Revue de presse (8 - 14 juillet 2013)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Châteaudun) La “Belphégor de Fontainebleau” arrive

Une nouvelle pensionnaire va rejoindre le musée des beaux arts et d’histoire naturelle de Châteaudun, à partir du vendredi 30 août. Très âgée, puisqu’elle date de l’époque ptolémaïque, c’est à dire moins 200 avant Jésus Christ, cette momie renferme bien des mystères. Danseuse, elle aurait été l’une des favorites du pharaon Ptolémée IV. Mais avant de rejoindre Châteaudun, où elle sera exposée dans la salle d’égyptologie située au rez de chaussée, elle devra parcourir 131 kilomètres. Elle est pour l’instant conservée dans les réserves du musée d’art et d’histoire militaire de Fontainebleau, en Seine et Marne. Le bâtiment culturel, actuellement en travaux, va réorganiser complètement sa scénographie. Et il n’y aura pas de place pour la momie. Les responsables du musée francilien ont donc pris contact avec le Louvre, à Paris, qui a proposé d’envoyer la momie en dépôt au musée de Châteaudun.
L'Echo, 09/07, p.20

(Ruffec)  Visite de la tuilerie avec l’Écomusée

La première animation estivale du Réseau Écomusée de la Brenne, organisée en collaboration avec l’office de tourisme du Blanc, aura lieu jeudi, à Ruffec. Cette visite guidée permettra de mieux connaître un site crée  en 1774 qui reste l’une des trois dernières tuileries du département : Les Terres cuites de la Lorne, à Ruffec-le-Château. Le responsable de l’établissement, Pascal Robin,  s’applique à perpétuer la tradition du travail à l’ancienne, avec l’aide de deux employés. Pour les participants, ce sera l’occasion d’appréhender un véritable savoir-faire déjà à l’honneur le 16 juin, dans le cadre des Journées du Patrimoine de pays et des moulins.
Nr, Indre, 09/07, p.13

(Beaune la Rolande) Passé douloureux de Beaune la Rolande

Le Centre d’étude et de recherche sur les camps d’internement du Loiret (Cercil) a retrouvé une baraque du camp de Beaune la Rolande. Elle est implantée depuis 1948 dans le jardin d’un Beaunois installé en face de la gare locale. À quelques jours de la 71e commémoration de la rafle du Vélodrome d’Hiver, le Cercil va la faire démonter par l’entreprise Placier, et la ville de Beaune va la stocker. Par la suite, le Cercil étoffera ses collections avec les éléments les plus remarquables de cette baraque. Ces derniers sont à découvrir, avant le démontage, jeudi, à 10h45, au 10, faubourg de Battily, à Beaune. (intégral)
RC, Orleans, 10/07

(Saint Marcel) Argentomagus, la ville prête à se dévoiler

L’exposition temporaire Argentomagus, la ville se dévoile, propose aux visiteurs un parcours du musée en plusieurs temps : panneaux, cartes, sculptures et objets divers, jalonnent le dévoilement progressif de la ville antique. Son vernissage a eu lieu mardi, sous la direction de Françoise Dumasy, responsable du projet collectif de recherche du musée. «Cette exposition représente un bel exemple de complémentarité de l’ensemble du monde de la recherche archéologique», a estimé Vincent Millan, président de la communauté de communes du pays d’Argenton, au cours de la visite. Parmi les nombreux invités, se trouvaient également Coralie Bay, conservatrice du musée et Claudine Mariat, présidente de l’association pour la sauvegarde du site d’Argentomagus et amis du musée (ASSAAM).
Nr, Indre, 11/07, p.16

(Briare) Un musée dans l’atelier des turbines

L’ancien atelier des turbines du Pont Canal de Briare accueille une exposition de maquettes de bateaux fluviaux, qui retrace l’histoire de la batellerie artisanale ancienne et moderne jusqu’à fin octobre. Installés sur le site exceptionnel du Pont Canal de Briare, ce sont désormais trois offres touristiques qui attirent un peu plus les visiteurs : le confiseur chocolatier Hervé Roussel, la galerie d’exposition et l’atelier des turbines transformé en musée, qui présente une belle exposition de maquettes de bateaux fluviaux. Toutes ont été confectionnées et réalisées par Aliéna Vigier, elle même ancienne marinière. Propriété de VNF (voies navigables de France), l’atelier des turbines accueillait périodiquement des expositions de peinture et de sculpture. Désormais, le nouveau locataire des lieux, Antoine Vigier (fils d’Aliéna Vigier et troisième du nom) reprend l’espace pour y installer les modèles réduits et objets de mariniers, tous créés manuellement par sa mère.
RC, Montargis/Gien, 12/07, p.13

(La Chatre) Les enfants à l’assaut du donjon des Chauvigny

D’une façon toute ludique, les questions qui leur sont posées intéressent le jeune public aux tableaux, portraits et paysages, présentés par le musée ainsi qu’à la vie de George Sand. Parfois, on entre même dans les secrets de la généalogie de l’écrivaine. Tout l’été, le musée George-Sand propose des visites et des animations en direction de différents publics, dont une chasse au trésor pour les enfants.
Nr, Indre, 14/07, p.8

(Sainte Maure) Même fermé le musée enrichit ses collections

Après les archives municipales, c’est le musée de la commune qui a reçu un don. L’oeuvre d’une habitante de Saint-Cyr-sur-Loire, qui est venue visiter le musée dans les années 1980 et dont la voisine, proche d’une sainte-maurienne, lui a remis des souvenirs avant de s’éteindre. Cette fois, le don est composé de nombreux vêtements de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, de photographies de famille de la propriétaire des habits ainsi que d’une correspondance échangée pendant la guerre 1914-1918.
Nr, Indre et LoireW, 13/07, p.

