Revue de presse (27 octobre au 2 novembre 2014)

Musées en région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Meung sur Loire) La préhistoire expliquée aux jeunes

Mercredi, au musée, douze enfants appliqués ont confectionné la maquette en carton d’un animal préhistorique. Préalablement à cet atelier, Charlène Gilbert, la responsable, commentait, à l’intention des jeunes paléontologues, la collection Quatrehomme. Cette activité manuelle et ludique leur a permis de découvrir la préhistoire, de visiter le musée, d’observer et de manipuler des dents fossilisées.
RC, Orleans, 27/10, p.19

(Blois) L’équipe de France revient s’entraîner à la Maison

En partenariat avec la Fédération française des artistes prestidigitateurs (FFAP) , l’équipe de France de magie se prépare à passer six jours en résidence. Elle intervient après le deuxième championnat d’Europe de magie, une compétition sélective pour le Mondial FISM 2015 qui s’est déroulée sur un bateau de croisière, à Rimini. Ce concours ouvert à toutes les nationalités a rassemblé en majorité des Français, des Espagnols et des Italiens. Le niveau de concours très élevé jugeait la scène et le close-up. Du 28 octobre au 2 novembre, l’équipe de France de magie est en résidence à la Maison de la magie. Aux heures des spectacles, ils roderont leurs numéros.
NR, Loir et Cher, 27/10, p.9

(Concressault) Citrouilles et sorcières sont à la fête

Comme chaque année depuis vingt ans, le musée de la Sorceller ie vit au rythme d’Halloween, à la fin du mois d’octobre. Après le début des festivités, le weekend dernier, la fête se poursuit vendredi 31 octobre, avec une nocturne spéciale, et samedi 1er novembre, avec le dernier après midi magique de la saison. «Nous proposons plusieurs animations autour d’Halloween, explique Serge Van Poucke, conservateur du musée de la Sorcellerie. Samedi dernier, il y avait par exemple le lancer de balai, le test d’innocence ou le fil à frisson, qui envoie une petite décharge électrique si on le touche.»
Le Berry, 29/10, p.22

(Tours) Edouard Debat-Ponsan peintre de la lumière

La nouvelle exposition temporaire du musée des Beaux-Arts de Tours consacrée au peintre Edouard Debat-Ponsan vaut de s’y attarder, de se plonger dans l’oeuvre prolixe de ce peintre attaché à la Touraine et dont le petit-fils, Olivier Debré, disait «se sentir très proche». Ce ne sont pas moins de 80 tableaux d’Edouard Debat-Ponsan que le musée des Beaux-Arts a accrochés et mis en valeur grâce à une scénographie basée sur la couleur, la modernité et des clins d’oeil biographiques, comme ces agrandissements de photos noir et blanc de la famille du peintre ou celles prises dans son atelier parisien, qui donnent une touche très personnelle à cette grande exposition. «Parmi les 80 peintures exposées, explique Sophie Join-Lambert, commissaire générale de l ’exposition et directrice du musée des Beaux-Arts de Tours, un très grand nombre n’avait jamais été montré. Beaucoup sont encore conservées chez des descendants de l’artiste.»
Nr, Indre et Loire, 29/10, p.10

Patrimoine en région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chartres) Un inventaire précis et remarquable

Il faut grimper soixante dix marches, dans la tour sud, pour atteindre les sept salles qui renferment les 6.000 pierres anciennes du lapidaire de la cathédrale de Chartres. Dans cette réserve très organisée, la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) a inventorié et numéroté chaque pièce et chaque fragment. «Chartres est précurseur. L’inventaire a été réalisé en 2004, alors que le ministère de la Culture vient tout juste de lancer un inventaire à l’échelon national», explique Irène Jourd’heuil, conservateur des monuments historiques à la DRAC Centre. Dans les salles en enfilades, derrière des grilles, se découvrent, entre autres, plusieurs éléments du jubé (clôture en pierre qui séparait le chœur liturgique de la nef ) du XIIIe siècle. Des colonnes, des éléments des parties basses et hautes du jubé, marquées par des traces de polychromie, se trouvent ici.
L'Echo; 28/10, p.7

(Romilly sur Aigre) La roue du moulin sera restaurée

La roue du moulin, en très mauvais état et qui daterait de 1875, a donné lieu à une étude sur son devenir. En accord avec Jean-Louis Caillard, le propriétaire du centre équestre sur lequel était érigée la roue, les restes seront démontés et la belle arche découverte restaurée. C’est en 1838 qu’un bâtiment à trois étages est édifié, en remplacement de l’ancien moulin, devenu vétuste. En 1875, le bief est amélioré par de nouvelles vannes à crémaillères et l’adoption du règlement d’eau. L’activité du moulin, qui alimente ensuite une scierie, se poursuit jusqu’à un incendie accidentel, en 1968, qui détruit totalement le site. (intégral)
L'Echo, 28/10

