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 Revue de presse (4 - 10 février 2019)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (4 - 10 février 2019)   Revue de presse (4 - 10 février 2019) Icon_minitimeMer 6 Fév - 9:31

Musées en Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire


Une association à venir et une salle Colette à venir

Si l’histoire entre la romancière Colette et la ville est peu mise en avant, les choses pourraient changer assez vite. Une association, probablement nommée « Colette, Sido et Châtillon », se constituera lors d’une assemblée générale le 2 mars à 10 h 45, salle Coligny. L’association  compte, entre autres, organiser animations, visites et lectures, par exemple au 20, rue de l’Église, la maison d’Achille, le frère  aîné de Colette. Dans le courant de l’année, c’est aussi une salle consacrée à la famille Colette qui devrait ouvrir au musée de Châtillon. Elle présentera photos, lettres et actes d’époque sur Colette, son mari Willy, ses parents Sido et Jules, et Achille. (intégral)
+ L’épisode oublié de la vie de Colette
RC Loiret, 02/02, p.14

(Aubigny sur Nère) Les travaux au château des Stuarts moins coûteux que prévu

D’abord estimé à 1.021.432,47 euros, le montant des travaux de réfection du château des Stuarts s’élève finalement à 769.050 euros. Quant aux travaux du Centre d’interprétation de l’Auld Alliance, le plan de financement a dû être ajusté : son coût est de 312.903,28 euros au lieu de 315.106,79 euros. Un gain qui permettra de refaire « les silhouettes des Stuarts d’Aubigny de façon un peu moins artisanale, pour appeler à entrer dans le musée », a précisé Laurence Renier. (intégral)
Le Berry, 02/02

Le Louvre refuse le fragment de tombeau royal
C’est un fragment de sculpture d’environ 20 cm en marbre de Carrare (Italie). Un morceau du tombeau du roi Louis X le Hutin (1289-1316) est entre les mains d’un habitant de l’agglomération chartraine, depuis le 12 octobre dernier. Le passionné d’histoire a fait l’acquisition de cet objet en pensant le revendre au Louvre, qui possède déjà plusieurs éléments du tombeau de Louis X. Mais le département des sculptures du musée parisien a décliné la proposition. Le quadragénaire a déboursé 47.500 € pour acquérir cette arcature non figurative, lors d’une vente chez Drouot, à Paris. Le fragment avait été mis à prix 150 € seulement. Plusieurs personnes, dont un étranger au téléphone, ont fait monter les enchères. Le collectionneur eurélien, qui souhaite conserver l’anonymat, explique : « C’est un lot que j’avais repéré sur le site internet de Drouot. Dans le catalogue, il était coincé entre des peintures et des pendules Louis XVI. En observant l’objet de plus près, le jour de la vente, je me suis dit que j’avais déjà vu quelque chose de ressemblant au Louvre. » Ce jour là, le collectionneur saute dans un taxi pour rejoindre le Louvre. Il se rend compte que son intuition était bonne. « Dans la foulée, j’ai donné un coup de téléphone au département des sculptures du Louvre, mais il n’y avait personne. Je suis retourné dans la salle de ventes. On était plusieurs à avoir compris que c’était un bel objet. Quelqu’un a renchéri en anglais par  téléphone. Je me suis dit que ça ne devait pas partir à l’étranger. » L’acheteur eurélien s’était fixé un budget maximum de 45.000 € hors frais. Le lot a été adjugé 38.000  €, soit 47.500 € avec les frais. Le lendemain de la vente, le collectionneur s’est rapproché du Louvre : « J’ai eu un contact avec un conservateur du département des sculptures qui s’est montré intéressé. J’ai proposé de vendre le fragment 50.000 €. Je n’aurais pas fait de bénéfices. La différence de prix aurait simplement couvert les frais bancaires. » Mais pour le département des sculptures du Louvre, ce fragment du tombeau de Louis X a été surévalué.
+ « On se doit de rendre des comptes en tant que musée public »
L'Echo, 02/02, p.2/3

Des pistes pour l’avenir du Compa

Daniel Guéret, conseiller départemental (LR/Chartres 1), vice président du Conseil départemental, est chargé par le président, Claude Térouinard (LR/Brou), de piloter une mission sur la création d’un écomusée de l’agriculture. L’élu chartrain se donne quelques semaines de plus que prévu pour continuer à consulter des personnes, dans le cadre de sa mission sur l’avenir du musée du Compa, aujourd’hui  consacré au machinisme agricole, à Mainvilliers, près de la gare de Chartres. « J’ai déjà reçu une centaine de personnes  pour discuter du sujet et je dois encore en rencontrer une quarantaine, indique Daniel Guéret. C’est important pour moi de rencontrer et de sonder des acteurs du Compa, d u monde économique, du secteur touristique et bien d’autres. À l’issue de cette période de consultations, je rédigerai un rapport d’orientations avec mes préconisations, que je présenterai au président et qui sera ensuite disponible au public. Si le président me suit, je créerai un comité de pilotage chargé de travailler sur le contenu du futur musée. » L’association des Amis du Compa, hostile au déménagement du musée, a également été reçue.
L'Echo,02/02, p.6

Momies du Berry
« C’est un joli clin d’oeil de l’histoire. » Experte en polychromies égyptiennes, Laure de Guiran intervient actuellement sur le cercueil de Djedhor, la momie du Berry, visible au musée du Berry, à Bourges. Elle avait été ramenée d’Égypte par le marquis de  Rochemonteix. Dans ses valises se trouvait un autre ensemble funéraire, aujourd’hui au musée de l’Hospice Saint-Roch d’Issoudun (Indre). Il y a vingt-cinq ans, Laure de Guiran avait débuté sur ce cercueil. « On peut dire que je suis LA spécialiste des momies de Rochemonteix ! » plaisante-t-elle. (intégral)
Le Berry, 03/02

(Orleans) Nouveaux tableaux à la mairie

Lors de cette séance, Matthieu Schlesinger, maire, a indiqué être allé au musée des Beaux-Arts d’Orléans avec son adjointe à la culture, Cécile Adelle. L’objet du déplacement ? Choisir quatre nouveaux tableaux à installer dans la salle des mariages de la mairie, en remplacement de ceux de Roger Toulouse qu’elle restitue aux musées des Beaux-Arts qui les lui avaient prêtés. (intégral)
RC Orleans, 04/02

(Tigy) Les collections s’enrichissent
Lors de l’inauguration de l’exposition d’été, Hervé Finous, président, avait émis le souhait que le musée connaisse une belle année de fréquentation. Un voeu exaucé puisque 1.863 visiteurs ont franchi la porte, soit le record des 18 dernières années. Cela s’explique, en grande partie, par la qualité des expositions proposées et l’implication des exposants à transmettre leurs connaissances et leur passion. De nouveaux objets ont enrichi les collections et sont présentés dans les salles d’exposition permanente : dans l’atelier du menuisier, un joli tour à bois et une scie sauteuse fabriquée par son unique utilisateur ; dans la forge, des casiers à quincaillerie et deux moules à fabriquer des cuillères ; dans la salle de l’apiculture, une picoteuse pour extraire le miel de bruyère et un nouvel outil pour serrer les fagots.
RC Orleans, 04/02, p.18

