Revue de presse ( 6 - 12 avril 2015)

Musées région Centre

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr

Bientôt 90 ans d'Histoire naturelle au Museum de Bourges

Notre série « On a retrouvé la mémoire » nous emmène, cette fois-ci, au Museum d'Histoire naturelle de Bourges. Un lieu exceptionnel qui abrite des milliers de spécimens. Toutes les sciences de la nature y sont représentées. Flavien Texier et Pierre-Do Lepais ont fait le plein d'images d'archives.
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Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Un premier pôle muséal en septembre à Orléans

Jeudi, à l’occasion de l’AG des Amis des Musées d’Orléans, Sophie Ferkatadji, directrice de la culture, a annoncé la création pour septembre d’un grand pôle muséal regroupant le musée des Beaux-Arts, le musée historique, le muséum, le centre Charles-Péguy et la Maison de Jeanne d’Arc. «Nous procédons actuellement au recrutement d’un directeur des sites qui sera toutefois à dominante Beaux Arts» a dévoilé Sophie Ferkatadji. «Nous allons nous attacher, au cours de ce mandat, à la restauration du hall du musée, à sa signalétique, à la scénographie de l’accueil, à un nouveau projet scientifique et culturel portant en particulier sur l’art contemporain et l’accrochage.» Un débat quelque peu tendu s’est installé entre la représentante de la ville et les Amis des musées qui souhaitent que l’établissement de la place Sainte Croix soit «le navire animal de la ville».
RC, Orleans, 04/04, p.3

(Orleans) Des tableaux sonores au musée des Beaux-Arts

Dans le cadre de la manifestation « Patrimoine et musique » qu'il propose jusqu'au 26 avril, le service Label ville d'art et d'histoire invite à découvrir une sélection de peintures du musée des Beaux-Arts. Lors de cette visite, une guide conférencière propose de prêter l'oeil à une belle partition d’œuvres. L'intérêt de cette visite se trouve rehaussée par la présence de Florence Bolton et de Benjamin Perrot, musiciens et directeurs artistiques de l'ensemble de musique ancienne, La Rêveuse. Ces derniers, enregistrements à l'appui, redonnent vie avec science et charme aux instruments qui dorment sur les toiles. Pratique. Samedi 4 avril à 15 heures, dimanche 12 avril à 15h30, musée des Beaux-Arts d'Orléans. Entrée du musée payante. Groupe limité à 25 personnes. Réservation auprès du service Ville d'art et histoire au 02.38.68.31.22 (intégral)
RC, Orleans, 04/04

(Chatillon Coligny) Table des Connetables : une souscription

L’association les Amis du musée de Châtillon-Coligny organise deux conférences à l’occasion du lancement de la souscription de la Fondation du Patrimoine pour la rénovation de la Table des Connetables, pièce importante du musée de Châtillon Coligny. Voici les thèmes : le samedi 11 avril : la Table des Connétables, une histoire de famille, à 15 heures, au foyer club ; le samedi 18 avril : la Table des connétables, l’histoire d’un meuble, à 15 heures, dans la Chapelle du musée.
RC, Loiret, 04/04, p.17

(Sainte-Montaine) Un nouveau musée Marguerite Audoux s’ouvre aujourd’hui

Le musée Marguerite Audoux a définitivement quitté la ville d’Aubigny-sur-Nère pour venir s’installer dans l’ancienne salle des fêtes de Sainte-Montaine, le village de l’écrivain. La scénographie du musée a été repensée pour rendre la visite plus vivante, et plus ludique. Ce nouveau musée sera inauguré aujourd’hui, à 15 heures. (intégral)
Le Berry, 04/04 + 06/04, p.10

(Bailleau-Armenonville) Motos d'époque et d’exception ont leur musée

Le musée de l’Atelier des pionniers va ouvrir ses portes sur l’histoire de la moto. À partir du 11 avril, une trentaine de motocyclettes, toutes d’époque, issues de collections privées, seront exposées dans l’ancienne halle de la gare de Pontsous-Gallardon. Ce culte de la moto, entre 1903 et 1935, présentera les inventeurs et les génies de la motocyclette. De la mythique Harley Davidson, de 1930, à l’excellence du «Souper spécial» de Motorama de 1928, en passant par Motobianchi, les ateliers Anzani et des motos d’exception telles que le tricycle à vapeur de Dion Bouton, de 1896, puis à moteur, de 1897. Et pas seulement des motos, mais des cycles, des automobiles et autres engins très étonnants.
L'Echo, 04/04, p.15

(Blois) La mémoire sans trou au muséum d’histoire

Après les animaux dans la Grande Guerre, voici les mémoires, thème de la nouvelle exposition proposée du 4 avril au 29 août par le muséum d’histoire naturelle. «J’ai eu un vrai coup de coeur, raconte le directeur Pascal Girodon. Il y a plein de manipulations et de jeux. Le public devrait apprécier.» L’association de Saint-Étienne, Art’M créateurs associés, a réalisé cette exposition qui a déjà tourné dans le Nord et en région Rhône-Alpes. Jacques Roux en est le concepteur. «Nous sommes engagés sur des projets culturels et scientifiques, explique- t-il. Cette fois, nous avons décidé de nous pencher sur les mémoires. C’est un domaine vaste et mystérieux qui regroupe plusieurs disciplines très différentes.» Le voyage exploratoire au cœur des mémoires est exaltant.
NR, Loir et Cher, 04/04, p.11

(Unverre) Retour à la pédagogie d’autrefois sur les bancs du musée-école

Préparant l’ouverture officielle du musée-école d’Unverre ce dimanche, ses bénévoles ont accueilli, mardi, dix résidents de l’association La joie de vivre, venus de Saint-Amand-Longpré (Loir-et-Cher). Le groupe a pu profiter des différentes expositions installées dans cette ancienne école de filles. Celle de la lessive d’antan a retenu l’attention car elle a intégré une laveuse “Nec plus ultra” reproduite par Eugène Haye. «Un visiteur nous a donné le mécanisme d’une machine à laver de 1920, qui était la seule à avoir des palettes mouvantes articulées», raconte t il. «Ce n’est plus le linge qui était battu, mais l’eau qui était agitée, entraînant dans son courant le linge immergé.»
L'Echo, 05/4, p.11

(Orleans) Jacques Guérold, cofondateur du musée de la Résistance, est mort

Certains de ses voisins ont le souvenir d’un homme érudit, avec qui ils avaient plaisir à discuter d’histoire. Jacques Guérold, décédé dans l’incendie de la rue des Carmes ce dimanche soir, est né le 14 novembre 1924 à Lorient, où son père enseignait avant d’être nommé à Orléans. Élève du lycée Pothier, il entre dans la Résistance en 1942, puis dans les corps francs Vengeance en 1943, à la demande de Claude Lerude. Il fut son agent de liaison et a participé à plusieurs opérations jusqu’en décembre 1943 où, arrêté par la Gestapo, il est incarcéré à la prison militaire allemande de la rue Vignat. Libéré six semaines plus tard, il échappe à la déportation. Chevalier de l’Ordre national du mérite, il se verra décerner la croix de combattant volontaire de la résistance et la médaille de la guerre. Après la Libération, Jacques Guérold poursuit ses études de droit à la faculté du Panthéon à Paris. En 1949, il est reçu au concours de commissaire de police à la  préfecture de Paris. Détaché pour assurer le secrétariat parlementaire du député Roger Secrétain et d’un certain nombre de ses amis parmi lesquels René Pleven et le président de Côte d’Ivoire Houphouët Boigny, il quitte finalement la préfecture de police pour assurer le service des informations générales de La République du Centre à partir d’octobre 1958, puis devient secrétaire général de la rédaction en 1966, un poste qu’il occupe jusque dans les années 1970. Très impliqué dans les amicales de résistants, il est, en 1988, l’un des fondateurs du musée de la Résistance de Lorris. Président honoraire de l’Académie d’Orléans, il y effectue trois communications, dont une sur le droit de grâce des évêques d’Orléans en leur année solennelle son sujet de doctorat et une autre sur le cinquantenaire de la Libération sur l’état de la France et les Français (1994). Régulièrement, il tient à midi la permanence de l’Académie lors de la manifestation orléanaise Rentrée en fête. (intégral)
RC, Orleans, 07/04

(Dreux) Le musée du vin ne prendra plus l’eau

Une cave voûtée recouverte d’une épaisse dalle en béton, et hop au moindre changement de température, des gouttes d’eau se formaient sur le plafond avant de s’écraser sur les magnifiques pièces exposées (tables de vignerons, pressoir…). «C’est ce que l’on appelle de la condensation. Et pour les objets de notre musée, cela devenait très embêtant. À la longue, ils se seraient sérieusement dégradés», explique François Fillon, président fondateur de l’Écomusée des vignerons et artisans drouais, situé au numéro 68 de la rue Saint Thibault. La solution, c’est auprès de la société Écovégétal, basée à Broué, entre Dreux et Houdan, que le président Fillon est allé la chercher. Propriétaire des bâtiments du musée, la Ville a, de son côté, accepté de signer un chèque de 6.000 € et, du coup, d’offrir à une entreprise locale son deuxième contrat public à Dreux, après la végétalisation du sol du parking de la Radio.
L'Echo, 04/04, p.15

(Le Blanc) L’exposition de poteries inaugurée à l'écomusée

Il y avait foule, vendredi soir, au château Naillac, à l'occasion de l'inauguration de l'exposition À la recherche des poteries disparues. Responsable de l'exposition, Hélène Guillemot a conduit les visiteurs à la découverte des poteries locales, judicieusement disposées dans de jolies vitrines éclairées. Parmi les modèles présentés, beaucoup sont  familiers aux personnes qui en ont vu dans la maison de leurs parents et grands-parents. Sept sites d’ateliers de  potiers, pour certains très anciens ; pour d’autres, fonctionnant toujours au début du XIXe siècle, ont pu être identifiés sur le territoire de Parc naturel régional (PNR).
Nr, Indre, 07/04, p.14

(Orleans) Et la cavalerie française tomba sous les flèches anglaises…

Dans la mémoire collective – et scolaire –, elle est bien moins ancrée qu’un Marignan (1515) ou même qu’un Waterloo (1815), pourtant tout autant synonyme de désastre pour l’armée française. La bataille d’Azincourt (1415), cette «monumentale raclée», selon le mot d’Olivier Bouzy, responsable du centre Jeanne d’Arc, fait l’objet d’une exposition au centre Charles Péguy jusqu’au 29 août.
RC, Orleans, 11/04

(Chartres) La rénovation commence dès la mi-mai

Le Compa doit rouvrir ses portes, en avril 2016, près du pont de Mainvilliers, après une année de chantier. Jean-Marc Providence, directeur des cultures au Conseil départemental, explique : «Le lancement des travaux a été suspendu à l’automne dernier, en même temps que d’autres projets. Nous attendions la nouvelle mandature du Conseil départemental et la confirmation des soutiens financiers», Les travaux de rénovation du Compa doivent débuter dans la semaine du 18 mai, sous la conduite de l’architecte Laurent Niget, ancien collaborateur de Jean Nouvel, associé dans ce projet d’envergure au scénographe chartrain Éric Verrier. En attendant les travaux, le Compa a été vidé d’une grande partie de ses 300 engins et objets d’exposition. «La fin du chantier sur le bâtiment est attendue pour la fin 2015. La muséographie et les scénographies seront prêtes pour le mois d’avril 2016», prévoit Jean-Marc Providence.
L'Echo, 11/04, p.6