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Tavers) L’exposition archéologique inaugurée

Samedi, en fin de matinée, l’exposition archéologique permanente, qui se tient dans l’ancienne salle de classe du bourg, a été inaugurée. Cette cérémonie a clôturé trois années de travail, de tri, de synthèses, d’authentifications et de montages de dossiers. Ce projet a été subventionné par le pays Loire Beauce, via le programme européen Leader, à hauteur de 44%. À noter qu’il manque une période, la mérovingienne. Mais les passionnés vont essayer d’y remédier.
RC, Beauce, 08/07, p.15

(Chartres) Les mystères du sanctuaire

La visite de l’office de tourisme, dimanche après-midi, était menée par la guide et conférencière Carine Grancher, pour découvrir le site de Saint-Martin au Val. Seize participants étaient au rendez vous sur le site des vestiges galloromains. Démarrées en 2006, les fouilles continuent aujourd’hui encore avec le service d’archéologie de la ville.
L'Echo, 09/07, p.6

(Chateaumeillant) L’archéologie à la portée de tous

C’est quelqu’un de très pédagogue, qui sait transmettre son savoir avec une ferveur communicative», déclarait Gérard Coulon au sujet de l’archéologue Sophie Krausz, par ailleurs maître de conférences à l’université de Bordeaux 3. L’ancien conservateur d’Argentomagus, auteur de plusieurs dizaines d’ouvrages sur l’archéologie, comptait parmi les spectateurs présents, jeudi dernier, à l’auditorium du pôle de l’étang. Ce soir là, Sophie Krausz présentait aux Castelmeillantais les trouvailles exhumées de la terre du défunt oppidum, notamment lors de la campagne de fouilles de 2012. ...«Ce genre de trouvailles n’arrive qu’une fois dans la carrière d’un archéologue», précisait Sophie Krausz, qui s’apprêtait à débuter la campagne de fouilles 2013, quelques jours plus tard. Autant d’objets qui seront exposés au musée Émile Chenon durant l’été, avant d’être analysés par les services du Louvre, puis de revenir définitivement à Châteaumeillant…
Le Berry, 11/07, p.29

(Sainte-Maure) La Crosneraie à l’âge du fer

Christian Barillet, maire de Sainte-Maure, et quelques membres de la Commission extra-municipale patrimoine se sont rendus à la Crosneraie, un lieu-dit en limite de Sepmes, pour observer le site où des fouilles  archéologiques sont menées par l’Inrap, dans le cadre des travaux de la LGV. Trente archéologues étaient présents sur le terrain pour mener à bien cette campagne de deux mois, ralentie par les intempéries et qui  devait s’achever à la fin du mois de juin. Le responsable du chantier expliquait que les fouilles avaient permis de mettre au jour une ferme gauloise datant du Ier siècle avant J-C (période de la Tène, 2nd âge du fer).
Nr, Indre et LoireE, 11/07, p.19

(Bourges) Des fouilles dans dix jours

C’est parti. Dès le 15 juillet, les habitants du quartier Séraucourt vont voir apparaître des barrières entre la place Séraucourt et la rue Jean Bouin. Le site va être sécurisé par la ville. Quant aux fouilles archéologiques obligatoires dans la réalisation du projet de la nouvelle Maison de la Culture, elles débuteront lundi 22 juillet. Elles dureront sept semaines. «Tout devrait être terminé la première quinzaine de septembre», annonce Serge Lepeltier, maire de Bourges. Cette annonce intervient quelques jours après le lancement de débats des Amis de la Maison de la Culture (MCB). Un pur hasard du calendrier, selon le maire qui précise que l’arrêté préfectoral régional régissant le chantier est tombé le 29 avril.
Le Berry, 13/07, p.11

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

« Le rail mériterait d’être classé »

La destruction d’une partie du rail de l’Aérotrain en 2007 a signé pour beaucoup la fin définitive du projet. Jean-Luc Fournier, ancien de chez Vinci et témoin privilégié de cette histoire, nous raconte. Le 1er mars 2007,  une date noire pour les passionnés de l’Aérotrain ? Ce jour où, comme nous l’écrivions à l’époque, «l’autoroute A 19 brisa à jamais le rêve de l’Aérotrain». Jusquelà, certains continuaient à rêver, qu’un jour, un cousin de l’I80250 reprendrait son envol sur le rail de béton. Mais, pour relier Sens à Artenay par la route, 120 mètres sur les 18 kilomètres de la piste de l’Aérotrain ont été détruits entre Chevilly et Artenay. «Ce fragment d’histoire doit être préservé. Ça fait partie du patrimoine, il mériterait sans doute d’être classé…», souligne Jean-Luc Fournier.
RC, Orleans, 08/07, p.5

