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| | Revue de presse (17-23 octobre 2016) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (17-23 octobre 2016) Dim 30 Oct - 15:06 | |
| Musées région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Tours) Trois mois pour découvrir le rayonnement de Martin A quelques heures de l’ouverture, c’est encore un peu le chantier dans certaines salles. Sans inquiétude pour Sophie Joint-Lambert, directrice du musée des Beaux-Arts de Tours et commissaire général de l’exposition : « Tout sera prêt pour l’ouverture ce soir (hier) à 18 h… » Car les dernières pièces de l’exposition ne sont arrivées que la veille ! Des tableaux, des sculptures, des tapisseries et des objets d’art sont venus de très loin parfois pour s’installer dans les six sections de l’exposition. « Nous avons souhaité monter une exposition à l’occasion de l’année martinienne, pour le 1.700e anniversaire de la naissance de saint Martin », explique Sophie Joint-Lambert. « Nous avons longuement discuté avec les autres commissaires : quel angle choisir ? Faire une exposition sur le Martin du IVe siècle, sa vie extraordinaire et riche ? Partir du XIIe siècle où il y eut un gros développement de la ville autour de la basilique Saint-Martin ? Ou encore choisir le XIXe siècle, renouveau du culte de Saint-Martin et construction de la basilique de Victor Laloux ? » NR Indre et Loire, 08/10, p.6
(Sainville) Le plus petit musée de France inauguré Le musée Farcot, plus petit musée de France, a été inauguré à Sainville vendredi. Horloger de métier, Eugène Farcot (1830-1896) a légué sa maison natale à la commune et, selon ses volontés, un médecin s’y est installé jusqu’en 2010. La maison est alors labellisée Musée de France. En même temps, un bail emphytéotique est signé avec Habitat eurélien qui y aménage dans les étages quatre logements sociaux. Voyageur Eugène Farcot était aussi un grand voyageur qui a parcouru la Chine, l’Égypte, l’Italie et bien d’autres pays. Il y rapporte, outre de nouveaux débouchés pour ses pendules, mais aussi une rare collection des pièces de monnaie de tous les âges, des statuettes, des vases étrusques, des figurines du Mexique, des coquillages, des minéraux, tableaux, sculptures et des plans qui dévoilent ses recommandations pour la reconstruction de sa maison natale car il souhaitait qu’elle soit flanquée d’une tour carrée munie d’un baromètre machine, surplombée d’un poste de vigie pour les pompiers. Eugène s’est également passionné pour l’aéronautique, il était l’aérostier patriote, il a même fabriqué un modèle de navire aérien encore visible au musée. La commune a redonné du lustre à ce petit musée en réhabilitant le rez de chaussée composé de trois salles dédiées à l’enfant de Sainville et, toujours selon ses volontés, un logement pour un médecin. ■ Financement. Le projet a coûté 179.000 €, subventionnés par le Département et la Région. La Commune autofinance une partie avec un emprunt de 115.000 €. La Drac, la réserve parlementaire du sénateur Gérard Cornu et le Frar (fonds régional d’aide à la restauration) financent une partie de la restauration et l’inventaire de la collection en partenariat avec les professionnels du Compa. (intégral) L'Echo, 09/10
(La Couture Boussey) Virginie Allard laisse un musée dynamique Après sept ans passés à la direction du musée des instruments à vent, Virginie Allard quitte La Couture Boussey pour occuper le poste de chef de projets éducatifs au château de Versailles. Vendredi soir, elle avait convié ses amis et tous ceux qui l’ont accompagné dans son action pour le rayonnement du musée. Parmi les invités, Sylvain Boreggio, le maire : « Nous avions fait un choix difficile en te recrutant car les postulants étaient nombreux. Tu ne connaissais pas les instruments à vent mais ton caractère affirmé et ta volonté de t’engager dans ce poste nous avait séduits et nous ne regrettons vraiment pas d’avoir retenu ta candidature. » Le maire a rappelé : « l’énorme travail fait avec ton équipe et le seul regret que nous ayons, c’est de ne pas avoir pu faire aboutir le projet d’agrandissement du musée ». L'Echo, 09/10, p.10
(Nogent le Rotrou) Le dessin d’abord au musée Saint-Jean Née de la rencontre avec trois artistes, Élisabeth Buffoli, Claude Cussinet et Jean-Loup Cornilleau, l’exposition Le dessin d’abord se décline actuellement au musée du château Saint Jean. Une invitation pour le public à découvrir, jusqu’au 31 décembre, cet art qui permet d’exprimer une multitude de choses avec une grande simplicité de moyens. « Depuis les années 1960-1970, l’engouement pour le dessin n’a fait que croître », soulignent les commissaires de l’exposition. Son retour remarqué est toujours le thème d’importantes expositions nationales et internationales. Un regain d’intérêt qui résulte sans doute du fait que le dessin n’est plus perçu comme une esquisse préparatoire mais comme une œuvre à part entière. » Comme son titre l’annonce, le propos de cette exposition n’est pas de réunir plusieurs artistes répondant à un thème théorique mais bien de se concentrer sur la pratique, la richesse de l’inspiration, la singularité du regard et la diversité des moyens d’expression. L'Echo, 09/10, p.13
