Revue de presse ( 23 - 29 mars 2015)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Chatillon sur Loire) Aux origines de notre histoire

Une exposition sur le thème de l’âge de bronze est actuellement visible au musée municipal de l’histoire et de l’archéologie à Châtillon sur Loire. Les quatorze panneaux qui alimentent l’actuelle exposition ont été prêtés par la Fédération archéologique du Loiret. C’est l’association «Les amis de l’archéologie», présidée par Philippe Jarret, conseiller municipal, qui est à l’origine de cette exposition qui retrace l’histoire des découvertes archéologiques faites du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui dans le département. Par exemple, le musée dispose de deux haches en bronze ; l’une découverte à Saint Firmin sur Loire et l’autre à Saint Martin sur Ocre.
RC, Loiret, 21/03, p.20

(Orleans) Exposition

Le musée des Beaux-Arts accueillera, du 28 mars au 7 juin, une exposition consacrée à l’écrivain Maurice Genevoix. Cette exposition a été réalisée notamment à partir d’objets provenant des fonds privés de la famille Genevoix et mis à la disposition de la ville par le petit-fils de l’académicien, Julien Larere-Genevoix. Un homme à qui Abel Moitié, conseiller municipal délégué à la mémoire, tient à rendre grâce pour sa «générosité» et sa «disponibilité». Et ce, malgré les événements de janvier et l’assassinat de Bernard Maris, à qui il était lié. (intégral)
RC, Orleans, 22/03

(Dordives) Les souffleurs de verre fascinent

Le musée du Verre de Dordives participait ce week end l’opération «Pass musées Télérama» à laquelle participait le Musée du verre ce weekend. Une quarantaine de visiteurs ont profité de l’occasion. C’est, avant tout, un public de passionnés qui s’est déplacé, quelquefois d’assez loin, pour venir admirer les collections issues du travail du verre, dont plusieurs pièces de Meilleurs Ouvriers de France. Il ne fallait bien entendu pas rater les démonstrations toujours aussi fascinantes des souffleurs de verre.
RC, Loiret, 23/03, p.47

(Orleans) Une exposition consacrée à Maurice Genevoix

En 1915, le sous lieutenant d’infanterie Maurice Genevoix était grièvement blessé au combat, près du village des Éparges, dans la Meuse. Cent ans plus tard, le musée des Beaux Arts d’Orléans lui rend hommage grâce à une exposition événement, programmée dans le cadre des commémorations du centenaire de la Grande Guerre. Baptisée «Je me souviens de Ceux de 14», du nom du recueil de l’écrivain et de l’association qui perpétue sa mémoire, cette exposition sera ouverte au public du 28 mars au 7 juin.
RC, Loiret, 25/03, p.10

(Chaon) La Maison du braconnage a des projets

L’heure était au bilan et aux projets, samedi, pour l’association des Amis de la Maison du braconnage. Benjamin Chausseron, nouvel animateur de la Maison du braconnage, prendra ses fonctions mercredi 1er avril. Au rang des projets, l’année sera émaillée de concerts et d’expositions. La création d’une mascotte, probablement un sanglier, est à l’ordre du jour. D’ailleurs, un appel a été lancé à tous pour que chacun réfléchisse et apporte ses idées. La Maison du braconnage participera également à la biennale Sculpt en Sologne. Aussi, les bénévoles vont bientôt réaliser une girouette, la réplique de celle située sur le toit de la maison. En fer, de 3,50 mètres sur 5, elle
devra être terminée pour début juillet.
RC, Orleans, 25/03, p.23

(Chateaumeillant) Le jardin du musée sera revu et corrigé

Le musée Emile Chenon entame sa dernière ligne droite en ce qui concerne sa restructuration. L’inauguration probable de ce musée, revu et corrigé, devrait intervenir vers la fin mai. Ses abords sont également concernés pour ce qui est des travaux, puisqu’un projet de refonte du jardin du musée a été décidé par les instances municipales. Le paysagiste castelmeillantais Claude Desabres se chargera de cet aménagement.
Le Berry, 25/03, p.25

(Châteadun) Le musée en voit de toutes les couleurs

La nouvelle exposition temporaire, visible à partir de samedi et jusqu’au 4 janvier 2016, fait la part belle à la couleur. De leur symbolique et de leur fabrication à leur utilisation dans l’art ou la nature, le public deviendra incollable sur ce thème, décliné à travers toutes les salles du musée. « On    avait l’idée depuis longtemps de travailler sur un thème qui mette en valeur l’ensemble de nos collections permanentes, explique Mireille Bienvenu, assistante principale de conservation au musée dunois.
Echo rép. 27/03/2015, p. 21.

(Orléans) Initiative citoyenne 1896 milite pour un muséum du XXIe siècle

Leur rêve : voir se construire un muséum du XXIe siècle, bordé par un jardin botanique, sur le site de la maison d’arrêt. Treize habitants du quartier viennent de monter une association pour lever des fonds. Corine Parayre, ancienne adjointe au quartier et présidente du comité des fêtes Gare-
Pasteur-Saint-Vincent, préside la jeune association Initiative citoyenne 1896.
Rep du Centre Orléans 27/03/2015 p.14

(Orleans) Genevoix se souvient de Ceux de 14

L’enfer des tranchées, le bruit assourdissant des tirs incessants de l’artillerie, puis ses blessures ont forgé Maurice Genevoix : «Ces événements m’ont donné l’amour de la vie, l’amour de la paix…» À partir d’aujourd’hui et jusqu’au 7 juin, le musée des BeauxArts d’Orléans, en collaboration avec la médiathèque et l’association «Je me souviens de Ceux de 14», consacre une exposition à l’écrivain qui a longtemps résidé dans le Loiret. Un siècle après ses blessures à la bataille des Éparges, «moment mémoriel important», l’exposition revient sur la vie et l’œuvre de l’auteur de «Raboliot» et de «Ceux de 14». Organisée dans le cadre des commémorations du centenaire de la Grande Guerre, cette rétrospective autour de ce témoin capital du conflit évoque d’abord le contexte historique et l’itinéraire du sous lieutenant d’infanterie Genevoix .
RC, Orleans, 28/03, p.10