(Orleans) La lumière viendra aussi des caméras

Le père Claude Girault écoute religieusement l’homme en uniforme. On est mardi matin, et le recteur de la cathédrale est peut être en train de se dire que les temps changent. Tout comme a viré au  rouge renforcé, la couleur du plan Vigipirate. Jean-Louis Bourderi, le référent Centre de sécurité orléanais (CSO) et vidéoprotection, est en train d’expliquer à l’ecclésiastique où il serait bon d’installer des caméras. «D’après moi, on ne peut pas se permettre d’occulter la travée centrale», observe, depuis la nef, le policier municipal. Après les papas en colère Ainsi, les yeux qui ne se ferment jamais du CSO – basé  non loin de là, à la mairie – auront une vue imprenable sur tous les visages qui franchissent le seuil de la cathédrale Sainte Croix. Où des mesures inédites de sécurité vont être prises dans les mois qui viennent, «suite aux événements des papas en colère», développe Yann Drouet, directeur de cabinet du préfet. Ceux qui ont pu, en mai dernier, déployer leurs banderoles en haut des tours, afin de dénoncer les problèmes de gardes d’enfants. Une action coup de poing qui aura «mis au jour un certain nombre de failles dans le dispositif de sécurité de la cathédrale».
RC, Orleans, 08/07, p.8

(Bourges) En forgeant, on devient ferronnier d’art

La ferronnerie, à l’honneur de l’exposition organisée par la chambre de métiers et de l’artisanat du Cher s’est déclinée tout feu tout flamme devant la cathédrale, à l’occasion de la Nuit de la forge. Samedi, les forges ont ronflé pour une soirée de démonstrations jusqu’après la nuit tombée. Au pied des escaliers du grand portail de la cathédrale, le spectacle est impressionnant : une petite dizaine de ferronniers s’activent à tordre et frapper le métal. Une scène qu’on croirait tirée d’un livre d’illustrations du Moyen Âge, voire de l’Antiquité. Luc Bourdon, le ferronnier d’Henrichemont, cultive la filiation celte avec un petit côté Cétautomatix, costume compris. L’art du fer passe les siècles entre les modes, car tout est histoire de passion entre le marteau et l’enclume.
Le Berry, 08/07, p.9

(Vierzon)  PATRIMOINE SECRET (22) Souvenirs d’un beau magasin de tissus

En suivant Mlle Jabot dans le dédale de pièces, de couloirs et d’escaliers tronqués qu’est devenu l’ancien magasin de tissus et confection de la rue Joffre, on entend encore le bruissement du quartier : «Nous avions un bel appartement, le salon donnait sur la place du marché au Blé…» Elle a vécu ici jusqu’à l’âge de vingt ans, avant de quitter la ville. Enfant, elle aimait se cacher et jouer avec ses amies dans les bergeries, ces comptoirs de bois fermés sur lesquels les pièces de tissu étaient présentées aux clientes par une armada de vendeurs. «Mes parents n’aimaient pas beaucoup nous voir là !» Atelier de confection à l’étage pour les retouches Contrairement aux Dames de France, dont l’architecture intérieure a été préservée, ce magasin du quartier médiéval que les grands parents de Me l l e Jabot avaient racheté en 1920 à Théodore Poullin, successeur des frères Poullin, n’est plus que l’ombre de sa grandeur. Aujourd’hui, l’immeuble appartient à la Sem Territoria qui souhaite le revendre à un investisseur, pour y créer, par exemple, un restaurant au rez de chaussée, et réaménager des logements à l’étage.
Le Berry, 08/07, p.19

(Gien) Deux siècles de savoir-faire à visiter

Pendant tout le mois de juillet, les curieux peuvent découvrir les secrets de fabrication de la Faïencerie de Gien. Hier, un groupe d’une vingtaine de personnes a pu visiter les ateliers. Il y avait autant de personnes la semaine dernière. Ceux qui voudraient encore en profiter ont deux occasions de le faire : le 16 et le 23 juillet. Pour la vénérable manufacture c’est l’occasion de lever le voile sur ce qui se passe dans ses ateliers. Depuis quelques mois, l’entreprise met en avant le travail de ses ouvriers. Un cycle de démonstration avait été mis en place dans le hall de la boutique d’usine. Chaque mois, un employé venait monter comment étaient réalisées certaines étapes de fabrication. Ces animations étaient proposées en alternance avec des conférences données par la responsable du musée, Lamia Oumerzouk.
RC, Montargis/Gien, 10/07, p.14

(Moulinet sur Solin) Une souscription pour restaurer l’église

La campagne de souscription concernant la restauration intérieure de l’église Saint Philippe, a été officiellement lancée avec le soutien de la Fondation du Patrimoine représentée par Bernard Vella, samedi, à la salle associative de la mairie, en présence de diverses personnalités. De nombreux habitants ont assisté à cette signature aux côtés de plusieurs dirigeants du Crédit Agricole, également partenaire de l’opération. Des dépliants explicatifs ont été distribués à cette occasion, et Marie-Christine Meunier, maire de la commune, n’a pas manqué de rappeler les grandes lignes d’une opération de sauvegarde du patrimoine bâti du village, une action qu’elle espère positive.
RC, Montargis/Gien, 10/07, p.14

(Neuilly sur Sancerre) Les travaux de l’église ont été inaugurés

Pour conserver l’église du village en état, le conseil municipal a réalisé des travaux, notamment en matière de sécurité, mais aussi pour la conservation du patrimoine. Ces travaux ont été inaugurés vendredi, en présence du député Yves Fromion, du sénateur Rémy Pointereau et de donateurs. Le beffroi a été remplacé, le précédent était construit avec du bois de réemploi pour recevoir les deux cloches datant de 1879, pesant respectivement 570 et 290 kg. La cloche de 1936 pesant 430 kg a été ajoutée par la suite pour créer un carillon. Le beffroi a alors été rehaussé pour y loger l’ensemble. Ces travaux ont coûté 20.339 euros hors taxes, uns subvention de 6.102 euros a été accordée par le conseil général, et 6.000 euros d’aide parlementaire. L’installation électrique a été remplacée en 2011 pour un montant de 1.571 euros hors taxes. Les échelles d’accès et la modification du sas de la chapelle ont été confectionnées pour 1.305 euros hors taxes. Le vitrail, dégradé et brisé par endroits, a été restauré par Nathalie Denoyer, artisan verrier.
RC, Montargis/Gien, 10/07, p.18