(Issoudun) Christian Fossier : “ Comme une évidence ” Du noir, du blanc, des dégradés de gris. Des corps déstructurés et torturés qui se confondent dans un paysage aussi inquiétant qu’effrayant. Chez Christian Fossier, l’angoisse et le désastre sont des thématiques quasi omniprésentes. Son univers sombre tranche radicalement avec les aplats colorés de Valério Adami qui l’ont précédé au musée. Mais en plongeant le regard dans ces gravures et pastels aux dimensions parfois hors norme, le « regardeur » approche l’exception et la perfection. Christian Fossier a été reconnu dès les années 1960 pour sa maîtrise des techniques de gravure appliquées, sur des formats monumentaux inédits à l’époque. Il en a considérablement « approfondi les possibilités esthétiques », en passant du procédé de gravure à la pointe sèche à celui de l’eau-forte et de l’aquatinte, puis à un mélange des diverses techniques. Son oeuvre abondante a déjà été exposée dans de nombreuses galeries et musées français, ainsi que lors de manifestations internationales comme les Biennales de Venise et de Tokyo. Mais la particularité de l’exposition du musée Saint-Roch est de présenter en un même lieu une rétrospective de son travail sur l’ensemble de sa carrière : des années 1960 à aujourd’hui. NR Indre, 09/10, p.7
(Amilly) Le moulin Bardin, témoin de l’histoire, deviendra un musée Témoin, sur la commune d’Amilly, de l’histoire et du patrimoine industriel local, le moulin Bardin vient de bénéficier de l’attention de la Fondation du patrimoine. Projetant sa totale restauration, la municipalité (après avoir l’avoir vu inscrit, en mars 1991, à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques, avec la passerelle qui l’y conduit pardessus le canal) a sollicité la délégation départementale de l’institution afin de prétendre à une souscription publique. Samedi, à la salle Brillat Savarin, trois de ses délégués, Bernard Vella, Roberte Tomassone et Jean Richard, aux côtés de Frédéric Néraud, vice président du conseil départemental, ont signé la convention les liant à la municipalité de Gérard Dupaty. Sa restauration vise aussi à lui donner une fonction de musée. Le moulin a conservé ses installations, lesquelles, lorsqu’elles seront remises en état, feront l’admiration des visiteurs. RC Loiret, 17/10, p.17
(Pithiviers) Le cap des 5.000 voyageurs franchi pour le train à vapeur Alors que le matériel de l’AMTP (Association du musée des transports de Pithiviers) s’apprête à être rangé pour l’hiver, l’heure d’un premier bilan de la saison passée est venue. Et, selon les bénévoles de l’association, la saison 2016 se range dans la catégorie « bon cru ». Au total, 5.050 voyageurs ont été enregistrés à bord de leurs trains à vapeur, soit 300 de plus que l’année dernière. Il faut dire aussi que l’année était un peu spéciale pour l’AMTP, qui fêtait ses 50 ans. Pendant l’hiver, des travaux importants sont programmés : l’entretien de La Meuse de 1938, le retubage de la Decauville n°10 de 1902, ou encore, l’ajustage du train de roulement de la Schneider de 1870. Et, pour le retour des beaux jours, une surprise attend les visiteurs, puisqu’un tender DFB, après restauration, devrait faire son apparition au musée. À noter aussi, ce gros chantier prévu vers le mois de mars, sur les voies situées entre Pithiviers et le parc de Bellebat. (intégral) RC Loiret, 18/10
(Gien) Après la fermeture du musée Michel Tissier, ancien président de la Société historique et archéologique du Giennois (SHAG), réagit, après l’annonce de la fermeture du musée de la Faïencerie pour des raisons de sécurité. « Loin de moi l’idée de discuter le rapport d’une commission sécurité, plus compétente que je ne le suis, encore moins de contester la décision de M. le maire qui agit pour éviter tout risque d’accident. « Cette fermeture me donne l’occasion de soumettre à la réflexion de l’équipe municipale et des Giennois un problème récurrent, évoqué et non seulement par moi, dans les diverses campagnes électorales, celui du sous équipement de la cité en musées. « La ville de Gien se trouve déjà dans la situation d’un musée, à la future muséographie bien peu connue et à la date d’ouverture incertaine, fermé comme le château qui l’abrite, depuis beaucoup trop de temps. « Sauf erreur de ma part, une partie des collections de l’usine acquise par la ville de Gien compose le musée de la faïencerie. C’était à l’époque un moindre mal. Ce musée cependant, reste sous tutelle de l’entreprise, sert de produit d’appel à la boutique et n’est accessible qu’aux heures d’ouverture de l’ensemble. C’est pour moi un gros handicap au rayonnement de Gien et donc à son tourisme. « Utiliser cette situation pour réfléchir à un nouveau concept, un musée municipal de la Faïence (pourquoi pas lié à une partie Histoire de Gien). Ceci me semblerait beaucoup plus porteur d’un développement touristique et donc commercial de la ville que ne l’est la situation actuelle. « Il ne s’agit là que d’une idée d’un enfant de Gien amoureux de sa ville et de son histoire que je mets à la disposition d’un débat éventuel pour lequel je reste disponible… » (intégral) RC Loiret, 19/10
(Chartres) Le Musée de l’École retrace la vie des Poilus dans les tranchées Le Musée de l’école développe des thèmes mal connus de la vie des Poilus, durant la guerre de 14-18, à l’occasion d’une exposition dévoilée à partir de demain. Santé, animaux, sport… tels sont les principaux panneaux à découvrir. Créé par Michel Merckel, un Drouais professeur d’éducation physique aujourd’hui à la retraite, l’ensemble propose un retour en arrière sur la vie quotidienne des soldats, isolés au fond de leurs tranchées. Géraldine Marchand, animatrice culturelle du Musée de l’École, explique : « C’est comme une découverte parallèle des aspects de cette guerre. Michel Merckel nous montre le quotidien des Poilus, en dehors de la guerre. On y voit des hommes perdus sous le bruit des canons, mais qui n’hésitent jamais à aller à l’assaut. Il y a, aussi, le reste du temps, long, froid, humide… » Il interviendra samedi 5 novembre lors d’une conférence. L'Echo, 19/10, p.9
