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| | Revue de presse (13 - 19 mai 2013) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Mar 21 Mai - 9:46 | |
| Musées région CentreSource : Panorama de presse de la DRAC Centre(Vierzon) Le futur musée a son comité d’experts «Enfin, c’est du concret. Depuis le temps qu’on attend ce musée.» C’est ce que pense Roger Coulon, représentant des associations intéressées par la création de celui ci, par le biais de sa présidence au sein des Amis du musée. Il est l’un des sept membres du comité scientifique et culturel du futur musée de Vierzon qui s’est réuni pour la première fois en avril. Six membres sur sept, des universitaires et professionnels du patrimoine, venus de toute la France, parfois originaires de Vierzon, étaient présents. Tous ont ressenti ce «consensus» autour du projet : mettre en valeur «la mémoire ouvrière» et «la mémoire du travail» par le biais de l’histoire industrielle et sociale de Vierzon. «Il s’agit de remettre tous les objets, outils, machines dans leur contexte», selon Michel Pigenet, autre membre, et professeur d’histoire à la Sorbonne. C’est lorsqu’il a enseigné aux deux lycées de Vierzon, Brisson jusqu’en 1973 et Vaillant jusqu’en 1984, qu’il a réalisé « l’essentiel des recherches» sur l’histoire du travail et des mouvements sociaux de la région. + «Il y avait beaucoup de retard, il est temps de faire parler les collections» Le Berry, 10/05, p.20 La “ Libération à Blois ! ”se joue ce soir Dans le cadre des commémorations du 8 Mai 1945, le musée de la Résistance, de la Déportation et de la Libération en Loir-et-Cher organise une représentation de la déambulation théâtralisée Libération à Blois ! ce soir. Ce sera l’occasion de rencontrer à nouveau les personnages qu’habite Madeline Fouquet, Polyte, Eglantine, Gabriel et qui libèrent Blois. Le spectacle comporte quatre scènes en quatre lieux de Blois dont le château et un quai de Loire. Le scénario est identique à celui des années précédentes même si quelques modifications subtiles apparaissent au fil des ans dans le jeu de Madeline, l’actrice principale. Cette année, elle sera secondée par onze figurants bénévoles séduits par l’aventure. NR, Loir-et-CherN, 10/05, p.13 (Orleans) Provisoirement non déportablesLa nouvelle exposition, conçue par l’équipe du Cercil musée mémorial des enfants du Vel d’Hiv et intitulée «Provisoirement non déportables» «conjoints d’aryenne», sera inaugurée ce soir, à 18 heures, en présence d’Hélène Mouchard-Zay, la présidente du Cercil et de Bernard-Jean Rosier, le président de l’Amicale des anciens déportés politiques sur l’île anglo-normande d’Aurigny. Cette exposition présente un aspect peu connu de la Seconde Guerre mondiale et de la Shoah : la déportation des internés juifs dont certains venaient des camps du Loiret sur l’île anglo-normande d’Aurigny. L’inauguration sera suivie d’une conférence animée par les historiens Benoît Luc et Catherine Thion. Le public pourra découvrir ce pan de l’histoire jusqu’au dimanche 10 novembre. (intégral) RC, Orleans, 14/05(Romorantin) Le musée automobile Matra joue les stars Mais que faisait donc cette Matra Muréna ce weekend de l’Ascension affublée de multiples microcaméras, dans les rues du centre-ville de Romorantin ? C’est la question que se sont sûrement posée des passants lorsqu’ils ont remarqué le superbe coupé rouge, roulant à faible allure… Eh bien c’était pour les besoins d’un reportage à la gloire de Matra et de son musée automobile. «Je suis spécialiste des véhicules historiques d’après les années cinquante. Voir rassemblés dans un même lieu les mythiques bolides bleus et les Alpine, c’est formidable», souligne Jean-Claude Pro, producteur-réalisateur indépendant orléanais. Nr, Loir et CherS, 14/05, p.16(Orléans) Une exposition unique en France présentée au Cercil : Déportés sur l’île d’Aurigny…Intitulée « Provisoirement non-déportables », cette exposition retrace la déportation de juifs mariés à des non-juives sur l’île anglo-normande d’Aurigny. RC Orléans 16/05, p.12 (Région) Dans l’intimité de Péguy, Jacob ou BalzacLes auteurs du guide littéraire aujourd’hui à la médiathèque... L’argument est évident : quelle région française peut se flatter d’avoir vu naître Rabelais, Proust, Ronsard, Balzac, Alain-Fournier, Max Jacob… et de compter près d’une vingtaine de maisons d’écrivain et musées littéraires ouverts au public ? Bienvenue en région Centre qui, avec son patrimoine littéraire foisonnant, fait figure d’exception. RC Orléans 16/05, p.12(Romorantin) Une équipe de Télématin au Musée automobile MatraC’est un superbe musée. Il est clair et donne envie de s’y promener. Réunir autant de bolides dans un même lieu, cela me rappelle tellement de souvenirs… Ici, les voitures sont exposées avec un vrai sens de la mise en scène. C’est un vrai musée vivant. Séquence émotion, hier matin pour Anne-Christine Horent, invitée d’honneur au musée automobile Matra. Les téléspectateurs fidèles de l’émission de France 2, Télématin, présentée par William Leymergie, connaissent bien cette pétillante journaliste spécialisée dans l’automobile, ses tests de véhicules et ses conseils pour bien choisir et entretenir sa voiture. Nr, Loir et CherS, 17/05, p.18(Ferrières en Gâtinais) Une exposition sur les estampes Parallèlement à son exposition permanente «Mains et merveilles du Gâtinais», la Maison des métiers d’art entraîne cette année le public vers le monde de l’estampe en accueillant, jusqu’au 1er septembre, l’exposition itinérante «Ici et là, estampes contemporaines». Elle a été inaugurée jeudi. Les représentants des municipalités, associations et du conseil régional de sud Seine et Marne étaient au rendez-vous. L’exposition présente une soixantaine d’œuvres, éditées par huit associations membres de la fédération nationale de l’estampe, Manifestampe, dont plusieurs personnalités éminentes étaient présentes : l’Actualité de l’estampe, l’Amateur d’estampes contemporaines, l’atelier Bo Halbirk, Estampadura, Graver maintenant, la Gravure contemporaine, la Gravure originale et le Trait. RC, Montargis/Gien, 18/05, p.9(Pithiviers) Deux jours à bord du Festival vapeur Ce dimanche et lundi, quelles que soient les conditions météorologiques, une vingtaine de bénévoles du Musée des transports de Pithiviers iront au charbon, avec le sourire. Car le premier Festival vapeur est l’occasion pour ces passionnés de sortir des hangars un bon nombre de matériels qu’ils n’utilisent que rarement. De quoi surprendre ceux qui connaissent déjà certains trésors de la rue Carnot et poursuivre l’objectif, la priorité même, de l’Association du musée des transports de Pithiviers (AMTP) dirigée par Alain Elambert : maintenir un «chemin de fer vivant», au sein d’un établissement attractif. Pour résumer, le programme du festival va mettre en œuvre la quasi totalité du parc roulant. RC, Orleans, 19/05, p.14 (Artenay) Toute une vie de saltimbanque
