Revue de presse (11 - 17 mars 2013)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chatillon Coligny) Deux expos avec les Amis du musée

Une cinquantaine d’adhérents ont assisté à l’assemblée générale des Amis du musée, samedi après midi. Après l’exposition «la chevelure à travers les âges» en 2012, c’est l’Amiral Coligny, homme de guerre et de foi, qui fera l’objet d’une nouvelle exposition qui sera inaugurée le samedi 23 mars à 17 heures. À cette occasion, Françoise Chevalier, administrateur du musée, spécialiste du protestantisme, fera une conférence.
RC, Montargis/Gien, 12/03, p.10

(Chaon) La Maison du braconnage va rouvrir

L’assemblée générale de l’Association des amis de la Maison du braconnage s’est tenue sous la houlette de Pierre Aucante, président depuis l’ouverture, en 1997. Il a présenté le rapport moral, en rappelant que «le braconnage est une expression culturelle, partie prenante de l’identité solognote. Il est important de maintenir la mémoire braconnière de ce pays et il faut le faire en partageant ce particularisme avec des gens venus d’ailleurs : les touristes.» L’aménagement de la maison pour les mal voyants constitue le grand projet de l’année. Il consiste au marquage en braille, à la construction de la maquette de la maison et à la conception des audio guides. La réouverture de la maison du braconnage est prévue dimanche 31 mars.
RC, Beauce, 13/03, p.19

(Gracay) Du positif pour le musée de la photo

L’association les Amis du musée de la photo vient de tenir son assemblée générale. La Communauté de communes de Vierzon Sologne Berry devenant le nouveau partenaire, assurera la prise en charge financière et le complément du salaire de l’animatrice Sandrine Albert. Le directeur du musée Rémy Duroir a, également, annoncé qu’un dossier pour un contrat CAP’asso était bien engagé pour assurer la continuité de l’emploi d’animatrice. Les bonnes nouvelles continuaient avec l’annonce de trois grandes donations de matériels au profit du musée, ce qui pourrait, par contre, poser un problème de place. Le musée a été choisi par le site national Galerie Photo pour son congrès 2013 qui aura lieu le 12 et 13 octobre.
Le Berry, 15/03, p.17

(Tours) Une toile de 1756 restaurée aux Beaux-Arts

Samedi au musée des Beaux-Arts, Sophie Join-Lambert, sa directrice, a présenté la toile «Sylvie fuyant le loup qu’elle a blessé». Cette oeuvre commandée par Madame de Pompadour à François Boucher, datant de 1756, a été restaurée avec l’aide du Club Rotary Tours-Sud, du Fonds régional d’aide à la restauration pour les musées (Frar) et de la ville. «Le tableau est parti pendant plus d’un an à Versailles, pour une restauration fondamentale», explique la directrice du musée. Alors président du Club Rotary Tours-Sud, Laurent Renard fut à l’initiative de ce projet. «La notion du Rotary, c’est de servir. Ce tableau, fait par un artiste qui a marqué son époque, présente bien.» (intégral)
Nr, Indre et Loire, 13/03

(Vendôme) Made in Vendôme pour les fenêtres du musée

Eh oui, ce n’est pas tous les jours que les serruriers du service des bâtiments de la ville remplacent les fenêtres du musée qui, depuis 1820, en ont vu des choses passées. C’est une vraie ruche qui est en place au rez-de-chaussée du musée de l’ancienne salle capitulaire, futur Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP). D’un côté, les peintres et de l’autre, des serruriers affairés à déposer les anciennes fenêtres de ce site classé qui seront rejoints ensuite par les maçons et charpentiers. Des dormants dont les pattes fixées au mur doivent être coupées et des ouvrants qui, tombant en miettes, sont remplacés par des ouvertures flambant neuves.
NR, Loir et CherN, 13/03, p.19

Eguzon. Les toiles du peintre Louise Barbu au musée

Le Musée de la Vallée de la Creuse expose actuellement les peintures de Louise Barbu, artiste installée à Paris, actuellement en résidence à Saint-Benoît-du-Sault. Une résidence soutenue par l’association Triages, art et littérature. Ses toiles s’accompagnent de son dernier ouvrage paru aux éditions Tarabuste, Résonance sensible d’une épopée sidérale, qui a servi de titre à l’exposition.
NR Indre, 18/03/2013, p. 15

(Montargis) Où sont parties les oeuvres du musée ?