(Pithiviers) Le Musée des transports à la page

Le Musée des transports de Pithiviers se met à la page. À un peu plus d’un mois de l’ouverture de la saison, l’association vient d’arriver sur Facebook. Le musée possédait déjà un site Internet (http://www.amtp- cfpithiviers.com). Cette arrivée sur le réseau social était jusque-là plutôt confidentielle puisque seulement 68 personnes ont cliqué sur l’onglet «j’aime». Outre la présentation du matériel, les internautes peuvent découvrir le calendrier complet de la saison. (intégral)
RC, Loiret, 28/03

(Epineuil le Fleuriel) L’école donne vie au Grand Meaulnes

Ils sont nombreux, chaque année, à pousser la porte de la maison école d’EpineuilleFleuriel. Un lieu chargé en souvenirs : ceux d’AlainFournier et de son célèbre roman Le Grand Meaulnes. Depuis plus de vingt ans, les visiteurs viennent sur les pas de nombreux écoliers, mais surtout celles de l’écrivain. Dans cette bâtisse du XIXe siècle, tout respire AlainFournier et son histoire, par ailleurs portée à plusieurs reprises sur grand écran. «L’école a été aménagée et un bâtiment d’accueil a été construit pour accueillir du public en septembre 1994», explique Patricia Berby, animatrice à l’association gestionnaire de la maison-école du Grand Meaulnes.
Le Berry, 29/03, p.19

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Beaugency) Conférences

La Société archéologique et historique organise ses « rencontres culturelles », vendredi 27 mars, de 18 à 20 heures, dans l’amphithéâtre du lycée François Villon, à Beaugency. Deux conférences seront présentées. Tout d’abord, Jérôme Bouillon, archéologue à l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), présentera ses travaux sur «Les ateliers de potiers de Saran (VIe Xe siècle : inventaire des productions et de leur diffusion en région Centre)». Puis, Bernard Fauquembergue, enseignant retraité, traitera du sujet «Suèvres : un village pendant la Grande Guerre». (intégral)
RC, Orleans, 22/03

(Dreux) Orphelins du président Dodin

La Société d’Histoire et d’Archéologie du Drouais et du Thymerais est orpheline de son président Régis Dodin, récemment disparu. Denise Cerceau, fidèle collaboratrice à ses recherches pendant 35 ans, lui a rendu un hommage émouvant, samedi lors de l’assemblée générale. Fondateur et président depuis 1987, Régis Dodin lança l’activité de prospection aérienne pour découvrir l’histoire du Drouais et du Thymerais. Il fit son premier vol à bord d’un Cessna, en 1974. Il ne cessa ensuite de faire de la prospection aérienne suivie de reconnaissances sur le terrain, laissant le soin aux archéologues professionnels d’effectuer les recherches. Michel Guilmain, cheville ouvrière de l’association, a annoncé que le nouveau président sera élu lors du prochain conseil d’administration.
L'Echo, 23/03, p.28

(Tours) Les fouilles archéologiques tombent sur des os

Avant que la vie ne reprenne ses droits avec le projet de Bouygues Immobilier à côté de l’ancienne clinique, les archéologues fouillent sur environ 1.000 m2 jusqu’au vendredi 3 avril 2015.
A l’est du fossé, les archéologues ont mis à jour une nécropole du VIIIe siècle au Xe siècle, avec une dizaine de corps, d’enfants et d’adultes, tous orientés est-ouest. Aucun objet ne se trouve à côté d’eux. Cette semaine, le chantier
se poursuit avec la 4e tranche. D’ores et déjà, les archéologues savent qu’au XIXe siècle, un atelier de potiers se trouvait à cet endroit.
NR Tours, 26/03/52015, p. 12

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

La toue Ville d’Orléans, un air de gâchis

L’histoire de la toue d’Orléans a un petit goût de gâchis. En 2005, la ville met à l’eau son propre bateau, d’une valeur de 10.000 € à 15.000 €, neuf. Elle le baptise le Ville d’Orléans. À l’époque, Yves Dupont était adjoint au maire en charge de l’environnement. «On était propriétaire de deux autres futreaux, en fin de vie, qu’on a donnés à des associations.» La mairie comptait utiliser le Ville d’Orléans, qui peut accueillir douze passagers, lors d’occasions spéciales, type 14 Juillet ou Festival de Loire. «Il a navigué pendant huit ans sous les couleurs d’une association de mariniers.» L’association Autour de l’Eau, présidée par Bruno Desmurs, était en charge du navire, par convention avec la ville. «La convention et l’homologation pour le transport de personnes sont renouvelées tous les deux ans. La dernière année, c’est une autre association, les Compagnons Chalandiers, qui a remporté la consultation.» Avec une grosse déception. Lorsque l’expert examine la toue sablière, son verdict est sans appel. Trop dangereux pour embarquer des gens à bord. Gilbert Gaujard, président des Compagnons Chalandiers, a navigué avec le Ville d’Orléans. Il se demande aujourd’hui comment des visiteurs ont pu naviguer dessus, seulement quelques semaines avant le verdict de l’expert.
RC, Orleans, 21/03, p.11

(Vendome) La mémoire des cimetières ravivée par des chercheurs

Bloc-notes et appareil photo en main, mercredi, Claude Leymarios et Alexandra Mignot, ont sillonné le cimetière. Dans le cadre des inventaires du Comité départemental du patrimoine et de l’archéologie en Loir-et-Cher (CDPA41), ils sont venus y faire un relevé tant en matière d’art funéraire que des sépultures remarquables, à l’instar de cette stèle élevée à la mémoire de… trois jeunes gens tués sur le passage à niveau en 1929. «Au plan de l’art funéraire, nous nous attachons à recenser les différents modèles de croix en fonte très en vogue au début du XXe siècle, parfois nous avons la marque des fonderies où elles ont été fabriquées, parfois il faut procéder à de nombreux recoupements», explique Alexandra Mignot, coordinatrice de projets du CDPA41.
NR, Loir et Cher, 21/03, p.20

