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| | Revue de presse ( 28 octobre - 3 novembre 2013) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse ( 28 octobre - 3 novembre 2013) Mer 6 Nov - 11:19 | |
| Musées région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Argenton) L’art textile vu par cinquante créateurs Depuis le début du mois, le Musée de la chemiserie et de l’élégance masculine propose de découvrir, en partenariat avec Textile Résonance, une association de Bourges, une cinquantaine d’artistes français et étrangers. A l’atelier Textile Résonance, animé par Joëlle Jan-Gagneux depuis 2005, on promeut la recherche en matière de création textile, on étudie l’art du vêtement et on organise des expositions ou des visites, pour valoriser les artistes émergents, en lien avec le textile, comme c’est le cas actuellement au Musée de la chemiserie. Nr, Indre, 29/10, p.13
(Chartres) « Les belles histoires, j’adore ça ! »
Le musée de l’École ouvre ses portes, jusqu’à ce soir, aux enfants de 8 à 12 ans. Les enfants sont invités à découvrir l’univers des contes, et à se les approprier en réalisant eux mêmes leurs histoires. Dans un esprit d’apprentissage, «ils peuvent poser des questions pour savoir ce qui fait d’un texte un véritable conte» explique Josette, bénévole au musée. L'Echo, 30/10, p.11
(Chinon) A l’écomusée du Véron la semaine prochaine
L’écomusée du Véron propose une conférence archéologique, en partenariat avec le conseil général, jeudi 7 novembre, à 20h30, sur le thème «Chinon à l’époque romaine». Bruno Dufaÿ, conservateur du patrimoine et chef du service de l’archéologie du département d’Indre-et-Loire (SADIL), invite à découvrir Chinon à l’époque romaine. NR, Indre et LoireW, 02/11, p.17
(Vierzon) Plat en porcelaine au décor Art nouveau : d’où vient il ? Ce grand plat en porcelaine présente un très beau décor caractéristique du style Art nouveau. Il s’agit d’un courant artistique apparu à la fin du XIXe siècle qui se définit par l’usage de lignes courbes et par l’emploi d’une riche ornementation empruntée au monde végétal ou animal. Ce plat ne porte aucune marque qui permettrait d’éclairer sur sa provenance. Le service du patrimoine est à la recherche de renseignements qui pourrait l’aider à attribuer ce plat à une manufacture, enrichissant ainsi la documentation sur cet objet appartenant aux collections du musée de la ville. Au sein de l’exposition à voir actuellement, intitulée Le patrimoine de Vierzon se dévoile, vous pourrez découvrir ce plat, son pendant ainsi que les créations en grès flammés provenant de la manufacture DenBac, s’inspirant aussi de l’Art nouveau. (intégral) Le Berry, 02/11
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| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse ( 28 octobre - 3 novembre 2013) Mer 6 Nov - 11:20 | |
| Archéologie région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Déols) En quête de trésors au fond du puits
9 h, le foret a entamé sa laborieuse progression dans le sol, Alà où courra, dans plusieurs mois, la rocade Est de Châteauroux. Aux commandes : Yves Mangin, puisatier professionnel, venu d’Assay (Indre-et- Loire). Il a été appelé par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) après la découverte, sur le site, d’un puits datant de l’époque gallo-romaine (NR du 22 octobre). «Je dois le vider jusqu’à son origine», annonce-til. Pour l’heure, seul du remblai est extrait sous l’action de son engin. Le puits a été mis au jour à proximité des vestiges de trois temples gal lo-romains. A quelques mètres, Raphaël de Filippo, responsable d’opération, et des agents de l’Inrap fouillent les sédiments. «Pour le moment, on n’a rien sorti à part de la terre et des gravats. » Rien d’inquiétant. «Généralement, c’est à la fin du puits qu’on trouve des choses», relève Yves Mangin. Nr, Indre, 29/10, p.10