Un cadre insolite et une thématique originale. C’est dans une ancienne et magnifique ferme beauceronne du XVIIe siècle, la ferme du Paradis, à Artenay, que s’est installé, en 1995, le musée du Théâtre forain. Dans la cour, une roulotte aux volets rouges donne le ton. Ici, le visiteur va parcourir quatre siècles d’histoire du théâtre itinérant et découvrir la vie de ces comédiens qui ont sillonné les routes de France et de Navarre jusqu’au milieu des années 70. «Car par forain, il faut entendre “en dehors de”», explique d’emblée Benoît Tétu, directeur du musée. «Les théâtres étaient ainsi des baraques entièrement démontables», poursuit il, le doigt pointé vers une maquette du théâtre Créteur Cavalier, visible à l’entrée du bâtiment. Après le montage du théâtre vient ainsi l’heure de la parade. Et le musée présente une très belle terre cuite prêtée par le musée des BeauxArts d’Orléans, où l’on retrouve, entre autres, la figure de l’aboyeur. Carnets de notes, cahiers et photos de classe, cette autre vitrine témoigne de la vie scolaire de ces enfants de la balle… RC, Orleans, 19/05, p.24(Vierzon) La locomotion à vapeur rejoint le musée Plus vaste et plus lumineux. Même si moins d’objets sont exposés, les premiers visiteurs de l’espace dédié à la locomotion à vapeur, dans les locaux occupés encore pour un mois et demi par l’office de tourisme, ont apprécié les nouveaux aménagements. Samedi, profitant de l’opération Nuit des musées, la visite inaugurale a permis de redécouvrir le musée Laumônier. Des objets ont été sortis des réserves, comme des petits trains miniatures exposés dans des vitrines. Les affiches publicitaires vantant les voyages par le rail, les reproductions de cartes postales anciennes de la ville et de la gare, les nombreux documents et maquettes, les panneaux explicatifs… sont agencés de manière plus lisible. En quittant ses anciens locaux situés quelques mètres plus loin, où le musée était resté dans son jus, comme l’avait créé Raymond Laumônier, ancien chef de gare, il perd un peu de son charme. Mais désormais, le chemin de fer, qui joue un rôle important dans l’histoire de la ville, a rejoint le lieu du futur musée qui réunira l’ensemble du patrimoine industriel. + Les donateurs des collections invités Le Berry, 20/05, p.10(Châteaudun) Les insectes font leur nid au musée Au premier abord, ces petites bêtes là ne semblent pas très sympathiques. Mais l’exposition qui vient de s’installer au musée des beaux arts et d’histoire naturelle de Châteaudun pourrait bien faire changer d’avis les visiteurs. Intitulée Mille milliards d’insectes et nous, et nous, et nous ! cette exposition, conçue pour un public familial, se penche sur le petit peuple de l’herbe, du sol, de l’eau et de l’air pour en dévoiler tous les secrets. Réalisés par l’Espace des sciences de Rennes (Ille et Vilaine), les dix neuf panneaux de l’exposition itinérante s’affichent aux côtés des collections d’insectes séchés du musée municipal dunois et du Muséum d’Orléans (Loiret). Le laboratoire d’analyses médicales de Châteaudun a fourni les boîtes de Pétri dans lesquelles sont conservées des ailes de papillon et d’autres parties du corps d’insectes, à découvrir sous la loupe binoculaire mise à disposition du public. Le service des espaces verts de la Ville de Châteaudun a également participé en prêtant les nichoirs à insectes que les agents avaient fabriqués l’année dernière pour les jardins d’été. Le Berry, 20/05, p.16(Chécy) Rencontre avec les artisans maîtres d’arts au musée Les artisans de l’association «L’Art et la manière», de Ferrières-en-Gâtinais, dans le Montargois, proposent, jusqu’au 23 juin, une exposition art déco. Organisée au musée de la Tonnellerie, elle a lieu dans le cadre du printemps des Années folles. C’est, pour les visiteurs, l’occasion de découvrir la reconstitution d’un salon d’époque. Par ailleurs, les professionnels accueilleront le public qui désire découvrir leur art, leur métier et leur savoir faire, lors d’un après midi d’échanges, samedi 25 mai, à partir de 15 heures, dans le musée. RC, Orleans, 12/05, p.11 (Dordives) Un maître verrier à découvrir Le musée du verre de Dordives accueille le verrier hollandais Louis La Rooy, venu exposer ses œuvres jusqu’au 25 août. Après avoir exposé à Londres, Curaçao, Galerie Ludwig Trossaert en Belgique, Louis La Rooy a répondu à l’invitation d’Edwige Sauzon Bouit, directrice du musée dordivois. Né en 1947, à Amsterdam, Louis La Rooy a mis son talent au service de la Glasindustrie Van Tetterode, à Amsterdam, avant de se consacrer à ses propres créations. Pendant quarante ans il dessine et réalise des projets monumentaux (vitraux, obélisques de verre, etc) à la demande d’architectes et de designers de renommée internationale. Depuis une dizaine d’années, il développe son propre univers artistique. C’est la découver te de nouvelles techniques de travail du verre, notamment celle du rollup, qui conduit cet artiste sur le chemin de la création. RC, Pithiviers, 11/05, p.9(Bourges) Cette générosité fait les musées Une collection de poupées en celluloïd, dont la (seule) valeur, est d’avoir été habillées avec des mains de fée par une maman modeste et attentive. Une série de plus de 1.200 pièces d’or, d’argent, bronze et autre alliage, monnaies antiques provenant de fouilles sur les terrains d’une famille berruyère. Ce sont là deux exemples de dons proposés aux musées de Bourges qui, depuis 1835, par des excès de générosité, ont constitué leurs fonds patrimoniaux, leur particularité, leur force aussi, jusqu’à aujourd’hui, et pour demain. Le dernier don, ce sont ces monnaies qui sont venues grossir la collection numismatique berruyère. «Les musées ont bénéficié de donations dès 1835, de la générosité des artistes, comme François Hazé et Jules Dumoutet qui ont donné des collections de leurs œuvres. Le conservateur des musées, Claude Denis Mater, entre 1846 et 1865, son fils ensuite, Daniel Mater, qui a démarré le cabinet numismatique, fait aujourd’hui de 17.000 monnaies au total. Entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, Demonferrand, Bourlon et Saint Venant ont alimenté le secteur archéologique et préhistorique. En 1946, Georges Hecq a fait ce legs des six Rodin, initiant le musée des Arts décoratifs». Le Berry, 11/05, p.9 + 12/05, p.14 (Saint Amand) Le musée Saint-Vic sera réaménagé «Si je veux aller visiter une exposition au musée Saint Vic, c’est pour moi le début de la galère». Pour Paul, un Saint Amandois qui se déplace en fauteuil roulant, le constat est amer. Il est presque impossible pour lui de rentrer dans l’ancienne prison, devenue le musée local. «Pour aller jusqu’à l’accueil, il y a des marches. Soit, il faut me porter, soit je reste dans le jardin. Et je dois de toute façon faire une croix sur les salles d’exposition de l’étage à cause de l’escalier en pierre», regrette l’amateur d’histoire. Ce point noir de l’accessibilité du musée Saint Vic devrait disparaître dans quelques mois. Un projet de rénovation et de réaménagement des lieux est sur le bureau de Thierry Vinçon. «Quand je suis devenu maire, j’ai eu le sentiment que ce musée ne fonctionnait pas bien, résume l’édile. Son problème est son agencement, ce sont des petites pièces en enfilade, pas bien éclairées. Le souci est que l’on ne peut pas pousser les murs…» Refaire le chauffage, l’électricité Une étude est donc menée actuellement avec l’architecte des bâtiments de France et la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) pour remanier totalement le musée. Et le mettre aux normes. Le Berry, 11/05, p.9 Source : l'Echo républicainDeux nouvelles expositions ouvertes(Epernon) Deux nouvelles expositions à découvrir au conservatoire (PV). En plus des trois expositions habituelles, visibles toute la saison d'ouverture, les visiteurs peuvent cette année admirer une toute nouvelle exposition permanente sur la vie d'une carrière et l'évolution... Lire la suite