(Tours) Un bronze de Balzac signé Rodin aux enchères

Parce qu’il représente le plus tourangeau de tous les écrivains, Honoré de Balzac, et parce qu’il est signé par Auguste Rodin, le bronze qui sera proposé lundi aux enchères est une pièce rare. Elle porte le cachet du fondeur (Alexis Rudier), et sera incluse dans les archives du Comité Auguste Rodin en vue de la publication du catalogue critique de l’œuvre sculptée d’Auguste Rodin actuellement en préparation. Estimé 10.000 et 15.000 €, ce bronze n’aurait été tiré qu’à une dizaine d’exemplaires. «Il vient d’une propriété des bords de Loire achetée en 1903. Ce bronze était resté depuis 3 générations dans la même famille», indique le commissaire-priseur, Me Odent.
NR, Indre et LoireT, 21/03, p.13

(Tours) Basilique Saint-Martin : “ Des obligations à assumer ”

Pour financer les travaux de la basilique et de la statue de saint Martin, la Ville a lancé une souscription publique. Explications avec Serge Babary, le maire.
NR, Indre et LoireT, 21/03, p.14

59.248

C’est, en euros, le prix auquel a été adjugé jeudi à Paris un cliché de Saint-Ours pris à Loches en 1851 dans le cadre de la «Mission héliographique» qui a dressé un vaste inventaire monumental de la France (NR du 19 mars). La vente, qui avait lieu à Drouot, a réuni près de 1.500 photos et a atteint un montant total d’enchères de 2.300.000 €.
NR, Indre et LoireE, 21/03


(Grand Ligueillois) Autour du chemin de Saint-Martin

En préfiguration de la commémoration du 1700e anniversaire de la naissance de saint Martin, en 2016, la communauté de communes du grand Ligueillois souhaite créer un événement autour du chemin de Saint- Martin qui relie Szombathely, lieu de naissance du saint en Hongrie, à Candes-Saint-Martin, lieu de sa mort. Cet itinéraire passe par six communes du grand Ligueillois.
NR, Indre et LoireE, 21/03, p.20


(Chartres) Le pavillon du jardin d'horticulture bientôt sauvé de la ruine

Les pierres sont encore saillantes, derrière les échafaudages. Mais à la mi avril, les façades du pavillon du jardin d’horticulture devraient être recouvertes de chaux, les peintures et l’isolation intérieures achevées. La Société d’horticulture d’Eure et Loir (SHEL) pourra alors quitter la rue du Repos pour retrouver ses locaux historiques. Les travaux de rénovation ont duré bien plus longtemps que prévu, en raison, rappelle Élisabeth Barrault, adjointe en charge des travaux, «de la découverte de dégâts plus importants, avec des désordres structurels». En janvier 2014, le programme de réhabilitation de ce pavillon de 170 m², acquis par la Ville en 2012, s’annonce simple. Il prévoit la réfection de la cheminée en brique, de la couverture et de la charpente, le ravalement de la façade, ou encore la restauration du rez de chaussée, mis à la  disposition de la SHEL. Mais les choses ne se passent pas comme prévu . E n mars 2014, le chantier est suspendu.
L'Echo, 22/03, p.4

(Bourges) Le théâtre Jacques-Coeur est accessible

Vous prenez un théâtre, un beau théâtre à l’italienne, inscrit aux monuments historiques depuis 2004, un beau théâtre mais pas aux nouvelles normes de la réglementation de sécurité dans les établissements recevant du public. Vous le trempez durant dix mois dans le bain des travaux pour qu’il se soumette aux nouvelles règles et vous obtenez un théâtre toujours beau mais aussi paré pour recevoir les personnes à mobilité réduite avec rampe, ascenseur, ouverture vers la place Gabriel Monnet, monte personne afin d’accéder à la billetterie ainsi qu’un ascenseur qui monte au premier étage pour desservir le foyer ainsi que les sanitaires adaptés pour les handicapés. Les longs travaux, qui ont coûté la bagatelle de 643.410 euros TTC, n’ont pas uniquement concerné l’accessibilité des lieux et notamment les emplacements au premier de deux places inamovibles, pouvant monter jusqu’à huit en enlevant les fauteuils traditionnels. Non, il s’est agi aussi de réaliser des travaux de sécurité, toujours en lien avec les nouvelles normes.
Le Berry, 24/03, p.8

(Le Poinconnet) Les murs de l’église rénovés

La semaine dernière, le maire, Jean Petitprêtre, accompagné par Françoise Laurent, Jean-Pierre Aussourd (adjoints) et Didier Madrolle (directeur du service technique), se sont rendus à l’église, pour vérifier l’état des travaux de rénovation des murs d’une partie de la nef et des chapelles latérales. Ils ont pu constater la qualité de l’intervention des frères Simon, du Poinçonnet : les murs sains – depuis le drainage réalisé à l’occasion de la rénovation du centre-bourg – ont été dégagés de leur revêtement qui se désagrégeait, et recouverts d’un nouveau revêtement fini à la chaux. Il est à noter que l’entreprise, après avoir terminé son intervention, a nettoyé avec beaucoup de soin l’église et son mobilier. Une belle réalisation qui sera sans doute très appréciée par les fidèles de ce lieu et par les défenseurs du  patrimoine local. Les travaux des sols et gouttières du presbytère seront réalisés dans le courant de l’année 2015. (intégral)
Nr, Indre, 24/03

Les Amis du Vieux La Châtre œuvrent pour la ville

L’association a tenu son assemblée générale, samedi. La présidente, Geneviève Bor, a rappelé le programme 2014. Le concert, organisé avec le groupe de Gérard Guillaume, a permis de récolter 540 € qui seront utilisés pour la restauration de la pietà du XIVe siècle. D’autres objets  nécessitent une restauration : l’orgue, les vitraux et deux tableaux classés. Sous réserve d’une participation de la Ville et de la Fondation du patrimoine, une souscription pourrait être ouverte pour aider à réaliser ces restaurations. La présidente a donné de nombreuses informations sur les projets patrimoniaux : restauration des anciens abattoirs et de la Maison rouge, réhabilitation des ruelles de la  Teinture et du P’tit Mur, installation d’une brodeuse dans un atelier de la rue de Lucet.
NR, Indre, 24/03, p.20

