Revu de presse - 15 au 21 août 2011

Musées de la région Centre

Source : Panorama de presse DRAC Centre

Issoudun. Un musée qui témoigne du passé et qui propose un regard sur le présent

La nouvelle vie de l’hospice Saint-Roch Ouvert sur l’art contemporain, le musée propose cet été trois expositions temporaires exceptionnelles à ne pas manquer. Depuis le 25 mars, le musée bénéficie d’un prêt exceptionnel de tapisseries et cartons d’artistes du XXe siècle, issus des collections du Mobilier national. Parmi ceux-ci, l’artiste d’origine norvégienne Anna Eva Bergman, qui fut la compagne de Hans Hartung , dont on explore l’oeuvre au travers de peintures, dessins et gravures. Une troisième exposition met en lumière les liens entre le peintre Pierre Alechinsky et la maison d’édition Fata Morgana.
NB : l’article retrace également l’historique de l’hospice St Roch et de sa transformation en musée.
Berry républicain, 17/08/2011, p. 3

Tours. Lumière sur l'art de l'enluminure en Touraine

A Tours, le cloître de la Psalette conte '' les riches heures de l'enluminure ''. Un art étroitement lié à la cité turone. Le Centre des monuments nationaux et l'Institut supérieur européen de l'enluminure et du manuscrit (Iseem) se sont associés pour y exposer les travaux d'anciennes élèves diplômées «Enlumineur de France».
Nouvelle république, Indre-et-Loire, 17/08/2011
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Seuilly (Indre-et-Loire). Plantes à Gruel : pour découvrir Rabelais botaniste

Reconnu comme écrivain, moine et médecin, François Rabelais reste méconnu dans sa dimension de botaniste. Cependant, lors de ses études médicales à Montpellier, puis à travers ses voyages en Italie, il s'intéresse à l'observation des plantes, considérant leurs vertus et qualités pour le renouvellement de la pharmacopée. L'exposition « Plantes à Gruel » réalisée pour le musée Rabelais propose ainsi de faire découvrir le caractère fantaisiste de Rabelais botaniste. L'exposition donne lieu à une interprétation contemporaine réalisée par l'artiste Dominique Spiessert. Inspirée par l'exubérance du roman, elle a donc constitué un parcours sensoriel (visuel, sonore) comme une invitation à découvrir l'extravagance de l'univers végétal de Rabelais.
Nouvelle république, Indre-et-Loire, 17/08/2011
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Vierzon. Une horloge pas comme les autres au musée (des Fours banaux)

Créée en 1436, cette horloge gothique de 215 kg ne possède qu’une seule aiguille. Par cette unique aiguille, on ne pouvait donc lire que les heures. Elle fut réalisée par un horloger dit Jacquemain, habitant à l’époque à Bourges. L’horloge a été rénovée en 1996.
Le Berry républicain, 18/08/2011, p. 4

Argenton-sur-Creuse. Double anniversaire pour les Amis du musée

En 2012, les Amis du musée d'Argentomagus fêteront leurs 50 ans. Avec cent vingt membres adhérents, l'association, reconnue d'utilité publique, est une des plus importantes associations de l'agglomération argentonnaise. « Les objectifs de notre association passent par un soutien au Musée archéologique d'Argentomagus, un partenariat via le service éducatif, aussi bien pour l'enseignement primaire que secondaire, et aussi par la gestion des fouilles programmées concernant le gallo-romain et la Préhistoire », indique Claudine Mariat. L’association est subventionnée par le Conseil général de l'Indre, la ville de Saint-Marcel, la CDC du pays d'Argenton. Les programmes de recherches sont financés par des fonds État - Région.
Nouvelle République du Centre, Indre, 18/08/2011
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Orléans, Cercil. Photographies, témoignages vidéo... sur le Vel’ d’Hiv’

Le jeudi 25 août, à partir de 15 heures, une visite guidée du musée mémorial des enfants du Vel’ d’Hiv’, au Cercil, sera organisée.
République du Centre, Orléans métropole, 18/08/2011, p. 10