(Chatillon Coligny) Les élus inaugurent le musée
Véronique Flauder-Claus, maire de Châtillon Coligny, entourée de ses adjoints, avait convié de nombreux élus du département dimanche matin. Ils ont pu assister à plusieurs inaugurations sur la commune. Les élus sont, notamment, passés par le musée de la commune, où des travaux ont été engagés pour rénover le site et rajouter une salle. Le musée possède maintenant une salle réservée à Colette, artiste loirétaine décédée en 1954. Après la visite tout le monde s’est retrouvé à la mairie, où Pierre Paris était mis à l’honneur pour le don d’un tableau qu’il détenait dans sa boulangerie de Châtillon. Le tableau a été peint par Monsieur Dupuis, décorateur à Orléans. Ce dernier exerce sa passion pendant ses vacances sur la commune.
RC Loiret, 05/02, p.16

Ligny-le-Ribault. Un beau don pour l’Écomusée
Suite au don d’une autre association qui s’est dissoute, l’Écomusée va consacrer des fonds à l’entretien de son ensemble postal de 1920.
RC Orléans 06/02/2019, p. 12

(Tours) Un nouveau conservateur pour chapeauter les musées[/b]
Dans le titre de Jérôme Farigoule, nouveau conservateur des musées de Tours (il remplace Sophie Join-Lambert dont le départ aura lieu en mai), le mot important est l’article défini. Il ne s’occupera pas seulement du musée des Beaux-Arts (environ 60.000 entrées), mais aussi d’un pôle constitué du musée du Compagnonnage, du Muséum, du château de Tours et de celui d’Azay-le-Ferron (Indre). Avec un but : mutualiser l’accueil et la surveillance, puis les services techniques et la gestion des réserves. Un conservateur des musées doit aujourd’hui faire montre de capacités de management, de gestion des ressources humaines. Peut-être une exposition sur Jean-Baptiste Greuze Ces qualités, Jérôme Farigoule les a déjà démontrées au cours de son riche parcours commencé de façon classique après des études de lettres à la Sorbonne et à l’École du Louvre. Outre l’aspect gestionnaire, Jérôme Farigoule réfléchit aux façons de moderniser ce palais épiscopal placé cet été sous les feux d’un mapping consacré à la Renaissance, pour célébrer ses cinq siècles. Des opérations lourdes deviendront nécessaires, pour la circulation, l’accessibilité, la climatisation et un pôle de vie. Il repense au projet de Sophie Join-Lambert de voir un espace cafétéria dans la galerie à côté de l’éléphant Fritz. Un sujet pour le prochain mandat. Mais avant, l’agencement de salles changera. Pour le château, il voudrait accueillir moins d’expositions mais avec des artistes de plus grande renommée.
NR Indre et Loire, 08/02, p.9

Lieu de mémoire de la Shoah
Les premiers travaux ont débuté à la gare de Pithiviers, qui doit devenir d’ici fin 2020 un lieu de mémoire de la Shoah en lien avec le Cercil. Ce lieu sera consacré aux convois de déportés juifs, qui transitaient depuis la gare jusqu’au camp d’extermination d’Auschwitz, entre 1941 et 1943. Les travaux, à hauteur de 2 millions d’euros, sont financés par la SNCF, propriétaire du lieu. Les premières opérations consistent en des opérations de désamiantage et la démolition d’une partie des bâtiments. La pose de la première pierre du futur site aura lieu quant à elle au printemps. Le lieu est donc désormais inaccessible, notamment pour les véhicules qui pouvaient jusqu’ici stationner devant la gare. (intégral)
RC Loiret, 09/02

(Montargis) Girodet en planches et en bulles

Peu d’auteurs de bandes dessinées ont le privilège de voir leurs oeuvres vendues dans des lieux labellisés « Musée de France ». Et encore moins quand il s’agit de leur tout premier album. Si vous visitez le musée Girodet, à Montargis, vous pourrez acquérir à la boutique le premier tome consacré à la vie du plus célèbre des peintres natifs du Gâtinais. On doit cet album, simplement intitulé « Girodet Montargis-Rome », à Quentin Lebeau, lui aussi Montargois. À 27 ans, il confie volontiers commencer sa carrière d’auteur de bande dessinée « sur le tard », mais aussi réaliser un vrai rêve de gosse. Depuis toujours, Quentin est passionné par la BD et le dessin. Après un BTS d’architecture, il se dirige vers une école de design puis vers un master d’illustration scientifique et didactique, un diplôme que peu possèdent en France. « C’est une formation géniale, en deux ans », dépeint Quentin Lebeau. « Cela va de l’illustration de livres d’anatomies au mode d’emploi de préservatifs. C’est la première fois qu’on m’a appris à dessiner l’anatomie. » Pour financer ses études, Quentin fait en effet du gardiennage au « petit Girodet », rue Dorée, ouvert pendant les travaux de rénovation du musée. C’est là, il y a quatre ans, qu’il rencontre Pascale Gardès, la responsable. Au fil des discussions, l’idée d’une BD consacrée à la vie d’Anne-Louis Girodet prend forme. Pendant trois ans, le jeune artiste s’est attelé à la tâche, aidé par deux conseillères scientifiques de choix : Pascale Gardès et Sidonie Lemeux-Fraitot, responsable des collections du musée.
RC Loiret, 09/02, p.17

(Montargis) Girodet en planches et en bulles
(Bourges) Chef-d’oeuvre
Du 16 février au 5 janvier le Musée des Meilleurs ouvriers de France à Bourges présente le second volet de l’exposition « MOF un jour… MOF toujours ! » consacrée aux savoir faire des Meilleurs ouvriers de France. (intégral)
Le Berry, 09/02

(Villeny) La Maison du cerf a terminé sa mue

On attend la réouverture avec impatience, que les gens puissent voir le travail. Pauline Robin, animatrice de la Maison du cerf, attend la réouverture avec impatience. Le musée de Villeny rouvre ses portes, ce samedi 9 février, à 14h, après un chantier de quatre mois pour revoir de fond en comble la muséographie et la scénographie des lieux. « Généralement, un musée change tous les dix ans, la muséographie et la scénographie dataient de 2005, tous les locaux la connaissaient par coeur », explique l’animatrice.« Depuis 2005, il y a eu des avancées scientifiques, les textes n’étaient plus tout à fait à jour, et il y a la vidéo, le numérique. » L’espace de 150 m2 a été totalement repensé, les habitués ne reconnaîtront pas les lieux. Cette mue de la Maison du cerf est l’oeuvre du collectif « Entre vous », Pierre Bonnerve, Gilles Puech et Olivier Schimmenti, trois spécialistes bourguignons. « La scénographie était très brouillonne, tout tenait grâce à la visite guidée de Pauline », expliquent-ils. « Il fallait faciliter l’outil de médiation avec des éléments plus efficaces, on a fait un tri raisonné. » Après ces travaux, financés notamment par la communauté de communes (50.000 €), une hausse de la fréquentation est attendue (3.140 visiteurs en 2018), pour ce musée ouvert de février à novembre.
NR Loir et Cher, 09/02, p.26


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MessageSujet: Revue de presse (4 - 10 février 2019)   Revue de presse (4 - 10 février 2019) Icon_minitimeMer 6 Fév - 9:31

