Revue de presse (7 -13 juillet 2014)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Françoise Lécuyer-Champagne

À la veille du vernissage d’une exposition dans laquelle elle a jeté ses dernières forces, Françoise Lécuyer- Champagne, Conservateur du patrimoine au musée château Saint Jean de Nogent le Rotrou, a succombé, hier, aux suites d’une longue maladie, à l’âge de 60 ans. Françoise Lécuyer était conservateur du musée Château Saint Jean depuis le 1er mai 1988 après avoir officié neuf années durant au musée des Arts et traditions populaires du Perche, devenu l’Écomusée du Perche, à Saint Cyr la Rosière (Orne). Toujours en étroite collaboration avec Christian Foreau, directeur des affaires culturelles de la Ville, Françoise LécuyerChampagne travaillait main dans la main avec son adjointe, Gwenaëlle Hamelin, Jocelyne Haye, Annie Milan et bien d’autres. Membre des Amis du Perche, elle était aussi active au sein de l’association régionale des Conservateurs de la région Centre ainsi que de l’association des Conservateurs des collections publiques de France.
L'Echo, 05/07, p.21

(Tigy) Exposition de sculptures sur métal au musée de l’Artisanat

À partir de dimanche, et ce jusqu’au dimanche 31 août, le sculpteur sur métal, Nicolas Crozier, présente ses œuvres au musée de l’Artisanat de Tigy. L’artiste récupère ce que tout un chacun ne garde pas et détourne ces objets pour leur donner une vie nouvelle. À partir de ces éléments oubliés, il crée un formidable bestiaire : autruches en garde boue, crabes et éléphants en pot d’échappement, chouettes en boulon… L’exposition propose de fabuleux animaux qui fascineront les visiteurs. Sans oublier d’autres œuvres abstraites. (intégral)
RC, Orléans, 05/07

(Chartres) La Grande Guerre expliquée aux enfants

Le monde de l’enfance n’est pas épargné par la guerre. Un des panneaux de l’exposition pédagogique “La Grande Guerre”, conçue par l’Office national des anciens combattants (Onac), rappelle qu’il a même été la «cible de l’intense propagande menée pour soutenir l’effort de guerre». Le Musée de l’école de Chartres et d’Eure et Loir, qui accueille cette exposition jusqu’au lundi 28 juillet, en a  parfaitement conscience. «Nous faisons revivre l’école de la IIIe République, qui a eu des aspects vertueux, en apprenant aux enfants à lire, à écrire et à compter, mais aussi des aspects qui l’ont été moins», souligne MarieFrançoise Soulier, présidente des Amis du musée de l’école de Chartres et d’Eure et Loir, dans le décor d’une salle de classe des années 1900, qui véhicule un discours patriotique. «C’était l’école de la revanche. Les enfants avaient sous les yeux une carte de la France d’avant 1914, avec toujours l’Alsace et la Lorraine, alors qu’elles avaient été cédées au Reich allemand, après l’humiliante défaite de 1870. Elles étaient des provinces perdues à reconquérir.»
L'Echo, 06/07, p.6

(Nogent le Rotrou) Un regard en noir et blanc sur le Perche

Qu’ils fussent pionniers, à la fois chimistes et artistes, voyageurs qui sillonnèrent la France réalisant missions et reportages, professionnels qui ouvrirent des boutiques ou amateurs très éclairés… Les photographes se sont montrés de tout temps très inspirés par le Perche et la richesse de son patrimoine. L’exposition intitulée “Le Perche et les photographes, 18401940” qui s’ouvre aujourd’hui au musée du château Saint Jean propose un cheminement à travers plus de deux cents clichés, réalisés par 80 photographes. Ils ont capté l’essence d’une époque Les recherches conduites par le conservateur Françoise  Lécuyer-Champagne montrent l’évolution d’un médium récent dans l’histoire de l’art, qui a dû trouver ses propres codes. L’exposition permet aux visiteurs de jeter un nouveau regard sur le Perche, en noir et blanc et au cœur de paysages dénudés de l’urbanisation moderne.
+ « Françoise a jeté ses dernières forces pour faire aboutir ce travail »
L'Echo, 06/07, p.15

(Saint Marcel) Musée d’Argentomagus : une affaire de passionnés

L’Association pour la sauvegarde du site archéologique d’Argentomagus regroupe près de 140 personnes très attachées à l’histoire locale. Au cours de l’année scolaire écoulée, l’association a ainsi soutenu le programme départemental Propul’Sciences, avec la création de catapultes, ; une exposition de qualité. Durant l’année écoulée, différents soutiens ont également été apportés, notamment au Festival des Milliaires. L’association a aussi participé aux Journées de l’antiquité et aux Journées départementales du patrimoine, et a organisé une exposition sur le thème des fouilles et fouilleurs au fil du temps. Au cours du prochain exercice, l’association continuera de soutenir le service éducatif du musée, la fouille programmée chaque année en juillet et le programme collectif de recherche, sans oublier le dîner romain, qui aura lieu samedi 12 juillet.
NR, IndreE, 05/07, p.19

(Blois) Tous fous de Méliès

Un certain 5 avril 1896, Georges Méliès donnait la pre- mière séance de cinéma de l’histoire du septième art. C’est donc depuis ce même 5 avril, cette fois en 2014, que la Maison de la magie a décidé de lui rendre hommage, dans le cadre de l’exposition «Fantasmagique cinéma ». Les deux artistes François Normag et Patrice Vrain Perrault ont été sollicités pour élaborer un show en l’honneur du précurseur de l’art cinématographique. «Les Folies Méliès» sont présentées tout l’été à la Maison de la magie de Blois. Cette «comédie magique», comme aime à l’appeler François Normag, retrace l’aventure d’un magicien qui se retrouve piégé au sein d’une faille temporelle en compagnie d’une magicienne de notre époque. C’est alors un show limpide et un voyage dans le temps totalement débridé qui nous est offert.
NR, Loir et Cher, 06/07, p.6

(La Chatre) Le rêve de Cécile Reims et de Fred Deux

Un jour, les vents vous portent, vous posent à un endroit et vous y restez. C’est un peu ce qui s’est passé pour ce couple d’artistes, arrivé à La Châtre en 1985. Au fil des lustres, Cécile Reims et Fred Deux ont gravé leur empreinte, davantage sur le plan national que purement local. Connus, reconnus pour leur art du dessin et de la gravure qui a suivi des courants surréalistes pour Fred Deux, plus classiques pour Cécile Reims, ils ont cheminé sur les chemins du labeur, une vie durant, en quête non d’inspiration, mais de perfection. Et si les grands musées nationaux français, à l’instar du Centre Georges-Pompidou et de nombreux musées internationaux, leur ont ouvert les portes, ils ont eu plus de mal à se faire reconnaître dans le Berry. «On voulait faire quelque chose à La Châtre comme une salle d’exposition, mais le maire de l’époque nous avait dit : “On ne fait rien ici, la culture, ça n’intéresse pas !”», se souvient Cécile Reims. Sans se décourager, le couple proposera à André Laignel de présenter ses œuvres au Musée Saint-Roch. Le maire d’Issoudun fera mieux en leur proposant une salle qui leur soit dédiée. Montant des donations de dessins, gravures, arts premiers : plus d’un million d’euros ! Mais pas question de s’arrêter là. Cécile Reims et Fred Deux voient plus loin et, depuis plusieurs années, ils souhaitent que leur maison de La Châtre, dans laquelle ils vivent toujours, devienne, à leur décès, un petit musée et une résidence d’artistes.
NR, Indre, 06/07, p.3

(Le Blanc) Les Amis du Blanc fêtent une renaissance

 Elus, responsables de l’Assocation des Amis du Blanc, notamment Yves Queney, à qui les lieux doivent beaucoup en matière de rénovation, ainsi que toute l’équipe de bénévoles qui l’entoure : ils étaient tous là, vendredi, pour la «ré-inauguration» du musée dédié aux arts et aux traditions populaires. La restauration de ce lieu répond parfaitement aux voeux exprimés par André Malraux en ce qui concerne la conservation du petit mobilier, des outils, vêtements et objets usuels de la vie quotidienne qui permettent de se faire une idée sur les moeurs et coutumes de nos proches ancêtres, avec une dimension locale non négligeable. L’Association des Amis du Blanc a été créée en 1968, donc quelques décennies plus tard. Le musée qui lui est rattaché méritait bien quelques soins.
Nr, Indre, 03/07, p.16

(Romorantin) Les automobiles Matra toujours à la mode

 Avec une présence régulière sur les circuits grâce à Jean-Paul Humbert et son équipe, que ce soit pour Le Mans Classic (du 4 au 6 juillet) ou pour d’autres manifestations réservées aux bolides anciens sur les circuits les plus célèbres ou encore pour des expositions statiques, les Matra sont très courues. Ainsi cinq pensionnaires du musée de la rue des Capucins trônent pour six mois au Mans dans le Musée des 24 Heures à  l’occasion d’une exposition consacrée à l’histoire Matra. Deux autres exemples montrent combien les voitures fabriquées à Romorantin sont attrayantes. «Chantilly, art et élégance» présente, les 6 et 7 septembre, dans le cadre du château devant un parterre de célébrités de la mode, de l’automobile, de joaillers et de la gastronomie, un défilé des plus belles voitures du monde. Les organisateurs ont souhaité présenter la 530 Vignale, une voiture unique devenue propriété de la ville de Romorantin depuis le don d’un collectionneur néerlandais.
Nr, Loir et CherN, 04/07, p.23

(Tours) “ Le Pain dans la Grande Guerre ”