Chinon. A la centrale, les visiteurs ne perdent pas la boule
Symbole de la centrale nucléaire de Chinon, la boule héberge un musée depuis 1986. Elle a déjà accueilli plus de 650.000 visiteurs.
La Nouvelle République, Indre-et-Loire, Tours agglo, 19/08/2011, p. 7
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Orléans. La beauté des coquillages s’expose au muséum

Le muséum des sciences naturelles d’Orléans accueille, depuis juillet, une exposition inédite : coques, coquilles et coquillages. Dans une ambiance sobre, au quatrième étage, le photographe Emmanuel Berry expose des clichés en noir et blanc et en couleur, accompagnés de coquillages sortis des collections du muséum. Il reste encore un mois pour découvrir l’exposition.
La République du Centre, Orléans métropole, 20/08/2011, p. 15

Archéologie en région Centre

Source : Panorama de la DRAC Centre

Boynes. À la découverte d’un chantier de fouilles.

Le site des Pierrières, à Boynes, recouvre un habitat rural de la fin de la période gauloise. Ce dimanche, des expositions et une visite étaient proposées. L’occasion pour la Rép’ de faire le point sur les recherches effectuées.
La République du Centre, Pithiviers Gien Montargis, 20/08/2011, p. 9

Patrimoine en région Centre

Source : Panorama de presse DRAC Centre

Tours. Des alpinistes du bâtiment au secours de la basilique

Le dôme de la basilique Saint-Martin (composé de briques et de plâtre et entièrement recouvert de plomb ) s'effrite, il faut installer une plateforme et un filet tout autour. Le chantier a commencé hier matin. C'est la Ville de Tours, propriétaire de l'édifice, qui doit assurer l'entretien de la basilique. «Pour l'instant, la priorité est de consolider le dôme, la rénovation viendra plus tard », a précisé, hier après-midi, Joëlle Monsigny, adjointe au maire chargée des bâtiments communaux. « L'échafaudage, la plateforme et le filet qui seront installés autour du dôme éviteront d'autres chutes. » ... Ensuite, bien sûr, un architecte devra faire un diagnostic et intervenir pour la rénovation proprement dite. Quel que soit le montant des travaux, de toute façon, il va falloir les faire. »
Nouvelle république, Indre-et-Loire, 17/08/2011
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Tours. Boutavant, sauveur de flotte et d'histoire locale

Les toues cabanées qui descendent la Loire vers Saint-Cyr vont bientôt remonter le fleuve jusqu'à Marmoutier. Bateau grâce à l'association Boutavant.
Nouvelle république, Indre-et-Loire, 17/08/2011
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Romorantin. A la recherche des moulins à eau de la Sologne

Chaque jeudi, le Groupe de recherche archéologique de la Sologne raconte l'histoire locale. Cette semaine, les anciens moulins à eau tiennent la vedette. En effet, au milieu du XVIII e siècle, tous les cours d'eau de la Sologne sont jalonnés de moulins. A cette époque, la carte de Cassini indique dans le bassin du Beuvron entre Cerdon et Monthou-sur-Bièvre, la présence de plus de quarante moulins. La seule paroisse de Chaumont-sur-Tharonne en compte six sur son territoire…
Nouvelle République du Centre, Loir-et-Cher, 18/08/2011
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Talcy. Le moulin, une histoire extraordinaire

Une histoire en trois temps : 1/ 1570 (première mention du moulin) - 1956 (effondrement) ; 2/ 1962 (création de l’association des Amis du château de Talcy) – 1978 (inauguration du moulin reconstruit) ; 3/ 2003 (destruction du moulin par une tempête) – aujourd’hui (le moulin est ouvert au public)
Nouvelle République du Centre, Loir-et-Cher, 18/08/2011
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Chauvigny-du-Perche. Nouveau coq pour le clocher

L'important chantier de restauration de la toiture de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Chauvigny-du-Perche se terminera en octobre prochain par l'installation d'un nouveau coq au sommet du clocher. Le financement des travaux s'est fait avec le soutien du conseil général, les dons collectés par la Fondation du Patrimoine, une aide parlementaire, un don de la Sauvegarde de l'art français et la contribution de la commune.
Nouvelle République du Centre, Loir-et-Cher, 18/08/2011
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Orléans. À la découverte des métiers qui ont l’art et la matière : luthier

