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| | Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mer 6 Nov - 15:08 | |
| Musées région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(La Couture Boussey) Un inventaire des fabriques d’instruments
Les élus ont décidé de s’associer à une campagne d’inventaire du patrimoine lié à la facture instrumentale, pilotée par le conseil général. L’opération va concerner quatre communes du bassin couturiot : La Couture Boussey, Ivry la Bataille, Ezy sur Eure et Garennes sur Eure. Industrie spécifique Ce territoire est reconnu pour sa maîtrise dans la fabrication des instruments à vent depuis le XVIIe siècle, qui connaîtra un essor tout particulier au XIXe siècle avec l’industrialisation et la production de masse de flûtes traversières, de clarinettes, de hautbois et de saxophones. L'Echo, 04/11, p.18
(Chateauneuf s/Loire) Une conférence avec les Amis du musée
Dans le cadre de l’exposition temporaire «Au fil de la Loire, plaisance et canotage», présentée par le musée de la Marine de Loire, jusqu’au vendredi 31 janvier, les Amis du musée proposent, demain, une conférence intitulée «Aux sources de la plaisance en Loire, 1850-1950». Elle sera animée par Philippe Auclerc, journaliste et rédacteur en chef du magazine «La Loire et ses Terroirs». RC, Montargis/Gien, 04/11, p.15
(Vierzon) Délicates tasse et soucoupe de la manufacture Hache
Au début du XXe siècle, Vierzon compte une dizaine de manufactures qui travaillent la porcelaine. L’une d’entre elles, la manufacture Hache, est particulièrement réputée pour sa production de grande qualité. À l’exposition universelle de 1889, elle obtient un grand prix, avec les marques Sèvres et Haviland, de Limoges. Les membres du jury soulignent alors la qualité de son travail et expriment leur admiration devant la réalisation de tasses à dessins ajourés dont seul l’émail remplit les vides. Les collections du musée conservent précieusement un de ces fragiles exemplaires, à découvrir dans l’exposition Le patrimoine de Vierzon se dévoile, ainsi que d’autres objets réalisés par cette manufacture. Afin d’enrichir la documentation du musée sur l’histoire de cette manufacture et de toutes celles qui étaient présentes à Vierzon, le service patrimoine recherche des photographies d’ateliers, de documents anciens (papier à en-tête, catalogue commercial) ou des pièces qui pourraient faire l’objet de dons ou de prêts. Le Berry, 09/11
(Saint Amand) Quatrième et dernier crime de la saison
En forme de plaisir théâtral à consommer sans modération, un quatrième crime a été commis ce vendredi soir, au musée Saint Vic de Saint Amand, pour le bonheur d’une petite trentaine d’apprentis enquêteurs visiteurs, venus s’aguerrir à la recherche de l’assassin. L’équipe de comédiens bénévoles, réunie autour de Gaël Chênet, animateur du réseau de la Route Jacques Coeur, a montré une nouvelle fois un savoir jouer totalement bluffant. Jean-Eudes de Breuil, Maryse de la Touffe d’autruche, Saturnin Pinsseault, Paul Manivelle et Laëtitia Stiquet, les protagonistes de l’histoire, sont des personnages à la fois hauts en couleurs et au verbe étonnamment acéré. Une fois l’intrigue posée et le crime commis, les enquêteurs amateurs ont été conduits par Madame Delcourt, adjointe fictive à la culture, dans la salle de l’ancien tribunal de la ville, pour soumettre les suspects à un flot ininterrompu de questions. La victime, Laëtitia Stiquet, est morte quatre fois au cours de l’été. Ce vendredi, son dernier assassin était une femme. (intégral) Le Berry, 10/11
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 12 Nov - 15:02, édité 4 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mer 6 Nov - 15:09 | |
| Archéologie région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Chartres) Le sanctuaire gallo-romain se dessine
Cela faisait sept ans que les archéologues de la Ville en rêvaient. Mais cette fois ci, il semble bien qu’ils aient trouvé une partie de l’enceinte sacrée, appelée péribole, qui entourait le sanctuaire gallo romain de Chartres, l’un des plus importants du monde antique. «Nous pensons avoir découvert une partie du mur du péribole ouest», confie Bruno Bazin, archéologue à la ville de Chartres et responsable de la fouille sur le site de Saint Martin au Val. «Cette découverte devrait nous permettre d’établir la limite ouest du sanctuaire.» Deux mètres de large Le chantier doit se terminer pour laisser place aux travaux que souhaitent réaliser les propriétaires du terrain sur lequel fouille l’équipe. + «Ce n’est quand même pas banal d’avoir un mur romain chez soi» L'Echo, 04/11, p.7