(La Guerche sur l'Aubois) La tuilerie briqueterie change de mains

Propriété de la commune, témoin du riche passé industriel du canton, créée en 1852 par Thomas Sauvard, la tuilerie briqueterie de la rue du Lieutenant Petit, qui a cessé son activité en 1939, a été cédée par la municipalité, pour l’euro symbolique, au Pays Loire Val d’Aubois. En effet, même si la municipalité a participé, par le passé, à certains travaux de consolidation du site par le biais de subventions et de fonds communaux, cette dernière ne pouvait se permettre financièrement d’engager des travaux de plus grande ampleur.
Le Berry, 10/07, p.40

(Tours) La brochure François Sicard des élèves de Choiseul

Le service patrimoine ne s’endort pas sur le riche héritage culturel Lde la ville. Il est même très actif, organisant notamment les fameux «Laissez-vous conter Tours», sorties découvertes patrimoniales gratuites proposées aux Tourangeaux, tout au long de l’année. Un vrai succès populaire et le plaisir de jouer au touriste dans sa ville. A mettre aussi à l’actif de ce service municipal, les brochures distribuées lors des visites, également disponibles à l’office de tourisme. Après celles sur le religieux saint Martin, l’écrivain Honoré de Balzac, les imprimeurs Mame, place à une brochure sur le sculpteur François Sicard. L’occasion d’en savoir un peu plus sur celui que les Tourangeaux connaissent avant tout à travers le square qui porte son nom, près du musée des Beaux-Arts. Un lieu, justement où François Sicard a été élève avant d’apprendre la sculpture aux Beaux-Arts de Paris et d’obtenir le Prix de Rome en 1891, entre autres.
Nr, Indre et LoireT, 10/07, p.14

Domaine de Candé, un grand espace de loisirs ?

Redonner un destin au Domaine de Candé à Monts, «poumon vert» proche de l'agglomération, en le transformant en «un grand parc de loisirs à destination des familles», c'est le projet dont s'est saisi le conseil général (propriétaire du Domaine), présidé par Frédéric Thomas. Peu de Tourangeaux savent que ce site de 250 hectares est ouvert gratuitement au public tous les jours pour un pique-nique, une randonnée à travers  les bois et au fil des ruisseaux, ou pour une sieste... Seule la visite du château est payante. Pourtant, le domaine n'accueille que 40.000 visiteurs par an, dont 25.000 à 30.000 pour le festival Terres du son. Pour redonner vie à ce site classé Espace Naturel Sensible, différentes réalisations sont en projet.
Tribune Tours, 04/07, p.2

(Châteauneuf ) La ville en lutte contre les pigeons

La ville de Châteauneuf n’est pas épargnée par les salissures occasionnées par les pigeons qui pullulent, notamment, dans le centre ville. Leurs déjections engendrent des dégâts importants sur les édifices. Pour remédier à ce problème, la municipalité a fait appel à la société «Clean pigeon», basée à Montlhéry (Essonne). Cette semaine, elle est intervenue à l’aide d’une nacelle sur le clocher de l’église, dont le parvis et le porche sont couverts de fientes.
RC, Beauce, 11/07, p.18

(Epernon) Le coût des travaux de la tourelle revu à la hausse

Placés en fin de séance, les points principaux du Conseil municipal concernaient l’autorisation de la signature des marchés de l’hygiène et de l’entretien des bâtiments communaux et de celle d’un avenant au marché de la réhabilitation et de la restauration de la tourelle de la maison de la place du Change. Pour ce dernier point, pendant l’exécution des travaux en sous œuvre, il s’est avéré que les murs d’infrastructure existants, réagissaient mal aux vibrations provoquées par le marteau piqueur ce qui pouvait engendrer un effondrement partiel du mur. L’entreprise Fressynet qui exécute les travaux propose donc une solution par carottage des murs avec une injection de béton et un ferraillage. Les conseillers ont autorisé Françoise Ramond à signer pour ces travaux supplémentaires un avenant de 29.732 € TTC portant le nouveau montant total du marché à 194.604 € TTC et une fin des travaux initialement prévue pour le 11 septembre prolongée jusqu’au 29 novembre. En ouverture de la séance la présidente avait demandé l’autorisation de solliciter une subvention auprès du Conseil général pour ces travaux de restauration. (intégral)
L'Echo, 11/07

(Chéry) La toiture de l’église restaurée

Les travaux de restauration de l’ensemble toiture-voûte intérieure de l’église Saint Martin sont en partie achevés. Chiffrés à 59.000 euros, ils ont été rendus possibles grâce aux diverses subventions et à la souscription lancée par la municipalité, qui a rapporté 5.500 euros, dont 800 euros des Amis de Chéry. La fondation du patrimoine a, pour sa part, contribué à hauteur de 20% du montant et la communauté de  communes des Vals de Cher et d’Arnon a apporté 26.000 euros, via un fonds de concours. Le sénateur Rémy Pointereau octroyant, quant à lui, 7.500 euros de réserve parlementaire. Les  travaux de la voûte devraient, pour leur part, débuter d’ici quelques semaines.
Le Berry, 11/07

