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 Revue de presse ( 30 octobre - 5 novembre 2017)

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valerie.maillochon
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Revue de presse ( 30 octobre - 5 novembre 2017) Empty
MessageSujet: Revue de presse ( 30 octobre - 5 novembre 2017)   Revue de presse ( 30 octobre - 5 novembre 2017) Icon_minitimeJeu 2 Nov - 22:15

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Chartres) Le dessinateur, qui consacre une partie de ses oeuvres au monde agricole, est l’invité du Compa
Son ami dessinateur Aurel dit de lui qu’il est « à l’humour fin ce qu’une division panzer est à un orchestre de chambre ». C’est plutôt à coups de cafés et de crayon que Gab s’est fait une place dans le dessin de presse agricole : « Si j’ai réussi à durer, c’est que je sais de quoi je parle. Certains dessinent des conneries ou des caricatures à charge. » Gab publie régulièrement ses dessins dans l’hebdomadaire La France agricole, entre autres. Ce Parisien pure souche a su se faire accepter des agriculteurs, qu’il côtoie aussi bien dans leurs exploitations que dans les foires agricoles, qu’il fréquente plus que les salons de dessin de presse. Taquin, il précise : « Dans les salons, je ne suis qu’un dessinateur parmi d’autres. Dans les foires agricoles, je suis le seul, alors, c’est qui la star ? » Parce qu’il connaît le monde agricole comme sa poche, Gab est invité au musée du Compa, samedi 4 novembre, dans le cadre de l’exposition “La fin des paysans ?”
L'Echo, 01/11, p.5

(Blois) Des nouveautés au Musée d’art religieux

Le Musée diocésain présente des collections variées : statuaire, une importante collection d’orfèvrerie liturgique dont le ciboire de Vendôme, des collections de reliquaires, de paperolles rares du XVIIIe et un remarquable ensemble de paramentiques provenant du carmel de Blois : chasubles et antependium brodés au fil d’or vers 1660. La bibliothèque de la partie visible du musée renferme des incunables, des  manuscrits enluminés (XVe) et, par exemple, un ouvrage du XVIe dont la tranche est gravée aux armes des Médicis. Il est actuellement fermé jusqu’au 10 novembre – comme le Muséum d’histoire naturelle hébergé dans le même bâtiment – et les bénévoles en profitent pour faire du rangement, du tri et du ménage. C’est l’occasion de redécouvrir de petites merveilles.
NR Loir et Cher, 01/11, p.8

(Loches) Plus que cinq jours pour (re) voir Chemiakin

Le nombre de visiteurs sur les six mois de l’exposition Chemiakin n’est pas encore connu, mais Véronique Lourme affiche un grand sourire de satisfaction. Pour la responsable du service Patrimoine de la Ville, Chemiakin est un succès. En mai dernier, la Ville a donné ses clefs à l’artiste russe de renommée internationale. Il expose ses oeuvres dans des lieux publics, comme l’hôtel de ville, la galerie Saint-Antoine, la Chancellerie et la galerie du Chancelier (en accès libre et gratuit), mais aussi dans le jardin du Logis royal. La plus importante exposition se situe au premier étage  de la maison musée Lansyer. Chaque lieu propose un univers différent né de l’imagination fertile de Chemiakin. La Ville avait misé sur un public scolaire et familial. Le résultat est au-delà des attentes.
NR Indre et Loire, 01/11, p.17

(Meung sur Loire) Des fossiles témoins du passé
Dans l’espace paléontologique du nom de son donateur, François Quatrehomme (1910-1996), s’expose ce qu’il a collecté toute sa vie : des fossiles d’animaux et de végétaux provenant de la mer des Faluns, et prélevés dans les carrières de sable coquillé d’Anjou, de Touraine et du Blésois. En fin de vie, il décide de léguer sa collection au musée de Meung. Ces fossiles sont issus de la mer des Faluns qui recouvrait, il y a environ 15 millions d’années, une partie de la Bretagne, de l’Anjou et de la Touraine jusqu’au val de Loire à l’ouest et au Poitou vers le sud. La Bretagne était alors une île. Ces régions de France possèdent alors un climat subtropical à tempéré chaud. En 2015 et 2016, des étudiants paléontologues ont commencé à travailler sur l’inventaire de la collection. Cette année, au terme d’une longue étude et d’un inventaire, encore partiel, un congrès scientifique a permis à Morgane Dubied, Maxime Deléglise et Flavie Laurens, étudiants, et à Charlène Gilbert, responsable du musée, de présenter les premières conclusions.
RC Orleans, 31/10, p.17