(Chartres) « L’espoir de trouver le temple »
L’opération de fouilles, menée à l’intérieur de l’église Saint Martin, permet de mettre au jour, un sondage effectué au XIXe siècle par un notable local : Adolphe Lecocq. Bruno Bazin, responsable scientifique du projet, est un peu déçu de découvrir des perturbations liées à l’intervention du XIXe, dont le but principal était de «prélever des objets». Travaux en retard Le sondage d’Adolphe Lecocq, que les archéologue ont repéré sur environ 10 mètres par 5, a été «totalement comblé avec un sédiment très léger », témoigne Emilie Portat, archéoanthropologue. Elle confie, rasette à la main, avoir «davantage l’habitude de travailler avec des outils de dentiste qu’avec ceux d’un jardinier». Même si les vestiges de sépulture datent des VIe et VIIIe siècles après Jésus Christ, les archéologues, qui fouillent à un peu moins de deux mètres sous l’actuel niveau de sol de l’église Saint Martin, sont encore loin de ce qui reste leur objectif : mettre au jour d’éventuelles connexions avec la période de construction du sanctuaire, 70 ans après JC.. L'Echo, 07/11, p.11
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mer 6 Nov - 15:10 | |
| Patrimoine région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Blois) Disparition annoncée d’un vestige du patrimoine
Le 12 novembre, l’un des ultimes vestiges du patrimoine ferroviaire de Blois sera détruit. La rotonde, implantée sur l’îlot ouest du projet gare, subira les premiers assauts. Une grosse déception pour Nicolas Viault, héraut du patrimoine industriel blésois. Le jeune homme, diplômé d’arts appliqués de Paris - Olivier de Serres (ENSAAMA) et de l’école d’architecture de Paris La Villette, ne se console pas de cet enterrement qu’il considère prématuré. Pour ce passionné, les rotondes ferroviaires (une soixantaine en France) ont leur place au panthéon du patrimoine architectural, au même titre que les châteaux de la Loire. Il s’est penché studieusement sur leur histoire et a fait de nombreuses recherches sur celle de Blois. «Sa charpente de métal, typique de l’architecture industrielle du XIXe siècle», est une merveille d’ingéniosité pour Nicolas Viault. NR, Loir-et-Cher, 04/11, p.8
(Chargé) La toiture victime du temps qui passe
La municipalité de Chargé vient de faire réaliser des travaux sur la toiture de l’église Saint-Marc, à hauteur du cœur. «Ces travaux étaient indispensables car il tombait de l’eau à l’intérieur, confie le maire, René Clerquin. Les travaux ont été confiés à une entreprise locale pour la somme de 13.000 euros.» D’autres travaux sont envisagés : la mise en état du système de chauffage, d’abord, puis la consolidation du vitrail du cœur de l’église, ensuite. A noter : la toiture du bâtiment principal de l’école Artigny a également été refaite. Des décisions sages à l’approche de l’hiver. (intégral) NR, Indre et LoireE, 04/11
(château-renault) Vallée de la Brenne : inventaire du patrimoine
Les passionnés du patrimoine étaient au rendez vous à Château-Renault jeudi. Pas moins de 50 personnes sont venues assister à une présentation riche et illustrée de la mission d’inventaire du patrimoine culturel actuellement en cours sur la vallée de la Brenne. L’aire d’étude se compose des neuf communes de la partie tourangelle de la vallée, trait d’union entre les plateaux de la Gâtine Tourangelle et le Val de la Loire. Commencée en 2010, l’étude a concerné jusqu’à présent Vernou-sur-Brenne, Chançay, Reugny, Neuillé-le-Lierre, Villedômer et Auzouer-en-Touraine (en cours). Suivront Château-Renault et Le Boulay (prévues en 2014) et Neuville-sur-Brenne (début 2015). NR, Indre et LoireE, 04/11, p.20
(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (32) Sur la piste des lavoirs presque oubliés
On le croise sans forcément le remarquer, sans savoir ce qu’il est. Il faut dire que ses airs de simple garage y sont pour beaucoup. Le petit édifice au toit ajouré rue Jeanne Labourbe, aux murs gris, est un survivant du temps des lavandières. C’était un lavoir public, bâti en 1925. Comme lui, les lieux destinés aux lessives étaient nombreux de par la ville, en ces temps où la machine à laver n’existait pas. Dès les dernières décennies du XIXe siècle, puis au début du XXe siècle, les lavoirs publics poussèrent comme des champignons. Un autre d’entre eux est toujours debout. Pour le trouver, il faut se rendre à Bourgneuf. Situé au pied du château d’eau, au coin de la rue du même nom, il porte toujours sa plaque : «lavoir public». Mais d’autres lavoirs n’existent plus du tout. Le Berry, 04/11, p.15