(Chécy) Une réflexion sur le musée Cette année encore, le musée de la Tonnellerie a attiré de très nombreux visiteurs. Que ce soit à l’occasion de ses différentes expositions estivales (« Un potager de plâtre » puis « Des masques et des hommes » et les « Week ends d’automne »), qui ont rassemblé 1.464 personnes, que pour les grands rendez vous qui jalonnent l’année. La nuit des musées a ainsi drainé une centaine d’amateurs au cours du mois de mai ; les Rendez vous du patrimoine, après, n’ont pas été en reste, avec 119 participants. Aurélie Hume a cédé sa place à Madeline Penverne à la tête du musée, qui a fermé ses portes dimanche pour la période hivernale. « C’est la première fois que nous prenons l’option d’une fermeture l’hiver », indique Virginie Baulinet première adjointe au maire, en charge notamment de la vie culturelle et de l’animation. Cette décision s’insère dans « une réflexion » plus large « sur le devenir du musée ». RC Orleans, 21/10, p.17
(Chateauneuf sur Loire) La Loire et ses liens avec la traite négrière Le musée de la marine de Loire présente une exposition temporaire intitulée « C’est à ce prix que vous mangez du sucre – La Loire et la traite négrière ». Jeudi, lors du vernissage, Audrey Madec, attachée de conservation du musée, a présenté la vitrine. Celle ci propose de s’intéresser à l’intense trafic d’hommes et de marchandises qui s’instaura de part et d’autre de l’Atlantique aux XVIIIe et XIXe siècles, avec la Loire comme voie de circulation majeure, et Nantes comme principal débouché. Les visiteurs sont invités à suivre une expédition de traite à travers ses différentes étapes : les préparatifs de l’expédition, la campagne de traite sur les côtes africaines, le voyage à destination des îles à sucre antillaises, puis le retour vers les entrepôts et le commerce hexagonal. Par ailleurs, le parcours, ponctué de jeux intégrés, d’animations multimédias, de récits et de témoignages, se termine par l’évocation de l’abolition de l’esclavage dans les colonies, et la persistance de cet héritage. RC Loiret, 22/10, p.21
(Tours) Se retrouver nez à nez avec un tyrannosaure rex Présentée au rez-de-chaussée du muséum d’histoire naturelle de Tours depuis début juillet, l’exposition temporaire « Plus vrai que nature » fait l’unanimité. Sous le prétexte de trouver une occupation pour les petits, les adultes se prennent au jeu et apprennent plein de choses eux aussi. Depuis le début de l’été, sans conteste possible, c’est la tête grandeur nature d’un tyrannosaure rex, qui ouvre grand sa mâchoire, qui attire les petits et les grands. Elle n’est pourtant qu’une reconstitution en 3D du célèbre prédateur qui vécut il y a quelque 66 millions d’années, disparu puis immortalisé par Stephen Spielberg dans son film « Jurassic Park ». En tout cas, le dinosaure vole la vedette au moulage du rhinocéros blanc, annoncé pourtant comme le clou de l’exposition. Depuis le XVe siècle et la découverte de nouveaux continents avec leur faune et leur flore exotiques, les hommes ont cherché à présenter au public les différents spécimens rencontrés en donnant l’illusion du vivant. Ce sont des exemples des différentes techniques d’exposition qui sont expliquées dans « Plus vrai que nature ». Elles vont de deux petits crocodiles momifiés datant de l’Égypte antique jusqu’à l’impression en 3D de la tête du T. Rex, en passant par la taxidermie, comme celle de la famille de tigres à dents de sabre. NR Indre et Loire, 23/10, p.6
(Pithiverais) Le représentant de l’État a pris le pouls du territoire Le préfet a découvert les nouveaux lieux culturels de la ville de Pithiviers (la chapelle du musée et L’Expo) et les richesses des collections du musée. « On peut accompagner la ville en matière de développement », annonce Nacer Meddah. En finançant un poste d’attaché de conservation, comme le souhaite la municipalité ? « Il existe déjà des moyens avec les services de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) et les conservateurs d’autres musées, répond le représentant de l’État. Ils peuvent venir accompagner cette montée en puissance dans un premier temps. Quand le développement sera là, on verra comment accompagner le maire sur quelque chose de plus structuré. » (intégral) RC Loiret, 20/10
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (17-23 octobre 2016) Dim 30 Oct - 15:07 | |
| Archéologie région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
Jean-Mary Couderc et l’archéologie des cupules Biogéographe et archéologue du paysage, maître de conférences honoraire de l’université de Tours, Jean-Mary Couderc vient de consacrer un long travail de recherches et d’écriture sur la « Géographie et archéologie des cupules ». Ces travaux viennent de faire l’objet d’un ouvrage de 400 pages et de 275 photographies mis en ligne. Celui-ci est désormais accessible à tous sur Internet. Pour accéder, rechercher : « Académie de Touraine », puis Accueil, et cliquer, au-dessus du logo, sur « Ouvrages numériques ». (intégral) NR Indre et Loire, 18/10
(Soulaires) Les rencontres archéologiques arrivent C’est à Soulaires le samedi 22 octobre, dans l’ancienne classe derrière la mairie, qu’auront lieu cette année les 25e rencontres archéologiques d’Eure et Loir. Dès 14 heures, ce sera l’accueil des participants, puis à 14h30 la visite de l’église de Soulaires qui permettra la découverte des engoulants, des hauts reliefs et de la dalle funéraire d’Agnès de Soulaires. À 15h30, de retour dans la salle de classe, ce seront les communications sur l’actualité archéologique départementale et vers 17h30, un pot de l’amitié sera offert par la municipalité de Soulaires. Entrée libre (intégral) L'Echo, 19/10