Archéologie en Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire


(Argenton) Le dessinateur Claude Turier refait l’histoire
Claude Turier participait, le week-end dernier, au 46e Festival de la bande dessinée d’Angoulême. En compagnie du scénariste David Verdier, il a dédicacé le deuxième tome de leur oeuvre commune, Les Exquis Mômes. Les aventures de ces petits  détectives rappellent les tribulations des jeunes enquêteurs de Trafic d’armes à Argentogamus, que le dessinateur et humoriste argentonnais a publié en 2004 avec le précieux concours de spécialistes de l’époque gallo-romaine. C’est d’ailleurs l’ancien conservateur du musée, Gérard Coulon, qui avait écrit le synopsis de cet album d’une cinquantaine de pages, réalisé avec le concours financier de l’association Archéa. « L’histoire est inventée, mais les décors sont réels : certains personnages, comme le notable Sergius Quintus Macrinus, ont vécu dans la cité antique », précise Claude Turier. Il a situé l’intrigue au IIIe siècle de notre ère et mis en scène un groupe d’enfants résolus à déjouer le saccage des convois d’armes fabriquées à Argentomagus. Leurs investigations passent par le théâtre, la fontaine des Mersans, et des rencontres parfois insolites avec des clones de l’ancien ministre Michel Sapin ou de Gérard Coulon. Tous ces éléments ont contribué au succès de cette bande dessinée qui valorise le patrimoine local.
NR Indre, 03/02, p.9

(Bourges) Une nouvelle Zac à Saint-Doulchard
Moins d’un an après l’ouverture du centre commercial Leclerc, le long de la RD 2076 (avril 2018), une nouvelle zone d’aménagement concerté (Zac) est en cours  de création à Saint Doulchard. Depuis le mois dernier, les automobilistes qui  traversent la commune ont aperçu les coups de pelle mécanique des employés du service d’archéologie préventive de Bourges, sur des parcelles situées à hauteur du lieudit La Perlotte. Un chantier qui se situe entre les entreprises Jardy Berry et les transports Stef, de l’autre côté du rondpoint qui jouxte Leclerc. Deux entreprises seraient intéressées pour s’y implanter. Sur la parcelle de 45.000 m2 visible de la route, il pourrait y avoir un concessionnaire automobile du secteur qui cherche à s’agrandir. Celui ci souhaite rester discret tant que la marque n’est pas officiellement propriétaire. Derrière, sur une surface de 22.000 m2, est prévu un entrepôt de stockage  de matériel pour une entreprise avec qui « les tractations sont un peu moins avancées », annonce Aymar de Germay, premier vice président de la communauté d’agglomération Bourges Plus en charge du développement économique et de l’emploi. Aujourd’hui, Bourges Plus est toujours propriétaire des surfaces. Elle a, elle même, acheté ces deux terrains à la municipalité de Saint Doulchard, dans le cadre de l’obligation de transfert des zones d’activités économique aux communautés d’agglomération du 1er janvier 2017.
Le Berry, 04/02, p.7

(Artenay) Archéologie et histoire au programme
Le Groupement archéologique et historique de la région d’Artenay (GAHRA) a tenu son assemblée générale au théâtre forain. Cette association intervient sur divers sites pour ramasser des outils, dans les champs, et faire revivre l’histoire et l’archéologie de l’ancien canton d’Artenay et de l’Eure et Loir. Bernard Chevolot, président, a d’abord fait observer une minute de silence en mémoire des disparus, dont Guy, ancien président, bénévole et surtout amoureux de l’histoire. Après le compte rendu de l’année passée, le président a présenté le rapport moral. Il constate une baisse des adhérents, pour diverses raisons, mais note aussi que la municipalité est à l’écoute des besoins : demande d’inter venant pour le musée de l’Histoire, investissements de lumières et, actuellement à l’étude, un local pour les réunions et pour stocker les collections des généreux donateurs.
RC Orleans, 09/02, p.23

(Ferrière-Larçon) Ils ont semé des cailloux sur le chemin du paradis
Jusque-là, l’accès n’était pas forcément évident. Les visites encadrées par le conservatoire d’espaces naturels Centre-Val de Loire, qui gère l’Éperon de Murat, constituaient souvent le seul moyen de découvrir ce site agréable et riche de biodiversité. Désormais, chacun pourra en profiter facilement, à son rythme. Hier, une douzaine de bénévoles ont répondu à l’appel du conservatoire et ont balisé le sentier que l’association vient de créer (1). Pas de flèches ni de traces de peinture pour guider les visiteurs : le choix a été fait de disposer des cairns, ces tas de pierres que l’on retrouve notamment en montagne. L’éperon calcaire de 40 hectares regorge d’affleurements rocheux qui ont merveilleusement fait l’affaire. Mais pas question de prendre n’importe quel caillou : l’éperon abrite des vestiges archéologiques auquel le sentier conduit. Après un des portillons récemment installés, on aperçoit d’abord – si l’on est attentif – un monticule. Il s’agissait d’une muraille construite au néolithique à la pointe de l’éperon pour protéger une installation humaine. Pas assez efficace, elle fut ensuite remplacée par un autre rempart, davantage visible, un peu plus loin.
(1) Départ depuis un parking aménagé près de la ferme de Murat.
Le Berry, 04/02, p.7


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MessageSujet: Revue de presse (4 - 10 février 2019)   Revue de presse (4 - 10 février 2019) Icon_minitimeMer 6 Fév - 9:33

Patrimoine en Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire


(Graçay) Une église difficile à restaurer
Il y a près de neuf ans, le 28 février 2010, une tempête s’abattait sur l’église Notre Dame de Graçay. Entre 500 kg et une tonne de pierres avaient chuté sur le parvis de l’église, provoquant la fermeture de l’édifice pour raison de sécurité. Par ailleurs, la largeur des portes latérales ne permet pas l’organisation des obsèques. Les  offices religieux ont lieu depuis lors dans l’église de la commune voisine, Saint Outrille (*). D’ici quelques jours, la commune devrait mener un chantier de mise en sécurité de l’édifice. Un auvent en bois sera posé au dessus de la porte principale. « Le permis de construire a été déposé, nous attendons l’avis de l’architecte des Bâtiments de France, déclare Michel Archambault, quatrième adjoint au maire. Cela nous permettra d’ouvrir l’église pour les cérémonies d’enterrement et de mariage ». Le montant des travaux de mise en sécurité, réalisé par une entreprise de Bourges, est compris entre 35.000 et 40.000 euros. L’auvent « sera sécurité sur les deux côtés, de manière à ce que les gens n’entrent pas par les deux autres portes de la façade ». L’église de Graçay est l’une des deux églises du département du Cher à être en péril. Et pour cause. L’édifice néogothique, propriété de la commune, construit pour une première partie entre 1863 et 1868, a commencé à se dégrader dès 1896. Bien avant l’inauguration du bâtiment, qui a eu lieu en 1926. En effet, si les fondations sont solides, les étages supérieurs n’ont pas été construits avec de la bonne pierre. Il s’agit de tuffeau. Une grande partie de la façade se détériore actuellement.
+ Une association se bat pour l’église de Jussy-le-Chaudrier
Le Berry, 02/02, p.2/3

