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| | Revue de presse (18-24 juillet 2016) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 9:27 | |
| Musées région Centre Source : Panorama de presse de la Drac Centre“ Balzac, architecte d’intérieurs ” à SachéRecréer l’univers d’Honoré de Balzac, celui de « La Comédie humaine », sur la foi des abondantes descriptions d’intérieurs, n’est-ce pas là un rêve que chacun a caressé ? L’exposition « Balzac, architecte d’intérieurs » concrétise cette ambition de la plus belle manière qui soit. Lieu de séjours réguliers d’Honoré de Balzac de 1825 à 1848, le château de Saché entre dans la catégorie des châteaux-musées qui plus est dans celle très romanesque des châteaux de la Loire. Avec une architecture de la fin de la période médiévale, dans un site quasi intact depuis les séjours balzaciens, sa distribution intérieure est presque inchangée pour les pièces principales par rapport au temps où Balzac y résidait. NR Indre et Loire, 18/07, p.6(Orleans) Le programmiste du MOBE est à l’oeuvreLa municipalité le savait déjà : repenser en trois ans un muséum, dans son propos et dans son aspect, est un défi de taille. Mais l’objectif d’une ouverture au printemps 2019 est plus que jamais maintenu : «Je suis persuadée que fermer un an de plus ne servira pas. Ce délai serré oblige chacun à ne pas perdre de temps», estime Olivia Voisin, directrice du pôle muséal de la ville. En février, soit six mois après la fermeture au public de l’établissement, le conseil scientifique chargé d’élaborer le propos du nouveau MOBE (Muséum d’Orléans pour la Biodiversité et l’Environnement) s’installait, avec Bernard Chevassu au Louis à la présidence. «Ils continuent de travailler. Cela fonctionne très bien en terme de mobilisation et d’implication. Un module ne signifiera pas forcément une salle, mais une quinzaine de questions à aborder se sont imposées. La Loire sera la gueststar.» Grâce à la réalité augmentée, et au numérique, les concepteurs du projet aimeraient rapprocher le muséum de l’extérieur et de la nature. «Nous voulons accentuer aussi le côté sensoriel», précise Olivia Voisin. Depuis quelques semaines, une nouvelle étape dans le calendrier a été franchie. «Nous avons choisi le programmiste. Nous avons reçu une dizaine de réponses à l’appel à projets. Nous avons préféré Philippe Dangles, il est très à l’écoute des besoins de l’établissement. Il a pris la mesure du calendrier», soulignent Olivia Voisin, directrice du pôle muséal de la ville, et Nathalie Kerrien, adjointe en charge de la culture. RC Orleans, 20/07, p.10 Source : Magcentre.fr L’histoire extraordinaire de la collection de coquillages du MOBE d’OrléansArrivée début juillet d’Eure-et-Loir, cette collection de coquillages – marins, d’eau douce et terrestres – de la fin du XIXe siècle début du XXe présente des spécimens exceptionnels du monde entier, dont de possibles espèces disparues… Lire la suite : http://www.magcentre.fr/102399-lhistoire-extraordinaire-de-la-collection-de-coquillages-du-mobe-dorleans/Visite du Musée des Beaux Arts d’Orléansvoir : http://www.magcentre.fr/102422-visite-du-musee-des-beaux-arts-dorleans/(Dordives) Musée du Verre : des travaux à 200.000 €Il a surtout été question de financement et de subventions lors du conseilmunicipal de mardi, à Dordives. Parmi les demandes les plus importantes,la subvention exceptionnelle sollicitéeauprès du conseil départemental pour le renouvellement des aménagements scénographiques du Musée du verre, fortement impacté par les inondations du mois de juin. Le coût des travaux s’élèverait à plus de 200.000 € et la commune s’interrogesur la prise en charge par les assurances de l’isolation et de l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. La subvention demandée s’élève à 20% du montant des travaux. Même si le musée est désormais sous la responsabilité de l’intercommunalité, la commune de Dordives conserve la maîtrise d’œuvre. Elle espère avoir l’accord pour commencer les travaux avant d’avoir la subvention : il est nécessaire de les démarrerau plus vite car ils vont s’étaler sur une longue période. (intégral) RC Loiret, 22/07, p.14(Chinon) Une association déménage pour le bien du Carroi-MuséeLa communauté de communes entend se réapproprier le Carroi-Musée. C’est en ce sens que jeudi, lors du conseil communautaire Chinon Vienne et Loire, son président Jean-Luc Dupont a évoqué l’acquisition d’un immeuble situé à l’angle des rues Haute Saint-Maurice et Plantagenêt. Si le rapport ne saute pas immédiatement aux yeux, il est assez simple à comprendre. Ce bâtiment, propriété de l’État, abritait le Centre d’orientation et d’information (CIO) et l’Inspection de l’Éducation nationale jusqu’à l’année dernière. En l’acquérant, Jean-Luc Dupont a une idée derrière la tête : y reloger la Société d’Histoire de Chinon Vienne et Loire. «J’en avais brièvement parlé avec le maire, indique son président Frédéric de Foucaud. Nous avions d’abord reçu la proposition d’intégrer la médiathèque. Mais l’espace ne faisant que 50m², ce n’était pas possible. Il nous faut au minimum 150m² pour la bibliothèque et au moins autant pour le reste.» NR Indre et Loire, 23/07, p.22(Boynes) Musée du Safran, la résurrectionDepuis sa réouverture auv public, c’était début avril, le petit musée du Safran bénéficie d’une affluence comme il n’en avait plus connu depuis une bonne dizaine d’années. En ce début d’été, et