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse ( 28 octobre - 3 novembre 2013) Mer 6 Nov - 11:20 | |
| Patrimoine région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Laons) Une souscription pour rajeunir le clocher
Lors d’une opération de maintenance du système électrique de l’horloge de l’église Saint Martin à Laons, il est apparu une importante usure des poutres soutenant les cloches. Afin d’éviter tout accident, il a été décidé de ne plus sonner l’angélus à 7 heures, midi et 19 heures, tandis que le conseil municipal lançait la procédure de travaux de remplacement des pièces maîtresses du beffroi. Le montant total du chantier s’élève à 10.600 €. Le maire (divers droite) de Laons, Françoise Guillemet, vient de signer une convention avec Yves Jaquemet, délégué départemental d’Eure et Loir de la Fondation du Patrimoine, afin de lancer auprès de la population une souscription qui permettra d’obtenir des subventions. Cette souscription doit recueillir une somme égale à 5 % du coût hors taxe des travaux. Le village pourra bientôt revivre, trois fois par jour, au rythme de l’angélus. L'Echo, 28/10
(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (31) Lavoir, mon beau lavoir, dis-moi…
C’était au temps où l’on lavait le linge à l’eau des rivières. Au temps où les berges de l’Yèvre et du Cher résonnaient du cancanement des lavandières qui tapaient du battoir pour essorer les draps trempés. Pendant longtemps, les Vierzonnaises ont lavé le linge à même la berge. Sans toit, sans plancher pour poser les cabassons. Puis les lavoirs publics ont fait leur apparition. De la fin du XIXe siècle aux années 1920, Vierzon, ou plutôt les Vierzon, ont fait pousser aux bords de l’eau des abris pour celles qui trempaient dans l’eau leurs bras par tous les temps. Francis Fontaine, architecte et historien local, a répertorié les anciens lavoirs vierzonnais. Le plus vieux d’entre tous est l’un des rares qui existent toujours, celui du Bas de Grange. Les Vierzonnais qui empruntent la rue Alphonse Pradat le voient tous les jours. Le Berry, 28/10, p.15
(Saint Gondon) Le village, d’hier à aujourd’hui
Le vernissage de l’exposition de l’association Saint Gondon patrimoine historique intitulée «Saint Gondon d’un siècle à l’autre» a eu lieu samedi, à 18 heures, à la grange du prieuré. Une trentaine de personnes sont venues découvrir le visage de la bourgade au siècle passé et ont pu le comparer à celui d’aujourd’hui. Un résultat simplement remarquable Jean-Baptiste Poncet est collectionneur de cartes postales. Avec son ami Jacques Supplisson, photographe, ils ont choisi douze car tes postales très anciennes, représentant des sites remarquables du village. Ils les ont reproduites pour les mettre en vis à vis de photographies contemporaines des mêmes sites, prises sous le même angle, avec autant que faire se peut, le même cadrage. RC, Montargis/Gien, 28/10, p.12
(Sully s/Loire) Le village, d’hier à aujourd’hui
Voltaire, le président de la République MacMahon ou encore Jeanne d’Arc se promènent actuellement dans le château. Durant trois jours, jusqu’à demain, mercredi, le château de Sully accueille le tournage de son premier docufiction, retraçant en 12 minutes quelques moments forts de l’histoire de la forteresse. «C’est pour donner de la chaleur au château, dont les premières salles sont un peu froides, un peu vides. Ce film sera diffusé dans la toute première salle de la visite, pour que les visiteurs s’imprègnent des lieux dès le tout début de la visite», explique Florian Guillon, coproducteur avec Lise Verhasselt de ce petit documentaire. Celui ci a été commandé à la société de production ID Media par le conseil général, propriétaire du château. RC, Montargis/Gien, 29/10, p.11