(Sainte Montaine) L’animatrice du musée fait ses adieux
Elle était entrée au musée Marguerite Audoux lors de son ouverture dans la petite commune de Sainte Montaine en avril 2016. Sabine Sauvage vient de dire au revoir à ce musée auquel elle s’était consacrée pendant près d’un an et demi. À l’issue d’un emploi en contrat aidé, Sabine a bénéficié d’un CDD de trois ans renouvelable chaque année. Malheureusement, la municipalité, au vu de la conjoncture, s’est trouvée dans l’obligation de trancher et a licencié son employée, à dater du 15 octobre der nier, laissant le musée Marguerite Audoux en quelque sorte, un peu orphelin. Vendredi dernier, Sabine avait invité les Montainais à un pot de départ. Elle a affirmé : « Votre musée peut vivre, c’est assez simple ». D’ailleurs, en créant une association autour de Marguerite Audoux, le Cercle des amis de Marguerite Audoux (Cama), la poignée de fidèles prouve que l’aventure n’est pas prête de prendre fin. Et Sabine Sauvage compte bien revenir elle aussi pour des animations ponctuelles. (intégral)
Le Berry, 31/10

(Vatan) La belle année du Musée du cirque
Le Musée du cirque de Vatan affiche un excellent taux de fréquentation pour les trois trimestres qui viennent de s’écouler. « Nous avons, depuis le début de l’année, 3.543 visites, se félicite Michel Caudoux, président. Les Journées européennes du patrimoine ont constitué un pic avec 920 entrées payantes sur les deux jours. Les pass familles et les partenariats mis en place avec les divers acteurs du tourisme, les prêts pour des expositions consacrées au cirque, de Vierzon à Issoudun, agrémentées de jeux et de billets d’entrée à gagner, génèrent également des retombées non négligeables. Les visites de groupe sont également plébiscitées. » 2017 est donc partie pour être un très bon cru pour le musée.
NR Indre, 30/10, p.18


Dernière édition par valerie.maillochon le Jeu 2 Nov - 22:34, édité 3 fois
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MessageSujet: Revue de presse ( 30 octobre - 5 novembre 2017)   Revue de presse ( 30 octobre - 5 novembre 2017) Icon_minitimeJeu 2 Nov - 22:17

Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Orleans) Deux vitraillistes ont découvert l’état critique de plusieurs éléments dédiés à Jeanne d’Arc

Le drame a été évité de justesse. Un drame humain, car le vitrail aurait pu tomber sur quelqu’un. Un drame patrimonial car celui ci aurait pu être détruit et entraîner d’autres dégâts sur la baie de la cathédrale d’Orléans. Mais heureusement, l’oeil des professionnels a évité la catastrophe. L’histoire est atypique. Lisa Gallet et Eddy Romet sont tous deux vitraillistes. Après avoir travaillé chez de grands noms, ils ont ouvert leur propre atelier Vitrail and co, depuis avril 2016, au 3 rue des Carmes. « La municipalité d’Orléans avait organisé, avant les vacances d’été, des visites pour les commerçants d’Orléans. Nous nous étions inscrits à toutes et principalement à celle sur les vitraux de la cathédrale. Lorsque nous étions sur place, nous nous sommes rendu compte que l’une des vergettes (une sorte de tringle) tenant la rosace (sur la baie n°6 des vitraux dédiés à l’histoire de Jeanne d’Arc, la première à droite en entrant dans la cathédrale) était décrochée et que celle ci pouvait tomber. Nous avons pris des photos et contacté le conservateur régional des monuments historiques de la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) dès le lendemain. Ils nous ont autorisés à intervenir d’urgence, dans la semaine qui a suivi », racontent Eddy et Lisa, encore abasourdis par cette coïncidence. Ils ont aussi constaté un problème sur la baie n° 8 toujours issue de la série de vitraux sur l’histoire de Jeanne d’Arc « Il s’agit de la lancette n° 4 en partant de la gauche, le panneau n° 2 en partant du bas », précise la DRAC. Pour aller décrocher les vitraux en question, une nacelle araignée intérieure a été utilisée. « Nous avons proposé de faire un bilan de l’état des autres baies, tant que  nous avions la nacelle. Nous avons consigné le tout dans un référentiel, remis à la DRAC. Nous avons estimé que trois sont à revoir, mais ces vitraux ne sont pas à l’état de chute, comme les deux autres... »
+ Des éléments des bas-côtés de la nef, dédiés à Jeanne d’Arc
RC Orleans, 02/11, p.7