(Châteauroux) Le square Fontaine-Saint-Germain en l’honneur d’une habitante

C’est un petit parc en cul-de-sac qui longe un bras de l’Indre et borde la fontaine Saint-Germain, en contrebas de la rue éponyme. Son inauguration, hier, en présence d’une cinquantaine de personnes dont de nombreux habitants, fut empreinte d’émotion quand les deux filles de Solange Brisset, qui fut membre du conseil de grand quartier Est et particulièrement engagée dans la restauration du lieu, décédée cette année, prirent la parole, très émues. chargé de fruits, face à l’abbaye de Déols qui s’élève de l’autre côté de la rivière, au bout d’une plaine inondable, la fontaine Saint-Germain est fréquentée depuis plusieurs siècles. La première mention écrite remonte au XVIe, dans un poème de Jean Lauron. Engagés depuis 2012, les travaux de restauration de la fontaine et du parc sont donc désormais achevés.
Nr, Indre, 28/10, p.10

(Saint Brisson sur Loire) Un repreneur intéressé par le château

Le château de Saint Brisson sur Loire, propriété de la commune, devrait fermer ses portes le 31 décembre, après un appel d’offres de délégation de service public infructueux. Le maire du village a annoncé, vendredi soir, qu’un repreneur s’était fait connaître : selon des indiscrétions, il s’agirait de Lancelot Guyot, fils de Jacques Guyot, et propriétaire du château de La Ferté Saint Aubin. Il reprendrait l’édifice du XIIIe siècle en location-vente. Au terme de 20 années, il en deviendrait ainsi le propriétaire. Mais, joint par téléphone, Lancelot Guyot, qui est venu visiter le site, a indiqué ne pas être en lice. À suivre. (intégral)
+ Les réactions d’un public… médusé
+ Des chiffres contestés par l’association des amis du château
RC, Orleans, 27/10 + Loiret, p.18

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (64) Sur les traces de la chapelle disparue

«Ceste chapelle est fondee en reverance de Dieu et de la glorieuse vierge saincte Katherine par maistre Guillaume de Ruilly chanoine de Bourges.» Ces quelques mots ont traversé les siècles. À l’intérieur même de l’église Notre Dame. Sur l’un des piliers, près du chœur, une dalle scellée dans la pierre passe presque inaperçue. Elle porte ce texte, rédigé en français et encore bien lisible. Il s’agit de l’unique vestige d’une chapelle disparue au XVIIIe siècle. Ces lignes gravées remontent au temps où les personnes influentes, fortunées, pouvaient fonder des lieux de culte à l’intérieur même des édifices religieux. Et même s’y faire inhumer. Bien que la chapelle n’existe plus, on connaît son origine. La plaque a en effet attiré l’attention des érudits vierzonnais de naguère, comme Paul Gauchery ou encore le comte de Toulgoët-Tréanna, au XIXe siècle. Et, plus récemment, elle a été analysée par Alain Leclerc, archiviste et historien.
Le Berry, 27/10, p.13

(La Pérouille) Cure de jouvence pour l’église

Située au centre du village, cette église romane du XIVe siècle, vouée à Saint-Martin, ne manque pas de charme. Mais au fil des ans, d’importants travaux s’imposaient. La municipalité a donc confié la réfection de la toiture à une entreprise de Blois, et la maçonnerie à une entreprise de Lucay-le-Mâle. (intégral)
Nr, Indre, 27/10

(Tours) Tableaux en danger

Dix huit tableaux en carreaux de céramique, d’Eugène Martial, classés à l’Inventaire général depuis 1987 et installés à la gare de Tours (Indre et Loire), nécessitent des interventions de restauration conséquentes. L’association Patrimoine Environnement, en partenariat avec Gares & connexions, vient de lancer un appel à contr ibution pour la restauration de ces œuvres, via le site Ulule.fr. Ce site de financement participatif permet à chacun de devenir mécène, avec des  contributions possibles dès 5 euros. Il reste six jours pour se faire connaître sur le site www.ulule.com/garetours. À partir de lundi, les dons pourront être envoyés à l’association Patrimoine Environnement, à Fonds de dotation Patrimoine – Environnement, 20, rue du Borrégo, 75020 Paris. (intégral)
RC, Orleans, 29/10

(Bou) Lancement des travaux sur les vitraux

Après avoir installé leurs échafaudages, les ouvriers de Guillaume Defert, maître verrier à Auxerre (Yonne), étaient de retour, lundi matin, en l’église Saint-Georges de Bou. Ils ont lancé la première phase des travaux de réfection des vitraux de l’église. L’objectif : déposer les vitraux des huit baies, qui seront ensuite acheminés dans les ateliers auxerrois, pour y être restaurés. «Ils datent du XIXe siècle et sont de bonne facture, en état de conservation très convenable. Mais celui le plus haut risquait de tomber à tout moment. C’est le meilleur moment pour les restaurer ; après, cela aurait coûté beaucoup plus cher», assure le responsable du chantier. Dès la fin de la dépose des vitraux, la société orléanaise de tailleur de pierre, ROC, entamera la partie maçonnerie. La fin des travaux est prévue pour mars-avril. 105.000 Le coût total des travaux s’élève à 105.000 € HT, financés à parts égales (31.500 €) par le ministère de la Culture et par le conseil général, 42.000 € restant à la charge de la commune. (intégral)
RC, Orleans, 29/10