(Saint-Gaultier) Première tranche de travaux en cours à l’église Un investissement de 50.000 €, subventionné à hauteur de 40% par la Direction régionale des affaires culturelles et à 20% par le Conseil général de l’Indre permet, dans le cadre d’une première tranche de travaux, de consolider sérieusement l’église. Sauf imprévus, la messe de Noël y sera donnée. Le début des travaux, après pratiquement une année de fermeture, est une bonne nouvelle pour les habitants de Saint-Gaultier. «Cette église connaît des mouvements liés au sol. L’étude, conduite depuis un an, est destinée à apprécier, les mouvements des fissures. Les contrôles vont être utilisés pour étudier la stabilité de l’édifice» a indiqué l’architecte du patrimoine, Marc Cioffi. Nr, Indre, 29/10, p.13
(Tours) La Subvention de saint Martin restaurée
C’est un curieux petit monument, juché sur l’enceinte gallo-romaine, au fond du jardin des Vikings, rue des Ursulines, qui vient d’être restauré. Certes, en soi ce n’est pas l’affaire du siècle, et Alain Devineau, l’adjoint au patrimoine, l’a bien dit samedi lors de l’inauguration de la Subvention de saint Martin : cette opération, incluse dans le plan d’embellissement de la ville, n’a du reste pas coûté bien cher. Mais elle présente un double intérêt. D’abord, elle permet de mettre un peu plus en valeur et de faire encore mieux connaître au public cette muraille romaine du IVe siècle, dont Xavier Rodier, qui dirige le laboratoire Archéologie et Territoires, rappelle qu’elle est une des plus importantes encore visibles de nos jours en France. Ensuite, ce petit édicule commémore un épisode méconnu de l’histoire de la ville : la subvention de saint Martin, qui nous reporte quelque 1.100 ans en arrière. Nr, Indre et LoireT, 29/10, p.9
(Noizay) A la découverte de l’église
Dans le cadre des visites et animations du patrimoine, Laurianne Keil, du Pays Loire Touraine, avait programmé la visite de l’église Saint-Prix, à Noizay. Sur le parvis, la conférencière était entourée d’une bonne trentaine de personnes. En 886, Noizay entre dans l’histoire sous forme latine de Nogaretum qui signifie un lieu planté de noyers, pour arriver, 700 ans plus tard, à Nouezay, dernière orthographe préliminaire à Noizay. Nr, Indre et LoireT, 29/10, p.17
(Loches) Delaporte, le Lochois explorateur
Nul n’est prophète en son pays. Même si le «découvreur» des merveilleux vestiges d’Angkor est né à Loches en 1842, on ne sait pas toujours ici qui est Louis Delaporte. Sa maison natale, au pied de la cité royale, est à peine signalée par une petite plaque. Pourtant, le célèbre musée Guimet, à Paris, n’hésite pas à parler de « figure emblématique » à propos du Lochois. Il en a fait le personnage central de sa nouvelle exposition qui, depuis le 16 octobre, aborde la «redécouverte» du patrimoine du Cambodge. Même son arrière-petit-fils, Jérôme Hayaux du Tilly, qui réside régulièrement à Loches dans la demeure de son aïeul, le reconnaît bien volontiers : «Dans la famille, on n’en parlait pas énormément. Nous étions loin d’imaginer tout ce qu’il représente et sa contribution à la connaissance de l’art khmer. En fait, on le prenait surtout pour un aventurier, un original. C’est une grossière erreur, largement réparée aujourd’hui par cette exposition sur mon arrière-grand-père qui me l’a en quelque sorte révélé». Contrat rempli pour le commissaire de l’exposition Pierre Baptiste qui explique que Delaporte «n’a jamais été ni un réel scientifique, ni un historien de l’art. Et donc dès la fin de sa vie, au milieu des années 20, il sera rayé des mémoires. Aujourd’hui, à travers cette exposition, nous souhaitons réhabiliter ce personnage». Nr, Indre et LoireE, 29/10, p.15