A l’occasion des commémorations de la Première Guerre mondiale, le musée du Compagnonnage a inauguré, mardi 1er juillet, sa nouvelle exposition d’été, intitulée « Le Pain dans la Grande Guerre ». Laurent Bastard, conservateur du musée, et Christine Beuzelin, nouvelle adjointe à la culture et à la communication de la mairie de Tours, ont présenté aux premiers visiteurs les 35 panneaux retraçant le rôle primordial des Compagnons boulangers durant le premier conflit mondial, à une époque où le pain  constituait encore l’aliment de base de la population. Le public pourra admirer tout l’été une sélection d’objets d’art des tranchées, une maquette de four mobile unique en France ou encore la reconstitution d’une tranchée. L’exposition a, par ailleurs, accueilli, ce mercredi, la visite de Sophie Mise Le Bouleise, commissaire générale de la Fête de la gastronomie rattachée au ministère de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme. Déjà présentée à Exoudun (Deux-Sèvres) et Sarajevo (Bosnie), l’exposition fait étape à Tours jusqu’au 14 septembre. (intégral)
NR, Indre, 06/07, p.3

(Blois) Promenade dans les jardins de la Renaissance

Beaucoup de visiteurs l’ignoraient probablement jusqu’ici. A la demande de Louis XII, des jardins ont été créés au château de Blois au tournant du XVe et du XVIe siècle. «Ils comptaient parmi les plus grands de leur époque», précise le conservateur en chef du château, Élisabeth Latrémolière. Dans leur extension maximale, ils allaient jusqu’à l’actuelle gare SNCF. A partir de cet exemple blésois, l’exposition présentée depuis peu montre les rapports étroits entre les jardins et l’architecture des châteaux de la Renaissance. Elle réunit des œuvres souvent inédites. On y découvre comment, sous l’influence italienne, le jardin de la Renaissance a intégré des éléments architecturaux : tonnelles, galeries, labyrinthes ou encore fontaines.
Nr, Loir et Cher, 07/07, p.9

L’été, les enfants investissent les musées

L’été est parfois long pour les parents à la recherche de nouvelles activités pour occuper leurs enfants en vacances. Dorénavant, l’ennui estival est fini pour les jeunes de cinq à douze ans. Le musée du Berry, le musée Estève et le musée des Meilleurs ouvriers de France proposent jusqu’à la fin du mois différentes activités artistiques. De quoi mêler amusement et travaux pratiques.
Le Berry, 05/07, p.10

(Ligny le Ribault) Deux expos à la Maison de la brique

La Maison de la brique à Ligny-le-Ribault accueille deux expositions très différentes, dont le «dénominateur commun» est de contribuer à la connaissance du patrimoine solognot. L’une, consacrée à l’histoire des briqueteries et tuileries de Sologne, sera présente jusqu’au 31 juillet, l’autre, consacrée à la petite faune de la Sologne, sera présente jusqu’au 31 août. La présentation de l’histoire des briqueteries et tuileries de Sologne, conçue par Frédéric Auger et Joël Delépine, est le fruit d’un travail de plusieurs années d’une équipe de passionnés du Groupe de recherches d’archéologie et d’histoire de la Sologne.
NR, Loir et Cher, 08/07, p.25

(Orleans) De multiples trésors à découvrir

Daniel Charpigny, habitant du quartier Carmes, est amateur d’histoire depuis toujours et membre de la Société archéologique et historique de l’Orléanais (SAHO). Depuis la création des Journées du patrimoine, il organise des visites régulières retraçant l’historique de l’église Notre Dame de Recouvrance. Il aborde également tout ce qui concerne l’architecture du bâtiment. Longue de 40 mètres et large de 20 mètres, l’église renferme neuf chapelles dont les peintures d’Hippolyte Lazerges (peintre d’église orientaliste), collées et marouflées, racontent des épisodes de la vie de la Vierge, de la naissance de Marie jusqu’à la descente de la Croix.
RC, Orleans, 10/07, p.13

(Neuville aux Bois) Budget important consacré aux travaux

Lundi, le conseil municipal a rapidement adopté, à l’unanimité, pas moins de dix neuf sujets inscrits à l’ordre du jour. Seul le dossier concernant la mise en sécurité de l’église fut approuvé à la majorité avec une abstention. Le maire, Michel Martin, a rappelé que les travaux prévus consistent à la reprise en sous œuvre générale de l’édifice, et cela afin de le stabiliser définitivement et conforter les éléments structurels présentant des désordres importants : piliers, voûtes et arcs. Afin de minimiser les variations de la teneur en eau des terrains autour des fondations et de stabiliser les mouvements, il est prévu aussi de procéder à la mise en place d’une couverture imperméable au pied du mur de l’édifice sur deux à trois mètres de largeur. L’assemblée a approuvé le dossier de consultation des entreprises. Le montant de travaux est estimé à 717.000 euros. Le conseil général a alloué une subvention de 200.000 euros et la Direction générale des affaires culturelles, à hauteur de 20 % du montant total du chantier. (intégral)
RC, Orleans, 10/07, p.21

(Montargis) Un travail vertigineux, à 40 mètres du sol

Les travaux de réfection des toitures au château de Montargis ont commencé hier matin. Cette  intervention ponctuelle, commandée par l’école hôtelière de Saint Louis devrait durer deux jours. Perchés sur le toit des deux tours, les cordistes de la société montargoise Attila système, tâchent de remplacer les ardoises endommagées. Les deux opérateurs sur corde, accompagnés de Dominique Berry, instructeur à l’EREA d’Amilly, officient à une hauteur de 20 mètres. Voire 40 mètres, quand ils  surplombent le carrefour Perruchot. Du côté de l’école Saint Louis, on se réjouit de cette intervention qui met en valeur l’édifice et avec lui, toute la ville de Montargis. (intégral)
RC, Loiret, 10/07

(Gien) Le château a retrouvé son éclat

Les travaux ont pris fin sur le parvis du château de Gien. La statue du cerf a repris sa place, et l’arbre trône fièrement au milieu des parterres de gazon à peine semé. La visite devra attendre encore un peu : le conseil général a annoncé récemment que l’ouverture de l’édifice serait reportée d’un an, sans doute pour les journées du patrimoine 2015. En attendant, les touristes pourront enfin admirer dans toute sa splendeur le palais de la duchesse Anne de Beaujeu, l’un des premiers châteaux de la Loire à avoir été bâti. L’ouverture du majestueux escalier touristique au début du mois coïncide avec la fin du chantier pour mettre en avant le patrimoine giennois à la saison touristique. Bien sûr, d’autres travaux sur le clocher de l’église doivent bientôt briser le calme de l’endroit… (intégral)
RC, Loiret, 10/07

(Savigny-sur-Braye ) Les serres Belle Époque reprennent vie à Savigny

De l’acier, du verre et des mains en or : c’est la recette obligée pour construire une serre à la française. A la Belle Époque, ces édifices à la fois utilitaires et décoratifs ont fleuri dans tous les jardins fréquentés par la société élégante. Il existait dans le pays 150 entreprises spécialisées dans leur construction. Aujourd’hui, on les compte sur les doigts d’une main. Et la plus renommée d’entre elles se trouve à Savigny-sur-Braye. Créée dans les années soixante par la famille Hager en région parisienne, la société Serres et ferronneries d’antan s’est mise au vert dans le Perche en 1993. Elle a été récemment reprise à ses fondateurs par Christophe Bossuat, un entrepreneur au parcours associant mécanique, commercial, gestion, qui a décidé un beau jour de voler de ses propres ailes. «J’ai eu le coup de foudre pour cette entreprise après avoir rencontré ses dirigeants au salon du patrimoine culturel, raconte-t-il. Nous nous sommes très vite entendus.» Difficile de ne pas tomber sous le charme des ouvrages qui sortent de l’atelier. Qu’il s’agisse de restauration ou de neuf, tous respectent la tradition du métier : structure métallique en profilés droits ou cintrés, motifs forgés, habillage de verre (y compris sur les parties bombées : secret maison…), traitement anticorrosion et peinture garantissant une exceptionnelle longévité.
NR, Loir et Cher, 10/07, p.9

(Blois) “ Sauvons l’orgue de l’église Saint-Nicolas ”

Placé sous un modillon qui se bouche les oreilles, l’orgue de salon situé dans le transept nord de l’église Saint-Nicolas a passé de nombreuses années dans une maison de la rue du Foix, celle du docteur Maurice Charles. Décédé il y a plusieurs années, sa maison en vente, la famille souhaitait en faire don à la paroisse. Contacté, Vincent Grappy, organiste titulaire de la cathédrale de Blois, va le voir in situ et le trouve coincé entre deux cloisons. «J’ai découvert un orgue de salon de type symphonique en mauvais état. Conçu en 1958 par la société Jacquot-Lavergne de Rambervilliers, cet orgue a été transféré en l’église Saint-Nicolas en 2008. Il n’avait jamais été restauré depuis sa construction.» L’association Jeu(x) d’orgue 41 – dont Vincent Grappy est membre – finance alors les travaux d’installation. Cependant, alarmés par l’état de l’instrument, les membres de l’association se doivent de réagir. «Une souscription a été lancée en décembre 2013 afin de récolter des fonds pour le restaurer. Quarante donateurs, dont beaucoup d’habitants du quartier, ont donné 3.000 € en tout. On a pu ainsi réaliser une première opération d’urgence.»
Nr, Loir et Cher, 10/07, p.11

(Vendôme) Saint-Pierre-La-Motte un bébé qu’ils chérissent

Au rythme tranquille d’un chantier de sauvegarde conduit par des bénévoles, sous le regard attentif des services de l’architecte des Bâtiments de France et avec l’aide d’une entreprise spécialisée, ils ont relevé le défi. La chapelle Saint-Pierre-La-Motte, le plus vieil édifice de Vendôme datant du XIe siècle, inscrite à l’inventaire du patrimoine depuis 1948, est désormais totalement restaurée. Un long travail qui est passé par exemple par le piquetage des murs intérieurs et extérieurs, par la réfection de toute l’installation électrique, la remise en état de l’enduit extérieur, la réfection de l’éclairage, du carrelage, de l’encadrement de pierre de la fenêtre, la réalisation de vitraux… Pas un centimètre carré qui n’ait vu passer la main d’un bénévole de l’association Résurgence !
+••• Une chapelle à la longue histoire
Nr, Loir et Cher, 10/07, p.11