(Les Pinthières) Le clocher sera restauré sur le sol
Opération périlleuse et spectaculaire, jeudi, autour de l’église des Pinthières. Les travaux de rénovation de l’ouvrage, désaffecté depuis d e nombreuses années, imposaient de déposer le clocher pour que charpentiers et couvreurs puissent intervenir en toute sécurité. Tout en douceur, avec d’infinies précautions, le grutier a habilement manoeuvré pour le mettre au sol. Une fois rénové, il sera réinstallé, sans doute en janvier prochain. La réalisation de ces travaux, dont la première tranche s’élève à quelque 134.000 €, n’a pu être possible que grâce à la ténacité des membres de l’ARPP (Association pour la restauration du patrimoine des Pinthières), créée en 2006. Un espace dédié aux associations Ils ont recherché des fonds (enveloppe parlementaire, Conseil général…) mais aussi organisé des actions au bénéfice de cette rénovation. L’église Saint Martin, une fois restaurée, n’a pas vocation à redevenir un lieu de culte. Elle deviendra un espace où pourront se réunir les associations du village. (intégral) L'Echo, 05/11
(villaines-les-rochers) Rénover pour demain dans le respect d’hier
Le grenier de la Maison du village était le centre d’une activité intense, samedi. Un chantier encadré par Jean-François Elluin, avec l’aide de l’entreprise Touraine Chanvre, y était organisé par Maisons paysannes pour neuf adhérents, parmi lesquels beaucoup de jeunes dont plusieurs femmes. Tous ont acheté une maison ancienne et ils sont venus chercher là un savoir-faire, apprendre les bons gestes et les normes pour l’isolation de leur demeure avec des matériaux compatibles et biosourcés. Nr, Indre et LoireW, 05/11, p.18
(Amboise) Le Bout-des-Ponts, cas d’école pour les maçons
Chez elle, tout accroche : son nom, Notre-Dame-du-Bout-des-Ponts, et sa jolie petite forme, qu’on aperçoit de loin, depuis le centre ville, sur l’autre rive de Loire. «Elle est particulière, cette église. Elle est toute simple, mais elle ne ressemble à aucune autre. Les gens l’apprécient beaucoup. Sur le parvis, le soir, on voit toutes les lumières de la ville tomber dans l’eau, et le château. C’est un ravissement.» Romaine Coïdo est l’épouse du sacristain, Jean. C’est elle qui est chargée du fleurissement de Notre-Dame-du-Bout-des-Ponts, et elle veille au bon déroulement des travaux de rénovation qui ont commencé début octobre : «Les paroissiens sont très contents. Pour la sécurité, c’est bien.» Car l’enduit abîmé de la façade nord, le long de la route départementale qui file vers Blois, se détachait par endroits, menaçant de tomber sur les passants. C’est justement par ce côté qu’a débuté ce chantier de rénovation pas tout à fait comme les autres : un chantier-école, mené par la Ville et l’association GDP, destiné aux maçons de la mairie, afin de développer leurs compétences, notamment en taille de pierre : «C’était une idée de notre élu référent, Daniel Duran, adjoint aux bâtiments, explique Christophe Stocky, directeur du service.» Nr, Indre et LoireE, 06/11, p.19
(Romorantin) La porte des Béliers rachetée par la Ville
La porte des Béliers de l’ancienne usine Matra revient d ans le giron municipal. C’est la décision qui a été officialisée, lundi, à l’issue du vote du conseil municipal. La fin d’un feuilleton démarré il y a trois ans, après le souhait de la commune de vendre à Batiterre la porte inscrite sur l’inventaire complémentaire des Monuments historiques. Une «hérésie» dénoncée une nouvelle fois, lundi soir, par Yvon Chéry, de la liste «Dialogues à gauche». «Face au contexte économique, le promoteur arrête les opérations», explique Jeanny Lorgeoux, sénateur maire de Romorantin. «Ils ne pourront rien faire d’ici à deux ans.» Un délai que la commune n’est pas prête à attendre. Et pour cause : l’état de la bâtisse en dépend. Nr, Loir et Cher, 06/11, p.17
(Orleans) Route impériale en danger
Elle est discrète, fondue dans la façade marron du 3, faubourg Saint Jean. Elle, c’est une plaque de cocher impériale, datant de 1824 (second Empire), qui indique la route n°155, qui reliait Orléans à Saint Malo, en passant par Châteaudun et Alençon. Elle s’appelait, sous Napoléon 1er, route 175. Mais après la chute de l’Empire, la France ayant été rétablie dans ses frontières de 1792, un certain nombre de routes ont été renumérotées. Aujourd’hui, elle est menacée par le devenir de l’immeuble sur lequel elle est accrochée, promis à la démolition. RC, Orleans, 07/11, p.17