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| | | valerie.maillochon webmestre
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| Sujet: Revue de presse (17-23 octobre 2016) Dim 30 Oct - 15:08 | |
| Patrimoine région Centre
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre
(Rosières) Il y a dix ans, la fonderie de Rosières s’éteignait Il y a bientôt dix ans, en novembre 2006, la fonderie de Rosières cessait sa production. Depuis 1877, elle était devenue un fleuron de l’industrie dans le Cher. Aujourd’hui, l’usine de Rosières n’assure plus que l’expédition d’appareils électroménagers. L’histoire de l’usine de Rosières remonte à 1836. Cette année là, le propriétaire du château de Castelnau commence à construire un haut fourneau. Un deuxième suit en 1837 et un troisième en 1844. « Ces hauts fourneaux qui marchaient au bois étaient alimentés par les minerais de fer des environs, Rosières, Mareuil, Lapan Corquoy, Châteauneuf », raconte Louis Magdelenat, directeur de l’entreprise Rosières en janvier 1958. La forge est rachetée par Jules Roussel en 1869. Cet industriel de la Sarthe vient avec une partie de son personnel. Le vrai démarrage de la fonderie s’effectue en 1877, avec la création de la société anonyme de Rosières. La société se spécialise dans la fabrication des appareils de cuisson. Après la guerre, en 1920, les premiers Polonais arrivent à l’usine. L’effectif total de l’entreprise atteint alors sept cents ouvriers. Le nombre monte à mille en 1926. Parallèlement, la cité de Rosières, qui abrite une bonne partie des ouvriers et de leur famille, ne cesse de croître, notamment la population polonaise. En 1952, l’effectif comprend 800 ouvriers, 100 employés, 14 ingénieurs et 32 agents de maîtrise. La cité de Rosières, qui compte 1.746 habitants en 1975, voit aussi sa population décroître. D’ailleurs, en 1977, l’usine vend les premières maisons de la cité. Après l’incendie de novembre 1983, qui détruit 10.000 mètres carrés de magasins, l’usine est toujours aussi importante. Mais ensuite, les effectifs chutent vertigineusement. Surtout, la fonderie ferme après la dernière coulée du 23 novembre 2006. Reprise par Candy depuis 1997, l’usine de Rosières emploie aujourd’hui moins de 200 personnes. + Un musée pour revivre l’histoire Le Berry, 09/10, p.2-3
(Beaulieu-lès-loches) Le chantier du clocher suivi en photo > Conventions avec les associations Pour le Caméra Photo Club du Lochois (CPCL), la convention permet au club de réaliser des photos et des vidéos du chantier du clocher, sans en avoir l’exclusivité. Elle définit les conditions d’accès au chantier et l’utilisation qui sera faite des épreuves : pas de commercialisation, pas d’impression, respect du droit à l’image. La convention durera trois ans. Un don de 500 € par an, proposé par le maire, a été approuvé par le conseil. (intégral) NR Indre et Loire, 17/10
(Longefont) La renaissance d’une église, plus belle restauration de l’année Après huit ans de travaux, le bâtiment, érigé au début du XIIe siècle, à une époque où la France, animée d’un puissant regain de foi, se couvrait d’un blanc manteau d’églises romanes, avait enfin retrouvé toute sa beauté. Jouant avec les vitraux de l’abside, le soleil estival faisait danser ses rayons de joie sur la pierre claire, tandis que les chantres de la cathédrale de Bourges louaient le Seigneur en grégorien et que l’abbé de Notre-Dame de Fontgombault, venu tout spécialement pour l’occasion, célébrait l’Eucharistie. Puis ce fut au tour d’Irène, l’une des filles d’Agnès et François Chombart de Lauwe, d’entamer, seule, l’Ave Maria de Caccini. Sa voix de soprano juste accompagnée au piano, en sourdine, montait comme une prière dans l’église. Ce jour-là, un vent d’allégresse souffla sur le prieuré de Longefont. Ne dit-on pas que celui qui construit une église sur la terre a droit à un appartement au paradis ? Murée pendant 170 ans, l’église du prieuré de Longefont revit depuis 2015 grâce à l’obstination de ses propriétaires. Ils ont été récompensés par le Grand Trophée de la plus belle restauration, décerné par Propriétés Le Figaro, Le Figaro Magazine, la Fondation pour les Monuments Historiques, en partenariat avec La Demeure Historique. Le Figaro, 17/10
(Tours) Saint-Martin est monté au ciel Ce samedi 15 octobre, Saint-Martin a retrouvé sa place dans le ciel de Tours, à plus de 50 mètres du sol. Niché au point culminant du dôme de la basilique qui porte son nom, celui qui fût le premier évêque de Tours trône magistralement en protecteur de la ville. Plutôt que de longs discours, c’est en chiffres et en photos que nous avons décidé de vous faire revivre le retour de l’ancien officier romain en terres tourangelles Mag'Centre, 17/10
(Ménestreau en Villette) Le chemin de croix de l’église restauré À la suite des travaux de rénovation de l’église Notre Dame et de la restauration des anges musiciens, il est apparu nécessaire de réhabiliter les quatorze toiles du chemin de croix. Ce mobilier liturgique, oeuvre de l’atelier Lucien Chovet à Paris, a probablement été offert, ainsi que la cloche prénommée Eugénie, par l’Empereur Napoléon II, vers les années 1865-68. Sur la promesse d’une subvention de 40 % du coût total par la Direction régionale des affaires culturelles, et d’une éventuelle aide du Département, le conseil municipal a décidé d’entreprendre les travaux pour un budget d’environ 30.000 euros, par autofinancement. La restauration a été confiée à deux artisans d’art venus de Champagne. Valérie Trémoulet a restauré les peintures, repris les manques et ravivé les dorures. Hervé Leriche s’est occupé des cadres et de l’accrochage. Jeudi après midi, ils mettaient la dernière touche à leurs travaux. Dans la nef, les étapes de la Passion du Christ brillent désormais de tout leur éclat. (intégral) RC Orleans, 18/10