(Romorantin) Le musée Matra dans le décor Ferrari

Cette fois, le compte y est. Les 15 bolides, dont une majorité rouges, sans grande surprise, sont désormais bien en place dans les allées du musée Matra. Les 6 dernières pièces, venues du Luxembourg et de Belgique pour les plus lointaines, sont en effet arrivées à Romorantin hier matin. Parmi ces belles vedettes du 7e Art : une Testarossa 1990, au casting grand écart, de Ghost à L’un reste l’autre part, en passant par Deux flics pour un tueur et 60 minutes chrono, pour ne citer que quelques titres. Une 248 ts de 1990, ou encore, une Dino 246, bien connue des fans d’Amicalement Vôtre. En attendant l’inauguration de l’exposition «Ferrari à l’affiche» et la découverte du casting complet, vendredi soir prochain, reste maintenant à les faire briller pour le jour J. à façonner aussi le décor pour le mettre aux couleurs du 7e Art.
NR, Loir et Cher, 11/04, p.26

(Grand-Pressigny) “ On a tous des gènes de Néandertal en nous ”

Le Musée de la préhistoire du Grand-Pressigny tente de lever le mystère autour de Néandertal. Le point avec le directeur, Michel Philippe. -Exposition «Néandertal, un mystère préhistorique», du 11 avril au 30 novembre-
Nr, Indre et Loire, 22/04, p.11

Selles-sur-Cher aussi a eu son tramway

L’actuelle municipalité en avait fait un argument de campagne : la réhabilitation de la gare de tramway située, rue de la Céramique, à Selles-sur-Cher, n’est pas oubliée. «Nous pensons utiliser ce magnifique bâtiment et le transformer en musée où seraient rassemblés des ouvrages, outils, costumes et autres objets évoquant l’histoire de la ville», explique l’adjoint à la culture, Bruno Bernard. «Les Sellois ignorent souvent l’activité qui a régné voila un siècle dans ce lieu.» C’est en 1902 que le naît le projet d’une ligne reliant Contres à Selles, pour faire suite à la réalisation du tramway électrique Les Montils - Contres. Le tracé est adopté le 12 avril 1904 par le conseil général.
+ ••• Une histoire au fil des rails
Nr, Loir et Cher, 12/04, p.11

(Graçay) Le musée fait de la place pour le cinéma

Ouvert depuis début mars, le musée de la Photographie et du cinéma s’enrichit d’une quantité importante de matériels. Désormais, une salle consacrée au cinéma propose une mise en scène autour de l’ingénieur local Lucien Prévost, une collection d’ anciens Pathé Baby 9,5 mm, un  projecteur 35 mm avec sa lanterne à arc, provenant d’une salle de la région, ainsi qu’une ribambelle de photos d’artistes  du 7e art. Ce petit musée est bien parti pour devenir un grand dans son domaine, surtout depuis qu’il est représenté au comité de pilotage du Rémut (réseau de 500 musées techniques de France) initié par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris.
RC, Loiret , 09/04

(Tours) Musée des Beaux-Arts et les photographes...

Depuis 1984, la mairie de Tours refuse d’accorder des autorisations de photographier les œuvres du musée. Un photographe conteste cette décision. C ’est un conflit qui dure depuis neuf ans. Il y a quelques jours, Çà Paris, devant les magistrats du Conseil d’État, s’est jouée la dernière    manche de cette procédure qui oppose la société Photo J.-L. Josse (Seineet- Marne) à la mairie de Tours. Au cœur du désaccord, les œuvres de la collection des beaux-arts du musée de Tours. En 2006, cette société a fait une demande à la mairie afin de pouvoir photographier certains   tableaux  en vue de les publier dans des ouvrages d’art et des livres scolaires. Le rapporteur public du Conseil d’État, Benoît Bohnert, a rappelé un principe du droit qui précise qu’il est loisible à la collectivité de ne pas autoriser l’usage privé d’un bien du domaine public. Pour le magistrat, qui valide pleinement l’arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes,  « il n’est pas établi que la commune de Tours aurait méconnu le principe d’égalité ». Il a demandé le rejet du pourvoi de la société Photo J.-L. Josse. Jugement dans les prochaines semaines.
Le Berry, 09/04, p.20

(Orleans) Les Amis des musées changent de tête

Michel Dubois cède sa place. Après trois ans à la tête des Amis des musées d’Orléans, le célèbre galeriste de la rue de Bourgogne a décidé de passer le relais. «J’estime que toute association, quelle qu’elle soit, n’est pas propriété de son président. Il faut faire émerger des compétences, la nouvelle équipe va apporter des idées nouvelles.» «Avec 1.100 membres, c’est l’une des plus grosses sociétés des Amis des musées de France !» Et même la troisième, après celles du Louvre et de Versailles. Sacrée performance. Une stature qui ne doit rien au hasard. «Le musée des Beaux Arts d’Orléans est l’un des plus riches de France», martèle Michel Dubois. «Mais il n’est pas assez mis en valeur.» La preuve, récemment : «Depuis deux ans, et le départ de notre conservatrice en chef, nous n’avons plus personne. On vient de nous annoncer la mutualisation de la direction des musées, entre celui d’archéologie, les Beaux Arts, le muséum… On ne va pas crier avant d’avoir mal, mais on souhaiterait vraiment que les Beaux Arts soient le navire amiral de la culture à Orléans.» Ce sera désormais à Pierre Moreau, le nouveau président de l’association, de défendre cette cause.
+  Vélasquez prêté au Grand Palais
RC, Orleans, 15/04, p.11

(Josnes) Le Petit musée ouvre ses portes

Depuis dimanche, Stéphane Médard, collectionneur, a ouvert son «Petit musée». « J’ai profité de l’hiver pour "faire du ménage", ironise le collectionneur. Les nouvelles acquisitions étaient un peu entassées et du rangement s’imposait. On peut maintenant circuler autour des vitrines et des collections qui sont mises en valeur. » Il faut prendre le temps d’écouter Stéphane parler de ses « trésors » : costumes, armes, outils, documents sur les guerres et conflits. Les passionnés de mécanique peuvent admirer une belle collection de solex et de Motobécane, ainsi que des outils d’artisans et des costumes de toutes les époques, sur deux étages. (intégral)
RC, Orleans, 15/04

(Chateauroux) L’incroyable modernité du couple Maillaud

De Fernand Maillaud, le grand public a jusqu’ici retenu le talent du dessinateur et du peintre paysan, «plus paysan que peintre», amoureux du monde rural «dont il croquait inlassablement, les scènes de vie en Creuse, dan  la Vallée Noire, tel un photographe». Mais au côté de Fernand, il y avait aussi Fernande, son épouse, avec qui il formait un couple fusionnel. C’est à ce couple d’artistes et à leur influence dans les arts décoratifs de la première partie du XXe siècle que le Musée Bertrand consacre sa grande exposition annuelle, jusqu’au 30 août. Dans plusieurs salles, un ensemble riche et complet est décliné – des cabinets de dessins à l’Art déco – qui témoigne de l’évolution des créations du couple et des influences multiples qui ont traversé leurs productions.
Nr, Indre, 15/04, p.7

(Thevet-saint-julien) Le Musée des racines a rouvert ses portes

Le Musée des racines de Thevet-Saint-Julien a rouvert ses portes pour la belle saison. Pour la quatrième année, la municipalité a reporté sa confiance sur Gunnar Bjursell, qui voue une grande passion à l’abbé Aymon, collectionneur d’innombrables racines. Depuis 2012, Gunnar a fait de nombreuses recherches, qu’il n’hésite pas à partager avec les visiteurs, au musée. Près de trois cents racines ont été amassées, une centaine seulement sont exposées. Elles représentent des animaux fantastiques, des serpents et différentes formes à reconnaître selon l’imagination de chacun. Aujourd’hui, le guide aimerait participer encore plus activement à la vie de la commune et à la vie des écoles, en proposant des visites guidées et des ateliers.
Nr, Indre, 15/04, p.17

(Blois) Les automates de Cosette à la Maison de la magie

Ouverte depuis le 4 avril, la Maison de la magie a inauguré la nouvelle saison officiellement vendredi dernier, en présence d’officiels, de magiciens – Gérard Majax et Gaëtan Bloom – entre autres et aussi de Cosette Roullet-Decamps, l’héritière de la maison d’automates du même nom. La vieille dame – elle est âgée de quatre-vingt-neuf ans – venue directement de Dordogne, a apprécié cette invitation et a retrouvé avec plaisir les automates qui étaient fabriqués dans la fabrique. Beaucoup de ces automates proviennent du Musée de l’automate de Souillac (qui accueille depuis 1988 la collection Roullet-Decamps acquise par l’État) et de la collection de Philippe Sayous. Toutes ces figurines, ces animaux et autres automates lui rappellent comment elle est devenue ouvrière dans cette fabrique d’automates fermée en 1995.
Nr, Loir et Cher, 15/04, p.9

(Saché)Nouvelles collections mobilières au musée Balzac

Le musée Balzac de Saché propose un nouvel aménagement de ses salles de réception. Dans la continuité de l’oeuvre du fondateur du musée, et en partenariat avec le Mobilier national, le conseil général d’Indre-et-Loire renforce aujourd’hui l’identité balzacienne du lieu. Ainsi, les nouvelles collections mobilières présentées illustrent plus particulièrement la pér iode des règnes  de Charles X et de Louis-Philippe, correspondant aux séjours réguliers d’Honoré de Balzac au château de Saché, de 1825 à 1848. De plus, elles ont écho à l’oeuvre littéraire du romancier pour qui les meubles sont révélateurs du rang social de ses personnages, de leur caractère et de leur histoire. A l’occasion de cet événement, les médiateurs du musée Balzac proposent une visite-conférence sur ce thème, samedi 18 avril et samedi 23 mai, à 15 heures. Autres dates possibles sur réservation, pour
cinq personnes minimum. (intégral)
NR, Indre et LoireW, 17/04

(Orleans) De l'impact urbain des nouveaux grands musées

Dans le cadre de son cycle de conférences des «jeudis de l’Urba», l’agence d’urbanisme de l’agglomération organise à 18 heures, une conférence sur l’impact urbain des nouveaux grands musées. Leur implantation a notamment permis d’enclencher un processus de redynamisation dans des villes en difficulté économique. La dimension culturelle, dont le rayonnement dépasse le niveau régional, a souvent pour conséquence un développement touristique et donc l’amélioration de l’offre hôtelière et de restauration. Le changement d’image redonne aussi la fierté d’habiter sa ville et peut avoir un impact important sur l’accueil de nouvelles entreprises. Agence d’urbanisme, 3, rue de la Cholerie. Participation gratuite, mais inscriptions obligatoires au 02.38.78.76.76 ou à l’adresse agence.urba.orleans@auao.org (intégral)
RC, Orleans, 16/04

(Savonnières) Quel avenir pour le musée de la Tuilerie ?