(Nogent le Rotrou) Le château sera aussi plus beau la nuit
On nous a promis du beau et du nouveau, on va visiblement nous en donner. Alors que la muséographie du musée de l’histoire du Perche est en pleine refonte, notamment avec l’apport de la réalité augmentée, c’est aussi son écrin, à savoir le château des Comtes du Perche, qui va être embelli. Un nouvel éclairage de ce qui fait sa singularité, c’est à dire son donjon quasiment unique en Europe pour être aussi ancien et dans un aussi bel état de conservation, va être mis en place d’ici l’été. La délibération du Conseil municipal qui a été votée jeudi soir à l’unanimité vise en effet à renforcer l’attractivité du monument et à promouvoir l’ensemble du site. « Ce nouvel habillage de lumières sera mis en place dès le 1er juin 2019  jusqu’aux Journées européennes du patrimoine », a souligné le maire (PRG) François Huwart, en l’absence d’Harold Huwart, le conseiller municipal qui suit de très près ce projet. Plus précisément, ce nouvel éclairage sera « dynamique et coloré, il permettra de mieux mettre en valeur le donjon et de le rendre visible de très loin. La projection d’images sur les parties extérieures du château va favoriser une nouvelle approche du monument en nocturne pour les visiteurs ».
L'Echo, 02/02, p.25

(Blois) Poulain
Au cimetière de Blois ville, situé rue Alfred-Halou, une sépulture a fait l’objet récemment d’un travail de restauration en début d’année. C’est l’entreprise Gueble qui s’en est chargée et le travail est plutôt réussi. La tombe de la famille Poulain était déjà remarquée et remarquable, elle est désormais immanquable tellement elle est lumineuse. Cette blancheur et cette propreté en font un attrait de plus pour le cimetière, qui compte aussi parmi ses illustres locataires, le magicien Jean-Eugène Robert-Houdin, la belle-mère de Madame Sans-Gêne, le peintre Henri Sauvage… Cette blancheur éclatante donnera-t-elle des idées à d’autres ? Certaines tombes auraient bien besoin d’un nettoyage pour leur redonner un peu d’éclat. (intégral)
NR Loir et Cher, 02/02

(Vendôme) Portique
Le chantier de la restauration du bâtiment Régence financé par la Fabrique Louis-Vuitton, continue de se mettre en place. La prudence de l’enseigne de maroquinerie de luxe, qui ne communiquera sur son projet précis qu’en 2020, se confirme. Pour accéder au chantier en effet, il faudra certainement montrer patte blanche, à en croire le portique installé récemment sur le site. (intégral)
NR Loir et Cher, 02/02

Don d’une toile de Louis Marchand des Raux à la ville de Fondettes par Mme Monique Hervieu.
Le conseil accepte la donation à la ville. (intégral)
NR Indre et LoireW, 02/02

(Nohant Vic) 11 000 signatures
La publication, dans le magazine municipal de Chartres, Votre ville, de janvier, des vues d’architecte montrant le projet d’aménagement de l’esplanade, devant la cathédrale, a provoqué des remous. Une pétition contre le projet, lancée sur Internet, a récolté plus de 11.000 signatures. Les commentaires des pétitionnaires fustigent les « bétonneurs » qui « défigurent » les villes et questionnent « la pertinence du projet ». « Ça fait vingt cinq ans qu’on demande les avis de tout le monde », s’étonne Jean-Pierre Gorges, le maire de Chartres. Même s’il ne compte pas abandonner le projet, l’élu a tout de même demandé aux architectes de retravailler sur la façade du bâtiment. À suivre.  (intégral)
L'Echo, 03/02

(Chaumont sur Loire) Voyage de la pierre de Bourré
Le château de Chambord va célébrer les 500 ans de l’ouverture de son chantier le 6 septembre prochain. A l’époque, un par un, les blocs de tuffeau provenant de Bourré ont été transportés par bateaux sur la Loire jusqu’à Saint-Dyé puis par chariots jusqu’à Chambord. Dans le cadre des festivités organisées à l’occasion, une réplique de ce voyage de la pierre est prévue du 2 au 6 septembre avec une halte à Chaumont-sur-Loire du mercredi 4 fin de journée au jeudi 5 au matin. L’association locale de mariniers de Loire, Millière Raboton, sera partenaire de ce périple. Reste à déterminer le programme des festivités sur cette rive gauche de la Loire. (intégral)
NR Loir et Cher, 03/02

Mobilisation pour l’église de Lisle
Vendredi soir, le ban et l’arrière-ban étaient réunis afin de lancer l’opération de mécénat populaire conduite conjointement par la Fondation du patrimoine et la municipalité de Lisle qui lancent le pari d’une mobilisation pour l’église de Lisle. Olivier de Vallois et Alain Peral, délégués de la Fondation, ont dressé l’historique de l’édifice cultuel du XIIe siècle devant un parterre de  connaisseurs, dont Alexandre Fleury, président de Résurgence en Vendômois, Bernard Diry, président de la Société archéologique, Monseigneur Verrier, délégué épiscopal à la culture, Pierre Laurent, délégué de la Fondation du patrimoine,  Martine Tissier de Mallerais, correspondante départementale de la Sauvegarde de l’art français, Véronique de Vallois, déléguée des Vieilles Maisons françaises… Placée sous le patronage de saint Jacques et sur la route du pèlerinage, l’église recèle nombre de trésors architecturaux et mobiliers.
NR Loir et Cher, 03/02, p.9

(Reugny) Le château de Louise de la Vallière va s’embellir
Mira Grebenstein et son mari viennent d’acquérir le château de la Vallière à Reugny afin d’y créer un hôtel de luxe avec  chambres doubles et plusieurs suites, le tout haut de gamme. La propriétaire, qui vivait jusqu’à ce jour en Suisse, va s’installer définitivement au château pour surveiller les travaux de restauration et de multiples transformations de cet ensemble de grand  standing. Le château de la Vallière est un édifice des XVIe, XVIIe et XIXe siècles, construit sur l’emplacement d’une forteresse du XIVe, niché dans une forêt de vingt hectares aux arbres centenaires dominant la vallée de la Brenne et le village de Reugny. C’est le grand projet de vie de Mira Grebenstein, sans doute un peu prédestiné : elle est, en effet, diplômée des plus grandes écoles de management hôtelier en Suisse. Ce qu’elle souhaite par-dessus tout, c’est de rendre ce magnifique édifice à sa gloire d’antan, faire revivre son histoire à la croisée de l’art, du raffinement, de la gastronomie et de la nature en proposant des expériences thématiques à ses hôtes.
NR Indre et Loire, 03/02, p.8

(Amboise) Au château, mon royaume pour un “ Histopad ”
Après Loches, il y a un mois, c’est au tour du château d’Amboise de se mettre à l’«Histopad ». Dépassés, les audio-guides ! Fini, les visites fastidieuses devant de vieilles pierres qui ne peuvent pas raconter ! Aujourd’hui, elles s’animent avec la technologie et le numérique. Depuis vendredi, chaque visiteur a le choix entre le traditionnel dépliant papier et l’Histopad. Nul doute que, pour le même prix, le choix sera vite fait. Il a fallu un an de travail à la société Histovery pour créer cet outil de visite augmentée. Elle a créé ce genre de visites de sites tels que Loches, Chambord, Blois, mais aussi le palais des Papes d’Avignon ou le château de Fontainebleau. Elle travaille sur des décors reconstitués en 3D. Sur l’écran de la tablette, apparaissent des décors, des meubles, des pièces tels qu’ils existaient à la Renaissance. Le visiteur, muni de cet « Histopad », scanne des médaillons répartis dans le château au fil de la visite et des décors ; les explications historiques, les personnages de l’époque sont imagés. Le visiteur peut orienter cette tablette dans tous les sens et visiter la pièce en virtuel.
NR Indre et Loire, 03/02, p.10