(Puiseaux) Une cérémonie pour le retour du coq Derrière les échafaudages qui entourent la flèche du clocher de l’église Notre Dame, les maîtres artisans s’affairent. On se rappelle qu’en octobre 2009, des alpinistes du bâtiment avaient dû démonter les huit épis à fleurons, installés aux arêtes des toitures, car l’un d’entre eux s’était détaché et était tombé. Leur reconstruction à l’identique ainsi que celle de la croix avait été confiées aux couvreurs Placier de Bellegarde. Ces derniers viennent d’habiller de plomb, pour l’isoler des intempéries, le fût conique de bois qui va accueillir la hampe de la croix et du coq. Les élus puiseautins et l’architecte en charge de la rénovation du clocher, André Drozd, se sont rendus dans les ateliers de l’entreprise, à Bellegarde, pour voir l’avancement des travaux. RC Loiret, 18/10, p.16
(Le Mesnil Simon) De nouveaux travaux pour l’église L’église Saint Nicolas était comble, dimanche, pour le concert donné par l’orchestre du Mantois et la chorale Elles. Avant la prestation des musiciens, Didier Simo, maire du Mesnil Simon, a rappelé l’importance de la première tranche des travaux : « Leur montant s’élève à 357.000 €. Nous avons pu les mener à bien grâce aux subventions et la souscription lancée par la Fondation du Patrimoine. Nous allons maintenant passer à la deuxième tranche, qui concerne essentiellement la réfection de la chapelle et d’un vitrail classé ». Le maire a remercié toutes les personnes qui ont contribué à la restauration. Les musiciens ont pris la suite avec un programme très swing, revisitant des grands standards du jazz, précédés d’un Bésame mucho survitaminé. (intégral) L'Echo, 18/10
(Le poinçonnet) L’église Saint-Pierre sera restaurée Le montant de la première tranche de travaux de réhabilitation (remise en état des murs intérieurs, ravalement de la façade côté place de 1er mai et du clocher) a été évalué à 30.000 € HT. Il sera financé par le Fonds départemental de restauration du patrimoine, à hauteur de 10.500 €, et sur fonds propres, 19.500 €. (intégral) (Faverolles) Église : gros travaux de restauration D’importants travaux de ré- novation de l' église ont été entrepris par la commune. La dernière tranche se terminera en fin d’année avec la rénovation extérieure ; toiture (charpente-couverture), clocher, murs et entrée. Les travaux intérieur se dérouleront à partir du mois de mai. Les travaux ont été réalisés par les entreprises Martin, Delestre (couverture), Les Métiers du bois de Bourges et Auclair de Lys-Saint-Georges (vitraux). Montant des travaux : 825.624 €. Subventions de 40% de la Région, de 20% du conseil départemental ; d’une enveloppe de 12.000 € de la réserve parlementaire. (intégral) NR Indre, 18/10
(Loches) Statue de la Vierge : des élus fort marris Vous avez raté un épisode au sujet du différend qui oppose l’ancien adjoint au patrimoine Pascal Dubrisay et le maire actuel Marc Angenault sur la gestion de deux dossiers liés au patrimoine ? On reprend le feuilleton au début… > Episode 1 (NR du 10 octobre, « L’ancien adjoint de Loches tacle le maire »). > Episode 2 (NR du 13 octobre, « Le maire tacle à son tour l’ex adjoint »). > Episode 3 (NR de ce jour, que vous êtes en train en lire). « Concernant la loge de vigne, je sais pertinemment que n’étant ni inscrite ni classée, il est de la légitimité de son propriétaire de la détruire s’il le souhaite, admet Pascal Dubrisay dans un communiqué adressé hier à la rédaction. Dans une ville d’art et d’histoire, il m’aurait paru tout à fait naturel d’agir avec la plus grande vigueur et de se battre après avoir fait toutes les propositions possibles : restauration, financements extérieurs, son déplacement si elle gênait et sa reconstruction ailleurs, même sur la propriété de son propriétaire. Il aurait en tout cas fallu se démener jusqu’à obtenir victoire ». > Episode 4. Le retour imminent de la statue à Loches ? Sans doute pas. Nouvelle réponse du maire ? Forte chance… NR Indre et Loire, 18/10, p.25
(Lamotte Beuvron) Une conférence illustrée sur l’histoire de la brique de Sologne Dans le cadre du Projet artistique et culturel de territoire (PACT), le Groupe de recherches archéologiques et historiques de Sologne organise sa 2e conférence, demain. Intitulée « De la brique en Sologne avant 1800 ? », elle sera animée par Lauranne Stainier, historienne de l’art et membre du GRAHS. La br ique est l’un des éléments les plus représentatifs de Sologne. Toutefois, ces édifices qui font le charme des villages solognots ont, pour la plupart, été construits au XIXe siècle, lorsque la région connaît une importante période de développement. RC Orleans, 19/10, p.22