Comment sauver le musée ? Le propriétaire, Claude Aubert, est arrivé à la conclusion que la seule manière de transmettre son patrimoine serait d’en faire don à une association. Autrement, il faudrait se résoudre à disperser les collections pour acquitter les frais de succession. Reste à créer une association ad hoc. Pour cela, il a organisé vendredi dernier une réunion de la dernière chance. Histoire de fixer les idées, la soirée a débuté par une visite du site dans la nuit tombante qui a permis de mesurer à la fois la richesse du fonds et l’ampleur de la tâche à accomplir. Revenus à la lumière de la salle de réunion, les quelques quinze participants ont tenté de démêler les tenants et les aboutissants de la création de cette nouvelle association dont la vocation exclusive sera de s’occuper du musée. Pour dissiper les inquiétudes liées aux question pécuniaires, le propriétaire s’est engagé à continuer à payer les frais de fonctionnement, d’assurance et d’entretien de la serre. Mais beaucoup de points essentiels restent en suspens.
Nr, Indre et Loire T, 16/04, p.15

(Chateau Renault) Le musée du Cuir va fêter ses 30 ans

Créé en 1978 dans les sous-sols du château, le musée du Cuir et de la Tannerie s’est installé en 1985 dans les anciens locaux de la tannerie Peltereau-Tenneson, l’une des plus anciennes et des plus grandes tanneries de la ville (1597-1978). Dans huit salles, les visiteurs découvrent la passionnante histoire de 400 ans de la «cité du cuir» de renommée nationale et internationale. Pour fêter ce trentième anniversaire, l’association des Amis du musée du Cuir et la Ville de Château-Renault s’associent pour proposer du 1er mai au 30 septembre un vaste programme d’animations.
Nr, Indre et LoireE, 16/04, p.23

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Tavers) Silex, mâchoires, cuirasse, casque et dents exposés en permanence

Depuis deux ans, un local situé derrière l’ancienne cantine, avenue Jules-Lemaître, a été transformé en une exposition archéologique permanente. Louis Gaillard collectionnait de nombreux silex. Il a transmis sa passion à son fils, Maurice, Taversois. «Dans les années 1970, une exposition, qui n’a pas duré longtemps, avait été mise en place par un instituteur, Roger Delmotte, devenu ensuite maire de Tavers», témoigne Maurice Gaillard. «En 2009, suite à ma rencontre avec un nouveau Taversois, Jean-Charles Casanova, également passionné d’histoire et d’archéologie, le projet a été relancé.» L’exposition voit le jour en 2013.
RC, Orleans, 04/04, p.3

(Chartres) Une ferme gauloise découverte à l’aérodrome

La construction de la zone commerciale l’Iliade nécessite, entre autres, le déplacement des locaux de l’aérodrome. Le projet de  construction des nouveaux hangars est estimé à 7 millions d’euros. Le diagnostic archéologique, phase préalable à tout aménagement d’un terrain, a révélé l’existence d’une ferme gauloise sur le site des futurs hangars de l’aérodrome. Karine Dorange, adjointe au maire, en charge du projet d’aménagement du plateau, explique : «Nous sommes dans l’attente d’un retour du service archéologique  régional, pour savoir si des fouilles complémentaires doivent être menées». Si c’est le cas, le diagnostic estime la durée d’intervention à deux mois. Sinon, le projet de construction des nouveaux hangars de l’aérodrome commencera, comme prévu, au début de l’été. (intégral)
L'Echo, 09/04

(Drevant) Le village va se replonger dans son histoire gallo-romaine

Ca bouge autour du théâtre gallo-romain. Outre les travaux actuellement menés par la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC), qui rénove des bâtiments proches afin d’y installer un centre d’interprétation (lire ci-dessous), voilà que le théâtre va s’ouvrir, les 4 et 5 juillet, aux  Derventiales.
+ Chantier : depuis février, les bâtiments qui surplombent le théâtre gallo-romain sont en rénovation. C’est la DRAC qui mène le chantier. Son but : créer un centre d’interprétation pour donner de la valeur au site. « On se bat depuis des années pour ces travaux, assure la présidente du CAP Drevant La Groutte. Ce centre d’interprétation signifierait que le théâtre serait ouvert tous les jours, qu’il serait référencé dans les guides touristiques, annoncé sur l’A 71. Ce serait créateur d’emplois, cela apporterait une valeur ajoutée à tout le territoire. » Dans le projet de la DRAC, le CAP Drevant La Groutte espère trouver sa place, notamment via une salle pour organiser des expositions. (Intégral)
Le Berry 10/04, p.22

(Dreux) Michel Guilmain élu président

Toujours disponible, bon vivant, rigoureux et cheville ouvrière de la SHADT (Société d‘Histoire et d’archéologie du Drouais Thimerais) depuis 1991, il a été fortement sollicité pour cette fonction. «Je n’étais pas prêt à assurer cette tâche mais elle est nécessaire pour la pérennité de l’association crée en 1987. Il sera difficile de succéder à Régis Dodin, un enfant du coin qui connaissait parfaitement l’histoire locale. Sa formation de géologue l’a naturellement mené à l’archéologie. Je ne pourrai faire des conférences comme lui.» Michel Guilmain n’a accepté la présidence qu’à la condition être épaulé par deux vice présidents. Jean-Claude Chatain, qui passe actuellement une habilitation aux sondages, sera chargé de l’archéologie et Georges Vogt de l’histoire locale. C’est Régis Dodin qui a initié Michel Guilmain à la photo aérienne en 1995. «Il est possible que je reprenne l’activité de prospection aérienne si la situation financière le permet». Faute de budget, il se consacre, avec Denise Cerceau, à la numérisation et la transmission à la DRAC d’un trésor de 7.000 diapositives.
L'Echo, 16/04, p.16

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Lanternes magiques à Bouges

Après un passage remarqué aux châteaux de Fougères-sur-Bièvre et de Maisons-Laffitte, l'exposition Lanternes magiques et fantasmagories poursuit son itinérance au château de Bouges-le-Château, jusqu’au 5 juillet. L'occasion de déambuler dans les caves, la lingerie ou encore la chambre de bonne, habituellement fermées au public, et de découvrir une part méconnue du château grâce à cette exposition qui raconte l'histoire des fantômes et des illusions d'optique permettant de les faire apparaître.
NR, Indre, 04/04, p.6

(Tours) Mame : réhabilitation à la hauteur de la construction

Solide sexagénaire, l’usine Mame témoigne de l’intelligence de son commanditaire et des grands maîtres qui l’ont réalisée. Éditeur d’art en plus de livres religieux, Alfred Mame a fait appel à l’architecte Bernard Zehrfuss, Grand Prix de Rome (Cnit à la Défense), attaché au style minimaliste mais nerveux, rythmé grâce à la visibilité des structures porteuses, au designer Jean Prouvé pour les parties métalliques et au peintre Edgard Pillet. Performante, confortable et belle, telle était l’usine. Pareil bâtiment ne se réhabilite pas n’importe comment par le propriétaire, la Société d’Équipement de Touraine. En voie d’achèvement, la réhabilitation de l’usine Mame respecte le projet initial, avec l’attachement à la pureté des ferronneries de Jean Prouvé.
+ Des hublots mis en lumière par Pillet
+ Un balcon sur la Loire
NR, Indre et LoireT, 04/04, p.16

(Pithiviers) Un livre sur les églises du Puiseautin

L’association Connaisance et sauvegarde du patrimoine est productive. En deux ans, elle a successivement sorti quatre ouvrages : Croix de chemin, croix de cimetière ; Les églises du Beaunois ; Les églises du Pithiverais, et, depuis quelques jours, Les églises du Puiseautin. «C’est un travail collégial entamé il y a trente deux ans. Nous réussissons à publier tout ce que l’on a récupéré au cours de ces décennies», explique la présidente de l’association, Monique Herbane. De nombreux petits fascicules ont été élaborés sur les églises locales. Ils sont regroupés et largement illustrés dans ces nouveaux ouvrages. Ces ouvrages peuvent être publiés grâce à la générosité de l’un de ses membres, Jacques Raunet. Son investissement au sein de l’association lui a valu d’obtenir le Prix Servir du Rotary club de Pithiviers en novembre 2013. Il a immédiatement fait don de son chèque à Connaissance et sauvegarde du patrimoine. C’est ce qui a permis de publier le premier ouvrage. Depuis, les ventes permettent de financer les publications suivantes !
+ Le clocher de Puiseaux bientôt réparé
RC, Loiret, 05/04, p.14

Redécouvrir la Loire et son activité fluviale à Orléans

Une ritournelle qui tourne et retourne dans la tête. «Eh, oh ! Eeeeeh, oh, bienvenue au port d’Orléans, eh, oh. Eh, oh, eeeeeh, oh, chantent mariniers et matelots». Voilà les Copains d’sabord des Compagnons chalandiers d’Orléans qui accueillent en chanson les participants à la balade «Loire enchantée». Une Loire enchantée et en chantant. Dans le cadre du nouveau programme «Laissez vous conter patrimoine et musique», proposé par le service «Ville d’art et d’histoire» de la mairie d’Orléans, ils sont une trentaine en ce samedi à se retrouver au pied de la Tour Blanche, non loin de l’actuelle capitainerie. Anne Authier, guide conférencière, et Pauline Marton, du service «Ville d’art et d’histoire», accueillent les visiteurs, Orléanais pour la plupart, et de toutes générations. Le point de départ de la balade rappelle que la ville d’Orléans a longtemps vécu repliée sur elle même, ceinte par des remparts, pour se protéger des menaces d’invasion, tournant le dos à une Loire quasiment invisible à l’oeil.
+ La royale et longue histoire du pont GeorgeV
RC, Loiret, 05/04, p.22

(Pays Dunois) Ouverture des moulins : tous sur le pont

Sur le chemin de sa découverte, depuis Châteaudun, apparaissent les panneaux de la Route du blé puis un parc d’éoliennes. C’est au lieudit Bois de Feugères, à Bouville, qu’émerge le moulin Pelard, comme un phare planté au milieu de la Beauce. Parmi ses gardiens, Daniel Patault a un look de capitaine Haddock sous sa casquette bleu marine. Sur le pont pour une nouvelle saison touristique, il évoque dans sa barbe les soins préalables à la remise en marche : «Il y avait un carreau cassé et les piafs sont entrés dedans. Il a fallu réparer et faire un grand nettoyage». À l’intérieur, le son du vent résonne comme le bruit des vagues.
+ Au coin de Paradis et de Frouville-Pensier
L'Echo, 05/04, p.11

(Nocé) Le patrimoine paysan au cœur d’une exposition“dépaysante”

C’est une exposition de bâti, hors Perche qui vient d’être inaugurée à la Maison du Parc naturel régional du Perche, au Manoir de Courboyer, à Nocé. Présentée en 2012 aux Rendezvous de l’Histoire à Blois pour répondre au thème des “Paysans”, cette exposition des Services régionaux de l’Inventaire de la région Centre-Val de Loire est encore une fois de grande qualité. Le Parc mène un inventaire du patrimoine bâti de son territoire : l’an dernier côté eurélien avec Thiron Gardais et La Croix du Perche, cette année côté ornais avec Villiers sous Mortagne, Feings et Saint Mard de Réno.
L'Echo, 05/04, p.13

(Chartres) Plongée dans les entrailles de la ville

Il y a le gouffre de Padirac (Lot), les grottes de Rocamadour (Lot) et… le centre ville de Chartres ! Beaucoup de vieux Chartrains le disent : «Chartres, c’est un gruyère !» Comme toutes les cités médiévales, la ville s’est progressivement construite sur un réseau de galeries souterraines et de caves, principalement utilisées pour stocker des denrées. Au fil des siècles, certaines ont été comblées par la main de l’homme ou ensevelies sous des effondrements de terrain. Mais il en subsiste quelques unes qui s’étendent parfois sur des dizaines de mètres et nécessitent, pour être visitées, de déployer des talents de spéléologues, tant certains passages sont délicats à franchir. D’autres caves, parfaitement conservées dans leur jus historique, présentent encore une architecture intégralement préservée, avec des voûtes et des escaliers parfois monumentaux.
L'Echo, 05/04, p.20

(Gièvres) Longtemps affectée à Vierzon, la 230 G 353 sera restaurée

Longtemps affectée au dépôt ferroviaire de Vierzon, la 230 G 353 est revenue non loin de ses attaches d’antan. L’Association pour la préservation du patrimoine et des métiers ferroviaires (APPMF) qui veille sur la vénérable locomotive à vapeur, lui a trouvé un toit, à Gièvres, dans le Loir et Cher, au sud ouest de Romorantin Lanthenay. Depuis fin 2014, la machine est stockée dans les bâtiments de la société Claisse location de matériel de travaux publics (CLMTP), entreprise de BTP spécialisée dans les chantiers ferroviaires, qui possède un faisceau de voies ferrées sur son site. «Nous allons disposer d’un atelier et d’un pavillon pour la logistique», a annoncé Pierre Henoch, vice président de l’APPMF, lors de la dernière assemblée générale de l’association au musée de Vierzon, près des collections Laumônier. Sous ce nouveau toit, un lourd chantier attend les quatrevingttreize passionnés de chemin de fer de l’association.
Le Berry, 05/04, p.12