considérant les réservations déjà prises, on estime du côté du village de Boynes (où se trouve le musée) que pas moins de soixante groupes sont venus, ou viendront prochainement, à la découverte de l’épice la plus chère du monde, le safran. La toute nouvelle présidente des lieux (depuis mai), Viviane Rousseau, n’en revient toujours pas. Elle tente pourtant d’apporter une explication à ce qui a tout d’un engouement providentiel. «L’office de tourisme de Pithiviers et l’agence de développement et de réservation touristique du Loiret y sont probablement pour beaucoup, estime t elle. Nous figurons désormais sur leurs programmes de visites au même titre que Yèvre le Châtel, le plus beau village du Loiret (et parmi les plus beaux de France, NDLR), situé à 8 kilomètres d’ici.» RC Loiret, 24/07, p.12(Montrichard) Exit le Musée du poids lourdLe Musée du poids lourd a vu le jour en 1982 à Pontlevoy, plus exactement dans quelques-uns des bâtiments de l’abbaye de Pontlevoy. Réunis en association, des passionnés de vieilles mécaniques voulaient préserver et transmettre un patrimoine qui leur est cher. Alors, ils ont uni leurs efforts pour rassembler les véhicules et créer un musée. L’obstacle le plus important étant de trouver un local suffisamment spacieux pour accueillir cette collection. Dans un premier temps, c’est à Pontlevoy qu’ils trouvèrent refuge pendant dix ans. Puis, en 1992, le musée déménageait dans l’ancien centre de secours de Montrichard, libéré à la suite de la construction de la caserne sur la zone industrielle de la ville. Le local ayant été vendu et il a fallu enlever les véhicules. Jean-Claude Accio, président, Jean-Loup Alexandre et tous les amis se sont mis au travail. Pas si simple de transporter ces mécaniques, certaines sont en état de marche, d’autres ont demandé beaucoup d’efforts et de moyens. Elles ne sont pas reparties dans un musée, mais chez leurs propriétaires respectifs. NR Loir et Cher, 24/07, p.7
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 9:28 | |
| Archéologie région Centre
Source : Panorama de presse de la Drac Centre
Les jardins du passé de Chambord sortent de terre
Un grand classeur à la main, Cécile Travers, archéologue spécialiste des jardins, regarde l’avancée des fouilles des parterres nord et est sur l’emplacement des futurs jardins à la française de Chambord. Dans ses documents, des plans et des photos des jardins tels qu’ils étaient au XVIIIe siècle. «Grâce aux plans on sait plus ou moins ce qu’on va retrouver en fouillant», explique la jeune femme. «Maintenant on veut des preuves tangibles». En creusant, les archéologues de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), qui travaillent sur le chantier, ont mis au jour des fosses et des fonds de plantations. «Les fosses représentent les emplacements des arbres au XVIIIe siècle. Les fonds de plantations sont importants pour nous. Ils sont le squelette des grandes tranchées de plantation de l’époque». Là où leur travail devient plus compliqué c’est qu’il faut discerner les aménagements des jardins faits au XVIIIe siècle et ceux effectué au XXe. «Les fosses carrées à fond plat, que l’on a retrouvées, sont celles du XVIIIe. Ce sont elles qui nous intéressent.» Le but final des fouilles est d’arriver à fournir le plus de précisions possibles pour reproduire à l’identique, ou presque, les jardins de Chambord du XVIIIe siècle. NR Loir et Cher, 21/07, p.3
(Vendome) Production de haches… il y a 4.500 ans !
Sur cette partie de la vallée du Loir, entre Pezou, Lisle, Saint -Firmin-des-Pré, Lignières…, on a identifié, depuis un siècle, plusieurs sites de carrières et d’ateliers de taille de haches. On les connaît, mais on ne les a pas fouillés en dehors de l’étude de Jackie Desprièes à La Chenevière-Dieu, à Pezou, explique Harold Lethrosne, archéologue à l’Inrap et responsable de la fouille programmée qui vient juste de s’achever sur la commune de Lisle.Déjà au Néolithique, la vallée du Loir avait été choisie par les hommes pour leur progressive sédentarisation. Culture, élevage,déboisement… Des activités indispensables à cette installation permanente demandant un équipement opérationnel. Les caractéristiques géologiques de la vallée du Loir sont aussi un précieux atout pour nos ancêtres qui se servent en matière première sur les affleurements de silex pour fabriquer leurs outils du quotidien. Racloirs, lames sont vite réalisés avec un éclat dont on travaille le tranchant, mais la confection de hache, ustensile absolument indispensable, nécessite un travail beaucoup plus long allant de l’extraction au polissage en passant par la taille. Pendant deux semaines, huit bénévoles ont étudié un lieu, en lisière de bois, pour lequel ils ont obtenu la confirmation qu’il s’agissait bien d’un site de taille. Des renforts ponctuels se sont agrégés au groupe pour cette mise au jour qui fera l’objet d’autres campagnes. Compte tenu de ce fort engagement bénévole, l’opération n’aura coûté que 8.000 €, financés conjointement par la Région (via Archéa) et par la Drac. NR Loir et Cher, 24/07, p.9
(Bourges) Un Panda pour détecter le fossé gaulois