Dernière édition par valerie.sauvion le Mar 21 Mai - 14:32, édité 8 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Mar 21 Mai - 9:47 | |
| Archéologie région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Lutz-en-Dunois) Deux millions d’années dans son grenier
Plus de deux millions d’années d’histoire de l’homme sont conservées dans le grenier de son pavillon dunois. André Huchet, 83 ans, dévoilera son trésor pour la première fois au public, aujourd’hui, lors de la foire exposition de Lutz en Dunois. Bifaces, pointes d’arches, hampes de flèches, racloirs… André Huchet a rassemblé plus de 2.000 outils, qu’il a découverts dans l’Yonne, dans son champ de Saint Privé. Natif d’Autheuil, André Huchet, est parti dans l’Yonne en 1962, avec sa femme, pour devenir agriculteur. Il cultive de la céréale sur une parcelle de quarante hectares. Par un beau matin de 1985, il fait une découverte extraordinaire qui va changer le cours de sa vie. «Jusqu’en 1985, j’ai cultivé ma terre, sans rien remarquer. Je foulais tout ce patrimoine sans m’en apercevoir. Un matin, je laisse mon tracteur dans un coin du champ, et je tombe sur une première pierre, un biface. Je la mets dans ma poche et je retourne travailler. Puis j’en trouve une seconde. À cette époque je ne connaissais rien à la préhistoire. Cela a beaucoup changé depuis.» L'Echo, 09/05, p.19
(Eure et Loir) Des fouilles racontées
Les fouilles archéologiques autour de la déviation de Prunay-le-Gillon/Allonnes ont coûté 3,8 millions d’euros. Elles ont été largement évoquées pendant l’inauguration, lundi. Le déplacement du projet, qui a entraîné un retard d’un an, avait pour but de protéger la nécropole mérovingienne de 3.000 tombes mise au jour par l’Institut régional de recherches archéologiques préventives (Inrap). Dans le bus inaugural, le responsable de l’Inrap, Thierry Massat, a détaillé les fouilles réalisées depuis 2008, insistant sur le fait qu’elles ont permis d’établir les premières traces des agriculteurs dans cette zone dès le Ve siècle. Les équipes de l’Inrap viendront l’expliquer directement aux habitants des communes traversées au cours de conférences prévues avant la fin de l’année. (intégral) L'Echo, 19/05
Dernière édition par valerie.sauvion le Mar 21 Mai - 11:48, édité 2 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Mar 21 Mai - 10:08 | |
| Patrimoine région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Saint Jeanvrin) L'église Saint-Georges, un édifice classé
L’église de Saint Jeanvrin est un bijou du patrimoine du Berry. Le cliché date de 1907. Si ses abords ont bien changé, l’édifice, quant à lui, demeure rigoureusement authentique. Fleuron de l'art roman en Berry, l'église a été érigé au XIIe siècle, bien que ses fondations remontent au siècle précédent. A l'époque, l'église était rattachée à l'abbaye de Déols, près de Châteauroux. Classée au patrimoine des monuments historiques depuis 1911, l'église est célèbre pour le triptyque qu'elle renferme, une œuvre à trois volets peinte au XVIe siècle et restaurée depuis. Sa large nef à trois travées vaut le coup d’œil. Bien moins connu, le nom de l'église : elle est baptisé Saint Georges. Le Berry, 08/05, p.16
(Bourges) Le Repos de la Sainte Famille de retour
La restauration du mobilier de la cathédrale de Bourges se poursuit. La dernière opération en date est la restauration d’un tableau du XIXe appelé le Repos de la Sainte Famille. Le coût des travaux s’élève à 18.155 euros, entièrement financés par l’État. Cette huile sur toile représente la Vierge endormie assise avec l’enfant Jésus sous un palmier portant des dattes. Joseph est présent auprès d’eux, appuyé sur une statue de sphinx dont la tête de pharaon, brisée, repose sur le sol. L’oeuvre avait quitté la cathédrale le 19 avril 2012. Il est revenu le 7 mai dernier. Le tableau avait été victime d’un «important empoussiérèrent et encrassage, notamment au revers de la toile où des gravats se sont accumulés», avait relevé la direction régionale des Affaires culturelles (Drac) en 2012. Par ailleurs, la structure du cadre présentait «une altération importante des assemblages». Le Berry, 15/05, p.12
(Farges-Allichamps) La Commanderie aux enchères en juin
Entre les arbres centenaires qui le protègent et les herbes hautes qui ont investi le parc, le château de la Commanderie attend un propriétaire. Après la vente aux enchères en novembre dernier de tous les meubles et bibelots du château, ce sera au tour des bâtiments et du parc, le 19 juin prochain, au tribunal de Bourges. Le bâtiment, les dépendances et le parc sont mis à prix 500.000 euros. + D’importants travaux, notamment de toiture, sont à prévoir Le Berry, 15/05, p.26
(Loches) Hôtel au palais de justice : on vous ouvre les portes
Petits stores en façade, deux terrasses en entrée, une extension Pmoderne derrière et sur les côtés du bâtiment… Le projet de l’architecte lochois Jean Baillet (cabinet ARC A3 sud-Touraine) et du promoteur François-Régis Bouyer (BNC, Bâti Nantes Construction) veut redonner du lustre au palais de justice en gardant la majesté de l’édifice du XIXe siècle. Venu lundi à Loches, le maître d’ouvrage a enchaîné les rendez vous dont un avec le maire Jean-Jacques Descamps. La NR a profité de cette occasion pour en savoir plus sur les intentions du futur acquéreur du tribunal, mis en vente par le conseil général depuis 2009. Un permis de construire a été déposé en mairie en mars dernier. Le projet architectural a déjà obtenu le feu vert de l’Architecte des bâtiments de France. Tout semble donc bien se présenter pour transformer le palais d’instance en hôtel trois étoiles. Seule la majorité municipale refuse ce projet en l’état. Nr, Indre et LoireT, 15/05, p.25
(Chartres) Saint-Pierre défend son église
Présidé par Jean-Paul Belloy depuis quinze ans, le comité d u quartier Saint Pierre Porte Morard est la version moderne d’un comité des intérêts de la basse ville créé autour de 1900. Forte d’une centaine d’adhérents, l’association s’est surtout développée depuis plus de quarante ans autour de deux axes : la défense et la sauvegarde du vieux Chartres et l’ouverture aux habitants du quartier sous forme d’animations. L’équipe actuelle veut revaloriser son église. L'Echo, 08/05, p.10
(Néron) L’église Saint-Léger ouvre les dimanches