(La Chatre) Maison Saint-Yves : restauration en vue

Lors de l’assemblée générale des Amis du Vieux-La Châtre, Vanessa Weinling a retracé l’histoire de la maison rouge à pans de bois située place Laisnel-de-la-Salle et rue Nationale et qui abrite deux commerces et des logements. Maison que l’on dit du XVe siècle mais, après recherches et études des plans de la ville, sa construction se situerait plutôt au début du XVIe siècle. La «vieil le dame», aujourd’hui, ne se porte pas si mal. «La Ville s’est porté acquéreur en 2013 de la partie orientale de cet immeuble ; un diagnostic technique et sanitaire a été dressé afin d’évaluer l’état et d’envisager un programme de restauration et de ravalement des façades», explique Vanessa Weinling, responsable du service culturel. La mission a été confiée au cabinet d’architectes Autissier qui a délégué l’audit technique à la société Socotec. L’immeuble étant inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques, le dossier de permis de construire nécessaire au début des travaux devra être validé par les services culturels de l’État qui encadrent et énoncent un certain nombre de conditions et de prescriptions à caractère conservatoire et patrimonial.
NR, Indre, 05/04, p.8

(Valençay) “ Une saison pleine de nouveautés ”

Le château de Valençay a donc rouvert ses portes hier. Au programme de cette saison touristique, la quatrième de Sylvie Giroux, il y a de l’inédit au rendez-vous. «L’an passé, nous avions proposé une saison culturelle importante. Là, nous nous sommes concentrés sur le parcours de visite. Nous avons fait beaucoup de travaux, notamment de façades, afin que le public découvre une nouvelle façon de voir le château. L’itinéraire sera jalonné de pupitres, traduits en français, anglais et espagnol, pour celles et ceux qui voudraient visiter seuls, sans audio guides. Sur ces pupitres, figurent toutes les informations majeures. Nous avons ainsi mis en place une nouvelle scénographie, avec une visite qui commence par la galerie des portraits, puis se poursuit par les salons, avant de finir par les cuisines, via un escalier qui n’avait encore jamais été ouvert au public. On finit, de fait, dans les jardins de l’aile sud… En 2016, nous parachèverons cela avec l’ouverture d’une salle aux trésors, qui va nous permettre d’entrer dans l’intime de Talleyrand…» Le château, cette année, sera ouvert pour les vacances de Noël et décoré de façon féerique pour l’occasion ; l’association Capval assurera encore les spectacles estivaux et une nouvelle Orangerie est prête à recevoir le public, dans un nouveau décor et avec une nouvelle cuisine ! (intégral)
NR, Indre, 05/04

(Blois) A vendre

Avenue Maunoury, un panneau à de quoi surprendre : l’agence immobilière L’Adresse de Vineuil vend un bâtiment des haras. Ou plus exactement remet en vente la maison du sous-directeur. Une maison de maître de onze pièces d’une surface de 240m2, classée monument historique, comprenant sur trois niveaux huit chambres, mais seulement deux salles de bains, une seule cuisine, un salon et une salle à manger. De quoi loger une grande famille. Avis aux amateurs et à ceux qui ont 450.000 € à placer dans ce bien exceptionnel. (intégral)
NR, Loir et Cher, 05/04

(Saint-Firmin-des-Prés) Un bijou de la vallée du Loir

Le moulin de Moncé, à Saint-Firmin-des-Prés, fait peau neuve. Enfin, peau neuve mais à l’ancienne comme l’ensemble des restaurations dont il bénéficie depuis maintenant près de quinze ans. C’est, en effet, en 1999 qu’Alain et Monique Godillon ont acquis l’ancienne ferme du château éponyme et son moulin. Après avoir mobilisé leurs premiers efforts pour le bâtiment qui allait devenir leur lieu d’habitation, ils ont consacré le plus clair de leur temps à la restauration de ce que beaucoup qualifient de «plus ravissant moulin de la vallée du Loir». Ravissant, il l’est sans discussion, à tel point qu’il ne déparerait nullement au hameau de la reine à Versailles. Mais, passionnant, il l’est plus encore !
NR, Indre, 05/04, p.9

(Orleans) Un trésor de la dynastie Ming

La cloche trônait dans un patio, au cœur d’Orléans, depuis plus de 20 ans. Une pièce d’un mètre de haut, en bronze, sur laquelle sont gravées quatre séries d’inscriptions chinoises. «Je l’ai trouvée sous une grange il y a une vingtaine d’années, chez une dame de Cléry Saint André, confie, aujourd’hui, le propriétaire orléanais, qui préfère rester anonyme. Cette femme avait besoin d’argent rapidement, et me l’a vendue 5.000 francs…» Féru d’ar t, l’homme est séduit par l’objet mais il ne cherche pas vraiment à savoir comment il est arrivé là. Puis, vint ce jour de 2014, où son vieil ami Philippe Rouillac, commissaire priseur à Vendôme, a l’œil qui frise en apercevant la cloche, chez lui. Le propriétaire lui confie alors un dossier. À l’intérieur, des courriers signés de quelques spécialistes français des arts asiatiques, que l’Orléanais a sollicités sans grand espoir il y a plusieurs années. Certains affirment que la cloche aurait été réalisée au XIXe siècle, au Japon, d’autres au Vietnam, à une autre époque… Elle sera vendue aux enchères en juin prochain.
RC, Loiret, 06/04, p.7

(Courcelles) Au chevet des plaques de cochers

Les observateurs les plus avertis l’auront remarqué : il existe encore, dans les villages, à proximité d’un carrefour ou d’une rue, des vieilles plaques rouillées indiquant la direction des communes voisines. Une distance kilométrique étant gravée dessus. C’est ce qu’on appelle les plaques de cocher. Aujourd’hui, à travers la France, plusieurs personnes ont décidé de valoriser et de conserver ce patrimoine. Parmi eux, un jeune habitant de la commune de Courcelles. Âgé d’une trentaine d’années, Nicolas Jamois s’est découvert cette passion il y a tout juste une année. Chauffeur de car dans le SudEssonne, le Courcéen a donc été attiré par ces vieilles plaques. Se disant que, finalement, elles auraient plus d’allure une fois repeintes. Dès lors, il a contacté plusieurs municipalités pour proposer ses services. À ce jour, une trentaine lui ont fait confiance, dont plusieurs du Pithiverais, comme Givraines, Chilleurs aux Bois, Santeau ou Mareau aux Bois.
RC, Loiret, 06/04, p.18

(Bourges) La Renaissance à fleur de pierre

Le label Ville et pays d’art et d’histoire a été créé en 1965 par la Caisse nationale des monuments historique et des sites. En 1515, s’est déroulée la bataille de Marignan et l’accession de François 1er au trône de France. Le tout aboutit au fait que le réseau des Villes et pays d’art et d’histoire de la région Centre auquel Bourges appartient, a décidé de proposer au public une redécouverte de la Renaissance, cette période qui s’étend de 1490 à 1562. L’anniversaire de la bataille de Marignan et les trente ans de ce label donnent l’occasion d’un focus.
Le Berry, 06/04, p.6

Les sept cloches de la Cathédrale de Chartres

Elles sont invisibles mais connues de tous les Chartrains. Les cloches de la cathédrale Notre Dame font partie du paysage sonore de la ville et ses environs, depuis des siècles. L’édifice en dénombre sept. Toutes n’ont pas la même vocation, souligne Gilles Fresson, coordinateur des services du Rectorat de la cathédrale : «Parmi ces sept cloches en bronze, situées dans la tour Nord, une est un cas à part. Il s’agit du Timbre, qui donne les heures. Les six autres ont un rôle liturgique. Elles ont un nom de baptême, et fonctionnent de volée ou avec un marteau». Les cloches représentent un aspect incontournable dans la vie de la cathédrale : «Il existe une longue tradition symbolique. Dès la construction, aux XIIe et XIIIe siècles, on évoque les cloches qui ne sont pas de simples accessoires.»
L'Echo, 06/04, p.3

(Orleans) Une actualité printanière très dense

L’association des Amis des orgues de Notre-Dame-de-Recouvrance présente son actualité pour le printemps. Ainsi, dans le cadre des journées «Patrimoine et musique» organisées par le service Ville d’art et d’histoire de la mairie d’Orléans (SVAH), l’association accueille le public pour une visite guidée.
RC, Orleans, 07/04, p.14

(Chécy) Cure de jouvence pour la tour-clocher

Le temps manque à Romain Gilbert, architecte au patr imoine de l’agence Régis Martin, ce matin là. Passons à la question incontournable : les travaux de la tourclocher ont démarré début 2014, la « livraison » du chantier est prévue en juillet : «Où en est on ?» Il résume : «On vient de terminer la restauration de la charpente, la reprise de la toiture du clocher avec l’aménagement d’un plancher.» Joints purgés, coeur de maçonnerie consolidé. «Là, on s’occupe de l’épiderme, de l’enduit et du remplacement de la pierre de taille», en plus de la reprise des « structures horizontales». Exceptionnelle ? Ordinaire ? Que dirait le spécialiste de cette intervention ? «Il n’y a jamais vraiment de chantier classique» mais «là on partait de loin. L’objet de cette opération est de consolider de manière pérenne ce qui avait été provisoirement fait lors du sauvetage il y a une dizaine d’années».
RC, Orleans, 07/04, p.18

(Ferrières en Gâtinais) Une nouvelle souscription est lancée

Samedi matin, à la salle des mariages, une convention a été signée entre le maire Gérard Larcheron et la Fondation du patrimoine en vue du lancement d’une souscription, en présence de Bernard Vella, délégué départemental de la Fondation. Roberte Tomassone, déléguée adjointe, et Frédér ic Néraud, conseiller départemental en charge notamment du patrimoine, étaient aussi là. Deux projets de restauration vont voir le jour concernant deux édifices dont il est urgent d’assurer la pérennité. Le pavillon Louis XIII, aujourd’hui le siège de la mairie, date du XVIIe siècle et a subi maintes modifications au fil du temps. L’ancienne hôtellerie monastique, qui abrite la CC4V, a été coupée en deux par le percement d’une rue. Dans les années 1950, une école communale lui a été adjointe.
RC, Loiret, 07/04, p.17

(Bourges) La journée s’annonce décisive

Près de trois jours se sont écoulés depuis l’incendie, sur venu samedi dernier peu avant midi, de la Maison de la Forestine, l’un des bâtiments emblématiques du centre ville de Bourges. Hier, le site, place Cujas, a été rendu à une circulation presque ordinaire. Le dispositif de veille des sapeurs pompiers a été levé vers midi, puisque la situation à l’intérieur de l’immeuble ne présentait plus aucun danger. Une réunion doit se tenir aujourd’hui entre  services municipaux et représentants du centre hospitalier JacquesCoeur, propriétaire de l’édifice. « Mais rien ne peut se faire, ni se décider sans l’avis préalable des bâtiments de  France, rappelle Martial Rebeyrol. L’architecte doit examiner l’immeuble sous toutes ses coutures avant de donner son feu vert à la suite des opérations. Notamment au début des travaux visant à bâcher la toiture.»
Le Berry, 07/04, p.4

(Bourges) La maison de Jacques-Coeur

La maison de Jacques-Coeur, située à l’angle des rues d’Auron et des Armuriers, s’est drapée d’un voile blanc. Un grand échafaudage est monté sur toute la hauteur de la paroi à pan de bois. Ce bâtiment, qui faisait partie de la dot de la femme du Grand Argentier, a été reconstruit après l’incendie de 1487. Aujourd’hui, il a besoin d’un ravalement de façade et de quelques travaux de charpente, réalisés par une entreprise locale. Les travaux devraient durer jusqu’en mai. (intégral)
Le Berry, 07/04

