Revue de presse (23 - 29 avril 2012)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Tours) Voyage au centre de la Terre avec le muséum

Vésuve, Stromboli, Etna, Soufrière, Piton de la Fournaise… l’histoire des plus sulfureux volcans de la Terre se raconte depuis samedi au muséum d’histoire naturelle. Après les ours en 2010 et les gorilles l’an dernier, le musée offre à ses visiteurs une exposition très riche où toutes les facettes de la volcanologie sont abordées. Du centre de la Terre aux sommets des plus hauts volcans, un voyage fascinant vous attend en compagnie de Jules Verne et d’Haroun Tazieff.
NR, Indre et LoireT, 23/04, p.20

(Blois) Une exposition saisonnière protéiforme au Muséum

A l’occasion du vernissage de l’exposition «muséums» au Muséum d’histoire naturelle, l’artiste, Maëlle de Coux présentait son travail qui sera exposé toute la saison. Diplômée des Beaux-arts de Rennes, la jeune femme se destine au dessin qu’elle pratique très souvent dans les musées d’histoire naturelle puis, progressivement, par le biais de la photographie ou de la peinture, elle enrichit ses sujets de prédilection, animaux, herbiers en transformant le réel en fantastique. «C’est Jean-Louis Pointal, directeur du Muséum qui m’a contacté l’an passé, avant qu’il ne quitte ses fonctions, pour me proposer d’exposer en ce lieu. Il m’a donné la possibilité d’accéder à des "trésors” qui y sont conservés. A partir de là, le sujet d’une exposition globale s’est imposé, mêlant herbiers, algues, oeufs précieusement gardés au Muséum et mes propres réalisations.»
NR, Loir et CherN, 24/04, p.13

La phrase du jour
«La gratuité générale des musées n’est pas encore en place, mais elle existe certains jours, et pour des événements comme la nuit européenne des musées du 19 mai !» Éric Valette, adjoint à la culture d’Orléans.
Une gratuité des musées nommée désir
C’était une promesse de campagne. En 2008, dans son programme annoncé, le maire UMP de la ville, Serge Grouard, s’engageait pour la gratuité de trois musées orléanais : celui des beaux arts, la maison Jeanne d’Arc et le musée archéologique. Or, depuis cette date, rien n’a été mis en place à ce niveau là. «Mais ça va se faire», continue d’assurer Éric Valette, adjoint à la culture et au patrimoine. Si ce vieux dossier, que la majorité se refuse de qualifier de serpent de mer, est remis sur la table, c’est parce que l’opposition commence à douter de son sérieux. Et elle l’a fait savoir lors du dernier conseil municipal, par la voix de Ghislaine Kounowski, élue PS d’opposition, alors qu’une délibération portant sur la tarification des animations pédagogiques proposées dans deux musées était soumise au vote des élus.
+ En mai, dans les musées, chacun choisit ce qui lui plaît !
RC, Orléans métropole, 25/04, p.7

(Orléans) Cercil : quand les Tsiganes étaient indésirables

Dans le cadre de son exposition « Un camp pour nomade », jusqu’au 6 mai, une visite atelier était proposée hier après-midi à propos des populations tsiganes au Cercil. En accompagnant la médiatrice pédagogique, chacun a pu visionner des documentaires, des extraits de films et nombre de documents sur cette sombre période.
RC, Orléans métropole, 25/04, p.12

(Voves) Un hommage aux six cent déportés

La baraque-musée du camp d'internement de Voves, créée par le comité du souvenir, sera ouverte ce week end avant un hommage aux prisonniers, dimanche 13 mai. Elle rassemble les objets quotidiens utilisés par les prisonniers détenus entre janvier 1942 et le 9 mai 1944. Deux jours pour comprendre comment la petite cité beauceronne a pu héberger ce camp, véritable antichambre vers la déportation.
L'Echo, 25/04, p.3

(Epernon) Le conservatoire des meules ouvre mardi

Le conservatoire des meules et pavés est dans les starting blocks. Sa saison va commencer mardi pour durer jusqu'au dimanche 30 septembre inclus. Le musée est le seul de ce genre en Europe, est détenteur du label national "Tourisme et handicap". Il est composé de cinq salles dont deux salles écomusée, l'une pour l'exposition de meules et des pavés, l'autre pour une exposition de matériel et d'outils divers utilisés dans la région.
L'Echo, 27/04, p.13

À Saran, un musée plein de caractère(s)

Il y a des voyages dans le passé qui rendent le futur plus présent. Frédéric Tachot et Jean-Paul Deschamps, typographes, sont détenteurs d’un savoir faire multiséculaire. Un savoir faire qu’ils sont parmi les derniers, aujourd’hui, en Europe, à posséder. Mais qui, demain, pourrait bien partir en fumée. Dans leur atelier musée, niché derrière l’église de Saran, on découvre des machines du passé. On profite du moment présent avec deux acolytes hors du temps. On s’inquiète de l’avenir de ce métier qui n’a pas d’héritier. Hier, c’était une profession, aujourd’hui, ça appartient au domaine public. Or, nous pensons que la maîtrise des règles typographiques participe pleinement au savoir lire et écrire. Cette conviction est à l’origine de notre association. » Une association, fondée en 1994, qui voudrait trouver des jeunes motivés, pour les former. Au fond, elle n’a qu’un souhait, «que les machines continuent de tourner».
RC, Orléans métropole, 27/04, p.18/19