Pour la 3e année consécutive, l’association Néron, Vie et Patrimoine, présidée par Françoise Lhopiteau, ouvre les portes de l’église Saint Léger de Néron, le premier dimanche de chaque mois, de mai à septembre, de 14 à 17 heures. L’église Saint Léger date du XIe siècle, notamment pour sa nef principale, le mur nord et les deux pignons. La nef latérale, elle, daterait du XVIe siècle. L’association Néron, Vie et Patrimoine œuvre pour la restauration de l’église, de ses statues et de ses magnifiques boiseries du Xe siècle. Les personnes désirant soutenir l’association peuvent s’adresser à la mairie de Néron. L'Echo, 08/05, p.19
(La Ferté Vidame) La chapelle de Réveillon est ouverte
Organisées par l’office de tourisme, que préside Jacques Jahandier, les visites guidées ont repris dimanche à la chapelle médiévale de Réveillon. La chapelle a fait l’objet d’une importante restauration, et d’une mise à jour de ses peintures murales naïves du XVIe siècle, qui sont classées à l’inventaire des Monuments historiques. Le grand intérêt de ces peintures, le charme architectural de l’édifice et l’agrément paysager du site de Réveillon, havre de paix bercé par le ruisseau du Buternay, justifient l’organisation de visites guidées et commentées par des membres de l’office de tourisme de l’Orée du Perche. L'Echo, 08/05, p.21
(Luigny) 10.000 € pour les travaux de l’église
«Je tiens à vous remercier une fois encore, vous amis de Saint Jean Baptiste ainsi que vos adhérents et vous Fondation du patrimoine car vous venez de lancer une étape importante dans la restauration de cette église qui est la fierté de notre village», a souligné Michel Ricoul, maire de Luigny, lors de la remise du chèque de 10.000 € à Henry Réau, délégué de la Fondation du patrimoine. L’association des amis de Saint Jean Baptiste a été créée en 2008. Depuis, elle œuvre pour la rénovation de l’édifice. L'Echo, 08/05, p.30
(Val de l'Indre) Une visite préfectorale importante
Le préfet de l’Indre, Jérôme Guitton, a passé sa journée de lundi auprès des élus de la Communauté de communes (CDC) Val de l’Indre – Brenne. Une journée chargée pour le représentant de l’État mais qui fut riche en enseignements. «J’ai pu constater que cette communauté de communes est très active, avec beaucoup de réalisations et de projets. Nous avons terminé par ce très beau projet de restauration d’un patrimoine exceptionnel à l’abbaye de Méobecq», expliquait le préfet. NR, IndreE, 08/05, p.13
(Azay le Rideau) Gérard de Nerval investit le château
Le Centre des monuments nationaux propose des rendez-vous conviviaux et sensibles, associant la beauté d’un haut lieu du patrimoine à celle de textes d’œuvres classiques ou contemporaines. Dans ce cadre, en partenariat avec le Centre dramatique régional de Tours, le château d’Azay-le-Rideau a proposé une lecture de «Sylvie» de Gérard de Nerval. Il accueillera Alexandre Dumas avec «Mille et un fantômes», samedi 25 mai et «Le Grand Meaulnes» d’Alain Fournier sera présenté samedi 29 juin. NR, Indre et LoireW, 08/05, p.22
(Chartres) Retards à Saint-Martin-au-Val
«C’est un travail long et délicat», explique Patrick Géroudet, adjoint au maire de Chartres en charge du rayonnement de la Ville, à propos des travaux de restauration des charpentes et des toitures. «Toutes les charpentes et toutes les toitures de l’église abbatiale Saint Martin au Val ont été refaites à neuf depuis cinq ans. Les travaux ont été plus longs que prévus.» Fermée au public depuis tout ce temps, l’église, située dans le quartier Saint Brice, aurait dû rouvrir en fin d’année mais «l’enduit et l’électricité ne devraient être faits que l’année prochaine». Auparavant, le service Archéologie de la Ville sera intervenu pour mettre à jour des données scientifiques recueillies en 1860. L'Echo, 09/05, p.9
(Romilly sur Aigre) Les habitants se sont mobilisés pour l‘église
Les travaux de restauration des deux tours de l’église Saint Pierre, qui domine le village de Romilly sur Aigre, ont été inaugurés, samedi. Comme l’a rappelé Philippe Gasselin, le maire (sans étiquette) de la commune, une souscription publique a été lancée au printemps 2011 pour la rénovation de la toiture des tours, car la chute des tuiles et des ardoises en rendait l’accès dangereux. Une restauration qui a été rendue possible grâce à la mobilisation des riverains et au concours de la sauvegarde de l’art français et de la fondation du patrimoine, ainsi que des parlementaires locaux, le sénateur (UMP) Joël Billard et le député (UDI) Philippe Vigier, de la Région Centre et du Conseil général d’Eure et Loir. L'Echo, 09/05, p.21
(Bourges) Une nuit pour connaître la cathédrale
Faire connaître la cathédrale au plus grand nombre : voilà l’objectif de la Nuit des cathédrales, qui aura lieu samedi 11 mai dans plusieurs cathédrales françaises. À Bourges, il s’agira de la quatrième édition. Le public pourra déambuler dans la cathédrale de 20 heures à minuit. Visites de l’édifice et concert d’orgue seront notamment proposés. La grande nouveauté sera la mise en place d’un parcours découverte pour les enfants, de 17 à 18 heures. + Trente cathédrales participantes en France, en Belgique et au Luxembourg Le Berry, 10/05, p.16
La Bussière, un lifting à l’américaine
Le château de La Bussière classé monument historique vient d’être désigné lauréat 2012 du prix de la restauration porté par «La Demeure historique», association créée en 1924, dont la mission est de venir en aide aux propriétaires privés dans la gestion de leur monument. Une initiative soutenue par la French Heritage Society, qui regroupe d’importants mécènes nord américains. La remise officielle de cette distinction aura lieu jeudi 30 mai, au château. Grâce à cette manne financière (des États Unis pour une part non négligeable), renforcée par des aides publiques, le château de La Bussière, situé à l’est du département, a vu sa toiture restaurée, côté cour. Reste encore à intervenir sur le toit côté étang, sur les épis, les menuiseries… Les tempêtes de 1999 et 2002 avaient considérablement détérioré l’édifice. (intégral) RC, Orleans, 10/05
(Aillant sur Milleron) La 4C installe des panneaux touristiques
La communauté de communes de Châtillon Coligny avait pris la décision d’installer une signalétique touristique sur le territoire intercommunal. C’est Jean-Pierre Kuntz, adjoint à la mairie de Montbouy et vice président chargé de la commission communication et information qui a piloté cette opération. Depuis quelques jours, l’entreprise Colaut de Villemandeur a installé les 13 premiers panneaux, appliqués sur les façades ou à proximité des sites ou monuments dans différentes localités du canton. Ces panneaux reprennent en haut et sur la gauche, le sigle de la 4C, et à droite le blason de la commune concernée. Des stèles seront bientôt implantées à l’amphithéâtre de Montbouy, au Charme pour Becquerel et à l’Abbaye de Fontainejean à Saint Maurice sur Aveyron. (intégral) RC, Montargis/Gien, 10/05
Avis des lecteurs “ Un examen radioactif ” pour les Caravage ?