(Bourges) Le portail de l’hôtel de Panette sera rénové Il marque l’entrée de l’Hôtel de Panette, bâtisse du XVIIIe siècle abritant des chambres d’hôtes. Pourtant, portail et hôtel sont de deux époques différentes. Donnant sur la rue Henri Ducrot, ce portail de style gothique a été bâti en 1418. C’était la façade de l’ancienne maison des trésoriers de la Sainte Chapelle de Bourges, qui fut presque entièrement démolie en 1757. Pour revaloriser ce patrimoine vieux de presque 600 ans, les propriétaires de l’hôtel de Panette et l’association la Maison des trésoriers de la Sainte Chapelle de Bourges ont décidé d’effectuer des travaux de rénovation pour redonner une seconde jeunesse à ce vestige du XVe siècle. Investissement : plus de 95 000 euros. Ils seront financés grâce à une campagne de dons, officiellement lancée hier et supervisée par la Fondation du patrimoine. Le Berry, 19/10, p.10
(Chambord) La Fondation du patrimoine fête ses 20 ans Environ 250 membres et amis de la Fondation du patrimoine étaient réunis jeudi dernier à Chambord à l’occasion des vingt ans de cet « organisme privé, indépendant, à but non lucratif et reconnu d’utilité publique ». Jean d’Haussonville, directeur général du Domaine de Chambord, a tenu à remercier la fondation pour l’aide apportée à la suite des inondations, précisant combien avaient également été appréciés les « dons du coeur » effectués individuellement par les adhérents. Dans son intervention, Edouard de Royere, président-fondateur honoraire, a souligné que la Fondation du patrimoine avait pour but essentiel de « sauvegarder et valoriser le patrimoine rural non protégé » rappelant que tous les types de patrimoine de proximité étaient éligibles à l’action de la fondation. Aux côtés de l’Etat et des principaux acteurs du secteur, elle aide les propriétaires publics et associatifs à financer leurs projets, permet aux propriétaires privés de défiscaliser tout ou partie de leurs travaux, et mobilise le mécénat d’entreprise. Au cours des interventions ont été évoquées les différentes modalités de soutien telles que le « label » qui permet de bénéficier, après avis favorable du service départemental de l’architecture et du patrimoine, de déductions fiscales incitatives pour les travaux extérieurs ou encore les « fonds spécifiques » soutenant les métiers du patrimoine ou le patrimoine naturel. Des dirigeants d’entreprises sont intervenus témoignant de leur engagement au travers du « club des mécènes » et soulignant que les entreprises s’inscrivaient également dans le « coeur du territoire ». Cette soirée anniversaire donna l’occasion aux responsables de rendre hommage « au dévouement des équipes et des bénévoles ». (intégral) NR Loir et Cher, 19/10
(Le Poinçonnet) La municipalité apporte de l’argent à ses moulins Le conseil municipal de Romorantin qui s’est réuni en fin d’après midi lundi aura une nouvelle fois permis de revenir sur la crue du 1er juin dernier. « Comme vous le savez, notre commune possède un réseau de barrages important qui permet de réguler les eaux de la Sauldre, mais fait aussi partie du patrimoine des usagers de notre commune », a commencé par rappeler le premier adjoint Didier Guénin, citant les moulins des Poulies, de la Pelure, du Chapitre, de la Ville et autre Musée de Sologne etc. Au total, « la remise en état des 9 ouvrages est estimée à 198.000 euros », précise l’élu avant de demander au conseil de voter les crédits nécessaires à la réalisation de ces opérations et d’engager les études auprès du Syndicat mixte d’aménagement du bassin de la Sauldre (SMABS), en tant que maître d’oeuvre. Le montant des travaux, qui concerneront des passerelles, des vannes, portillons, armoires électriques, vis sans fin, bâtardeaux ou encore radiers, ont été estimés à 58.000 euros pour le barrage des Gués Raides, 31.291 au moulin des Poulies, 27.000 pour le moulin des Garçonnets (MJC) ou encore 24.000 euros concernant le Musée de Sologne. Et ces 200.000 euros ne seront certainement pas les derniers, rappelle le sénateur-maire, une fois la délibération exposée aux élus : « J’ajoute qu’il s’agit d’une première série de petits travaux ». « Un certain nombre d’investissements considérables vont être consentis », poursuit aussi Jeanny Lorgeoux rappelant que pour le seul Musée de Sologne, les dégâts ont été estimés entre 1 et 2 millions d’euros et au moins 2 millions d’euros HT du côté de la MJC. NR Loir et Cher, 19/10, p.22
(Loches) Statue de la Vierge : épisode 4 Dans une « réponse définitive », Marc Angenault a adressé un nouveau communiqué sur les accusations de l’ex-adjoint au patrimoine, Pascal Dubrisay, concernant la destruction d’une loge de vigne et le départ de la statue de la Vierge Notre-Dame-de-Beautertre. Concernant la loge de vigne, le maire confirme que le propriétaire « ne désire pas céder les pierres dont il est propriétaire, malgré nos demandes répétées, et même si je le déplore, c’est son droit ». Pour la statue de Notre-Dame-de-Beautertre : « Je confirme également que nous allons faire des démarches officielles auprès du diocèse et de l’administration pour connaître l’affectation de cette statue ». Le maire conclut son communiqué par un cinglant : « Par de vaines polémiques, M. Dubrisay cherche à nuire, c’est dommage et je le regrette. » (intégral) NR Indre et LoireE, 19/10
L’Association pour l’église de Cepoy oeuvre pour la rénovation de l’édifice depuis 1998 L’église de Cepoy reçoit ce soir, à 20h30, la chanteuse Élodie Ruillier et Cocktail trio lors d’un concert hommage à Ella Fitzgerald. Le groupe et la chanteuse avaient déjà fait sensation, il y a un an, dans ces mêmes lieux. Ce concert est organisé par l’Association pour l’église de Cepoy (APEC). Créée en 1998 sous l’impulsion de Stéphanie Carrouée afin de militer pour la remise en état de l’église Saint Loup, elle a vu ses membres (au nombre de 80 actuellement) se mobiliser pour lever des fonds et impulser d’importants travaux, menés par la municipalité dans la décennie précédente, afin de restaurer profondément l’édifice. Aujourd’hui, l’APEC vient de réceptionner la réfection d’une mosaïque dans la chapelle de la Vierge, complètement refaite par Mario Panizzo, artisan basé à Chevillon sur Huillard. RC Orléans, 21/10, p.17
