Orléans –, partant boire un café au presbytère, en a «oublié» deux de ses cinq garçons sur le parvis de la cathédrale. L’histoire se finit bien puisque les deux frères ont fini par retrouver leur chemin, non sans verser quelques larmes. Ils se sont vite réchauffés auprès de leurs parents, en dégustant une boisson chaude et de la brioche.
RC, Orléans métropole, 21/04

(Olivet) Un château toujours à vendre...

Non, le château de la Mothe, appartenant à la ville d’Olivet, n’est pas tombé aux oubliettes ! Il était encore sur la sellette, hier soir, lors du conseil municipal présidé par Hugues Saury, maire. Mis en vente par délibération du 17 décembre 2010, selon une procédure de consultation, il avait rencontré la faveur de quatre acquéreurs potentiels. Deux d’entre elles avaient été, d’emblée, écartées, car ne répondant pas à l’intérêt général fixé par la ville. Puis, les deux dernières qui étaient a priori intéressées et correspondaient aux critères sollicités par la mairie, n’ont pas donné suite, faute de financements nécessaires à l’acquisition du château. De ce fait, Philippe Belouet, premier adjoint, a expliqué : « En conséquence des désistements, et pour poursuivre la mise en vente du château, la ville envisage de renoncer, pour motif d’intérêt général, compte tenu de son caractère infructueux, à la procédure votée en décembre 2010, et de procéder à une vente de gré à gré, qui apportera plus de souplesse. »
RC, Orléans métropole, 21/02, p.24

(Saint Pryvé Saint Mesmin) Au chevet du four à briques

Alors que la mairie de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin va attaquer la phase d’appel d’offres pour la rénovation du vieux four, celle-ci ne devrait pas impliquer la construction de nouvelles fondations destinées à renforcer le bâtiment. Si cette méthode avait un temps été envisagée, les résultats d’une étude de sol montrent que cette solution n’est pas forcément obligatoire. Sollicitée par la mairie pour une subvention, la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) a récemment donné une réponse négative sur ce dossier.
RC, Orléans métropole, 21/02, p.24

(Vievy-Le-Rayé) L’église a frôlé la catastrophe

Les travaux de restauration du chevet de l’église Saint Pierre ont débuté le 5 mars. Un parapluie de protection a été réalisé audessus du chevet de l’édifice. «La découver ture du chevet a alors pu commencer, explique M. Barthel, l’architecte. La charpente est aujourd’hui visible et l’ensemble des désordres apparaissent. La charpente de l’abside s’est couchée vers l’ouest, au niveau des sablières, blochets et chevrons. De nombreux éléments sont très abîmés, voir pourris, victimes d’être restés confinés parmi des gravois et les fientes de volatiles, au niveau des ratelières. Les dégâts sont beaucoup plus importants qu’envisagés. Nous avons évité la catastrophe. Outre le risque humain, la charpente aurait pu s’écrouler, entraînant avec elle le retable cistercien classé de l’église abbatiale de Citeaux. Ce qui prouve que les travaux étaient plus qu’urgents.» Les fonds nécessaires ne sont pas totalement réunis (il manque moins de 3.000 € pour bénéficier de l’aide de 40.000 € de la fondation du patrimoine).(intégral)
RC, Orléans beauce, 21/02

(Richelieu) Les Maisons paysannes en visite

Une importante délégation de l’association départementale des Maisons paysannes de Touraine a visité la ville. Ces passionnés de patrimoine se sont régalés des richesses architecturales historiques de la cité. Le programme de la journée tenait du marathon avec une conférence de Fabrice Mauclair, professeur d’histoire, suivi des visites du musée, de l’espace Richelieu, du petit château du parc, d’un chantier de restauration d’un hôtel particulier… Arnault de Saint-Jouan architecte en chef des Monuments historiques est venu expliquer au groupe la nature des importants travaux entrepris pour la réhabilitation complète des halles.
Nr, Indre et LoireW, 21/04, p.24

(Orléans) Un bourdon flambant neuf

Le bourdon de la cathédrale d’Orléans a fait son grand retour dans la cité johannique. Cette cloche de six tonnes, qui avait été fêlée lors des bombardements de 1944, a été acheminée en camion depuis Annecy, où elle a été récemment refondue à l’identique, grâce au savoir-faire de la fonderie Paccard. Seule différence avec la cloche d’origine, l’ajout d’un mot pour compléter son nom de baptême. De « Jeanne d’Arc », elle devient « Sainte Jeanne d’Arc », puisque la Pucelle a été canonisée en 1920. A son arrivée, au matin du 20 avril, le recteur de la cathédrale, le père Claude Girault, a laissé exploser sa joie. « Elle est à nous ! Voilà dix ans que je me battais pour le bourdon et c’est avec une grande émotion que nous l’accueillons dans la cathédrale », s’est-il exclamé. L’événement est d’autant plus marquant qu’il intervient à quelques jours du début des traditionnelles fêtes johanniques, qui célèbrent cette année le 600e anniversaire de la naissance de Jeanne d’Arc.
Nr, Loir et Cher, 21/04, p.9