Toujours dans le but d’évaluer le potentiel archéologique du jardin de l’Archevêché et après la prospection géophysique réalisée la semaine dernière afin d’obtenir plus de précisions surla cartographie du sous sol, le service d’archéologie préventive deBourges Plus a attaqué la prospection géotechnique du lieu,depuis mardi. Avec pour objectif de repérer le fossé défensif del’ancienne ville gauloise installée sur cette zone. «On cherche le calcaire.» À l’aise dans leurs tshirts floqués du logo de la ville de Bourges, Mélanie Fondrillon et RaphaëlDurand, archéologues au service archéologie de l’agglo, tentent de venir à bout de leur engin de travail, un Panda.Bien loin de la grosse boule de poils noir et blanc, il s’agit enréalité d’un pénétromètre, dont l’utilisation consiste à enfoncerdes tiges de cinquante centimètres dans le sol, reliées à un boîtierélectronique qui mesure le niveau de résistance du marteau.Une technique «pas du tout nouvelle en génie urbain», assurent les deux spécialistes, «utilisée à Bourges depuis la ZAC Avaricum.» En fin d’année, le ser vice archéologie fera une nouvelle demande à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) pour réaliser un sondage carotté et ainsi pouvoir extraire et analyser les sédiments présents sous terre. Le Berry, 24/07, p.7
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 9:28 | |
| Patrimoine région Centre
Source : Panorama de presse de la Drac Centre
(Châteauroux) Là-haut, le château Raoul Jusque-là, il s’agissait d’une visite comme les autres. De la fondation de l’abbaye de Déols, en 917, nous en étions arrivés à la construction du château. «Il a été bâti par Ebbes le Noble, dont les sept descendants s’appelleront tous Raoul, expliquait Anna Sabathé, guide à l’office de tourisme. D’où le nom de château Raoul.» Et le nom de Châteauroux. Et cetera. Puis Anna Sabathé s’est harnachée. Et le drone s’est envolé. Grande nouveauté des Rendez vous de l’été de Châteauroux, Les Ailes d’Hermès (c’est le nom de la visite) permettent de découvrir le château Raoul mais aussi le couvent des Cordeliers, le parc Balsan et l’église Saint-André en prenant de la hauteur. Au pilotage de l’engin, surnommé «Anatole», Jérôme Gillard : «Il s’agit d’un quadriptère qui peut aller jusqu’à 70 km/h. Son altitude légale est de 150 m mais il a, techniquement, 2 km de portée. Il peut supporter des vents de 60 km/h. Aujourd’hui, ça devrait aller, les rafales vont jusque 50 km/h. C’est un système géolocalisé, connecté à des satellites. Plus il y en a, plus il est stable. Là, nous en sommes à huit, c’est volable.» «Anatole» a pris son envol dans un bourdonnement caractéristique. Tous les regards se sont alors portés sur Anna Sabathé qui, avec une télécommande, a dirigé la caméra, supportée par le drone, au service de ses commentaires. Diffusées sur un écran, les images sont parlantes. «On va essayer de comprendre l’enchaînement des remparts.» NR Indre, 19/07, p.6
Le trésor sacré de Germigny-des-Prés D’un «Vous êtes déjà venus ?», la guide Anne de Haro lie connaissance avec son groupe de sept visiteurs. En écho à la question, le couple formé par Martine et Jean-Pierre confesse «ne pas connaître l’oratoire, bien qu’habitant Fleury les Aubrais». Une fois ces présentations sommaires accomplies, Anne entraîne le petit groupe dans son sillage, à l’ombre des deux tilleuls et du noyer. «Parce qu’il serait dommage d’occulter l’extérieur du bâtiment.» La fièvre de découvrir la mosaïque intérieure est telle, chez les 60.000 visiteurs annuels recensés, que trop oublient de se porter au… chevet de l’oratoire germignon. Germignon, mignon comme nom, non ? RC Orleans, 20/07, p.3
Le Synthol inscrit son passé à Orléans Le Synthol a été fabriqué à Orléans. Peu le savent mais c’est bien vrai. Une information venue sur le devant de la scène, à l’heure où la lotion, dans sa version liquide, fait son retour dans les pharmacies. L’histoire commence à Romorantin, avec Paul-Ernest Roger. «Fils d’Arthur Roger et d’Euphémie Pesnelle, il est né le 18 mai 1872. Son père est menuisier ébéniste dans la grande rue de la Varenne», écrit Jackie Germain Chartin, ancien médecin, dans «Un Romorantinais, Paul-Ernest Roger, créateur du Synthol», paru dans le bulletin trimestriel n°190 de la Société d’art, d’histoire et d’archéologie de la Sologne. Il détaille : «Paul-Ernest Roger part étudier à l’école supérieure de pharmacie, qui n’est pas encore faculté. Il obtient son diplôme de pharmacien à Paris, le 19 décembre 1896. À l’époque, l’âge minimum requis pour gérer une pharmacie est de 25 ans. Paul-Ernest Roger prête serment le 17 novembre 1897 et s’installe à Blois, 11 place Louis XII en association avec le pharmacien Balzer jusqu’en 1902. Lorsqu’il soutient sa thèse en 1908, il est pharmacien à l’hôpital de Blois. PaulErnest Roger décède au Pouliguen le 13 août 1947. » N’habitant pas dans la région Centre Val de Loire, Jackie Germain Chartin, joint par téléphone, n’a pu aller plus loin dans la vérification de cette information : «J’ai pu avoir accès aux archives du dictionnaire des spécialités pharmaceutiques, le Vidal. L’édition de 1924 mentionne que l’adresse du laboratoire du Synthol est à l’usine des Aubrais, 286 faubourg Bannier à Orléans.» Ce que La Rep a pu vérifier : aux archives municipales d’Orléans, on trouve effectivement mention dans l’annuaire de 1920 (les éditions précédentes ne sont pas disponibles, ndlr) d’une société de productions biologiques et chimiques installée au 286 faubourg Bannier, aux noms de Roger et Fraquet. RC Orleans, 20/07, p.8
