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 Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018)   Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018) Icon_minitimeSam 31 Mar - 22:50

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire


(Epineuil le Fleuriel) La maison école va rouvrir
Il reste une dizaine de jours pour alimenter à la cagnotte ouverte, sur leetchi.com, par la maison école du Grand Meaulnes dont l’équilibre financier menaçait jusqu’alors l’ouverture. Mais la sauvegarde de ce patrimoine emblématique d’Épineuil le Fleuriel, qui a inspiré à Alain Fournier son roman le Grand Meaulnes, est assurée, au moins pour 2018. « Le bureau a décidé de rouvrir au 1er avril », relaie Patricia Berby, salariée de l’association. Les 6.000 euros pour l’instant collectés, dont 4.000 via la cagnotte en ligne, vont aider à boucler le budget de 62.000 euros. La maison école du Grand Meaulnes a validé le programme de sa saison culturelle, avec les habituelles expositions, visites aux chandelles, dictée, certificat d’étude, etc. Elle continue cependant de rêver au  grand soir qui lui permettrait de financer son projet de vitrines holographiques, afin de « redonner attrait et modernité au musée, après vingt quatre ans d’existence et un quasi immobilisme dans la manière de faire. »
Le Berry, 20/03, p.20

(Chartres) Dans l’antre du « dernier dinosaure »
Un rostre de narval, une dent de requin préhistorique, une défense de mammouth, un crâne de tigre à dents de sabre, des trophées de pêche sportive. Et, en chair et en os, un “ours mal léché” que les enfants adorent. Dans l’immense collection de pièces zoologiques qu’il a rassemblées dans son cabinet de curiosités, à Nogent le Roi, François Colin n’est pas la moindre des créatures de ce bestiaire baroque. Ce spécialiste de la biologie des poissons, titulaire d’une maîtrise et attaché au Muséum d’histoire naturelle de Chartres depuis 1985, se définit lui même comme « le dernier dinosaure » d’un espace muséal fermé depuis trois ans, dont il perpétue l’héritage, hors les murs, en donnant des conférences et en proposant des animations dans les écoles.
L'Echo, 20/03, p.6

(Prissac) Beaucoup d’interrogations autour des Trois Musées
Les inquiétudes des élus de Prissac sont à la hauteur des craintes de Pierre Cotinat. Ce retraité de 84 ans qui a, en 1986, créé de toutes pièces le Musée du machinisme agricole, redoute de voir disparaître l’oeuvre d’une vie. Pour les édiles locaux, la pilule est d’autant plus difficile à avaler que le bâtiment municipal qui accueille cette collection s’est enrichi au fil du temps de deux autres espaces touristiques : le Musée du facteur rural qui retrace l’histoire de la poste, et l’Espace Gutenberg, voué à l’imprimerie. Géré au départ par le syndicat d’initiative, puis par l’office de tourisme du canton de Bélâbre, l’établissement a ensuite été chapeauté par la Communauté de communes Marche Occitane-Val d’Anglin (Mova), mais l’application de la Loi NOTRe a redistribué les cartes. Cette dernière collectivité n’a pas la compétence musées dévolue maintenant sur l’ensemble du Parc à l’association intercommunautaire, Destination Brenne.
NR Indre, 20/03, p.5

(Tours) Quand le chantier de l’A 10 devient une oeuvre d’art
Depuis 2015, le chantier d’élargissement de l’A 10 rime avec « galère » pour de nombreux habitants d’Indre-et-Loire. Alors Vinci Autoroutes a fait un pari : montrer que ces travaux peuvent être une source d’inspiration. Pour cela, le groupe a missionné six artistes. Le résultat est visible à l’exposition « Etna, quel chantier ! », installée jusqu’au samedi 31 mars au musée des Beaux-Arts de Tours. Ce nom volcanique signifie en fait « Espace temporaire numérique et artistique » : dans le jardin et à l’intérieur du musée, les visiteurs découvrent des oeuvres numériques et éphémères. Le photographe Guillaume Le Baube a choisi de montrer le quotidien des  bâtisseurs de l’A 10. Deux clichés tirés de son travail illustrent un container de chantier, installé dans le parc du musée. Ce dernier abrite les oeuvres du vidéaste plasticien Ma Zhong Yi, qui a également réalisé une fresque d’une centaine de mètres, visible dans le jardin, après avoir été exposée le long de l’autoroute. Jusqu’au 31 mars, de 9h à 12h45 et de 14h à 18h
NR Indre et Loire, 20/03, p.7

(Bourges) La tapisserie est toujours dans le vent
L’exposition Par la laine et le papier, organisée pour les trente ans du musée Estève a mis l’accent sur les tapisseries imaginées par Maurice Estève. L’artiste n’en a créé que sept au cours de sa longue carrière. Pour la première fois, l’exposition les réunit toutes, au rez de chaussée de l’hôtel des Échevins. Cette exposition, qui fait le lien entre les métiers d’art et la création contemporaine, a donné l’idée aux musées de Bourges et à l’école nationale supérieure d’art (Ensa) d’organiser une journée d’étude dédiée à la tapisserie, demain. Intitulée Tapisserie, matière de création, elle débute au musée Estève et se poursuit à l’amphithéâtre de l’Ensa. Au menu de ce mardi, une évocation chronologique de cet art textile : les canevas de Jean Lurçat, qui fait partie des artistes qui ont relancé la tapisserie en France ; la création contemporaine à Aubusson comme au Mobilier national ; la commande publique… L’occasion pour les deux institutions berruyères de réunir des spécialistes.
Le Berry, 26/03, p.8

(Chaon) La Maison du braconnage prépare sa mue
Comme dirait Eugène Trousselapin, le plus célèbre braconnier des réseaux sociaux : « Y’en aura pour tout le monde ! » cette année à la Maison du braconnage à Chaon. Le musée lance sa saison ce samedi avec une exposition d’oeuvres de Louis-Joseph Soulas, illustrateur notamment de la seconde édition de « Raboliot » de Maurice Genevoix. Suivront jusqu’au 11 novembre, d’autres expositions, visites thématiques, concerts, date de la fermeture de la maison. Ce jour-là, le spectacle de Véronique Blot « Coeur de braco » célébrera les dix ans de Bernadette, la braconnière. Lors de l’assemblée générale des Amis de la Maison du braconnage, samedi, le bureau est revenu sur le bilan de l’année. La Maison du braconnage avec les deux autres maisons thématiques (Maison des étangs et du cerf) ont lancé un audit en 2017. Des points faibles sont apparus : manque de personnel pour l’accueil et la visite, vieillissement des bénévoles, relatif éloignement d’une maison à l’autre, une scénographie vieillissante, manque de signalétique. « Mais il y a des points forts, rassure Noëlle Gardet. Qualité d’accueil et de visite, gestion par des passionnés, proximité des grands sites culturels… » Face à ce constat, les présidents des maisons ont décidé de constituer un dossier Leader, pour chercher des fonds européens. L’objectif premier est de moderniser la scénographie, 20 ans d’âge pour celle du braconnage.
NR Loir et Cher, 26/03, p.45

(Tours) Le Muséum lance une enquête publique
Seize colonies de fourmis ont pris leurs quartiers au Muséum d’histoire naturelle, jusqu’à fin août. Dans le cadre de ses expositions, le musée présente régulièrement au public des animaux vivants non domestiqués. Il accueille également des animaux de ce type venant de la fourrière de Larçay, parce qu’ils ont été abandonnés ou parce que les propriétaires ne peuvent pas les récupérer. Dans ce cadre, le Muséum est classé parmi les Installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE). Pour pouvoir continuer de recevoir des animaux vivants non domestiqués, il doit faire l’objet d’une enquête publique. Celle ci vient d’être lancée et court jusqu’au 20 avril. « L’objectif est d’étudier les dangers éventuels et l’impact sur l’environnement », explique Christine Beuzelin, adjointe au maire en charge de la culture.
NR Indre et Loire, 26/03, p.8