Un “ ouvrage d’art ” sur Loches

Un «beau livre», façon «ouvrage d’art» (selon les mots de l’adjoint au patrimoine Stéphane Blond), dédié à Loches, va être édité et tiré à 2.000 exemplaires. Il présentera «à la fois l’histoire de la ville mais aussi les services et la qualité de la vie qu’elle offre». Cet outil «de promotion de Loches» coûtera 18.300 € HT à la charge de la Ville qui espère une subvention de l’Etat à hauteur de 14.640 €. On sait peu de chose sur ce livre : seulement qu’il sera publié par les éditions du Palais. Quant au nom de l’auteur, «on ne le  connaît pas, mais c’est un auteur propre à cette maison d’édition. Ce n’est pas quelqu’un du coin», a précisé le maire Marc Angenault, interrogé samedi par la NR. La Ville de Loches devrait pouvoir le relire avant parution. Lors du conseil, la conseillère indépendante  d’opposition Anne Paquereau a jugé que cette dépense était «disproportionnée». Denis Maljean, pour l’opposition Loches : changer d’ère, a au contraire souligné que «la culture ne doit pas être sacrifiée en ces temps de crise. L’activité économique qu’elle génère représente le double de celle de l’industrie automobile». (intégral)
NR, Indre et LoireT, 07/04

(Bourges) La Forestine : après le feu, les experts

Trois jours après avoir été ravagée par les flammes (nos éditions précédentes), la Maison de la Forestine a ouvert ses entrailles à  d’autres hommes et femmes que des pompiers. Hier matin, un groupe composé d’élus, de membres de la direction de l’hôpital Jacques Cœur –propriétaire des lieux–, d’entrepreneurs, et de l’architecte des bâtiments de France, a réalisé une visite dans le bâtiment haussmannien. Le but ? Trouver au plus vite des solutions afin de sécuriser le périmètre. «C’est notre priorité avec un bâtiment de maçonnerie mixte, composé de briques et de galandages, c’estàdire de structures en bois», expliquait Paul Carves, architecte des bâtiments de France, dans l’incapacité de chiffrer les dégâts sur un immeuble n’étant pas classé monument historique, mais composante du secteur sauvegardé. Une précision d’importance, car elle permettra selon Martial Rebeyrol, adjoint à l’urbanisme, «plus de souplesse» quand viendra le temps des travaux.
Le Berry, 08/04, p.8

Les châteaux de la Loire s’affichent en gare

En partenariat avec la SNCF, les sept châteaux de la Loire, et plus spécialement les châteaux du territoire de Blois et Chambord, s’affichent dans la gare de Paris Austerlitz et dans celle de Blois. L’occasion de mettre en avant le patrimoine culturel en cette année  d’anniversaire des 500 ans de l’accession au trône de François 1er. D’importants visuels des châteaux de Blois, Cheverny, Chambord, Chaumont sur Loire, Villesavin, Troussay et Beauregard sont à découvrir. (intégral)
Le Berry, 07/04

(Le Blanc) Quatre trombones pour sauvegarder le patrimoine

Les Amis de l’église Saint-Étienne qui se mobilisent depuis 2009 pour restaurer le mobilier de cet édifice du XVIIe siècle ont prévu, cette année, des rendez-vous importants : le concert de l’ensemble Coulisses 4, dimanche aprèsmidi, et une conférence sur l’art du vitrail, le 14 septembre, dans le cadre de la Fête des Bons Saints. Après avoir collecté 14.000 € qui ont permis de redonner de l’éclat au tableau L’Adoration des mages, à la Grande-Croix de la passion, actuellement exposée au Palais de Tokyo, et à deux angelots en bois polychrome, les Amis de l’église Saint-Étienne espèrent réussir leur nouveau défi.
NR, Indre, 08/04, p.15

(Vendome) Le bourdon au cœur de l’accord de mécénat

Le président de la Société archéologique Bernard Diry n’a pas manqué de souligner la symbolique de cette signature dans la salle des actes de l’hôtel de ville. «C’est sous les auspices des grandes figures vendômoises qui sont représentés sur les tableaux que nous établissons notre volonté commune de rendre sa voix à “Antoine”.» Le chantier de restauration du bourdon consiste à raccrocher son battant qui s’était détaché il y a une quinzaine d’années. Une opération chiffrée à 75.000 € à laquelle participent la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) pour 23.236 €, le conseil départemental du Loir-et-Cher pour 10.288 € et la Ville de Vendôme pour 9.200 €. Dans le budget prévisionnel, l’association et les élus visent donc des dons à hauteur de 32.276 €. «Cette restauration annonce d’autres mises en valeur du  patrimoine pour lesquelles nous ferons aussi appel à du mécénat. L’initiative de création d’un chemin de lumière est d’ailleurs en cours d’élaboration», annonçait le maire Pascal Brindeau.
Nr, Loir et Cher, 08/04, p.20

Quel avenir pour l’église Saint-Calais à Meslay ?

Vendredi soir, une partie du conseil municipal était réunie autour de Pierre Louis Denizot, architecte vendômois réputé pour son implication et sa connaissance fine du patrimoine, au sujet de l’église Saint-Calais, à Meslay. Jacky Foussard, maire, rappelle les motifs d’inquiétude : «Nous avons constaté le glissement de certaines pierres des corniches. Un glissement durable, mais qui avait pris des proportions inquiétantes. Ce constat nous a conduits à solliciter Pierre Louis Denizot pour un diagnostic et, le cas échéant, une intervention.» Si le constat du déplacement des pierres fut rapide, le tout était d’en trouver l’origine. «Le travail de la charpente de 1734 a été accentué par la création de la seconde voûte qui accroît, par le poids, les forces exercées. Aujourd’hui, l’ensemble de la charpente présente des dislocations. Ce qui explique le glissement des pierres de corniche, c’est le remplacement de l’entrait classique entre deux murs par des tenons, enfoncés de 40 cm dans les pierres, pour maintenir les sablières. Le jeu de la  charpente s’est ainsi manifesté.»
Nr, Loir et Cher, 08/04, p.20

(Loches) Restauration des remparts : jouer groupés

Depuis des années, la restauration des remparts de Loches n’avance pas. Et ce, malgré le verdict des experts concluant à un état «préoccupant» des murailles qui appartiennent en majeure partie au Département, à l’État et à la Ville. Les querelles politiques ont pu peser dans cet immobilisme. A ce propos, on verra sous peu si le basculement du Département dans le  camp de la municipalité de Loches marque la fin du blocage. Au-delà de la politique, il y a le coût colossal de cette restauration évalué  à 12,7 millions d’euros. Surtout, le flou persistant autour de la propriété de plusieurs portions de remparts n’arrange pas les choses.  Une commission réunissant les trois propriétaires publics a été mise sur pied par le préfet au printemps 2014 dans le but de tirer cet aspect au clair. Mais, selon nos informations, elle patine quelque peu, ne parvenant pas réellement à déterminer l’identité des propriétaires pour les tronçons non attribués. Du coup, une autre stratégie fait peu à peu son chemin dans les esprits des protagonistes de ce dossier. Un établissement public regroupant tous les propriétaires connus pourrait voir le jour.
Nr, Indre et LoireE, 08/04, p.16

(savigny-en-véron) Une souscription pour sauver l’église

Le conseil municipal a pris la décision de procéder à la rénovation de l’église Saint-Michel. «Que ce soit des services de l’État ou des collectivités territoriales, il n’existe plus de financement spécifique pour aider ce type de rénovation. C’est pourquoi, en partenariat avec
la Fondation du patrimoine, nous avons fait le choix de lancer une souscription», explique le maire, Laurent Chauvelin. Le coût des travaux s’élève à 430.000 € HT. Les interventions permettront la restauration de l’ensemble du clocher, ainsi que des maçonneries de la façade ouest et des travées nord et sud. Le beffroi et les deux cloches seront restaurés, tandis qu’une rampe d’accès pour handicapés sera aménagée.
Nr, Indre et LoireW, 08/04, p.18

(Briare) La saison fluviale va mener grand train

Sous les yeux du public, des bateaux de plaisance vont se regrouper sur le pont-canal de Briare, demain. Initiée par l’Entente des canaux du Centre, qui regroupe vingt six associations de navigation fluviale, la manifestation est destinée à célébrer l’ouverture de la saison fluviale. Elle est coorganisée par le port de Briare (géré par Suez environnement) et le Fluvial club de Briare, avec le soutien des Voies navigables de France ( VNF), de la mairie, des loueurs professionnels, ainsi que d’autres associations du monde fluvial… Pas de meilleur symbole qu’un pont-canal sur un fleuve pour rassembler les énergies des différents acteurs de la navigation fluviale, du tourisme et des associations qui y sont rattachées.
RC, Loiret, 09/04, p.19

Les murs dévoilent leurs mystères

La visite guidée organisée au château de Sully en ce dimanche de Pâques était insolite, les portes et pièces du château habituellement fermées aux visiteurs étant ouverts pour l’occasion. Dix neuf personnes ont eu le privilège de découvrir les entrailles du château, des histoires et anecdotes inédites. Le rendez vous est donné à quinze heures précise sous le porche du château par le guide Pierre  Laforest. Munis de lampes de poche et de recommandations, les visiteurs démarrent l’aventure par une remontée dans le temps : le guide explique l’architecture du château au XVe siècle, puis les phases de destructions et de constructions qui ont marqué son histoire. Chaque premier dimanche du mois, les visiteurs ont accès aux pièces fermées
RC, Loiret, 09/04, p.21

(Bourges) Coup de jeune à la prison du Bordiot

C’est sans doute le chantier le plus discret de la ville, mais pas le moins important. D’ici la fin 2015, la maison d’arrêt du Bordiot, mise en ser vice en 1896, sera dotée d’un gymnase tout neuf et de nouvelles cours de promenade. Puis d’un quartier disciplinaire, d’un  quartier d’isolement et d’un système de désenfumage. Pour trois millions d’euros, l’une des prisons les plus célèbres de France, grâce à son fronton classé et, plus encore, au Franciscain de Bourges, va subir une vraie cure de jouvence. «Elle avait connu, voici trois ans, des travaux de sécurisation, explique Yanic Euranie, la directrice depuis novembre dernier. Mais ce chantier là est bien plus important.»
Le Berry, 09/04, p.8

(Chartres) Coup de projecteur sur le style gothique

Un colloque international est organisé, les vendredi 29 et samedi 30 mai, au cinéma des Enfants du paradis. Organisé en partenariat avec la Direction régionale des affaires culturelles et le Centre international du vitrail (CIV ), il aura pour thème l’architecture gothique. Jean-François Lagier, directeur du CIV, explique : «Des universitaires du monde entier feront part de leurs recherches, dans un langage accessible au grand public». Les spécialistes français, anglais, italiens, américains et japonais montreront la diversité des recherches menées sur l’architecture gothique depuis trois siècles.
L'Echo, 09/04, p.5

(Villedieu-sur-Indre) Château de Villedieu : le bras de fer continue

Dans les communs du château de Villedieu-sur-Indre, l’agitation est moindre qu’il y a quelques mois. Mais «les travaux se poursuivent, assure Paul-Emmanuel Thore.Une toiture a été restaurée, il n’y a pas longtemps ; on a aussi refait de nombreuses vitres, des peintures et l’électricité dans plusieurs pièces». Son projet serait de faire de ces lieux, abandonnés depuis des années, un «musée d’histoire locale». Mais il est au point mort. «Avec cette procédure, on n’a pas avancé.» Cette procédure a été intentée par Opus Development Corporation, société canadienne qui, en 2004, a racheté le château à la famille Guillon. En septembre 2014, un juge des référés de Châteauroux lui a donné raison et a ordonné l’expulsion de l’occupant et ses amis. L’affaire a été étudiée, mardi,  par la chambre civile de la cour d’appel de Bourges. Paul-Emmanuel Thore compte sur le droit français et la «prescription acquisitive abrégée», mode d’acquisition qui veut qu’au bout de dix ans d’occupation d’un lieu, on peut revendiquer en être le propriétaire. A moins que quelqu’un ne se manifeste comme tel.
NR, Indre, 09/04, p.4