(Orleans) L’écrit monastique

Un colloque, sur le thème : «L’écrit monastique : acteurs, productions et échanges dans l’espace ligérien Xe-XIIIe siècle», est organisé, par Chantal Senseby du laboratoire universitaire d’Orléans POLEN-CESFIMA, demain à partir de 10 heures et vendredi, à l’hôtel Dupanloup, à Orléans. Ce colloque se propose d’apprécier la culture monastique ligérienne, d’en repérer les évolutions, d’en évaluer l’originalité tout en  prenant en compte les liens entre écrit et peinture, écrit et architecture, écrit et épigraphie, écrit et musique… Programme à retrouver sur le site de l’université : http://www.univorleans.fr/lettres/colloquelecritmonastique. (intégral)
RC, Orleans, 25/03

Orléans se visite aussi en musique

Des notes s’évadent des pavés. Des récitals classiques épousent les statues de pierre et les tableaux de maîtres. Des par titions s’envolent du lit douillet de la Loire. L’arôme antique de la cité johannique libère aussi ses fragrances en musique. L’un et l’autre cheminant de concert, à travers des siècles de mariage patrimonial. De quoi inspirer les pages du Concert silencieux de l’auteur et artiste  JeanDominique Burtin. De quoi, aussi, mettre la puce musicale à l’oreille municipale, via son service Ville d’art et d’histoire, qui a décidé de lancer un vaste programme de manifestations, jusqu’au 26 avril, sous le thème «Patrimoine et musique».
RC, Orleans, 25/03, p.7

(Chartres)  Des lumières de verre sur l’Hôtel de Ville

Les membres du collectif d’artistes Artway Chartres continuent d’«accompagner le changement de site» de l’Hôtel de Ville. Après avoir travaillé sur sa déconstruction, ils ont projeté, vendredi soir, leurs lumière de verre sur les façades en démolition pour leur «redonner une vie et un aspect». Artway Chartres, qui a «une démarche de mémoire et de spontanéité», revisite la fameuse lanterne magique des marchands ambulants et colporteurs avec des sources de lumières et des plaques de verre de 30x30 cm : «Ce sont comme des diapositives qui donnent un grain unique à la projection. Cela n’a rien à voir avec du numérique.» Les membres du collectif vont maintenant habiller de motifs et de couleurs les anciens locaux désaffectés du Sernam (Service national de messagerie), en contrebas de la rue Nicole, qui seront prochainement démolis dans le cadre du projet Pôle gare. (intégral)
L'Echo, 25/03

(Chateaudun) Tom-Tom et Nana, les nouveaux guides

Leurs gaffes dans le restaurant familial A la bonne fourchette ont fait rire des générations de lecteurs de J’aime lire, à partir de 1977. Le duo infernal TomTom et Nana s’attaque désormais au château de Châteaudun. «Bernadette Desprès (créatrice des personnages, ndlr) a fait cette proposition, l’année dernière, en découvrant le château puis elle est revenue durant quelques jours pour s’approprier le site, son calepin sous le bras», explique Anne Rousset, administratrice du monument. «Elle a imaginé une visite comme un enfant la ferait, et TomTom et Nana servent de guides à nos petits visiteurs.» Un livret d’une dizaine de pages est né de cette aventure. Il sera offert à chaque enfant, qui y découvrira les jeunes membres de la famille Dubouchon, accompagnés de leur tante Roberte, changeant de costumes au fil des pages et de leur découverte de l’édifice. Le lancement de l’ouvrage est programmé le dimanche de Pâques, 5 avril, en présence de l’illustratrice qui assurera les dédicaces.
L'Echo, 25/03, p.21

(Bourgueil) Aider à la restauration de l’église

Alors qu’elle atteint cette année le 900e anniversaire de sa consécration – sa construction est antérieure – l’église Saint-Germain de Bourgueil a besoins d’importants travaux de consolidation qui ne pourront être réalisés que par tranches pour des raisons budgétaires. Les deux premières vont concerner les parties hautes du choeur : maçonnerie, pierre de taille puis charpente et couverture. Le montant estimé est de 353.000 €. Une partie sera financée par des subventions mais 247.107 € seront à la charge de la commune. Aussi pour aider au financement, la commune a décidé de faire appel à la Fondation du patrimoine.
Nr, Indre et LoireW, 25/03, p.20

(Courtalain) La vie de château, une ruine en héritage

Anne-Charles de Gontaut-Biron, responsable du domaine de Courtalain, organise, samedi, un premier salon du château et des demeures de caractère. Une centaine de propriétaires est attendue. Anne-Charles de Gontaut-Biron est la cinquième génération à habiter le domaine de Courtalain. Le château, à quinze kilomètres de Châteaudun, est un édifice de 4.500 m2, sur cinq niveaux, planté sur un parc de 650 hectares. Si, à l’achat, un château en province est moins cher qu’un appartement parisien son entretien peut rapidement devenir un gouffre financier. Anne-Charles de Gontaut-Biron déplore le conservatisme qui prévaut en matière de patrimoine : "L’histoire des châteaux, pendants les siècles, a été de s’adapter aux besoins. On détruisait et on reconstruisait en fonction de l’activité. ... Mais, avec la conservation du patrimoine, nous ne pouvons pas faire ce que l’on veut de nos châteaux". Le premier salon sera l'occasion pour les chatelains de discuter avec les entreprises et trouver des conseils pour l’entretien de leurs bâtisses et de leurs parcs.
Echo rép. 26/03/2015, p. 3.