(Bourges) Des chefs-d’oeuvre à découvrir
C’est un projet qui date de l’an dernier pour Michèle Lemaire et Christophe Gratias, respectivement responsable des musées de Bourges et responsable du service des publics des musées. Après un mois de préparation qui a nécessité la fermeture du musée des meilleurs ouvriers d e France, une exposition s’ouvre aujourd’hui sous l’intitulé MOF un jour MOF toujours. Avec une cinquantaine de pièces exposées au rez de chaussée, le musée des MOF, unique en France et même dans le monde, cherche à retracer l’histoire du mouvement des meilleurs ouvriers de 1924 à 1958. Pourquoi cette dernière date ? « Parce que c’est l’année du dernier concours auquel ont participé des meilleurs ouvriers des colonies », explique Christophe Gratias. L’exposition ne montre aucune pièce réalisée par ceux ci, mais un panneau expliquera leur histoire.
Le Berry, 27/03, p.9

(Le Chatelet) Le musée de la Poterie rouvre
Installé dans la maison de Jean-Louis Manigault, dernier potier au village des Archers qui a cessé son activité en 1943, et inauguré le 19 juin 2005, le musée de la Poter ie a rouvert ses portes jusqu’au 15 novembre. Les visites, menées par la guide Coralie Aïdoud, agent de valorisation du patrimoine, ont lieu du mercredi au dimanche, de 15 heures à 18 h 30. Des pièces uniques En 2017, le musée a fait l’objet de travaux de rénovation intérieure et extérieure : réfection de la toiture, rafraîchissement des peintures et espace repensé.
Le Berry, 27/03, p.21

(Verdes) “Rencontres de l’Écomusée de la Vallée de l’Aigre “

La première édition des “Rencontres de l’Écomusée de la Vallée de l’Aigre “a eu lieu samedi, sous la présidence de Chantal Amary, qui vient de reprendre la tête de l’Écomusée. « En choisissant Verdes, l’Écomusée, maintenant rattaché à la Maison du tourisme des Trois-Rivières, a voulu montrer que « le Loir-et-Cher est toujours partenaire et solidaire de l’Écomusée » a souligné Hugues d’Amécourt, président de la Maison du tourisme. C’est une nouvelle étape pour faire connaître notre territoire dans toutes ses diversités et ses richesses, et développer l’offre touristique. Nous allons nous appuyer sur l’office de tourisme communautaire et sur l’Écomusée de la vallée de l’Aigre, en les réunissant en une seule entité, tout en gardant leurs propres spécificités et nous mettre en conformité avec la loi NOTRe ». (intégral)
L'Echo, 27/03

(Valençay) Ouverture du Musée de l’automobile
Le Musée de l’automobile de Valençay vient d’ouvrir au public. Outre son exposition permanente, composée d’une soixantaine de voitures de 1898 à nos jours, une exposition temporaire a été mise en place par Les Amis du musée de l’automobile de Valençay (Amav) : Les 2 CV et dérivés. Cette année, la fameuse « deudeuche » a 70 ans. (intégral)
NR Indre, 27/03

(Mauvières) Nouveau look pour l’église

Les habitants de Mauvières étaient nombreux, samedi, autour du maire, Michel Violet et du conseil municipal, pour l’inauguration de l’église rénovée après plusieurs mois de travaux. La réfection extérieure de l’église Saint-Léger (toiture, ravalements des façades et contreforts), d’un coût total de 97.303 €, a bénéficié de subventions du Département, de l’État (Dotation d’équipement des territoires ruraux) et de la Communauté de communes Marche occitane-Val d’Anglin pour un montant de 72.977 €. La commune de Mauvières a contracté un emprunt sur quinze ans pour financer la part qui lui revient. Après avoir rappelé l’historique et les diverses rénovations de l’édifice, le maire a remercié les différents intervenants. « Ces travaux permettent la mise en lumière de l’église et de la statue de saint Léger. Ils dynamisent le centre bourg, quand les derniers travaux remontent à plus de trente ans. » (intégral)
NR IndreW, 27/03

(Romorantin) Peugeot : la part du lion et de l’émotion
Le Musée Matra se prépare à passer sous emblème Peugeot . A compter du 14 avril et jusqu’au 18 novembre prochain, la célèbre marque au lion investira les allées du musée romorantinais pour « Il était une fois… Peugeot », une plongée dans la saga familiale et une véritable aventure industrielle. « L’histoire démarre à  l’époque de Napoléon 1er, au départ, ils étaient meuniers », rappelle Bruno Lorgeoux, le directeur des lieux, qui a souhaité accueillir une nouvelle exposition temporaire capable de mobiliser tout autant la passion des amoureux d’automobile que la nostalgie de retrouver des objets du passé parfois oubliés. Ainsi, entre une 403 Cabriolet, une 604 GTI et un cyclomoteur 103, le visiteur pourra aussi admirer une machine à coudre Peugeot, des affiches anciennes, une montre à gousset, une voiture à pédales et même l’ancêtre du robot de cuisine, souligne le directeur du musée de Romorantin : « C’est aussi un petit voyage à travers l’histoire que l’on propose. »
NR Loir et CherN, 27/03, p.23

(Orleans) La restauration des collections se poursuit au muséum
Il a fallu démonter les pattes du bison pour le déplacer. Celles ci reposent désormais sur les plans de travail devant lesquels, masques à gaz sur le nez pour ne pas inhaler des produits toxiques, les restauratrices s’affairent. Leur objectif, dégraisser le squelette de l’animal : « Il faut veiller à ôter ce côté suintant, à l’aide d’acétone et d’éthanol, mais sans faire remonter le reste de graisse qui se trouve dans l’os et sans dégrader pas la matière », explique Élodie Beaubier, l’une des restauratrices chargée des collections au muséum. Il sera toutefois impossible de rendre sa blancheur à l’os, mais l’objectif « est de le rendre visuellement satisfaisant car la graisse crée un dépôt orangé sur l’os ». Un travail sur les fixations des différents os sera aussi mené pour chaque spécimen. Dans le même temps, d’autres restauratrices travaillent notamment à la restauration et à la remise en teinte de quelque 500 spécimens de mammifères et oiseaux qui seront exposés dans le futur muséum dédié à l’environnement et à la biodiversité.
RC Orleans, 29/03, p.10

(Tours) Imola Gerbauer, commissaire d’expo et porteuse de mémoire
Lorsque l ’on croise Imola Gerbauer, sa discrétion et son calme sautent aux yeux en premier. Attentive aux échanges, cette jeune femme toute menue a en fait une force de caractère qui l’a menée de la Hongrie à la France, avec maintes péripéties, hasards de rencontres faisant d’elle ce qu’elle est aujourd’hui : une historienne de l’art, chercheuse passionnée et rédactrice de nombreux textes qui mettent en valeur le patrimoine culturel. Ses études, elle les a d’abord commencées en Hongrie. Puis, par l’intermédiaire d’un frère journaliste venu en France pour apprendre la langue en s’installant chez le photographe Lucien Hervé (juif hongrois né László Elkán) pour l’aider au quotidien. Imola a rejoint cette famille d’accueil et y est restée trois ans au début des années 2000. Elle a classé les négatifs de  l’artiste, pour des publications, des expositions. L’artiste avait alors 90 ans ; il est décédé en 2007. A cette date, Imola, repartie chez elle puis revenue en 2009, a suivi Judith, la veuve de Lucien Hervé qui continua à faire connaître l’oeuvre du défunt.
NR Indre et Loire, 29/03, p.11

(Orleans) Un accrochage enrichi et plus cohérent
C’est un accrochage provisoire. Car comme les autres salles du musée des Beaux Arts orléanais, celle consacrée au XXe siècle sera totalement  réaménagée. « Selon le calendrier annoncé, les travaux débuteront à l’automne 2020 pour une réouverture de salle courant 2021 », annonce Olivia Voisin, directrice des musées d’Orléans. En attendant, cet étage avait besoin de retrouver de la cohérence. « Nous proposons désormais un parcours chronologique, plus didactique pour le visiteur qui pouvait parfois se sentir abandonné », relève t elle. Dispersée, les oeuvres des années 80 sont dorénavant réunies dans la galerie. Un accrochage encore « amené à bouger, souligne Olivia Voisin. Notamment avec l’installation de sculptures ainsi que de céramiques dont le musée possède un fond important mais peu connu. Et de jolies surprises devraient bientôt arriver du côté de l’abstraction lyrique. De quoi enrichir la salle du fond où « le tableau d’Hantaï est notre fierté ».
RC Orleans, 30/03, p.13