(Langesse) L’histoire du village vient d’être publiée
Dix ans ! Il a fallu dix ans à Hervé Bozec, enseignant très attaché à Langesse, petit village boisé dont le territoire est couvert d’étangs et autrefois de marais, pour écrire un très bel ouvrage illustré de 554 pages, qui raconte le quotidien des habitants, de 1590 à 1940 : «Langesse au fil du temps». Ce livre était un défi. Le lecteur pourra juger de la performance, en lisant moult détails chronologiques de la vie d’autrefois, après que l’auteur, patient et méticuleux, a consulté avec persévérance de multiples documents issus de la paroisse, des registres de la mairie ou en provenance des archives du Loiret. RC, Montargis/Gien, 07/11, p.13
Deux cents ans d’histoire porcelainière
C’est une somme qu’Henri Letourneau a façonnée. Une copieuse histoire de la porcelaine dans le centre de la France qui, pour le moment, tient dans d’épais dossiers, en attente de publication. «Il y a assez de matière et de documents pour faire trois tomes», précise t il. L’ancien professeur d’histoire géographie au lycée Vaillant, également maire de Dampierre en Graçay, est spécialiste de l’histoire industrielle de la région. Il a soutenu une thèse en Sorbonne, en 1987, consacrée à l’industrie en Berry, Bourbonnais, Marche et Nivernais. Et il s’est attaché à reconstituer deux cents ans d’histoire d’un pan fondamental de l’industrie locale. Au centre de ses recherches, le Cher et Vierzon bien sûr, centre porcelainier majeur, mais aussi l’Allier, le LoiretCher et la Vienne. Ses travaux historiques ont conduit Henri Letourneau à éplucher un grand nombre de documents, glanés notamment aux archives départementales ou municipales. Le Berry, 07/11, p.19
(Saint-Satur) COMMERCE CENTENAIRE (1) Après cent ans, c’est toujours le bazar
On ne saura probablement jamais quel âge il a. Mais ce qui est sûr, c’est que le Bazar berrichon de la rue du Commerce fait partie intégrante de l’identité de la cité gordonnienne. Ce commerce a marqué toutes les générations, comme l’explique Arlette Bonlieu, fille d’anciens propriétaires. «Il y avait tout le temps du monde. À n’importe quelle heure, les clients venaient au bazar. C’était ouvert toute la journée, jusqu’à tard le soir.» Une transmission de génération en génération Chapellerie, poteries, peintures, quincaillerie, tissus, vaisselle… le magasin vendait de tout et faisait figure de grande surface à une époque où la rue du Commerce accueillait une multitude d’artisans. Le Berry, 07/11, p.19
(Amboise) Martin, le saint qui fit refleurir les rosiers
A partir de demain matin se déroulent les festivités de “L’Été de la Saint-Martin”. Une manifestation qui prend chaque année plus d’importance. + ••• Laissez-vous conter Tours : Dans son programme «Laissez-vous conter Tours», le service municipal du patrimoine a intégré cet «Été de la Saint-Martin» : trois rendez vous sont proposés au public. Nr, Indre, 07/11, p.13
Candes fête le retour des cloches
Samedi 9 novembre à 11 h, Candes-Saint-Martin va fêter la fin de la première tranche des travaux de la collégiale, à l’occasion du retour de Marie-Louise, la grande cloche classée de 1724 qui était partie en restauration. Il s’agit de rendre hommage à tous les corps de métier, qui ont accompli un superbe travail, mais aussi de remercier tous ceux qui l’ont rendu possible de l’Etat au Département en passant par la Région et l’Europe. La première tranche comportait la restauration de la charpente, de la couverture du clocher et de son fût, de la charpente et du plancher du beffroi qui héberge les cloches. A quoi s’ajoutent la réfection et la mise en sécurité des circuits électriques et de l’éclairage, l’installation d’un nouveau paratonnerre et d’une alarme incendie dans les combles. L’apparence du clocher a été légèrement affinée sans toucher à la charpente. NR, Indre et LoireW, 07/11, p.18
Tourisme : Chambord fait sa révolution dans la douleur
Chambord, son château, ses 755.000 visiteurs par an et son hôtel-restaurant aux moquett es élimées, ses commerces vieillots, ses terrasses de la place où il est impossible de boire un verre après 19h... Pour enfi n rénover les conditions d'accueil du lieu, le Domaine de Chambord doit aff ronter depuis des années, le maire, une poignée de commerçants, une presse régionale hostile et un quarteron de sénateurs locaux... Récit d'une histoire bien française. Tribune Orleans, 31/10, p.15
Saint-Martin de Tours renaît de ses cendres !