(Orleans) La commode d’époque retourne à Sully-sur-Loire
Samedi, l’hôtel des ventes, 64, rue du faubourg Madeleine, a mis en vente des objets provenant du château de Miramion, à Saint-Jean-de-Braye, récemment racheté par la ville. Le résultat le plus important de cette vente concerne le rachat, par le conservateur du château de Sully-sur-Loire, d’une commode d’époque Régence, pour la somme de 16.300 euros. Pour la petite histoire, cette commode proviendrait de l’incendie qui a ravagé l’aile nord du château au début du XXe siècle. Lieu où elle reprendra sa place. (intégral) RC, Orleans, 30/10
(Sully s/Loire) La Murder Party d’Halloween vous attend
Halloween dans toute sa splendeur : une «Murder Party» sera organisée demain jeudi, veille de la Toussaint, au château de Sully sur Loire, sur le thème des guerres de religion. Dans une atmosphère de château hanté, de nuit, armé seulement d’une lampe de poche, le public est invité à chercher les indices permettant d’éclairer un épisode de la vie du très catholique duc de Guise, permettant de comprendre les raisons qui ont présidé à son assassinat en 1563. Parcourir les pièces du château dans la nuit, attentif aux bruits sinistres, tout en jouant les enquêteurs chevronnés, en essayant de ne pas se perdre dans les labyrinthes d’escaliers… Voilà de quoi offr ir aux audacieux une belle poussée d’adrénaline. (intégral) RC, Montargis/Gien, 30/10
(Villandry) Saint-Étienne et les passeurs de pierre
La première réunion publique de la nouvelle association de sauvegarde du patrimoine colombien, Villandry passeurs de pierre, s’est tenue vendredi dernier, à la salle associative. Si le premier dossier dont s’est saisie l’association est celui de la restauration de l’église Saint Étienne, il ne sera pas le seul, comme l’a déclaré Laura Lemercier, la présidente. «Notre but est la sauvegarde du patrimoine confessionnel, historique ou culturel. L’église est notre premier dossier et c’est sans doute celui qui sera le plus cher. Avec Jacky Bourdon notre secrétaire nous vous avons préparé un diaporama qui devrait vous sensibiliser à l’importance de sa sauvegarde. Le budget pour sa restauration complète avoisinera le million d’euro, une somme sans doute inaccessible pour la commune.» Nr, Indre et LoireT, 30/10, p.14
(Noizay) Après une bonne saison les projets du Clos-Lucé
La mondialisation touche aussi Léonard de Vinci ! François LSaint-Bris, le patron du Clos-Lucé, est ainsi invité à Washington pour une conférence sur le génie qui est venu terminer sa vie à Amboise. «Il nous faut démultiplier la promotion de l’offre à l’étranger», souligne M. Saint-Bris qui constate que la clientèle américaine est en hausse cette année avec près de 20.000 visiteurs. A Amboise, la saison se termine avec les vacances de la Toussaint. Actuellement, le Clos-Lucé enregistre des journées à 1.000, voire 1.300 visiteurs venus souvent en famille, les vacances profitant d’un temps clément. L’année 2014 est déjà dans les esprits. Concrètement, ce sont d’abord les travaux pour la rénovation et la mise aux normes du hall d’accueil, de la billetterie et du grand escalier qui ont commencé. Nr, Indre et LoireE, 30/10, p.18
(Orleans) L’histoire médicale du quartier ouest
Le quartier ouest d’Orléans est en pleine mutation. Après la disparition de la plupart de ses annexes, l’hôpital voisin de la Madeleine partira prochainement. La clinique de la Reine Blanche, elle, a déjà déménagé. Pourtant, depuis le XVIe siècle, les faubourgs ouest ont été les témoins du développement des structures médicales à Orléans. Deux associations, l’Adaqoo (défense et aménagement du quartier ouest d’Orléans) et l’Apho (association des amis du patrimoine hospitalier d’Orléans) ont retracé l’histoire des établissements hospitaliers dans le quartier. RC, Orleans, 31/10, p.16