(Rosnay) Savoir mieux isoler les bâtiments anciens

En installant ses services dans une vieille ferme du hameau du «Bouchet», le Parc naturel régional de Brenne a montré son attachement au patrimoine architectural. La rénovation en cours d’une construction du XVIIIe siècle, enrichie d’un linteau du XVe, a motivé l’accueil d’une formation organisée par l’association Maisons paysannes de France. Cette session de trois jours consacrée à l’amélioration thermique du bâti ancien s’adressait aux prescripteurs Atheba pro, habitués à intervenir dans ces opérations soutenues par les ministères de l’Écologie et de la Culture : des architectes, maîtres d’oeuvre, conseillers techniques du Centre, du Limousin et de Normandie.
NR, Indre, 10/07, p.5

(Ormes) L’histoire des géants d’Éole à découvrir tout l’été

De ces géants de pierre ou de bois, il n’en reste que très peu dans notre région. Pour les nostalgiques, celui de Lignerolles (commune de Patay) sur pivot, et d’Artenay, en pierre, sont restés l’emblème d’une vie économique de cette époque. C’est pour raconter l’histoire de ces géants d’Éole, que le service culturel de la ville a choisi de nous faire partager durant tout l’été, une exposition originale, réalisée en collaboration avec le groupe d’Histoire locale. Un rendez vous fixé à la maison de la polyculture jusqu’au 28 septembre.
RC, Loiret, 10/07, p.14

(Bourges) Les Mof présentent le don des meilleurs

Jusqu’en février 2015, le musée des Meilleurs Ouvriers de France présente une cinquantaine de pièces inédites, entre donations récentes et œuvres en réserve. Au musée des Meilleurs Ouvriers de France, le parcours a été remanié, de nouvelles pièces se sont ajoutées dans les vitrines et les allées ont été agencées avec émerveillement et passion donnant l’effet d’une visite jamais vue. Le titre de l’exposition n’est pas usurpé. Il s’agit bien du don des meilleurs.
Le Berry, 11/07, p.11

(Saint Marcel) La cité gallo-romaine retrouve ses artisans

Une trentaine de fouilleurs participent depuis le début du mois à la campagne estivale d’Argentomagus. Ce chantier installé au pied du musée illustre le dynamisme d’un site qui vit une époque charnière avec la mise en valeur imminente de ses vestiges gallo-romains. La clôture du périmètre archéologique a précédé la reconstitution partielle de huit monuments d’ici l’été prochain, mais avant de visualiser ce projet inscrit dans le contrat de pays État-Région, les visiteurs du musée et de la ville antique sont conviés à s’imprégner de la vie quotidienne de nos lointains ancêtres. Les journées d’Argentomagus programmées samedi et dimanche au cœur du plateau des Mersans seront jalonnées d’animations artisanales tout public, liées à la frappe de monnaie, à la taille de pierre, à la forge, à la poterie.
Nr, Indre, 11/07, p.6

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chartres) Objets mystérieux

Fragments ou objet complet, pierre taillée, métal travaillé, outil ou bijou, les découvertes réalisées sur sept sites fouillés par les archéologues municipaux entre 2005 et 2013 sont mises à l’honneur tout cet été. Elles sont présentées en photos sur le boulevard Chasles et exposées dans le salon Nicot de la Maison du Saumon jusqu’au dimanche 31 août. Entrée libre.
L'Echo, 30/06

(Chartres) Les objets mystérieux

 Les badauds sont invités à s’arrêter sur le boulevard Chasles, le temps d’une balade-découverte devant les objets mystérieux qui racontent l’histoire de nos ancêtres. Il faut deviner ce que représentent la vingtaine de pièces en métal ou en pierre présentées sur les grandes bâches d’exposition. Les réponses, et une cinquantaine d’autres objets, sont à voir à l’office du tourisme, place de la Poissonnerie, du lundi au samedi, de 9h30 à 18h30 et, les dimanches et jours fériés, de 10 à 17h30. À découvrir également dans nos colonnes, trois fois par semaine, à partir du 15 juillet. (intégral)
L'Echo, 02/07

(Sceaux du Gâtinais) Aquae Segetae se visite au clair de lune

Ce soir, à Sceaux du Gâtinais, armés d’une lampe torche, les visiteurs vont s’offrir un voyage dans le temps. Direction l’époque gallo romaine, dans le cadre des «visites au clair de lune» du Pôle touristique du Gâtinais. Cette fois, c’est l’ancienne ville d’Aquae Segetae qui se dévoilera sous un jour nouveau. Plus précisément sous un soleil déclinant. La visite sortira des sentiers battus : pas d’exposé théorique sur l’histoire du site et les pratiques des habitants de l’époque. Ce soir, durant environ 1h30, des bénévoles de l’association Segeta, qui gère le site, et des comédiens venus de Souppes sur Loing (Seine et Marne) feront revivre l’ancienne ville d’eau, située à deux kilomètres du bourg actuel, lors de courtes saynètes.
RC, Loiret, 05/07, p.15

(Saint Martin au Val) Une fête gratuite au temps des Romains

Le voyage vers le 1er siècle après Jésus Christ commence à 10 heures, aujourd’hui, sous la houlette du service archéologie de la Ville. Il se poursuit jusqu’à 18 heures sans interruption et recommence, demain dimanche, à la même heure. Un village d’artisans est installé dans la vaste cour d’un bâtiment à vocation religieuse, un sanctuaire, en cours de construction. L’objectif de cette manifestation est de plonger le public en 70 après Jésus Christ, à Chartres. L’aménagement d’une partie marécageuse en bordure de l’Eure est achevé. Un bâtiment long de 300 mètres et large de 200, peut voir le jour. Le chantier nécessite matières premières et main d’œuvre. Pour restituer cette atmosphère, les visiteurs découvriront un forgeron, des maçons et un tailleur de pierre. Ces artisans doivent mener à bien le chantier, et permettre au public de se figurer l’ambiance, et la rudesse, d’une telle construction. Une troupe de légionnaires est également mobilisée, chargée de surveiller le bon déroulement des travaux.
+ Le sanctuaire retrouve les métiers de l’époque de sa construction
L'Echo, 05/07, p.6

(Pannes) Reprise des fouilles à Arboria

 Des fouilles complémentaires sont en cours sur le site devant accueillir le magasin Comptoir Forestier, dans la zone Arboria à Pannes (en face de l’usine ICT). Une fois ces fouilles réalisées, le chantier à proprement parler devrait (enfin) commencer pour concrétiser le  transfert de l’activité de cette enseigne vendant des matériaux et installée rue du Port à Montargis, depuis 1946. (intégral)
RC, Loiret, 04/07

(Orléans) Des vestiges sous l’hôtel 4 étoiles des quais

Être fin prêts pour le Festival de Loire 2015. C’est l’objectif que se sont fixés Lydia et Pascal Desbois, à l’origine du projet d’hôtel 4 étoiles sur le quai du Châtelet. C’est là, au numéro 80, en lieu et place de l’ancienne bourse du travail, que cet établissement de 35 chambres doit voir le jour. Mais pas tout de suite. En ce moment, on s’affaire plutôt à vider l’intérieur du bâtiment. Plafonds, faux plafonds, plâtre, tout est retiré, par des ouvriers équipés de masques. À partir de lundi prochain, une autre entreprise viendra pour solidifier certaines parties du bâtiment. La «restructuration» débutera en septembre. Le chantier s’arrêtera à la fin du mois de juillet.  Le 24, les archéologues prendront le relais. Car lors du diagnostic archéologique réalisé en avril dernier, des vestiges importants d’une enceinte du IVe siècle, ainsi qu’une partie du palais médiéval du Châtelet (dont une des tours a été restaurée à quelques mètres de là), ont été découverts, dans les sous sols.
RC, Orleans, 09/07, p.9

Vallée de l’Anglin : dix mille sarcophages mérovingiens

Cette promenade dans la vallée de l’Anglin, entre Mérigny et Angles, est coorganisée par les Amis du Blanc et les Amis de Mérigny. Elle sera proposée à nouveau, début août. Patrick Grosjean accompagnera le public pour découvrir cinq de ces sites, en suivant un charmant parcours en sous bois, à proximité de l’Anglin. Un circuit d’une vingtaine de kilomètres en voiture, à destination des communes de Mérigny, Lurais et Saint-Pierre-de-Maillé (Vienne) et une approche à pied sur un total de trois kilomètres seront effectués. Du Ve au VIIe siècles, plus de dix mille sarcophages ont été extraits de ces carrières. Ces sites ont été fouillés à partir de 1958, notamment la remarquable carrière dite de la Statue, et inventoriés par Claude Lorenz (1935-1994), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), et son épouse, Jacqueline, maître de conférence honoraire en géologie à l’université de Paris-Sorbonne.
NR, Indre, 11/07, p.17

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Neuville aux Bois) Une souscription lancée pour restaurer l’église Saint-Symphorien

Michel Martin, maire de Neuville aux Bois et Bernard Vella, délégué départemental de la Fondation du patrimoine, ont signé, vendredi, un protocole d’accord pour lancer une souscription en vue de la restauration de l’église Saint Symphorien. Michel Martin a retracé l’historique de l’église. Le premier bâti daterait du XIIe siècle, construit, sans doute, par les bénédictins de Saint Martin des Champs, à Paris et dédié à Saint Symphorien, martyr du IIe siècle sous l’empereur romain Marc Aurèle. Le maire a également exposé les désordres actuels de l’église, fermée au public depuis 2008. D’après les études réalisées, il faut conforter l’ensemble de l’édifice. Une première phase, dite de mise en sécurité, sera prochainement lancée. Le coût est estimé à 1,5 million d’euros, financés par la commune et subventionnée par différents partenaires, ainsi que par des dons faits par le biais de la souscription. (intégral)
RC, Orleans30, /06