Faire un tour du musée Girodet procure aujourd’hui un sentiment plutôt étrange. On a la sensation d’être dans un musée fantôme. Il reste un tableau par ci, une sculpture par là. Mais la majorité des pièces sont vides. En vue des travaux qui devraient démarrer au second semestre de l’année, le déménagement a débuté il y a plus de 10 mois. Suite à la fermeture du bâtiment après la Nuit des musées en mai 2012. C’est un travail sur du long terme. Entre les pièces exposées et en réserve, ce sont 10 à 15.000 objets qui sont à déplacer, conditionner... Une majorité des œuvres a été entreposée dans la salle des coffres de l’hôtel communautaire, en face du musée. Les tableaux y côtoient les sculptures, les pièces archéologiques… Le but était d’en réunir le plus grand nombre dans un seul et même lieu, qui soit sécurisé et où on peut travailler, faire le récolement (inventaire)», souligne Pascale Gardès, la directrice du musée.
+ Des animations à l’extérieur pour faire vivre le musée
RC, Montargis/Gien, 11/03, p.7

(Le Chatelet) La « dive bouteille » magnifiée au musée

Fidèle à sa vocation potière, le musée de la poterie, au village des Archers, va proposer à compter de demain, une nouvelle exposition. Le thème choisi cette année, c’est la bouteille en terre cuite, la «dive bouteille» chère à Rabelais dans son cinquième livre. Grâce à cent vingt superbes pièces appartenant à André Lamamy, collectionneur éclairé et bénévole au musée de la poterie, la guide Alexandra Gessat a concocté cette exposition mise en valeur dans les vitrines.
Le Berry, 11/03, p.40

source : obiwi.fr

Découvrons Les Amis des Musées d'Orléans

Dans le cadre du Salon des antiquités 2013 organisé au Parc des Expositions d'Orléans, Les Amis des Musées d'Orléans présentaient une série œuvres datant du 17ème au 20ème siècle sur la thématique du portrait avec en complément une proposition inattendue: "En un seul clic" et pour une somme modique, hommes, femmes, enfant pouvaient "entrer dans l'histoire" et repartir avec un tableau original à l'ancienne dont ils étaient le sujet! Le succès rencontré par cette animation de stand originale m'a incitée à mieux vous présenter les initiateurs...
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Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Orleans) Jeanne 2012 en marraine

L’Écuyer a sa marraine : Jeanne 2012. «Pour donner naissance à ce fûtreau, nous avons eu l’idée de mettre en vente une médaille commémorative du 600e anniversaire de Jeanne d’Arc, le bénéfice de cette vente nous a permis de le financer», explique Dominique Joye, président de l’association. «C’est tout naturellement que nous l’avons baptisé L'Écuyer, et que nous avons choisi Pauline Finet, Jeanne 2012, comme marraine», ajoute t il. C’est un fûtreau en bois, mesurant 8,50 m de long et 1,10 m de large, amarré à l’année sur les quais de Loire à Orléans. Il navigue à la voile mais aussi au moteur 15 CV 4 temps. Comme beaucoup de bateaux de Loire actuels, il a été construit par Max Panier.
RC, Orleans, 12/03, p.15

A Selles-sur-Cher le château a deux visages

La destinée du château de Selles-sur-Cher n’a pas été aussi paisible que le cours du Cher dans lequel il se reflète. Thibault le Tricheur, comte de Blois, est à l’origine du premier donjon construit sur motte en 935. Deux siècles plus tard, Ginon de Mehun construit un château fort. En 1212, Robert de Courtenay, prince de la maison de France le relève de ses ruines. Voilà pour le côté médiéval. Des familles illustres se succèdent. Nicolas Mazzesi et sa femme Katherine Wu détiennent désormais les clefs du château qui ouvrira ses portes pour la saison touristique. Ils ont à coeur de l’inscrire dans son territoire viticole.
+ ••• Un site en quête de bénévoles
Nr, IndreE, 12/03, p.22