(Tigy) Des gravures de Jean-Pierre Blanchet au musée

Pour sa nouvelle exposition, le musée de l’Artisanat rural ancien met à l’honneur l’oeuvre de l’Orléanais Jean-Pierre Blanchet. L’occasion de remettre en lumière un artiste passionné par la gravure au burin, qu’il a découverte et apprise avec Louis-Joseph Soulas. Il a vite trouvé un style poétique et dense très personnel, avec une parfaite maîtrise de la technique du burin. Très attaché à Orléans et sa région, Jean-Pierre Blanchet n’a eu de cesse de dessiner et graver les vieilles rues de la ville, la Sologne et la Loire, certaines de ses planches prenant valeur de témoignage. Graveur poète, il s’inscrit par son talent et son originalité dans la lignée des grands artistes orléanais du XXe siècle. (intégral)
RC Orleans, 30/03

(Mer) Marc Lopez-Bernal propose des petits cabinets de curiosité au musée
A compter de samedi et jusqu’au 25 avril, le musée de la Corbillière propose une exposition de dessins et aquarelles de l’artiste Marc Lopez-Bernal. Ce dernier invite le public à un curieux et fascinant voyage. Grâce à ses tableaux de tous formats, pour partie encadrés spécialement pour l’occasion, il a transformé certaines salles du musée en petits cabinets de curiosités contemporains.
RC Orleans, 30/03, p.20

(Montargis) Le musée Girodet rouvrira le 15 juin
Les élus de l’agglo montargoise se sont réunis hier soir. Au passage, le président de l’agglo a annoncé que le musée Girodet allait rouvrir ses portes le vendredi 15 juin. (intégral)
RC Loiret, 30/03

(Chinon) L’écomusée du Véron, nature et patrimoine
L’écomusée du Véron, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, dirigé par Angèle De Latour, est situé au coeur du Val de Loire. Son rôle est de dévoiler les secrets d’un territoire d’exception. Toute l’année, il propose un programme culturel basé sur des expositions ayant pour thèmes l’histoire, l’archéologie de la nature et du patrimoine. Les visiteurs participeront à la découverte de cette nature, des visites d’entreprises, des activités jeune public, des spectacles, des conférences et des visites du patrimoine. C’est aussi un lieu d’échanges. Des artistes y sont accueillis en résidence, ainsi que des étudiants, des chercheurs et des associations.
NR Indre et LoireW, 30/03, p.21

(Chaon) La Maison du braconnage se porte bien
L'association des Amis de la maison du braconnage a tenu son assemblée générale, samedi. De nombreux adhérents étaient présents pour écouter le rapport moral présenté par la présidente Noëlle Gardet, le rapport financier par François Viratelle, trésorier, et le rapport d'activité par Patrick Lemarrec, secrétaire. La présidente, en poste depuis neuf mois, est revenue sur une « année humainement enrichissante, avec de grands moments de partage ». Un audit, demandé l'année précédente par les trois maisons à thème de Villeny, Chaon et Saint Viâtre, laisse apparaître un manque de personnel, de budgets, des bénévoles vieillissants et un éloignement entre la maison du cerf, des étangs et celle du braconnage. Devant cette baisse de disponibilité des bénévoles – seules six personnes sont guides –, le bureau de l'association a demandé à la commune, qui exploite les lieux, d’embaucher quelqu’un pour la saison, du 1er avril au 11 novembre. Patrick Morin, maire, a promis de recruter un contrat de 27 heures lissé.
RC Orleans, 28/03, p.19

(La Chatre) Le Musée George-Sand fermé mais toujours en ébullition
L’équipe du Musée George-Sand accueille, depuis le 19 mars, Maurian Mabillot, jeune volontaire en service civique. « Maurian va nous accompagner dans toutes nos missions. Il pourra, à nos côtés, approfondir un travail sur les collections, le patrimoine, la recherche et sur la médiation jeune public et en situation de handicap », précise Vanessa Weinling, directrice du musée. Originaire d’Issoudun, âgé de vingt ans, le jeune homme s’est d’abord tourné vers le tourisme et a eu l’occasion d’effectuer un stage lors des Rendez-vous de l’histoire à Blois. Suivi par la Mission locale d’Issoudun, il découvre l’annonce du musée de La Châtre. Parmi les trois candidats, il est sélectionné par le musée et effectue, depuis, chaque semaine, vingt-quatre heures dans la structure, sous la tutelle de Vanessa Weinling et la responsable des publics du musée, Sandra Pinto. Il aimerait ensuite intégrer une formation de guide conférencier. « A la fin de son service civique, l’objectif est que Maurian puisse faire une visite, un atelier, en autonomie. » Cette nouvelle recrue permet aussi de prouver que, même si le musée est actuellement fermé, les activités et le travail du personnel se poursuivent.
NR Indre, 28/03, p.17


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MessageSujet: Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018)   Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018) Icon_minitimeSam 31 Mar - 22:50

Archéologie région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire


Cepoy, un site dédié au Magdalénien
Tout a débuté il y a cinq à six ans lorsqu’André Thomas, ancien gardien du château de Cepoy, a fait don à la municipalité d’une  collection privée. Enfant, durant la Seconde Guerre mondiale, il avait ramassé des silex taillés. « Sa collection comporte deux parties : un ramassage effectué dans les champs lors de parties de chasse, localement, et en forêt d’Othe. Et une collecte, plus intéressante, dans l’enclos du château de Cepoy, sur l’emplacement de l’école actuelle », confie Frédéric Chéreau, enseignant en  histoire géographie au lycée Durzy et formé à l’archéologie. « Nous souhaitons mettre cette collection en valeur pour tout public, en l’ouvrant à des moments choisis durant l’année et aux scolaires », envisage l’élu cepoyen qui conduit ce projet municipal. « Méconnue des  habitants du Montargois, elle correspond à un faciès culturel précis et à une époque : l e Magdalénien supérieur (13.500 à 12.000), c’est à dire l’époque des derniers chasseurs de rennes. » « En 1973, des fouilles officielles ont été organisées par le Dr Allain, alors directeur des antiquités préhistoriques régionales. Mais elles n’ont pas été totalement exploitées. Parmi les objets trouvés, figure une plaquette calcaire ornée d’une tête de cheval, d’une valeur inestimable. Ce Graal est conservé à la Drac, à Orléans », détaille Frédéric Chéreau. « Cepoy possède, aujourd’hui, la plus ancienne trace d’art mobilier préhistorique du Loiret. » Pour la découvrir, il suffira de descendre l’escalier menant à la cave sous la bibliothèque municipale, pour remonter de plusieurs milliers d’années dans le temps.
RC Loiret, 19/03, p.39

(Auneau-Bleury-St Symphorien) « Il faut qu’on continue à vivre ! »

La suppression des emplois aidés dont bénéficiait la société d’archéologie, qui compte 100 adhérents, a porté un coup très dur à l’association : « Ils nous permettaient avec la billetterie de rémunérer 3 à 4 personnes en saison, pour accueillir les écoles, les groupes. En 10 ans, nous avons eu 50.000 entrées, un gros travail et une réussite », a précisé Michel Laurent, président, au cours de l’assemblée générale qui s’est déroulée samedi à la salle Bernard Chateau, à Bleury. Le bilan 2017 a été présenté, avec les portes ouvertes au jardin de la Préhistoire qui a compté 1.600 visiteurs, les 10 ans de la maison néolithique ainsi que le  championnat de tir aux armes préhistoriques à Aunay sous Auneau. Pour 2018, Jean-Pierre Dubois a évoqué la construction d’un four à pain et d’un fumoir à saumon.
L'Echo, 19/03, p.17