(Bourges) Les chambres des merveilles, une curiosité À découvrir dès aujourd’hui au palais Jacques Coeur : Les chambres des merveilles. Des évocations des cabinets de curiosités qui plongent petits et grands dans le monde de l’imaginaire, rappelant qu’entre le XVIIe et celui des lumières, on collectionne toute sorte d’objets, étranges ou rares et mystérieux. Cette belle exposition est faite de sept cabinets animés, lumineux ou sonores, dans un monde oublié et toujours magique. Pendant les vacances scolaires, le palais Jacques Coeur propose aux enfants et aux parents des visites découvertes suivies d’ateliers de création. Ils auront lieu les 25, 26, 27, 31 octobre, à 10 heures et 14h30, ainsi que ce dimanche 23 à 14h15 et à 16 heures, dans le cadre de « Monument jeu d’enfant ». (intégral) Le Berry, 21/10
Un label pour sauvegarder le patrimoine rural Pour chaque récipiendaire, recevoir le label Fondation du patrimoine est un aboutissement. « La fin d’un long chemin semé d’embûches pour mener à bien des restaurations. » Lundi, au conseil départemental, dix-sept personnes ont été distinguées pour les travaux réalisés au sein de leurs propriétés : restauration de la façade d ’un manoir du XVe siècle à Chambon-sur-Cisse ; réfection de la toiture d’un moulin à Mazangé ; maçonnerie d’une écurie à Vallières-les-Grandes, toiture d’un ancien presbytère à Villedieu-le-Château… Autant de biens privés non protégés par les Monuments historiques mais présentant un intérêt patrimonial, caractéristique du patrimoine civil et religieux rural. « L’idée est de sauvegarder l’identité du terroir », précise la déléguée départementale Pascale Desurmont. NR Loir et Cher, 21/10, p.8
(L'île-bouchard) Une souscription pour restaurer l’église de Saint-Gilles Valérie Bouchaud-Violleau, maire de L’Ile-Bouchard, a reçu samedi dernier dans la salle du conseil Jacques Guionnet, délégué départemental de la fondation du patrimoine, en présence de conseillers municipaux, de Christian Pimbert, président de la communauté de communes, des membres de l’association pour la sauvegarde de l’église pour la signature de la convention liant la commune et la fondation du patrimoine pour la restauration de l’église Saint-Gilles. Cette église romane du XIe siècle a besoin de gros travaux de restauration. Dans son discours, la maire a souligné que la fréquentation de cette église est importante suite aux apparitions de la Vierge et de l’Ange Gabriel le 8 décembre 1947 à quatre jeunes filles de l’Ile-Bouchard. L’état de ce bâtiment s’est dégradé au fil des ans et le manque de gros travaux réguliers amène à cette situation. « C’est donc à ce titre que la mairie est tenue d’engager des fonds, et par respect envers les générations de bâtisseurs qui nous ont précédées, il me paraît important de sauvegarder cet édifice », a précisé l’élue. NR Indre et Loire, 21/10, p.19
L’engin avait abîmé le rail de l’aérotrain Durant plus d’un mois, les riverains avaient été contraints d’inventer d’ingénieux détours pour circuler en voiture. La faute à un chargeur télescopique – cet engin agricole muni d’un bras équipé d’une fourche et destiné à charger les ballots de paille – qui, le 23 juillet 2015, avait sérieusement éraflé le rail de l’aérotrain. Fragilisée, la structure en béton risquait de s’effondrer en petits morceaux sur la RD 125 qu’il avait donc fallu couper à la circulation. Aux commandes du véhicule fautif, Bernard, un agriculteur de 72 ans, répondait, hier matin, de délit de fuite, devant le tribunal correctionnel d’Orléans. Quoi qu’il en soit, des travaux de réparation s’avérant inadéquats, il a été décidé de découper purement et simplement la portion de rail. Cette opération, menée à l’initiative de l’État le 28 août 2015, a nécessité l’intervention de deux puissantes grues, en raison de la proximité d’une ligne à haute tension. RC Orleans, 22/10, p.4
(pays SancerreSologne) Depuis sa création en 1996, le syndicat a accompagné de très nombreux projets La grange pyramidale à Vailly-sur-Sauldre. Les granges pyramidales et leurs toits à quatre pans qui descendent jusqu’à quelques centimètres du sol, sont une des particularités du Pays Fort. L’une d’entre elles, vouée à disparaître, a été démontée dans une ferme avant d’être remontée, de mars à juillet 2000, route de Concressault à Vailly sur Sauldre, pour y abriter un musée. « Les granges sont des marqueurs importants du Pays Fort », appuie Yves Fromion avant d’ajouter : « Il fallait que le Pays Fort ait le sentiment de bénéficier aussi des initiatives du pays. Il était donc important de mettre une grange en valeur pour susciter l’intérêt des touristes. » (intégral) Le Berry, 22/10
(Talcy) Jeux d'enfants au château, ce week-end Pour sa 18e édition de « Monument jeu d’enfant », le Centre des monuments nationaux propose des activités destinées spécialement au jeune public les samedi 22 et dimanche 23 octobre prochain. Les enfants, de 5 à 12 ans, sont invités à remonter le temps, au travers d’ateliers divers et variés : musique, danse, maquillage, peinture, sculpture, contes et théâtre, cuisine, conception de jeux, reproduction de cabinets de curiosités, enquêtes… Par ces jeux, spectacles ou visites, les châteaux, palais, abbayes ou encore sites archéologiques ouvrent leurs portes à l’imaginaire des enfants. Ces derniers pourront rencontrer l’illustratrice Bernadette Desprès au château de Talcy, ou plonger dans l’univers musical de la Renaissance avec la troupe « Le banquet du roy », au château de Châteaudun. RC Orléans, 20/10, p.19
