Revue de presse (11 - 17 février 2013)

Musées région Centre

Source : Collectionneurs et Chineurs

Un siècle d'agriculture retracé à Chartres (28)

Le Compa, Conservatoire de l'agriculture, retrace l'histoire de l'agriculture et de sa mécanisation, de 1860 à 1960 à travers plus de 2 500 objets. Plus qu'un simple rassemblement de pièces, c'est un véritable travail de mémoire sur les sociétés, le patrimoine et le savoir-faire ruraux du territoire.

C'est dans le département de l'Eure-et-Loir que ce conservatoire dédié à l'agriculture, l'alimentation et l'environnement, a pris ses quartiers.
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Source : Cheval pratique

Des amis au Compa

Jean Louis Sauvât propose une nouvelle exposition au Compa de Chartres (28) Dans ce bel espace autrefois gare de triage, il a invite ses amis peintres, sculpteurs et photographes...
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Source : Le Monde

Un tracteur au musée

Le Compa à Chartres, musée spécialisé dans la préservation du patrimoine rural, expose depuis le 17 janvier, un tracteur Lanz Bulldog HRC 15/30 de 1935...
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Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Ezy-sur-Eure) Un musée en plein essor grâce à ses Amis

Les Amis du Musée ont tenu leur assemblée générale, samedi à la salle des fêtes, en présence d’Andrée Oger vice-présidente du Conseil général et Pierre Girardot, maire adjoint. Le président a présenté le bilan financier qui présente un solde de 7 411€. « Nos finances sont saines, sans sans subventions, ceci nous permet des achats qui enrichissent les collections du musée. » Deux expositions seront proposées cette année : du 4 mai au 14 juillet, l’âge d’or du costume Normand, et, du 30 septembre au 15 octobre, l’Ez’Arts dans la Vallée.
L'Echo, 13/02, p.25

(Tripleville) L'écomusée déménage

L’Écomusée de la vallée de l’Aigre regroupe plusieurs communes d’Eure-et-Loir et Loir-et-Cher, dont Tripleville et Verdes. Et son assemblée générale a eu lieu samedi. La présidente, Chantal Amary, a fait approuver les bilans moral et financier et a présenté les projets pour l’année 2013.
RC Beauce 13/02 p.18

(Chartres) Presque un livre de famille

Une photo de famille, une quasicousinade dans le hall du musée des Beaux Arts de Chartres, celle de la famille Loire. Soixante descendants de l’artiste Gabriel Loire sont venus applaudir la sortie du catalogue de la donation Loire à ce musée depuis plus de dixsept ans, date du décès de l’artiste. Poèmes, dessins, mobiliers… «On aurait pu disséminer les oeuvres un peu partout mais avec ses enfants et petits enfants les plus proches, nous avons décidé d’inventorier, de répertorier et de les offrir à la ville qui les a acceptées malgré son coût de conservation», précise Annie Loire, sa seconde femme. En échange un catalogue devait paraître. C’est chose faite. 400 oeuvres ont ainsi été offertes et repose en partie dans le salon Loire du musée. Mais parmi elles, peu de vitraux..
L'Echo, 12/02, p.9

(Dreux) Ceci n’est toujours pas un bijou

Pour l’exposition rassemblant des créations de l’Europe entière, il n’avait fallu sélectionner que douze pièces issues des travaux des apprentis bijoutiers du lycée professionnel JeanGuéhenno. Or, les soixante élèves de deuxième année de CAP art du bijou avaient tous produits une pièce en rapport avec le thème Ceci n’est pas un bijou. Tous les oubliés de la première exposition ont donc à leur tour leur chance (aux côtés des pièces de leurs camarades), jusqu’à vendredi, à la Cité de l’or. Dans le musée du soussol, les soixante pendentifs réalisés dans un esprit surréaliste, imprégné des oeuvres de Magritte et de ses compères, sont donc mis en valeur, tout comme leurs auteurs (les noms des élèves créateurs sont inscrits aux côtés de chaque œuvre).
Le Berry, 12/02, p.24