(Chateauroux) “ Les grilles du site Balsan seront rénovées ”

Pour les amoureux de l’histoire de Balsan, le choc est rude. Il ne reste plus rien des murs d’enceinte et des fameuses grilles, sinon quelques moellons. Régis Tellier, adjoint chargé des travaux, rassure : «Les grilles ont été démontées et confiées à l’entreprise Reignoux de Rivarennes pour être rénovées». En réalité, la façade historique du site Balsan va être entièrement réhabilitée, après accord des Bâtiments de France. «Ce chantier, mené par la Ville, fera ainsi la continuité avec l’école d’ingénieurs et l’accès au futur parking doit être prêt», explique l’adjoint. La façade du bâtiment central devrait retrouver un éclat nouveau. Quant au bâtiment situé à l’est, son état de délabrement impose «la réfection de la toiture. La façade sera également refaite en préservant la peinture murale de l’industrie Balsan.» L’entreprise Martin, de Luçay-le-Mâle, a été retenue pour ce vaste chantier. Estimé à 250.000 €, il débutera à l’automne pour se terminer en mars 2014.
+ ••• Un ensemble de 4,5 tonnes de métal
Nr, Indre, 11/07, p.8

(Déols) Vitraux et pompiers s’exposent ensemble

Jeudi, le Point info tourisme a accueilli le vernissage des deux expositions d’été. La première concerne les Vitraux du XXe siècle dans l’Indre. L’exposition révèle les  innovations artistiques et techniques dont témoignent ces oeuvres. L’exposition, accessible jusqu’au 16 juillet, fait suite au recensement de l’ensemble des vitraux du département, réalisé par l’association Rencontre avec le patrimoine religieux, à la demande de la Région Centre. La deuxième exposition concerne les pompiers de Déols, des origines à aujourd’hui.
Nr, Indre, 11/07, p.12

(Saint Martin le Beau) Charme d’une visite nocturne aux flambeaux

Vendredi soir, il était 22 h quand quelques amateurs d’histoire et de patrimoine se sont mis en marche, pour une visite de charme dans les rues de Saint-Martin-le-Beau. C’est dans le cadre des visites et animations  du patrimoine, sur le thème «Laissez-vous conter le Pays Loire Touraine, villes et pays d’art et d’histoire», que deux charmantes conférencières ont accompagné le groupe. Laurianne Keil, animatrice architecture et patrimoine, et Anna Brisson, guide-conférencière, ont commenté tout au long de la promenade dans la commune, l’architecture et l’histoire de son patrimoine.
Nr, Indre et Loire, 11/07, p.22

Avis des lecteurs : Patrimoine communal en péril, le maire s’insurge

En tant qu’ancien maire de Vienne en Val de 1977 à 2001, il m’est impossible de me taire à l’annonce de la démolition du presbytère. Apparemment, cette décision a été prise par le conseil municipal sans aucun vote chiffré et sans attestation de vétusté extrême. Pourquoi ? Dans les comptes rendus, très détaillés, des 15 mars et 26 avril 2013 on lit «destruction» et «entreprise de démolition» sans dire de quoi. Pourquoi ? N’estce pas une décision historique pour le centrebourg ? Seule l’emprise du « pôle santé » prévu sur ce lieu a été mise aux voix, le 13 juin dernier. Résultat : Valsol (ou Sandillon ?) devient propriétaire du sol à bâtir et est ainsi habilitée à abattre, sous nos yeux, notre presbytère. C’est ahurissant et scandaleux… Ne vaut il pas mieux le vendre ? Les «unités de vie» prévues sur le terrain Chartier ont été rejetées. Ne peut on pas construire, à la place, une structure médicale adaptée aux besoins de la population ? Avons nous besoin d’un psychiatre et de cinq nouveaux «locatifs» ? Pensons modestement à un ou deux généralistes, et aux infirmiers locaux, plus des annexes professionnelles. La kinésithérapeute a, pour mémoire, son cabinet privé sur une parcelle du jardin du presbytère. Cette «structure», peu subventionnée, coûterait plus cher. Mais elle serait louée et permettrait, ainsi, de sauvegarder le patrimoine communal ! En 1905, l’église médiévale a été rasée pour vétusté. En 2013, même cause et même destin pour le presbytère. Il ne restera donc plus  que l’ancienne école de filles (1901-1902) dans laquelle j’avais envisagé d’installer la mairie, «squattée» par la garderie, mais inhabitée depuis 16 ans. Quel sera son sort ? Face à la menace qui pèse sur le presbytère, il me fallait dire publiquement ma colère. ■ Marc Amblard (Vienne-en-Val) (intégral)
RC, Orleans, 12/07

(Mardié) Complètement remis à neuf

Lundi matin, le pressoir monumental de la Maison d’Irène était pris en main par une équipe de restauration des monuments historiques, venue de Blois. Son directeur, Éric Thenot était en personne sur les lieux. «Ce pressoir est remarquable. Je n’en connais que deux en état de marche, celui du château de Talcy (41) et celui ci», celui de Meung sur Loire ayant été récemment jeté. «C’est très bien, ce que fait l’association locale (De Mardiéacus à Mardié) d’en demander la restauration. Il mériterait d’être classé.» Avec la municipalité, l’association de protection du patrimoine local cherchait depuis longtemps un moyen de sauver ce pressoir qui avait été parfois rafistolé, mais jamais vraiment remis en état. Après avoir été au chevet de la cathédrale d’Orléans, et tout en s’occupant de celle de Bourges, la société Delestre est venue sans hésiter rendre vie à ce géant.
RC, Orleans, 12/07, p.17