(Saint Maurice sur Aveyron) Le coq de l’église a été descendu

Malgré la pluie, une cinquantaine de personnes ont assisté à la descente du coq de l’église. C’est Patrick Vilaine, le patron de l’entreprise PSZ, chargée de la rénovation du toit, et ses collaborateurs qui ont effectué l’opération. Plus d’une vingtaine d’impacts de balles de fusil ont transpercé le coq en bronze. Il semblerait que pendant la Seconde Guerre mondiale, la maison en face de l’église ayant été réquisitionnée par l’occupant, des soldats auraient fait des «cartons» sur ce symbole. Un nouveau coq sera installé en septembre. Avant, il sera visible en mairie avec celui qui vient d’être descendu. (intégral)
RC, Loiret, 30/06

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (58) Quand la ville s’éclairait plein gaz

Chaque matin, en entrant sur leur parking de la rue Bobby Sand, les employés de la Cogep passent devant une stèle de pierre aux armes de Vierzon. Gravée sur une face, une date, 1844. Et ces quelques mots : «Société lyonnaise. Usine à gaz fondée par Antoine Auguste Genin.» Ce monument est l’un des rares vestiges du temps où Vierzon produisait son propre combustible. Au cours du XIXe siècle, en effet, il n’était pas encore question de gaz naturel pour l’usage urbain, particulier, ou même industriel. On tirait du charbon le fameux gaz de ville. Compressé, traité, dans les usines éponymes – la complexité de leurs tuyaux est passée dans le langage – il était stocké dans des gazomètres, autrement dit des réservoirs, pour être ensuite distribué. La présence de l’usine en bas de la rue Blanche Baron est
confirmée par un plan dressé en 1845.
Le Berry, 30/06,p.17

(Montireau) L’église a retrouvé son lanternon de procession

Francis Bertrand, directeur de l’atelier de restauration d’ARC Nucléart à Grenoble était à Montireau samedi. Il a animé une conférence à l’église Saint Barthélémy devant plus d’une cinquantaine de personnes à l’occasion de la présentation après restauration du lanternon de procession avec sa Vierge à l’Enfant. En présence de nombreux élus, des financeurs du projet de restauration et des membres du Comité de sauvegarde de l’église. (intégral)
L'Echo, 30/06

(Chartres) Des tonnes de pierres en plan

Sous les pavés, la plage, disait un slogan révolutionnaire de Mai 68. Aux Perriers, sur le site des services techniques municipaux, où sont aussi entreposés des pavés, pas question pour autant ni de plage, ni de révolution. «Nous sommes ici pour voir les pierres qui ont constitué la Porte Guillaume, détruite à la Libération de Chartres par un bombardement», expliquent les membres de l’association des Amis de la Porte Guillaume. Guidées par Daniel Labaume, vice président, une trentaine de personnes, vêtues de gilets jaunes,
par mesure de sécurité, ont ainsi pu visualiser, sur place, ce qui attend les volontaires : des dizaines de mètres cubes de blocs de pierres, entassées, en vrac, sur des dizaines de mètres carrés, couverts de végétations.
L'Echo, 28/06, p.8

(Pezou) Inauguration puissance trois

Samedi 28 juin aura marqué les mémoires pezoviennes. Les festivités ont commencé par l’inauguration des logements sociaux créés dans l’ancienne poste. Le ruban à peine coupé, le public a pris le chemin de la maison Genty pour découvrir la bibliothèque réaménagée et prête pour sa réouverture mercredi. Puis, ce fut au tour d’une cérémonie beaucoup plus solennelle de capter l’attention des Pezoviens et personnalités présentes parmi lesquelles Jacqueline Gourault, sénatrice,
Karine Gloanec-Maurin, vice présidente du conseil régional, Bernard Pillefer, vice-président du conseil général, trois anciens maires de la commune Didier Bussereau, Claude Michelangeli et Paul Martinet, également ancien conseiller général. Au cours de la messe solennelle, Monseigneur de Germiny, évêque du diocèse, a procédé à la bénédiction des cloches en présence du père Cordier et des parrains et marraines, Didier Bussereau et Marie-Laure de Massol pour Marie et Nicolas Janssen et Monique Anger pour Monique. A l’issue de la cérémonie, chaque paroissien a pu les faire tinter.
NR, Loir et Cher, 30/06, p.19

(Agglo de Tours) Le prieuré du Louroux bientôt en travaux

A partir de 2005, et jusqu’en 2009, des travaux de gros oeuvre, de maçonnerie des structures, charpentes et couvertures ont permis de sauver la plus grande partie du prieuré du Louroux. Mais le bâtiment reste malgré tout fragile à certains endroits. Lors du dernier du conseil communautaire du grand Ligueillois, son cas a été abordé par le vice-président Jean-Marie Vannier. Celui-ci a indiqué que «la tour d’enceinte nord est et la galerie attenante faisant partie du logis n’ont pas été restaurées. Il s’agit aujourd’hui d’effectuer les travaux afin de les préserver». Un architecte du patrimoine, Arnaud de Saint-Jouan, a été mandaté pour réaliser un dossier de présentation des travaux projetés. Ce projet porte sur la restauration de la tour et la galerie attenante, voire aussi la consolidation du mur d’enceinte nord.
Nr, Indre et LoireE, 30/06, p.15

(Cheillé) Vitraux : l’association dépose ses statuts

Soufflés et détruits le 16 juillet 1944 par l’explosion suscitée par la collision entre deux bombardiers alliés qui se sont écrasés en flammes sur le plateau de Marnay, les vitraux de l’église de Cheillé vont-ils pouvoir être remplacés ? C’est ce que souhaite l’association qui vient de se créer à l’initiative de la mairie de Cheillé. Une campagne de mécénat en collaboration avec la Fondation du patrimoine va être lancée pour la restauration de ces vitraux et une réunion d’information au public sera organisée. Pour établir leur projet les membres de l’association se déplaceront sur des lieux où
des chapelles ont été récemment restaurées. (intégral)
Nr, Indre et LoireW, 30/0

(Orléans) La cathédrale part elle en morceaux ?

 Un inquiétant panneau installé devant la cathédrale, hier matin. «Danger, chute de pierres», pouvait-on lire. La cathédrale, monument emblématique d’Orléans, partirait-elle en morceaux ? Renseignements pris, il ne s’agissait que de chutes provoquées, des travaux dits «de purge». L’intervenant sur le chantier est un acrobate, guide de haute montagne, Olivier Laborie, qui intervient avec un tailleur de pierres pour retirer celles qui risquent de tomber, selon la direction régionale des affaires culturelles. Ces chutes servent à anticiper les accidents (intégral)
RC, Orleans, 02/07

(Gien) L’escalier touristique ouvert au public

 Les Giennois peuvent enfin emprunter l’escalier qui monte à la place du château en partant de la place Leclerc. Le bien nommé escalier touristique a été officiellement ouvert, hier matin, par les élus de la communauté de communes et du conseil municipal. Cette inauguration fait suite à deux ans de travaux dans le cadre du projet Coeur de ville. Ce programme de construction d’abord pris en charge par la ville, puis géré par la communauté de communes, comprenait quatre réalisations : le parking de l’ancienne bibliothèque (derrière l’hôtel de ville) baptisé Guillaume Achille Gonat, la rue de l’Ancien Hôtel Dieu, le parking du château et l’escalier touristique. Avec l’ouverture au public de ce dernier, le projet touche donc à sa fin. Vu du château, le résultat est spectaculaire. Le visiteur peut embrasser du regard toute la rive du Berry sur plusieurs dizaines de kilomètre. Sous ses yeux s’étalent les toits des maisons du centre ville et le pont de Gien. Les pierres immaculées donnent à l’escalier un éclat majestueux.
RC, Loiret, 01/07, p.19

(Farges Allichamps) La Commanderie sera remise en vente

 «Le château de la Commanderie va être remis en vente aux enchères», a indiqué, hier, l’avocat représentant le liquidateur du château de Farges Allichamps, Pierrick Sallé. Pourtant, le bien avait été vendu aux enchères le 19 juin 2013, au tribunal de grande instance de Bourges. Il appartenait alors à la société 3R, en liquidation, dirigée par l’Italien Umberto Ronsisvalle. Pour l’acquérir, une ressortissante suisse, Sunita Shah, avait alors déboursé 375.000 euros pour ce château de 1.280 mètres carrés habitables et son parc de près de 8 hectares. La mise à prix avait été fixée à 500.000 euros, mais la vente a été adjugée à 375.000 euros. Sauf que depuis un an, le paiement n’a toujours pas été effectué : «Le délai pour le paiement est normalement de trois mois après l’achat, précise Pierrick Sallé. Mais la propriétaire n’a jamais payé et c’est compliqué parce qu’elle est en Suisse. Nous n’avons aucune nouvelle d’elle. Le château va donc être remis en vente, la procédure est en cours. Mais la date n’a pas encore été fixée.» «Je n’ai également eu aucune nouvelle d’elle», indique l’avocat berruyer Jean-Michel Fleurier, qui la représentait lors de la vente l’année dernière.
Le Berry, 02/07, p.23

(Cuffy) L’église a enfin sa plaque de monument

 Classée depuis presque cent trois ans (depuis le 30 août 1911), l’église, joyau de l’art roman ne possédait toujours pas de plaque Monument Historique. C’est chose faite depuis samedi dernier. Olivier Hurabielle, maire, et Jean-Pierre Lesueur, président de l’Association de sauvegarde du patrimoine historique de Cuffy et de son église ont dévoilé la plaque en présence de la population et d’élus.
Le Berry, 02/07, p.23