(Unverre) Il s’inquiète pour l’avenir des moulins

La qualité de l’eau et l’avenir des moulins ont de nouveau été au centre des débats, vendredi, lors de l’assemblée générale des propriétaires de moulin et de vannages. « Le troisième patrimoine de France est en danger, ont martelé Jacky Pigeard, le président, et Claude Cournarie, le secrétaire. « Pour ce qui est de l’avenir des moulins, il y a de l’argent disponible pour détruire mais pas un sou pour réparer ou remettre en état des ouvrages qui le méritent». Pourtant à l'heure de la transition énergétique, l'association se plaît à rappeler que la productivité de l'eau est supérieure à celle du soleil ou du vent.
Echo rép. 26/03/2015, p. 23.

Les moulins régionaux sans président

L’association régionale des amis des moulins de Beauce (Aram) vient de tenir son assemblée générale, à la mairie de Talcy. Le rapport moral met en avant le nombre de visiteurs s’étant rendu dans les différents moulins de la région, plus de 10.000 en 2014, soit 2.000 personnes de plus que l’année précédente. Les manifestations proposées par les associations, dans le cadre de la Route du blé, sont toujours un succès. On compte, dans le Loiret, trois moulins, Artenay, Lignerolles, Chapelon et Rebréchien (ce dernier démonté). En Eure-et-Loir, il y en sept et, en Loir-et-Cher, quatre, Maves, Oucques, Souvigny-en-Sologne (en cours de reconstruction) et Talcy. « Pour ce dernier, la Drac a donné son accord pour la motorisation, le coût s’élève à 25.528 € ». L'association s’occupe également de remettre les moulins à eau au travail, à savoir l’hydroélectricité. A l'issue de l'assemblée, le président a annoncé son retrait et n'a pas encore été remplacé.
NR Loir-et-Cher Nord 26/03/2015, p. 9

(Thevet-Saint-Julien) L’église Saint-Martin sauvée

Le conseil municipal de Thevet-Saint-Julien vient de décider l’acquisition de l’ancienne église Saint-Martin, et prévoit de mettre en oeuvre sa prochaine restauration. Désaffectée et vendue à des propriétaires privés, l'église utilisée comme grange, puis laissée dans un semi- abandon, s’est lentement détériorée. Or, elle recèle toujours un merveilleux décor intérieur datant du XIIe siècle, en très mauvais état de conservation. Le mur ouest de son choeur, notamment, abrite une très belle fresque représentant "Les Vieillards de l’Apocalypse". La sauvegarde de l’ancienne église et de son décor est d’autant plus précieuse qu’il n’existe en France que dix peintures murales ayant ce thème pour objet.
NR Indre, 26/03/2015, p. 17

Le luthier ouvre ses portes

Dans le cadre de son opération « Patrimoine et musique », le service label Ville d’art et d’histoire d'Orléans propose jusqu’au 26 avril, des visites, des conférences et des concerts. Laurent Zakowsky, dont l'atelier de lutherie est  installé dans la rue de Bourgogne fait partie du circuit de visites.
Rép. du Centre Orléans, 26/03/2015, p. 9

(Amboise) Une âme de verre plane sur le val d’Amboise

Après avoir travaillé dans l’industrie, Cyril s’est reconverti dans le vitrail. Il vient de s’installer dans la pépinière d’entreprises d'Amboise. Les vitraux de la cathédrale de Chartres ont bercé l’enfance de Cyril Theval. Il fait un stage découverte d’une semaine au centre international du vitrail
de Chartres, et décide en  2013 de se former dans ce centre international. Il apprend la peinture sur verre, la création, mais aussi la restauration de vitraux. Il obtient son diplôme et en 2014, il crée son entreprise. Elle s’appelle “ Âme de verre ” en référence à l’âme du plomb qui est la largeur de plomb entre deux morceaux de verre. Mais à Chartres, il y a pléthore de vitraillistes, aussi cherche-t-il à s'installer ailleurs... Aujourd’hui, il assure des commandes pour la région chartraine, tout en travaillant avec une agence de communication amboisienne pour se faire connaître et trouver des clients en Indre-et-Loire.
+ Vitrail mode d'emploi...
NR 37 E 27/03/2015 p.15

(Blois) La Madeleine repentante se refait une beauté

La sculpture, installée dans l’église Saint-Nicolas, pèse plusieurs Lcentaines de kilos. Autant dire qu’on ne la déplace pas sans une excellente raison. Ce qui est assurément le cas avec ce lifting de 18.000 € décidé par la municipalité. grâce à la restauration confiée à la sculptrice  Delphine Bienvenut, la Madeleine va retrouver une seconde jeunesse avec une structure consolidée, un nouveau socle et un emplacement mieux adapté pour la protéger des intempéries dans l’église Saint-Nicolas. Les opérations vont durer environ six mois. Le coût s’élève à 18.000 € dont 50 % sont pris en charge par le ministère de la Culture et de la Communication. Adjoint en charge de la culture et du tourisme, Christophe Degruelle parle d’une « opération emblématique, la ville peut être fière de son patrimoine religieux ».
NR 41 27/03/2015 p.14

(Combreux) L’église de...

Choix de l’architecte pour la première tranche des travaux de l’église : Alain Boutroux. Une subvention au conseil général sera sollicitée pour 4 0 % du chantier hors taxes et 10 % supplémentaires. La Fondation du patrimoine sera sollicitée également.
Rep du Centre Orléans, 27/03/2015, p. 23

(Chambord) Deux belles coupes de retour à Chambord

Le 18 mars dernier, Chambord a acquis deux pièces des collections d’orfèvrerie du maréchal de Saxe. Ce sont deux coupes en bronze doré d’époque Louis XV, figurant dans l’inventaire des biens dressé à Chambord après la mort du Maréchal au château, le 30 novembre 1750. C’est un retour aux sources pour ces pièces centrales de deux surtouts de dessert aux armes du Maréchal de Saxe.
NR 41 27/03/2015 p.8

(Orléans) Le taillandier exposé à Paris

L'intelligence de la main. C’est le prix qu’avait reçu Bernard Solon, en 2005, par le biais de la fondation Bettencourt Schueller. Et c’est ce qui lui vaut d’avoir été sollicité pour l’exposition « L’usage des formes », qui a commencé le 20 mars au Palais de Tokyo, à Paris. Cette exposition collective,
selon la présentation sur le site Internet du musée, « explore l’ingéniosité humaine et la relation passionnée que les créateurs entretiennent avec leurs outils, en abordant l’instrument comme un élément fondamental du rapport de l’homme au monde. Faisant dialoguer artisans d’art et artistes,
l’exposition rassemble les métiers d’art, le design, les arts plastiques et l’architecture ».
Rep du Centre Orléans 27/03/2015, p. 9.