(Rozoy le Vieil) 50.000 euros à trouver pour l’église

«Je suis amoureux de l’église du village», confie volontiers Jacques Lassoury, le maire. Et ce ne sont pas des paroles en l’air puisqu’il a décidé de verser la moitié de ses indemnités d’élu pour la réfection de l’édifice qui souffre d’une humidité excessive. Malgré tout, il en faudra plus, beaucoup plus pour financer la remise en état des façades. Aux alentours de 50 000 €, en réalité, que la municipalité compte bien recueillir grâce à une souscription lancée avec la fondation du patrimoine. «C’est la quatrième souscription de ce type que nous lançons, car c’est le seul moyen pour les petites communes comme Rozoy le Vieil de pouvoir prendre soin de leur patrimoine», a expliqué le maire lors de la signature de la convention.
RC, Loiret, 29/10, p.15

(Saint Eloy de Gy) Un mois de travaux sur le clocher de l’église touché par la foudre

Un sinistre est survenu le 21 mai, la foudre est tombée sur le clocher occasionnant des dégâts importants sur la charpente et sur les ardoises. Heureusement, l’intérieur de l’édifice n’avait pas été touché. Un périmètre de sécurité avait été installé par la municipalité et l’église était fermée par arrêté. Puis, un orage en juillet avait, à nouveau, frappé le clocher ! Les experts sont passés pour évaluer les dégâts et les travaux vont débuter début novembre pour une durée d’un mois. Actuellement, les salariés d’une entreprise mandatée par l’entreprise Gonin d’Achères qui va effectuer les travaux, monte un échafaudage autour du clocher. (intégral)
Le Berry, 29/10

(Coinces) Une association pour rénover le moulin

Quelques passionnés ont décidé de rénover le moulin de Lignerolles, situé sur la commune Coinces, à 200 mètres du  village, sur le chemin de la Jambe. «L’actuel monument a été bâti à la place d’un moulin disparu au début du XIXe siècle», explique Dominique Touchard, président des Amis du moulin de Lignerolles. Acheté par François Auguste Dousset, en 1848, il a été démonté au Val d’Orléans, sur la commune d’Ingré, puis reconstruit sur son emplacement actuel. En 1856, Jean-Prosper Touchard, meunier à Gidy, rachète la structure, qui sera exploitée jusqu’en 1933 par Jules Touchard, le grand père du président.
RC, Orleans, 30/10, p.20

(La Chapelle sur Aveyron) 30.000 € pour le plafond de l’église

Le plafond de l’église Saint Roch, dont l’origine remonte au 12e siècle, se dégrade. Des morceaux de plâtre se détachent régulièrement. Avant qu’un accident se produise, des travaux doivent être entrepris rapidement. Une approche financière estime le coût à près de 30.000 € que les finances de la commune ne pourraient pas supporter. Sauf à suspendre ou  reporter d’autres projets. Une solution consiste à faire un appel aux dons sous forme d’une souscription à hauteur minimum de 5% du montant des travaux, ce qui les rendraient éligible à une aide de la Fondation du Patrimoine. Le maire a le feu vert pour entreprendre ces démarches. (intégral)
RC, Loiret, 30/10

(Bourges) Entrées payantes : un indicateur

L’indicateur de la fréquentation, c’est le monument avec entrée payante : la crypte de la cathédrale, par exemple, qui enregistre sur la saison (à fin septembre) une hausse de 17%. Le palais Jacques Cœur poursuit sa progression (+3%) amorcée avec la sortie du Grand Cœur de Jean-Christophe Rufin. Et dans les musées de Bourges, la palme revient incontestablement au musée du Berry, avec la nouvelle exposition mise en place (hausse estimée à 18%). Le site Internet de l’office du tourisme a enregistré une hausse de 13% (il oscille à une progression de 15 à 20% chaque année) et compte 1,5 million de pages vues sur un an. (intégral)
Le Berry, 30/10

(Morancez) L’église Saint-Germain en chantier

En début d'année 2013, un premier volet de travaux de rénovation avait été effectué (nettoyage complet de l'église, peinture et pose d'un enduit gratté à chaud sur le plafond et les murs du chœur de l'église, mise en valeur des statues). Un nouveau chantier est en cours, actuellement : l'entreprise de peinture Colliot de Saint Arnoult des Bois, réalise notamment la réfection de l'autel de la Vierge et la peinture des joints. Un travail minutieux en phase avec les conseils de la DRAC. L'éclairage interne et externe et des travaux de menuiserie seront également effectués. «Une dernière rénovation pour un coût total prévisionnel de 33.200 € HT, que la commune réalise dans le cadre de l'entretien et la sauvegarde du patrimoine, même si l'église n'est pas classée» indique Gérard Besnard, maire de la commune. (intégral)
+ L’église Saint-Germain de Morancez présente plusieurs éléments remarquables, notamment son portail du XIIe siècle et un tableau du XVIIe siècle de Giovanni-Francesco Romanelli, offert à l’église de Morancez en 1851 par Jérôme Bonaparte, frère de Napoléon Ier.
Le Berry, 29/10