(Chailles) La maison éperonnée sauvée de l’oubli

L’histoire commence en 1990 lorsque, saisi d’une envie pressante, l’historien passionné Claude Leymarios stoppe sa voiture en bord de Loire, sur la RD 173, au niveau du lieu-dit «L’Orme Cochard». Pour assouvir un besoin bien naturel, il s’enfonce dans la végétation luxuriante et aperçoit… un mur. Le mur d’une maison bien particulière. Une maison éperonnée, c’est-à-dire construite en prévision des crues de la Loire toute proche. Érigée à la fin du XIXe siècle parallèlement au fleuve royal, elle présente en effet deux gros éperons en pierre destinés – à l’instar des piles du pont Jacques-Gabriel – à briser les flots, lesquels peuvent traverser sans encombre le rez-dechaussée aménagé en grange, grâce aux grandes ouvertures de chaque côté, amont et aval. Le premier étage est fait de briques, et c’est lui qu’on aperçoit seulement depuis la route. « Ce qui fait plaisir, c’est de voir que le projet – de l’Asmec (association pour la protection de la maison éperonnée de Chailles, créée en 2012) et du BTP CFA Loir-et-Cher, entre autres – prenne forme aussi rapidement», considère l’inventeur du site.
Nr, Loir et Cher, 02/07, p.3

(Tours) Les chercheurs pendent la crémaillère

 Le Centre d’études supérieures de la Renaissance (CESR) a inauguré, mercredi 25 juin, de nouveaux locaux, qui accueilleront le programme «Intelligence des patrimoines». Le bâtiment, situé au n°4 de la petite rue Rapin, à Tours, construit au XIIIe siècle, est l’une des plus anciennes maisons de la ville. «C’est un événement singulier, a souligné le président de l’université François-Rabelais, Loïc Vaillant. Les chercheurs du CESR ont bloqué une rue de Tours !» Rires dans l’assistance effectivement bien fournie. Plus sérieusement, Loïc Vaillant a insisté sur le fait que l’endroit permettra «des recherches de très haute volée». Cet espace, où la transdisciplinarité régnera en maître, réunit un consortium d’institutions, de laboratoires et de réseaux de recherche : universités, CNRS, Inra, France Business school, École nationale supérieure de la nature et du paysage, etc. Le travail de l’ensemble des partenaires aura «une application concrète, un apport réel pour le développement de l’attractivité touristique», a souligné le président du conseil général, Frédéric Thomas.
NR, Indre et LoireT, 02/07, p.8

(Tous) L’art du vitrail au cloître de la Psalette

 Le cloître de la cathédrale Saint-Gatien de Tours accueil le jusqu’au 28 septembre une exposition intitulée «Les vitraux d’Indre-et-Loire, un patrimoine en lumière». Conçue par l’association Rencontre avec le patrimoine religieux, elle est pour le visiteur l’occasion de découvrir et d’admirer la richesse du patrimoine des vitraux de Touraine. «Cette exposition marque le renouveau de ce cloître, il a été négligé pendant des années. Nous souhaitions lui redonner un sens et le relier plus fortement à la cathédrale», exprime Gilles Blieck, conservateur des monuments historiques à la direction régionale des affaires culturelles. Située dans une salle intérieure du cloître, l’exposition permet au public de découvrir la créativité de l’exceptionnel patrimoine de vitraux en Indre-et-Loire.
NR, Indre et LoireT, 02/07, p.8

(Orléans) Chinon et Loches primés pour leurs monuments

La forteresse de Chinon et la cité royale de Loches (Indre et Loire) viennent de recevoir le Certificat d’excellence TripAdvisor 2014 par les internautes, «pour la qualité de leurs prestations et de leur accueil». Une satisfaction de plus pour la région Centre, qui mise beaucoup sur l’essor du tourisme.(intégral)
RC, Orleans, 03/07

Villandry : la saison démarre fort

 Le propriétaire du château de Villandry, Henri Carvallo, est un homme heureux. Et pour cause : la saison a démarré sur les chapeaux de roues. Le monument et ses somptueux jardins ont déjà attiré 8% de visiteurs en plus par rapport à la même période l’an dernier. «Nous avons déjà 10.000 visiteurs d’avance. Nous visons 20.000 visiteurs supplémentaires cette année, ce qui est considérable», a précisé Henri Carvallo au président du conseil régional, François Bonneau, en visite au château de Villandry, hier. L’an dernier, le site a accueilli quelque 350.000 touristes (dont environ 20% de visiteurs locaux). Tous ces visiteurs accèdent actuellement au site par le  côté. L’année prochaine, des travaux seront réalisés pour placer l’entrée exactement en face du château. «On verra mieux le château de la rue», indique Henri Carvallo. Une grille clôturera l’accès. Deux pavillons, qui existaient au XVIIIe siècle, seront également reconstruits à l’identique. Le stationnement aussi sera modifié.
Nr, Indre et LoireT, 03/07, p.8

(Restigné) Une souscription pour l’église Saint-Martin

Construite à partir de la seconde moitié du XIe siècle, l’église Saint-Martin nécessite de nombreux travaux. Il y a quelques jours, la municipalité a organisé une réunion de présentation aux Restignons et signé une convention avec la fondation du patrimoine. En présence de Martine Hascoët, maire, Jacques Guionnet, représentant la fondation du patrimoine, André Besnier a exposé la première tranche des travaux qui consiste à restaurer la façade, consolider des tirants sur la façade et le mur intérieur pour renforcer la solidité du bâtiment et, de restructurer la jonction entre le clocher, le nef et le chœur, pour éliminer les infiltrations d’eau. Les travaux viennent juste de débuter. Il devraient s’achever en mars 2015. Le planning a été établi en fonction des mariages et activités estivales. Le coût des travaux est estimé à 243.835 €, avec des subventions de la DRAC, 81.290 €, du Conseil Général, 26.650 €. Reste 135.895 € à la charge de la commune. Pour réduire cette part d’autofinancement, la commune de Restigné a signé une convention avec la fondation du patrimoine.
Nr, Indre et LoireW, 03/07, p.27

(Pays de George Sand) “ Suivez le guide ” pour raconter le patrimoine

Cet été, cinq sites majeurs du pays de George Sand feront l’objet pour la première fois de visites régulières destinées tout autant aux touristes qu’aux habitants, petits ou grands, curieux d’histoire locale. Menées par la guide accompagnatrice, Lucie Di Lauro, ces visites prévoient donc de petites activités ludiques pour les enfants, telles que des jeux d’observation, afin de susciter leur intérêt et d’encourager leur curiosité. A La Châtre, deux visites seront organisées : l’une portant sur l’histoire de la ville, l’autre permettant de découvrir le patrimoine vernaculaire au fil de l’eau. A Sainte-Sévère, une première visite s’intéressera au patrimoine médiéval (conclu par une petite initiation de danse), la seconde partira sur les traces de Jacques Tati. D’autres rendez vous réguliers concerneront les églises de Vic et de Lourouer-Saint-Laurent, notamment pour évoquer les fresques qu’elles abritent. Enfin, une visite architecturale du
château d’Ars sera également proposée. En outre, des visites spécifiques, gourmandes ou costumées, émailleront la saison.
Nr, IndreE, 03/07, p.16

(Chaumont S/Loire) L’art de la table révélé par une auteure à succès

 Sous le règne de Louis XVI, sont «mis en place des dessous d’assiettes, des assiettes creuses, des aiguières, des cafetières, des théières, des porte serviettes en porcelaine, en faïence, en argent, en pierres semi-précieuses, en bois. On trouve aussi des pinces à glace et à sucre, des boîtes à tisanes et à thés, des louches, des cuillers à moutarde, à olives, des récipients en verre de Venise et en cristal de Bohème, des seaux à glace en porcelaine et en faïence, des fourchettes à escargots et à moelle.» L’art de la table a toujours été consommé avec délectation, aujourd’hui plus encore qu’hier. Mais on se plaît aussi à retrouver ce qui ravissait les tables de nos illustres aïeuls. La scénographie du château de Chaumont en est le témoin, notamment autour de la table de la princesse de Broglie reconstituée. C’est donc tout naturellement que l’auteure Violaine Vanoyeke, qui a déjà publié 80 ouvrages traduits et diffusés dans 51 pays, se trouvait parfaitement son aise à Chaumont en fin de semaine dernière. Même si son dernier ouvrage «Pourquoi Cléopâtre mangeait-elle couchée ?», tout juste sorti en librairie, parle de son thème de prédilection, l’Antiquité, elle y a également exploré les arts de la table de nos rois et empereurs.
Nr, Loir et Cher, 03/07, p.2

(Romorantin) Si la rue des Limousins nous était contée…

 Si ma rue m’était contée… Au fil de l’été, l’office de tourisme Sologne Côté Sud propose une nouvelle série de visites guidées thématiques. Hélène Leclert, présidente de la Société d’art, d’histoire et d’archéologie (Sahas), l’a imaginée. «Une dame m’avait parlé de la rue des Capucins. Elle voulait en connaître l’histoire. Je m’y suis plongée.» Une idée qu’elle déclinera à travers la ville. En faisant des choix. Première halte, ce samedi, à la rue des Limousins. «Cette rue m’a plu car il n’y a plus rien !», lance d’emblée cette férue d’histoire locale qui a compulsé toutes sortes de documents et des souvenirs pour imaginer sa visite.
Nr, Loir et CherS, 03/07, p.22


(Meung sur Loire) Chinon et Loches primés pour leurs monuments

«Trésors en Loiret : un patrimoine aux multiples visages» est une exposition réalisée par la médiathèque départementale. Elle est visible à l’espace culturel La Monnaye, jusqu’au samedi 9 août. Le Loiret possède un patrimoine riche et varié. Au delà des objets et édifices emblématiques, le département conserve d’autres œuvres moins connues, mais tout à fait remarquables. L’exposition invite, plus particulièrement, à la découverte ou à la redécouverte de dix neuf œuvres issues des Beaux Arts (architecture, peinture et sculpture) et des arts décoratifs, mais également représentatives de périodes allant de l’Antiquité à nos jours.
RC, Orleans, 04/07, p.21