(Artenay) Le moulin a retrouvé ses ailes
Le conseil municipal d’Artenay s’est réuni lundi soir. Parmi les différents dossiers à l’ordre du jour, celui des travaux de réfection des ailles du moulin de pierre a retenu l’attention des élus. Il faut rappeler que le moulin avait perdu deux ailes lors d’une malheureuse manoeuvre en août 2016. Un an après, les travaux de réfection ont été effectués par une entreprise spécialisée et le moulin a retrouvé toute sa beauté et ses fonctionnalités. Le montant des travaux s’est élevé à 28.514 euros toutes taxes comprises. L’association Les Amis du moulin a participé à hauteur de 7.500 euros, le département à hauteur de 5.000 euros et le reste allant à la charge de la commune. (intégral)
RC Orleans, 02/11

Saint Amand met en valeur ses grands hommes et l’art funéraire à l’ancien cimetière

«C’est notre Père Lachaise à nous ». Claude Roger, premier adjoint au maire de Saint Amand, établit la comparaison, toutes proportions gardées, entre l’ancien cimetière de la ville et son homologue parisien. Évidemment, on ne trouve pas, dans le cimetière de la rue des Grands Villages, des noms illustres tels qu’Oscar Wilde ou Guillaume  Apollinaire, mais plusieurs figures locales reposent dans ce lieu. La Toussaint donne l’occasion de découvrir leur histoire. Afin de mettre en avant l’histoire de la cité, la municipalité a mis en place, voici cinq ans, un double parcours afin de repérer quelques tombes emblématiques. Outre le circuit des grands hommes qui ont contribué à l’essor de la cité, la ville met en exergue certaines particularités architecturales au travers du circuit de l’art funéraire. Dix sept tombes ont été retenues pour le premier parcours et seize pour le second.
Le Berry, 01/11, p.12

(Fougères-sur-Bièvre) Zombies et sorcières au château de Fougères
Alors Chevaliers de 18h, qui veut entrer dans la légende ? La mine sinistre de la méchante femme jouée par Ludivine Garrigue ne  dissuade pas la petite troupe déguisée d’entrer par une poterne entre deux têtes de mort. « Bien peu reviendront vivants ! » Cause toujours ! Il est vrai qu’il y a du danger. Hier, la petite Emma, en entrant la première dans la cour du château, s’est pris un méchant coup de couteau dans la tête. D’ailleurs, il y est resté ! Ça ne dépare guère parmi les jeunes dames au teint verdâtre de cadavre, ni ces visages de fantômes déformés par la mauvaiseté ! Hou, hou, le guide conférencier comédien Jean-Yves Pouchoux se met à grincer des dents en tenant d’inquiétants propos. C’est gai. Justement, dans la cour du château, s’introduisant par un hurlement, Denis Lelaie – organisateur d’événementiels autour de Jeanne d’Arc ou Jean-Eugène Robert-Houdin – s’est glissé sans difficulté dans la peau – ou plutôt dans l’armure – de Pierre Refuge. A la fin du XVe siècle, il était l’un des principaux bâtisseurs du château. En attendant, il tonitrue et incite les visiteurs à aller chercher, sous les arcades, de précieux parchemins pour trouver la sortie.
NR Loir et Cher, 01/11, p.3

(Chanceaux-sur-choisille) Rénovation de l’église : dépôt du permis de construire

Les conseillers donnent autorisation au maire de déposer la demande de permis de construire pour la première tranche des travaux de restauration des parties hautes de la nef et d’accessibilité de l’église. Patrick Delétang, maire, a rappelé le long délai de ce dossier : « Les travaux pourront commencer dès l’autorisation du permis de construire. Il y aura des recherches archéologiques obligatoires sur le côté, là où il y aura les travaux de l’allée pour les personnes à mobilité réduite. » (intégral)
NR Indre et Loire, 01/11

(Batilly en Puisaye) Une souscription au profit du clocher de l’église
Samedi matin, une convention de souscription publique a été signée entre la commune de Batilly- en-Puisaye et la Fondation du patrimoine pour la  restauration du clocher de l’église, en présence d’élus locaux. Cette souscription a été lancée pour faire appel au mécénat populaire. Cela permet aux habitants de participer à la restauration de leur patrimoine local. Elle a été aussi lancée pour compléter le financement des travaux de restauration de l’église. Le montant des travaux s’élève à 220.000 €. La commune a déjà obtenu 88.000 € du Conseil départemental, 22.000 € d’aide parlementaire et 55.000 € de la DETR (dotation d’équipement des territoires ruraux). Le but de cette souscription est de récolter au moins 5 % du montant d’une partie des travaux, soit 9.000 € pour pouvoir prétendre à une subvention du fond régional du patrimoine.
RC Loiret, 31/10, p.15