(Le Blanc) La “ croisade ” des Amis de l’église Saint-Étienne

L’association des Amis de l’égl ise Saint-Étienne a déjà collecté près de 14.000 € depuis sa création, fin 2009. Cette somme a été injectée dans la restauration d’une peinture du XVIIe siècle, Le tableau des Rois mages, et de la Croix de la Passion des Mariniers. «Notre vocation est d’oeuvrer pour la sauvegarde et la remise en état du mobilier de l’édifice», souligne le président, René Demaisons. L'association organisera, dimanche, un concert de haut niveau. «Ce sera une prestation de haut niveau, avec des interprètes de grande qualité», assure René Demaisons, qui espère à cette occasion boucler le financement de la restauration en cours de deux angelots du XVIIe siècle en bois polychrome. Ces pièces, très intéressantes, devraient être présentées cet été, à l’occasion de la fête des Bons Saints. Mais la démarche patrimoniale de l’association ne s’arrêtera pas là. Des éléments importants de l’église Saint-Étienne, dont la chaire baroque et le grand retable du maître-autel, ont besoin d’être rénovés. De nombreux concerts en perspective…
Nr, IndreE, 12/03, p.22

(Tours) Les tableaux en céramique de la gare seront-ils sauvés ?

Même si vous êtes habitués à traverser la gare de Tour s, vous n’avez peut-être jamais vraiment fait attention aux grands tableaux en céramique disposés de part et d’autre de la grande halle. Dix-huit œuvres de 1,20x2,40 m habillent les murs de la gare depuis… que la gare est gare ! Signés Eugène Martial ces tableaux sont «des invitations au voyage», comme le décrit Bertrand Ahier, architecte SNCF Gares & Connexions. Ces tableaux créés au moment de la construction de la gare en 1898-1899 ont aujourd’hui besoin d’être restaurés. Pour savoir si une restauration était envisageable et pour estimer son coût, un diagnostic complet a été réalisé par deux restauratrices d’art spécialisées, Annie Volka et Natacha Frenkel. Le coût de ce chantier de restauration n’est pas encore connu, mais la directrice régionale de la SNCF lance déjà un appel aux mécènes : «Une telle opération de mécénat serait une première, souligne Laurence Eymieu. Ces tableaux font partie du patrimoine collectif : les particuliers et les entreprises pourraient être intéressés de participer à sa sauvegarde.»
NR, Indre et LoireT, 12/03, p.6

(Orleans) Un ornement se détache du plafond en plein concert

Un élément du décor ornant le plafond de la salle de l’Institut s’est effondré samedi, en plein concert. Petite frayeur, samedi soir pour des spectateurs venus assister à un concert du choeur symphonique d’Orléans, à la salle de l’Institut. En pleine représentation, un morceau du décor ornant le plafond s’est effondré, tombant sur des sièges heureusement inoccupés. Les musiciens ont tout de même terminé le concert, mais la représentation du lendemain a été annulée. La conseillère municipale d’opposition, Corinne Leveleux-Teixeira (PS), s’est emparée hier de l’accident, demandant à la Ville de «s’occuper de l’état inquiétant de son patrimoine». «C’est un problème de décor et non de structure, a rétorqué Éric Valette, adjoint à la culture. La Ville a investi comme jamais depuis l’élection de Serge Grouard». Les concerts prévus dans la salle cette semaine sont maintenus. (intégral)
RC, Orleans, 13/03