(Puiseaux) Une tournée des mégalithes est prévue
L’assemblée générale de la Société d’Archéologie de Puiseaux s’est tenue le dimanche 11 mars dans la salle polyvalente de Puiseaux. Le président, André Jouny,
est d’abord revenu sur les activités de l’an passé. Il a également rappelé les activités de photos aériennes subventionnées par la Direction Régionale des Affaires Culturelles (D.R.A.C.) Centre-Val de Loire et Ile de France. Pour 2018, des activités sont déjà planifiées : exposition à Pâques sur la mémoire de 1914-1918, sortie
botanique, visite du château de Mez le Maréchal à Dordives, tournée des mégalithes du Gâtinais et visites du tympan de l’église de Cortrat et de celle de Mont Bouy.
RC Loiret, 27/03, p.11

(Saint Avertin) Touraine-Berry Patrimoine et la préhistoire
Depuis sa création en 1999, Touraine-Berry Patrimoine (TBP) fait connaître et contribue à mettre en valeur la protection et la gestion du patrimoine archéologique et naturel de la Touraine et du Bas-Berry. En Indre-et-Loire l’association continue d’effectuer des recherches sur le site de La Roche-Cotard à Langeais. La grotte, découverte au début du XXe siècle, est loin d’avoir livré toutes les informations qu’en attendent les spécialistes. L’an dernier, l’un des objectifs était de compléter l’inventaire des traces animales fait l’année précédente. Pour mener à bien ce travail, une équipe d’étudiants (dont Aurore Nguyen) et de bénévoles a été recrutée sous la responsabilité de Jean-Claude Marquet, chargé de l’étude du site et coordinateur du Projet collectif de recherches. Le travail au sein de la grotte, réparti entre tous les membres de l’équipe, s’est donc porté sur le relevé des traces animales mais pas seulement.
NR Indre et Loire, 27/03, p.17


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MessageSujet: Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018)   Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018) Icon_minitimeSam 31 Mar - 22:52

Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire


(Briare) Un appel pour le pont-canal
C’est la première fois que Voies navigables de France lance une telle opération pour un élément de patrimoine. « Nous ne l’avons fait, jusqu’à présent que pour des opérations sur la voie fluviale ou pour l’environnement », commente Nathalie Augereau, directrice de cabinet du président de VNF. Cette fois, il s’agit de financer la rénovation du pont canal de Briare, un édifice qui attire 300.000 visiteurs par an. Budget : 3 millions d’euros ! Olivier Georges précise, à ce propos, que le pont canal n’a jamais été rénové depuis sa reconstruction, en 1941, par les Allemands. Il avait été détruit un an plus tôt par l’armée française pour stopper la progression des troupes ennemies. Voies navigables de France espère recueillir environ 150.000 € entre avril et décembre. Par le mécénat d’entreprises, et par l’appel à souscription lancé en partenariat avec la Fondation du patrimoine.
RC Loiret, 19/03, p.4

(Ondreville sur Essonne) La rénovation du moulin se poursuit
Après la remise en service de la roue du moulin de Châtillon, l’Association de sauvegarde et des amis du moulin à eau de Châtillon (ASAMEC) vient de rénover un petit équipement opérationnel fort utile : le régulateur à boule. Ce dispositif permet d’avertir, grâce à une clochette, que la roue tourne à la bonne vitesse. Le nettoyeur de grains et ses goulottes d’alimentation ont été complètement remis en état. D’ici quelques semaines, le système de montesac sera de nouveau en service. Le souhait de moudre du grain à Châtillon commence sérieusement à se concrétiser ! Et, lors du Forum des métiers d’art, en avril, les visiteurs pourront  découvrir les nouvelles fonctionnalités du moulin. (intégral)
RC Loiret, 19/03

(Gaubertin) L’église fermée pour raison de sécurité
Depuis un mois, l’église SaintAubin de Gaubertin est déserte. Devenu dangereux, l’édifice religieux de ce village du Beaunois est inaccessible. « Les dégradations au niveau de la voûte et de la toiture constituent un danger pour la sécurité publique. J’ai dû prendre un arrêté interdisant l’accès de l’église au public, jusqu’à la réalisation des travaux de réfection », explique le maire, Jean Gillet. La nécessité d’effectuer des réparations était déjà identifiée, mais il a fallu accélérer le processus. « Depuis fin 2016, on savait qu’il y avait un problème », relate l’élu. « J’ai vingt cinq ans de maçonnerie derrière moi. Nous sommes donc montés, à cette époque, pour  voir ce qu’il y avait précisément. Les poutres du toit étaient en mauvais état. Il a fallu que l’on étaye tout de suite. Mais le mois dernier, juste avant un enterrement, j’ai constaté qu’il y avait du plâtre sur les chaises. J’ai été voir la sous préfète qui m’a confirmé qu’il fallait fermer. » Contrairement à d’autres édifices du Pithiverais en piteux état, l’église de Gaubertin avait pourtant été restaurée « voici une vingtaine d’années ». Et notamment la toiture… Avant même la fermeture, la municipalité de Gaubertin avait fait appel à l’architecte du patrimoine, Antoine Leriche (Fontainebleau), pour venir au chevet de ce lieu inscrit au titre des Monuments historiques par arrêté du 12 janvier 1931. Le montant des travaux (maçonnerie, charpente, couverture et mise en place d’un paratonnerre) est estimé à 108.000 € TTC.
RC Loiret, 20/03, p.11

La mémoire de Gien en héritage
C’est une collection unique et un fonds documentaire d’une inestimable valeur : 3.500 cartes postales  sur Gien, entre 1.000 et 2.000 sur les communes environnantes, plus de 500 clichés réalisés pendant la Seconde Guerre mondiale… Tout au long de sa vie, André Chambault, amoureux de sa ville, a collecté des documents, effectué des recherches et écrit sur Gien. Membre éminent et respecté de la Société historique et archéologique du Giennois (Shag), il était l’une des mémoires vivantes de la cité d’Anne de Beaujeu, qu’il a  photographiée avant, pendant et après sa destruction. Il avait aussi acquis les deux albums photo d’un soldat allemand, qui avait  immortalisé les bombardements de la ville en 1940. De précieux documents, qui témoignent du calvaire subi par les habitants de Gien et les personnes jetées sur les routes de l’exode. André Chambault est décédé en juin 2015, à l’âge de 92 ans. Une volonté l’animait : que sa collection ne soit pas dispersée.
RC Loiret, 20/03, p.16

(Chartres) Nouveau coup de pinceau sur le choeur
Et de trois ! La troisième phase des travaux de restauration du tour de choeur de la cathédrale de Chartres a commencé. Quatre  travées de la clôture du choeur retrouveront leur éclat passé grâce à une nouvelle levée de fonds organisée par Les Amis de la  cathédrale. L’association a renouvelé, hier, à la préfecture d’Eure et Loir, son engagement pour la restauration de ce chef d’oeuvre de la Renaissance. Isabelle Paillot, la présidente, rappelle : « Il y a quelques années, les visiteurs tournaient ostensiblement le dos à cet ouvrage noirci. » Déjà deux phases de restauration du tour de choeur ont été menées, depuis mai 2015, en collaboration avec la  Direction régionale des affaires culturelles (Drac), qui prend en charge la maîtrise d’oeuvre, de la TVA, de la sécurité et du contrôle de l’électricité. Cette troisième phase, d’une durée de vingt et un mois, porte sur les travées 15 à 18 pour la tranche ferme, et sur les travées 19 à 25 pour les deux tranches conditionnelles. Soit une restauration de la grille nord à la grille sud de la clôture de choeur. Prévus pour durer trois ans, entre 2015 et 2018, les travaux s’étireront jusqu’à fin 2019. Après cela, il restera  un tiers du tour de choeur à embellir. Mais pour ce joyau gothique, la beauté vaut la peine d’attendre le nombre des années.
+ Un tour de choeur en 3D ?
L'Echo, 20/03, p.9