En 2016, pour le 1700e anniversaire de la naissance de Saint-Martin, la ville de Tours, en association avec le Centre Culturel Européen Saint-Martin, souhaite raviver tous les lieux et monuments liés à la mémoire de l'évangélisateur des Gaules. Tribune Orleans, 31/10, p.15
(Orleans) Petit clocher gris s’envolera
Quai du Fort Alleaume, derrière l’école d’artillerie, par delà le château de La Motte Sanguin, une étrange forme attise la curiosité des r iverains ayant vue sur l’arrière de la demeure du XVIIIe siècle. Dans les jardins nord du château donc, certains décrivent une tourelle en construction. Pas loin, mais pas tout à fait ça… Il s’agit précisément d’un petit campanile d’1,7 tonne pour quatre mètres de haut, «en zinc, plomb et ardoise», précise l’un des ouvriers travaillant dessus. Éric Thénot, directeur de l’entreprise Delestre (basée à Blois/spécialisée dans la reprise de bâtiments historiques), explique avoir dessiné le campanile «en fonction des prescriptions historiques et architecturales de la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) et de celles de l’architecte du patrimoine». RC, Orleans, 08/11, p.18 (Trainou) Patrimoinel dévoile l’histoire de l’église
Ils avaient déjà accompli un travail important sur les Poilus de Traînou et la Première guerre mondiale. Les bénévoles adhérents de Patrimoinel s’attaquent désormais à l’histoire de l’église et à ses secrets. Patrimoinel s’est, en effet, donné comme but de partager la connaissance du patrimoine local, matériel et culturel. Et, l’église est l’édifice le plus important de la commune, qui en est propriétaire. Nombre de personnes n’imaginent pas l’histoire et les mystères de cet édifice, dont le premier bâtiment daterait de 1025. RC, Beauce, 08/11, p.19
(Saint Amand) L’église en travaux après les fêtes ?
«Les travaux dans l’église, les gens me disent que cela fait vingt ans qu’on en parle, explique Thierry Vinçon, maire de Saint Amand. Ce n’était pas une de mes promesses de campagne. Ce n’était pas dans mes projets.» Pourtant la rénovation de l’intérieur de l’église est bel est bien dans les tuyaux. «J’aimerais que l’engagement de la première tranche débute après les fêtes de Noël», précise le maire de Saint Amand. La maîtrise d’œuvre est confiée à une architecte mandatée par la direction régionale des Affaires culturelles (Drac). La Drac subventionne la première tranche des travaux à hauteur de 130.000 euros, sur un total de 460.000 euros. La deuxième tranche est prévue courant 2014. En tout, la rénovation intérieure de l’église Saint Jean est estimée à 965.000 euros. Le Berry, 08/11, p.26
(Issoudun) Grande Collecte : le Centre de la mémoire labellisé
Le don est anonyme. Il est parvenu au Centre de la mémoire deux jours avant l’ouverture officielle de la Grande Collecte européenne. Il s’agit d’une carte postale du Beffroi, rédigée par un jeune Issoldunois pour son grand frère soldat au front. Elle date de 1915 et est signée «Ludovic Bailly, ton petit frère qui t’embrasse et qui t’aime bien». Le garçon y évoque son quotidien à Issoudun. Il est alors en 8e mais raconte que les cours sont dispensés «au Palais de justice, toujours par Mme Mérillac…» Ce document est relativement rare par sa nature. Les traces d’écrits entre époux ou entre pères et enfants étant bien plus répandues. Il constitue ainsi l’un des premiers trésors récupérés dans le cadre de cette Grande Collecte européenne organisée pour le centenaire de la Première Guerre mondiale. Le Centre de la mémoire fraîchement ouvert à la médiathèque fait partie de la petite centaine de lieux en France labellisés pour la Grande Collecte. Il est donc prêt à recevoir tous types de documents datant de 1914-1918 tels que des journaux intimes, des carnets, des correspondances, des photos, des livrets de famille, des écrits liés à la médaille de guerre, des tracts, des affiches, des films… Autant d’archives qui dorment parfois dans les greniers et les armoires des familles. NR, Indre, 09/11, p.22
4 millions d’euros pour les pleurants