(Châteauroux) Conserver la mémoire militaire

L’Association des anciens du site militaire de la Martinerie change de nom et se donne désormais pour but la création d’un centre de la mémoire militaire. Le projet prend tournure. «Au départ, nous avions le projet de créer une amicale des anciens de la Martinerie mais au fil des mois, ce projet a évolué. On a décidé d’aller plus loin et d’ouvrir sur le site un centre de la mémoire militaire du département de l’Indre», résume Jean Jacques Bérenguier, président de l’association. L’Indre a en effet une longue histoire militaire. Depuis le début de l’année, la communauté d’agglomération castelroussine a cédé à l’association deux bâtiments dont l’ancien atelier des maîtres tailleur et bottier. C’est ici, dans le bâtiment 001, que l’association veut créer son centre de la mémoire militaire.
Le Berry, 14/02, p.7

(Bourges) La culture au plat du jour

Et si vous abandonniez vos collègues à la cafétéria pour une fois, et alliez découvrir les trésors cachés des musées berruyers. C’est la proposition que vous font les conservateurs des musées de Bourges. Toutes les trois semaines, l’un d’eux dévoile une oeuvre en particulier, issue de la collection permanente ou sortie exceptionnellement de la réserve. Cette fois ci, c’est Muriel Margotin, assistante de conservation du patrimoine du musée Estève qui proposait la présentation de Paysage au Printemps, une huile sur toile d’Estève de 1927.
Le Berry, 14/02, p.10

(Chinon) Communauté de communes : le dernier budget se prépare

A quelques mois de la fusion des communautés de communes, celle de Rivière-Chinon-Saint-Benoît peaufine un budget serré, mais porteur de projets. On retiendra de la même réunion que le musée d’Art et d’Histoire se doit de recruter un contractuel pour six mois (au moins) afin de poursuivre le long (et fastidieux) travail de « récolement » qui consiste à mettre en fiche détaillée le moindre objet des collections du musée. Cela concerne 3.000 objets et seules 430 ont été « récolés » à ce jour ! (intégral)
NR, Indre et LoireW, 14/02

(Tours) Musée des Beaux-Arts

Cette huile sur toile exécutée vers 1754 est une esquisse qui était destinée aux décors préparatoires de la voûte de l’église de Dresde, et qui fait office aujourd’hui de témoignage car cette église n’a pas résisté aux bombardements de 1945. Ce tableau est exposé au musée des Beaux-Arts de Tours. Il a une « valeur importante » selon Sophie Join-Lambert, conservatrice en chef. Et il a une belle histoire qui vient d’éclater au grand jour. Elle va être restituée à son propriétaire, une famille juive spoliée durant la Seconde Guerre. Comme quoi, l’Histoire avec un grand « H » réserve aussi de curieux et souriants rebondissements.
NR 37 15/02 p.41

(Châteauroux) Le musée Bertrand rouvre ses portes...

Michèle Naturel,conservatrice, s’enflamme quand on aborde les trésors du Musée Bertrand qui vient de rouvrir au public. Il y a les incontournables. « La mise en valeur u fond Premier Empire, souligne la conservatrice. Avec le sabre d’Aboukir, le reliquaire de Dominique Vivant- Denon (lire ci-dessous) et, bien sûr, la volière. La salle Second Empire est consacrée à la collection du général Ribourd et à la collection De Fontarce. »+ ••• Le poil d’Henry IV n’a pas parlé
NR 36 15/02 p.9

De Napoléon à la céramique

Châteauroux. Le Musée Bertrand offre aux visiteurs la découverte de nouvelles pièces de ses collections. Le mariage de l’Empire et de la céramique contemporaine. Entrée libre.
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(Chartres) Traquenard au musée

Un quasi guet-apens dans lequel s’est retrouvé samedi dernier Patrick Géroudet, l’adjoint de Chartres chargé du rayonnement. Sur le papier, le rendez-vous était classique : la sortie officielle du catalogue de la donation Loire en présence de 60 descendants de la famille Loire. Mais quelle stupeur quant Annie Loire, la seconde femme du maître-verrier, parle de l’avenir du Musée des Beaux Art de Chartres. «On a entendu de nombreuses rumeurs et nous réaffirmons aujourd’hui notre attachement à ce lieu». Alors que son intervention était terminée, Patrick Géroudet a repris la parole. «La volonté de la Ville est bel et bien d’augmenter nos surfaces de visite en passant de 900 à 10.000 m2». «Oui mais pas ici, nous, on veut garder notre musée», a crié une partie de l’assistance.
L'Echo, 17/02