(Bélâtre) Trois vitraux de l’église bientôt restaurés
L’Association pour le patrimoine de Bélâbre (APPB) a tenu son assemblée générale, jeudi dernier. Le rapport moral, présentant les animations organisées et les plus de trois cents personnes accueillies en 2018, a été adopté à l’unanimité. Les effectifs sont stables avec cent adhérents en fin d’année. Les finances sont saines. La présidente a ensuite présenté le calendrier des manifestations 2019 qui débuteront le 19 février par une causerie sur le passé de Bélâbre à la résidence des Trois-Roues, au Blanc. Cette année 2019 devrait voir la restauration des trois vitraux du transept de l’église. Restauration engagée par la commune, la fondation du Patrimoine et l’APPB.
NR Indre, 04/02, p.11

(Saint-Pierre-des-corps) Le chantier de la Loco se poursuit
Le week-end dernier, la cé- lèbre locomotive à vapeur Pacific 231 E 41, abritée sous le hangar aux avions sur le site du Magasin Général, était en grand chantier. Les travaux de restauration sont en avance de plusieurs semaines par rapport au calendrier prévu. « Il a été procédé au levé du châssis pour en extraire la totalité des essieux », explique le président, Nicolas Perrodin. L’équipe de restauration va pouvoir effectuer des contrôles approfondis et travailler sur le châssis. (intégral)
NR Indre et Loire, 04/02

(Loches) Appel aux dons : 6 millions à trouver pour la collégiale
Faire un chèque de 6 millions d’euros, la Ville de Loches n’en a pas les moyens. C’est le montant estimé des travaux pour restaurer entièrement la collégiale Saint-Ours. En plus de l’État, la Région (Drac) et le Département, la municipalité a sollicité l’aide de deux organisations : la Fondation du patrimoine, et indirectement le Loto du patrimoine, pour une souscription populaire, et le Fonds de dotation Loches Patrimoine et Culture, pour activer son réseau de mécènes (privés et entreprises). Une convention de partenariat avec ces deux contributeurs potentiels a été signée samedi matin en mairie. Le chantier global pourrait durer une décennie, voire plus… si la Ville trouve l’argent. L’urgence réside au niveau des deux dubes, ces pyramides octogonales creuses en pierre qui couvrent la nef. L’eau s’y infiltre, fragilisant l’édifice à l’extérieur et à l’intérieur. Ces deux coupoles a priori uniques en France signent l’identité de la collégiale fondée en 965 (l’ensemble de l’édifice date du XIIe siècle).
NR Indre et LoireE, 04/02, p.15

(Saint Brisson sur Loire) Les finances du château à l’équilibre
Le château de Saint Brisson sur Loire, qui a vécu de nombreuses péripéties ces dernières années, commence à retrouver un certain équilibre avec 16.000 visiteurs enregistrés en 2018. La bâtisse, léguée en 1987 à la commune de Saint Brisson par la dernière propriétaire, faisait partie des biens publics il y a encore trois ans. Gérée pendant près de trente ans par l’association des Amis du château, les difficultés financières avaient fini par devenir problématiques. Le château est alors mis en vente sous l’impulsion du conseil municipal, puis acheté par Lancelot Guyot en septembre 2015. Après environ huit mois de travaux, le site historique avait rouvert ses portes en juillet 2016. Mais le pari est loin d’être gagné pour le nouveau propriétaire, déjà gestionnaire du château de La Ferté Saint Aubin. « Je savais que le projet allait être compliqué », avoue t il aujourd’hui. En effet, le concept touristique initié par Lancelot Guyot ne permet d’accueillir, dans un premier temps, qu’entre 80 et 100 visiteurs par jour. Des entrées qui sont loin d’être suffisantes pour équilibrer le budget du domaine. « C’était sûrement aussi le temps que la communication et le bouche à oreille se fasse », souligne l’actuel propriétaire. Ainsi, la saison 2018, allant de Pâques à la Toussaint, a permis d’enregistrer 16.000 entrées. Une bonne nouvelle qui met fin au déficit de l’entreprise touristique. Seul ombre au tableau : l’entente s’est fortement dégradée entre Lancelot Guyot, l’actuel propriétaire, et l’association des Amis du château, anciens gestionnaires du monument.
RC Loiret, 05/02, p.17

(Lury sur Arnon) Les amis de Lury, une nouvelle association dynamique

Cédric Gourin, président des Amis de Lury, et son bureau ont donné le programme. Des poubelles et composteurs appartenant à la communauté de communes Coeur de Berry sont stockés à l’intérieur de la vieille église. Contactée, Sophie Bertrand, la présidente de l’intercommunalité, a proposé de vider entièrement l’église rapidement. Un membre de l’association propose de nettoyer, déjà, les abords au printemps. Une question se pose : Qui est propriétaire del’église ? « Normalement c’est la commune, mais ici, le maire Jean-Claude Fagot ne le sait pas », informe Cédric Gourin. Pour le président : « Rénover le patrimoine, c’est l’affaire de tous, il faut réveiller les consciences et se retrousser les manches. »
Le Berry, 05/02, p.16

(Saint Amand) De nouvelles ambitions pour Montrond

«Le monument, le site, les abords. Tout est lié. Nous devons faire un projet d’aménagement global. » Par la voix de Jean-Yves Piroche, directeur de cabinet du maire de Saint Amand, la municipalité marque son envie de « cohérence » pour  la forteresse de Montrond, site emblématique de la capitale du Boischaut. La ville, qui a repris au printemps 2017 la gestion de ce site classé (*), vient de recevoir l’étude du cahier des charges, réalisée par la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) de la région Centre Val de Loire. Cette étude est nécessaire à la réalisation du plan d’aménagement, dont les grandes lignes prévoient la mise en place d’un circuit de visite permettant d’appréhender le site dans son ensemble. En effet, en plus d’une promenade dans le parc, à la découverte des arbres remarquables, déjà possible aujourd’hui, la municipalité souhaite faire débuter la visite par une déambulation dans les fossés des fortifications  bastionnées, au nord de la forteresse. « Les gens pourront, ensuite, terminer par une découverte guidée du monument et sa tour de l’horloge, seul élément encore en élévation », termine Jean-Yves Piroche.
(*) La municipalité de Saint Amand a repris la gestion du site de la forteresse de Montrond, après le non renouvellement, au printemps 2017,  de la convention de mise à disposition du site au Cercle d’histoire et d’archéologie du Saint Amandois (Chasa), association qui y avait oeuvré ces quarante dernières années
Le Berry, 05/02, p.20

(Brenne) Le Comité syndical du Parc naturel régional (PNR) a adopté son débat d’orientation budgétaire
La gestion du château d’Azay-le-Ferron devrait se poursuivre avec la participation de la Ville de Tours, permettant le financement d’un poste de guide conférencier. Une réflexion globale est actuellement menée sur l’ensemble des structures muséographiques du territoire, dont Prissac et Ingrandes, ainsi que la refonte de l’Ecomusée du Blanc.
NR IndreW, 05/02, p.17

