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| | Revue de presse (12 - 18 mars 2018) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (12 - 18 mars 2018) Mer 14 Mar - 12:31 | |
| Musées région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire
(Le Blanc) L’Écomusée de la Brenne à la croisée des chemins L’Écomusée de la Brenne et du Pays blancois accueillera le public, le 24 mars, après trois mois de fermeture. Si cette hibernation n’a rien d’exceptionnel, la saison 2018 se présente sous un angle nouveau. Hélène Guillemot, qui dirigeait l’établissement depuis sa création en 1986, est partie en retraite. Et la création récente du pôle Destination Brenne remet en cause le fonctionnement antérieur des différents sites touristiques du territoire du Parc. Courant 2017, la responsable des lieux évoquait son prochain départ en indiquant que la ville du Blanc travaillait sur le projet de rapprocher l’Écomusée du parc régional. Une remarque confirmée par le maire, Annick Gombert, qui précise « Les trois autres salariés, dont Benoît Huyghe qui assure les animations pédagogiques, restent en place. Ils ont d’ailleurs été occupés, ces dernières semaines, à réaménager l’accueil. Nous allons également recruter, dans le cadre du programme Leader, une personne en emploi partagé avec le PNR. Elle aura des compétences scientifiques reconnues qui permettront d’obtenir le label musée de France, grâce à la collection d’oiseaux. » Ce renfort va ainsi conforter le partenariat le partenariat avec le PNR qui participe au fonctionnement annuel de l’établissement à hauteur de 8.000 €. NR Indre, 13/03, p.7
(Sceaux du Gâtinais) Un riche avenir pour le site L’association Segeta a tenu son assemblée générale samedi, à la mairie. Pour ce qui concerne les projets, la présidente évoque la possibilité de mettre sur pied un projet de film retraçant l’histoire du site archéologique ; elle présente au public, Lucien Boquet, étudiant en audiovisuel qui propose de recueillir la mémoire collective des anciens, à travers leurs témoignages oraux et écrits et documents en leur possession. Le site, présentant une structure en amphithéâtre et une bonne acoustique, pourrait accueillir une formation musicale en 2019. Frédéric Neyraud, a tenu à être présent à cette assemblée pour apporter quelques précisions sur le projet de construction du musée, sur le site. Ce projet est inclus dans un global de quatre réalisations structurantes menées par la communauté de communes des quatre vallées (CC4V ) avec une participation financière du conseil départemental de 397.500 euros. Le début des travaux est prévu à l’automne 2019, une ouverture au public en 2020 pour un coût global estimé entre 2,5 et 3 millions d’euros. RC Loiret, 14/03, p.17
(Dreux) L’Écomusée sera désormais fermé du samedi au lundi À Flora Gallica, l’heure est grave. Mis en difficulté par la volonté du gouvernement d’Édouard Philippe de limiter le nombre de contrats aidés, l’Écomusée a été contraint, début mars, de revoir à la baisse ses horaires d’ouverture. « Désormais, nous serons fermés du samedi au lundi. […] En tout, nous perdons 20 heures d’ouverture par semaine », se désole François Fillon, le président de l’association. Toujours à cause du manque d’effectifs, « Flora Gallica a dû, pour la première fois cette année, faire appel à des professionnels pour entretenir la vigne. Cela a coûté 2.500 € ». Outre la perte de « deux [de ses] quatre emplois aidés d’ici au mois d’avril », Flora Gallica pâtit, comme beaucoup d’associations, du vieillissement de ses membres. La situation est si précaire que ce dernier craint de devoir mettre la clef sous la porte dès le mois de juin, alors même que l’Écomusée est recommandé par le Guide du Routard 2018 et qu’il a accueilli l’an passé quelque 3.000 visiteurs, dont 500 scolaires. L'Echo, 14/03, p.15
(Chançay) Au musée de la vigne et de la tonnellerie Au carrefour de la route des vins à Chançay, le musée Cathelineau renferme des trésors, un musée où vigne, tonnellerie et maréchalerie perpétuent le savoir-faire de sept générations de vignerons et font découvrir un passé intact depuis 1690. A l’entrée, un pressoir à cordes et claviers du XVIIe, rarissime, puis quelques ceps plantés en quinconce, représentant une façon de conduire la vigne au XIXe siècle. Des outils uniques : de l’étrange volant à rogner au plus simple sécateur-serpe ou au sécateur actuel inventé en exil par Bertrand de Molleville, ancien ministre de Louis XVI ; la gueule bée, un tonneau ouvert d’un côté pour recevoir la vendange ; le tarare qui servait à nettoyer le blé et l’épeautre avant de l’apporter au meunier (à l’époque du phylloxera, il était fréquent de cultiver les céréales) ; la décavaillonneuse, cette petite charrue qui permettait d’enlever l’herbe sous le rang avec un cheval… Ce musée est visitable les samedis et dimanches au 24 rue des Violettes à Chançay avec Mme Cathelineau, tél. 02.47.52.20.61. (intégral) NR Indre et Loire, 14/03