(Issoudun) Nicolas Alquin sculpte ses voyages intérieurs

Les deux femmes se font face. Nicolas Alquin n’en revient pas. C’est pourtant lui qui a réalisé ces deux sculptures en bois. Mais à les voir là, au milieu de la chapelle du musée Saint-Roch, à quelques mètres de l’arbre de Jessé, l’émotion le submerge. Au musée Saint-Roch, Nicolas Alquin présente une soixantaine d’oeuvres, dont la moitié sont des sculptures, grandes. Plus grandes que nature. Le visiteur n’a plus qu’à plonger dans cet univers, déambulant parmi les oeuvres. Comme une invitation à un voyage entre le nadir et le zénith.
NR, Indre, 16/02, p.25

Trois talents, trois univers à découvrir au musée

A l’exception du talent, bien malin qui trouvera un point commun entre les trois artistes qui exposent leurs oeuvres au Musée Saint-Roch. «Finalement, le lien entre eux est peut-être tout simplement le musée : Gérard Deschamps y a exposé il y a dix ans et Nicolas Alquin y a déjà quelques oeuvres. Quant à Nicolas Garnier, il nous a dispensés de précieux conseils quand nous avons installé la salle dédiée à la Papouasie», a résumé le maire, André Laignel, lors de l’inauguration des expositions, vendredi soir.
Nr, Indre, 17/02, p.7

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Bourges) Les clés pour comprendre les fouilles

Bourges Plus dispose d’un service d’archéologie préventive. Sa mission : réaliser des diagnostics mais aussi des fouilles préventives. Il emploie onze personnes, dont une documentaliste. Six assistants ont été embauchés en vue d’un prochain chantier en mars, sur la route de Marmagne. Le service est agréé pour l’archéologie préventive par les ministères de la culture et de la recherche. Installé dans le quartier de la gare, Jacques Troadec, son directeur, explique le fonctionnement du service.
Le Berry, 12/02, p.15

(Chartres) Les Gaulois trafiquaient déjà de la viande de cheval

Sur le site de l’ancienne piscine de la Courtille à Chartres (photo), les fouilles conduites il y a quelques mois ont mis au jour de nombreux restes d’équidés. Par qui ont-ils été enfouis ? Sur le site internet archeologie.chartres.fr, l’archéozoologue Julie Rivière révèle que quelques ossements comportent des incisions liées à la récupération de parties comestibles. Déjà, au Ier siècle, à une époque où les chevaux étaient consommés en contact avec la civilisation romaine, auraient-il pu être utilisés pour une escroquerie alimentaire ? Selon la spécialiste, les traces découvertes sont très discrètes et différentes de celles observées sur d’autres animaux tels que les bœufs, moutons et porcs, pour lesquels le boucher utilise à l’époque un couperet. (intégral)
L'Echo, 17/02

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Montlandon) Les travaux de l’église ont débuté lundi

Les travaux de réfection de la toiture et du clocher de l’église Saint-Jacques ont démarré à Montlandon. La première phase des travaux a commencé ce lundi par l’installation de barrière de sécurité autour du chantier.
L'Echo, 13/02 p.33

(Brunelles) Les travaux continueront en 2013

Les travaux réalisés par les bénévoles. « 10 séances de travaux sur site représentant 150 heures de travail au total », a-t-il précisé. Ces travaux ont permis de boucher la crevasse du côté de la porte, d’étayer les fenêtres, de poser le chaînage mais aussi de refaire la voûte de la porte.
L'Echo, 13/02 p.33

PATRIMOINE Les Maisons paysannes de Touraine en AG

L’association de Maisons paysannes de Touraine tiendra son assemblée générale annuelle samedi 16 février à 14 h 30 aux halles de Tours (salle 121). Les travaux seront suivis d’une conférence sur la construction et l’utilisation de la terre crue au Burkina Faso par Jean-Marie Mansion, administrateur et Na Kuora. Renseignements au 06.30.20.25.30.
NR 37 E 13/02

(Artenay) Le moulin de pierre, support touristique

L’assemblée générale de l’association les Amis du moulin de pierre, s’est tenue, vendredi, à la salle de réunion, en présence de Pascal Gudin, le maire, de Pierre Dreux, maire de Ruan, et des adhérents. Les rapports moral et financier ont montré la bonne volonté des bénévoles à poursuivre leur action et la bonne gestion de l’association. Les Amis du moulin fêtent, en 2014, les quarante ans de l’association. À cette occasion, les membres du bureau souhaitent marquer l’événement en organisant une exposition, et lancent un appel à toutes les personnes qui possèdent des photos et autres documents en rapport avec le vieux moulin.
RC, Beauce, 12/02, p.16