(Saint-Cyr-sur-loire) Sur les chemins des moulins sur la Choisille
Lors de la dernière réunion de l’association Hommes et Patrimoine, Gérard Macquarez et Pierre Laurens ont présenté «Les Moulins de la Choisille» devant un public passionné et en présence d’anciens ou d’actuels habitants de ces édifices mythiques. Un vaste sujet lorsqu’on sait que cette activité de meunerie existait ici dès l’époque gallo-romaine et qu’aux XIVe et XVe siècles, les moulins approvisionnaient en farine la ville de Tours. Pour traiter ce vaste sujet, les deux chercheurs ont choisi de parler des huit moulins situés sur les quatre kilomètres où la Choisille longe Saint-Cyr. NR, Indre et LoireT, 01/11, p.14
(azay-le-rideau) Mots d’amour au château
Le château d’Azay-le-Rideau a vibré, samedi, sous le charme des mots d’amour envolés. A l’occasion de la manifestation '«Mots nus», une équipe de jeunes comédiens du Conservatoire d’art dramatique de Tours a en effet animé avec beaucoup de talent alcôves, boudoirs et oratoire par des lectures intimes de textes amoureux qui ont séduit nombre de visiteurs comme Pascale et Geneviève, de Poitiers, qui avaient choisi spécialement ce jour-là pour venir découvrir le monument. Elles n’ont pas été déçues et en parcourant le château, elles ont été émues par les derniers poèmes de Desnos, ont épousé la douleur de Musset dans ses cris d’amour à George Sand ou vibré aux appels passionnés de Juliette Drouet pour Victor Hugo. «Un moment privilégié de romantisme dans un cadre parfaitement adapté», on t elles commenté. Une initiative à renouveler, avec des comédiens en costumes d’époque peut-être, pour apporter plus de rêve encore à ces moments d’exception. (intégral) NR, Indre et LoireW, 01/11
Pontlevoy Les jeunes du Bocal découvrent le puits oblique
Les anciennes carrières classées de Pontlevoy réservent encore quelques belles découvertes aux chercheurs. Depuis septembre dernier, les adolescents du Bocal, association de l’accueil jeunesse de Famille rurale de Pontlevoy, ont entrepris de restaurer un puits oblique situé dans la carrière du haut de la Plaine Saint-Gilles, en bordure de la zone d’activité du bourg. Le puits oblique est une construction simple, en tous points semblable à une cave. Un escalier à ciel ouvert d’une dizaine de marches, donne accès à l’ouverture d’un édicule de pierre à l’intérieur duquel l’eau affleure. Régis Bourdin, ancien maçon, dirige le chantier de restauration. Régis fut l’un des derniers carriers de la commune et se souvient que la plupart des carrières disposaient d’un puits. Nr Loir et Cher 01/11 p 5
(Vendôme) Les futures énigmes du château de Rocheux
Propriétaire des lieux depuis 1998, Laurent Guerre-Genton a toujours souhaité valoriser le domaine qui se situe entre Fréteval et Lignières. Avec sa femme, Marianne, ils ont d’abord ouvert des chambres d’hôte, dès 1999, puis ont accueilli différentes manifestations dans le domaine de la culture ou des traditions locales. Parallèlement, ils ont conduit les travaux de restauration indispensables comme la réfection des toitures pour les communs et le château. Riche d’une expérience professionnelle dans l’hôtellerie et la restauration, Laurent Guerre-Genton a décidé de se consacrer pleinement à ce projet en gestation depuis deux ans dont l’objectif de départ était l’ouverture au public dans une démarche originale ne se limitant pas à des visites historiques qui visent principalement un public adulte. «Le déclic s’est fait avec la rencontre de Philippe Lapouyade, propriétaire et concepteur du château à énigmes d’Usson, en Charente-Maritime. Selon un thème renouvelé tous les quatre ans, il propose un parcours dans son domaine ponctué par une vingtaine de jeux, des énigmes selon trois niveaux de difficulté, ce qui permet de toucher toutes les tranches d’âge.» Nr, Loir et Cher, 02/11, p.18