(Orléans) Le vernis au tampon, une tradition

Matthieu Cheuret est ébéniste d’art et restaurateur depuis 24 ans. Le bois, il le connaît. Il est de ces artisans qui portent en eux une tradition, un savoir-faire qui, dans leur atelier, se perpétuent.
Rep du Centre Orléans 27/03/2015, p. 15

(Romorantin) Chantier de bénévoles pour la porte Bonne-Nouvelle

L’association Chantiers, histoire et architectures médiévales (CHAM) organise des chantiers de bénévoles autour de la restauration du patrimoine. Inscrite dans une démarche d’éducation populaire, elle intervient aussi bien en métropole qu’en outre-mer ou à l’étranger. C’est cette fois Mennetou-sur-Cher qu’elle a choisi d’investir entre le 27 avril et le 7 mai prochain, dates des prochaines vacances scolaires en proposant un stage « Monuments historiques » aux jeunes bénévoles intéressés (*). Le chantier vise à poursuivre la restauration de la porte Bonne- Nouvelle (XIIIe siècle) qui avait déjà fait l’objet d’un précédent stage l’an dernier à la même époque.
NR Loir-et-Cher 27/03/2015 p. 21

(Saint Brisson) Lancelot Guyot, futur propriétaire du château

Dans quelques mois, le château de Saint-Brisson n’appartiendra plus à la commune. L’édifice va être vendu à Lancelot Guyot pour la somme de 500.000 euros, échelonnée sur vingt ans. La décision a été entérinée en conseil municipal, jeudi soir. La fin d’un feuilleton qui n’avait plus beaucoup de suspense. La vente devrait être conclue dans quelques mois. Suivront des travaux dans le château et dans le parc, pour une réouverture au public programmée en 2016. Le parc sera tout de même rouvert par la commune dès le début de la saison touristique, dans quelques semaines, pour permettre notamment aux cyclistes de la Loire à vélo d’en profiter. (intégral)
+ La question des meubles en suspens
RC, Orleans, 28/03 + Loiret, p.19

(Noyers) Une association sur le patrimoine créée

Une nouvelle organisation s’est créée : l’Association pour le patrimoine de Noyers. A l’initiative de Xavier Relave, le maire, et du conseil municipal, une réunion publique s’était tenue en novembre 2014. Une vingtaine de personnes volontaires se sont ensuite réunies sur ce sujet pour en débattre le 5 février. Il a été décidé de fonder cette association. Le 20 mars, ces mêmes personnes se sont retrouvées lors d’une assemblée générale constitutive et, après avoir approuvé les statuts, elles ont élu un conseil d’administration comprenant onze personnes. Un état des lieux du patrimoine va être effectué, et en particulier de l’église, afin de lancer au plus vite les dossiers permettant de réunir des fonds.
RC, Loiret, 28/03, p.17

(Blois) A la découverte de la plus vieille maison

Vous êtes devant la plus ancienne maison de Blois. Le silence qui a suivi cette déclaration de la guide conférencière Séverine Desgeorges manifeste le respect et la surprise des cinq lycéens présents hier matin devant la Maison des acrobates. Floriane, Mathilde, Coline, Karina et Valentin, élèves en seconde ARCU (accueil relation clients usagers) au lycée Sonia-Delaunay et accompagnés de Frédérique Bonneville, documentaliste, boivent les paroles de la guide. «Aviez-vous remarqué cette maison à pans de bois ?» leur demande-t-elle. Tous sont passés devant mais sans avoir forcément noté l’architecture particulière de cette maison du Moyen Âge. Les élèves se sont ensuite dirigés vers la Halle aux grains où une maquette de maison en pans de bois leur a permis de découvrir son utilisation, la répartition des pièces… Un atelier proposé par le Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement qui leur a permis d’approfondir encore plus leurs connaissances sur cette maison.
NR, Loir et Cher, 28/03, p.14

(Pays d'Azay le Rideau) Ouvrages des moulins menacés

Le principe de la continuité écologique et de son interprétation ont été au centre des préoccupations de l’assemblée générale de l’association des Moulins de Touraine, qui s’est tenue samedi et a réuni cent dix adhérents, propriétaires de moulins ou amoureux de ces «usines», voire simples riverains des cours d’eau. C’est bien de défense dont il est question aujourd’hui car les ouvrages des moulins sont menacés par les projets de restauration des cours d’eau, prévus en application du principe de rétablissement de la «continuité écologique». Les propriétaires de moulins s’élèvent contre ces projets : ils estiment qu’ils n’amélioreront pas les difficultés de la vie aquatique, imputables en priorité aux diverses pollutions subies par les cours d’eau, plutôt qu’aux moulins avec lesquels les poissons ont cohabité sans dommages pendant plusieurs siècles et jusqu’au milieu du siècle dernier.
Nr, Indre et LoireW, 25/03, p.20

(Combleux) Le Suave sauvé de l’oubli

Jean-Louis Senotier, président de l’association des bateliers combleusiens, les Chemins de l’eau, sera bientôt maître à bord de la péniche Le Suave. Le sort de l’embarcation laissée à l’abandon sur le canal depuis la fin des années 90, à Fay aux Loges, en est décidé. Un vote au syndicat mixte de gestion du canal d’Orléans (SMGCO) a eu lieu. «Le syndicat a voulu s’entourer de garanties juridiques avant de donner le feu vert, explique l’intéressé. Tous les délégués des communes qui en sont membres ont approuvé le projet de réhabiliter la péniche.» C’est un projet ambitieux.
RC, Loiret, 29/03, p.12