La commune de Chavin assume son choix

Une équipe de charpentiers oeuvrent depuis plusieurs Umois dans l’église de Chavin. L’opération s’inscrit
dans la troisième phase de restauration de cet édifice des XIe, XIe et XIIIe siècles inscrit à l’inventaire des Monuments historiques. Compte tenu du coût global du chantier, évalué actuellement à plus d’un million d’euros, la municipalité a dû «saucissonner» le projet en quatre tranches. Les premiers travaux ont été réalisés sur le clocher en 2011. La réfection du chevet et des transepts a eu lieu en 2012-2013 et la rénovation de la sacristie et de la moitié est de la nef a débuté au mois de juin. Cette seule intervention coûtera plus de 261.0000 €, et cette fois encore, la commune a dû tirer les sonnettes pour trouver des partenaires financiers. La reconduction des aides de la Drac, du Département, de fonds parlementaires, et une dotation exceptionnelle destinée à l’équipement des territoires ruraux, ont permis de couvrir 67% de la dépense, mais ce résultat est à marquer d’une pierre blanche dans un contexte économique difficile.
NR, Indre, 30/10, p.5

(La Berthenoux) Souscription publique officialisée pour quatre calvaires de la commune

Vendredi, en fin d’après-midi, Philippe Patrigeon, maire, et son équipe municipale ont reçu, à la salle des associations, Arnaud de Montigny, délégué départemental de la Fondation du patrimoine, et Serge Descout, vice-président du conseil général. Cette réunion avait pour but d’officialiser la souscription publique afin de récolter des fonds pour la sauvegarde de quatre des dix-sept calvaires que comptabilise la commune. «Depuis le début de l’opération, 2.225 € ont été récoltés, pour un montant de travaux  estimé, pour les quatre édifices, à 15.150 €», précise le maire.
NR, Indre, 30/10, p.15

(Chartres) Un colloque public sur la cathédrale le 7 novembre

Un colloque, ouvert par le préfet, Nicolas Quillet, sera consacré à l’édifice, vendredi 7 novembre, au cinéma. Les participants
pourront écouter des spécialistes, invités par la Direction régionale des affaires culturelles du Centre. Conservateurs, architectes, maîtres de conférences, restaurateurs et historiens présenteront le monument, le rôle de l’Etat dans son entretien et l’actualité des chantiers de restauration.
L'Echo, 31/10, p.10

(Bourges) Le patrimoine est au bout de leur nez

Lucien et Lazare arrivent avant derniers. Pas hypermotivés. L’important, dans les ateliers du patrimoine, c’est le premier pas ! Au début, ça n’a pas l’air cool. Mais Lucien, Lazare, Adèle et les autres se sont prêtés au jeu et sont allés enquêter. Dans les pas de mademoiselle Agnès, ils sont partis à la recherche d’éléments d’architecture devant le portail de la cathédrale, fascinés par cette silhouette majestueuse et familière. Ils sont, sur la douzaine, majoritairement berruyers. D’autres, peutêtre en vacances chez leurs grandsparents, sont de Créteil, de Lyon, ou, presque voisins, de Vatan. Agnès, du service du patrimoine, dédramatise sa science. L’histoire est accessible quelque soit l’âge. Et les six à huit ans en gardent toujours quelque chose, de ces ateliers. Ainsi Lucien, qui a déjà participé à un atelier, se souvient de ces sculptures qui «mangent les poutres», sans toutefois se souvenir du nom. «Les engoulants. Il y en a aussi sur la cathédrale !»
Le Berry, 31/10, p.12

(Tours) Des tailleurs de pierre au chevet de la mairie

L’opération n’est pas passée inaperçue. Depuis le début de la semaine, les passants de la place Jean-Jaurès regardent tous dans la même direction. Celle de la façade de l’hôtel de ville. Les regards attirés par l’immense grue rouge et sa nacelle qui se balade le long de la façade. A son bord, des tailleurs de pierre spécialisés. Tout a débuté l’an passé, à l’occasion d’une inspection de routine du bâtiment par des artisans cordistes. Il est constaté que des opérations de rénovation doivent être programmées sur les éléments décoratifs en pierre. Petit rappel historique… L’hôtel de ville de Tours a été construit entre 1896 et 1904 par l’architecte tourangeau Victor Laloux.
NR, Indre et Loire, 31/10, p.11

(Montlouis-sur-Loire) Le portail du cimetière rue Madeleine-Vernet en travaux

Le maire de Montlouis, Vin- cent Morette, et sa première adjointe, Martine Salmon, se sont rendus au cimetière de Montlouis-sur-Loire, rue Madeleine-Vernet, lundi 28 octobre, pour observer l’évolution des travaux commencés il y a quelques semaines. En effet, la face nord du cimetière est historique : c’était la seule entrée à sa création. On estime sa construction au milieu du XIXe siècle. Une première restauration s’imposait afin de sauvegarder ce patrimoine très ancien dans le respect de ses origines. Après plusieurs consultations, c’est l’entreprise Hory-Chauvelain, d’Avoine, qui a été choisie, riche de son expérience dans les monuments historiques. Le coût global des travaux s’élèvera à 20.000 € environ.
NR, Indre et Loire, 31/10, p.18

(Bléré) L’Art Nouveau présent au cimetière

Le jeu des plissements organiques où semble s’esquisser une croix est représentatif de l’élaboration Art Nouveau. Au cimetière de Bléré, l’une d’elle fait partie du patrimoine Art Nouveau. Elle est signée Hector Guimard, architecte français représentant majeur de l’Art Nouveau en France. Cette sépulture de 1897 où repose Nelly Chaumier apparaît dans l’oeuvre de l’architecte comme la première tombe bénéficiant véritablement d’un traitement graphique Art Nouveau. Recherchée longtemps par le cercle Guimard, elle ne lui a été révélée qu’en 2007. Jusquelà, elle n’était connue que par six dessins appartenant au fonds Guimard du musée d’Orsay.
NR, Indre et Loire, 31/10, p.17