(Blois) Un circuit des fontaines abondamment baptisé

Huit fontaines et des « sages » qui, depuis trois ans et parfois au prix d’âpres discussions et négociations, n’ont eu de cesse de les mettre en valeur : cela offre aux amateurs de patrimoine un circuit de découverte ! Et cette promenade urbaine sur le thème des fontaines ne pouvait qu’avoir un baptême arrosé : l’averse, hier en fin d’après midi est sûrement un bon présage… Les élus présents à ce « baptême » (rendez-vous était donné au square Clément-Lévy) ont tous remercié le conseil des sages pour son implication et ses recherches et souligné le travail des services de la Ville (démocratie participative, services techniques, graphisme patrimoine…) qui ont participé à la création et désormais à la diffusion de la plaquette tirée à 20.000 exemplaires qui guidera les Blésois et les touristes à travers les rues, places ou ruelles, de fontaine en fontaine.
+ Laissez-vous conter Blois
Nr, Loir et Cher, 21/04, p.13

Présidentielles

Source : fncc.fr

Réponses des candidats à l’élection présidentielle 2012 aux questions des élus de la FNCC
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Source : lagazettedescommunes.com

Culture : la question du financement, principale ligne de partage entre les programmes

Absente des débats électoraux, la culture est cependant présente dans les programmes présidentiels. Au-delà des propos plus ou moins convenus et consensuels sur la démocratisation culturelle, émergent quelques propositions ciblées et précises, qui mériteraient d’être discutées. La question du financement des politiques culturelles, et plus largement de l’économie de la culture, qui s’annonce comme un des prochains défis à relever pour l’Etat et les collectivités territoriales, constitue une des principales lignes de partage entre les candidats.
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Source :mlactu.fr

Quelle culture pour demain si les socialistes gouvernent ?

L’équipe de François Hollande veut s’inspirer d’Avignon pour son programme culturel. C’est en substance ce qu’Aurélie Filippetti, en charge du dossier et Vincent Peillon pour l’éducation sont venus dire ce vendredi au sein de l'université d'Avignon, « un exemple qui marche ; à généraliser». Placer l’éducation artistique au cœur du projet socialiste est une priorité pour ces élus, mais quelle politique attend les acteurs du secteur si François Hollande devient président ? Une thématique souvent relayée en seconde zone par les candidats.
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Source : lejournaldesarts.fr

Nicolas Sarkozy, François Bayrou et Marine Le Pen confient au Figaro leurs goûts et leurs projets en matière culturelle

PARIS [20.04.12] – Un questionnaire a initialement été adressé aux cinq principaux candidats à l’élection présidentielle. François Hollande et Jean-Luc Mélenchon ont néanmoins choisi de ne pas participer à l’enquête réalisée par Le Figaro. Ce sont donc les candidats de l'UMP, du MoDem et du FN qui ont accepté de partager leurs goûts en matière artistique, ainsi que leurs points de vue sur la politique culturelle.
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Source : actualitte.com

Expo Crumb : mobilisation contre le projet d'EPA des Musées de la Ville de Paris

L'inauguration de l'exposition Robert Crumb au Musée d'Art Moderne de Paris a donné lieu à la mobilisation d'une centaine de grévistes après un appel lancé par le syndicat Force Ouvrière. Ils sont venus protester contre le projet d'une gestion des Musées de la Ville de Paris par un Établissement Public Autonome (EPA) qui inquiète particulièrement le personnel vis-à-vis de ses futures conditions de travail.
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Source : http://blog.option.culture

La culture et le projet du Grand Paris

Daniel Janicot, conseiller d’Etat et président de la « Vallée de la Culture », a été chargé par le Président de la République d’une mission de réflexion sur la dimension culturelle du Grand Paris.

Le rapport analyse les éléments qui concourent à la dynamique culturelle du territoire francilien, à son rayonnement et à son attractivité internationale, « dans un contexte de concurrence accrue entre les grandes métropoles culturelles du monde ».

Voici quelques-unes des (innombrables… au risque de la dilution) recommandations de ce rapport.
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Source : lemonde.fr

Un musée italien brûle ses œuvres pour protester contre les coupes budgétaires

Le directeur du Musée d'art contemporain de Casoria, près de Naples, dans le sud de l'Italie, a commencé, mardi 17 avril, à brûler ses œuvres pour protester contre les importantes coupes budgétaires dans le secteur de la culture.