(Fougères sur Bièvre) Remonter le temps au château de Fougères
C’est une pièce exceptionnelle que les visiteurs du château de Fougères-sur-Bièvre (commune nouvelle de Le Controis-en-Sologne) ont eu le privilège de découvrir ce dimanche. Pour la première fois depuis sa restauration à Loches en 2004, l’ancien mécanisme de l’horloge du vénérable édifice était présenté au public à l’occasion d’une journée unique. Inutile de préciser que le téléphone de l’accueil a sonné à maintes reprises ces derniers jours et que les places disponibles ont vite été réservées. Il a fallu affronter un froid glacial pour faire connaissance avec la merveille en compagnie de Delphine Arnou, régisseur du site. Celle-ci a d’abord retracé l’histoire de ce monument typique de la fin du Moyen Âge et des premières heures de la Renaissance. « Fougères est l’une des plus anciennes seigneuries du Blaisois puisqu’elle remonte au XIe siècle. L’ancien  château a subi les affres de la guerre de Cent Ans. Celui-ci a été bâti entre 1450 et 1525 par Pierre de Refuge, trésorier du roi Louis XI, puis modifié par Jean de Villebresme vers 1525. » À cette époque, le rythme des journées était marqué par le tintement des cloches à la fois pour appeler au travail, aux offices et aux prières. Celles du château de Fougères se trouvent dans un campanile qui coiffe l’entrée du monument. Il est surmonté d’une girouette aux armes de la famille de Refuge : deux serpents qui s’affrontent en formant une sorte de coeur. La  Renaissance est une époque où les arts, les sciences et la technique connaissent un fort développement. L’horlogerie profite du vent de progrès qui souffle sur le royaume de France.
NR Loir et Cher, 05/02, p.6

Amis du pays lochois : un soutien au patrimoine

Nous préservons le patrimoine sous toutes ses formes, a souligné Stéphane Blond, le président des Amis du pays lochois, lors de l’assemblée générale qui a réuni 164 adhérents samedi 2 février à l’espace Agnès-Sorel. Ce soutien se concrétise de plusieurs façons. Par des visites : en 2018, il y eut Châteauroux, Déols, Saumur… Par des conférences (la gabelle, l’histoire de la ville de Châteauroux, le compagnonnage). Par des réunions-interassociations sur le thème des voies de communication. Par la participation à la journée nationale de l’archéologie ou encore aux journées du patrimoine avec la visite de la Porte des Cordeliers, siège de l’association… Mais ce soutien se traduit aussi financièrement. « Nous ne percevons aucune subvention et n’en demandons pas mais nos finances nous permettent d’aider le fonds de dotation privé Loches Patrimoine et Culture en lui versant chaque année, depuis cinq ans, 500 €, et nous avons aussi versé 550 € pour la restauration du clocher de l’abbatiale Saint-Pierre de Beaulieu », a indiqué Stéphane Blond.
NR Indre et LoireE, 05/02, p.17

(Courçay) Des subventions pour l’église
Le conseil municipal a sollicité des subventions de l’État au titre de la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) pour financer des travaux portant sur l’église Saint-Urbain, inscrite aux monuments historiques, des mesures de protection incendie et l’équipement informatique de l’école. L’église romane de Courçay nécessite des travaux urgents de réparation. Le maire, Jean- Francis Bister, explique que le programme de réhabilitation doit être pluriannuel. Pour la tranche 2019, il invite les élus à solliciter la DETR. Il demande aussi l’intervention de  la fondation du patrimoine, dont la contribution est conditionnée aux dons fournis par les particuliers dans le cadre de souscription. « Des représentants de la fondation vont venir sur place dresser un état des lieux », a indiqué le maire.
NR Indre et LoireE, 05/02

Ondreville-sur-Essonne. Aux petits soins du moulin de Châtillon

Les bénévoles de l’Asamec effectuent des travaux pour restaurer la minoterie. La communauté de communes du Pithiverais Gâtinais, propriétaire du site, va, elle, intervenir sur les bâtiments.
RC Loiret, 06/02/2019, p. 13

(Echilleuses) D’importants travaux seront menés prochainement à l’église
Samedi dernier, Louis Jove, maire d’Échilleuses, les entreprises partenaires du Club des mécènes – SARL Mapidis de Beaune la Rolande, Beauvallet SAS de Pithiviers, AFL Holding, Pentalog (La Chapelle Saint Mesmin) – et les délégués du patrimoine Bernard Vella, Jacques Bourgouin, Jean Richard représentant la communauté de communes, étaient réunis pour signer une convention afin d’effectuer les  réparations de la toiture et de l’entrevoûte de l’église. Un chèque de 4.000 euros a été remis à cet effet. Rappelons que le Club des mécènes du patrimoine du Loiret a pour objectif de fédérer des entreprises souhaitant contribuer à des projets de restauration caractéristiques du patrimoine local et à forte identité territoriale. (intégral)
RC Loiret, 07/02

(Gien) C’est « une mine d’or » !
Mercredi soir, depuis la salle des mariages, Alain Champault, accompagné de son épouse Jocelyne, a fait don d’un trésor inestimable à la ville de Gien. Le don permettra ainsi à la collection d’être conservée dans les meilleures conditions qui soient. « Une mine d’or », s’est exclamé Christian Bouleau, le maire. Avant de confier qu’une exposition sur le thème des « dons privés » serait bientôt organisée. La collection en question repose notamment sur quelque 9.400 cartes, postales et publicitaires, photos… Suite au décès de Jacqueline Champault, sa mère, la ville a accepté que le dépôt initial se transforme en don. Et qu’Alain le complète de nouveaux documents et objets. Pour mémoire, en 1993, après le décès de Marcel Champault, c’est sur la proposition de Jacqueline et Alain que la ville avait accepté le dépôt d’une partie des archives familiales. Le don repose sur 9.400 cartes, postales et publicitaires, photos, négatifs, diapositives… Et compte 700 livres, revues et bulletins associatifs, 96 plans, affiches et gravures. Le don comporte trois mètres linéaires de dossiers documentaires, des pièces de monnaie, billets, pin’s, médailles et du matériel de la Guerre 1939-45.
RC Loiret, 08/02, p.18