(Montrichard) Les murs d’enceinte du Donjon et sa boutique en travaux

Les agents des services techniques de la mairie de Montrichard ont travaillé à sécuriser les murs extérieurs aux caves du Donjon. Ils ont piqueté tout ce qui menaçait de tomber, entre autres au-dessus des caves et sur la pierre de tuffeau de la tour du musée, près de l’entrée de la salle de molinologie. Juste après avoir terminé ce chantier, les agents se sont attaqués à rénover les locaux de la boutique du Donjon. Ils ont commencé par débarrasser les locaux et les nettoyer. Au-dessus de la boutique qui a abrité, il y a longtemps une épicerie, une pièce devait servir de chambre et des toilettes sont encore visibles. « La disposition des pièces va être conservée. On rénove ce qui doit l’être, faux plafond par exemple pour plus de propreté. Il n’est pas question de tout refaire mais d’aménager pour que ces locaux servent de nouveau. L’idée serait d’y installer plus tard une galerie d’art» précise Dominique Fidric, adjointe au maire de Montrichard. (intégral)
NR, Loir et Cher, 31/10

(Aubigny sur Nère) Une expo sur les briqueteries-tuileries

Avec la nouvelle exposition sur le thème des briqueteries tuileries de Sologne, du 4 au 27 novembre, c’est un voyage dans le temps qui est proposé. Les visiteurs pourront retrouver les gestes des hommes transformant l’argile, les briques, tuiles et carreaux, pour comprendre comment on installait une briqueterie, comment fonctionnaient les fours… C’est également un voyage dans l’espace, avec les photographies de fours et de séchoirs existant encore dans les trois départements solognots, derniers témoins d’une activité à jamais révolue. En sortant de cette exposition, les visiteurs ne traverseront plus jamais un village solognot sans admirer ses maisons de briques et sans penser au travail des briquetiers tuiliers qui ont fait de la région un pays de briques. Cette exposition, qui aura lieu à la bibliothèque municipale, est conçue par Frédéric Auger et Joël Lépine, sur la base des travaux entrepris pendant plusieurs années par une équipe de passionnés du Groupe de recherches archéologiques et historiques de Sologne (Grahs). (intégral)
Le Berry, 01/11

(Beauvilliers) Inaugurations en cascade au village

Après avoir accueilli sur le par vis les très nombreux élus invités, le maire Jean-Claude Bayarri a rappelé que le village, après avoir fait l’objet d’une actualité brulante il y a une quinzaine d’années avait retrouvé sa sérénité et que tous les agencements qui allaient être inaugurés le prouveraient. En premier lieu il s’est agi de la réhabilitation de l’environnement de l’église Saint Martin (XIe et XIIe siècles) par l’aménagement d’un parvis, puis la rénovation du caquetoir. Des travaux avaient été entrepris dans les années 90 puis en 2007. «Cette valorisation nous tient à cœur et nous envisageons maintenant la réfection de toutes les façades de l’église, puis de nous occuper de l’intérieur où se trouvent des pièces mobilières remarquables». Une première inauguration s’est donc déroulée sur le parvis puis élus et les habitants se sont rendus sur le bord de la mare du bourg qui a été réhabilitée.
L'Echo, 01/11, p.11

(Courville sur Eure) L’église Saint-Pierre en travaux

Lors du dernier Conseil municipal de Courville, Richard Pépin, adjoint au maire, a présenté l'important dossier lancé en 2007 avec les futurs travaux de restauration de la façade ouest et de couverture de l’église Saint Pierre classée au titre des monuments historiques depuis 1907. «Ils se feront en trois tranches pour un montant d'1,35 million d'€ HT étalés sur plusieurs exercices et en 2015 afin de soulager la voute de la porte d'entrée qui sera restaurée, un important vitrail verra le jour et deux travées de charpente et de couverture seront refaites». Avec des subventions à hauteur de 40% de l’État et de 30% par le Conseil Général, il restera à la charge de la commune 30% soit un peu plus de 400.000€ du montant HT de ce bel édifice imposant construit de 1380 à 1415 et a grandi au fil des siècles. (intégral)
L'Echo, 01/11

(Amboise) Léonard Perrault, une tombe et une histoire liées à Choiseul

Pour beaucoup, Léonard Perrault, c’est d’abord le nom d’une rue (appelée autrefois rue du Rocher) qui relie le Clos-Lucé à la porte des Lions du château royal. Pour ceux qui ont suivi les visites du cimetière menées par le cercle Ambacia, c’est aussi un monument funéraire planté à côté de celui du duc de Choiseul. C’est l’histoire d’un jeune Amboisien d’extraction modeste qui s’éleva grâce au duc et à la duchesse de Choiseul avant de se faire un nom et une fortune. Jusque dans sa mort, sa vie aura côtoyé celle de Choiseul. L’histoire de ces tombeaux mitoyens dans l’une des allées du cimetière est donc intimement liée. Le duc de Choiseul décède en 1785. Il avait acheté un terrain pour sa dernière demeure au lieu dit «Le Clos-du- Boeuf», à Amboise (le cimetière actuel du centre-ville), terrain qu’il offrit à la ville. Un tumulus, puis un mausolée, sont élevés sur sa tombe. A la Révolution, le tombeau de Choiseul est démoli pour en récupérer le plomb.
NR, Indre et Loire, 02/11, p.10