(Beaune la Rolande) La baraque de l’ancien camp de Beaune va être étudiée

Une baraque peut être la 12 de l’ancien camp d’internement de Beaune la Rolande, dans le Pithiverais, installée depuis 1948 dans le jardin d’un particulier, va être démontée la semaine prochaine, stockée et sauvée. Le Centre d’étude et de recherche sur les camps d’internement dans le Loiret et la déportation juive (Cercil) va entreprendre un travail de repérage des inscriptions mises au jour. Il devra notamment vérifier si le message «En souvenir pour ceux qui passeront ici» est bien celui d’Emma et Aline Korenbajzer, une maman juive et sa petite fille raflées en juillet 1942 et assassinées le mois suivant. Une enfant aujourd’hui devenue une icône, notamment pour le Cercil. (intégral)
RC, Orleans, 12/07 + Pithiviers, p.7

(Poupry) Des travaux programmés à l’église

Lors de sa dernière réunion, le conseil municipal de Poupry a pris les décisions suivantes. Église. Accepte le devis présenté par l’entreprise Roc, concernant les travaux de maçonnerie intér ieurs et extér ieurs sur l’église. Et celui de l’atelier Lavrat, concernant la fabrication et la pose d’un coq sur le clocher. Concernant la restauration du tableau de l’église «Sainte Cécile et l’ange à la partition», l’assemblée décide d’enlever le voile de pudeur, de façon à restituer l’oeuvre originale de l’artiste. (intégral)
RC, Beauce, 12/07

(Courtenay) À la découverte de l’église

Dédiée aux apôtres Pierre et Paul, l’église de Courtenay a été construite au XVIe siècle sur les ruines d’une église romane, détruite par les Anglais en 1358 et dont il ne subsiste que le clocher restauré sur trois de ses côtés en 1973. Un porche abritait autrefois l’entrée mais, en 1826, le conseil municipal a décidé de le supprimer et de le remplacer par le portique qui se trouve aujourd’hui au dessus de la porte centrale restaurée, en 2011, à l’identique : couleur sang bœuf. À l’intérieur, les voûtes reposent sur huit grands piliers en pierre de taille couronnés de chapiteaux différemment traités.
RC, Pithiviers, 12/07, p.10

(Le Blanc) Les attraits cachés du Bouchet

On dit que le château du Bouchet fut construit en une nuit par les fées pour protéger un gentil seigneur de ses voisins querelleurs. La légende est belle et contribue au mystère qui nimbe encore le site. Sa  propriétaire, Chantal de la Véronne, l’ouvre très rarement au public et les soixante mille personnes qui passent, chaque année, par la maison du Parc de Brenne, installée à ses pieds, s’interrogent toujours sur ce monument phare du territoire. Le monument emblématique peut se visiter cet été à l’occasion d’une exposition sur le thème de la vénerie.
Nr, Indre, 12/07, p.14

(Escrennes, Jouy en Pithiverais et Izy) Trois églises portes ouvertes

Cet après midi, ce sont les portes des édifices religieux d’Escrennes, Jouy en Pithiverais et Izy qui vont s’ouvrir au public , entre 14h30 à 17h30. Samedi dernier, déjà trois églises de communes rurales Teillay Saint Benoist, Montigny et Santeau ont reçu des habitants et des touristes. Habituellement fermées en dehors des célébrations religieuses, l’association Connaissance et sauvegarde du patrimoine, en collaboration avec l’office de tourisme de Pithiviers, a eu l’idée de les ouvrir à raison de trois édifices tous les samedis de l’été.
RC, Pithiviers, 13/07, p.8

(Pithiviers) Ils ouvrent les portes de leurs églises

Ce samedi après midi, les portes ouvertes étaient concentrées dans le sud ouest de l’arrondissement : Jouy en Pithiverais, Izy et Escrennes. L’occasion, pour de nombreux habitants, de s’interroger sur les bâtiments. «Est ce que vous vous souvenez si ce tableau a été déplacé ?», demande Jacques Raunet, membre de Connaissance et sauvegarde du patrimoine, au sujet de l’église d’Izy. À quelques kilomètres de là, à Escrennes, c’est le spécialiste de l’histoire de l’arrondissement qui est questionné : «Cette cuve baptismale, elle est conforme ?»
RC, Orleans, 14/07, p.14

(Saint Rémy sur Avre) L’église de nouveau ouverte après les travaux

L’église de Saint Rémy sur Avre est à nouveau ouverte, depuis dimanche. Patrick Riehl, maire, a reçu l’évêque de Chartres, Michel Pansard, venu célébrer cette première messe dans l’église rénovée, avec le père Illenda, prêtre de la paroisse Sainte Thérèse en Vallée d’Avre. Les travaux réalisés sur le clocher, sa charpente et la façade de l’église ont été présentés par Nadine Foissotte, adjointe. Elle a fait un historique du bâtiment depuis la fin du XVe siècle, précisant que l’église est classée aux monuments historiques depuis 1930. La restauration effectuée permet au beffroi restauré de recevoir ses deux cloches dont l’une a été refaite. La conduite des travaux a été assurée par Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments historiques. Le financement de ces travaux provient de l’État, du Conseil général et de la Commune, que le maire a remerciés lors de son allocution.
L'Echo, 13/07, p.15