(Rivarennes) Encore quelques euros pour le clocher de l’église
Un avenant à la convention souscrite le 1er avril 2011 entre la Fondation du patrimoine et la commune se rapportant à la campagne de souscription dont l’objectif est de recueillir des fonds pour la restauration de l’église a dû être signé. Le nouveau montant de l’investissement pris en compte par la Fondation du patrimoine est de 14. 815 € HTau lieu de 91.396€. L’apport fait par la souscription doit représenter 5% du montant des travaux, soit 7.491 €. Actuellement le montant collecté est de 6.985 €, soit un manque de 506 €. Cette souscription conditionne le versement de la subvention de la Fondation du patrimoine, qui s’élève à 20% du montant des travaux. La souscription est toujours ouverte, et ceci jusqu’à la réception définitive des travaux. Les dons pour cette sauvegarde sont déductibles des impôts sur le revenu à hauteur de 66%, c’est dire qu’un don de 30 € ne coûtera aux contribuables que 10 €. (intégral) Nr, Indre et LoireW, 02/11
(Saint-Nicolas-de-Bourgueil) On a retrouvé le puits de Saint-Nicolas
Devenue commune après la Révolution, Saint-Nicolas-de-Bourgueil n’avait pas d’église sur son territoire ; l’église de la paroisse Saint-Nicolas, en mauvais état, ainsi que le cimetière, étaient sur le territoire de Bourgueil. Après la décision de construire une nouvelle église qui serait le centre d’un bourg, au croisement des routes principales, celle de Chouzé à Vernoil et celle de Bourgueil à Angers, qui traversaient alors Saint-Nicolas-de-Bourgueil, comme on était loin de toute habitation, pour alimenter en eau la construction du chantier de l’église, de 1832 à 1834, il avait fallu créer un puits, dont l’emplacement avait été oublié. Les travaux actuels de remodelage de la place de l’église ont permis de le retrouver. Nr, Indre et Loire, 03/11, p.9
(Loches) Environ 20.000 € à la rescousse de la porte royale
La souscription populaire lancée par le fonds de dotation privé «Loches Patrimoine et Culture» a rapporté à ce jour 10.000 €. Dernier coup de pouce en date : la compagnie Quintefol a remis hier 475,50 €, soit l’équivalent de la recette d’une représentation sur les quatre qu’elle a données en mai de la pièce «Le Grand Barouf», mise en scène par Michael Sadler. Au final, le fonds devrait rajouter, sur ses fonds propres, 10.000 € supplémentaires à ce que la souscription (*) a rapporté. Le coût total des travaux d’étanchéité de la porte est estimé à 130.000 €. La Ville, qui table sur 40% de subvention de l’État et du conseil général, doit combler la différence. La municipalité espère un début du chantier «dans les mois qui viennent». (intégral) (*) Qui s’achève au 31 décembre, sauf reconduction. Nr, Indre et Loire, 03/11
Grand témoin de la NR Dimanche : “ Saint Martin est une chance pour la Touraine ”
L’Été de la Saint-Martin est arrivé : Antoine Selosse, évoque ce personnage emblématique. Directeur du Centre culturel européen saint Martin, qu’il a créé en 2004, Antoine Selosse consacre son temps à faire rayonner le nom et l’oeuvre de saint Martin de Tours, en Touraine, mais aussi en France, en Europe et même en Amérique du Sud. Nr, Indre et Loire, 03/11, p.13
(Vatan) Vitraux de l’Indre au XXe siècle