(Loches) Les Amis du Pays lochois dans la sérénité

C’est dans une atmosphère sereine que s’est déroulée cette année l’assemblée générale des Amis du Pays lochois. Au cours de la réunion Lucio de Risi a présenté les activités du fonds de dotation Loches Patrimoine et Culture, qu’il préside : restaurations d’oeuvres d’art, tableaux, concerts… et a évoqué l’état inquiétant de la «Porte royale». Une souscription publique sera lancée prochainement. Jean-Jacques Decamps a évoqué aussi l’état inquiétant de la collégiale Saint-Ours. Il s’est interdit d’évoquer l’école Alfred- de-Vigny (brouhaha dans l’assistance !) tout en s’interrogeant sur le devenir de l’ancien palais de justice. Le fonds de dotation s’ouvre maintenant pour les communes de Perrusson et Beaulieu. Sophie Métadier, maire, s’est alarmée du coût de la rénovation du clocher de Beaulieu : plus de trois millions d’euros. Les travaux ont commencé pour le mur d’enceinte, un chemin a été aménagé. La rénovation du moulin de forge sera proposée au Fonds.
NR, Indre et LoireE, 12/02, p.21

(Engenville) Décisions

Le dernier conseil municipal a pris connaissance des propositions des entreprises Bodet et Mamias pour la restauration de la cloche classée et attend l’analyse comparative des deux devis de la part de l’expert campanaire. (intégral)
RC, Pithiviers, 14/02

(Tours) L’histoire de Tours à l’espace Villeret

Lundi, les participants au CVL de Tours-Sud étaient invités à découvrir l’exposition «Secteur sauvegardé - Vivre avec le temps», sous la conduite de Frédéric Dufreche, responsable du service de l’animation du patrimoine. Il s’agit d’une restitution simplifiée et riche en images d’un important travail réalisé par Elsa Stewart, avec un retour sur 40 ans de secteur sauvegardé à Tours, et une découverte de l’histoire de la ville à travers ses quartiers et ensembles urbains. Puis vint le temps de la présentation, par Jean Germain, du budget d’investissement de la Ville pour l’année en cours, avant de passer au conseil proprement dit.
NR, Indre et LoireT, 14/02, p.14

(Loches) La Chartreuse du Liget se refait une jeunesse

Dans les allées de la Chartreuse, ce qui étonne le visiteur, c’est ce calme monacal, bien qu’aucun moine n’y réside depuis la Révolution française. La beauté des lieux, les vestiges d’une vie religieuse intense, perpétuent l’ambiance de recueillement qui y a régné pendant cinq siècles. Cette quiétude est quelque peu troublée par les travaux d’entretien qui y sont engagés. Ils viennent de débuter par la mise hors d’eau et les premiers soins apportés au magnifique portail du XVIIIe siècle qui orne l’entrée. L’humidité et le gel sont sans pitié pour la pierre du tuffeau. Les représentations de saint Bruno (sur le tympan nord) et de saint Jean-Baptiste (tympan sud) s’abîmaient à cause des infiltrations d’eau. Les propriétaires vont procéder ainsi par étape, étalant les travaux sur trois ans. S’ils disposent d’une aide de 30% de l’État au titre des Monuments historiques, ils financent ces chantiers sur fond privé.
NR, Indre et LoireT, 14/02, p.33

(Guainville - Anet) La résurrection du château fort

Un couple de passionnés redonne vie, petit à petit, au château fort de Guainville. Un lieu impressionnant qui fut oublié pendant des siècles.
L'Echo 15/02 p.21

(Azay Le Rideau) Exposition au château : “ Histoire d’une renaissance ”

Le Centre des monuments nationaux présente l’exposition « La chambre de Philippe Lesbahy au château d’Azay-le-Rideau : l’histoired’une renaissance », du 16 février au 12 mai. Cette exposition a pour objet de évéler au public une restauration- restitution unique. Ce projet, centré sur la restitution du lit et la pose des nattes en jonc, a duré deux ans, de sa conception à sa mise en oeuvre. Il illustre la volonté du CMN de aloriser un véritable art de vivre à la française au château d’Azay-le-Rideau, basé sur l’authenticité des matériaux et des savoir-faire et sur l’excellence historique. Au travers de cette exposition, le public peut aussi écouvrir des métiers d’art, rares et disparus : ainsi, pour accompagner l’exposition, un documentaire présente au public le métier de nattier qui, sous l’Ancien Régime, était très répandu dans toute l’Europe.
NR 37W 15/02 p.20