Sculpter le bois, jouer sur le son, les formes et les couleurs : voilà le quotidien de Bruno Dreux, luthier orléanais, dont l’atelier est installé rue de Bourgogne.
République du Centre, Orléans métropole, 18/08/2011, p. 9

Oizon. Voyage dans le temps et l’histoire au château de la Verrerie, grâce aux visites théâtralisées / Une Verrerie bien accueillante

Deux comédiennes de la compagnie Esperluette assurent une visite théâtralisée du bâtiment vieux de près de six siècles. L’histoire et les petites histoires personnelles de ses différents propriétaires s’entremêlent dans le récit habile que content les deux femmes. Outre ces visites, le château proposent plusieurs manifestations en cours d'année notamment des concerts avec les Rencontres musicales de la Verrerie en septembre.
Berry républicain, 19/08/2011, p. 19-20

Montchevrier (Indre). Un trésor de pierre jalousement gardé

La Pierre à la Marte est l’un des plus beaux dolmens du département ; plusieurs légendes lui sont attachées. La tradition populaire considérait la Pierre à la Marte comme le tombeau d’un général mort au champ de bataille. Les anciens y virent aussi des traces de rigoles et bassins où se serait écoulé le sang de victimes égorgées sur la table. Premier préfet de l’Indre, Dalphonse décrivit le dolmen, en 1804, révélant la légende d’un trésor qui aurait été enfoui en son sein.
La Nouvelle République, Indre, 19/08/2011, p. 5
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À Saint-Brisson-sur-Loire, l’édifice du XVIe siècle ne propose pas que des visites classiques

« Conservation, mise en valeur et promotion du patrimoine », telles sont les missions des Amis du château de Saint-Brisson, entre visites guidées et festivals. Tout a commencé en 1988. Les deux derniers propriétaires de cet édifice de 500 ans, lèguent le château à la commune. En moins d’un an, une association voit le jour : les Amis du château de Saint-Brisson. Après les expositions, les concerts s’installent petit à petit au château. En 2004, un premier concert du festival Val de jazz se déroule dans la cour. A l’occasion des 20 ans de l’association, le festival “Hop là !” voit le jour qui permet de découvrir des talents artistiques locaux. Et les ambitions de l’association ne s’arrêtent pas là !
La République du Centre, Orléans métropole, 19/08/2011, p. 5

Chalivoy-Milon. L’église Saint-Éloi, construite au XIIe siècle, abrite des fresques cachées pendant des siècles

L’église de ce petit village de 454 habitants abrite trois cents mètres carrés de fresques du XIIe siècle représentant la vie du Christ. La présence de tels trésors dans l’église de Chalivoy-Milon est assez inexpliquée. On sait simplement que le village se trouvait à l’intersection de deux voies romaines, et sur la route de Saint-Jacques de Compostelle.
Berry républicain, 21/08/2011, p. 3

Issoudun. Retour sur le glorieux passé de la rue de la République

Les Amis du Vieil Issoudun viennent d’éditer un ouvrage sur la rue de la République qui était, jadis le poumon commercial de la ville.
« La Grande Rue se fait République », par Jean-Jacques Desormiers, édité par Les Amis du Vieil Issoudun.
Nouvelle République, Indre, 21/08/2011, p. 5
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Monthou-sur-Cher. Château du Gué-Péan : situé au creux d’un vallon boisé de la vallée du Cher, le château du Gué-Péan représente à lui tout seul plus de 2.000 ans d’histoire.