(Dreux) Trois cordistes nettoient, depuis le début du mois, la toiture de l’église Saint Pierre C’est un chantier qui prend de la hauteur. Depuis le début du mois, trois cordistes sont juchés sur le toit de l’église Saint Pierre, entre 20 et 30 mètres de haut. De quoi donner le vertige aux passants, qui lèvent la tête vers le ciel. Ces spécialistes de la société Intégral, située en Seine et Marne, nettoient avec minutie les tuiles de pays de la toiture de l’édifice religieux. « Ils utilisent un nettoyeur haute pression adapté, avec un faible jet, pour préserver l’édifice », détaille Vincent Poireau, référent technique du patrimoine historique et des bâtiments anciens à la Ville de Dreux. Ces travaux d’entretien, qui permettent de retirer les mousses, qui se sont accumulées au fil du temps sont indispensables. Trois entreprises interviennent en même temps sur ce chantier de nettoyage. + La tourelle sud-est sera consolidée L’Écho, 20/10, p.13
(Blois) En vacances et les sens en éveil au château C’est une déambulation très spéciale qui est proposée aux visiteurs, demain, les samedis 22 et 29, dimanche 30 et lundi 31 octobre, à la fermeture du château royal de Blois. La seule consigne donnée lors de la visite « Plaisirs et sensations » sera de mettre ses sens en alerte. Dans la galerie de la reine, lieu des bals Renaissance, c’est un musicien qui se chargera de l’accueil et en musique s’il vous plaît. Morceaux d’époque et instruments n’auront plus de secrets pour les 25 privilégiés. Une fois l’ouïe comblée, c’est dans la chambre de la reine que l’odorat sera mis à l’épreuve. Un parfumeur reconstituera des fragrances du XVIe siècle, à base d’épices et de fleurs. De surprise en surprise, ce sont les réserves de costumes qui s’ouvriront très exceptionnellement au public. Dans les pas d’un guide conférencier, robes, manteaux et éventails s’offriront aux visiteurs. Mais seuls des tissus de reconstitution seront laissés entre leurs mains. Une surprise pyrotechnique suivra pour le plaisir des yeux. NR Loir et Cher, 20/10
(Lorges) Le coq de l’église retrouve sa place sur le clocher Lors de la tempête du 2 mars dernier, un des deux coqs et le paratonnerre se sont décrochés du clocher de l’église Saint-Martin à Lorges. Après avoir consulté l’architecte des Bâtiments de France, la commune a fait appel à la société ETH bâtiments de Lunay pour procéder à sa restauration. Deux alpinistes-cordistes-couvreurs sont intervenus ces jours derniers pour effectuer les travaux nécessaires sur le toit du clocher pour reprendre la couverture en ardoises et remettre à leur place le coq et le paratonnerre. L’édifice a été reconstruit entre 1540 et 1551, sur l’emplacement d’une petite église datant du XIe siècle, par Jacques de Montgommery. L’église abrite le caveau de sa famille. L’autre particularité de cette église est qu’elle possède deux coqs dont celui de l’ancienne église du Plessis-l’Echelle aujourd’hui rasée. (intégral) NR Loir et Cher, 20/10
(Larçay) Cartes et plans de Touraine : sa passion L’expos ition « Cartes et plans de Touraine du XVIe au XXe siècle » agrémentait la visite du Salon du collectionneur organisé ce dimanche par l’Union philatélique de Tours et Larçay Accueil. Jean-François Hervou, Tourangeau passionné, membre de l’Amicale tourangelle des collectionneurs, présentait quelques-unes des plus belles pièces de sa collection. Pris par le virus à l’occasion de la visite d’une exposition à la bibliothèque, il collectionne depuis trente ans tout document papier concernant notamment la Touraine, des cartes et plans de 1561 à 1950, du duché de Touraine jusqu’aux départements ; des vues à vol d’oiseau, parfois à partir de ballons… Une originale façon de voir l’évolution historique, architecturale, environnementale de la ville de Tours et des villes environnantes. Ainsi, les curieux pouvaient constater que Larçay s’écrivait Larcé jusqu’aux années 1700. Les Larcéens pourront retrouver ce collectionneur à l’occasion de l’exposition « La Voix sacrée » organisée par les Anciens Combattants de Larçay du 9 au 13 novembre. (intégral) NR Indre et Loire, 20/10
(Château-Renault) Conseil : la tour de l’Horloge au menu Lors du conseil municipal du lundi, les dossiers suivants ont été débattus. Grands travaux. Il faut entendre en premier lieu la restauration de la tour de l’Horloge : le permis de construire a été accordé par le préfet de région par arrêté du 23 septembre. Évalués à 622.880 € HT, les travaux débuteront dès que possible, c’est-à-dire après la réception des services de la préfecture d’un diagnostic archéologique de la porte du château. (intégral) NR Indre et Loire, 20/10
(Lignières-de-touraine) La commune souhaite créer un musée vivant Musée vivant. La commune a pour projet de réaliser un musée vivant sur les anciens commerces et bâtiments publics. De vieilles cartes postales ont ainsi été sélectionnées et commentées. Il est envisagé d’imprimer les photos et leurs commentaires sur des supports adaptés afin qu’ils soient positionnés à long terme sur les bâtiments qu’ils représentent, créant ainsi une promenade attractive. Le coût prévisionnel est estimé à 3.500 € HT. Dans le cadre des recettes de taxes de séjour, une subvention peut être demandée à la Communauté de communes du Pays d’Azay-le-Rideau. (intégral) NR Indre et Loire, 20/10
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