La maison Christie’s, à Paris, a été le théâtre d’une vente aux enchères exceptionnelle, hier, en début après midi. Deux pleurants du tombeau du duc Jean de Berry (1340-1416), datant du XVe siècle, ont été adjugés 4,02 millions d’euros ! L’acheteur de ces deux statuettes (qui mesurent chacune 40 centimètres de haut) a souhaité rester anonyme. Christie’s n’a communiqué ni son nom, ni sa nationalité. «Il y avait cinq enchérisseurs qui se sont battus pour emporter le lot», nous a seulement indiqué la société de vente. Un tel prix n’est pas une surprise. Les pleurants constituent de véritables chefs d’oeuvre de l’art médiéval. Ils accompagnaient le tombeau du duc Jean de Berry, et appartiennent à la même famille depuis deux siècles. + Vingt-sept pleurants du duc Jean de Berry Le Berry, 09/11, p.3
(Senonches) Travaux au château
Le conseil municipal s’est réuni lundi soir, à la salle du conseil de la mairie de Senonches, sous la présidence de Xavier Nicolas, maire et conseiller général. Compte tenu des investissements nécessaires pour les travaux de scénographie du château, un emprunt est souscrit d’un montant de 700.000 € pour une période de 25 ans. Xavier Nicolas a rappelé à ces conseillers présents, que les travaux du château étaient terminés, cependant, il faudra envisager la restauration du donjon classé aux monuments historiques dans le prochain mandat. (intégral) L'Echo, 10/11
(Fougerolles ) Gilles Wolkowitsch : un passionné d’histoire
Gilles Wolkowitsch est connu comme le propriétaire de l’abbaye de Varennes, située sur la commune de Fougerolles. Il est intervenu dernièrement à la bibliothèque comme juriste en droit culturel pour évoquer la législation autour des documents patrimoniaux. Il a affirmé que malgré la valeur, l’ancienneté ou la rareté d’un document, sa protection est bien sûr une priorité mais elle ne doit en aucun cas être un frein à l’accès pour le public. Et il le prouve en ouvrant régulièrement au public l’ex-édifice religieux. NR, Indre, 10/11, p.8
(Candes Saint Martin) Marie-Louise de retour après une cure de jouvence
Elle sonne en mi, les heures, les mariages ou les baptêmes depuis 285 ans ! Marie-Louise avait bien besoin d’une cure de jouvence. Usée, ébréchée, elle était au bord de la fêlure, qui aurait entraîné sa fin. A l’occasion des importants travaux engagés à la collégiale, elle a été descendue en septembre dernier. Et transportée à Trémentines, près de Cholet, dans le Maine-et-Loire, dans les locaux de l’entreprise Bodet, spécialisée notamment dans la restauration de cloches. Cette cure (à 20.000 € environ) terminée, Marie-Louise est de retour à Candes-Saint-Martin depuis vendredi.La cérémonie organisée hier marquait aussi la fin de la première tranche des travaux. «La réfection des cloches et du clocher a été réalisée. Les installations électriques ont été sécurisées, une alarme incendie et un paratonnerre ont été posés», a rappelé le maire de Candes, Stéphan Pinaud. La deuxième tranche démarre et doit durer près de quinze mois. + 2,4 : C’est en millions d’euros, le coût total des travaux réalisés à la collégiale de Candes-Saint-Martin. Au cours de la première tranche qui s’achève (lire ci-contre), la charpente et de la couverture du clocher ont notamment été restaurées. (intégral) NR, Indre et Loire, 10/11, p.9
(Suèvres) Les pigeonniers, un patrimoine menacé
Il existe à Suèvres quatre grands pigeonniers circulaires, deux grands pigeonniers carrés et une dizaine de petits pigeonniers domestiques. Cela fait beaucoup pour un village ! La plupart sont abandonnés et ont changé de destination. Beaucoup sont dans un état de grand délabrement et… il n’y a plus de pigeons ! Ils témoignent d’une époque où ces oiseaux étaient une nourriture de choix et bon marché. Ils ne nécessitaient aucun soin particulier. Par ailleurs, la colombine, c’est-à-dire la fiente, était un engrais apprécié dans les jardins, les vignes et les champs. Sous l’Ancien Régime, le droit de colombier, on disait aussi le droit de fuie, était un privilège exclusif réservé aux grands seigneurs. Il s’est étendu peu à peu aux gentilshommes campagnards. NR, Loir et Cher, 10/11, p.7