Rappel historique et visité guidée par la NR de ce château, propriété de l’architecte du Futuroscope.
Nouvelle République, Loir-et-Cher, 20/08/2011,
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p. 7 Voir également l'article sur le propriétaire du château
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Sargé-sur-Braye. Des hôtes célèbres au château des Radrets
Où que l’on soit en Vendômois, on trouve souvent un lien avec la famille Ronsard.
Nouvelle République, Loir-et-Cher, 21/08/2011, p. 7
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Actualités // France

Musées

Source : www.lemonde.fr

Le Cannet offre un musée à son peintre Bonnard

17.08.11 - Le Cannet (Alpes-Maritimes) Envoyé spécial - Le peintre Pierre Bonnard (1867 -1947) découvre en 1922 la petite ville du Cannet (Alpes-Maritimes). Il connaît alors la Méditerranée depuis longtemps, ayant séjourné à Saint-Tropez dès 1904, y étant revenu souvent. En 1912, il pousse jusqu'à Cagnes, où vit Renoir, mais achète une maison dans la vallée de la Seine, près de Monet. Pendant et après la guerre, il retourne sur la Côte d'Azur. Et finit par s'éloigner des plages mondaines de Cannes pour gagner les hauteurs, alors campagnardes, du Cannet.
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Oeuvres

Source : www.latribunedelart.com

La Fille de Pêcheur de Jules Breton de retour à Douai

16/8/11 - Restitution - Douai, Musée de la Chartreuse - Le tableau de Jules Breton, Une fille de pêcheur (ill.), disparu pendant la Première Guerre mondiale après avoir été emporté par les Allemands, va être restitué par la galerie américaine où elle avait abouti après un périple mouvementé que nous avons déjà retracé ici (voir la brève du 5/6/10). Le tableau reviendra sans que le musée ait à débourser le moindre centime, la galerie new yorkaise Daphne Alazraki Fine Art, qui en était devenu propriétaire, ayant finalement accepté de le rendre sans condition lors d’une cérémonie qui se déroulera le 13 octobre prochain à l’Ambassade de France à Washington.
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Archéologie

Source : www.artclair.com

Sous le stade de football de Lille, un bastion Vauban

LILLE [18.08.11] – Depuis le 1er août, les archéologues de l'Inrap effectuentdes fouilles préventives sur le site de l'ancien stade de football de Lille. Ils viennent de mettre à jour les fondations d'un bastion édifié par Vauban, avant de les ensevelir à nouveau en attendant de futurs aménagements. Sans le savoir, les supporters de l'équipe de football de Lille, le LOSC, se sont, pendant plus de trente ans, assis sur les fondations d'un bastion édifié par l'architecte Vauban au XVIIe siècle. A l'occasion de l'aménagement d'une « Plaine des sports », les archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) ont mis à jour les vestiges de ce bastion sous le stade Grimonprez-Jooris, ancien stade du LOSC, fermé en 2004.
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Actualités internationales

Source : www.artclair.com

(Italie) A Florence, le maire veut « achever » le décor d'une église conçu par Michel-Ange

FLORENCE (ITALE) [16.08.11] – Le maire de Florence a annoncé son souhait de voir enfin terminée la façade de la basilique San Lorenzo, dont le projet avait été confié à Michel-Ange, mais jamais exécuté, rouvrant ainsi un débat vieux de plusieurs siècles.
Le jeune maire de Florence, Matteo Renzi (36 ans), vient de jeter un pavé dans la mare florentine, en annonçant vouloir enfin achever la façade de la basilique San Lorenzo d'ici 2015, afin de célébrer l'anniversaire du projet originel de décor conçu par Michel-Ange, mais jamais exécuté. Le maire souhaiterait un référendum sur le sujet, mais son annonce a d'ores et déjà rouvert un débat vieux de plusieurs siècles, selon le quotidien La Republica.
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(Pays-Bas) Un musée néerlandais prévoit de vendre une partie de ses collections