(Loches) Le visage d’Agnès Sorel aussi vrai que nature

Est-ce sous les traits de ce visage que le roi Charles VII est tombé profondément amoureux d’Agnès Sorel dont il fera par la suite la première maîtresse officielle ? Il y a de très fortes chances. Philippe Froesch, de Visualforensic, à qui l’on doit déjà la visualisation numérique des visages d’Henri IV, de Simon Bolivar ou encore de Maximilien Robespierre, a procédé à la reconstitution du visage de la Dame de Beauté. Les premières images ont été diffusées lors du magazine de France 3, «Des Racines et des Ailes», le 22 octobre. Le résultat est plus qu’impressionnant. Les performances informatiques permettent aujourd’hui de matérialiser le moindre détail avec une extrême finesse, que ce soit le grain de la peau, les cheveux, l’iris de l’oeil.
+ Le visage de la favorite au fil des siècles
NR, Indre et Loire, 02/11, p.11

(Saint-Dyé-sur-Loire) Bricoleur de génie il a transfiguré sa bicoque

A Saint-Dyé-sur-Loire, les maisons qui s’échelonnent jusqu’à la sortie du bourg prennent en étau la rue Nationale. Dans ce couloir, à certaines heures, le trafic se trouve ralenti. Ça tombe bien, le numéro 97 mérite le coup d’oeil. La maison, qui vient de bénéficier d’un ravalement de façade, ne détonne plus dans l’enfilade. «Avant, c’était un peu une verrue, assure Jean-Luc Huguet, son propriétaire. Si cette rue est belle, c’est grâce aux efforts de chacun». En y regardant de plus près, un détail frappe : les différences de niveau dans les toitures. Il confirme : «Deux maisons auparavant séparées ont été réunies en une entité.»
+ Soutenu par la Fondation du patrimoine
NR, Loir et Cher, 02/11, p.6

Le château de Maintenon se montre sur M6

Après «Top Chef», «Secrets d’histoire» ou encore «Des racines et des ailes», le château de Maintenon (Eure et Loir) a, de nouveau, l’honneur du petit écran. M6 lance mardi, à 22h50, un nouveau concept d’émission, un docufiction historique intitulé «Les Maîtresses racontent l’histoire». Le premier numéro est consacré aux maîtresses de Louis XIV et notamment à Madame de Maintenon. L’équipe de tournage s’était rendue au château en juin et juillet 2013 pour réaliser des interviews d’historiens et de personnalités dans la tour médiévale, un plateau avec la présentatrice et historienne Marjolaine Boutet et une reconstitution d’un bal du XVIIe siècle dans la Grande Galerie, avec cinq comédiens et une trentaine de figurants. (intégral)
RC, Loiret, 02/11

(Saint-Aignan) La Villa rose retrouve sa splendeur

Vendredi dernier après-midi une soixantaine de personnes se sont regroupées pour l’inauguration de la «Villa Rose» de l’avenue Gambetta à Saint-Aignan. Le maire Éric Carnat et le conseiller général Philippe Sartori ont retracé l’histoire de cette demeure atypique et probablement unique en France, construite dans les années 20 par l’architecte Puchereau pour sa famille. Et qui voulut des décorations de façade réalisées par des artisans italiens maîtres de la technique du «sgraffiti». Des graves infiltrations d’eau dans la terrasse dégradèrent pendant des années ces sgraffitis, jusqu’à la décision des nouveaux propriétaires de leur redonner leur éclat en les faisant refaire.
NR, Loir et Cher, 02/11, p.6

Source : Le Figaro

Fondation Louis Vuitton : l'éblouissement des premiers visiteurs

À l'occasion de l'ouverture au public du bâtiment conçu par Frank Gehry, Le Figaro a recueilli les impressions des visiteurs. Ceux-ci ne tarissent pas d'éloges à l'égard des voiles de verre flottant sur le bois de Boulogne.
Le 27/10 - Lire la suite...

Debat-Ponsan, Émile Bernard... des peintres sur le retour

À chaque saison ses exhumations. L'an dernier, on avait eu droit à Jordaens, écrasé sous Rubens, mais brillamment défendu par le Petit Palais. À Tours, Montpellier et Paris, l'ancien responsable des peintures au Louvre, Jean-Pierre Cuzin réhabilitait François-André Vincent, un artiste étouffé entre Fragonard et David. Quant au Musée de Roubaix, il tirait des oubliettes André Fougeron, peintre officiel du PCF.
Le 27/10 - Lire la suite...

Une copie du Caravage vendue à 42.000£ serait un original

La maison Sotheby's est attaquée en justice par l'un de ses clients. Elle n'a pas su déceler que ce dernier avait mis aux enchères en 2006 une version authentique des Tricheurs du maître italien.
Le 28/10 - Lire la suite...