Petite histoire de vieux objets

Connue pour ses romans du terroir, Jeanine Berducat est correspondante depuis janvier 2010 de l’Écho du Berry pour le canton d’Aigurande (Indre). Elle y a aussi créé une rubrique intitulée «Les objets ont une histoire, ceux qui les ont utilisés leur ont donné une âme». Cette rubrique suscite l’intérêt et la curiosité des lecteurs qui, régulièrement, envoient des anecdotes et des souvenirs liés à ces objets qui sont publiés dans la page courrier de l’hebdomadaire. Profondément attachée à ses racines paysannes, Jeanine Berducat a eu l’idée de cette rubrique en vidant une maison de famille : «J’y ai redécouvert de nombreux objets qui m’ont fait remonter des choses, dite lle. Je n’ai pas voulu faire des notices techniques, je m’appuie davantage sur le ressenti. On trouve notamment de très beaux outils. Ils avaient leur utilité, mais en plus, ils étaient beaux et faits pour durer, à la différence d’aujourd’hui.» Une sélection de quatrevingtdixneuf objets a été faite pour ce livre. Ils ont été classés par chapitres thématiques : la maison, les vêtements, les animaux, l’école, les usuels…
Le Berry, 13/03, p.8

(Chartres) Les vestiges de l’arche seront consolidés

Des travaux importants sont engagés à la collégiale Saint André jusqu’au 27 septembre. Les échafaudages sont posés depuis lundi au fond de la rivière mise en eaux basses. Grâce à cela, la Ville va conforter les vestiges de l’ancienne arche de la collégiale. De cette construction de 14 mètres de long, qui a existé entre le XIIIe siècle et 1827, il ne reste que des pierres sur le mur au dessus de l’Eure. Les pierres apparentes seront consolidées et l’échafaudage permettra de vérifier la présence d’autres pierres au fond de la rivière.
L'Echo, 13/03, p.11

(Chécy) Un livre et une expo hommage

La mairie et l’association des Amis du vieux Chécy préparent le centenaire de la guerre de 1418. Un ouvrage sera fait par la municipalité et une exposition par l’association, qui mettent leurs forces en commun pour collecter des documents et les classifier avec leurs deux équipes de travail. «Par anticipation, et suite à l’appel à projets lancé par le ministère des Anciens combattants auprès de toutes les préfectures qui l’ont relayé, la commune a postulé», explique le maire, Jean-Vincent Valliès. «Et coïncidence, l’association me portait son intention de programmer une exposition pour ce centenaire. Deux initiatives qui vont dans le même sens et que nous menons de concert aujourd’hui.»
RC, Orleans, 15/03, p.19

(Chartres) Des ponts qui renferment des trésors...

«C’est une visite à faire par beau temps», prévient Françoise Faraut, guide conférencière pour l’office de tourisme de la Ville de Chartres, en longeant l’Eure. «C’est une balade au bord de l’eau.» Et un exercice un peu physique par les tertres, en pente ou en escaliers. «Un tertre est ce qui permet de relier la ville haute et la ville basse.» Pas de détour par le tertre Saint Aignan, inaccessible depuis plusieurs années, mais par le tertre Saint Nicolas, première étape dans le parcours d’une heure trente, dédié aux ponts et aux tertres de la ville.
L'Echo, 15/03, p.6

(Tours) Ils ont la cathédrale pour dernière demeure

En ce 5 mars 2013, Mgr Jean Honoré a rejoint la douzaine de ses prédécesseurs archevêques inhumés en la cathédrale de Tours. Son corps repose dans une des chapelles dites «rayonnantes». Il est là pour l’éternité, à perpétuité. L’Église lui doit bien cela, avec la bénédiction et l’autorisation de l’État car la cathédrale est sa propriété. Dans sa petite chapelle équipée d’une chambre sépulcrale voûtée en brique réalisée début XXe, Jean Honoré est entouré de cinq autres archevêques identifiés par des plaques murales et autres stèles : Mgr Louis Ferrand, mort en 2003, Mgr Michel Moutel, mort brutalement en 1998 en prenant son petit déjeuner, Mgr Louis-Joseph Gaillard (1956), Mgr Albert Nègre (1931), grand théologien et défenseur de l’école libre, Mgr Jean-Baptiste du Chilleau (1824).
NR, Indre et LoireT, 15/03, p.11