(Chalivoy-Milon) Le monde entier attiré par les fresques
«Cette église est exceptionnelle. » Encore émerveillée par ce qu’elle vient de découvrir, Saïto pourrait rester pendant des heures à scruter les 350 mètres carrés de fresques qui ornent les murs de l’église de Saint Éloi. Venue spécialement du Japon avec d’autres professeurs, la jeune femme ne se lasse pas de contempler les vingt deux épisodes tirés des évangiles illustrant la vie du Christ. « Le tableau où on aperçoit Judas avec un serpent autour du cou est particulièrement remarquable », poursuit Saïto tout en prenant des notes qu’elles renferment précieusement dans son calepin. Comme elles, ils sont chaque année des centaines de visiteurs à venir admirer les fresques de l’église de Chalivoy-Milon qui datent des années 1140-1150. Portugal, Espagne, Belgique, Hollande… Tous les pays européens ont déjà franchi les  portes de l’édifice qui affiche fièrement les drapeaux de chacune de ces nations. « Nous avons également reçu des Américains ou encore des Néozélandais », ajoute Étiennette Mercier, secrétaire et vice présidente de l’Association Patrimoine et Nature qui fait visiter l’église, tous les ans, à près de 2.000 personnes. « La BBC (British Broadcasting Corporation NDLR) a également réalisé des films sur l’église, ajoute Étiennette Mercier qui compte également le Louvre, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ou encore la Sorbonne parmi ses  visiteurs. « Plusieurs Américains, dont Maria Kupfer, ont aussi réalisé des thèses. » Ces fresques, âgées de presque neuf cents ans, auraient pu tomber dans l’oubli.
Le Berry, 30/10, p.31

(Courville sur Eure) La restauration de l’église se poursuit

Lancés en septembre 2015, les travaux de restauration de l’église Saint Pierre avancent. La seconde phase du projet, qui en compte trois, vient de se terminer. Richard Pépin, adjoint au maire, rappelle : « La première phase, terminée en octobre 2016, consistait à créer un bel élément lumineux en verre, au dessus de la porte d’entrée, à refaire une partie de la charpente et différents éléments de pierre de taille. Pour la seconde phase, la charpente, des éléments de maçonnerie et la toiture en tuile de la partie centrale ont été refaits. Tous les vitraux ont été réparés et protégés ». Suivi par l’architecte Patrice Calvel, qui a été aux petits soins de la Cathédrale de Chartres pendant vingt cinq ans, le chantier va entrer dans sa troisième phase en janvier 2018 pour se terminer en septembre 2018.
L'Echo, 30/10, p.9

(Bourges) Les Diseurs du Berry reprendront, dès dimanche 5 novembre, leurs visites théâtralisées
Il y a un peu plus d’un an, en juin 2016, un groupe de Berruyers, passionnés par l’hisoire de Bourges, lançait sa première visite théâtralisée intitulée La Tournée du grand duc. Ce groupe de Berruyers s’appelle les Diseurs du Berry. Il prend la suite des visites théâtralisées organisées par l’office de tourisme de 2001 à 2015. Désormais, deux à trois fois par an, le groupe organise des visites théâtralisées ou animées, avec des personnages costumés. À partir de ce dimanche 5 novembre, le groupe reprend du service avec une série de visites théâtralisées au cimetière Saint Lazare : « ce cimetière est complètement méconnu à part deux ou trois spécialistes, raconte Christophe Gratias, membre des Diseurs du Berry. C’est l’occasion de le faire découvrir au public. » Ce cimetière, qui a été mis en service en 1836, a été agrandi pour la première fois en 1908. Peu de Berruyers savent qu’un tunnel piéton, situé sous la rue médiane, permet de relier les deux parties du cimetière. Les deux premières représentations, dimanche, seront consacrées aux grands personnages civils du cimetière.
Le Berry, 03/11, p.11