(Le Blanc) La petite croix brennouse fait son chemin

La petite croix posée sur la chaire de l’église Saint-Étienne semblait au purgatoire. Cette pièce votive du XVIIe siècle, ornée d’objets hétéroclites, avait l’âge de ses artères et seule une rénovation pouvait lui éviter l’enfer. La création en 2009 d’une association de sauvegarde du patrimoine de l’édifice religieux fut le point de départ d’une véritable croisade. «Notre objectif est de recueillir des fonds pour financer la restauration des éléments les plus intéressants du site», explique le docteur René Desmaisons, président de l’association des Amis de l’église Saint-Etienne qui compte désormais deux cents adhérents. L’organisation de plusieurs manifestations, dont des concerts, a ainsi permis de réunir plus de 14.000 € qui ont été injectés dans des interventions sur une copie du tableau de Rubens, L’Adoration des mages, des angelots en bois polychrome du XVIIe siècle et la croix de la Passion, actuellement exposée au Palais de Tokyo.
Nr, Indre, 29/03, p.10

Source : lemonde.fr

La Sagrada Familia devrait pouvoir être achevée grâce aux imprimantes 3D

Principale attraction touristique de Barcelone, la Sagrada Família est paradoxalement une basilique largement inachevée. L’édifice est pour ainsi dire en travaux depuis 133 ans, c’est à dire depuis la pose de sa première pierre, en 1882. Or, la BBC révélait il y a quelques jours que l’impression 3D de modèles structurels en plâtre devrait permettre d’enfin accélérer sa réalisation, prévue d’ici à 2026, soit un siècle après la mort de son architecte, Antoni Gaudi, renversé par un tramway en 1926.
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Source : lemonde.fr

#MuseumWeek 2, la semaine où les musées se déchaînent sur Twitter

En 2014 à la même époque, douze grands musées français s’étaient les premiers engagés dans le projet d’une #MuseumWeek, une opération en partenariat avec Twitter à laquelle au final plus de 630 musées européens avaient participé, générant plus de 260 000 tweets. Fort de ce succès, l’événement se répète, à une échelle plus large : cette fois, plus de 2 200 musées participent dans près de soixante pays, du lundi 23 au dimanche 29 mars.
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Source : leparisien.fr

En Syrie, des fonctionnaires dévoués sauvent des milliers d'antiquités

Dans une pièce du Musée de Damas, totalement vide, des employés emballent avec précaution les dernières statues avant de les placer dans des caisses qui partiront vers un lieu sécurisé.
Depuis sa nomination en 2012 à la tête des Antiquités et des musées syriens (DGAM), le professeur Maamoun Abdulkarim n'a qu'une obsession: éviter une réédition de la tragédie de 2003 en Irak après l'invasion américaine.
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Source : leparisien.fr

Sous les tours de verre de la City, 3.000 squelettes oubliés

L'Histoire s'est invitée chez les cols blancs de la City de Londres avec la découverte de 3.000 squelettes sur un chantier d'aménagement ferroviaire, où les fouilles ont permis d'exhumer le premier cimetière municipal de la ville.
C'est au beau milieu des tours de verre du quartier des affaires de Londres qu'a été découvert le cimetière de Bedlam, sur un terrain acheté à l'hôpital psychiatrique voisin du même nom.
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Source: latribunedelart.com

Rembrandt Rothschild : les explications embarrassées du Louvre

Alors que l’affaire des Rembrandt Rothschild (voir l’article) commence à être relayée largement dans la presse, d’abord internationale avec notamment El Pais il y a quelques jours, et désormais en France avec un long article d’Olivier Le Naire dans L’Express paru aujourd’hui, le Louvre a envoyé à plusieurs journalistes un communiqué un peu plus long que le premier qu’il nous avait fourni.
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Source : latribunedelart.com

Les associations et les politiques manifestent pour les Serres d’Auteuil

Au moins cinq cents personnes1 se sont réunies cet après-midi devant les Serres d’Auteuil à l’appel des associations de protection du patrimoine pour protester contre le projet de la FFT d’extension de Roland-Garros sur ce jardin. Une mobilisation organisée en quelques jours seulement, alors que la pétition lancée par le Comité de sauvegarde des Serres d’Auteuil vient de dépasser les 63 000 signatures.
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

Les musées français absents de la vente Grandchamp des Raux

Paris, Marché de l’Art – La période est décidément peu favorable aux musées français. Dans la vente Grandchamp des Raux organisée par Sotheby’s et Artcurial, qui vient juste de se terminer, aucune préemption n’est venue priver les acheteurs de leurs acquisitions.
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Chambord préempte des coupes de surtouts du maréchal de Saxe

Acquisitions – Chambord, château – Chambord ne fut habité de façon permanente qu’au XVIIIe siècle, lorsque Louis XV, après y avoir logé, entre 1730 et 1733, son beau-père Stanislas Leszczynski alors en exil, offrit le château à Maurice de Saxe – fils naturel de l’Électeur Auguste II et de la comtesse Aurore de Königsmarck – en récompense de ses bons et loyaux services, et notamment de la victoire de Fontenoy en 1745. Le maréchal de Saxe aménagea et meubla les lieux – quelque peu délabrés et froids - avec un certain goût pour le faste, et y vécut jusqu’à sa mort entouré de sa cour et de son régiment de cavalerie, les Uhlans.
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Les prochaines ventes aux enchères à Paris

Paris, Musée de l’Art – Plusieurs ventes importantes sont prévues cette semaine à Paris, à commencer par celle de dessins chez Christie’s qui aura lieu mercredi 25 mars.
Parmi les plus belles feuilles, on signalera pour le XVIe siècle italien une ravissante Étude de tête d’enfant endormi de Federico Barocci , tandis que pour le siècle suivant se détache une grande feuille du Grechetto, Giovanni Battista Castiglione, d’un sujet typique de cet artiste : Berger conduisant un troupeau de moutons.
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Une nature morte d’Antoine Berjon acquise par le Toledo Museum of Art