(Aubigny sur Nère) Sur les traces des Stuarts
Chaque année en juillet, à Aubigny sur Nère, on porte des kilts, on mange de la panse de brebis farcie (le fameux haggis) et on réunit les clans au son des cornemuses. Les Fêtes franco-écossaises commémorent en grande pompe le passé de la cité, fief écossais pendant plus de deux cents ans. Ce soir, ce lien unique sera célébré à l’Atomic cinéma, qui projette en avant première le film Marie Stuart, reine d’Écosse. Il faut remonter à 1295, date de la signature de l’Auld Alliance, pour comprendre l’histoire d’Aubigny, lorsque Français et Écossais s’engagent à se prêter mainforte contre un ennemi commun, l’Angleterre. de Cent Ans, Charles VII fait appel aux Écossais pour combattre les Anglais. 5.000 hommes débarquent à La Rochelle avec, à leur tête, un certain Jean Stuart de Darnley, résume François Gresset, premier adjoint au maire. Il participe à la bataille de Baugé, près d’Angers, où les Anglais essuient une défaite assez cuisante. » L’issue victorieuse amène Charles VII, roi de France, à offrir à Jean Stuart et ses descendants la seigneurie d’Aubigny. Après lui, d’autres Stuarts laissent leur empreinte sur Aubigny. À commencer par Béraud Stuart, petit fils de Jean. « Un grand guerrier qui a participé aux guerres d’Italie », décrit François Gresset. C’est lui qui engage, à la fin du XVe siècle, la construction du château de la Verrerie, à Oizon. Robert, cinquième seigneur d’Aubigny, y ajoute la galerie Renaissance autour de 1520. C’est à lui que l’on doit les maisons à pans de bois qui font la renommée de la ville. En 1512, après l’incendie qui ravage le bourg, Robert Stuart met ses forêts à disposition des Albiniens pour qu’ils puissent reconstruire leurs maisons. Difficile, donc, de passer à côté de ces personnages historiques lorsque l’on arpente les rues d’Aubigny sur Nère.
+ L’Atomic cinéma a réussi à obtenir une avant-première inédite : la première projection en France du film Marie Stuart, reine d’Écosse, de Josie Rourke, aura lieu à l’Atomic cinéma d’Aubigny-sur-Nère, ce soir, à 20h30.
Le Berry, 08/02, p.2/3

Le Berry de la Renaissance sortira au mois d’avril
Une souscription est ouverte pour acquérir Le Berry de la Renaissance, ouvrage collectif sous la direction de Philippe Goldman, Xavier Laurent et Jean-Pierre Surrault. Ils sont quarante cinq contributeurs, réunis par l’Académie du Centre (Châteauroux) et la Société d’archéologie et d’histoire du Berry (Bourges) pour raconter la Renaissance en Berry à travers ses monuments et ses personnages, connus ou moins connus. Riche de plus de deux cents illustrations, cet ouvrage de 272 pages montre que le Berry est pleinement impliqué dans cette période faste sur le plan intellectuel, culturel et artistique. De l’université de Bourges aux nombreuses constructions (châteaux, églises, hôtels particuliers…) et oeuvres d’art, créations littéraires et musicales, Le Berry de la Renaissance offre de multiples entrées pour guider son lecteur dans le foisonnement d’une époque incomparable. www.la-bouinotte.org (intégral)
Le Berry, 08/02

(Maintenon) Un échange productif avec les Russes
L’association présidée par le Maintenonnais Alexis Robin va entamer des échanges avec une association russe afin de développer entre autres, ses connaissances en matière de restauration de monuments. L’idée a germé en octobre 2018 alors que la Ville de Maintenon accueillait un groupe de Russes, dans lequel se trouvait le président de la cathédrale de SaintPétersbourg. Une aubaine. Des intérêts communs Alexis Robin, qui est par ailleurs adjoint au maire de Maintenon, a donc organisé pour ce groupe d’exception une présentation de l’association de la Vallée Royale de l’Eure, ainsi qu’une visite de Maintenon : « C’est en fait le maire de Lèves qui m’a prévenu de leur venue. Ce groupe voulait voir le tableau que possède la Ville de Maintenon, Le Tsar Pierre le Grand rendant visite à Madame de Maintenon. » En échangeant, les deux groupes se rendent compte de leurs intérêts communs. « Nous avons plein de points communs. De nombreux architectes français ont par exemple oeuvré en Russie et les différents sites faisant partie de notre association (lire encadré) ont eu beaucoup d’échanges avec la culture russe », explique Alexis Robin. De là, l’idée d’établir des échanges avec des sites patrimoniaux russes est née. Cet échange pourrait apporter beaucoup de savoirs à la Vallée Royale de l’Eure, notamment en termes de restauration.
L'Echo, 08/02, p.14

(Chailles) Une association pour sauvegarder l’église Saint-Martin
Les travaux de la première tranche intérieure de l’église Saint-Mart in de Chailles sont terminés depuis fin novembre 2018. L’édifice dépendait jadis de l’abbaye de Bourgmoyen et ses éléments les plus anciens datent du XIIIe siècle. Des réaménagements ont eu lieu aux XVe et XVIe siècle. Les boiseries du choeur sont du XVIIe siècle et une voûte en briques est ajoutée au-dessus de la nef au XIXe siècle. Malheureusement, le temps a fait son oeuvre et une restauration était indispensable. Après plusieurs mois de travaux, le ravalement des bas-côtés nord et sud, des piliers des voûtes, des soubassements des vitraux est terminé, ainsi que la pose des lustres assurant l’éclairage et le chauffage. Reste encore à envisager la réfection du choeur de l’église et de ses nombreuses peintures. Pour cela l’association des Amis de l’église Saint-Martin de Chailles est en cours de création.
NR Loir et Cher, 09/02, p.17

(Orleans) Animation sonore à la cathédrale
Une animation sonore a lieu tous les jours de 10 à 19 heures, à la cathédrale, jusqu’au dimanche 17 février, autour de l’exposition « Marie et Edmond Michelet, une histoire d’amour dans l’histoire ». Musique et diffusion de textes sur le premier Résistant de France, déporté à Dachau, l’homme politique plusieurs fois ministre, avec des centaines de lettres échangées avec son épouse, et, toujours, une note d’amour dans les textes. (intégral)
RC Loiret, 10/02

(Saint Bouize) Les travaux se poursuivent à l’église
«N’hésitez pas à parler de l’association autour de vous ! », a lancé Jacques Veyrier, président des Amis de Saint Baudel, lors de l’assemblée générale de l’association. Car, si l’association de sauvegarde de l’édifice religieux de Saint Bouize peut compter sur une centaine d’adhérents, elle cherche à se faire davantage connaître afin de pouvoir poursuivre les travaux d’entretien et de réhabilitation. En effet, depuis 2015, l’association des Amis de Saint Baudel organise des événements pour lever des fonds et participer à la rénovation de l’église du village. Après la réfection de la sacristie effectuée bénévolement par les membres de l’association l’an dernier, c’est au tour de la chapelle de connaître une seconde jeunesse. Un architecte agréé par les Bâtiments de France supervise les travaux qui ont commencé depuis peu, l’église étant en partie classée à l’inventaire des Monuments historiques. Il s’agit ici de refaire les enduits, les peintures et un vitrail. « Nous prévoyons la fin du chantier pour la fin du mois d’avril », a précisé Jacques Veyrier.
Le Berry, 10/02, p.14