A la suite de nos articles concernant l’authenticité des deux tableaux exposés à Loches dont la municipalité défend qu’ils sont de la main du Caravage, ce qui fait débat parmi les experts (NR des 30 avril et 4 mai), un lecteur de Loches, Christian Beuste, s’interroge : «Pourquoi n’a-t-on jamais soumis ces tableaux à un examen radioactif par bombardement par neutrons. Un examen qui, en scrutant les zones sombres, avait permis de déceler de faux Rembrandt, dont le célèbre “ Homme au casque d’or ” ! Certes, cet examen radioactif doit être fort onéreux. Mais combien ont coûté les campagnes promotionnelles ? La vérité fait-elle peur ? Est-elle moins rentable que le doute ?». (intégral) NR, Indre et Loire, 10/05
(Montbazon) A la forteresse de Montbazon le visiteur devient chevalier
Le ton est donné dès l’accueil de la forteresse : une musique d’ambiance très médiévale s’échappe d’un haut parleur et les tenanciers de la billetterie sont en costume d’époque. En pénétrant dans l’enceinte, le visiteur est tout d’abord marqué – pour ne pas dire imprégné – par une forte odeur de brûlé. La forge est en activité. D’autres métiers du Moyen Age sont représentés : les échoppes du potier, du cirier, du calligraphe, du vannier, du bourrelier, etc. sont installées dans la basse cour, par opposition à la « haute cour » où se trouvent le stand de tirs à l’arbalète et la réserve du maître d’armes. A chacun de ces points le visiteur est accueilli par un animateur (en tenue médiévale). La plupart sont bénévoles et s’investissent au sein de l’association Les Chevaliers du faucon noir. Nr, Indre et LoireT, 10/05, p.7
(Saint Etienne de Chigny) “ Brasse-Bouillon ” sauvé des eaux
Après six mois passés en position retournée sur la berge du « Bouge-au-vin », « Brasse-Bouillon », la toue cabanée des Bateliers de Saint-Étienne-de-Chigny, est à nouveau à f lot , après une opération de mise à l’eau, reportée toutefois de deux semaines suite au retard accumulé en raison des conditions météorologiques. «Après dix-neuf ans d’existence, la rénovation de “ Brasse-Bouillon ” était devenu nécessaire. Équipée de sa double coque, elle est aujourd’hui prête à écrire une nouvelle page de navigation de Loire», indiquait Bruno Joly, le président des bateliers. Au final, le froid, la pluie et la neige n’auront pas eu raison de la motivation des bateliers, qui ont ajouté près de 800 kg de chêne et plus de 5.000 clous avant d’étanchéifié la coque à l’aide de goudron végétal. Nr, Indre-et-LoireT, 10/05, p.17
(Gien) Des dollars pour restaurer le château
Le château de la Bussière se fait une renommée internationale : des mécènes américains, charmés par l’édifice et le dynamisme de ses propriétaires, ont décidé d’apporter leur contribution financière aux travaux de restauration de la toiture. Fin mai, la French Heritage Society (association du patrimoine français) remettra le prix de la restauration 2012 à Laure et Bertrand Bommelaer, qui gèrent le château. Ils recevront ensuite 30.000 dollars à la fin des travaux. «Nous les avons choisis pour plusieurs raisons, explique Isabelle de Laroullière, en charge du suivi des projets de restauration à la French Heritage Society. Tout d’abord l’énergie et l’enthousiasme des propriétaires, qui sont en charge depuis un an, prennent tout en charge et ont même choisi de s’installer au château ; ensuite, la beauté du patrimoine architectural ; et enfin l’ouverture du bâtiment au public avec des animations, la création d’un potager : plus qu’un musée, c’est un monument qui vit, dans le passé et dans le présent, et dans lequel on a beaucoup à apprendre.» De leur côté, Laure et Bertrand Bommelaer sont enthousiastes : cette manne financière vient compléter les subventions de la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) et du conseil général qui financent les travaux à près de 60%. «C’est l’appoint supplémentaire qui rend les travaux possibles», soulignent ils. RC, Montargis/Gien, 14/05, p.12
(Condé sur Huisne) En images
Ces derniers jours, les charpentiers et couvreurs étaient sur le toit de la sacristie de l’église, dont le clocher et le coeur sont inscrits à l’inventaire des Monuments historiques. Ces réparations, qui vont permettre de sauvegarder l’édifice, sont financées par la commune. (intégral) L'Echo, 14/05
(Richelieu) Les trésors cachés du cloître
Cherchez, prenez de la peine, un trésor est caché dedans ! A l’image de la fable du laboureur et ses enfants, c’est ce que fait Yves Lamorre, conseiller municipal, dans les combles du cloître des Lazaristes, attenant à l’église Notre-Dame. Il s’est ému très tôt, de l’état d’abandon d’oeuvres littéraires rares et anciennes de l’exceptionnel fonds des Lazaristes – composé notamment d’un exemplaire de l’encyclopédie Diderot et d’Alembert, ouvrage majeur du XVIIIe siècle. Si plusieurs éditions ont été réalisées, celle retrouvée à Richelieu est la toute première du genre, et se trouve complète avec ses trente-cinq volumes et ses nombreuses planches annexées. Le travail rédactionnel et éditorial est considérable pour l’époque. La précieuse collection est actuellement en cours de restauration. Il en coûtera environ 10.000 euros pour refaire les cuirs et dorures des couvertures. La majeure partie est prise en charge par la Drac, l’Association des amis de Richelieu participe également par un don. Le retour des précieux ouvrages est prévu pour la fête du patrimoine, en septembre. Nr, Indre et LoireW, 14/05, p.21
(Cheverny) Le drôle de “bar à papa” avait appartenu à Mazarin
Combien pour ce coffre laqué japonais ? Au minimum 200.000 €. Ce sera le montant de sa mise à prix. Mais au vu de l’intérêt mondial que suscite le lot vedette de la prochaine vente aux enchères de Cheverny, nul ne se risque à émettre un pronostic sur le chiffre de l’adjudication. «Il n’existe aucun élément de référence pour étayer une expertise» soulignent Aymeric et Philippe Rouillac. «L’objet est unique. Son origine prestigieuse. Sa valeur artistique inestimable». Depuis 1970, le meuble servait de bar à un ex-ingénieur pétrolier retiré en Val de Loire, qui l’avait acheté à son propriétaire londonien pour une bouchée de pain. Le «bar à papa» fut un sujet de plaisanterie pour les enfants jusqu’au jour où Philippe Rouillac, de passage dans la maison, y jeta un oeil intéressé. L’enquête quasi policière conduite par son fils Aymeric devait bientôt révéler le pot-aux-roses : le meuble provenait de la collection privée du cardinal de Mazarin (l’homme le plus fortuné de son temps). Il faisait partie d’une commande passée en 1640 aux ateliers impériaux du Japon par la Compagnie hollandaise des Indes et vendue aux enchères à Amsterdam quelques années plus tard. Nr, Loir et Cher, 14/05, p.3
(la chapelle-saint-martin-en-plaine) Une souscription pour la chapelle
Mardi avait lieu la signature d’une convention entre la municipalité de La Chapelle-Saint-Martin, représentée par le maire, Joël Moreaux, et la Fondation du Patrimoine, représentée par sa déléguée départementale, Pascale Desurmont. Il s’agissait d’officialiser un partenariat relatif à la restauration de la petite église Saint-Vincent du Villiers. Ce monument est à la fois modeste et remarquable : il est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 2010 et les peintures murales de l’abside ont été classées Monuments historiques depuis 1948. On y entre par un cimetière désaffecté aux croix de fer dispersées sur une pelouse naturelle qui ajoute au charme romantique de l’endroit. Mais le bâtiment est en mauvais état. Les fresques ont été recouvertes d’un badigeon de plâtre. Elles sont, par ailleurs, menacées d’effacement par les infiltrations du toit. Les travaux sont estimés à 317.388 euros TTC, somme considérable pour une commune comme La Chapelle-Saint-Martin. Nr, Loir et CherN, 14/05, p.13