(Beaugency) L’abbaye et la Tour du diable à découvrir Les visites guidées de l’abbaye de Beaugency ont débuté dimanche 10 juillet. Il reste encore deux occasions pour en profiter : vendredi 22 et dimanche 24 juillet. Émilie Merlet, guide et professeur de lettres, propose deux formules au choix. La visite secrète dure environ 45 minutes et comprend l’abbatiale Notre Dame, la Tour du diable et le lycée. La visite découverte, d’une durée de 30 minutes, est consacrée uniquement à l’abbatiale, resituée dans son contexte général. L’objectif est de donner une vue globale du castrum, c’est à dire la citadelle médiévale de Beaugency. RC Orleans, 20/07, p.18
(Chartres) « Un moment féerique, qui transporte » La nuit qui tombe sur la ville dévoile les plus beaux sites de Chartres : illuminés, ils se révèlent de manière inédite, poétique. S’il faut au moins trois heures pour effectuer l’ensemble du parcours de Chartres en lumières, la guide de l’office de tourisme, Fernanda Vieira, prévient : «En deux heures, on ne pourra en voir qu’une partie.» «Ça va, personne ne boite ?» Après une présentation rapide de l’événement, direction les bords de l’Eure, au pas de course. Première halte en basse ville, au niveau des arcades Saint Hilaire. La magie opère. Les spectateurs touristes pour la plupart sont sous le charme d’une scénographie colorée où, de l’aube au coucher du soleil, on assiste à la journée d’une lavandière. Changement d’ambiance sur le pont Saint Père, qui laisse place à un univers un peu plus inquiétant : «Quand la graphiste est venue, la longueur du pont lui a fait peur, alors elle a voulu représenter des monstres marins.» Le groupe remonte jusqu’à l’église Saint Pierre, impériale dans ses habits de lumière or et bleu, qui dévoilent les moindres détails de l’édifice. Rue Saint Pierre et rue des Écuyers, les personnages illustres, qui ont à leur façon marqué l’histoire de Chartres, s’affichent en noir et blanc. Un peu plus loin, la scénographie du portail sud de la cathédrale fait des merveilles. L'Echo, 20/07, p.7
(Lucé) L’église a retrouvé ses vitraux Déposées au mois de janvier pour être restaurées, les dix verrières de l’église Saint Pantaléon de Lucé ont retrouvé leur emplacement respectif. Créées par Gabriel Loire entre 1945 et 1955, certaines de ces compositions chromatiques, notamment les deux qui éclairent le chœur de l’église, sont composées de cailloux de verre très épais, légèrement bombées, ce qui fait leur originalité. Au delà des méfaits du temps et de la pollution, certaines de ces verrières étaient tâchées de ciment, probablement projeté lors de la pose d’enduits. Elles ont été nettoyées et consolidées par l’atelier Vitrail France, situé dans la Sarthe. Le montant des travaux, estimé à 217.500 €, sera moins élevé que prévu malgré quelques éléments de toiture qui doivent être réparés et les abords refaits avant la réouverture. L'Echo, 20/07, p.9
(La Chatre) Vents favorables pour Forepabe Le centre de formation le plus «petit» – par la taille – de la région Centre-Val de Loire continue à se distinguer. Un de ses stagiaires, Alexis Tattin, originaire de la région bordelaise, vient d’obtenir la médaille d’or en taille de pierre, aux plans départemental, régional et national. «C’est un aboutissement formidable pour Forepabe, ses formateurs et sa direction, confient les responsables du centre. C’est aussi une satisfaction importante pour les dirigeants bénévoles qui, depuis 2002, ont accompli un travail constructif de développement et de stabilité, pour conforter son image professionnelle, aujourd’hui reconnue au niveau national.» Les dirigeants de la structure en donnent pour preuve que les stagiaires viennent de toute la France et, parfois, de l’étranger, Suisse, Allemagne ou Belgique, pour se perfectionner en taille de pierre et sculpture ornementale sur pierre. Ces deux disciplines diplômantes ont obtenu respectivement 100 % et 60 % de réussite aux examens. NR Indre, 20/07, p.16
(Bourges) Pour l’amour des vieilles pierres «Tous les éléments en saillie, moulurés, étaient en train de disparaître», explique François André, propriétaire de l’hôtel Minard (inscrit au titre des monuments historiques), situé dans le centre ville de Bourges. Il y a un peu plus de quinze jours, des échafaudages couraient encore le long des murs de ce très beau bâtiment du XVIIe siècle. L’une des façades intérieures subissait, entre autres, l’intervention de l’entreprise spécialisée Jacquet (notamment connue pour des travaux effectués sur la cathédrale). Une opération de rénovation importante. Et jugée indispensable par ce propriétaire soucieux, comme d’autres, de préserver le patrimoine. Un amour pour le patrimoine dont font aussi preuve, pour d’autres types de bâtiments et d’interventions, Jean-Pierre Sironneau et Philippe Molina. Le premier, propriétaire d’une maison à colombages rue Fernault, a fait faire il y a deux ans des travaux, notamment au niveau du toit et de la façade, pour rendre visibles les pans de bois qui se cachaient derrière l’enduit. En lien avec les bâtiments de France. «Cela semblait naturel de chercher à remettre les choses dans leur état d’origine.» De son côté, l’intervention réalisée cette année sur la façade de l’immeuble Leiseing, rue Michel de Bourges (inscrit et remarquable pour son architecture Art déco) avait pour objectif un nettoyage en bonne et due forme. Le Berry, 21/07, p.7