Le Moyen Age n’est pas le seul dépositaire des belles fabrications de vitraux. Les vitraux contemporains du XXe siècle réalisés dans l’Indre sont regroupés dans un ouvrage réalisé par l’inventaire du Patrimoine de la Région Centre. L’exposition présentée jusqu’au 2 décembre à la bibliothèque de Vatan permet d’en découvrir quelques-uns. L’Indre compte 35 % de son patrimoine en vitraux modernes. Cette exposition s’agrémente des oeuvres de Magali Moulins, artiste verrier, installée à Valençay, et permet d’entrevoir l’art du vitrail moderne : outils, technique et réalisations. (intégral) Nr, IndreW, 02/11
Une balade dans la mémoire de Luray
Le nombre de places est limité à 75 et la visite risque fort, comme les autres, de se jouer à guichets fermés. C’est que l’occasion ne s’offre pas tous les jours d’une visite guidée dans les rues de Luray, qui plus est sous la conduite du maire ! Pour l’occasion, il sera accompagné de Chantal et Claude Hervieu, tous deux membres de la commission culturelle présidée par Marie-Madeleine Vandromme. «Ils connaissent très bien la commune tous les deux», souligne Alain Fillon. «Chantal est une enfant du pays. Quant à Claude, il a publié l’an denier un ouvrage sur la vie locale aux XIXe, XXe et début du XXIe siècles. Nous voulons évoquer ces mémoires à travers cette promenade.» L'Echo, 01/11, p.14
(Villebon) A la découverte du château
De nombreuses familles se sont déplacées pour participer à la seconde édition des Petits ambassadeurs, proposée en partenariat avec le Comité départemental du tourisme et les propriétaires de la magnifique forteresse militaire construite à la fin XIVe siècle. «C’est une autre façon de faire découvrir le château avec une balade, en toute liberté, autour de l’édifice suivie de l’explication du fonctionnement du pont levis et des découvertes de la salle des gardes du Duc de Sully, des anciennes cuisines et de la galerie», détaille Jean de La Raudière. L'Echo, 03/11, p.8
(Orleans) La recherche bientôt en centre-ville
Pour la première fois, le personnel du Studium a pu visiter ses futurs locaux de travail. C’était le 17 octobre dernier, dans le bâtiment historique de l’hôtel Dupanloup. L’agence régionale dédiée à la recherche, actuellement basée sur le campus du CNRS à La Source, y occupera quelque 300m², «dans l’aile qui donne sur le jardin de l’Évêché», précise Paul Vigny, le président. Rencontre entre l’ancien et le design « Nous y installerons nos bureaux, ainsi qu’un club Studium (une grande salle ouverte aux chercheurs et au public, ndlr) beaucoup plus grand et beaucoup plus confortable.» Mais le Studium ne sera pas le seul à bénéficier de cette vitrine exceptionnelle en centre ville. Il cohabitera avec une antenne de la direction des relations internationales de l’université, dédiée à l’accueil des chercheurs étrangers, des délégations étrangères, à l’organisation de colloques… RC, Orleans, 01/11, p.9
(Sully sur Loire) L’histoire criminelle entre en scène
Le château de Sully accueille cet après midi un spectacle qui sort de l’ordinaire. Les archives du Loiret proposent, à 15 heures, une pièce mettant en scène des histoires tirées des annales judiciaires du Département. Intitulée «Jugé coupable ?», elle présente un récit au cours duquel des affaires criminelles emblématiques ou atypiques du Loiret sont lues. L’histoire qui sera racontée est celle d’Alexis et Mélis. Ces deux personnages en visite aux Archives mènent l’enquête à la poursuite de témoignages et de comptes rendus de gendarmerie. Ainsi, deux comédiens professionnels interprètent à voix haute des textes littéraires, des documents administratifs, des correspondances. Les documents sont utilisés comme des sources capables de restituer tant le réel que la violence des rapports de pouvoir, des rapports sociaux ou des relations entre individus. RC, Orleans, 03/11, p.19 | |
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