(Bourges) Et la cathédrale s’anima en pleine nuit
Le temps d’une nuit, la cathédrale de Bourges a vécu comme en pleine journée. Ce samedi, la septième édition de la Nuit des cathédrales sublimait trente édifices, en France, en Belgique et au Luxembourg. Des animations, visites et illuminations pour voir d’un autre œil les monuments. Pour la deuxième année consécutive, Bourges était de la partie, sous l’impulsion de l’association les Amis de la cathédrale. Dès 20 heures, Stéphane Maritaud, vicaire général du diocèse de Bourges, a accueilli les visiteurs. Plusieurs centaines de personnes ont répondu présent. Le Berry, 13/05, p.7
(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (17) Chapelle disparue et église engloutie
Il était un temps, à l’époque médiévale et moderne, où les chapelles chrétiennes étaient légion à Vierzon. Comme dans bien des villes. Des vestiges ? Il n’en subsiste guère. De la chapelle vouée à sainte Marie, par exemple, près de l’église Notre Dame, il ne reste rien. Ou plutôt si, un simple pan de mur et la moitié d’une arcade de fenêtre, enchâssés dans une autre construction. «Il s’agissait d’une chapelle romane, assure Francis Fontaine, spécialiste du patrimoine bâti du vieux Vierzon et architecte qui avait mené les travaux du bâtiment situé en contrebas. Elle a été redécouverte lors du chantier effectué près du parvis de Notre Dame. Le mur a été découvert en démolissant une maison.» Un petit cimetière se trouvait jadis à cet endroit. A priori, rien ne la distingue des autres petits lieux de culte vierzonnais. À l’exception de la légende qui s’y rattache. Le Berry, 13/05, p.16
(Chartres) Une école médiévale cet été
Du 27 au 31 août, les Chartrains pourront assister à une série de conférences consacrées aux bibliothèques anciennes, à leur inventaire et à leur reconstitution. La plupart des intervenants seront des chercheurs de l’Institut de recherches et d’histoire des textes (IRHT). Dans l’amphi de la médiathèque l’Apostrophe, le public aura à ses côtés une quinzaine d’étudiants de niveau master en recherche ou professionnel dans des universités spécialisées en France et en Europe. Ces élèves suivront à Chartres une école d’été, sur le modèle de l’école de Bernard de Chartres au XIIe siècle. Ils pourront bénéficier d’unités de valeur grâce à l’enseignement reçu. Totalement pris en charge par la ville de Chartres et la Direction régionale des affaires culturelles, le projet est ambitieux. L'Echo, 13/05, p.7
Les amis de Villesavin toujours à l’oeuvre
La renaissance de la chapelle débute en 2000, avec la création de l’Association des amis de Villesavin. Une poignée de fidèles admirateurs de cette belle demeure souhaite apporter son soutien aux propriétaires, Lars et Véronique de Sparre. Elle se donne pour objectif de contribuer à la sauvegarde, à la restauration et au maintien des éléments architecturaux et paysagers du château en rassemblant des fonds. Ceux-ci proviennent essentiellement des cotisations des adhérents, au nombre de 174 à ce jour, de dons et des manifestations qu’elle programme. Ces dernières années, l’association a participé à la réfection de la toiture du musée du Mariage, à la confection de panneaux signalétiques et à la sécurisation des douves. Depuis 2009, elle mène en partenariat avec ses donateurs un important programme de restauration et d’embellissement des peintures intérieures de la chapelle datant du XVIe siècle. «Les travaux ont été réalisés par Brice Moulinier, restaurateur de peintures, mandaté par la direction régionale des affaires culturelles», précise Véronique de Sparre. NR, Loir et Cher, 13/05, p.3
(Orléans) Il est venu le temps des cathédrales
Injustice séculaire, la cathédrale d’Orléans n’est pas reconnue à sa juste valeur. La Rep’– un brin chauvine – vous dit pourquoi la belle Sainte- Croix n’a rien à envier à ses consœurs. L’histoire de Sainte-Croix, c’est celle d’une injustice remontant aux premiers jours. Bâti (du XVIIe au XIXe siècle) à contrecourant de son temps, dans un style gothique – qu’on qualifie de « flamboyant », à juste titre. Alors que la mode est passée au style Renaissance, puis romantique. L’édifice religieux hérite d’une image «hasbeen». RC Orléans 16/05, p.7
La Chapelle Saint Ursin) Un chantier plus important que prévu
L’église, parée de cet échafaudage, ne dévoile plus ses charmes depuis quelques mois. Des travaux supplémentaires imprévus étaient nécessaires. À l’origine, il n’était question que de colmatage des joints entre les pierres qui menaçaient de tomber. Mais, ce premier chantier a révélé des travaux bien plus importants puisque les dommages causés par les années à la toiture sont considérables ! Le budget fixé à vingt mille euros, atteindra avec ces travaux supplémentaires, deux cent mille euros supportés intégralement par la municipalité puisqu’il s’agit d’un édifice communal non classé. La fin du chantier devrait intervenir début juin, l’occasion de remettre le coq et de satisfaire à la tradition d’une petite fête pour célébrer cet événement. Le Berry, 16/05, p. 11
(Aubigny-sur-Nère) Une nouvelle exposition à la Maison Victorine : Quand la pierre croise le fer
Sculptures cachées « Ce sont des sculptures qu’on ne voit pas souvent, car elles sont en hauteur ou assez cachées, indique Jean-Pierre Rouard, qui préside le Vieil Aubigny, et on les a situées sur le plan de l’église. Les gens pourront même repartir avec le plan et aller retrouver les sculptures dans l’église. » On constate d’ailleurs, à travers ces photos, « qu’il s’agit bien d’une église locale, car il n’y a pas de sculptures de gens nobles. » Le château des Stuarts est aussi mis à l’honneur... Le Berry 16/05 p.21
(Montagois) La chapelle de l’Hôpiteau a été rénovée
La chapelle de l’Hôpiteau tire son nom d’un domaine créé au XIIe siècle par les chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem grâce à une rente annuelle de cent sous, attribuée par Élisabeth de Courtenay, mère du comte d’Auxerre et prise sur les revenus de ses terres de Piffonds. Pendant six siècles, elle abrita une statue en bois de Saint-Jean Baptiste qu’un paysan cacha à la Révolution et qui, après sa réapparition, prit place en l’église Saint-Pierre Saint-Paul où elle se trouve toujours. RC Pithiviers 16/05 p.10
(Cercottes) La commune se refait une beauté
Les deux rosaces de l’église et la façade de la mairie ont subi un nettoyage en profondeur. L’entreprise qui a effectué les travaux avait déjà été sollicitée pour la remise au propre du mur du cimetière. Devant la qualité du travail accompli, la mairie avait souhaité étendre cette pratique à d’autres bâtiments qui souffrent du passage quotidien des voitures et des intempéries. (intégral) RC, Beauce, 17/05
Les enfants du comte de Paris veulent le château et la chapelle
La 2e chambre civile du tribunal de Paris a examiné la demande des héritiers du descendant des rois de France, qui s’estiment lésés dans le cadre de la succession de leur père décédé en 2000, et inhumé dans la crypte de la chapelle royale de Dreux. Plus d’une décennie d’une interminable bataille judiciaire opposant deux des neuf enfants du comte à la Fondation Saint Louis, qui administre notamment le château d’Amboise et la chapelle royale de Dreux. Jacques d’Orléans et la princesse Hélène d’Orléans entendent faire valoir leurs droits devant la justice. «Le comte de Paris a dilapidé sa fortune et ce qu’il n’a pu dépenser il l’a donné à la fondation», considère Me Baratelli. Les héritiers revendiquent aujourd’hui la propriété du château d’Amboise, mais également de la chapelle royale de Dreux, et des dessins jamais rendus publics du jeune Louis XIV. L'Echo, 17/05, p.4