Broderie de Touraine : au nom de la rose
A priori, la broderie, ce n’est pas très tendance. Moins, en tout cas, que le scrapbooking ou l’origami. Encore que les grands couturiers l’aient remise à l’honneur dans leurs récentes collections. Cet art ancestral n’est donc plus à reléguer au grenier ou dans les vide-greniers, comme cela fut le cas ces dernières décennies. Comme le tricot, il redevient à la mode. Une association brodée de fil blanc La broderie de Touraine est née vers 1870, de l’habileté des brodeuses des bords de Loire, en particulier de Rochecorbon et de Vouvray. A cette époque, la demande de bonnets était telle que les petites mains avaient du mal à répondre à la demande. Naît alors une broderie avec des roses plus grossières, brodées en plumetis plus large et en relief, caractérisée par leur cœur garni d’une dentelle de Valenciennes. + Vanina Rutili, artisan brodeur NR, Indre et Loire, 09/11, p.10
Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 12 Nov - 15:04, édité 6 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mer 6 Nov - 15:18 | |
| Source : le Monde
1 500 trésors pillés par les nazis retrouvés à Munich
L'histoire sidérante que révèle l'hebdomadaire allemand Focus dans son édition du 4 novembre commence par hasard. Dans un train entre Munich et la Suisse, en septembre 2010, les douaniers allemands contrôlent un voyageur. Ils saisissent une enveloppe contenant 9 000 euros en billets et pensent avoir affaire à une banale fraude fiscale. Mais Cornelius Gurlitt, se révèle inconnu des administrations de son pays, services des impôts et services sociaux : « un homme qui n'existait pas » dit de lui l'un des enquêteurs. Les douaniers cherchent à faire l'inventaire des biens de ce fantôme. Ils identifient l'appartement qu'il loue à Munich et s'y rendent au printemps de 2011. Leur première surprise est d'y découvrir des nourritures périmées et avariées en quantité, entassées du sol au plafond et dans toutes les pièces. La deuxième est que, derrière les cartons de boîtes de conserves, sont dissimulées des œuvres d'art, à peu près 1 500. La troisième –– de loin la plus remarquable –– est qu'il y a là des tableaux d'Auguste Renoir, Henri Matisse, Pablo Picasso, Marc Chagall, Paul Klee, Oskar Kokoschka ou Max Beckmann. L'ensemble est estimé aujourd'hui à un milliard d'euros. Mais une telle estimation n'a guère de sens. Non seulement les œuvres ont pour auteurs la plupart des artistes majeurs des avant-gardes européennes du premier tiers du XXe siècle, mais leur histoire elle-même, qui commence à apparaître plus clairement, ne peut qu'accroître leur valeur. Les douanes allemandes, dans un premier temps, n'ont pas ébruité leur fabuleuse prise. Les œuvres ont été déménagées de l'appartement de Cornelius Gurlitt jusqu'à un dépôt officiel et protégé à Garching, banlieue de Munich. Là, des experts ont commencé l'enquête sur la provenance des œuvres. Recherche assez facile au demeurant : Cornelius Gurlitt avait pour père Hildebrand Gurlitt, historien de l'art et marchand, dont le nom est connu de ceux qui s'intéressent au pillage de l'Europe par les nazis durant la Seconde Guerre Mondiale. Mais on ne soupçonnait pas l'ampleur de ses activités. Le Monde, 05/11, p.12
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mar 12 Nov - 15:29 | |
| Source : latribunedelart.comDeux rares tableaux de Giovanni Boulanger en vente à ParisCe ne sont pas les deux œuvres estimées les plus chères de la vente Artcurial qui aura lieu demain soir mercredi 13 novembre à Paris, mais ce sont incontestablement parmi les plus intéressantes du point de vue de l’histoire de l’art. Le peintre est en effet fort rare. Il s’agit de Giovanni Boulanger, ou Jean Boulanger, dont nous signalions il y a un an l’achat par le Musée Saint-Loup de Troyes d’une des seules huiles sur toile connues. Nous renvoyons vers cet article pour en savoir davantage sur l’artiste, un Français parti en Italie et qui y fit carrière. Lire la suite | |
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| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mar 12 Nov - 15:31 | |