Dernière édition par valerie.maillochon le Mer 14 Mar - 15:10, édité 2 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (12 - 18 mars 2018) Mer 14 Mar - 12:32 | |
| Archéologie région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (12 - 18 mars 2018) Mer 14 Mar - 12:32 | |
| Patrimoine région Centre-Val de Loire
Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire
(Nohant Vic) Les femmes oubliées de l’histoire réhabilitées Le collectif Georgette Sand dans le domaine de George Sand, à Nohant-Vic, cela paraît logique. Pourtant, c’était une première, dimanche après-midi. « On s’était dit que le jour où on sortirait le livre, il faudrait absolument qu’on passe par ici », confie Ophélie Latil, membre du collectif parisien qui existe depuis 2014 et dont les membres viennent de la France entière. Ni vues, ni connues, aux Éditions Hugo & Compagnie, est paru le 5 octobre 2017. A travers cet ouvrage rédigé collectivement, les mécanismes qui font disparaître les femmes de l’histoire culturelle, politique, artistique ou scientifique, sont décortiqués et étayés par soixante-quinze exemples . « L’histoire, c’est ce qui s’est passé, mais c’est aussi le récit qu’on en fait, et ce récit a souvent été écrit par des hommes », explique Perrine Sacré. NR Indre, 13/03, p.7
(Averdon) La Fondation du patrimoine courtise l’église Toute la population d’Averdon est conviée à la salle des fêtes de la commune le 16 mars prochain. Elle y prendra connaissance du projet de restauration du choeur de l’église porté par l’équipe municipale : un gros chantier en perspective, qui s’étalera sur trois années consécutives et mobilisera une enveloppe de 450.000 euros. La dépense excède largement les moyens de la localité. « Notre capacité d’investissement annuelle est de 100.000 euros » explique le maire Didier Moëlo. « Heureusement, l’édifice est classé monument historique depuis 1947, ce qui nous vaut une subvention de la Drac à hauteur de 50 %. Le Département nous a également promis une participation représentant 15 % du solde. Il reste encore près de 200.000 € à trouver : beaucoup trop pour nos seuls fonds propres. » C’est à ce stade qu’intervient la Fondation du patrimoine. Séduite par la qualité architecturale de l’église, l’une des plus anciennes du département avec sa nef du XIe siècle, sa déléguée départementale Annette Doire a décidé de lancer une souscription. Et pas n’importe laquelle puisque ce sera la centième depuis une dizaine d’années qu’existe cette forme de mécénat populaire ouvert aux particuliers et aux entreprises. NR Loir et Cher, 13/03, p.2
(Bourges) Un nouveau toit pour la gare La nouvelle n’est pas passée inaperçue pour les voyageurs en gare de Bourges. Depuis quelques jours, des échafaudages ont été installés sur la façade du bâtiment situé à droite de la gare, en venant du centre ville. La SNCF a en effet décidé de remplacer la toiture du bâtiment voyageurs. L’entreprise Hemery, située à Bourges depuis 1840, est chargée de l’exécution des travaux. C’est SNCF Gares & Connections à Rennes (Île et Vilaine) qui s’occupe de la maîtrise d’ouvrage. L’agence Gare & Connexions, de Saint Pierre des Corps est chargée quant à elle de la maîtrise d’oeuvre générale. Selon l’auteur Roland Narboux, la gare de Bourges daterait de 1868. Elle a été agrandie en 1880. Le Berry, 14/03, p.12
(Romorantin) La porte des Béliers poursuit sa mue Avec la réhabilitation de la Fabrique Normant, la porte des Béliers est une autre étape de la reconstitution du quartier de l’empire familial Normant. Ce bâtiment d’une quinzaine de mètres de hauteur était l’entrée de l’usine de textile. Lors du conseil municipal, lundi soir, le maire a rappelé le calendrier et le coût de ce chantier. « Un investissement de 2,2 millions d’euros étalé sur deux exercices », explique Jeanny Lorgeoux. Après la période de déconstruction, la réhabilitation pourra réellement débuter. « Les travaux devraient commencer en juin ou septembre », indiquait, lundi soir, Jeanny Lorgeoux. D’ici là, les salariés d’Alltech Déconstruction, société du Maine-et-Loire, sont à pied d’oeuvre encore pour au moins un mois. Ils sont arrivés en novembre dernier. NR Loir et Cher, 14/03, p.25 | |
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