(La Ferté Vidame) Un concert pour faire revivre l’orgue de l’église
L’ARO, Association pour la Renaissance d’un Orgue, présidée par Bertrand Leys, a organisé samedi un récital de piano à l’église Saint Nicolas de la Ferté Vidame, au profit de la restauration de l’orgue de cet édifice religieux. Cet instrument, datant de la première moitié du XVIIIe siècle, avait été construit à l’origine pour l’église du Pin la Garenne. Devenu hors d’usage, un groupe de jeunes mélomanes l’avait alors racheté, démonté, restauré et installé  dans l’église Saint Nicolas. Il a été inauguré en 1989. Depuis, des travaux importants dans cette église, notamment suite à la dégradation des boiseries, détruites par la mérule, ont entraîné des dommages nécessitant une remise en état de cet instrument. Notamment, les quelque 900 tuyaux qu’il  comporte doivent être « dépoussiérés », débosselés, dégraissés et parfois ressoudés.
L'Echo, 20/03, p.19

(Averdon) Une souscription pour restaurer l’église Saint-Lubin
Le maire d’Averdon, Didier Moelo organisait vendredi dernier une réunion publique à l’adresse des habitants du village pour lancer un appel aux dons en vue de la restauration de l’église Saint-Lubin, en partenariat avec la Fondation du patrimoine représentée par sa déléguée départementale, Annette Doire. Cette dernière a signé avec le maire l’ouverture d’une souscription publique par la Fondation du patrimoine en présence de Mgr Verrier représentant l’évêché, du père Pascal Gonin, curé du secteur paroissial, de Mme Lebedel conservatrice des monuments historiques à la Drac et Dominique Menanteau, conservateur des antiquités et objets d’art. Le coût des travaux s’élève à 450.000 €.
NR Loir et Cher, 20/03, p.14

Mickey à Azay-le-Rideau : la pièce de monnaie dérange
Faut-il y voir un manque d’humour ? Ou reconnaître la volonté de maîtriser son image ? Le Centre des monuments nationaux (CMN), propriétaire du château d’Azay-le-Rideau, se disait « pas en mesure de réagir », hier, alors que sa direction prenait tout juste «  connaissance du sujet ». Des éléments de langage imposés par l’annonce faite par la Monnaie de Paris du lancement, ce mardi, d’une nouvelle série de pièces. Intitulée « Mickey et la France », elle décline notamment une halte de la célèbre souris de Disney sur  les bords de l’Indre, à l’ouest de Tours, au pied de la demeure des Biencourt. « Associer Mickey au château, ça m’ennuie un peu, réagissait à chaud, hier, Chrystelle Laurent, administratrice du château, en découvrant la pièce. Le président, Philippe Bélaval, doit s’en occuper. » Un problème d’image pour un produit auquel le CMN assure n’avoir pas été associé. La Monnaie de Paris propose déjà des pièces de collection dédiées à différents sites touristiques français, dont Azay-le-Rideau. « Vues et contrôlées », insiste-t-on au château.
NR Indre et Loire, 20/03, p.5

(Bourges) L’électricité va retrouver son lustre
Avec un budget de 1,1 million d’euros, il s’agit d’un gros chantier pour Saint Étienne. Depuis septembre dernier et jusqu’à février 2019, l’État (via la direction régionale des affaires culturelles, Drac) mène un chantier de rénovation de l’installation électrique de la cathédrale de Bourges. Objectif : rationaliser le système électrique et assurer plus de sécurité. Le chantier, qui a débuté en septembre 2017, devrait se poursuivre jusqu’en février 2019. « L’installation électrique date pour partie de 1987, avec une mise en conformité partielle en 2002 », indique Pascal Chauveau, technicien des bâtiments de France à la Drac. Surtout, sept compteurs électriques ont été installés au fur et à mesure : un compteur pour les concerts, un pour le clergé, un pour les monuments nationaux… Un seul compteur devrait permettre de simplifier les choses. Avec un compteur électrique unique, « on limite le risque d’incendie, souligne le technicien des bâtiments de France. Nous allons mettre une détection incendie qui n’existe pas dans toutes les cathédrales. » L’autre  avantage sera la commande des éclairages. En hiver, la cathédrale est particulièrement sombre afin d’économiser l’énergie. Avec le nouveau système, « il y aura possibilité de maintenir une bonne visibilité, poursuit le technicien des bâtiments de France. On assouplira la commande pour l’adapter à la fréquentation. Comme on mettra beaucoup de leds, il y aura moins de gaspillage. C’est à l’usage que l’on déterminera cela avec l’affectataire. »
Le Berry, 26/03, p.7

(Chateauneuf sur Cher) Le programme des Amis de la basilique

L’assemblée générale des Amis de la basilique a eu lieu vendredi soir, en présence d’une quinzaine de personnes. Le président, Serge Montmasson, a dressé le bilan de l’année écoulée qui présente un résultat positif avec notamment quatre vingt quinze membres. Les quatre concerts qui ont été organisés ont généré un petit bénéfice qui va aller grossir la réserve que constitue l’association en prévision des futurs travaux à réaliser. Parmi ces travaux, figure la remise en place d’exvoto s’étant décollés de leur support mural, mais également des travaux d’entretien des abords immédiats de l’édifice. Gilles Combaud, maire adjoint, représentait la municipalité. Il a dévoilé le plan de remplacement des projecteurs commencé en 2017 et qui va se poursuivre en 2018 et 2019, avec l’aide du syndicat de l’énergie du Cher (SDE 18) qui participe pour moitié, soit 17.000 euros pour chaque partie pour la première tranche, 18.991 euros pour la deuxième tranche et plus de 25.000 euros pour la dernière tranche, qui consistera en l’illumination des vitraux par l’intérieur du bâtiment.
Le Berry, 26/03, p.38

(Chartres) Les Amis de la cathédrale ont tenu leur assemblée générale
Il y avait foule, samedi, à l’assemblée générale des Amis de la cathédrale. Et pour cause, l’association a impulsé un chantier très important : la restauration du tour de choeur de la cathédrale. Lundi dernier, la structure a renouvelé son engagement pour poursuivre les travaux sur le site. En attendant, la présidente, Isabelle Paillot, se réjouit des premiers résultats de ce travail de précision, déjà largement visibles. « C’est un chantier de grande envergure, pour lequel nous avons levé une enveloppe globale d’1,5 million d’euros. Ce choeur, qui a été construit entre les XVIe et XVIIIe siècles, est un chef d’oeuvre de l’art de style Renaissance ». D’autres thèmes ont été abordés pendant cette réunion, comme le projet de restaurer certains vitraux de la cathédrale en 2020 et 2021. (intégral)
L'Echo, 26/03

(Beauvilliers) Bénévoles aux petits soins pour leur église
Depuis plusieurs semaines, une douzaine de bénévoles se retrouvent, un vendredi sur deux, pour rénover l’église Saint Martin de Beauvilliers. Les planchers sont démontés et recalés, les portes démontées et traitées afin d’accueillir les fidèles sans bruits intempestifs. Les bancs clos, comprenant des pupitres et fermés par des portes ferrées, traditionnels dans le milieu rural, garderont leur patine, mais sans la « crasse des ans ». Victimes des conditions climatiques, ces bancs sont fragilisés. Afin de les sécuriser et de les rendre plus harmonieux, un groupe d’habitants a décidé d’intervenir, avec l’accord des monuments historiques. Une entreprise restaure également le clocher de l’église.
L'Echo, 26/03, p.13

(Unverre) «Pas trop de dégâts au niveau local»
Jacky Pigeard, président de l’Association des riverains propriétaires de moulins, a animé l’assemblée générale qui s’est tenue, samedi, à la salle des associations de la commune d’Unverre. Rencontre.
L'Echo, 26/03, p.13