En fin d'après-midi, le fondateur et directeur du musée, Antonio Manfredi, a mis le feu au tableau d'une artiste française, Séverine Bourguignon, qui avait préalablement donné son accord, et a suivi les ravages des flammes en direct sur Skype.
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Source : cultureactioneurope.org

Chemins de réflexion – Quel rôle pour la culture dans une Europe politique?

Plateforme créée par le secteur culturel afin de porter la voix des artistes et des professionnels de la culture dans les débats européens, Culture Action Europe s’est constitué, il y a plus de quinze ans, comme un espace de réflexion et d’action ouvrant de nouvelles perspectives politiques aux acteurs culturels européens. Ainsi, pour Culture Action Europe et ses organisations membres, la question de la citoyenneté européenne est centrale car elle articule des préoccupations relevant aussi bien de la pratique artistique en tant que telle que du rôle de la société civile comme acteur d’un espace public européen inclusif et participatif.
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Source : http://cultural-engineering.com

Fermer la moitié des lieux culturels ?

L’article de Guy Duplat paru récemment dans La Libre Belgique « Fermer la moitié des lieux culturels ? » dépeint une situation devenue intenable pour le secteur culturel un peu partout en Europe, celui-ci ne parvenant plus à être aussi partie prenante d’un projet de société pour les citoyens et pour les politiques, auxquels ils sont pourtant tellement liés. Ce secteur culturel qui est aussi devenu, et désormais plus ouvertement, le terrain de jeu des dérégulateurs. Ce secteur culturel où ses propres professionnels peinent depuis si longtemps à réproblématiser, réinventer, régénérer, réenchanter, réformer, etc. Ce n’est pourtant pas faute d’énergie, de vision, de savoir-faire ou encore d’engagement et de pugnacité.
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Source : inrap.fr

Eiffage Rail Express vient de confier à l’Inrap 15 fouilles sur le tracé de la LGV Bretagne-Pays-de-la-Loire

Dans le cadre de l’aménagement de la future ligne à grande vitesse Bretagne −Pays-de-la-Loire, Eiffage Rail Express (ERE) vient de confier quinze fouilles à l’Inrap. Une équipe de soixante-dix archéologues va intervenir, sur 45 hectares entre Rennes et Le Mans, le long de ce tracé qui permettra de relier Paris à Rennes en moins d’1h30.
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Source : inrap.fr

Les fermes gauloises de Kervouyec, à Quimper

Deux sites gaulois remarquablement bien conservés ont été mis au jour au nord de Quimper, avant l’aménagement d’une zone commerciale. La fouille, réalisée sur deux zones d’une superficie totale de 3,5 hectares, pendant 6 mois, permet d’envisager l’existence de deux exploitations agricoles.
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Source: lejournaldesarts.fr

Le Getty de Los Angeles cherche de nouvelles sources de financement

LOS ANGELES (ÉTATS-UNIS) [20.04.12] – Confrontés à des baisses de budget, le Musée va concentrer ses ressources sur ses « missions essentielles ».

Adossé à la fondation d'art la plus riche du monde, le Getty de Los Angeles n'est cependant pas à l'abri de la crise. Malgré des débuts en trombe, il est confronté à des difficultés financières dont l’importance va croissante depuis juillet 2008.
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Source : lejournaldesarts.fr

Le ministère de la Culture crée le poste de délégué interministériel aux Archives de France

PARIS [19.04.12] – Dans le Journal officiel du 14 avril, le ministère de la Culture crée le poste de délégué interministériel aux Archives de France ainsi qu’un comité interministériel aux Archives de France. En lien direct avec le Premier ministre, le délégué aura pour mission d’ « assurer la cohérence et l’unité de la politique de l’Etat en matière d’archives ».
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Source : lejournaldesarts.fr

Le Louvre révèle les premières œuvres qui seront exposées à Lens

LENS [18.04.12] – Son ouverture est prévue pour le 4 décembre 2012. Les responsables du Louvre-Lens dévoilent peu à peu leur projet muséographique et la liste des œuvres exposées. La galerie du temps, lieu d’exposition permanente, « dévidera le fil du temps » depuis l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle.
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Source : lejournaldesarts.fr

Les deux marchés de l’art en France

PARIS [17.04.12] - Voilà un rapport qui devrait alimenter le débat en France sur la concurrence dissymétrique pour les uns, la saine émulation pour les autres, entre antiquaires/galeries et maisons de ventes. Commandé par Sotheby’s France à Clare Mc Andrew, c’est une déclinaison du rapport établi pour la TEFAF par la directrice d’Arts Economics.
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Source : lejournaldesarts

Une œuvre des collections de la National Gallery de Londres attribuée au Titien

LONDRES (ROYAUME-UNI) [17.04.12] – Longtemps considéré comme une copie « d’après Titien », un portrait d’homme conservé à la National Gallery de Londres vient d’être authentifié par les experts comme une œuvre originale du maître vénitien.