(Amboise) Du sur-mesure au château pour la sortie du public

Il aura fallu concevoir et réaliser sur mesure le système de sortie du public situé en bas de la tour Heurtault du château d’Amboise. La mise aux normes de ce grand tourniquet de sortie imposait d’enlever le système existant pour en créer un autre, ménageant un passage de 1,4 m de large. Le travail réalisé depuis plusieurs semaines a consisté à décaisser le sol en reprenant la pente de la descente de cette tour cavalière sur une quinzaine de mètres. Une société spécialisée dans la métallerie de Tours a étudié la création d’un nouveau système de portillon de sortie à cliquet, débrayable en cas d’urgence.
NR, Indre et LoireT, 15/03, p.26

Un siècle de photographes en Touraine

Vingt ans après, voilà où on en est. J’ai bien avancé ! C’est en 1992 que le projet d’Hervé Lestang a débuté, un peu par hasard. Historien amateur, il effectuait des recherches sur les lignes de chemin de fer. Il était alors tombé sur une photographie du viaduc de Saint-Côme, situé à quelques encablures de sa résidence, à La Riche. Photo datée de 1871 et signée Gabriel Blaise, «grand photographe de Tours. J’ai commencé à travailler sur lui, et j’ai mis le doigt dans l’engrenage.» Un engrenage qui l’a amené à recenser près de trois cent cinquante personnes qui, de près ou de loin, se sont intéressées à la photographie en Indre-et- Loire. Son recueil balaie cent ans, depuis l’invention du daguerréotype, l’ancêtre de la photo, en 1839 jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale.
Nr, Indre et Loire, 13/03, p.9

(Chinon) Conférence sur Denis sculpteur avec les Amis du Vieux-Chinon

Les Amis du Vieux-Chinon proposent une conférence sur « Denis, le maître de Saint-Léonard de L’Ile- Bouchard », un sculpteur roman au XIIe siècle. Celle-ci sera donnée mercredi 20 mars, par Gérard Fleury qui présentera les oeuvres attachées à son vocabulaire et son style en Touraine du sud. Résultat d’un travail de recherche de près de quinze ans, la conférence concerne un sculpteur ou groupe de sculpteurs romans ayant oeuvré sur une zone assez réduite, centrée essentiellement sur la Touraine du sud et ayant manifesté le sommet de son art au déambulatoire du prieuré Saint-Léonard de L’Ile-Bouchard. Il s’agit d’un sujet inédit et non d’une compilation.
NR, Indre et LoireW, 13/03, p.23

(Saint-Christophe) Convention pour restaurer l’église

Nichée au cœur du petit village de Saint Christophe, à quelques enjambées du Loir, l’église nécessite quelques travaux de restauration d’enduit sur son pignon ouest. Le montant de ces travaux s’élève à 7.249 euros hors taxes. Afin de les financer, le conseil municipal a sollicité le Fonds régional pour le patrimoine culturel de proximité, destiné à la restauration du patr imoine culturel non protégé. La signature de la convention entre la commune et la Fondation du patrimoine aura lieu samedi, à 11 heures, à la mairie. (intégral)
RC, Beauce, 14/03

(Gien) Une cure de beauté pour le clocher

Le château d’Anne de Beujeau remis à neuf, la place du Château et son parking intégralement refaits dans le cadre du projet Coeur de ville, orchestré par la communauté de communes… Pour le maire de Gien Patrick Chierico, cette restauration posait un problème : le clocher de l’église Sainte Jeanne d’Arc, plus ancien, paraissent par contraste terne et gris dans ce paysage. La ville a donc envisagé, en parallèle avec le chantier Cœur de ville, ses propres projets d’embellissements de la commune. La mairie a donc profité du passage à Gien mercredi de l’architecte des Bâtiments de France, Clarke de Dromantin, et obtenu son approbation de principe en vue d’un ravalement de la tour, seul vestige de l’édifice original. L’église date de la fin du XIVe siècle, mais a été détruite dans des bombardements en 1940, à l’exception de sa tour.
RC, Montargis/Gien, 14/03, p.12