(Ardentes) L’avenir incertain des pelles de Clavières
C’est presque une ritournelle : chaque année, depuis plus de dix ans, « l’épineux dossier des pelles de Clavières » est évoqué par le conseil municipal d’Ardentes ou lors de l’assemblée générale de l’association locale de pêche, Le Barbillon ardentais. Ces six dalles de béton avaient pour fonction de bloquer le cours de l’Indre, afin d’alimenter un bief, situé à quelques mètres en amont. Ce bief conduisait à l’un des trois sites des forges de Clavières, qui ont été actives de 1670 à 1874. « Les pelles n’ont donc plus aucun intérêt économique », explique Gilles Caranton, premier adjoint au maire d’Ardentes. Elles ont cependant un intérêt patrimonial : trois des six dalles ne sont plus manœuvrables et bloquent la rivière, ce qui forme une retenue  d’eau d’une cinquantaine de mètres de large, qui magnifie le paysage. L’ouvrage en lui-même est aussi le témoin d’un passé industriel important dans la région. Seulement voilà : depuis la fin des années 2000, la réglementation sur la continuité écologique a été renforcée. Derrière cette notion, l’idée que les ouvrages sur les cours d’eau doivent laisser passer les poissons migrateurs. Ce qui n’est pas le cas des pelles de Clavières qui, de plus, sont en très mauvais état.
NR Indre, 26/03, p.2

(Blois)  Le plat Renaissance adjugé 79.200 €
Me Guillaume Cornet savait qu’il tenait là une pièce rare, susceptible d’intéresser de nombreux collectionneurs. Mais la vente aux enchères samedi à Blois de ce plateau en émail de Venise de la Renaissance, découvert lors d’une succession à Montrichard, est allée au-delà de ses espérances. Estimée aux environs de 8.000 €, la pièce a été disputée par une douzaine d’enchérisseurs, dont 10 au téléphone, depuis les États-Unis, l’Italie, l’Angleterre, l’Allemagne et la France. « Les enchères ont démarré à 5.000 € et sont très vite montées jusqu’à 40.000 €, témoigne Me Guillaume Cornet. Passé ce seuil, seuls deux enchérisseurs au téléphone tenaient la corde. Finalement, le plat a été adjugé 79.200 € avec les frais. » Cette vente de prestige a également enregistré un record pour les deux tables en chêne clair travaillées en nids d’abeille réalisées par des artisans de Marolles dirigé par Jean Touret, l’une avec six chaises, l’autre avec deux bancs. Ce mobilier avait été exposé au château de Blois en 1958, et leur mise en vente a attiré de nombreux collectionneurs et galeristes. Les deux lots ont été vendus 19.400 € chacun. (intégral)
NR Loir et Cher, 26/03

(Marcilly en Vilette) Une Maison de la terre cuite
Depuis bientôt deux ans, Les Amis des tuileries et briqueteries de Sologne (ATBS) oeuvrent pour la sauvegarde de la briqueterie de Pont-Long, à Marcilly.  L’association, qui tenait son assemblée générale hier, a proposé plusieurs animations sur le thème de la terre cuite, notamment en mars 2017, une conférence sur l’usage de la brique en Sologne et une ronde des contes, en juin. Le projet de restauration évolue plutôt favorablement. Après achat, il s’oriente vers un centre d’interprétation : la Maison de la terre cuite, un lieu d’échanges techniques, pédagogiques et culturels sur ce noble matériau. Mais le contexte économique ne facilite pas la tâche pour obtenir des fonds et pour mobiliser sur le thème de la sauvegarde d’un patrimoine solognot. Néanmoins, malgré l’investissement financier que représentera la restauration du site, ATBS est convaincu que ce centre d’interprétation présente un atout touristique essentiel pour la vie économique du village.
RC Orleans, 27/03, p.16

(Saint Martin d'Auxigny) La grande baie mise en lumière
« Aujourd’hui, si nous sommes réunis c’est pour mettre en exergue les besogneux qui ont fait un travail formidable : installé un panneau informatif sur l’histoire du lieu, rebouché une ouverture inadaptée, réalisé les marches d’accès sécurisées par deux rampes, réhabilité puis posé la grille d’accès et dernièrement ils ont commencé le nettoyage des pieds de mur », a expliqué la présidente des Amis du prieuré de Bléron, Monique Duteil, samedi au coeur du site. Grâce à des fonds abondés par le Groupe historique et archéologique de la région de Mehun Yèvre et par la Fondation patrimoine du Crédit agricole Centre Loire, « on peut inaugurer la restauration de la grande baie du chevet dont le montant s’élève à 14.697 euros », soulignait elle. Et dans un avenir proche, il faudra restaurer les glacis des trois autres fenêtres afin que les écoliers puissent pénétrer à l’intérieur de l’édifice sans problème.
Le Berry, 27/03, p.13

(Saint Georges sur Eure) Le juge amène de l’eau au moulin
Le Conseil municipal de Saint Georges sur Eure avait décidé, en 2014, de démolir le vannage du moulin de La Belle Meunière, au coeur du bourg, « afin que la rivière retrouve sa continuité écologique ». La municipalité, propriétaire de ce vannage qui régule le débit de l’eau, invoquait aussi la sécurité publique, car la passerelle métallique d’accès au poste de manoeuvre du vannage était « en très mauvais état ». Avec ces arguments, la commune a obtenu, en mars 2015,  ’arrêté préfectoral lui permettant de mettre en oeuvre son projet. Mais elle n’est propriétaire que du vannage, pas de la rivière, ni du moulin, qui appartient à un habitant, Jean-Claude Gamain. Or, l’arrêté du préfet lui retirait son ”droit d’eau”, c’est à dire la possibilité de profiter du courant pour produire de l’électricité. Si le vannage était démoli, le débit ne serait plus maîtrisé pour actionner la roue du moulin, emportant dans les nimbes son projet de microcentrale hydroélectrique. Le propriétaire du moulin avait obtenu, au  tribunal administratif, en février 2017, l’annulation de l’arrêté préfectoral. La cour administrative d’appel de Nantes vient de confirmer cette annulation de l’arrêté préfectoral.
L'Echo, 27/03, p.4

(Montrésor) Que faire des études sur l’avenir du village ?
Dans la dernière période, le village de Montrésor a été l’objet de deux études pour lesquelles la participation des Montrésoriennes et des Montrésoriens a été sollicitée à plusieurs reprises (réunions publ iques et ateliers participatifs). Engagées depuis deux ou trois ans, elles ont toutes les deux pour objectif la défense du patrimoine et celle du label des « Plus beaux villages de France ». La première étude concerne le projet de création d’un SPR (site patrimonial remarquable) de la commune avec l’élaboration, en collaboration avec l’architecte des Bâtiments de France, d’un document d’urbanisme au service des administrés, les accompagnant dans leurs projets d’aménagements ou de constructions. La seconde étude portait sur « des travaux d’aménagements touristiques » que la communauté de communes (de Montrésor, à l’époque) « pourrait réaliser à Montrésor ». Pour le maire, Christophe Unrug, cette étude et le projet de SPR sont « deux briques fondamentales pour l’avenir de Montrésor ». Et maintenant, on fait quoi ? Une présentation, en priorité, aux commerçants (plan de circulation) puis, en plusieurs épisodes, par thèmes, des différentes parties de l’étude à l’ensemble des habitants ? Cela reste à déterminer avec le conseil.
NR Indre et LoireE, 27/03, p.16

“ Dépigeonnisation ” de trois clochers
Le conseil a accepté le devis de l’entreprise générale d’effarouchement fauconnerie et capture de pigeons (Egep) de Beaumont-Village (1.530,00 € TTC) pour la « dépigeonnisation » simultanée du clocher communal et de ceux de Montrésor et de Chemillé-sur-Indrois. (intégral)
NR Indre et LoireE, 27/03