(Fontaine la Guyon) L'évêque bénit la châsse Saint-Gorgon
Tout a débuté en 2010 suite à une visite de la DRAC ( Direction régionale des affaires culturelles) du village sollicitée par des membres de l'association Fontaine Patrimoine et Sauvegarde dans l'église qui renferme un petit trésor du patrimoine communal qu'est la châsse Saint-Gorgon du XVIIe siècle. «Elle était transportable et représente le Saint habillé et présenté couché sur un lit en baldaquin, sa tête repose sur un coussin mais son état de conservation était jugé préoccupant mais la Drac a décidé de la classer monument historique en octobre 2011», présentait Jacques Charron membre de Fontaine Patrimoine et Sauvegarde. L'Echo, 18/05, p.12
(Nogent le Rotrou) L’église Saint-Hilaire rouverte au public
Après 18 années de fermeture, l’église Saint Hilaire va rouvrir ses portes aux fidèles et aux visiteurs demain. «Une cérémonie officielle aura lieu à 17 heures en présence de diverses personnalités parmi lesquelles Didier Martin, le préfet d’Eure et Loir, et Monseigneur Michel Pansard, l’évêque de Chartres», annoncent François Huwart, le maire de Nogent le Rotrou, Patrick Hoguet, le président de l’association des Amis de Saint Hilaire, et l’abbé Daniel Rambure, le curé de la paroisse Saint Lubin du Perche, véritables «partenaires» de cette réouverture. «Ça ne veut pas dire que le travail est terminé», ajoute François Huwart, en rappelant que si la Ville de Nogent le Rotrou a financé plus de 460.000 euros de travaux dans cette église depuis 2006, pour l’heure, seuls la nef et le chœur sont ouverts au public, offrant un nombre de places assises limité à 285. L'Echo, 18/05, p.24
(Villebon) Les beautés du château s’ouvrent à vous
Situé aux confins de la Beauce et du Perche, le château de Villebon est une magnifique forteresse médiévale en brique, construite à la fin du XIVe siècle, en pleine guerre de Cent Ans. Il ouvre ses portes, depuis 1996, pour des visites riches en histoire locale. «/Villebon, ce sont sept siècles de l’histoire de France. Construit en 1391, ce château a été la propriété du Duc de Sully où il passa les 24 dernières années de sa vie. Il mourut en 1641. De religion protestante le duc n’a pu être enterré dans la chapelle du château, mais à Nogent le Rotrou», a indiqué Jean de La Raudière. L'Echo, 19/05, p.8
(Azay le Ferron) L’envers du décor
C'est anormal qu’il n’accueille pas plus de visiteurs, estime Véronique Moreau, conservatrice en chef des musées de la Ville de Tours, dont fait partie le château d’Azay-le-Ferron. Sa remarque, justifiée par la qualité du parc, de l’architecture, et des collections – «trois points forts qu’on trouve rarement dans les châteaux de la Loire» –, explique à elle seule le souhait de diversifier l’offre touristique du monument. Avec l’objectif de dépasser dès cette année les 17.000 entrées. Des balades de découverte inédites s’ajoutent donc, dorénavant, aux visites classiques. L’idée est d’amener les gens dans des pièces jusqu’ici fermées au public. Durant trente minutes, Marion Lefebvre ou Edwige Cacouault, deux guides spécialement formées à cette intervention, vont ainsi leur ouvrir les portes de la «chambre du docteur», où est stockée une collection de dessins de l’humoriste Piem, ami des anciens propriétaires des lieux. La chambre des invités de marque et celle des domestiques figurent aussi dans ce circuit de trente minutes, complété par la présentation d’une cave et une visite commentée du parc. Avec dégustation de produits régionaux en prime. Nr, Indre, 18/05, p.7
(Tours) Le trésor perdu de Mazarin servait de bar à apéritifs
Après le succès de l’exposition des tableaux de la collection René Clément, l’an dernier, à l’hôtel de ville de Tours, qui s’était soldée par une vente record pour un tableau de Van Dongen, «Madeleine Grey à la rose», adjugé 1,2 million d’euros, Philippe Rouillac et son fils Aymeric, commissaires-priseurs installés à Vendôme et à Tours, reviennent à l’hôtel de ville de Tours avec un objet exceptionnel. Coffre à jouets, bar à cherry… Parmi quantité d’oeuvres exceptionnelles qui seront présentées au public tourangeau pendant trois jours – avant leur mise en vente au château de Cheverny les 9 et 10 juin –, dont une rarissime mosaïque de plumes mexicaine datant du XVIIe siècle, des tableaux de Corot, Vlaminck, Boudin, l’édition originale de la Grande Encyclopédie, des sculptures de Bugatti ou Gallé, c’est sans aucun le coffre en or, argent et nacre ayant appartenu au cardinal Mazarin qui attirera tous les regards. Nr, Indre et LoireT, 18/05, p.13
(Loches) Quand le patrimoine resurgit
On vient de laisser derrière nous les vestiges de la porte poitevine. Nous voici hors des vénérables murs de la ville : l’attention se relâche. Plus ou moins consciemment, on se dit sans doute que, hors de ce périmètre, le patrimoine aura un peu moins de charme. Et on passe à côté d’une belle maison du XVIe siècle, l’une des trois seules demeures Renaissance que Loches compte à l’extérieur de ses murailles. Au 56 de la rue Balzac, elle vient d’être restaurée après de longues années sans entretien. Partie intégrante du centre Jeanne d’Arc, elle est utilisée depuis quelques jours comme nouveau presbytère. On doit donc sa rénovation à l’association diocésaine de Tours. La Ville et l’architecte des bâtiments de France ont veillé de près à la façon dont le chantier a été conduit. C’est au pied de la tour Saint-Antoine, sur la place du marché aux légumes, que se niche le deuxième bijou en voie de résurrection. Cette fois, c’était un presbytère, celui de l’ancienne chapelle Saint-Antoine détruite à la Révolution. Nr, Indre et LoireE, 18/05, p.20
(Sainte Maure) Souscription pour la chapelle
Le conseil a donné son accord pour compléter la commission extra-municipale Patrimoine créée lors du conseil précédent. La restauration de la chapelle des Vierges a été l’objet d’une discussion intéressante : il s’agit d’un monument d’intérêt majeur pour ses valeurs historiques, mythiques et sociales. Afin de permettre la réalisation de travaux, outre les subventions sollicitées auprès du conseil régional, de la Drac, du conseil général et de la Fondation du patrimoine, le maire est autorisé à lancer une souscription publique à destination des particuliers et des entreprises à travers une campagne de mécénat populaire. (intégral) Nr, Indre et LoireE, 18/05
(Restigné) L’église Saint-Martin va être restaurée
Lors de sa dernière séance, le conseil municipal a examiné le projet d’une tranche ferme de travaux de restauration de l’église Saint-Martin, classée monument historique à condition qu’ils soient compatibles avec les capacités financières de la commune. Les travaux consistent à restaurer la façade ouest de la nef de l’église et de traiter l’étanchéité du bâtiment au droit du clocher. Ils permettront la réouverture en toute sécurité de l’accès principal par le pignon ouest et supprimeront les infiltrations d’eau qui dégradent l’intérieur du bâtiment. Le conseil municipal, à l’unanimité, a approuvé le programme et décidé de lancer une consultation de maîtrise d’oeuvre auprès d’architectes du patrimoine pour une réalisation des travaux en 2014. Il adresse une demande de subventions auprès des partenaires institutionnels. NR, Indre et LoireW, 20/05, p.17
(Orleans) Affaire classée ?