(Saint Amand) L’église est en chantier pour un an

Dans le choeur, un entremêlement d’échafaudages et une poussière épaisse. Depuis trois semaines, les ouvriers de l’entreprise Jacquet, spécialisée dans la restauration de monuments historiques, s’attaquent à  l’enduit qui recouvre partiellement les murs de l’église de Saint Amand. Tout le mobilier a été enlevé. L’orgue a été emballé hermétiquement pour le protéger de la poussière. «On a commencé un travail basique de piquetage, la phase la plus difficile, explique Fernando Neves, chef de chantier. Ensuite on va déjointoyer les piliers, décaper la pierre pour lui rendre sa blancheur et on rejointe. Après seulement, on refera l’enduit des murs. C’est un travail monstre», évalué à six mois pour cette première tranche (choeur) ; six autres pour la seconde (nef et bas côtés). Le coût de la restauration était estimé à 965.000 euros. «La subvention de l’État devait être de 40%, elle est finalement de 30%, regrette le maire. Cela fera 20% de travaux en moins.» Et un coût de chantier qui n’est plus que de 820.000 euros.
Le Berry,  04/07, p.29

(Tours) Dans les pas de Louis XI

Qui connaît Louis XI ? Un roi qui a régné sur la France de 1423 à 1483 et qui a laissé une trace historique dans la ville de Tours. Il est d’ailleurs mort au château du Plessis-les-Tours. Mais ne rentrons dans les détails de sa vie, laissons-nous plutôt guider par la compagnie Le Miroir aux alouettes. Dès le 7 juillet, et pour tout l’été, les comédiens invitent les touristes comme les Tourangeaux, à une visite-spectacle dans les rues du Vieux-Tours, autour de la place Plumereau. Une animation proposée par la communauté d’agglomération Tour(s)plus, sous l’égide des services tourisme et patrimoine, intitulée «Louis XI le parcours d’un roi». «Dans le cadre de notre politique touristique, nous valorisons le patrimoine. L’an passé, c’était autour de la Loire», indique Fabienne Garon, directrice du tourisme à Tour(s)plus. Place donc cette année au roi Louis XI.
Nr, Indre et LoireT, 04/07, p.10

(Larçay) Visite découverte estivale

 Dans le cadre du proramme d’animations du patrimoine « Laissez-vous conter le Pays Loire Touraine», la première visite estivale à Larçay était programmée mardi à 16h. Les participants, rares pour cette première, ont voyagé au fil des siècles : le castellum (IIIe siècle), fortin gallo-romain le mieux conservé de la région, l ’église (XIIe au XIXe siècles), les châteaux surplombant la vallée, la canalisation du Cher au XIXe siècle… le tout commenté de manière experte et souriante par Anna Brisson, guide conférencière des villes et pays d’art et d’histoire. Une belle balade, qui peut être familiale, alliant culture et plaisir. Prochain rendez-vous à Larçay vendredi 1er août à 19 h 30, avec une intervention théâtrale avec deux guides fantaisistes de la surprenante Vit’Visite.
Nr, Indre et LoireW, 04/07, p.19

(Tauxigny) “ Suivez le guide ” pour raconter le patrimoine

Le Moulin de Ligoret, en contrebas de l’observatoire astronomique de Touraine à Tauxigny, va renaître l’an prochain. Loches Développement, propriétaire du site depuis 2003, a fait appel au savoir-faire du village vacances La Saulaie de Chédigny pour en assurer la gestion. Propriétaire des lieux, la communauté de communes avait effectué des travaux pour 986.671 €, dont 384.000 € à sa charge, pendant treize mois entre 2008 et 2009. Ce sont 575 m2 qui ont été aménagés sur quatre niveaux, desservis par un ascenseur.
Nr, Indre et LoireE, 04/07, p.15

(Bourges) Fleurant, cet ancien du tour de France

Armé d’un petit appareil photo à pellicule, Dominique Fleurant parcourt tranquillement l’échafaudage qui court sur le flanc Nord de la cathédrale. Sans un regard pour les quarante mètres de vide sous ses pieds, il plisse un peu les yeux pour inspecter les dernières ardoises posées sur la toiture. Les couvreurs en sont à finir l’arrondi qu’elle décrit sur l’extrémité Est du chœur. L’air satisfait, Dominique Fleurant glisse le vieux compact dans la poche de son veston et s’en retourne vers l’ascenseur. Il est attendu tout en  bas… Mais n’est pas pressé de descendre. C’est aujourd’hui que ses pairs ont prévu de lui remettre la médaille compagnonnique. Les collègues des Métiers du bois ont voulu l’avoir pour eux une dernière fois. Avant qu’il ne déserte définitivement les toitures pour aller cultiver son jardin sur le plancher des vaches. Dans quinze jours, Dominique Fleurant sera à la retraite, et cela tombe exactement la semaine de ses soixante ans. C’est donc une visite de chantier un peu spéciale qui s’achève ce jour là en haut de la cathédrale.
Le Berry,  05/07, p.17

(Montargis) Une équipe de choc pour faire visiter le château aux touristes

Déjà l’été dernier, l’ASR (Association de sauvegarde des remparts) a relevé le beau défi d’accueillir des touristes sur les hauteurs de la ville tout juillet août. Des bénévoles polyglottes se sont relayés pour révéler la riche histoire du château. Rebelote cette année : l’ASR a monté une équipe de choc : Bertrand Billot, doctorant en histoire de l’art paléochrétien, à la disposition des visiteurs depuis le 30 juin, Éric Henrié, doctorant également et agrégé d’histoire, arrivé aujourd’hui, ainsi que de jeunes passionnés d’histoire.
RC, Loiret, 08/07, p.14

(Saint Brisson sur Loire) 20.000 € pour le château, et après ?

La communauté de communes vient d’attribuer une subvention de 20.000 € à l’association des Amis du château de Saint Brisson. «C’est une subvention exceptionnelle pour combler leur déficit qui est plus élevé que ça», a expliqué Christian Bouleau, président de la comcom’ (et ancien maire de Saint Brisson) Christian Bouleau. «À charge pour l’association de régler ce problème l’an prochain.» La somme est une bouffée d’oxygène pour l’association en charge de la gestion du château. «Cela va nous permettre de tenir nos engagements pour la saison culturelle 2014, maintenir le festival Hop là, Noël au château…» juge le président Jean-Claude Bourgoin. En mars, devant l’impossibilité de boucler leur budget, les Amis du château avaient lancé un appel aux dons. Il leur manquait près de 30.000 € pour assurer la pérennité de leurs animations. «Avec les actions du comité de soutien et les dons de particuliers, d’entreprises et d’artistes, nous avons récolté plus de 8.000 €. Et ça continue». Les 20.000 € de la comcom’ ont mis fin, pour un temps, aux inquiétudes de l’association. Pour un temps seulement. Car fin 2014 voit la fin de la délégation de service public (DSP) confiant aux Amis du château la gestion de l’édifice.
RC, Loiret, 08/07, p.18

(Nogent le Roi) Flânerie et repos dans le parc du château

Le parc du château de Nogent le Roi est une oasis de 90 hectares de calme et de verdure, située en plein centre ville. L’accès en est libre, depuis que la commune a racheté en 1978 le château et son parc, chaque habitant se sent une âme de châtelain. Le château, de style Louis XIII, construit en  860 sur les ruines d’un château fort par l’architecte Alfred Chapelain pour le maire de l’époque, Eugène Mesquite, sert régulièrement tout au long de l’année d’écr in à de multiples expositions. En ce moment, et jusqu’au 14 septembre, c’est le peintre Pascal Gaillard qui y est à l’honneur, avec l’exposition «Arts itinérance» proposée par le Conseil général, visible le samedi et le dimanche, de 15 à 19 heures.
L'Echo, 08/07, p.14

(Châteaudun) Le donjon pris d’assaut par les jeunes

Pour la deuxième année, le château de Châteaudun accueille l’opération “Les portes du temps”. Patricia  Ramos, responsable du service éducatif du monument, attend, à raison de deux groupes par jour, 400 à 450 jeunes cet été. Lancée par le ministère de la Culture, en partenariat avec le ministère de la Politique de la ville et la direction régionale des affaires culturelles, il y a une dizaine d’années, cette opération a pour ambition de sensibiliser les enfants et adolescents issus des zones sensibles, au patrimoine et à l’histoire. Ainsi, du 15 au 31 juillet, des groupes venus de centres de loisirs, centres sociaux, MJC et autres structures d’accueil des jeunes d’Eure et Loir et de cinq départements voisins (Loiret, Loir et Cher, Sarthe, Orne et Indre et Loire) seront accueillis à la journée, à des tarifs défiant toute concurrence.
L'Echo, 08/07, p.17

(Loches) Voyage au pays des horloges avec Gilles Vassort

Il est précisément 15h30 quand Gilles Vassort accueille les visiteurs dans Ison horlogerie au 10, rue des Ponts. La plupart d’entre eux venaient de (re) découvrir les horloges et les cadrans solaires de la ville à travers un jeu de piste organisé par le service patrimoine de Loches. Une fois entrés dans l’atelier, plus personne ne dit mot. Dans cette ancienne droguerie du XVIII siècle, les cliquetis de plus d’une quarantaine d’horloges se répondent. Les regards suivent le mouvement des pendules et les oreilles se dressent à chaque nouveau tintement. La visite se fait sur les trois pièces que comporte l’atelier. Gilles Vassort est là pour faire découvrir l’univers de sa profession et ses reliques d’un temps passé. Les outils circulent de main en main et l’horloger n’hésite pas à répondre à chaque question,  mécanique ou historique. A 16 h, la visite s’achève. Pour Élise Bellanger, du service patrimoine de la ville, l’objectif est rempli.
Nr, Indre et LoireE, 08/07, p.18