| Source : latribunedelart.comUne nouvelle réplique autographe de La grande Odalisque d’IngresNous sommes suffisamment prompt à dénoncer les pseudo-découvertes annoncées à grand renfort d’articles sensationnalistes dans la presse pour ne pas prendre toutes les précautions nécessaires lorsqu’il s’agit de parler d’une œuvre inconnue jusqu’à présent et attribuée à l’un des plus grands peintres français. Lire la suite | |
| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Mar 12 Nov - 15:33 | |
| Enrichissement des musées Source : latribunedelart.comDon d’une toile d’Ernest Bordes au Musée Jeanne-d’Albret d’OrthezAcquisition - Orthez, Musée Jeanne-d’Albret - Un portrait de Paul Reclus par Ernest Bordes a été offert par l’arrière-petite-fille du chirurgien, Odile Pagezy-Buisson, au Musée Jeanne-d’Albret, à Orthez, Le modèle fixe le spectateur et adopte une posture à la fois assurée et décontractée : il est assis, la main droite dans la poche, le coude gauche sur le bras du fauteuil, le menton appuyé sur sa main, le doigt sur la joue. Lire la suiteUn Ramon Casas et un Hans Thoma acquis par le Dallas Museum of ArtAcquisitions - Dallas, Museum of Art - Le musée américain vient d’acquérir, auprès de la galerie Mathieu Néouze à Paris, un tableau peint par l’un des principaux artistes catalan au tournant du XXe siècle, Ramon Casas. L’œuvre est saisissante par l’originalité de la composition, d’ailleurs fort simple : une jeune femme se repose, assise, la tête appuyée contre une table, les mains croisées et les bras tendus. Lire la suiteLa donation Hornstein à Montréal (5)Acquisitions - Montréal, Musée des Beaux-Arts - Nous poursuivons avec trois peintures de paysage notre série d’articles consacrés à l’exceptionnelle donation Hornstein faite à Montréal. Signalons à ce propos que la construction de la prochaine extension du Musée des Beaux-Arts va bientôt commencer. Elle permettra de présenter la collection de peintures anciennes qui prend une dimension nouvelle grâce à cet enrichissement de 80 nouveaux tableaux. Lire la suiteUn portrait de Constable pour les National Galleries of ScotlandAcquisition - Edimbourg, National Galleries of Scotland - Le point commun entre l’Italienne peinte par Corot et Laura Moubray portraiturée par Constable ? Lucian Freud. L’artiste possédait ces deux tableaux, laissés en dation (acceptance in lieu) après son décès en 2011 : le premier se trouve désormais à la National Gallery de Londres, le second est récemment entré aux National Galleries of Scotland. Freud l’avait probablement acquis lors d’une vente Sotheby’s à Londres, le 5 juin 2008. Lire la suite | |
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| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Jeu 14 Nov - 11:56 | |
| Source : lemonde.frLe MuCEM, une oasis de bons sentimentsZéev Gourarier lâche une formule, comme s'il n'en revenait pas. « C'est une divine surprise. » La surprise, c'est le succès incroyable du MuCEM, ce musée planté à Marseille, au bout du Vieux-Port, et dont il a la charge des collections. Depuis le 7 juin, date de l'ouverture, 1,5 million de personnes sont venues admirer le cube de résille noire dessiné par l'architecte Rudy Ricciotti. Et 456 000 personnes ont visité les trois expositions qu'il abrite. Le seul 1er novembre, 20 000 personnes étaient sur le site. Et dedans, un sacré bazar. Lire la suite (article abonnés) | |
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| Sujet: Revue de presse (4 - 10 novembre 2013) Jeu 14 Nov - 12:07 | |
| Source : lemonde.frExposer les attaques d'œuvres d'art La Tate Britain de Londres présente jusqu'au 5 janvier une exposition très singulière. Le titre est sonore, « Art under Attack » (« L'art attaqué »). Le sous-titre réduit le propos par la géographie : « Histories of British Iconoclasm » (« Histoires de l'iconoclasme britannique »). On regrette d'abord cette réduction, mais c'est avant d'avoir visité « Art under Attack ». Lire la suite (article abonnées) | |
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