(Vendome) Une année pour renouer avec la Renaissance

Dans les rues de la ville, l’époque de la Renaissance se devine. «L’objectif de cette exposition était de montrer ce qui avait été réalisé à cette époque », détaille ainsi Laurence Guilbaud, conservateur du musée de Vendôme. En effet, les éléments marquants de la Renaissance à Vendôme ne sont pas ceux qui se montrent en premier au visiteur. «La Renaissance se découvre lorsqu’on prend soin d’étudier les bâtiments, avec les bons guides », explique Francis Hémon, vice-président de la communauté de communes en charge de la culture. Et, pour cause, certains des éléments marquants ont aujourd’hui été détruits comme l’église Saint-Martin. «On retrouve les détails du porche de l’église grâce à un dessin de Gervais Launay tandis que le dais exposé laisse voir, par exemple, des balustres typiques de la Renaissance.» Après l’exposition consacrée au quartier détruit lors de la Seconde Guerre mondiale, le Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (Ciap) de Vendôme se penche de nouveau sur les caractéristiques cachées ou disparues de la ville. En pièce maîtresse de l’exposition, le tombeau de Marie de Luxembourg et de son époux François de Bourbon.
+ Une exposition qui change
Nr, Loir et Cher, 09/04, p.19

(Ciran) Une souscription pour les vitraux de l’église

Les vitraux de l’église Saint- Symphorien de Ciran sont fragilisés au niveau des plombs et de leur pose dans les embrasures. Il devient urgent de procéder au nettoyage, à la remise en état et en sécurité de ces vitraux. De plus, il apparaît que les soubassements de l’église nécessitent des travaux de restauration. Devant ces problèmes une réunion en présence des élus et  de particuliers, s’est déroulée le 3 avril. Jean-Paul Gaultier, le maire, déclarait : «A l’initiative de Colette Jourdanne, conseillère municipale, nous allons lancer une campagne de souscription auprès des particuliers et des entreprises».
Nr, Indre et LoireE, 09/04, p.22

Patrimoine : Orléans récompensé

Vendredi à l'hôtel Dupanloup, Olivier Carré, adjoint au maire d’Orléans, a reçu le prix départemental du concours «Les rubans du patrimoine», attribué à la ville d'Orléans, des mains de Claude Joly, délégué régional de la Fondation du patrimoine. Une initiative de la Fédération Française du Bâtiment et de l'Association des maires de France. La FFB du Loiret a souligné l'importance et la qualité de la politique de revalorisation du centre historique d'Orléans, notamment de plusieurs ravalements de façades effectués en 2013, et de la restauration de deux bâtiments d'exception : l'hôtel Dupanloup et le château de La Motte Sanguin. (intégral)
RC, Orleans, 11/04

(Puiseaux) Jean-Claude Pompée médaillé

«J’oserais dire que JeanClaude Pompée fait partie de notre patrimoine culturel», a déclaré Michel Touraine, maire de Puiseaux, lors de la remise de la médaille du tourisme. Cette distinction est décernée aux personnes qui, par leur contribution bénévole ou leur valeur professionnelle, ont efficacement contribué au développement du tourisme et des activités qui s’y rattachent. Jean-Claude Pompée est de celles là. Élu conseiller municipal, puis premier adjoint de Christian Blumenfeld en 1994, il oeuvre pour mettre en valeur le patrimoine local, participant à l’installation d’un orgue sur la tribune de grand portail de l’église Notre Dame, à la restauration de la balustrade composée de 12 panneaux dédiés aux apôtres, et en ouvrant le clocher aux visites via un parcours sécurisé. Le clocher tors, fleuron de la commune, l’amène à créer l’association nationale puis européenne des Clochers tors.
RC, Loiret, 11/04, p.13

(Châteauneuf sur Cher) Nouvelle souscription pour la basilique

La municipalité de Châteauneuf sur Cher a reçu, dernièrement, François Gréau, délégué départemental de la Fondation du patrimoine, ainsi que les membres des Amis de la basilique de Notre Dame des enfants. Objectif ? Signer une convention qui permettrait de lancer une souscription publique dans le cadre de la réfection des verrières de la basilique. Cette fondation, qui est déjà intervenue en 2008 pour aider à la réfection de la rosace, pourrait apporter la somme de 70.000 euros, soit 5% du montant des travaux, à condition que les Amis de la basilique obtiennent dans le cadre de cette souscription la somme de 5.400 euros en dons.
Le Berry, 11/04, p.29

(Chartres) Les faces cachées de la ville dévoilées

Quel lien unit l’Harpagon de Molière, l’ennemi public numéro 1 Jacques Mesrine, la star d’Hollywood Steve McQueen, le roi Henri IV, le chasseur de bison Buffalo Bill et la journaliste Mireille Dumas ? Réponse : tous, à une période de leur vie, ont marqué de leur empreinte la ville de Chartres. Mais, à chaque fois, la petite histoire est restée sur le palier de la grande, et l’influence de Chartres, dans le destin de ces figures, s’est perdue. Tous ces mystères, ces secrets, ces arcanes de la ville de Chartres, sont compilés dans un hors série, Chartres secret, réalisé par la rédaction de L’Écho Républicain, et proposé, à partir d’aujourd’hui, au prix de 7,50 €, chez votre marchand de journaux.
+ La flèche romane de la cathédrale est une aiguille creuse de 40m!
L'Echo, 11/04, p.2/3

(Chambord) Une convention avec l’Inde

Le domaine national de Chambord (Loir et Cher) a signé, jeudi, une convention avec la City Palace d’Udaipur, en Inde, gérée par la Maharana of mewar charitable fondation. L’objectif de cette coopération inédite est de développer les échanges entre les châteaux de la vallée de la Loire et les palais du Rajasthan, en Inde. Au programme : la promotion du domaine de Chambord en Inde et du Rajasthan en France, le développement du tourisme dans ces deux zones, le partage de connaissance dans le domaine de la conservation et l’organisation d’événements communs (intégral)
Le Berry, 12/04

(Bourges) Sécuriser, consolider, avancer

Propriétaire du bâtiment depuis 1932 suite à un acte de donation, le centre hospitalier JacquesCoeur est sur tous les fronts depuis l’incendie qui a frappé, la semaine dernière, la maison de la Forestine. Objectif : mettre en place des mesures de protection et de sécurisation des biens et des personnes, et de prévention de chutes d’éléments qui pourraient se désolidariser du bâtiment. «Très concrètement nous avons déjà réalisé, avec l’aide d’une entreprise spécialisée, une partie des travaux de sécurisation, précise Agnès Cornillault, directrice de l’hôpital. Les ardoises de la couverture qui étaient susceptibles de tomber du toit ont été enlevées. Et à partir de la semaine prochaine, un échafaudage va être monté contre les parois du bâtiment de façon à installer une couverture le long des parois et un système dit parapluie pour éviter les chutes d’éléments se désolidarisant de la structure.»
Le Berry, 12/04, p.8

Ce bleu de Chartres qui défie le temps

On appelle ce bleu cobalt à la teinte d’azur infini bleu de Chartres, car il irradie la plupart des verreries de la cathédrale beauceronne depuis le XIIIe siècle. Mais ce coloris très particulier, quasiment inaltérable au fil des siècles, se retrouve ailleurs, dans d’autres cathédrales, comme à Poitiers ( Vienne) ou au Mans (Sarthe). La profondeur et la qualité de ce bleu, observé sur les vitraux chartrains, sont telles qu’elles occultent un peu les verrières des autres cathédrales. Un label est né, qui va traverser les siècles jusqu’à nos jours. Son caractère translucide est un prisme qui laisse entrer la lumière comme aucune autre teinte. Avant la restauration des vitraux de la façade, qui a permis de rendre de l’éclat aux autres coloris du verre poli, le bleu de Chartres, beaucoup mieux conservé que les autres couleurs, éclatait littéralement, illuminant des compositions aux teintes un peu passées sous l’effet des siècles.
L'Echo, 12/04, p.22

(Blois) Les Amis du château cherchent des mécènes

Association de loi 1901, à but non-lucratif, qui propose et organise des évènements, sorties et voyages culturels, Les Amis du château et des musées de Blois ont été créés en 1983. Sa présidente, Marie-Laure Duclo, lors de l’assemblée générale qui s’est tenue mardi 31 mars, au château, a rappelé son rôle d’aide à la mise en valeur du rôle culturel du château de Blois par des manifestations diverses et sa contribution à l’enrichissement des collections du château et des musées. L’association compte à ce jour près de 700 membres, qui sont aussi des mécènes. Après avoir exposé un bilan positif de l’année écoulée, Marie-Laure Duclo a annoncé qu’elle cédait sa place de présidente à Jacques Torset. Il sera d’ailleurs élu dès le lendemain. Le budget alloué au mécénat qui s’élève à 15.000 € pour 2015 a été adopté. Le mécénat est un point que souhaite développer le nouveau président, Jacques Torset.
NR, Loir et Cher, 11/04, p.12

(Sainte Maure) Le centre historique a son circuit

Vendredi 3 avril, le maire Michel Champigny, en présence des Amis du Patrimoine dont la présidente Maryvonne Guitton et le secrétaire Robert Heitz, d’adjoints et conseillers municipaux, de la représentante de l’office de tourisme du Richelais, de Christian Barillet, de propriétaires de chambres d’hôtes, a inauguré le circuit touristique «Découverte du centre ville historique» de Sainte-Maure de Touraine. Treize bornes Initié en 2013, ce projet qui incitera et facilitera la visite historique de la cité, a demandé beaucoup de travail à l’équipe en charge de cette initiative municipale. Ce travail de longue haleine des services  municipaux a nécessité des recherches historiques (lecture de nombreux documents) et des recherches iconographiques illustrant les bornes indicatives, avec la collaboration des Amis du Patrimoine.
Nr, Indre et LoireE, 11/04, p.24

(Villandry) Au château, la salle François-Ier inaugurée

L’événement était d’importance et le public s’est déplacé en nombre pour l’inauguration de la salle François-Ier au château de Villandry. 25 janvier 1515 François Ier est couronné roi de France, cinq siècles plus tard il est mis à l’honneur dans vingt et un sites historiques du Val de Loire. Pour Henri Carvallo, «Villandry, qui a accueilli la visite du roi le 22 janvier 1536, ne pouvait que
s’associer à l’hommage unanime que toute une région lui rend». Ainsi, après plusieurs mois de travaux, la salle François-Ier du donjon prend vie.
Nr, Indre et Loire, 12/04, p.8

(Chateauroux) L’office de tourisme reprend ses visites guidées, d’avril à juin : “ Si Châteauroux m’était contée ”

Après vingt années passées dans la cité castelroussine, est-il toujours possible d’avoir un oeil neuf sur un décor si familier au quotidien ? Pour s’assurer que nous ne sommes pas encore atteints de cécité historique, nous avons suivi, hier, Sébastien Roy,
chargé de la première visite guidée de la saison de l’Office de tourisme Châteauroux Sud-Berry. «Si nous sommes venus, c’est que l’on ne sait pas tout», résument avec modestie Brigitte et Serge, nouveaux Castelroussins débarqués du Limousin. Le jeune Richard, qui habite depuis deux ans à Châteauroux, l’avoue : «Je ne me suis jamais arrêté pour visiter les monuments. C’est Sophie, de l’office de tourisme, qui m’a convaincu de venir.» Il y a aussi Bénédicte, qui arrive du Cher : «Pour mon travail, il n’est pas possible de ne pas connaître la ville.»
Nr, Indre, 12/04, p.5