Vente du fond d’un château de Sologne où Pompidou aimait à venir…

La maison de ventes aux enchères Pousse Cornet, de Blois (Loir et Cher), dispersera, samedi, le fonds d’un château de Sologne, une maison datant des années 1850 où Pompidou aimait venir chasser lorsqu’il était Premier ministre. À découvrir notamment, un charmant cabinet du XVIIe orné de plaques en pierres dures… Rendez vous à la galerie des ventes d’Orléans, à 14h15, au 2, impasse Notre Dame du Chemin. (intégral)
RC, Orleans, 16/02

(Olivet) Vente du château de La Mothe

Le générique de fin du feuilleton du château de La Mothe a été projeté, hier soir, au conseil municipal. Sa vente a été validée. Mais pas à l’unanimité, cinq élus s’étant abstenus. Qui sont les nouveaux propriétaires ? L’école régionale des travailleurs sociaux (ERTS) a acquis les dépendances du château et les terrains attenants (4.259 m2 ) pour 426.220 euros. Elle réhabilitera les dépendances qu’elle utilisera comme extension des locaux actuels, et transformera les terrains en parkings. Le château –et les parcelles–, lui, appartient, désormais, au patrimoine de la famille Fayel. 3.053 m2 pour la somme de 215.000 euros. Yves Martinez (Olivet ensemble autrement) préconise «un accompagnement nécessaire pour la réhabilitation». Inquiétude levée par Philippe Belouet, premier adjoint à l’urbanisme : «Nous serons vigilants sur les modifications. L’architecte des Bâtiments de France et nous mêmes aurons notre mot à dire puisque nous délivrons les permis de construire.»
RC, Orleans, 16/02, p.23

(Menestreau en Villette) Début des travaux et étonnantes découvertes au coeur de l’église

Après les opérations de rénovation extérieure de l’église Notre Dame, qui viennent de s’achever, c’est désormais l’intérieur de l’édifice qui va être restauré. Lors de cette mise en valeur, il est envisagé d’abattre la voûte en plâtre du XIXe siècle pour rendre visible la charpente en bois du XVIe siècle, dite en coque de bateau inversée. De plus, la fin de la restauration des peintures murales datant du XIIIe siècle a été l’un des moments forts de cette remise à neuf. Il faut savoir que la présence de décors muraux de cette période est rare dans le Loiret. Dernièrement, une autre surprise a été mise au jour par les ouvriers du chantier. Il s’agit, d’après le père Grossin, d’une piscine, d’un lavabo ou d’un évier, selon le terme dévolu. Une spécificité qui se trouve plus particulièrement en Beauce, ou encore à LionsenSullias. Cet endroit servait à disposer les burettes et à verser l’eau, une fois le service fini.
RC, Beauce, 16/02, p.22

(Châteaudun ) Un château à meubler

L’acquisition d’une nouvelle tapisserie par le Centre des monuments nationaux (CMN) pour le château de Châteaudun est un beau cadeau qui pourrait en appeler d’autres. Venu visiter la demeure de Jehan de Dunois, Philippe Belaval, le président du CMN, a évoqué le projet de faire du site un lieu d’expositions permanent des tapisseries des XVIe et XVIIe siècles. Des œuvres qui, à l’époque, faisaient partie de la vie et servaient à isoler les pièces. Philippe Belaval envisage donc l’installation de meubles dans le château pour mettre en valeur ces tapisseries. Il ne reste plus qu’à faire le tour des antiquaires… (intégral)
L'Echo, 17/02

(Mesnil S/L'Estrée) Ils veulent sauvegarder l’église du village

Bernard Duplat, président de l'Association de sauvegarde du Patrimoine Mesnilois, rappelle l’objectif de son engagement. «Nous pensons que le patrimoine du Mesnil sur l’Estrée mérite d'être sauvegardé. Notre village a un passé historique très riche et varié. Ce passé mérite d'être transmis aux générations futures.» Le patrimoine architectural est essentiellement constitué de l'église Sainte Marie Madeleine. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis le 22 septembre 2010 et cela grâce aux quatre vitraux de François Decorchemont. «Le diagnostic réalisé par l'architecte en chef des monuments historiques nous fait apparaître de gros travaux de rénovation ayant un coût très élevé. Les budgets communaux et subventions diverses n'y suffiront pas. Aussi, nous souhaitons nous investir, aussi bien matériellement (nettoyage, réparations diverses etc) que financièrement afin de parvenir à la réalisation de ce gros projet», souligne le président.
L'Echo, 17/02, p.11