(Chartres) La cathédrale va s’illuminer en ultra haute définition
Si les scénographies de la cathédrale de Chartres ne changent pas, les spectateurs les découvriront d’un autre oeil, à partir du samedi 14 avril. Fabien Lemoigne, directeur technique de l’événement, et son équipe, ont changé, la semaine dernière, tout le matériel de projection : « Il devenait vétuste. On a voulu monter en qualité et en quantité. » Les nouveaux projecteurs laser permettront de consommer moins d’énergie, ce qui n’est pas négligeable, quand on sait qu’une saison de Chartres en lumières (près de 700 heures d’illuminations) nécessite 148,8 kWh. Autre avantage : les images seront projetées en ultra haute définition 4K, un format d’image principalement utilisé dans le domaine du cinéma numérique. Ce nouveau matériel a nécessité que les techniciens réencodent l’ensemble des scénographies de la cathédrale. Mais le résultat promet d’être à la hauteur. Profitez en car ce sera la dernière occasion d’admirer l’oeuvre de la société Spectaculaires sur le portail royal : une nouvelle scénographie a été commandée pour la Fête de la lumière, le 15 septembre. (intégral)
L'Echo, 28/03

(Chateaudun) Faire de son livre une expo
Jean-Philippe Noblet lance une campagne de financement participatif via la plateforme Ulule afin de mener à bien son nouveau projet : décliner son livre Une famille d’Eure et Loir dans la Grande Guerre sous la forme d’une exposition. « Elle pourrait, explique t il, circuler dans les écoles, collèges et lycées, ainsi que dans les bibliothèques ou les mairies. Mon souhait est de compléter le livre avec des documents que je n’ai pu inclure à l’intérieur et le rendre plus pédagogique. » Pour ce faire, le dernier lauréat du Prix du Manuscrit de la Beauce et du Dunois a besoin de se doter de huit panneaux verticaux sur lequel il retracera la vie du poilu Eusèbe Badufle et de sa fille Thérèse, mais aussi de leur village de Sancheville et tous les camarades d’Eure et Loir. Au travers de cartes postales, schémas pédagogiques, photos anciennes et actuelles, il présentera « le front et l’arrière » de la guerre. Ce projet a évidemment un coût : 1.890 €. C’est la raison pour laquelle Jean-Philippe Noblet en appelle aux contributeurs. La date butoir de la collecte est fixée au 6 mai.
L'Echo, 29/03, p.18

(Saint-Laurent-Nouan) Les façades de pierre revivent grâce à Vega
Inutile de chercher un sac de mortier Vega dans un magasin de bricolage : les produits de la marque ne sont distribués qu’auprès des professionnels. On peut en revanche mesurer leur esthétisme sur une foule de monuments prestigieux où ils ont été utilisés pour redonner aux façades leur aspect initial. Et c’est à Saint-Laurent-Nouan que l’entreprise est née et a installé son siège social, son service de recherche et son usine de fabrication. Vega, c’est au départ la rencontre entre deux maçons, l’Italien Mansuetto Finucchi et le Français Patrick Calluaud, passionnés de patrimoine et inventeurs des premières formulations techniques adaptées à la restauration de la pierre, mais aussi de la brique ou du béton. Reprise en 2006 par Hervé Grumeau, l’entreprise rayonne aujourd’hui sur tout le territoire, via un réseau de cinq agences commerciales et se positionne au cinquième rang de son métier. Outre les mortiers et enduits, Vega conçoit et distribue toutes sortes de produits complémentaires : nettoyants, décapants, anti-graffiti, badigeons et patines, outillages pour professionnels etc. Parmi ses références  figurent, outre les châteaux de Chambord et Blois, des édifices parisiens de prestige : Opéra Garnier, le Louvre, château de Ferrières-en-Brie, Ritz Hôtel, Peninsula Hôtel…
NR Loir et Cher, 29/03, p.9

(La Chaussée-saint-Victor) Le château des Basses-Roches est en vente
En marge du conseil municipal de lundi, les élus ont débattu sur l’opportunité de vendre la belle demeure située dans le val. Achetée en 1968 par la municipalité de l’époque, la propriété dénommée « Le château des Basses-Roches » avait été acquise pour y implanter au sud de son parc une base de plein air dédiée à la jeunesse et aux sports. Depuis cinquante ans, le site s’est étoffé au fil des années. Ainsi, deux terrains de football, quatre courts de tennis, un boulodrome, un skatepark et un city multisports ont vu le jour. Par contre, la belle maison de maître n’a quant à elle jamais trouvé de projet public suffisamment intéressant. Dans les années 70, le projet d’y transférer la mairie fut rapidement abandonné en raison de son coût. Son seul usage avéré fut de servir de logements pour les employés municipaux. Devant l’obsolescence des équipements et la vétusté des lieux, le dernier occupant est parti en 2004. Lundi dernier, les élus ont de nouveau débattu de ce dossier et ont pris la décision de le vendre. Le choix de l’acquéreur se fera donc le 14 mai prochain avant le conseil municipal.
NR Loir et CherS, 29/03, p.14

(Beaulieu les Loches) La fête autour du grand clocher
Dimanche 1er avril, les cloches reviennent à Beaulieu-lès-Loches, après sept ans d’absence. Toute la journée, des animations seront proposées au pied du grand clocher.
NR Indre et LoireE, 29/03, p.19

Loto: privatisation et patrimoine
Alors que la gauche dénonce la privatisation annoncée de la Française des Jeux par la voix du nouveau premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui déclare “On est en train de vendre le loto, c’est-à-dire le truc le plus rentable de France”, et parle de “brader le patrimoine commun“, le Loto vient pour sa part de présenter son tirage spécial “Patrimoine” qui se déroulera donc le 14 septembre prochain, pour les Journées Européennes du Patrimoine. Piloté par l’incontournable Stéphane Bern, ce tirage spécial, devrait récolter 15 à 20 millions d’euros dont la moitié servira à financer les travaux les plus urgents des sites emblématiques parmi les  250 monuments qui ont été choisis sur 2000 propositions faites par les Français sur le site participatif du ministère de la Culture.
+ Les monuments retenus en région Centre Val de Loire
Mag'Centre, 29/03

(Bourges) Unique, la cloche de bois va sonner
Selon la tradition – qui remonte au VIIIe siècle –, les cloches des églises se taisent du Jeudi Saint jusqu’à Pâques. Mais à Bourges, une simandre, une cloche de bois, permettait de contourner l’interdiction. Sa copie sonnera pour la première fois aujourd’hui Vendredi Saint, à 14h45 (chemin de croix) et 18h45 (office de la Passion), depuis la tour nord. Il ne faut pas s’attendre à une mélodie harmonieuse, mais plutôt à un gros bruit. « La cloche de bois de  Bourges a été en service depuis le XVIIe siècle jusqu’à la fin de l’Ancien Régime », raconte Irène Jourd’heuil, conservatrice des monuments historiques à la Drac Centre-Val de Loire. En 1871, le sculpteur et érudit berruyer Jules Dumoutet (18151880) la remet en fonctionnement puis elle semble avoir été abandonnée, pour une raison inconnue. « Nous n’avons pas de sources à ce sujet, indique Irène Jourd’heuil. Peut être pour des raisons d’état de conservation et peut être de perte de cette tradition… » Il y a quelques années, la simandre été redécouverte par le conservateur des antiquités et objets d’art. Mais « l’état de fragilité de certaines pièces ne permettait pas sa remise en fonctionnement sans d’importants travaux qui auraient altéré l’authenticité de l’instrument », précise la conservatrice. Aussi la Drac a t elle décidé de restaurer l’instrument ancien, qui est aujourd’hui  présenté de façon « archéologique » dans le cadre de la visite de la tour nord, dans une des salles situées sous la chambre des cloches. Un éclairage a été mis en place pour la mettre en valeur. Mais l’association des Amis de la cathédrale de Bourges souhaitait renouer avec la tradition. Pour ce faire, une réplique a été conçue en 2017 par l’entreprise berruyère les Métiers du bois. Le financement a été assuré par cinq mécènes.
Le Berry, 30/03, p.12

Stéphane Bern liste quatre sites euréliens
Stéphane Bern, nommé par Emmanuel Macron à la tête d’une mission d’identification et de sauvegarde du patrimoine, a établi une liste de 250 « chefs d’oeuvre en péril ». Parmi ces monuments, quatre sont en Eure et Loir : l’église de Saint Martin, à Rouvres, la briqueterie de Saint Piat (notre photo), le temple de l’amour, à Saint Maurice Saint Germain, et l’église abbatiale de Thiron Gardais. À une dizaine de kilomètres du sud est du  département, le domaine de Méréville (Essonne) est également concerné. Un loto et un jeu de grattage seront vendus lors des Journées du  patrimoine, en septembre, afin de récolter les fonds nécessaires au soutien de ces sites en péril. Vous aussi, signalez un petit patrimoine  eurélien en péril grâce à notre formulaire web, à retrouver sur lechorepublicain.fr (intégral)
L'Echo, 30/03