(Orléans) PATRIMOINE ET MUSIQUE « Vocalises ornithologiques » dans le centre ancien

Dans le cadre de la manifestation « Patrimoine et musique » proposée par le label Ville d’art et d’histoire, Pauline Marton propose un joli rendez-vous intitulé « Vocalises ornithologiques », aujourd’hui.
RC, Orléans, 10/04, p.11

(Bonneval) La chapelle Saint Mandé restauré

Commandée par la Ville de Bonneval, avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC), la restauration de ce tableau, daté du XVIIIe siècle, a été confiée à Karine Hautefort. L’œuvre restera plusieurs mois dans l’atelier tourangeau de la restauratrice avant de retrouver sa place sous le buffet d’orgue. La Commune déboursera 16.062 € pour cette restauration qui bénéficie de subventions de la DRAC ( 5 336€ ) e t du Fonds d'aide aux communes (4.017 €). 2.378 € seront encore nécessaires pour  l’encadrement.
Le Berry, 09/04, p.8

(Gargilesse) Vue artistique et guerre de Cent Ans

La Fédération des chemins de la guerre de Cent Ans et l’Académie du Centre organisent leur deuxième journée d’étude, samedi.Le thème de ce rendez-vous porte sur les arts à l’époque de la guerre de Cent Ans. Réflexion originale s’il en est, il s’agit bien pour les historiens et professionnels   du patrimoine de démontrer que la vie artistique ne s’est pas arrêtée au cours de cette longue période. Le mécénat, la protection des princes, les influences extérieures ou encore les innovations techniques, ont contribué à l’épanouissement des arts et à la circulation des artistes.
NR, Indre, 10/04, p.5

(Joué-Les-Tours) Un patrimoine à réhabiliter : le château des Bretonnières, avec son parc, le bois et le lac

Le château des Bretonnières, est un bel atout sur lequel la commune ne peut compter pour l’instant, faute de gros travaux de réhabilitation. C'est un peu comme les chaussures neuves : vu de dehors, ça fait bien, mais quand on est dedans, ça fait mal ! Cette belle bâtisse du XIXe siècle, avec son vaste domaine, a été acquise par la Ville de Joué-lès-Tours il y a 40  ans, mais nombre de pièces sont encore « dans leur jus », comme disent les spécialistes. Pourtant, il suffit de jeter un coup d’œil par la fenêtre du premier étage pour mesurer l’ampleur des possibilités : vue imprenable sur la grande pelouse et,  au-delà des grilles, sur l’allée Michel-Serin, qui partage le bois en deux. A droite, le lac.
+ L'avenir en quatre questions.
NR, Indre, 09/04, p.4

(Blois) Dans les pas d’Auguste et Albert Poulain

Samedi après-midi, en prélude des visites organisées cette saison par le service Ville d’art et d’histoire de Blois, c’est le quartier de l’ancienne chocolaterie Poulain qui était à découvrir. Ce quartier garde encore les traces des premiers ateliers de production faits de briques et de pierre, rue de la Chocolaterie. Au milieu, le château de la Villette qui abrita le célèbre chocolatier (désormais en partie inoccupé) témoigne de sa réussite.
Nr, Loir et Cher, N 10/04, p.15

(Tours) Dans la soie et la bonne humeur

Tout le monde sait que Tours était une ville de soyeux mais, même si la mémoire reste vivante, une association perpétue les traditions. L’association Tours, cité de la soie regroupe depuis plusieurs années plus de cent cinquante adhérents dont certains vivent à l’étranger. La vice-présidente, Emilie Ballon, étudiante, prépare même une thèse sur le sujet . «Tous les passionnés des textiles, tous ceux qui sont intéressés par l’histoire de la ville peuvent nous rejoindre. Le textile, on en parle peu alors que c’est quelque chose de très quotidien. Les métiers d’art sont reconnus à leur juste valeur mais on les enferme dans le patrimoine. Or, c'est vivant», précise la présidente, Antoinette Roze, dirigeante de la Soierie Roze. Dans la mesure de ses possibilités financières, l’association acquiert dans de prestigieuses ventes des tissus anciens qui enrichissent son patrimoine et qui sont parfois exposés comme en 2014 lors des Journées du Patrimoine, à Veretz.
Nr, Indre et LoireT, 15/04, p.11

(Tours) Se laisser conter cet été le Pays Loire-Touraine

C’est un programme à plusieurs facettes, un menu attendu chaque année par les amateurs de patrimoine, d’architecture ou d’histoire. Le Pays Loire-Touraine vient de présenter son programme d’animations pour la saison 2015. C’est Laurianne Keil, responsable du Pays d’art et d’histoire au Pays Loire-Touraine, qui a découvert cette collection printemps-été 2015 en présence de Claude Courgeau, le président du Pays, de Richard Chatellier, maire de Nazelles-Négron où se déroulait cette présentation, et de nombreux élus et responsables associatifs de la région. Sur le territoire du Pays (Amboise, Bléré, Château-Renault, Montlouis, Vouvray), une quarantaine de rendez-vous sont proposés entre les 19 avril et 29 août, sans oublier les Journées européennes du patrimoine qui se dérouleront les 19 et 20 septembre.
Nr, Indre et LoireT, 17/04, p.22

(Loches) François 1er et Charles Quint

Loches ne peut échapper au 500e anniversaire de l’accession de François Ier à la tête du royaume de France. La ville a été le lieu d’une rencontre internationale, une sorte de G2 de la Renaissance,  entre le roi de France et Charles Quint, empereur du Saint Empire romain germanique, en décembre 1539. «Cette rencontre entre ces deux chefs d’État est rare, car à l’époque Loches est en périphérie des centres du pouvoir du XVIe siècle. Ces deux souverains étaient les deux superpuissances de l’époque», souligne Jean-François Thull, directeur de la cité royale. Samedi, à Loches, s’ouvre une nouvelle exposition, «Le Roi et l’Empereur», au logis royal et au donjon.
Nr, Indre et LoireT, 17/04, p.30

(Chinon) Un pan de coteau s’effondre au pied de Sainte-Radegonde

Un trou de dix mètres de large sur sept de haut. Des blocs de pierre pesant jusqu’à dix tonnes, cassés sur le chemin qui longe le coteau. Des passages interdits aux piétons en aval et en amont. C’est le sentiment d’être passé à un cheveu d’une catastrophe qui prévalait hier, au pied de la chapelle Sainte-Radegonde. L’éboulement s’est vraisemblablement déroulé dans la nuit de mardi à mercredi, un voisin donnant l’alerte mercredi matin, vers 6h30. La faute à des «fractures de décompression anciennes», pointent les experts du syndicat Cavités 37, diligentés par la Ville. D’autant plus inquiétant qu’il s’en est fallu de peu pour que cet amas de pierre n’écorne la chapelle mitoyenne en tombant. L’éboulis a d’ailleurs mis à découvert la voûte de la crypte, où sont rassemblées des reliques du XIVe siècle. Face aux nombreuses fissures constatées, «il faudra rapidement étayer l’arche de la  crypte pour la sauver», prévoit Jean-Vincent Boussiquet, adjoint au maire de Chinon, dépêché sur place. Un chantier qui reste soumis à l’aval de la Direction régionale des affaires culturelles.
Nr, Indre et LoireT, 17/04, p.33

(Chatillon Coligny) Une conférence pour restaurer la table

Le week end dernier, les Amis du musée de Châtillon-Coligny s’étaient réunis au foyer club de la commune à l’occasion de la première conférence pour la souscription de la restauration de la table des connectables. Daniel Depaux retraçait la longue lignée des Montmorency, 400 ans d’histoire de France, grande famille de la noblesse qui a donné six connectables que Charles-Emmanuel-Sigismond de Montmorency-Luxembourg a choisi de faire représenter sur le plateau d’une table d’apparat. Le plateau de cette table, en chêne plaqué d’ébène reposant sur quatre pieds torsadés, demande une restauration. Table, rachetée à l’espace Drouot lors d’une vente aux enchères, qui est une pièce maîtresse du musée.
RC, Loiret, 16/04, p.17

(Bourges) Accessible, mais pas aux artistes

Au total, la ville de Bourges aura investi près de 600.000 euros de travaux afin que le théâtre réponde aussi bien aux normes de sécurité (c’était la première des priorités) qu’à celles d’accessibilité aux handicapés comme l’y oblige la loi de 2005. Un effort salué par tous mais qui souffre chez quelques uns d’un léger bémol. En effet, certains estiment que la mairie aurait pu faire d’une pierre deux coups en rendant la scène également accessible aux PMR et de fait en l’ouvrant aux artistes handicapés. Selon ces derniers, «cela aurait été possible si l’ascenseur avait été installé de l’autre côté de la scène». Une alternative qui aurait coûté, selon la même source, «pas plus de 20.000 euros supplémentaires». Des chiffres immédiatement réfutés par Philippe Mousny.
Le Berry, 16/04, p.9

(Chartres) « Un mécénat pour restaurer l’église »

Jean-Paul Belloy n’en démord pas : «L’église Saint Pierre mérite autant d’attention que la cathédrale. Notre but est d’accompagner son développement comme sa notoriété.» Le président du Comité Saint-Pierre, réuni en assemblée générale, évoque les champs d’action mis en place pour valor iser l’édifice : «En plus des visites guidées, des concerts et de la publication de cartes postales, une exposition de panneaux a permis de découvrir la richesse de l’église.» D’autres projets sont envisagés : «Nous pensons éditer un livret qui réunira nos productions sur l’église SaintPierre. Parmi les grands projets, nous examinons aussi la possibilité de lancer un mécénat pour restaurer le lieu, notamment les verrières.»
L'Echo, 16/04, p.8

(Thiron Gardais) La réalité augmentée en fonction en juin

Une réunion du comité de pilotage du groupe d'action locale LEADER Grand Perche s’est tenue, lundi, réunissant JeanPierre Gérondeau, nouvellement réélu à la présidence du Parc naturel régional du Perche, Denis Guillemin, directeur du Parc, Franceline Forterre-Chapard, sous préfet, Jérôme Clément, directeur du SIAP (Pays Perche 28), JeanPierre Jallot, président du Pays Perche Eure et Loir et Jean Claude Lenoir, président du Pays Perche Ornais, à la Grange aux dîmes de Thiron Gardais. LEADER est en charge de la répartition des fonds européens dans les projets publics ou privés d'action locale. Ils étaient reçus par le président de la Communauté de communes et viceprésident du Conseil départemental, Luc Lamirault qui leur a présenté le projet de réalisation d’images en réalité augmentée sur le site de l'abbaye de Thiron Gardais.
L'Echo, 16/04, p;26

(Tours) Saint-Martin reconstruite grâce aux Tourangeaux

Pour la souscription de la basilique, c’est l’histoire qui se répète puisque l’édifice entier a été construit grâce à une souscription publique, constate Jean-Luc Porhel, responsable des archives municipales de Tours, en faisant allusion à celle lancée le mardi 10 mars dernier par la municipalité et la Fondation du Patrimoine pour la rénovation du dôme et de la statue de la basilique Saint-Martin à Tours. Cette souscription en ligne, qui s’élève à 1,709 million d’euros (M€) HT, et dont le compteur actuel est de 63.980 € prévoit la restauration du dôme et de la statue ainsi que le traitement des fissures structurelles, celui de l’humidité de la crypte où repose le saint, ainsi que les travaux de sécurité incendie.
+ ••• De la grande à la petite tour Charlemagne
Nr, Indre et LoireT, 16/04, p.12