ROTTERDAM (PAYS-BAS) [19.08.11] – Le Wereldmuseum à Rotterdam vient d'annoncer son intention de mettre en vente ses collections d'art africain et américain pour couvrir le déficit consécutif aux futures coupes budgétaires prévues dans le budget de la culture néerlandais. Le Wereldmuseum de Rotterdam, un musée ethnographique consacré aux arts extra-européens, va mettre en vente une partie de ses collections, rassemblées depuis 125 ans. « Nous allons vendre la totalité des collections africaines et américaines, et nous ne garderons que les œuvres maitresses, pour nous consacrer uniquement à l'art asiatique » a expliqué Stanley Bremer, le directeur du musée interrogé par Reuters. « Si vous êtes au courant de la situation en Europe, vous pouvez voir qu'il y aura un problème d'ici cinq à six ans. Donc soit nous attendons, soit nous pouvons prévoir. Notre projet est de lever des fonds pour être aussi autonome que possible ».
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(Suisse) Le CERN se lance dans les arts

GENEVE (SUISSE) [22.08.11] – Le CERN, conseil européen pour la recherche nucléaire, vient de lancer une grande campagne culturelle en instituant le programme « Great Arts for Great Science », un projet incluant des résidences d'artistes, des collaborations d'expositions et des partenariats avec des institutions culturelles.
Le CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) a annoncé début août la mise en place d'une politique culturelle pérenne au sein du centre basé à Genève. Le programme « Great Arts for Great Science » sera dirigé par un Conseil Culturel pour les Arts dont la composition a été annoncée dans la foulée. Y siègeront, entre autres, la Directrice de la Kunsthalle de Zurich Beatrix Ruf et le Directeur général de l'Opéra de Lyon Serge Dorny, nommés pour trois ans.
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(Royaume-Uni) Une aquarelle de James Tissot pour la Walker Art Gallery de Liverpool

17/8/11 - Acquisition - Liverpool, Walker Art Gallery - Acquise dans une vente chez Christie’s Londres le 15 décembre 2010 pour 58 850 livres (frais inclus) avec l’aide financière de l’Art Fund, une aquarelle de James Tissot de 1880 intitulée Au revoir, sur la Mersey a récemment intégré les collections de la Walker Art Gallery de Liverpool, avec une cohérence certaine puisqu’elle évoque cette ville à la fin du XIXe siècle et qu’il s’agit de l’œuvre d’un artiste anglophile dont la galerie conserve aussi un touchant Portrait de Mrs Catherine Smith Gill et de ses deux enfants (1877), allégorie moderne de la Charité. Tissot utilisait l’aquarelle pour des études préparatoires mais aussi des répliques de ses peintures les plus célèbres. On connaît deux versions à l’huile de cette œuvre dont l’une se trouve dans la collection Andrew Lloyd Webber.
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(Australie) Un Corrège pour la National Gallery of Victoria

19/8/11 - Acquisitions - Merbourne, National Gallery of Victoria - Un Corrège aux enchères… la chose n’est pas banale et c’est la National Gallery of Victoria, à Melbourne, qui a emporté la mise, avec l’aide financière d’Andrew Sisson. Estimée 2 à 3 millions, une Vierge à l’Enfant avec saint Jean-Baptiste (ill. 1) attribuée à l’artiste a en effet été adjugée 3 625 250 de livres, le 6 juillet dernier à Londres, dans une vente de Sotheby’s. Son attribution, malgré les réticences de certains observateurs lors de l’exposition londonienne, a largement été approuvée, notamment par David Ekserdjian, Pietro Marani, Emilio Negro ou Nicosetta Roio, et sa datation autour de 1514-1515 en fait une œuvre de début de carrière, encore mal connu des historiens d’art.
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Source : www.rue89.com

(Chine) La Cité interdite de Pékin au cœur d'un vaste scandale

20/08/11 - (De Pékin) Des antiquités volées, une inestimable assiette cassée « par accident », des termites qui rongent massivement les édifices… Rien ne va plus à la Cité interdite de Pékin, l'attraction touristique la plus populaire de Chine, classée patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco. Située au cœur de Pékin, bordant la place Tiananmen, la Cité interdite est tout un symbole : le symbole d'une histoire plurimillénaire, du raffinement de la culture chinoise, et du pouvoir. Le réalisateur italien Bernrado Bertolucci avait pu tourner en 1987 à l'intérieur de la Cité interdite son « Dernier empereur », un geste sans précédent, signe de l'ouverture post-maoiste.
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