(Bourges) Le palais s’ouvre aux jeunes Les Portes du temps s’ouvrent aux enfants jusqu’à lundi prochain, au palais Jacques Coeur. Pour la première fois, le monument historique participe à cette opération nationale et accueille des jeunes issus de structures du champ social, de centres de loisirs ou encore de centres sociaux de Bourges et des environs. La semaine dernière, les groupes participants ont passé une journée basée sur le thème de l’illustration. Après une visite de l’exposition Jean de Berry, prince des images installée au palais jusqu’au 25 septembre, les enfants avaient le choix entre un atelier peinture encadré par une artiste professionnelle et un autre consacré à l’enluminure. Le Berry, 21/07, p.10
(Reigny) Du chant pour sauvegarder le patrimoine Secrétaire de mairie à Reigny, Diane Villers préside également l’association Asper, une structure dont la vocation est la préservation du patrimoine local et qui regroupe une vingtaine de membres à l’heure actuelle. «Au départ, l’association a été créée afin de financer les travaux de l’église du village, par le biais de différentes organisations festives», explique Diane Villers. «Le patrimoine de la commune ne se limite pas à l’église et les fontaines et lavoirs font également partie de nos préoccupations, ajoute la présidente de l’association. Cinq lavoirs ont été recensés. L’un deux a été restauré l’an passé, et nous venons de découcher sur 150 mètres le chemin qui permet d’accéder au lavoir de l’Alger. Mais il reste encore beaucoup à faire.» Après un concert en juin dernier, c’est un concours de chant qui permettra de lever quelques fonds pour l’association, mercredi 27 juillet à partir de 20h30. Le Berry, 21/07, p.20
(Blois) Haras C’est une visite passionnante des Haras, construit entre 1878 et 1880, que propose un étudiant de Sciences Po à Rennes. Au cours de celle-ci prévue le samedi 30 juillet, Thibault Chéné dévoilera le résultat de ses recherches au fil d’un parcours d’une heure au sein d’un lieu intimement lié à l’histoire de la ville de Blois et à son développement tout au long des XIXe et du XXe siècles. Il évoquera notamment des plans inconnus du grand public permettant de découvrir l’histoire unique du Dépôt National d’étalons de Blois cédé à des investisseurs il y a deux ans pour 2,2 M€. Plusieurs horaires seront proposés tout au long de la journée à partir de 8h30 et jusqu’à 18 heures, le prix de la visite étant de 5 €. Inscription obligatoire sur Eventbrite.fr (intégral) NR Loir et Cher, 21/07
(Blois) Dans les petits secrets des châteaux du Val de Loire L’art fait partie de sa vie. Valérie Arconati est historienne de l’art de- Lpuis une vingtaine d’années. Originaire de Paris, elle n’a a priori aucun lien direct avec le Loir-et-Cher si ce n’est «l’amour des châteaux et du Val de Loire». Passionnée d’archéologie des périodes antiques et médiévales, elle travaille dans les musées et participe à la mise en place de collections. «En 2003, je me suis mise à mon compte», raconte cette spécialiste de l’image et du symbole. «Je suis venue à Blois en mai dernier à l’occasion d’un stage pour professionnels sur l’architecture des châteaux. Il y avait beaucoup à dire. C’est un sujet passionnant.» En très peu de temps, Valérie Arconati a décidé de proposer des visites guidées. NR Loir et Cher, 21/07, p.11
(Amboise) Une statue détruite dans l’église Saint-Denis C’est un touriste qui a donné l’alerte en contactant une paroissienne dont les coordonnées sont dans l’église. Hier, entre 13h et 14h30, une statue a été brisée à Saint-Denis, à Amboise. Cette oeuvre, d’une hauteur d’environ 1,50 m, représentant le Christ debout, était posée sur un socle dans un coin de l’édifice, au fond, à droite du porche d’entrée. Si le socle n’a pas bougé, en revanche la statue, en plâtre peint, s’est brisée en mille morceaux en heurtant le sol. Des paroissiens, le curé, ont été alertés de cet acte qualifié de vandalisme car une telle statue ne peut tomber par inadvertance ou maladresse dans un endroit où il y a beaucoup d’espace. Les services de gendarmerie ont été alertés et sont venus faire des constatations. Une plainte a été déposée. (intégral) NR Indre et Loire, 21/07
(Langeais) Nicolas, Meilleur Apprenti de France Bon sang ne saurait mentir, un proverbe que vient de confirmer Nicolas Mylle : quand on a un grand-père et un père couvreur, la vocation vient tout naturellement. Nicolas, originaire de Cinais, a donc entamé un apprentissage en deux ans de… couvreur au CFA de Saint-Pierre-des-Corps et dans l’entreprise de charpente-couverture langeaisienne de Jérôme Bossy où son père, chef d’équipe, était son formateur et, visiblement, excellent dans son rôle. En effet, si, à 17 ans, il vient de passer son Cap de couvreur, mention zinc, cela a dû n’être qu’une formalité car, auparavant, il s’était inscrit au concours de Meilleur Apprenti et avait réalisé un grand chelem en remportant les médailles d’or départementale, régionale et nationale ! Un titre de Maf, Meilleur Apprenti de France, décerné par un jury de MOF, Meilleurs Ouvriers de France. NR Indre et LoireW, 21/07, p.17
(Orleans) Ma maison a presque 500 ans 486 ans. Un âge plus qu’honorable, déjà, pour une bâtisse ! Françoise Von Schramm a acquis cet hôtel du 4, rue des Trois Maillets (dans le quartier du Cheval Rouge) en 2002. La construction date de 1530. «Elle a appartenu à beaucoup de gens qui ne l’ont pas habitée. Le dernier propriétaire était un architecte. Elle est restée trois ans en agence. Personne n’en voulait, se souvient l’actuelle maîtresse des lieux. Du coup, je l’ai achetée très peu cher, mais avec beaucoup de travaux à réaliser.» C’est peu de le dire… La maison, dont la façade est pourtant classée Monument historique depuis 1912, présentait alors une triste mine : les meneaux des fenêtres menacent de s’écrouler, le rez de chaussée fait office de garage. On est loin, très loin de ce qu’elle en a fait plus de dix ans plus tard. RC Orleans, 22/07, p.9