(Chartres) Un hommage en mosaïque et vitrail
«L’idée initiale était de travailler sur le lieu de mémoire du Séminaire des Barbelés, les valeurs et symboles d’élévation, d’envol, de paix, de fraternité de Franz Stock », explique Brigitte Cotin, professeur de français et d’histoire de l’art, en charge du projet depuis de nombreuses années. Jean-Marie Burton, artiste mosaïste beauceron, président de l’association chartraine “Les 3 R”, apporte ses précieux conseils à la création de la mosaïque représentant notamment la colombe de la paix. Le vitrail, réalisé au Centre international du vitrail sous la direction d’un vitrailliste professionnel, sera installé au Séminaire des Barbelés. Il représente l’idée du ciel bleu pardessus une grille. « Ce qui est intéressant, confie Logan, c’est d’explorer le patrimoine chartrain à travers la création d’une oeuvre. »
+ Le petit atelier mosaïque est devenu grand
L'Echo, 30/03, p.11

Vieilles pierres à la loterie
Le 14 septembre, un tirage spécial du Loto sera consacré à la sauvegarde du patrimoine en péril. Hier, la liste des monuments retenus pour bénéficier des mises des joueurs du Loto et des gratteurs de ticket – un jeu sera spécialement édité dès le 3 septembre – a été dévoilée. En Loir-et-Cher, la commission présidée par Stéphane Bern a retenu 4 sites : le château de Villesavin à Tour-en-Sologne (72.000 € de travaux à trouver), l’abbatiale de l’abbaye d’Aiguevive à Faverolles-sur-Cher (20.000 €), l’église Saint-Barthélémy de La Ville-aux-Clercs (132.500 €) et la seigneurie d’Alleray à Choue (371.000 €). Pour une fois, les joueurs du Loir-et-Cher sauront où va l’argent de leurs rêves… (intégral)
NR Loir et Cher, 30/03

(Villefranche-sur-Cher) Deux cloches toutes neuves livrées pour Pâques
Pourquoi a-t-on remplacé les vieilles cloches de Villefranche-sur-Cher par des neuves ? Tout commence lors de l’entretien des cloches de l’église, l’entreprise Gougeon (spécialiste depuis 35 ans) ayant remarqué un problème au niveau de la bride de 2 des 3 cloches. Les cloches Marthe 374 kg, Marie-Madeleine 540 kg et Marie Jeanne Justine 730 kg font la fierté de ce clocher octogonale, mais Marthe et Marie-Madeleine sont « malades ». Jean-Claude Oton, maire de Villefranche-sur-Cher, et son conseil municipal décident alors de déposer les 2 cloches et de confier leur refonte à l’entreprise Léon Bollée de Saint-Jean-de-Braye, dans le Loiret. Famille Bollée connue et reconnue dans ce milieu dont on retrouve la trace au XVIe siècle en Lorraine où les maîtres-santiers (fondeurs de cloches)  itinérants se retrouvaient. Ce lundi 2 avril à l’église Marie-Madeleine, une messe sera célébrée à 10 h suivie par la bénédiction des deux cloches à 11 h en présence de Monseigneur Battu, évêque de Blois et du père Nicolas Pelat, curé de Romorantin.
NR Loir et CherS, 30/03, p.23

(Beaulieu les Loches) Le retour des vraies cloches pour Pâques
Selon la légende, les cloches reviennent le dimanche de Pâques. La municipalité a adopté ce dicton populaire en organisant une grande journée festive ce dimanche 1er avril : la Fête des cloches, pour célébrer l’avancée des travaux du clocher. Muettes depuis sept ans en raison de la fragilité de l’édifice, les cloches sonneront à toute volée à 12h30 le dimanche, puis tous les quarts d’heure jusqu’au lundi soir pour se taire à nouveau, tant que le chantier n’est pas  terminé. La journée se déroulera dans une ambiance médiévale assurée par l’association « A tous les temps » qui reconstituera un camp médiéval, organisera des démonstrations d’armes et des séances d’adoubements.
NR Indre et Loire, 30/03, p.24

Les vitraux chartrains à la page
Le magazine Ateliers d’Art fait honneur à Chartres et à ses ateliers de vitraux dans son numéro de février mars au travers deux articles : un reportage de douze pages sur les ateliers Loire puis un article sur l’accès aux commandes publiques dans lequel Claire Babet (photo) est interviewée. (intégral)
L'Echo, 28/03

(Bélâbre) La rénovation des vitraux de l’église en projet

L’Association pour le patrimoine du pays de Bélâbre a tenu son assemblée générale, vendredi, en présence d’une trentaine de ses quatre-vingtdix-huit adhérents. Les projets de l’association cette année sont la rénovation plus qu’urgente des vitraux de l’église, qui pourrait être réalisée par tranches, sur trois ans, et le recensement du patrimoine du pays de Bélâbre en vue d’une labellisation Pays d’art et d’histoire. « Cette action de mise en valeur de territoire permet de recenser le patrimoine naturel, culturel et historique. Nous sommes soutenus par la Communauté de communes Marche Occitane-Val d’Anglin afin d’obtenir ce label », a précisé la présidente.
NR Indre, 28/03

(Coteaux sur Loire) Une souscription pour rénover la chapelle
En 1970, pour permettre l’agrandissement du cimetière, Henry de Castellane fait don du terrain nécessaire et de la chapelle funéraire familiale qui devient ainsi propriété de la commune de Saint-Patrice. En contrepartie des donations antérieures faites par la famille de Castellane et de celle du terrain, celle-ci a donc la charge de l’entretien de cet édifice datant de la fin du XIXe siècle. A ce titre, elle a déjà dû refaire la toiture. Mais le bâtiment voit les pierres se déliter : une restauration s’avère donc nécessaire. Le coût des travaux incluant les vitraux est estimé à 50.000 €, dépense que ne peut supporter le budget communal. Le conseil s’est donc tourné vers la Fondation du patrimoine et, samedi, en mairie de Saint-Patrice, une convention qui va permettre de lancer une souscription visant à encourager le mécénat populaire et d’entreprise a été signée par le maire François Auger, et Jean-Pierre Dechelle, président de la délégation d’Indre-et-Loire.
NR Indre et LoireW, 28/03, p.22


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MessageSujet: Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018)   Revue de presse (26 mars - 1er avril 2018) Icon_minitimeSam 31 Mar - 22:56

Source : m.le-parisien.fr

Pas-de-Calais : cent œuvres d’art retrouvées chez les cambrioleurs


La valeur des objets découverts dans cette caverne d’Ali Baba a été estimée à 100 000 €.

Des tableaux, des bougeoirs, des statues et des bibelots. Au total cent œuvres d’art provenant de cambriolages commis entre 2017 et 2018 dans des églises ont été retrouvées mardi dans le Pas-de-Calais, au domicile des voleurs présumés.
Lire la suite : http://m.leparisien.fr/faits-divers/pas-de-calais-cent-oeuvres-d-art-retrouvees-chez-les-cambrioleurs-15-03-2018-7610745.php

Source : france3-regions.francetvinfo.fr


Guînes : trois étudiants reconnaissent avoir volé une centaine d'objets d'art dans des églises


C'est un beau coup de filet que vient de réussir la section de gendarmerie de Lille : trois étudiants - deux hommes et une femme - ont été interpellés à Guînes, près de Calais et sont soupçonnés d'avoir dérobé une centaine d'objets d'art dans des églises des Hauts-de-France, mais aussi de Belgique.
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/pas-calais/guines-trois-etudiants-reconnaissent-avoir-vole-centaine-objets-art-eglises-1439839.html

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