Pays d’art et d’histoire en expositions

Dans le cadre du lancement de son programme d’animation printemps-été 2015, le Pays d’art et d’histoire Loire
Touraine, a présenté ce weekend, dans la grange dîmière de Négron, trois expositions sur le patrimoine.
Nr, Indre et LoireE, 16/04, p.21

Source : lemonde.fr

Mona Lisa et moi

Il y aurait donc d’un côté ceux qui ­consomment les images et de l’autre ceux qui décident de leur sens, autrement dit ceux qui obéissent et ceux qui ­savent ? A relire les propos virulents tenus en 2012 par Guy Cogeval, président du Musée d’Orsay, qui allait jusqu’à qualifier de « barbarie » la présence de plus en plus affirmée des outils numériques – à commencer par les portables – dans l’espace muséal, difficile de ne pas voir dans le bannissement du selfie une dimension idéologique.
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La Grotte Chauvet

Source : lefigaro.fr

François Hollande inaugure la réplique de la grotte Chauvet

François Hollande est attendu ce vendredi matin en Ardèche. Le président de la République doit inaugurer la réplique de la grotte Chauvet, à Vallon-Pont d'Arc. Il aura le privilège de la visiter avant son ouverture officielle au public, prévue le samedi 25 avril.
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Chauvet : les prouesses techniques de la réplique

Difficile de comparer la vraie grotte avec la reconstitution que visite aujourd'hui le président de la République. Mais un travail extraordinaire a été fait, sous la houlette de Jean-Michel Geneste, directeur de l'équipe scientifique de la grotte ornée du Pont-d'Arc, pour faire de ce fac-similé beaucoup plus qu'un simple lieu d'exposition.
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Grotte Chauvet : le combat des inventeurs

Vingt ans que la grotte Chauvet fait l'émerveillement du monde. Vingt aussi qu'elle est, en coulisses, le théâtre de revanches bileuses et de batailles juridiques convulsionnaires. À la veille de l'ouverture de la réplique, les hostilités sont à leur paroxysme.
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Source : lefigaro.fr

Le squelette de Waterloo dévoile son nom

Aurait-on enfin réussi à identifier un soldat 200 ans après la Bataille de Waterloo? Gareth Glover, un historien anglais spécialiste de la bataille, affirme que le squelette retrouvé sur le site du champ de bataille serait bien allemand, comme l'avait, en 2013 déjà, supposé Yves Vander Cruysen, échevin de la Culture à Waterloo.
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Rallye-selfie : le patrimoine est dans la boîte !

Source : lanouvellerepublique.fr

Allier jeu et découverte du patrimoine, c’est le pari réussi de l’Écomusée qui organisait mercredi son premier “ rallye-selfie ” dans les rues de la ville.

Le concept a été imaginé par Maud Rautureau, animatrice à l'Écomusée du Montmorillonnais. « L'idée m'est venue par hasard, explique la jeune femme, alors que je participais aux Rencontres nationales du numérique à Poitiers, en novembre dernier.
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LE NUMÉRIQUE INVESTIT LE MUDO-MUSÉE DE L'OISE

Source : oise.fr

La réouverture du MUDO-Musée de l’Oise, le 25 janvier 2015, a été l’occasion pour ce dernier de faire un grand pas dans la modernité. En témoigne la mise en place de plusieurs outils numériques, qui ont pour objectif principal d’ouvrir la culture à un public le plus large possible. Zoom sur ces innovations.
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Culture : vers une crise durable ?

Baisse des dotations, nouvelles répartitions des compétences, les politiques culturelles sont touchées de plein fouet par des changements nouveaux. Et ce n’est pas fini ! Un point semble faire consensus : une nécessaire évolution des politiques culturelles en tant que telles.
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Le smartphone au coeur du musée du futur

Source : lesechos.fr

Face à la concurrence du virtuel, les musées s'appuieront de plus en plus sur les outils mobiles pour personnalisation des visites. La cocréation de contenus est aussi à l'étude.

En 2016, en entrant dans le Centre international de l'art pariétal Montignac-Lascaux (Dordogne), le visiteur pénétrera dans ce qui pourrait préfigurer le musée du futur. A quelques kilomètres de Lascaux 2 et ses fac-similés de la célèbre grotte, mais à des années lumière en matière de muséologie.
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Source : club-innovation-culture.fr

Le « Ticket Mécène » de Bordeaux essaime au musée des Beaux Arts de Chartres

Le lundi 2 mars 2015, le conseil municipal de Bordeaux a voté la concession du droit d’usage de la marque Ticket mécène à la Ville de Chartres qui en avait fait la demande. Ce dispositif, initié par le CAPC de Bordeaux en 2013 et renouvelé en 2014, propose au public de faire un don pour l’acquisition d’une œuvre lors de l’achat de son ticket d’entrée au musée.
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Source : club-innovation-culture.fr

La SNCF a lancé Hapi, une application mobile pour découvrir le patrimoine francilien

Le mercredi 4 mars 2015, la SNCF et le Stif ont lancé Hapi, une nouvelle application mobile destinée à faire découvrir les « Histoires et anecdotes du patrimoine en Ile-de-France ». De manière décalée et interactive, le train ou le RER révèlent aux yeux des voyageurs les pépites de l’histoire et du patrimoine.
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Source : http://patrimoine-environnement.fr

2015 sera l’année européenne du Patrimoine Industriel et Technique

Lancé le 6 mars 2015, dans la salle du Comité des Régions de l’Union européenne, l’année du Patrimoine Industriel et Technique a pour objectif de célébrer toutes les associations qui sont à la pointe des initiatives et des développements concernant ce patrimoine et sans lesquelles, de nombreux sites et monuments (dont on vante la conservation aujourd’hui) auraient disparu pour toujours (et continueraient de disparaître).
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Source : club-innovation-culture.fr

L’innovation dans les musées et lieux de patrimoine en France et dans le Monde: cahier des tendances 2014

Pour la troisième année, à l’occasion de ses Rencontres Nationales Culture & Innovation(s), le Clic France analyse les principales innovations numériques dans les musées et lieux de patrimoine, en France et dans le Monde. Voici le cahier des tendances pour l’année 2014.
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Source : http://interferences.hypotheses.org/

Croiser les expertises pour une valorisation des collections universitaires : apport à la recherche

Le patrimoine scientifique de l’université de Montpellier est constitué de collections originales et diverses, significatives d’une histoire scientifique d’envergure. Néanmoins, rarement exposées faute de lieu dédié, ces dernières sont très largement méconnues et nécessitent que des actions de valorisations soient engagées.
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Source : http://culture-communication.fr/

Quel intérêt d’un MOOC pour une institution culturelle ?

Vous avez peut-être suivi le partenariat qu’Orange, grande entreprise de télécommunications française, a développé depuis octobre dernier avec la Réunion des musées nationaux – Grand Palais (Rmn-GP) autour d’un cours en ligne ouvert et massif (ou MOOC – Massive Open Online Course) sur « L’impressionnisme, du scandale à la consécration ».
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Source : http://www.rts.ch/

Des musées au service des personnes atteintes de démence due à l'âge

Le Centre de gérontologie de l'Université de Zurich a mené un projet pilote dans les musées suisses en confrontant des personnes atteintes de démence due à l'âge à des tableaux de maîtres.
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Source : museums.ch

APPLICATION MOBILE MUSEUMS.CH

L'application mobile de l’Association des musées suisses AMS conduit les amoureux de culture, les familles et toutes les personnes intéressées à travers tous les musées, collections et lieux d'exposition en Suisse et dans la Principauté du Liechtenstein. Son système de géolocalisation présente les expositions actuelles dans les environs.
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Source : club-innovation-culture.fr

6 musées américains testent la téléprésence pour permettre au public handicapé ou malade d’explorer leurs galeries

Le 12 mars 2015, la société de robotique et téléprésence Suitable Technologies a annoncé avoir conclu un partenariat avec 6 musées américains pour apporter des visites autoguidées aux personnes qui sont physiquement incapables de se rendre dans ces musées répartis à travers le pays. C’est une première aux Etats-Unis, mais le même robot est déjà utilisé en médiation culturelle France et ailleurs dans le monde.
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Source : lemonde.fr

Au Louvre, le paysage français s’enrichit grâce au mécénat

Vue d’Avignon, depuis la rive droite du Rhône près de Villeneuve, un tableau de 1757 de Claude-Joseph Vernet, a fait son entrée dans les collections du Louvre ce jeudi 9 avril. Cette aquisition de l’Etat, annoncée officiellement par le ministère de la culture, a été rendue possible grâce au mécénat du Groupe Axa.

Chef-d’œuvre de la peinture du XVIIIe siècle, reconnu d’intérêt patrimonial majeur par la Commission consultative des trésors nationaux, le tableau « marque un jalon essentiel dans l’histoire du paysage en France », précise le ministère. Il était conservé depuis plus de 200 ans en Grande-Bretagne.
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Source : lefigaro.fr

L'Unesco réagit après la destruction d'antiquités en Irak

Après la diffusion d'une vidéo montrant l'explosion de la cité de Nimroud, l'Organisation des Nations unies a vivement condamné cet «acte de folie» revendiqué par l'État islamique.

La directrice générale de l'Institution pour l'éducation, la science et la culture de l'ONU, Irina Bokova, s'est exprimé lundi: «Je condamne cet acte de folie destructrice, qui marque une nouvelle escalade dans l'horreur.
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Source : lefigaro.fr

Record de fréquentation au musée Picasso

Inauguré en octobre après d'importants travaux de rénovation, l'établissement parisien consacré au peintre et à ses œuvres a attiré en cinq mois plus de 400.000 visiteurs.

Le musée Picasso ne désemplit pas. En moins de cinq mois, l'institution parisienne a noté un énorme succès. Jusqu'à 400.000 visiteurs à ce jour sont allés au musée, avec des pics quotidiens de 3200 billets vendus.
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Source : leparisien.fr

Musée de l'Homme: avant la réouverture, questions ouvertes aux chercheurs

"Qu'avons nous en commun avec la jonquille?", "le corps a-t-il une date de péremption?" Le Musée de l'Homme invite les internautes à poser leurs questions à ses chercheurs à partir du 15 avril, en attendant sa réouverture.
Le Musée, en rénovation depuis six ans, ouvrira ses portes au public le 17 octobre 2015.
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Source : leparisien.fr

Claude Monet, star des enchères de printemps à New York

Six toiles du peintre Claude Monet devraient être les stars des enchères de printemps le mois prochain à New York, où la maison Sotheby's en espère jusqu'à 110 millions de dollars.

Parmi ces oeuvres figure un exemplaire des célèbres "Nymphéas", peintes à Giverny par l'artiste français. Cette toile impressionniste, estimée entre 30 et 45 millions de dollars, est détenue par un collectionneur depuis 1955, et n'a pas été vue en public depuis 1945.
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Source : latribunedelart.fr

Plan églises : Anne Hidalgo joue à David Copperfield (mais le truc se voit)

C’est un tour de magie assez audacieux que vient de tenter la mairie de Paris aujourd’hui, dans une conférence de presse consacrée au plan église « sans précédent » qui sera dédié aux édifices cultuels de la ville d’ici la fin de la mandature : faire croire qu’elle a compris l’urgence, et qu’elle met désormais les moyens nécessaires pour sauver les églises.
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Saint-Roch : une nouvelle église parisienne en danger sous l’œil indifférent d’Anne Hidalgo

Combien de temps encore les églises parisiennes, un patrimoine historique parmi les plus précieux de notre pays, vont-elles subir les conséquences de l’ignorance, du mépris et de l’indifférence de la maire de la ville, Anne Hidalgo, qui ne fait sur ce plan que poursuivre la politique désastreuse et inconsciente de son prédécesseur ?
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