(Saint Christophe) Une souscription pour les travaux de l’église

Nichée au cœur du petit village, à quelques enjambées du Loir, l’église nécessite quelques travaux de restauration d’enduit sur son pignon ouest. Le montant de ces travaux s’élève à 7.249 ¤ HT. Afin de les financer, le Conseil municipal a sollicité le Fonds régional pour le patrimoine culturel de proximité, destiné à la restauration du patrimoine culturel non protégé. Ce fonds est alimenté par la Région Centre, la Fondation du patrimoine et les souscriptions publiques lancées par les collectivités locales afin de mobiliser le partenariat des particuliers et des entreprises en faveur du patrimoine local. La signature de la convention entre la commune et la Fondation du patrimoine aura lieu samedi, à 11 heures, à la mairie.
L'Echo, 14/03, p.18

(Verdes) Une souscription pour rénover le beffroi

Vendredi soir, à la salle des fêtes de Verdes, Marie-Françoise Crespin, le maire, a signé une convention de souscription au titre de la Fondation du patrimoine, pour la restauration de l’ensemble campanaire de l’église Saint Lubin. La restauration de cet ensemble ainsi que l’accès au clocher et la mise aux normes électriques sont estimés à 33.645 euros hors taxes.
RC, Beauce, 11/03, p.15

(Mesnil s/l'Estrée) Il faudra un million pour réhabiliter l’église

Une trentaine de personnes ont assisté à la réunion de présentation des objectifs de l’association de Sauvegarde du patrimoine mesnilois, jeudi soir, au foyer communal. Bernard Duplat, le président, à tout d’abord parlé de l’église Sainte Marie Madeleine, classée aux monuments historiques le 22 septembre 2010. Le montant total des travaux, nécessaires, intérieur et extérieur, se monte à un million d’euros. Un dossier de réhabilitation a été élaboré par l’architecte des bâtiments de France, Régis Martin. Ce travail s’étalerait sur dix à douze années, en fonction des financements obtenus. L’association envisage aussi de former un groupe pour rendre l’église présentable en la nettoyant et d’effectuer des petits travaux.
L'Echo, 11/03, p.19

(Vierzon) Patrimoine secret (9) Au temps de la fabrique de chaussures

Imaginons. Une grande usine de chaussures. Bâtie sur plusieurs niveaux. Il faut se figurer un premier étage rempli de huit machines à coudre. Cliquetant et maniées par les ouvriers cousant les souliers. Tout près, d’autres découpent des patrons dans du cuir. En bas, on façonne les semelles. Dans un magasin d’expédition, des boîtes de chaussures, innombrables, prêtes à partir. C’est à cela que ressemblait la manufacture de chaussures vierzonnaise de la rue Étienne Nivet. Aujourd’hui, les vastes salles de l’usine sont vides. Silencieuses. Elle s’est tue depuis longtemps. Mais elle se dresse toujours derrière la maison de celui qui l’a construite au siècle dernier, et qu’occupe aujourd’hui sa fille. Aujourd’hui, l’usine demeure inoccupée. La propriétaire des lieux songe même à la céder de nouveau un acheteur éventuel. Les outils du fabricant de chaussures ont disparu. «Tout est parti à la casse, depuis longtemps.» Ou presque. Sous un drap, Denise Petitjean a conservé une des machines à coudre Singer qui, jadis, peuplaient le premier étage.
Le Berry, 11/03, p.15

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Ivry La Bataille) Des groupes d’action pour le patrimoine

L’association Les Vieilles Pierres a tenu son assemblée générale, samedi, en présence de nombreux membres de l’association. Dans son rapport, le président, Jean-Louis Camuset, a rappelé l’activité du club l’an dernier, notamment avec une troisième campagne de fouilles dans la zone sud de la Grotte d u Sabotier, avec de s moyens techniques apportés par la municipalité.
L'Echo 16/03, p.22