(Chartres) Le chœur, de l’obscurité à la lumière

Après la restauration des vitraux, achevée en 2006, c’est au tour de l’architecture intérieure de se délester de sa gangue de crasse et d’offrir au public sa splendeur originelle. La première étape de ce vaste chantier a été menée dans le chœur, de 2008 à 2011. Les découvertes faites à cette occasion prouvent que la cathédrale gothique était bel et bien un lieu chatoyant de couleurs.
L'Echo, 14/07, p.8

(Chateauroux) Dans le secret des églises

Jeudi dernier, une petite dizaine de curieux ont visité, guidés par l’historienne Francesca Lacour, l’église Saint-André et l’église Saint-Martial de Châteauroux. Par cet après midi estival, ils ont pu profiter, non seulement de la fraîcheur des deux bâtiments, mais surtout de leur architecture, dont Francesca Lacour a pris plaisir à relater l’histoire. La visite, organisée par l’office de tourisme de Châteauroux, a représenté l’occasion d’apprendre des anecdotes sur le passé de la ville.
Nr, Indre, 13/07, p.11

(Blois) Les bâtisses de la République

Une bonne trentaine de personnes a suivi la visite guidée des bâtiments civils de la République implantés sur le« plateau » lors des transformations urbaines induites par la Révolution. Proposée dans le cadre de «Des Lyres d’été» par le service Ville d’art et d’histoire, la visite était pilotée avec maestria par Séverine Legauffre-Desgeorges, guide conférencière. Une visite thématique autour de l’extension de la ville qui ainsi «sort de ses remparts».
Nr, Loir et cher, 14/07, p.5

(fougères-sur-bièvre) Promotion touristique au château

Pour favoriser le développement du tourisme auprès des professionnels, Anne Rousset administratrice des Monuments nationaux de la région Centre et Pays de Loire a créé l’opération Eductour. Mardi, une cinquantaine d’invités (chambres d’hôtes, gîtes de France, hôtels, OTSI, CDT) ont été accueillis au château de Fougères-su-Bièvre par Catherine Daniélou, chargée du développement culturel, pour une visite du monument, de son jardin médiéval et de l’exposition estivale. Les personnes en contact avec les touristes doivent évidemment bien connaître les lieux d’où l’intérêt de leur présenter le monument et l’exposition «Si les châteaux m’étaient contés». Virginie les a guidés à travers les pièces du monument lequel rappelons-le peut être loué pour réceptions.
Nr, Loir et Cher, 14/07, p.7

(Chauvigny-du-Perche ) Notre-Dame prête pour l’Assomption

La cloche de l’église Notre-Dame de l’Assomption sonne désormais sur un bâtiment refait à neuf, à Chauvigny-du-Perche. Élus et habitants du village ont inauguré, hier après midi, l’édifice en grande partie restauré depuis plusieurs mois. Près de 100 personnes étaient présentes pour assister à la traditionnelle découpe du ruban par le maire de la commune, Danielle Périn, ainsi que le député et président du conseil général, Maurice Leroy. L’église de Chauvigny-au-Perche présente la particularité de posséder trois nefs. Des extensions ont été rendues nécessaires au fil des siècles pour accueillir l’ensemble des pratiquants. La commune de Chauvigny-du-Perche a bénéficié d’aides du conseil général pour un montant de près de 60.000 €. Une souscription publique, lancée en 2010, a permis à la collectivité de bénéficier de près de 17.000 € au titre du fonds régional pour le patrimoine culturel de proximité.
Nr, Loir et Cher, 14/07, p.8

(Loches) Qui a tué Agnès Sorel ? La Follenquête mène l’enquête

Agnès Sorel est morte empoisonnée, en 1450, plus de doute là-dessus. Overdose de mercure. Mais pourquoi, par qui ? Les recherches scientifiques actuelles ont apporté des réponses. Mais que savait on des conditions de la mort de la première maîtresse officielle du Roi de France, en 1925 ? «On savait bien sûr qu’elle était morte à cause du mercure», se contente de répondre le metteur en scène Yves Krier. Il a choisi l’année 1925, pour raconter une «follenquête» qui doit élucider ce crime. L’homme de théâtre s’est plongé sur ce drame, à sa manière, et surtout à la demande de l’office de tourisme du Lochois qui voulait créer une animation particulière pour les soirées d’été à Loches.
+ ••• Visite du Logis royal après l’enquête
Nr, Indre et Loire, 14/07, p.11

Des changements au prieuré du Louroux

La ferme prieurale du Louroux fait l’objet d’une attention particulière des élus. Gilles Chapoton a présenté, mercredi, sur le site, ce qui est prévu pour sa mise en activité. Le vice-président et responsable de la commission tourisme de la communauté de commune du Grand Ligueillois (CCGL) était entouré de Michel Guignaudeau (conseiller général) et Dominique Braud (président de la CCGL). Pour cette ferme, il y a trois axes de développement : culturel, touristique et territorial. Ils concernent le prieuré, le village, le moulin et l’étang. Au programme des travaux, on retrouve notamment l’aménagement de la grange du XVe siècle.
Nr, Indre et Loire, 14/07, p.11

Source : lefigaro.fr

Le Musée du Bardo à l'heure du réveil islamiste

Le musée tunisien de mosaïques a doublé sa surface. Il faut maintenant que les touristes reviennent dans un pays en plein chamboulement.