Acquisition – Toledo, Museum of Art – Lors de la dernière édition du salon Paris-Tableau, nous avions choisi de signaler, sur le stand de la galerie Descours, un grand Alexandre-Évariste Fragonard, Le Dévouement des bourgeois de Calais. Mais nous avions hésité à reproduire plutôt une autre toile exposée sur ce stand et qui avait d’ailleurs beaucoup frappé les visiteurs. Il s’agissait d’une œuvre - elles sont rares sur le marché - du peintre lyonnais Antoine Berjon, présentée dans le catalogue de la galerie comme une Nature morte aux raisins, châtaignes, courges et pain de sucre. Celle-ci vient d’être acquise par le Toledo Museum of Art.
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Le Musée des Beaux-Arts de Montréal s’enrichit d’un tableau de Nicolas Lancret

Acquisition – Montréal, Musée des Beaux-Arts – Présenté récemment par la galerie Alexis Bordes, une fête galante de Nicolas Lancret, L’Automne (ill. 1), vient d’être acquise par le Musée des Beaux-Arts de Montréal.
Il s’agit d’une redécouverte puisque, récemment encore, l’œuvre était considérée comme une réplique d’atelier d’un tableau connu faisant partie d’un cycle des Saisons. Désormais, tous les spécialistes s’accordent à y reconnaître un original, non seulement pour la scène principale mais également pour le fond de paysage que l’on imaginait réalisé par un collaborateur comme Jacques de La Joüe.
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Préemption d’un tableau de Jean-Baptiste Mallet par le Musée Cognacq-Jay

Acquisition – Paris, Musée Cognacq-Jay – C’est une ravissante gouache sur papier de Jean-Baptiste Mallet qu’a préempté le Musée Cognacq-Jay hier lors de la vente Dillée chez Sotheby’s Paris, pour 9 375 € avec les frais.

Né sous Louis XV et mort sous Louis-Philippe, Mallet fait partie de ces artistes qui échappèrent en partie au néoclassicisme, passant d’une manière sentimentale à la Greuze, encore très XVIIIe siècle, au style troubadour comme en témoigne par exemple Héloïse à l’abbaye du Paraclet ou La salle de bains gothique.
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Source : lemonde.fr

Les musées face au risque terroriste

A quoi reconnaît-on un sujet sensible ? A l’esquive des intéressés. Interrogés sur la question de la sécurité des musées face au risque terroriste, aux lendemains de l’attentat meurtrier au Musée du Bardo, à Tunis, le 18 mars, beaucoup de présidents de grandes institutions parisiennes ou londoniennes se sont fait excuser, se retranchant derrière leur direction générale ou leur service de communication. Quand ils ne glissent pas qu’il n’y a pas de « peur particulière ».
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Source : lemonde.fr

Le bâton de Pellerin

Fleur Pellerin a fait la maligne, le 16 mars, en postant sur Instagram et sur Twitter deux photos de tableaux prises avec son téléphone portable lors du vernissage de l’exposition Bonnard, au Musée d’Orsay. Comme elle est ministre de la culture, ce n’est pas passé inaperçu.
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Ventes aux enchères

Source : lemonde.fr

Deux tableaux de Pierre Bonnard frôlent chacun le million d'euros aux enchères

Deux tableaux du Français Pierre Bonnard (1867-1947) ont frôlé le million d'euros, dimanche 23 mars, lors d'une vente aux enchères organisée par la maison Osenat à Fontainebleau.
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Source : lemonde.fr

Trois chefs-d’œuvre volés, dont un Picasso, interceptés par la police italienne

Le ministère de la culture italien a présenté, vendredi 27 mars lors d’une conférence de presse, trois œuvres exceptionnelles sur lesquelles les services de gendarmerie dédiés aux trafics de biens culturels ont récemment mis la main. Il s’agit d’un tableau cubiste de Pablo Picasso, d’une statue de marbre datant de l’antiquité romaine et d’une toile du peintre baroque italien Luca Carlevarijs.
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Source : lemonde.fr

Le Louvre-Lens espère faire venir d’Irak des trésors pour son exposition sur la Mésopotamie en 2016

En visite, mercredi 18 mars, au Musée du Louvre, à Paris, François Hollande annonçait la tenue, en 2016, d’une exposition consacrée à la Mésopotamie. Une annonce précipitée, dans le but d’afficher la solidarité de la France avec l’Irak, dont les frontières actuelles sont celles de l’ancien « pays du Tigre et de l’Euphrate », berceau de notre civilisation, détruit et pillé par l’Etat islamique (EI), qui s’acharne à en éradiquer tout vestige culturel.
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Source : lefigaro.fr

Le Centre Pompidou au secours de Malaga

Le musée s'implante dans la ville sinistrée par la crise.

C'est un rectangle à moitié enterré, surmonté d'un cube multicolore de Daniel Buren. À Malaga, on l'appelle El Cubo. À Paris, ce sera, pendant cinq ans, le Centre Pompidou Malaga.Samedi 28 mars, El Cubo, nouveau musée pour l'Andalousie, nouveau concept de musée provisoire pour Beaubourg, a été inauguré par les Français et les Espagnols dans un climat particulier - mélange de fête, de gravité et de politique.
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Centre Pompidou à Malaga : les musées se délocalisent

Le 28 mars 2015, le Centre Pompidou inaugure une antenne provisoire à Malaga en Espagne. C’est le deuxième établissement en dehors de la capitale après ? et Metz. La rédaction revient sur ces musées parisiens qui essaiment dans le monde entier.
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Source : leparisien.fr

Espagne: un nouveau concept, le "Centre Pompidou provisoire", à Malaga

Le "Centre Pompidou provisoire" de Malaga, première implantation du musée français à l'étranger, a été inauguré samedi avec l'ambition d'être un instrument de développement pour la ville andalouse et le prototype d'un concept inédit qui pourrait être décliné ailleurs.
Installé dans un bâtiment semi-enterré construit en 2013, "El Cubo", près du port de plaisance de Malaga, le "Centre Pompidou" ouvre ses portes pour cinq ans.
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