(SARAN) Les fouilles archéologiques, sujet d’un film documentaire

Une centaine de personnes ont pu découvrir toutes les étapes des différentes fouilles archéologiques réalisées de 2008 à 2012 sur le site de la Médecinerie grâce à un documentaire réalisé par les chercheurs, dans le cadre de l’exposition « Fragment Terre ».
RC Orléans 16/03 p.21

(Saran) Sur les traces des potiers

Marcher sur les traces de nos ancêtres. Voilà ce qu’offre l’exposition «Fragments Terre», proposée par le service culturel et la Fédération archéologique du Loiret, au château de l’Étang, à Saran. Celle ci présente le bilan des fouilles archéologiques programmées et réalisées par plus de 70 bénévoles au lac de la Médecinerie, de 2008 à 2012.
RC, Orleans, 11/03, p.17

Source : latribunedelart.com

Un Jacques Blanchard identifié à Austin

Le Blanton Museum of Art d’Austin, dont nous parlerons bientôt dans le cadre de notre série Itinéraires sur le Texas, présente actuellement une petite exposition dossier sur des tableaux récemment restaurés. Parmi eux, une Danaë donnée au « Cercle de Simon Vouet » a récemment retrouvé un putto, témoin de la scène, et le Jupiter dans le ciel qui avaient été masqués par des repeints (la scène doit se situer juste avant la pluie d’or car celle-ci n’est pas visible sur le tableau).
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

Le Rijksmuseum achète un vase en argent d’Antoine Vechte

Le Rijksmuseum, qui rouvrira ses portes dans quelques jours après des travaux ayant duré près d’une décennie (nous en reparlerons), a acquis auprès de la galerie Kugel l’un des chefs-d’œuvre de l’orfèvrerie française du XIXe siècle, le vase de Neptune et de Galatée, première pièce signée par Antoine Vechte, commandée par le duc de Luynes probablement en 1836 et datée de 1843.
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Un bronze de William Theed pour le Metropolitan Museum

Grandeur nature ou presque, un bronze de William Theed l’Ancien a été acquis en 2012 par le Metropolitan auprès de la galerie Tomasso Brothers Fine Art. Il représente Téthis assise dans une coquille rapportant de la forge de Vulcain l’armure de son fils Achille. Elle semble désespérée tandis que, dans les flots, le Triton tire avec peine la coquille.
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Un tableau de Biard offert au Dallas Museum of Art

Charles Baudelaire n’aimait pas François-Auguste Biard qu’il exécuta en quelques lignes dans sa recension du Salon de 1846. Nouvelle preuve que le grand poète n’était qu’un médiocre critique. Car Biard fut un artiste aux multiples talents, un peintre voyageur qui, dans certains de ses tableaux, comme la Vue de l’océan Glacial, pêche au morse par des Groënlandais du Musée-château de Dieppe ou Magdalena Bay, vue prise de la presqu’île des Tombeaux, au nord du Spitzberg, touche au sublime au sens poétique du terme.
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Une peinture de Gustave Doré pour le Monastère de Brou

Les fées ne sont pas toujours bienveillantes et certains enchanteurs peuvent se révéler faillibles, il faut se rendre à l’évidence. C’est ce que rappelle un tableau de Gustave Doré, Viviane et Merlin, que vient d’acquérir le musée burgien. On avait pu l’admirer dans l’exposition que celui-ci a récemment consacrée à l’artiste.
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Source : latribunedelart.com

Librairie du Louvre : la RmnGP veut rassurer les éditeurs

La RmnGP a souhaité réagir à notre article qui faisait suite à une tribune signée de nombreux éditeurs, publiée par Livre-Hebdo, qui dénonçait son projet de déménager la librairie du Louvre sur la mezzanine et de faire descendre au niveau inférieur les produits dérivés.
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Source : lemonde.fr