(Maintenon) «Tout donner pour la pérennité du lieu »
En épousant celle qui était alors Geneviève de Noailles, en 1947, Jean Raindre a sans nul doute épousé aussi un château, celui de Maintenon, et une vie passée à l’aimer, à le sauver. Et, avec lui, il a embrassé une riche et glorieuses histoire familiale, issue de la noblesse française. Une continuité historique qu’il a passé sa vie à préserver. « C’est devenu le combat de notre vie » C’est en effet la famille de Noailles qui a hérité du domaine eurélien, par Madame de Maintenon, favorite de Louis XIV. Sans héritier direct, cette dernière lègue, en 1698, le château à sa nièce Françoise d’Aubigné, en dot, lors de son mariage avec le futur duc de Noailles. Il raconte : « Madame Raindre, ma femme, a grandi ici et a toujours été très liée au château, tout comme à l’histoire de sa famille. Les Noailles, par leurs possessions et leurs actions, c’est l’histoire de France. Ils ont un passé historique considérable, des actions déterminantes depuis Louis XIII. » Dans le château de Maintenon, une galerie de portraits reprend d’ailleurs les faits d’armes de ces hommes illustres, militaires, ministres, ambassadeurs… C’est en 1953, après la Seconde Guerre mondiale que le couple hérite du château familial, alors très endommagé. Le couple a vécu dans ce lieu chargé d’histoire, y a élevé ses enfants, avec l’ombre de Madame de Maintenon et des ducs de Noailles. En vieillissant, l’avenir du site pose question. À 95 ans, Jean Raindre habite aujourd’hui dans l’ancienne maison des abbés, jouxtant le château. Il garde donc toujours un oeil sur l’imposant édifice, et se recueille régulièrement dans la chapelle aménagée, ou repose son épouse, et des ancêtres de la famille.
L'Echo, 10/02, p.4

(Boullay Thierry) Au chevet du patrimoine de l’église
L’association les amis du patrimoine du Boullay Thierry (APBT) présentait vendredi soir son assemblée générale, dans la maison des associations. « Notre objectif primordial est la restauration du mobilier de l’église, le lutrin, le retable et la tr ibune, une convention a été signée le 8 décembre dernier entre l’association, la commune et la Fondation du Patrimoine qui a mis en place une souscription pour récolter 20.000 € » soulignait la présidente, Paulette Pichard. Nombreux bénévoles « La souscription a démarré très fort, à ce jour, deux mois après son ouverture, 40 % de la somme a déjà été collectée ». L’association, forte de 74 adhérents épaulés par des nombreux bénévoles, accueillera le vendredi 28 juin un spectacle un peu particulier.
L'Echo, 10/02, p.12

Chenonceau célèbre Catherine de Médicis
La mort de Léonard de Vinci à Amboise, la construction du château de Chambord et la naissance de Catherine de Médicis, « reine bâtisseuse » de Chenonceau : ces trois événements survenus en 1519 marquent les célébrations des 500 ans de la Renaissance en Val de Loire. A Chenonceau, Catherine de Médicis, née le 13 avril 1519, à Florence, dota le château de tous les raffinements de la Renaissance parmi lesquels ses deux galeries qui enjambent la rivière, et qui sont comme une réponse au Ponte Vecchio de sa ville natale. Reine de France de 1547 à 1559, Catherine de Médicis gouverna la France en tant que reine-mère et régente de 1560 à 1563. Catherine eut dix enfants dont les futurs rois François II, Charles IX, Henri III, les reines Élisabeth (reine d’Espagne) et Marguerite (dite « la reine Margot », épouse du futur Henri IV). Après avoir subi une « légende noire », elle est désormais totalement réhabilitée par les historiens qui la considèrent désormais pour ce qu’elle a été, un redoutable stratège politique dans une période très compliquée de l’histoire. Et comme l’un « des plus grands rois de France ». Les célébrations autour de Catherine ont débuté, au moment du « Noël Médicis » au château de Chenonceau. Le 15 juin prochain aura lieu l’ouverture au public de l’apothicairerie de Catherine, à l’emplacement même où elle a existé, dans le bâtiment des Dômes.
NR Indre et Loire, 10/02, p.10/02

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Au fil des cérémonies des vœux des communes


Huisseau sur Cosson
La deuxième demande de subvention a pour objet des travaux de restauration de la vieille église, avec une dépense estimée à 43.687 euros. Le montant des aides accordées peut se situer entre 20 %et 50 % des dépenses.
Villexanton
Pour l’année 2019, il s’agira de poursuivre la restauration de l’église
NR Loir et Cher, 02/02


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Epinal : Les métiers méconnus du musée de l’Image

Le musée de l’Image d’Épinal, tout le monde connaît ou presque. Mais on ne sait pas toujours ce qui s’y passe, qui y travaille. En coulisses de nombreuses personnes œuvrent à mettre en valeur ces images. Visite.
Lire la suite : https://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2019/02/06/epinal-les-metiers-meconnus-du-musee-de-l-image

Les métiers méconnus du musée de l'image à Epinal

Lire la suite : https://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2019/02/05/les-metiers-meconnus-du-musee-de-l-image-a-epinal


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Grand Musée d'Egypte au Caire : grands travaux en attendant le masque d'or de Toutankhamon

Le Grand Musée d'Egypte émerge doucement du sable dans la banlieue du Caire. Il devrait accueillir ses premiers visiteurs d'ici deux ans. En attendant des milliers d'ouvriers s'activent sur le chantier pendant que des experts restaurent les trésors qui prendront place dans ce bâtiment à l'épreuve des cambriolages et des bombardements. Le Grand Musée d'Egypte attend le masque d'or de Toutankhamon.
Lire la suite : https://culturebox.francetvinfo.fr/patrimoine/grand-musee-d-egypte-grands-travaux-en-attendant-le-masque-d-or-de-toutankhamon-285168
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Musée des Beaux-arts à Lyon : un visioguide en LSF

Soucieux de rendre les collections et les expositions encore plus accessibles à tous les publics, le musée des Beaux-arts de Lyon lance son visioguide en LSF et présentera dès le 13 avril 2019 une exposition à toucher.
Lire la suite : https://informations.handicap.fr/a-musee-beaux-arts-lyon-visioguide-lsf-11537.php
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Le Louvre : la naissance du plus célèbre musée du monde

Dans la série "Au cœur de l’histoire", Fabrice d'Almeida éclaire un fait d'actualité à la lumière d’un événement historique. Alors que le Louvre vient de battre son record de fréquentation, le spécialiste histoire d’Europe 1 vous raconte le moment où ce palais royal devient un des plus grands musées du monde.
Lire la suite : https://www.europe1.fr/emissions/Au-coeur-de-l-histoire/le-louvre-la-naissance-du-plus-celebre-musee-du-monde-3852737
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Meaux : le musée de la Grande Guerre tourne la page du Centenaire

Nouvel espace pour enfants, projet de tranchées dans le parc, programmation renouvelée : le musée innove pour tenter de conserver une fréquentation dopée par les récentes commémorations.
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Centre-ville. L’avenir du musée fait débat

Un Pôle Ressources Jeunesse et un Tiers-Lieu en plein centre-ville à l’horizon 2021. Le projet, présenté dans le cadre du conseil municipal de Saint-Brieuc, ce lundi 4 février, est ambitieux. Et aussi intimement lié à un autre dossier : celui du déménagement du musée briochin. Une double problématique qui a monopolisé les débats.
Lire la suite : © Le Télégramme https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-brieuc/centre-ville-l-avenir-du-musee-fait-debat-04-02-2019-12201230.php#kc4LwH5oJgS8JeDA.99
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Bordeaux : Des pièces de la collection du Louvre bientôt exposées au Musée des Beaux-Arts

Des dessins préparatoires à la fameuse peinture de « La liberté guidant le peuple » réalisés par Eugène Delacroix seront exposés à partir du 20 juin dans la galerie des Beaux-Arts de Bordeaux…
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/bordeaux/2443451-20190204-bordeaux-pieces-collection-louvre-bientot-exposees-musee-beaux-arts
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