La Chapelle Sixtine change d'air et de lumière

Pour éviter les risques de dégradation de ses trésors artistiques, causée par l'affluence des visiteurs et de lumières trop vives, la plus grande chapelle du Vatican va être dotée des dernières technologies pour modifier son mode d'éclairage et de climatisation.
Le 30/10 - Lire la suite...

Cédric Villani : «Le musée des mathématiques est un beau projet»

Le directeur de l'Institut Henri-Poincaré a imaginé un établissement entièrement dédié à la matière scientifique, qui devrait ouvrir ses portes d'ici 2018 dans la capitale française. Un défi de taille, dont l'investissement s'élève à 12 millions d'euros.
Le 31/10 - Lire la suite...

Source : La Tribune de l'Art

Les réserves du Louvre à Liévin-Lens font polémique au sein même du musée

Nous avouons avoir été surpris lorsque nous avons reçu jeudi dernier un communiqué du Louvre nous avertissant du choix de cinq architectes admis à concourir pour la création d’un centre de réserves à Liévin juste à côté du Louvre-Lens. Jean-Luc Martinez nous avait affirmé, le 26 novembre dernier, qu’à la suite du protocole d’accord signé le 2 octobre 2013 avec la région Nord-Pas-de-Calais, la faisabilité de cet équipement devait être étudiée. Alors que nous avions compris que cette étude devait d’abord déterminer si une telle implantation était faisable, il voulait dire, comme il nous l’a confirmé depuis, qu’il s’agissait surtout d’en étudier les modalités. Bref, les jeux étaient déjà faits depuis un an.
Le 28/10 - Lire la suite...

Deux préemptions du Musée des Beaux-Arts de Besançon

Le 18 octobre dernier, dans une vente aux enchères à Lorient, une esquisse de Nicolas-René Jollain (ill. 1) a été préemptée par le Musée des Beaux-Arts de Besançon pour 6000 € (hors frais).
Le 27/10 - Lire la suite...

Deux salles du Louvre de peintures françaises sous Louis XIV ont rouvert

Dans la plus grande discrétion1, deux salles de peintures françaises du Louvre (ill. 1 et 2) qui étaient restées fermées depuis plusieurs années en raison des travaux qui avaient lieu au deuxième étage de la cour Carrée viennent de rouvrir. Il s’agit des salles qui se trouvent à l’angle nord-est et qui, légèrement en hauteur par rapport aux autres, sont accessibles par un escalier. On pourra ainsi y retrouver des tableaux de peintres de Louis XIV, dont le grand portrait de Le Brun par Largillière et l’Autoportrait que Pierre Mignard avait fièrement peint pour y répondre.
Le 27/10 - Lire la suite...

La vente de mobilier religieux à Dinan : un cas d’école

Le vandalisme prend parfois un tour inattendu, mélange d’ignorance des lois, d’indifférence pour un patrimoine pourtant digne d’intérêt et, parfois de recherche d’économies de bout de chandelle. C’est ainsi que la mairie de Dinan, qui pourtant se montre plutôt attentive à l’important patrimoine que conserve la ville, souhaitait vendre aux enchères, sur le site « agorastore.fr » un mobilier d’église : trois confessionnaux et une tribuneLe 30/10 - Lire la suite....

À vendre (séparément) : le château d’Hauteville et son contenu

Faut-il s’en réjouir ? L’indifférence de l’Etat à l’égard du patrimoine n’est pas une exception française : les Suisses sont de sérieux concurrents dans cette discipline. C’est ainsi tout un ensemble d’objets d’art et de mobilier qui a récemment été disséminé sous le feu des enchères, « éparpillé par petits bouts façon puzzle », alors que la plupart des oeuvres se trouvaient depuis deux siècles dans le même lieu, le château d’Hauteville, à vendre lui aussi. Car malgré son intérêt évident, l’édifice n’est pas classé, il est seulement inscrit à l’inventaire des biens culturels d’importance nationale ; ce qui n’est même pas le cas de son contenu.
Le 02/11 - Lire la suite...

La restauration du Retable des Dominicains à Colmar

Colmar, Musée Unterlinden - Entreprise en 20061, la restauration du Retable des Dominicains de Martin Schongauer, conservé par le musée Unterlinden, a pris fin au début du mois d’octobre. Elle s’inscrit dans la grande campagne de restauration menée par le musée de Colmar sur ses collections, parallèlement aux travaux de rénovation et d’agrandissement de ses locaux. Les opérations se sont déroulées, pour les dernières phases, dans l’église des Dominicains où l’œuvre a été transférée en 2013 le temps des travaux, tout comme le Retable d’Orlier, du même auteur, le Retable d’Issenheim, le Retable de sainte Catherine et de saint Laurent et des sculptures de la fin du Moyen Age. Le Retable des Dominicains retrouve ainsi temporairement sa destination d’origine puisqu’il ornait jusqu’à la Révolution le maître-autel de l’église. Les œuvres peintes les plus importantes de Martin Schongauer, dont il ne subsiste que peu de réalisations2, sont donc pour un temps réunies en un même lieu puisqu’elles rejoignent la Vierge au buisson de roses, conservée dans l’église. Les œuvres réintègreront le musée l’année prochaine, les travaux devant s’achever en juillet pour une réouverture prévue à l’automne 2015.
Le 29/10 - Lire la suite...