(Artenay) Le moulin de pierre ouvert à la visite Pendant la belle saison, le moulin de pierre situé le long de la route départementale (RD 2020) accueille les visiteurs le troisième dimanche du mois, de 14 à 18 heures. Ce vieux moulin à vent a été construit en 1849. Il a bénéficié, à l’époque, du système «Berton», nom de l’inventeur. Cette technique permet de commander, de l’intérieur, l’ouverture et la fermeture des ailes, composées de planches amovibles qui ont remplacé la voilure de toile. RC Orleans, 22/07, p.17
(Dordives) Soutien aux associations La commune décide d’apporter son soutien financier à une association. La toute jeune Association pour la sauvegarde du patrimoine et de la biodiversité des vallées du Betz et de l’Ardouze obtient 1.500 € pour démarrer son action, dans le nouveau projet patrimonial de l’environnement du château du Mez. (intégral) RC Loiret, 22/07
(Vierzon) Des travaux estivaux dans la ville De l’ancienne église Saint Eloi, il ne reste plus que quelques vitraux qui seront bientôt dissimulés derrière un nouveau mur d’escalade. Cet édifice, datant des années 1950, a été acheté par la ville en 2014 pour en faire une salle de sports. On y trouvera, donc, dès la rentrée de septembre, dans un espace resté en l’état mais repeint de blanc, un mur d’escalade en blocs, idéal pour l’apprentissage. Une installation demandée par l’association Adhérence, en complément du mur existant au gymnase Edouard Vaillant. Le Berry, 22/07, p.14
(Saint Amand) Dix jeunes s’attaquent à la forteresse Ils pourraient être en train de siroter un cocktail sur une plage du sud de France. Ou danser dans une boîte de nuit à Ibiza. Et bien non, ils ne font rien de tout cela. Du moins pas encore. Ces jeunes ont décidé d’aller au soleil, certes, mais à Saint Amand. Pour y travailler. Comme chaque été, le Cercle d’histoire et d’archéologie du Saint Amandois (Chasa) accueille un chantier de bénévoles afin de sauvegarder le patrimoine de la forteresse de Montrond. Ils sont dix en ce mois de juillet à s’être mobilisé pour mettre leur temps et leur énergie au service d’un monument berrichon. Le groupe comprend des personnes issues de plusieurs endroits en France et quatre étrangers. Durant deux semaines, ces jeunes troquent maillot de bain et serviette de plage contre truelles et bétonneuse. Depuis maintenant dix jours, ils œuvrent à l’entretien du rempart de la forteresse, élément qui a besoin d’un petit coup de jeune. Nettoyage, rejointoiement, travaux d’étanchéité… les bénévoles contribuent à donner une deuxième jeunesse à ce mur médiéval qui pourrait avoir été refait dans le cadre de la modernisation du XVIIe siècle. Le Berry, 22/07, p.18
(Nohant) George Sand : le livre constamment ouvert Lit-on toujours des œuvres de George Sand ? L’écrivain est une figure historique du département et pour les libraires indriens, il n’y a pas de doute : Aurore Dupin – son nom de naissance – aura toujours un lectorat. «On en vend tout le temps et il y en a pour tous les goûts», assure Julien Cosimi, libraire depuis huit ans chez Cultura, à Saint-Maur. Il a identifié trois catégories de lecteurs : «Les collégiens qui doivent étudier du George Sand, les curieux et touristes qui profitent de l’été pour découvrir ses œuvres et un lectorat plus âgé, plus exigeant en terme de connaissance». ••• Nohant, le fief où tout trouver Pour tout savoir sur George Sand, trouver un roman, une œuvre, une correspondance en particulier de l’auteur, la boutique de son domaine à Nohant est le lieu idéal. «C’est la librairie de référence. On peut y trouver tous ses écrits», assure Dinah Ortas, responsable opérationnelle du domaine. Depuis le début de ce mois de juillet, 2.900 personnes l’ont visité. En moyenne, ils sont 30.000 visiteurs par an. Une grande majorité de Français mais aussi des Néerlandais, des Belges et des Anglais. Des Japonais également qui viennent surtout car Frédéric Chopin y a passé une partie de sa vie. Quant aux écrits, ils se vendent sans interruption. NR Indre, 22/07, p.2
(Blois) L’histoire en couleurs La représentation commence d’abord par une révélation lancée par la voix off : « Nous ne sommes pas dans un château mais bien plutôt quatre ». S’enchaîne alors un éclairage progressif accompagné d’une description des quatre ensembles de l’aile Louis XII à la façade Gaston d’Orléans. La suite : une féerie de projections de couleurs vives et d’effets sonores où les murs du château servent d’écrin à des panneaux retraçant plusieurs siècles de l’histoire des lieux. De Jeanne d’Arc à Henri III en passant par François 1er ou encore le poète braconnier François Villon, les grands noms de l’histoire de France connus aussi des touristes étrangers se bousculent au portillon. En coulisse, des noms célèbres aussi, moins internationaux mais plus contemporains, participent à la réalisation. Parmi eux, Alain Decaux est à la signature du scénario alors que Pierre Arditi, Fabrice Luchini et Robert Hossein ont apporté leurs voix bien reconnaissables à l’enrichissement de la bande sonore. (intégral) NR Loir et Cher, 21/07