Œuvres volées : Filippetti prône une action volontariste

La ministre de la culture veut "changer de logique" pour retrouver les propriétaires d'objets d'art spoliés pendant la seconde guerre mondiale. Dans un entretien au Figaro lundi, Aurélie Filippetti explique vouloir mettre en place une "démarche proactive". "Jusque-là, on attendait les demandes des ayants droit ou des descendants pour démarrer des procédures de recherche", explique-t-elle.
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Source : telerama.fr

Les musées s'emparent des réseaux sociaux

Facebook n'entend rien à l'art. Début mars, le musée du Jeu de Paume s'est attiré les foudres du réseau social pour avoir publié sur son « mur » une photographie de Laure Albin Guillot. L'objet du délit ? Le cliché d'une femme allongée, le bas ventre voilé d'un drap blanc, la poitrine découverte. Une étude de nu en somme très classique, mais avec un bout de sein. Scandale ! Car dans sa « Déclaration des droits et responsabilités », le géant américain interdit toute image « pornographique ou contenant de la nudité ».
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Source : lepoint.fr

À Paris, les musées font peau neuve

Encore en chantier, le musée de la Vie romantique, le musée Galliera, le musée Picasso et le musée de la Monnaie de Paris préparent leur grand retour.
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Source : liberation.fr

Les musées espagnols en mal de recettes

Faire feu de tout bois, telle est la stratégie employée par les grands musées espagnols pour survivre aux coupes budgétaires décidées par le gouvernement Rajoy. Avec 722 millions d’euros pour 2013, la culture subit une baisse de 20% en un an. Conséquence, le Prado, le Reina Sofia, et le Thyssen-Bornemisza - les trois principaux musées du pays, tous madrilènes - ont vu leurs financements réduits d’un quart à un tiers, les plongeant dans une «situation très compliquée», qui les oblige à «optimiser [leur] capacité afin de générer des revenus, en attirant plus de visiteurs et en augmentant la consommation», comme le résume Evelio Acevedo, directeur du Thyssen.
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Source : telerama.fr

Vous nous avez raconté votre folie des musées

Des queues interminables, une foule étouffante et bruyante à l'intérieur des salles, des prix trop élevés : la visite au musée n'est pas vraiment un moment de calme et de détente si l'on en croit les témoignages que vous nous avez envoyés à l'occasion de l'enquête que Télérama consacre au phénomène des grandes expos.
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Source : lefigaro.fr

Ce n'était pas Monet, c'était Boudin!

Au Musée Jacquemart-André, un tableau portant la signature du maître impressionniste vient d'être réattribué à son précurseur normand.

L'exposition que le Musée Jacquemart-André s'apprête à consacrer à Eugène Boudin réserve une surprise de taille. Le Clocher Sainte-Catherine (vers 1867) du Musée de Honfleur, depuis toujours attribué à Claude Monet, est désormais jugé de la main de ce peintre pré­curseur de l'impressionnisme. La confrontation avec un tableau «frère» venu du Musée d'art de l'université du Michigan lève tout doute.
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Source : lefigaro.fr

Henri Loyrette : sa vie, son Louvre

Avant son départ le mois prochain, le patron du plus grand musée du monde revient sur une vie dédiée à l'art. Avec humour, et parfois ironie, sincérité et sensibilité, il se livre de A à Z. Coups de cœur et confidences.
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Source : lepoint.fr

Le président du musée d'Orsay Guy Cogeval bientôt reconduit

Le président du musée d'Orsay Guy Cogeval, dont le mandat arrive à échéance, devrait être très prochainement reconduit dans ses fonctions, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier.

Sur proposition de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, acceptée par le président de la République et le Premier ministre, Guy Cogeval devrait obtenir un nouveau mandat de trois ans, selon cette source.
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Source : localtis.info

Inrap : et si les relations avec les aménageurs n'étaient finalement pas si mauvaises...

Au cours de ces dernières années, les tensions ont été nombreuses autour de l'archéologie préventive, notamment lors des assouplissements législatifs apportés à ce dispositif. Pourtant, les relations entre l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) et les aménageurs semblent plutôt meilleures qu'il y paraît.
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