(Sancerre) Immersion dans les souterrains du piton

Alors que les premiers coups de pelles ont été donnés il y a dix jours aux Remparts, les tranchées ont permis de s’immiscer dans les entrailles de Sancerre et de faire ressortir une face cachée du piton. Puisqu’un imposant dalot (*), haut de deux mètres, est sorti de terre. La voûte traverse en profondeur l’Avenue nationale et arrive au niveau des Remparts, avec un puits de quatre mètres de profondeur. Une imposante voûte de deux mètres de hauteur Ces galeries voûtées, Amaury Couet, devenu adjoint au maire, les connaît bien, pour en avoir fait l’un de ses terrains de jeu, lorsqu’il était plus jeune. « J’habitais avec mes parents sur l’avenue, en face des Remparts. Juste à côté de chez nous se trouvait un terrain communal, avec un lavoir à l’abandon. J’avais l’habitude d’y aller avec un copain. On avait trouvé une trappe un peu par hasard qui donnait accès à ces fameux dalots, dans lesquels on allait souvent se balader sans vraiment se rendre compte où l’on était », se remémore t il, le sourire aux lèvres. Il s’agissait des anciens égouts de la ville, avec une partie encore utilisée aujourd’hui, et une branche qui part désormais en direction de la station d’épuration de Saint Satur. La Saur, qui a « procédé avant le début des travaux à un état des lieux, est passée avec une caméra dans les grandes conduites », et s’est rendu compte que des racines d’arbres avaient endommagé le dalot. Ainsi, le chantier, qui ne devrait pas se finir avant mai 2018, sera l’occasion de le rénover.
(*) Ce terme de génie civil désigne un petit canal, dallé et couvert, servant à l’évacuation des eaux sous un autre ouvrage (route, voie ferrée…)
Le Berry, 03/11, p.18

(Maintenon) L’envers du décor se livre aux visiteurs
Le Conseil départemental d’Eure et Loir, qui assure la gestion du château de Maintenon, propose de visiter les coulisses du spectacle du Fabuleux Noël, en semaine et en journée. Morgane Philippe, gérante du château pour le compte du Conseil départemental d’EureetLoir, assurera ces visites, du mardi 28 novembre au vendredi 15 décembre. Elle précise : « L’an dernier, cette visite des coulisses du spectacle avait été proposée pour la première fois. 500 scolaires en avaient bénéficié. Cette année, cette visite leur est toujours essentiellement destinée, puisque c’est l’une des vocations du Conseil départemental que d’accueillir le public scolaire, mais elle est étendue aux groupes d’adultes qui souhaitent en bénéficier. » Morgane Philippe argumente : « Le principal problème que pose le spectacle du Fabuleux Noël, c’est le rythme imposé aux spectateurs. Pendant une heure, ils doivent passer d’une pièce à l’autre toutes les cinq minutes, en montant ou en descendant des escaliers. Ça ne pose pas de problème aux personnes valides, mais le château n’est pas adapté aux personnes à mobilité réduite. » Et la gérante de poursuivre : « C’est pour que ces personnes là puissent quand même profiter du spectacle que nous avons décidé de leur ouvrir les coulisses du spectacle du Fabuleux Noël, dans la journée, en semaine. »
+ Le Fabuleux Noël sera joué pendant quatre weekends, du 24 novembre au 17 décembre, un millier de places seulement sont encore disponibles
L'Echo, 03/11, p.24

Débats autour d’un ancien logis seigneurial
La Cour administrative d’appel de Nantes a débouté François-Nicolas d’Epoisse, propriétaire d’un ancien logis seigneurial à Fresnes (Loir-et-Cher), qui contestait le refus de l’administration, en janvier 2013, d’inscrire sa propriété à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Quelques mois plus tôt, en octobre 2012, la commission régionale du patrimoine et des sites de la région Centre s’était, en effet, prononcée contre un tel classement et le préfet du Loir-et-Cher avait suivi son avis. Le propriétaire, qui avait contesté cette décision devant le tribunal administratif d’Orléans, avait été désavoué en décembre 2015. En appel, François-Nicolas d’Epoisse maintenait que la commission avait commis « une erreur de fait, sinon une erreur de droit ». Elle aurait pris en considération le fait qu’il « cherchait à entraver des projets communaux ». Les constructions et aménagements aux abords des monuments historiques sont en effet très fortement encadrés par la loi. L’homme se disait au contraire « en mesure de justifier de l’intérêt qu’il porte à l’histoire de sa région ». Selon lui, « l’intérêt historique de l’édifice était suffisamment établi pour obtenir le précieux sésame » qui ouvre droit à des avantages fiscaux : les frais d’entretien ou les frais de garde par un concierge peuvent, par exemple, être déduits du revenu imposable des propriétaires. Il réclamait au passage 1.500 € pour ses frais de justice. Reste que la Cour administrative d’appel de Nantes estime, pour sa part, qu’il n’y a « pas de décision administrative qui puisse être annulée dans cette affaire ». L’avis émis par la commission du patrimoine […] sur la demande de classement par M. d’Epoisse […], dans le seul but d’éclairer le préfet qui est seul compétent pour statuer sur la demande « n’a pas le caractère d’une décision susceptible de faire grief par elle même au requérant », explique la cour. François-Nicolas d’Epoisse a désormais jusqu’au 2 décembre pour contester cet arrêt devant le Conseil d’État, la plus haute juridiction administrative française. (intégral)
NR Indre, 03/11
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