(Beaugency) La réalité augmentée entre au château Le château de Beaugency abrite notamment la chambre de Jean d’Orléans. À son entrée dans ladite pièce, le visiteur découvre l’univers présent. Mais un clic magique sur la tablette tactile (proposée à l’entrée) le replonge dans le passé. À l’écran, les peintures du XVIe siècle réapparaissent sur les murs, comme par enchantement. En 3D. Avec force explications sur la signification des blasons, etc. Le contenu a d’ailleurs été élaboré puis validé par un comité scientifique qui compte en son sein d’éminents spécialistes et historiens. Ludique mais sérieux ! «Il est permis de s’amuser avec l’Histoire, pourvu qu’elle soit réelle», insiste Xavier Lelevé, propriétaire. À terme, une centaine de tabulettes – avec un contenu accessible en neuf langues – seront mises à disposition du public, avec un prix d’entrée qui demeure inchangé (9€ adulte ; 5,5€ enfant). RC Orleans, 23/07, p.5
(Orleans) Le son et lumière reviendra à l’été 2017 Le son et lumière, projeté sur la cathédrale en fin de semaine depuis le 27 mai, aurait déjà attiré 12.000 spectateurs. Au rythme de deux projections, trois soirs par semaine depuis le 7 juillet, «Jeanne, visages universels», de Xavier de Richemont, séduit les touristes. «Le 9 juillet, 1.400 personnes étaient présentes, en tout. C’est une réussite, estime Martine Grivot, adjointe au maire au tourisme (UDI). Pour avoir des chiffres précis, nous avons deux étudiants qui effectuent les comptages, lors de chaque projection.» Si ces chiffres sont impossibles à vérifier, le spectacle attire bien plusieurs centaines de personnes, les soirs d’affluence, comme nous avons pu le constater directement. Il reviendra doncau printemps et à l’été 2017. «Un nouveau spectacle sera sélectionné pour les Fêtes johanniques 2017, projeté le 7 mai,puis les mois suivants, ajoute Martine Grivot. On avait décidé que l’on changeait de spectacle une année sur deux (pour des raisons budgétaires, NDLR) mais ce n’est plus d’actualité, en tout cas pour 2017. Il faudra juste être à la hauteur, car le spectacle de cette année est très beau, mais les artistes sont créatifs…» + Des commerçants un peu plus partagés RC Orleans, 23/07, p.6
(Vieilles Maison Sur Joudry) Tous à bord de la Belle de Grignon ! C’est dans le Port de Grignon, à Vieilles Maison Sur Joudry, que tout a commencé. Il y a dix ans, un groupe de passionnés s’est donné pour mission de construire une flûte berrichonne (cousine de la péniche), comme il en passait jadis dans le port, sur le Canal d’Orléans. À un an de la fin du challenge, chacun pourra constater l’avancée des travaux lors de la guinguette qui aura lieu demain, sur le port, mettant la «Belle de Grignon» à l’honneur. Le long bateau prend forme, peu à peu. La petite dizaine de bénévoles bâtisseurs, pour la plupart des retraités, se retrouve chaque jeudi et vendredi pour travailler. «Les bordées sont posées, nous allons attaquer le plancher dans les prochains jours», explique «Paulo Chevallier», le guide des lieux. Construite en bois de chêne de la forêt d’Orléans, la Belle de Grignon sera mise à l’eau en septembre 2017. «Il nous restera ensuite à finaliser l’intérieur», détaille Jean-Claude Habert, responsable de l’avant du bateau et cordier. Dans l’équipe des Mariniers de Grignon, la plupart viennent de l’univers du bois, de la soudure, du cordage. RC Loiret, 23/07, p.11
Le petit guéridon a retrouvé sa place au château de Valençay Le château de Valençay abrite une collection exceptionnelle de meubles historiques. Si beaucoup sont exposés dans le circuit de visite, d’autres sont encore entreposés dans des réserves, en attente d’une restauration. Grâce à une collaboration avec l’Afpa (Association de formation professionnelle pour adultes), un petit guéridon, issu de ces réserves, vient d’être restauré (*). Cette opération a été réalisée par Jérémy Devaud avec le soutien de son formateur, Bruno Barjou, dans le cadre de la formation Restauration de mobilier d’art, à Limoges. C’est le formateur qui a choisi ce meuble, cassé en deux, dans la réserve. Il a fallu étudier l’objet dans un premier temps, puis le nettoyer, le démonter, greffer du placage, redresser le socle, boucher les trous, repeindre, gommer les usures, traiter le support en laiton, vernir, reconstituer et remonter l’ensemble. (*) En étroite collaboration avec la direction régionale des Affaires culturelles Centre-Val de Loire et les archives départementales de l’Indre. Le Berry, 23/07, p.9 + NR Indre, p.5
(Onzain) Un gîte pour faire vivre une propriété du XVIe Gisèle passe beaucoup de temps dans son jardin à Onzain. Un jardin en permaculture où elle recréé un écosystème longtemps oublié : «Nous l’avons réinstallé dans l’ancien potager du château il y a deux ans. Nous avons de superbes serres également restaurées, c’est un endroit magique !» Gisèle y est employée : elle s’occupe du jardin et de l’entretien de la propriété. Les gros travaux de taille sont eux confiés à des entreprises spécialisées. Et pour se permettre ce luxe, l’actuel propriétaire lui confie la gestion de trois gîtes, ouverts l’an passé. «La propriété remonte au XVIe siècle et l’actuel château a lui été construit à la fin du XIXe siècle. Maray a toujours appartenu à de nobles blésois qui exploitaient la trentaine d’hectares de terres agricoles attenantes. Maintenant il n’en reste qu’à peine 8 hectares.» Maison de famille devenue maison de vacances, dont on va progressivement négliger l’entretien. Le plus gros laisser-aller remontant au précédent propriétaire présent au tournant des années 2000. Le parc luxuriant, le potager, mais aussi le château : tout a besoin d’un entretien permanent. C’est cette harmonie qui a été retrouvée depuis 2007 et l’arrivée de l’actuel propriétaire, résidant sur place au château. NR Loir et Cher, 23/07, p.2