Les nouveaux atouts de Villandry

Temps gris, et température fraîche, hier, pour la réouverture des portes du château de Villandry : on ne se bousculait pas au portillon pour admirer le château et ses jardins, plutôt en préparation en ce moment. Rien à voir avec l’afflux de touristes de la haute saison… «En 2012, nous avons fait aussi bien qu’en 2011 avec 315.000 visiteurs», confie Mayeule Drouault, chargée de la communication du château. Une bonne performance pour une année globalement morose. Ce qui n’empêche pas la PME qui fait «tourner» ce superbe monument de présenter des nouveautés à l’orée de la saison.
Nr, Indre et Loire, 17/02, p.5

(Selles Saint Denis) Ils veulent sauver leur église !

Lundi soir, l’Association pour la sauvegarde de l’église de Selles-Saint-Denis tenait son assemblée générale, présidée par Daniel Mouginot, en présence de Patrice Martin-Lalande, député, et Agnès Thibault, conseillère générale. L’église est fermée car dangereuse, des réparations urgentes doivent être entreprises sous peine de démolition. «Pour que nous puissions commencer, il faut obtenir 5% du montant des travaux, nous y sommes presque», annonce Jean-Claude Vacher, trésorier. Les 5.000 à 6.000 € manquants pourraient être trouvés cette année, mais ça sera dur ! Cette église n’a pas la chance d’être un monument exceptionnel comme sa soeur aînée la chapelle Saint-Genouph, classée, chargée d’histoire, bien implantée dans le cœur du village, mais trop petite notamment pour les enterrements.
NR, Loir et CherS, 16/02, p.23

Source : franceculture.fr

Numérisation polémique à la BnF

L'affaire vient de faire grand bruit et pourrait bien marquer un précédent. En cause, deux partenariats public-privé pour la numérisation de livres et de disques anciens de la Bibliothèque nationale de France lancés sous Nicolas Sarkozy. Les termes du contrat validé par le ministère de la Culture ont déclenché une polémique citoyenne sur la privatisation du domaine public.
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Source : localtis.info

Le 1% artistique pour 100% des collectivités ?

Le député François Vannson a déposé une proposition de loi visant à imposer le "1% artistique" à l'ensemble des collectivités territoriales. Une idée qu'il a en tête depuis plusieurs années...

François Vannson, député (UMP) des Vosges, a déposé le 23 janvier une proposition de loi "visant à uniformiser l'application de l'obligation de décoration des constructions publiques entre l'État et les collectivités territoriales", c'est-à-dire à imposer le "1% artistique" à l'ensemble des collectivités.
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Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Ces sept tableaux spoliés que la France va rendre

La décision a été prise dans la plus grande discrétion. Son officialisation devrait faire nettement plus de bruit. La France s'apprête à rendre sept tableaux spoliés pendant la seconde guerre mondiale à deux familles juives et actuellement conservés dans les musées français. Au terme de plusieurs années d'instruction et de recherches conduites par divers organismes et historiens, l'Etat a décidé de restituer ces oeuvres, signées Alessandro Longhi, Sebastiano Ricci, Gaspare Diziani...
Le Monde, p.22 pas de lien

Source : liberation.fr

Sept tableaux restitués à des familles juives

A l’heure où le Sénat vient de rappeler la France à ses responsabilités envers les familles spoliées par les nazis (Libération du 4 février), la restitution prévue de sept peintures des XVIIe et XVIIIe siècles fait office de symbole. Racontée par Nathaniel Herzberg dans le Monde daté d’hier, l’histoire paraît emblématique d’une nouvelle ère qui s’ouvre pour les restitutions entamées depuis la guerre.
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

Reims achète et Orsay préempte chez Sotheby’s

Le Musée des Beaux-Arts de Reims, qui souhaitait acquérir les meubles de la salle à manger d’Henry Vasnier qui passaient en vente chez Sotheby’s hier samedi 16 février, n’a réussi qu’à moitié son pari.
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Nouveaux Fabre pour le Musée Fabre