L'entrée de l'ancien palais du XVIe siècle a été condamnée. Aujourd'hui, les touristes entrent dans le Bardo, à Tunis, par une plaza aux allures d'établissement californien. Un immense hall blanc et des salles modernes viennent d'être construits, doublant la surface de l'ancien musée.
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L'hôtel Lambert incendié

Source : lefigaro.fr

L'Hôtel Lambert ravagé par les flammes

L'incendie s'est déclaré dans la nuit dans ce bâtiment parisien du XVIIe, classé monument historique, situé à la pointe de l'île Saint-Louis. Les pompiers ont réussi à circonscrire le feu à 7h30.

À 7 heures, mercredi, les pompiers étaient encore en train d'éteindre l'incendie qui s'est déclaré dans la nuit dans l'Hôtel Lambert, situé à la pointe de l'île Saint-Louis à Paris. Œuvre bâtie en 1640 par Louis Le Vau, architecte de Versailles, elle a été rachetée par le frère de l'émir du Qatar en 2007 à la famille Rotschild qui l'occupait depuis 30 ans.
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Source : latribunedelart.com

Incendie à l’hôtel Lambert

Nous ne savons rien de plus, pour l’instant, que ce que les images vidéos sur internet en disent : l’Hôtel Lambert à Paris a été en partie ravagé par les flammes cette nuit et ce matin. Actuellement, il semble que l’incendie soit sous contrôle et il est pour l’instant impossible de savoir l’étendue exacte des dégâts.
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Cabinet des bains de l’Hôtel Lambert : voilà ce que nous ne verrons plus

Le Cabinet des bains de l’Hôtel Lambert, peint par Eustache Le Sueur, était l’un des plus grands chefs-d’œuvre du décor mural français au XVIIe siècle. L’un des rares qui était resté en place. Tout ceci, désormais, n’existe plus. Certaines rumeurs indiquent que des fragments auraient été retrouvés dans les décombres mais hélas l’ensemble a bel et bien disparu.
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Source : lefigaro.fr

Les syndicats bloquent le Mont-Saint-Michel en plein Tour de France

Les salariés de la «Merveille de l'Occident» seront à nouveau en grève ce mercredi. Ils réclament une navette pour se rendre à leur travail.

Au Mont-Saint-Michel aussi, c'est la course contre la montre. Alors que le Tour de France est attendu mercredi, et que la saison touristique bat son plein, l'abbaye était fermée, mardi pour la deuxième journée consécutive, pour cause de grève.
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Source : latribunedelart.com

Urbanisme : Saint-Tropez, ville martyre ?

Comme nous le faisons désormais de plus en plus souvent, cet article est complété par un film (visible en bas de page). Les images que nous avons tournées témoignent encore mieux qu’un texte et quelques photos du sort aujourd’hui réservé à Saint-Tropez.
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Source : latribunedelart.com

Samaritaine : un déni de justice ?

Le 26 juin 2013, nous assistions à l’audience opposant, devant la juge des référés du Tribunal Administratif de Paris, la Samaritaine et la Ville de Paris aux associations contestant deux permis de démolir, l’un sur des éléments architecturaux du bâtiment inscrit aux monuments historiques d’Henri Sauvage, l’autre concernant plusieurs immeubles du XVIIIe et du XIXe siècle.
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Source : latribunedelart.com

La Place de Taksim de Henri Prost, une œuvre française à Istanbul

La Place de Taksim à Istanbul et le parc de Gezi qui la jouxte, qui sont à l’origine des événements récents, sont l’œuvre de l’architecte et urbaniste Henri Prost (1874-1959). Il s’agit d’un des principaux projets réalisés de son Plan directeur d’Istanbul étudié de 1935 à 1951, avec le boulevard Atatürk coupant la péninsule de Stamboul, et quelques autres boulevards.
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Source : latribunedelart.com

Le PLU de l’île Seguin annulé par le Tribunal Administratif

Nous n’avions pas encore parlé de l’île Seguin car ce sujet s’est toujours situé à la limite du champ couvert par La Tribune de l’Art. En effet, le projet de la Fondation Pinault, finalement annulé par le milliardaire lui-même devant la lenteur des procédures, fut une grande perte pour la France mais il s’agissait essentiellement d’art contemporain.
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

La Légende bretonne d’Edgard Maxence acquise par le Musée d’Orsay

Nous l’avions remarqué parmi les plus intéressants tableaux de la dernière foire de Maastricht (voir notre article) sur le stand de Jack Kilgore : La Légende bretonne, une œuvre d’Edgard Maxence, a été acquise par le Musée d’Orsay. Cet enrichissement est particulièrement judicieux : cette toile constitue sans aucun doute un des chefs-d’œuvre de l’artiste, d’une importance particulière pour l’art Symboliste et pour le patrimoine français.
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Un tableau de James Bertrand acquis par le Musée Anne de Beaujeu à Moulins

Le Musée Anne de Beaujeu à Moulins possède une riche collection de peintures françaises du XIXe siècle constituée depuis les années 1970 et qu’il continue d’enrichir. C’est ainsi que, cette année, il a acquis, auprès de la galerie Arsinopia à Saint-Ouen, un tableau de James Bertrand représentant Les corps des martyrs retirés des eaux du Tibre (ill. 1), signé, daté de 1861 et situé à Rome.
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Source : Patrimoine en blog

Suivez la restauration du bassin de Latone à Versailles

Sur le site internet du château de Versailles, il est possible de suivre les avancées du chantier de restauration de la fontainerie du bassin de Latone, pièce maîtresse des jardins d’André Le Notre.
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