(Loches) Réunion autour du patrimoine lochois

Des élus de Guérande (Loire-Atlantique) ont rencontré hier leurs homologues de Loches dans le cadre d’une journée de réflexion autour du patrimoine. La rencontre, qui s’est organisée via le réseau des «Plus beaux détours de France» dont Loches et Guérande font partie, avait notamment pour but d’évoquer les méthodes de financement et de revalorisation des richesses historiques. Au programme de la journée : réception de la délégation guérandaise, déjeuner et visite du patrimoine lochois. «Ce partenariat permet à nos deux villes d’échanger sur les différentes idées et initiatives», explique Stéphane Blond, adjoint chargé du patrimoine de la ville de Loches. Une occasion d’évoquer le Fonds de dotation Loches patrimoine et culture, un système de mécénat qui est intervenu dans la restauration de tableaux de l’église Saint- Antoine et de la porte royale. Pour ce dernier monument, le fonds avait, avec 26.000 €, versé un apport équivalent à celui du conseil général. Pour Marc-Antoine de La Chevasnerie, subdélégué en charge des finances et du développement du mécénat à Guérande, ce système de fonds privé est un exemple à suivre. «Loches est très connu pour son système de dotation. Guérande, qui est aussi une ville médiévale, a le même type d’enjeux démographiques et touristiques. Nous aimerions y reproduire ce qui a été fait ici, confie l’élu. Aujourd’hui, si on veut mener à bien les projets de restauration du patrimoine, il faut trouver de l’argent aussi en dehors du secteur public, notamment du côté des entreprises.» (intégral)
Nr, Indre et LoireE, 08/07

(Saint Amand) « Le pont-canal s’abîme chaque jour »

Deux panneaux de cédez le passage. Depuis le 14 mai, posés au début du pont canal de la Tranchasse (1) qui enjambe le Cher et faisait passer les bateaux naviguant sur le canal de Berry de Colombiers vers Ainay le Vieil, ils interdisent le passage. La faute à des croisillons manquants sur la rambarde. « Un acte de malveillance », pour le maire de Colombiers, Daniel Bône, qui a pris l’arrêté municipal d’interdiction. «Un signe supplémentaire du mauvais état» du pont canal pour l’Association pour la réouverture du canal de Berry (Arecabe) : «On ne sait pas ce qui s’est passé, estime le président André Barre. On ne voit rien dans l’eau mais le manque de moyens accordés à ce pont a facilité le démontage. La main courante s’appuie sur des pierres en très mauvais état. On ne peut donc pas savoir si la disparition des croisillons est due à une dégradation volontaire ou si elle est le résultat du mauvais état du pont.» Toujours est il que le pont canal est en effet en très mauvaise santé. (1) Le pont canal a été érigé entre 1829 et 1834. Il a été utilisé jusqu’en 1955 et est classé aux monuments historiques depuis le 15 avril 2009.
Le Berry, 09/07, p.30

(Maintenon) Un été féerique et conté au château

Les visiteurs du château de Maintenon pourront (re)découvrir, dès samedi, la fantaisie historique contée «Madame de Maintenon ou l’Ombre du Soleil». Ce spectacle racontera, à la nuit tombée, trois époques de la vie de Françoise d’Aubigné (1635-1719), un «bel esprit» qui deviendra, pour la cour, Madame de Maintenon, puis l’épouse secrète du roi Louis XIV. Ces trois tableaux, projetés sur les différentes façades du château, ont été admirés, l’an dernier, par près de 10.000 visiteurs. «C’est un très beau succès», souligne, lundi soir, Jean-Pierre Jallot, vice président du Conseil général d’Eure et Loir en charge de la commission cultures et vie associative.
L'Echo, 09/07, p.4

(Châteaudun) L’Assomption a retrouvé l’église St Valérien

Le résultat est époustouflant. Le maître verrier, Claire Babet, dont l’atelier est situé à la Bourdinière Saint Loup, a fini de remettre en place, hier après midi, le vitrail restauré de l’Assomption de la Vierge, à l’église Saint Valérien. La pose a duré deux jours. Il aura fallu plus de 250 heures de travail à l’artiste et à ses salariés, pour redonner vie à cette baie datant de la fin du XIXe siècle, qui avait été fortement détériorée, lors de la Seconde Guerre mondiale. Il ne restait qu’un tiers des pièces de verres. Après des recherches documentaires, Claire Babet a pu reconstituer le visage de la Vierge, ses quatre anges et les deux personnages du bas. Une restauration d’envergure, qui a été possible grâce au legs d’une Dunoise, qui dans son testament avait précisé qu’elle souhaitait que ce vitrail soit rénové. Le chantier a coûté 7.857 € environ. (intégral)
L'Echo, 09/07

(Loches) Bon alors, qui a tué Agnès Sorel (le retour)… ?

L’été dernier, Antoinette de Maignelais avait été désignée coupable par le jury. Enfin… par le public qui avait assisté à la Follenquête, cette visite nocturne théâtralisée du patrimoine de la ville assurée par la compagnie Le Miroir aux alouettes*. Le public avait suivi l’archéologue Ferdinand de Labrossapoils (alias Loïc Chavigny) et son assistante, Guenièvre Kerbourrin (Lucile Krier) venus à Loches rechercher des éléments nouveaux dans l’assassinat d’Agnès Sorel, la favorite du roi Charles VII. A la fin du parcours, les spectateurs pouvaient voter pour dénoncer le coupable parmi une liste de dix suspects. Ce soir, les visiteurs nocturnes pourront à leur tour tenter de démasquer le coupable. L’été dernier, la compagnie de théâtre avait donné quatre représentations, avec un parcours qui partait de la gare jusqu’à la collégiale Saint-Ours. Cette année, le rendezvous est donné au jardin public, un endroit plus facile pour accueillir une centaine de spectateurs. Le metteur en scène Yves Krier a quelque peu modifié des passages de son récit historique et ludique, toujours validé par le service du patrimoine de la ville. Cela va-t-il influencer sur le vote ? On le saura en fin d’été.
Nr, Indre et LoireE, 09/07, p.18

(Orleans) Quel avenir pour Anatole-Bailly ?

Dans les papiers de la direction du patrimoine de la mairie d’Orléans qui gère les biens de la ville, il figure sous le nom d’«ex-collège Anatole Bailly», au 24, rue Jeanne d’Arc. Là, où, fondé par les Jésuites en 1617, il s’est d’abord appelé collège d’Orléans puis, de 1924 à 1962, lycée Pothier. Sous quelle forme pourraitil aujourd’hui renaître ? De l’éducation à l’art, il n’y a qu’un pas. Mais s’il a, depuis sa fermeture définitive à l’été 2011, accueilli le tournage d’un film, la comédie musicale Street Life, Orléanoïde et enfin, au printemps dernier, le QG du festival Hiphop, le collège affiche aujourd’hui porte close. Aux dires de plusieurs responsables associatifs, la ville semble très réticente à en ouvr ir les portes à ceux qui l’ont sollicité. Peu avant les élections, Philippe Courdert, pour Labomédia, avait proposé d’y installer un festival d’arts plastiques avec théâtre et danse, sur une journée. «Le projet requérait une trentaine de salles, le lieu s’y prêtait bien.» Mais la mairie a opposé une fin de non recevoir.
RC, Orleans, 11/07, p.9

(Sully sur Loire) Les bâtisseurs de cathédrales à l’honneur

L’association «Sully patrimoine» présidée par Olivier Morin et la ville de Sully proposent dès demain une ambitieuse exposition sur les bâtisseurs de cathédrales. Cette exposition, gratuite, voit le jour dans le cadre du 850e anniversaire de la construction de Notre Dame de Paris dont l’initiateur n’était autre que Maurice de Sully, enfant du pays devenu évêque de Paris en 1160. Antony Renou, le concepteur, explique que le projet mûrit depuis plus d’un an. Il a nécessité un très gros travail de recherches historiques et techniques. L’exposition s’articule autour de 25 panneaux illustrés de reproductions de gravures, vitraux et miniatures d’ouvrages enluminés. Pour accompagner les panneaux, une centaine d’objets sont exposés.
RC, Loiret, 10/07

(Maintenon) Un incroyable destin peint en lumières

La notoriété du château de Maintenon est intimement associée à Françoise d’Aubigné (1635-1719), plus connue sous le nom de Madame de Maintenon. Conscient que son «destin incroyable méritait d’être raconté de manière inédite», le Conseil général d’Eure et Loir a fait appel au peintre vidéo Xavier de Richemont pour proposer un spectacle nocturne inédit. Après avoir été découverte l’an dernier par près de 10.000 visiteurs, cette féerie historique contée, intitulée Madame de Maintenon ou l’Ombre du Soleil, va être à nouveau projetée sur les différentes façades du château. En trois tableaux de 20 minutes, avec des collages musicaux et des écritures graphiques, le public pourra, à la nuit tombée, revivre le fabuleux destin de Françoise d’Aubigné.
L'Echo, 11/07, p.5

(Escorpain) La cloche de l’église sera restaurée

Stéphan Debacker, maire et Henri Reau, délégué à la Fondation du Patrimoine, se sont retrouvés mardi matin à la mairie d’Escorpain, pour la signature de la convention concernant la restauration de la cloche de l’église Saint Germain. La cloche avait été descendue et installée à l’intérieur de l’édifice à l’occasion du concert donné le 14 juin dernier par la chorale Sainte Eve de Dreux. Un appel aux dons avait été lancé. «Nous avons récolté, lors de cette soirée, la somme de 1.473 €», rapporte Stéphan Debacker qui doit, avec son équipe, procéder à la distribution, chez chaque habitant, d’un document présentant le projet et la nature des travaux de restauration, accompagné d’un bon de souscription. La cloche, une fois restaurée, sera exposée dans l’église le week end des 20 et 21 septembre, pour les Journées du Patrimoine. (intégral)
L'Echo, 11/07

(Montlandon) Les travaux ont repris à l'église

Après le démontage du clocher réalisé à la fin du mois de février 2013, suivi de six mois de travaux, l'entreprise Béquet, de Courgeon (Orne), a fait son retour à Montlandon pour débuter cette semaine la deuxième tranche de restauration de l'église Saint Jacques. Les travaux portent sur le démontage de la toiture de la nef et la réfection de la couverture et de la charpente. Le coût global de cette opération s'élève à 457.000 € TTC, subventionnés par la Région et l'État.
L'Echo, 11/07, p.22

Escrime ancienne au château de Blois

Bretteurs et spadassins s’affronteront avec humour et panache Bpour faire revivre l’âge du duel. Au rythme du luth et de la cornemuse, les professionnels de l’escrime évoqueront l’histoire de l’évolution des armes. Le spectacle est comme à son habitude présenté par le Conservatoire national d’escrime ancienne, champion du monde 2012 d’escrime artistique dans la catégorie la plus prestigieuse : «Grand Siècle». Avec de nouveaux costumes et de nouveaux accessoires, le spectacle d’escrime ancienne mis en scène par Laurent Tixier est à découvrir du lundi 14 juillet au dimanche 24 août.
NR, Loir et Cher, 11/07, p.8

(Vendome) Un lavoir après la chapelle ?