Parmi les artistes auxquels le musée de Montpellier consacre une particulière attention, on trouve notamment celui qui lui a laissé ses collections et lui a donné son nom, François-Xavier Fabre. Outre la grande rétrospective qu’il lui a consacré en 2008, le musée achète régulièrement ses œuvres.
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Un trompe-l’œil de Jean Valette-Penot acquis par le château de Pau

Le Musée national du château de Pau vient d’acquérir, auprès de la galerie Orsay Paris, une œuvre de Jean Valette-Falgore, dit Valette-Penot, représentant un relief avec le portrait d’Henri IV de profil.
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Source : latribunedelart.com

Chefs-d’œuvre de l’Art nouveau chez Sotheby’s

15/2/13 - Marché de l’art - Paris - Gallé, Daum, Majorelle, Guimard, Lalique... Les plus grands noms de l’Art nouveau figurent dans la vente que Sotheby’s organise demain à Paris. Les œuvres mises aux enchères sont issues du Garden Museum à Tokyo, institution privée créée pour présenter la collection de Takeo Horiuchi. Celui-ci se passionna tout d’abord pour Tiffany, puis accumula les œuvres Art nouveau, essentiellement françaises, pour l’influence asiatique qu’elles trahissent, et japonaise en particulier.
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Source : latribunedelart.com

Patrimoine en question(s) n°4 : l’histoire de l’art doit-elle se faire sans images ?

Alors que les œuvres d’artistes décédés depuis plus de 70 ans sont tombés dans le domaine public, c’est-à-dire ne sont plus soumis au droit d’auteur, beaucoup de musées ou d’institutions font payer des sommes parfois très importantes pour fournir des images et surtout autoriser les reproductions, notamment pour l’édition en histoire de l’art.
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Source : .lefigaro.fr

Pour le directeur du Louvre, «il n'y a qu'une Joconde»

Affaires Léonard de Vinci, Courbet, Delacroix... Henri Loyrette, historien de l'art et président-directeur du musée du Louvre, revient sur les polémiques récentes.

Trois coups de tonnerre successifs ont secoué le monde des Arts ces derniers jours. Le 6 février, Paris Match annonçait avoir «retrouvé le haut» de L'Origine du monde. Après deux ans d'enquête et d'expertises, un amateur d'art anonyme affirmait qu'une toile inconnue, portrait d'une femme le visage à la renverse, était la partie manquante de la petite huile de Gustave Courbet représentant le sexe d'une femme. Une information démentie par le musée d'Orsay.
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La Joconde

Source : lefigaro.fr

Léonard de Vinci aurait bien peint une autre Joconde

De nouveaux tests effectués sur une peinture, considérée comme une précédente version de Mona Lisa, montreraient qu'elle est l'œuvre du peintre de la Renaissance.

L'existence de cette «petite sœur» de La Joconde a été révélée en septembre, lors d'une présentation par la Mona Lisa Foundation, à Genève. Depuis, le doute persistait sur ce tableau gardé pendant près d'une quarantaine d'années dans un coffre en Suisse. Cette œuvre est-elle de Léonard de Vinci?
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Source : lemonde.fr

Léonard de Vinci serait bien l'auteur d'une "Mona Lisa" antérieure

Le portrait, qui représenterait la Joconde dix ans avant celle exposée depuis plus de trois siècles au Louvre, a été authentifié comme ayant été peint de la main du maître de la Renaissance à partir de nouveaux tests.

Ce portrait de la petite sœur de la Joconde avait été exhumé d'un coffre en Suisse où il avait été conservé pendant quarante ans, et son existence avait été révélée en septembre, lors d'une présentation par la Mona Lisa Foundation à Genève. Dès le début du XXe siècle, la possibilité que l'œuvre ait été peinte par Léonard de Vinci (1452-1519) avait été envisagée.
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Source : lemonde.fr

Jean-Jacques Aillagon à la tête des Arts décoratifs

L'ancien ministre de la culture, Jean-Jacques Aillagon, a été élu à l'unanimité président des Arts décoratifs par le conseil d'administration, jeudi 14 février. Cette association subventionnée par l'Etat rassemble le Musée des arts décoratifs, le Musée Nissim de Camondo, l'Ecole Camondo, les ateliers du Carrousel et une bibliothèque.

Ancien président du château et du domaine national de Versailles, M. Aillagon remplace Hélène David-Weill, présidente depuis 1994 et dont le mandat est arrivé à échéance. Il était le seul candidat à sa succession.
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