Le sort du bâtiment EDF de La Source pourrait bientôt être réglé. La commission régionale du patrimoine et des sites vient en effet de se prononcer pour son inscription, accompagnée d’un vœu de classement de ce bâtiment. De quoi réjouir Ghislaine Kounowski, conseillère municipale d’opposition (PS) : «L’attitude de la ville à l’égard de ce type d’architecture témoigne d’une totale ignorance et d’un manque d’intérêt. La réhabilitation permettrait de lui donner une nouvelle destination comme un nouveau lieu de culture, un musée ou un atelier d’artiste.» (intégral) RC, Orleans, 12/05
(Meung sur Loire ) Les dessous se dévoilent au château
«Les dessous de l’histoire du château» sont présentés par Élise et Xavier Lelevé, propriétaires du château de Meung sur Loire. Le public va explorer les secrets des différents sous vêtements, de la crinoline à la chemise, en passant par les bas. Autant de lingerie tour à tour protectrice, contraignante ou érotique. Quinze mannequins présentent l’évolution des silhouettes entre le XIIIe et le XXe siècle. Trois costumières professionnelles ont reproduit certaines pièces maîtresses, dont un rare soutien gorge du Xve. (intégral) RC, Beauce, 11/05
(Sennely) L’église Saint Jean-Baptiste en travaux La commune a entrepris d’importants travaux de rénovation extérieure de son église. Le cabinet Architecture et patrimoine a conclu à une estimation des travaux de 650.000 euros TTC, répartis en trois tranches. Les deux tranches actuellement en cours comprennent les voiries et réseaux divers, le ravalement extérieur et la réfection des toitures en tuiles de la partie nord et est de l’édifice, ainsi que la révision de la toiture du clocher. Le conseil général a accordé une aide financière de 180.000 euros sur un montant global de 357.000 euros HT en 2013. Par ailleurs, une convention a été signée entre la commune et la Fondation du patrimoine. RC, Beauce, 11/05, p.19
(Levesville la Chenard) Les Amis du moulin tournés vers le 8 juin
Les bénévoles de l’association de sauvegarde du moulin à vent de Levesville la Chenard s’activent régulièrement pour l’entretien et les travaux à effectuer sur cet édifice classé monument historique. 2012 avait été une année faste avec la réparation des ailes. Mais des travaux ont encore dû être réalisés cette année car des pièces de charpente intérieure et le bardage extérieur étaient en mauvais état. L’association a donc fait réaliser ces travaux pour un montant de 10.156 € qui a été autofinancé sur ses fonds propres, sans aucune subvention. Ses seules ressources sont les visites hélas peu nombreuses et surtout la fête annuelle, qui se tiendra cette année le samedi 8 juin. L'Echo, 11/05, p.24
(Dreux) Ils en garderont un souvenir éternel
«On vient au cimetière pour se recueillir sur la tombe de ses proches mais c’est aussi intéressant d’en découvrir l’histoire.» Françoise n’habite plus Dreux depuis quelques années mais parce que la ville est le berceau de sa famille et qu’elle s’intéresse à l’histoire locale, elle a répondu à l’invitation de l’office de tourisme. «Quand l’office de tourisme prend des initiatives, je trouve qu’il faut les encourager alors je viens. Et puis découvrir l’histoire d’une ville de cette façon est intéressant», commente Claudine. Une initiative particulièrement appréciée puisque la première visite guidée de l’ancien cimetière de Dreux a fait le plein. Une quarantaine de personnes sous la conduite de Pierre Fressonnet connu aussi sous le nom de Pierlioum étaient présentes, hier après midi, pour un voyage dans le temps. L'Echo, 12/05, p.9
(Luigny) Une convention pour restaurer l’église
«La restauration de l’église était un des objectifs que nous nous étions fixés au début de notre mandat. Je suis à la fois ému et très fier de signer cette convention pour la restauration de l’église Saint Jean Baptiste avec la fondation du patrimoine», a indiqué Michel Ricoul, le maire de Luigny, lors de la signature avec l’organisme représenté par Henry Réau, son délégué. «Aujourd’hui, la fondation du patrimoine vient nous rejoindre dans cette belle aventure et je l’en remercie. Son expérience va nous permettre de mieux faire connaître notre projet et aussi de récolter des fonds, ce qui n’aurait pas été envisageable sans son soutien», a poursuivi le maire. L'Echo, 12/05, p.9
Dernière édition par valerie.sauvion le Mar 21 Mai - 14:17, édité 1 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Mar 21 Mai - 12:07 | |
| Source : lagazettedescommunes.com« Le plus grand danger qui menace nos musées, c’est l’indifférence » – Marc Casteignau, président de la FEMSLa Fédération des écomusées et musées de société (FEMS) a tenu ses 10èmes rencontres professionnelles du 25 au 27 avril 2013 à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Thème des travaux : le sens de la collecte des objets contemporains. A cette occasion, la Gazette a interrogé, Marc Casteignau, président de la FEMS, sur les principaux enjeux auxquels sont confrontés ces équipements. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Mar 21 Mai - 16:38 | |
| Source : www.lefigaro.frNuit des musées: l'Unesco dévoile ses trésorsSamedi soir, l'institution internationale organise la visite de sa collection d'œuvres d'art, qui n'est d'habitude pas accessible au public. La grande sphère en aluminium de l'artiste danois Erik Reitzel placée devant le siège de l'Unesco à Paris n'est que la partie émergée de l'iceberg. Pour la Nuit des musées, ce samedi soir, l'organisation internationale, qui possède près de 700 œuvres d'art, ouvre ses portes pour des visites guidées et révéler ce patrimoine au grand public. Entre 1956 et 1958, au moment de la construction du bâtiment par les architectes Marcel Breuer, Pier Luigi Nervi et Bernard Zehrfuss, l'Unesco décide de passer commande à des artistes de l'époque. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Mar 21 Mai - 16:42 | |
| Source : lefigaro.frLe Centre Pompidou Mobile a vécuMalgré un succès public grandissant, l'expérience du Centre Pompidou Mobile est une victime directe de la crise qui frappe les budgets et le mécénat des plus grands musées français. Le président de Centre Pompidou envisage une reconversion en «Centres Pompidous Provisoires» qui iront à la conquête de nouveaux horizons, mieux lotis. Première halte en octobre, en Arabie Saoudite. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Ven 24 Mai - 15:19 | |
| Source : latribunedelart.comUn élu local a-t-il tous les droits ? C’est, en tout cas, ce que semblent penser de plus en plus de maires, qui ignorent délibérément les lois et la chose jugée. Face à cela, la démission de l’Etat est patente, et le ministère de la Culture se distingue par son inaction. Sommes-nous encore en démocratie ?Un maire qui s’assoit sur des décisions de justice. Un autre qui recommence, année après année, à n’en faire qu’à sa tête et à agir sans demander les autorisations imposées par la loi. Soit d’un côté la commune de Gesté (voir ici) et, de l’autre, la plus grande ville d’Orléans, où un an après avoir déjà agi dans l’illégalité la plus totale, le maire fleuriste Serge Grouard récidive, en réinstallant rue Jeanne d’Arc ses « fleurissements verticaux », en contradiction avec toutes les règles d’urbanisme et de protection du patrimoine. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Ven 24 Mai - 15:22 | |
| Source : latribunedelart.comL’église de Gesté vandalisée, et toujours menacéePatrimoine - Gesté, église - La commune de Gesté est-elle au dessus des lois et de l’autorité de la chose jugée ? C’est, en tout cas, ce que semble penser son maire et le conseil municipal qui ont voté à nouveau, lundi 6 mai, leur volonté de démolir partiellement l’église et ont, dans la foulée, lancé un avis d’appel public à la concurrence pour cette destruction. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Ven 24 Mai - 15:24 | |
| Source : latribunedelart.comLa cour de Bar du Palais Ducal de Dijon, victime d’Yves LionPatrimoine - Dijon, Musée des Beaux-Arts - Le Musée des Beaux-Arts de Dijon, qui depuis 2008 est en travaux pour rénovation (mais qui a eu l’excellente idée de ne pas fermer au public en menant ce chantier par tranche), ouvrira le 7 septembre un nouveau parcours pour ses collections médiévales et renaissance. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (13 - 19 mai 2013) Ven 24 Mai - 15:27 | |
| Source : latribunedelart.comUne exceptionnelle sculpture romantique à identifierBeaucoup d’historiens de l’art retrouvent et attribuent des œuvres mais, pour des raisons diverses, essentiellement de temps, ne peuvent les publier. Ils ont ainsi dans leurs dossiers des dizaines de tableaux et de sculptures qui seraient susceptibles d’intéresser les amateurs, mais qui restent inconnus, sauf d’eux-mêmes. Lire la suite | |
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