La restauration de la chapelle Saint-Pierre-La-Motte enfin terminée, quel sera le prochain chantier de l’équipe des bénévoles de Résurgence ? Les idées ne manquent pas et l’on pourrait s’orienter vers un lavoir privé visible de tous. En effet, les chevilles ouvrières de l’association aimeraient privilégier ce type de site. Car si la chapelle Saint-Pierre-La-Motte discrètement nichée au fond de son impasse est facile à découvrir, ce n’est malheureusement pas le cas de la chambre des comptes de la rue Renarderie cachée dans une cour privée intérieure. Du coup, nul ne peut profiter de la remise en état de ce superbe bâtiment… excepté les habitants de l’immeuble concerné. Sauf lors des Journées du patrimoine et lors des permanences que l’association envisage de développer dans ce qui est aussi son siège. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 11/07

Source : lefigaro.fr

Ouverture du Musée du sport à Nice

Le Musée national du sport entame une nouvelle vie. Créé en 1963 dans le XIIIe arrondissement de Paris et fermé en 2012, il fera désormais partie du paysage niçois. Conçu tout comme le stade Allianz Riviera qui le surplombe par l'architecte Jean-Michel Wilmotte, le nouveau musée, qui s'étale sur 3.000 m2, renferme plus de 45.000 objets et 400.000 documents: maillots et tenues, équipements, trophées, médailles, mascottes, affiches, peintures, films, photos et archives.
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Source : voilesnews.fr

Musée de la marine - Les trésors des collections du musée en ligne

À partir du 1er juin 2014, le musée national de la Marine met en ligne sur son site internet, via la plateforme WebMuseo, les pièces majeures de ses collections. Cette publication est rendue possible grâce à une nouvelle gestion des collections en ligne.
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Source : france3-regions.francetvinfo.fr

Hors les murs: du musée de Grenoble à la MJC des Eaux Claires

Des oeuvres d'art contemporain autour des cinq sens sont accrochées pour quelques semaines aux murs d'une maison de quartier de Grenoble. Les collections du Musée ont déménagé pour un partage plus large avec les habitants, ce qui suscite la curiosité.
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Source : weka.fr

Accessibilité : cinq musées récompensés

La ministre de la Culture et de la Communication a remis, le 27 mai, le Prix « Patrimoines pour tous ».

Le Prix « Patrimoines pour tous » vient récompenser les actions des établissements patrimoniaux qui se sont engagés dans « une démarche d'excellence » en matière d'accessibilité des lieux patrimoniaux. À savoir : mise en accessibilité du cadre bâti, réalisations innovantes favorisant accès et usage pour tous, outils de médiation prenant en compte les principaux handicaps. En encourageant les démarches de partenariat entre les établissements patrimoniaux et les structures d'accueil des jeunes en situation de handicap, ce Prix constitue, par ailleurs, « un levier d'action pour réussir le grand chantier de l'éducation artistique et culturelle », explique le ministère de la Culture et de la Communication.
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Source : france3-regions.francetvinfo.fr

VIDEO. Emission spéciale - Musée des Confluences

Les travaux du Musée des Confluences ont débuté à Lyon en 2006.
Au fil des ans, le projet ambitieux initié par le Conseil Général du Rhône pour abriter les collections du Musée Guimet d'Histoire Naturelle s'est transformé en cauchemar. Travaux interrompus, budget qui explose, rumeurs sur la stabilité du bâtiment… Les Lyonnais désespèrent de mettre les pieds dans ce nouveau musée des sciences et des sociétés.
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Source : lesechos.fr

Vidéo : la révolution digitale s’invite au Musée du Louvre Louvre-Lens

Le Musée du Louvre Louvre-Lens propose à ses visiteurs différents outils numériques pour une expérience culturelle enrichie.

Fini les audioguides un peu encombrants et qui ne font que débiter du texte. Le Musée du Louvre Louvre-Lens, qui a ouvert ses portes en 2012 et a attiré plus de 900 000 visiteurs en un an, a décidé d’innover en proposant à ses visiteurs plusieurs outils numériques.
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Source : portail-joconde.over-blog.com

Bienvenue sur Joconde au musée des beaux-arts de Brest

Le musée des beaux-arts de Brest vient de verser un premier lot de notices illustrées sur Joconde : plus de cent oeuvres des peintres de Pont-Aven et des Nabis. L'occasion pour son conservateur, Pascal Aumasson, de revenir sur l'histoire des collections du musée ainsi que sur leur valorisation sur Joconde, liée à la programmation des expositions temporaires.
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Source : http://cursus.edu

Nouveaux visages de la muséologie numérique

Dans les prochaines semaines, Francine Clément publiera une série de rencontres avec des acteurs de la muséologie 2.0 dans des institutions muséales de Washington, notamment dans les musées nationaux de la Smithsonian Institution.

Ces rencontres ont pour but de dresser un portrait actuel, sinon exhaustif, du travail qu'effectuent les responsables des projets numériques dans le développement, la gestion ou la production de ces projets de muséologie virtuelle.

On peut en lire davantage sur la genèse de la recherche dans cet article, publié en décembre 2013 sur le blogue Smithsonian 2.0.
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Source : cursus.edu

Piloter les communautés en ligne d'un grand musée populaire

Série de rencontres avec des acteurs de la muséologie 2.0 dans des institutions muséales de Washington, notamment dans les musées nationaux de la Smithsonian Institution. Ces rencontres ont pour but de dresser un portrait actuel, sinon exhaustif, du travail qu'effectuent les responsables des projets numériques dans le développement, la gestion ou la production de ces projets de muséologie virtuelle. On peut en lire davantage sur la genèse de la recherche dans cet article, publié en décembre 2013 sur le blogue Smithsonian 2.0.
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Source : paristechreview.com

Stratégies de délocalisation: et si on parlait des musées?

A la suite du musée Guggenheim, un certain nombre d'institutions culturelles occidentales se sont lancées dans de spectaculaires opérations de délocalisation, jouant la carte d'une exportation de leur marque et de leur savoir-faire. Entre diplomatie d'influence et marketing culturel, sans oublier la manne financière que représentent de tels projets, musées et universités occidentales tentent leur chance dans les nouveaux paradis du Moyen-Orient ou d'Asie. Pour quels bénéfices ? Selon quelles stratégies ?
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Source : club-innovation-culture.fr

À l’occasion de l’exposition Culture TV, le Musée des arts et métiers et l’INA proposent un catalogue entièrement numérique

À l’occasion de l’exposition Culture TV. Saga de la télévision française, le Musée des arts et métiers édite, en collaboration avec l’INA, un catalogue entièrement numérique. Une application iPad produite par le développeur SmartApps.

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Source : lepoint.fr

La presse, arbitre des musées français

Décrédibilisé, le ministère de la Culture est désormais à la remorque de la presse. Et lui fait faire beaucoup de bêtises, comme dans l'affaire du musée Picasso.

"Il me semble de l'intérêt de tous et surtout du public que je réalise l'accrochage." Dans Le Monde daté de ce 10 juin, l'ancienne directrice du musée Picasso, Anne Baldassari, regrette d'avoir refusé, après avoir été révoquée par le ministère de la Culture, d'effectuer l'accrochage du musée qui devrait rouvrir en septembre.
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Source : lesechos.fr

Dessine-moi un musée…

Comment met-on en valeur l'art aujourd'hui ? Depuis la forme du sandwich proposé à la cafétéria jusqu'à la taille de la vitrine accordée à une poterie ancienne, les patrons de musée, conservateurs et architectes racontent comment on exhibe l'art au XXI e siècle.
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Source : club-innovation-culture.fr

Europeana, la bibliothèque numérique européenne s’enrichit d’1 million de nouvelles images libres de droit

En avril 2014,la Bibliothèque européenne Europeana a ajouté plus d’1 million de nouveaux éléments à sa collection en ligne. La majorité de ces nouvelles collections est en open content et réutilisable librement.
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Source : ledevoir.com

Un budget au goût amer pour les musées d’État

Les musées sortent encore un peu meurtris du premier budget du gouvernement Couillard. Les crédits alloués aux musées d’État sont encore revus à la baisse. Et l’appel à l’aide de l’ensemble du réseau muséal, après des années de sous-financement dont témoignait un rapport ministériel rendu public en novembre dernier, n’a pas été entendu.
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Source : club-innovation-culture.fr

Le National Museum History London lance une application mobile de crowdsourcing végétal

Le 22 mai 2014, le National Museum History London a lancé l’application mobile « LeafSnap UK », un outil collaboratif destiné à inciter le public à explorer et recenser la diversité végétale du Royaume-Uni.

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