L’œuvre avait rarement été vue du public, souvent reléguée dans les galeries secondaires du musée ou dans les réserves. Portrait d’homme a récemment été nettoyé et restauré en profondeur, apparaissant sous un jour radicalement différent pour les experts de la National Gallery.
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Source : lejournaldesarts.fr

Lascaux : une étude démontre que l’apparition de champignons était due au traitement d’un autre champignon

MONTIGNAC [16.04.12] – Selon une étude franco-espagnole menée de 2009 à 2011, l’utilisation de fongicides pour lutter contre le développement de champignons blancs sur les parois de la grotte de Lascaux a favorisé la multiplication de champignons noirs.
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Source : lejournaldesarts.fr

La vente des vestiges du Titanic ne trouve pas d’acquéreur « acceptable »

NEW YORK (ETATS-UNIS) [16.04.12] – 5 500 pièces, collectées lors de sept expéditions menées de 1987 à 2004, ont été mises en vente à l'occasion du centenaire du naufrage du Titanic. Le juge fédéral de l’Etat de Virginie, qui veille à la protection du lot, a refusé de désigner un acquéreur.
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Source : La Tribune de l'Art

Le nouveau musée Toulouse-Lautrec d’Albi

Sans fermer ses portes aux visiteurs (hormis une courte période de trois mois), le musée Toulouse-Lautrec a, depuis dix ans, entrepris une profonde transformation, tant architecturale que muséographique1. Aujourd’hui les travaux sont achevés – du moins pour la partie accessible au public – et le nouvel écrin de la Berbie, enrichi des découvertes précieuses qu’ont révélées les fouilles, offre au public depuis le 2 avril 2012, tout à la fois un admirable monument palatial, un musée digne des plus belles réalisations internationales et doté de tout ce que propose aujourd’hui, en plus des œuvres, un tel lieu culturel – auditorium, salle d’exposition temporaire, centre de ressources documentaires, espaces pédagogiques, réserves réaménagées…
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Le Louvre Lens

Source : La Tribune de l'Art

L’incroyable indigence intellectuelle du Louvre-Lens

Que l’on soit pour ou contre le principe du Louvre-Lens1, il y a un point qui devrait tout de même faire consensus : l’invraisemblable pauvreté intellectuelle de ce projet. Les œuvres qui seront exposées dans la « Galerie du Temps » (rien que ce nom marque l’indigence du concept) n’ont aucun lien entre elles si ce n’est d’être pour la plupart des chefs-d’œuvre et pour plusieurs d’entre elles des objets emblématiques du Louvre, parmi ceux qui ne devraient jamais en sortir. On reste ainsi incrédule lorsqu’on lit que cette liste (que l’on pourra découvrir dans le communiqué de presse) est « le fruit d’une très longue réflexion relative au thème de la Galerie du Temps » comme le dit Henri Loyrette dans une interview publiée dans La Voix du Nord, alors qu’il ne s’agit que de prendre 205 objets couvrant une grande ampleur géographique et chronologique.
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La Liberté de Delacroix, Monsieur Bertin d’Ingres, Balthazar Castiglione de Raphaël, ou le Louvre décapité par Lens

L’embargo sur cette information ne sera levé que demain matin1. Mais puisque La Tribune de l’Art n’a reçu du Louvre aucune information à ce sujet, cet embargo ne nous engage pas et nous en parlerons dès maintenant.

La liste des quelques deux cents œuvres déposées au Louvre-Lens pour son ouverture sera en effet dévoilée entièrement demain.
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Source : lefigaro.fr

«Lens sera une synthèse du Louvre»

INTERVIEW - Henri Loyrette, le président du musée Louvre-Lens dévoile la liste des œuvres qui seront installées au cœur du bassin minier en décembre.

Le 4 décembre prochain, 205 œuvres du Louvre auront rejoint l'antenne du musée en construction depuis deux ans et demi à Lens. Elles seront disposées au sein d'une vaste ­galerie chronologique élaborée pour les cinq années à venir. Henri Loyrette ­livre la liste des pièces concernées et explique ses choix.
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Acquisitions

Source : La Tribune de l'Art

Deux œuvres de Louis-Nicolas Lemasle acquises par le Musée Antoine Lécuyer

12/4/12 - Acquisitions - Saint-Quentin, Musée Antoine Lécuyer - La rubrique « Annonces de chercheurs » est ouverte aussi bien aux étudiants ou aux thésards travaillant sur un sujet qu’aux historiens de l’art préparant un livre ou aux musées organisant une exposition. Ces annonces - gratuites - sont souvent très fructueuses.
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