(Tours) Le Jour du Seigneur à la basilique Présente à la télévision depuis 1949, l’émission religieuse «Le Jour du Seigneur» devrait s’installer à la basilique Saint-Martin de Tours début octobre pour suivre une cérémonie religieuse. L’occasion de mettre en lumière le jubilé de saint Martin et de montrer ce bâtiment actuellement en travaux, qui attend avec impatience le retour de son saint en haut de son dôme. (intégral) NR Indre et Loire, 23/07
Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 25 Juil - 11:02, édité 5 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 10:05 | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 10:06 | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 10:09 | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Mer 20 Juil - 10:13 | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Ven 22 Juil - 16:32 | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Ven 22 Juil - 16:34 | |
| Source : leparisien.fr Le musée Louis de Funès lance un appel aux dons pour éviter la fermetureLe musée Louis de Funès, situé à proximité de Nantes, a lancé un appel aux dons pour éviter la fermeture, alors que son bail, qui s'achèvera en avril 2017, ne sera pas renouvelé, a annoncé mardi à l'AFP la directrice du musée. Depuis son ouverture le 30 avril 2014 dans une partie annexe de l'ancien château du légendaire acteur comique, au Cellier (Loire-Atlantique), le musée, géré bénévolement, est toujours locataire de ses locaux. Mais la fin du bail approche et le propriétaire veut vendre. Lire la suite : http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/le-musee-louis-de-funes-lance-un-appel-aux-dons-pour-eviter-la-fermeture-19-07-2016-5980235.php | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Ven 22 Juil - 16:37 | |
| Source : latribunedelart.comLa galerie Vivienne transformée en serre (style rococo allemand)En 1982, la galerie Colbert fut détruite puis reconstruite « à l’identique » par la Bibliothèque nationale. Vaste fumisterie qui a fait disparaître une galerie parisienne, pourtant protégée au titre des monuments historiques, pour la remplacer par un décor « à la manière de » qui n’est en réalité qu’un gigantesque faux sans âme. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/la-galerie-vivienne-transformee-en-serre-style-rococo-allemand | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Ven 22 Juil - 16:38 | |
| Source : latribunedelart.comPlusieurs dépôts importants pour le Musée des Beaux-Arts de RennesLes enrichissements des musées peuvent se faire par d’autres moyens que les achats, les dons ou les legs. Il existe dans notre pays tant d’œuvres en déshérence, tant d’objets conservés dans des réserves et que l’on ne pourra jamais voir exposés qu’il est souhaitable de réfléchir aussi aux manières de présenter ce patrimoine. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/plusieurs-depots-importants-pour-le-musee-des-beaux-arts-de-rennes | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Ven 22 Juil - 16:41 | |
| Enrichissement des collectionsSource : latribunedelart.frUne esquisse de Pierre Lacour pour Bordeaux La Gloire du Gouverneur de Guyenne fut éphémère puisque l’esquisse qui la met en scène ne fut pas transformée en œuvre monumentale. Ce projet de Pierre Lacour pour le plafond du Grand Théâtre de Bordeaux a été offert au Musée des Beaux-Arts de la ville par la Société des Amis, qui l’a acheté dans une vente aux enchères organisée par l’étude Briscadieu à Bordeaux le 12 mars 2016. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/une-esquisse-de-pierre-lacour-pour-bordeauxNouveaux tableaux italiens et espagnol acquis par le Metropolitan Museum Depuis février 2015 (voir ici), nous n’avons pas parlé des plus récentes acquisitions du Metropolitan Museum. Nous consacrerons plusieurs brèves à venir à ce sujet, en commençant par les peintures italiennes et une peinture espagnole. En revanche, nous aurons sans doute du mal à rendre compte des achats de dessins tant le musée américain est actif dans ce domaine. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/nouveaux-tableaux-italiens-et-espagnol-acquis-par-le-metropolitan-museum | |
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| Sujet: Revue de presse (18-24 juillet 2016) Ven 22 Juil - 16:43 | |
| Source : latribunedelart.comLancement de la restauration du pavillon de l’Étang à Fontainebleau Si le pavillon de l’Étang peut être admiré de loin par tous les visiteurs du château de Fontainebleau, se rendre sur place est moins facile puisqu’il faut y aller en barque. Comme son nom l’indique, cette petite folie du XVIIe siècle construite par Louis Le Vau est en effet placé sur une île, au milieu de l’Étang aux Carpes, face à la cour de la Fontaine. Après une période d’abandon au XVIIIe siècle, le pavillon s’est vu enrichi sous l’Empire d’un décor intérieur peint par Simon-Frédéric Moench. Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/lancement-de-la-restauration-du-pavillon-de-l-etang-a-fontainebleau | |
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