Un tableau de Constable pour l’Ashmolean

Oxford, Ashmolean Museum - Un tableau de John Constable acquis par dation (« acceptance in lieu » en anglais) orne désormais les cimaises de l’Ashmolean Museum. Le musée ne possédait jusqu’à ce jour que des esquisses à l’huile de l’artiste, au nombre de quatre.
Le 31/10 - Lire la suite...

Un Luca Giordano acquis par Toledo

Toledo, Museum of Art - Le Toledo Museum of Art mène une politique de deaccessioning (vente d’œuvres) que nous ne comprenons pas toujours, mais il est vrai qu’il s’agit d’une pratique courante pour les musées américains et que celle-ci est faite au profit d’autres acquisitions. C’est ainsi que ce musée américain vient d’acheter une toile de Luca Giordano représentant La Libération de saint Pierre, auprès de la Matthiesen Gallery à Londres.
Le 31/10 - Lire la suite...

Deux bustes d’enfants par Claude-François Attiret acquis par le Louvre

En 2005, le Musée des Beaux-Arts de Dole présentait une petite rétrospective d’un enfant du pays, le sculpteur Claude-François Attiret, où l’on pouvait voir deux bustes d’enfant en marbre, dont l’un daté de 1764, intitulés L’enfant gai et L’enfant triste. Ils appartenaient déjà à la galerie Ratton-Ladrière qui les a présentés dans sa récente exposition où ils viennent de lui être achetés par le Musée du Louvre.
Le 01/11 - Lire la suite...

Source : Le Monde

Emma Lavigne s’installe au Centre Pompidou-Metz

Elle était la figure montante du Centre Pompidou. Désignée à l’unanimité, Emma Lavigne quitte la maison mère parisienne pour prendre la direction du Centre Pompidou-Metz. Elle remplace Laurent Le Bon, parti en mai pour assurer la réouverture du Musée Picasso à Paris. Elle sait sa tâche ardue, son prédécesseur ayant mené une programmation exemplaire, et le musée étant désormais touché par des restrictions budgétaires. Mais elle se dit prête à s’impliquer pleinement, notamment en s’installant en Moselle, contrairement à celui qui lui précéda.
Le 29/10 - Lire la suite...

Source : Le Parisien

Louvre-Lens: une momie de crocodile restaurée sous les yeux du public

"Elle a bien toutes ses dents, on les a comptées!", explique Yveline Huguet en montrant l'imposante mâchoire de la momie de crocodile égyptienne, sous le regard ébahi de spectateurs venus au Louvre-Lens découvrir le travail des restauratrices.
"On lui refait une beauté, elle était dans un état très empoussiéré et encrassé", confie l'experte de 48 ans dans les entrailles du musée ouvert en 2012, qui a décidé de faire découvrir ses coulisses aux visiteurs, dans un voeu de "démocratisation culturelle".
Le 30/10 - Lire la suite...

Mexique: présentation d'importantes découvertes archéologiques à Téotihuacan

Les archéologues mexicains ont présenté mercredi à la presse les spectaculaires découvertes archéologiques faites dans le tunnel des dieux de la cité préhispanique de Téotihuacan: des dizaines de milliers d'objets d'offrandes mis au jour à 18 mètres de profondeur. Ces offrandes enfouies depuis 1.800 ans, ont été trouvées à 103 mètres de l'entrée du tunnel de la pyramide du Serpent à Plumes, découvert en octobre 2003, a indiqué Sergio Gómez, chef du projet.
Le 30/10 - Lire la suite...

Un skatepark de Londres inscrit aux Monuments historiques

Un skatepark de l'est londonien a été inscrit aux monuments historiques, une première en Europe, a annoncé mercredi l'English Heritage, organisme public chargé de la gestion du patrimoine anglais. Construit en 1978 lorsque ce sport né en Californie a pris son essor au Royaume-Uni, le Rom skatepark de Hornchurch, appelé "The Rom", est seulement le deuxième skatepark au monde à recevoir cet honneur.
Le 31/10 - Lire la suite...

Héritage Gurlitt: le président du Congrès juif mondial met en garde le musée de Berne

Le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, a mis en garde le Musée des Beaux-Arts de Berne, désigné par l'Allemand Cornelius Gurlitt pour abriter l'importante collection de tableaux volés à des juifs par les nazis, évoquant "une avalanche de procès" en perspective.
Le 01/11 - Lire la suite...

Un Giacometti et une vingtaine de Warhol vedettes des enchères d'automne à New York

Une sculpture du Suisse Alberto Giacometti estimée à plus de 100 millions de dollars et une vingtaine d'oeuvres de l'Américain Andy Warhol domineront les enchères d'automne des maisons Sotheby's et Christie's la semaine prochaine à New York.
Les ventes démarreront chez Sotheby's mardi avec l'art impressionniste et moderne, dont la sculpture en bronze "Chariot" de Giacometti, premier exemplaire de six oeuvres à être mis aux enchères en plus de 30 ans.
Le 02/11 - Lire la suite...

Au Canada, les droits de l'homme ont désormais leur musée

Témoignages oraux ou écrits de survivants de génocides, scènes de racisme ordinaire ou oppression de peuples autochtones, une collection étonnante est présentée dans un tout nouveau musée des droits de l'homme au Canada.
Le 31/10 - Lire la suite...