(Romorantin Lanthenay) Une salle pour Léonard de Vinci au musée

L’exposition Léonard de Vinci, Romorantin le projet oublié s’est achevée en septembre mais ce n’est pas pour autant que la page est tournée sur ce beau projet de cité idéale et de palais grandiose. Bien au contraire, le Musée de la Sologne au coeur de la ville de Romorantin lui consacre désormais une salle permanente ouverte d’ores et déjà au public. C’est le noyau de l’exposition que l’on retrouve à travers un parcours qui conduit le visiteur de la genèse du projet de Romorantin, à Louise de Savoie et la famille d’Angoulême, des reproductions des dessins de Léonard au magnifique fac similé du codex Arundel que Carlo Pedretti offrit à la ville en mai dernier, du plan de situation permettant d’évaluer l’ampleur du projet au parcours Melzi et son relevé de mesures traversant la ville de Romorantin, le tout tournant autour de la maquette présentant les différentes hypothèses de reconstitution du Palais.
Le Berry, 27/04, p. 22

(La Châtre) Maurice Sand à l’honneur

L’animation Une heure, une oeuvre, samedi 28 avril, au Musée George-Sand, aura pour thème Maurice Sand, illustrateur. Annick Dussault, conservatrice du Musée, présentera au public la nouvelle acquisition du début d’année : une série de trente-cinq dessins de Maurice Sand, fils de George Sand, effectuée par la ville de La Châtre, subventionnée par la Direction régionale des affaires culturelles du Centre. Un diaporama permettra de faire des comparaisons avec des oeuvres de Maurice conservées dans d’autres lieux.
Nr, IndreE, 27/04, p.14

(Orléans) « Le Loiret a abrité les premiers camps »

Créé en 1991, le Centre d’étude et de recherche sur les camps d’internement dans le Loiret et la déportation juive (Cercil) participait, hier, à la journée de la déportation. Directrice du Cercil depuis 2008, Nathalie Grenon revient sur les principales missions de son association.
RC, Orléans métropole, 30/04, p.12

(Romorantin) Le musée de Sologne prépare sa nouvelle expo

Le compte à rebours a commencé. Du 9 mai au 19 novembre, le musée de Sologne abritera une exposition temporaire pas banale. Intitulée « La mémoire de l’usage », cette exposition imaginée par la Finlandaise Tuulikki Chompré permettra au public de (re) découvrir les astuces et savoir-faire de l’intelligence humaine grâce aux beaux et humbles objets du monde entier qu’elle a su rassembler. Une exposition clé en main que l’équipe du musée dirigée par Martine Vallon a décidé d’agrémenter d’objets des collections de l’établissement.
NR, Indre, 30/04, p.19

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Orléans) Cela valait bien une messe

Trois coups graves qui résonnent dans les entrailles de la cathédrale Sainte Croix. Samedi matin, à l’occasion de la messe de retour et de bénédiction du bourdon, les centaines d’Orléanais présents ont pu entendre ce fameux sol disparu depuis des décennies. Touché par une bombe en 1944, le bourdon avait tinté pour la dernière fois en 1971. Aujourd’hui, il revit. « Il est ressuscité », n’a pas hésité à dire le père Claude Girault, recteur de la cathédrale. Un symbole fort de « l’histoire de l’humanité, des hommes qui détruisent et reconstruisent », aux yeux de l’évêque d’Orléans, Mgr Jacques Blaquart.
RC, Orléans métropole, 23/04, p.20

(Argy) Du bénévolat pour le château

Le Club du Vieux-Manoir est une association dont l’objectif est de promouvoir le patrimoine à travers les camps de jeunes qui restaurent des monuments historiques, notamment. Depuis son intervention au château d’Argy, l’édifice s’est offert une nouvelle vie : grâce à quarante années de bénévolat, ce lieu chargé d’histoire peut être visité. La semaine dernière, un chantier de jeunes, dont la mission a été la mise en valeur architecturale et la taille de pierre, a eu lieu. Treize jeunes, âgés de 16 à 21 ans, ont choisi de passer leurs vacances de Pâques à la restauration de ce monument.
Nr, Indre, 23/04, p.22

(Brou) L'église Saint Lubin s'est dévoilée

La conférence sur les travaux de l'église organisée par la municipalité a attiré une centaine de passionnés, vendredi soir. Yves Bernard, le président du club d'histoire locale a commencé par un bref retour sur le passé du bâtiment et évoqué la restauration engendrée par l'incendie du clocher, le 1er septembre 1813. "La présence d'inscriptions va nous donner d'approfondir nos recherches".
L'Echo, 23/04, p.14

(Chartres) Un parcours nocturne à découvrir.

Chartres en lumières a commencé samedi, autour d’un spectacle original, devant une centaine de personnes. Le public pourra venir admirer, pendant cinq mois, les monuments et les sites urbains illuminés par la scénographie élaborée par Xavier de Richemont. Des tableaux en rouge, blanc, bleu et la reconstitution des verrières de la cathédrale seront visibles jusqu’au 15 septembre. Il est à noter que des visites à vélo commentées par l’office de tourisme sont également prévues. La première aura lieu vendredi 4 mai, à 21 h 30, dans les jardins de l’Évêché (intégral)
Le Berry, 24/04

(Autrèche) Fenêtres ouvertes sur le patrimoine

Dans le cadre de son programme des animations du patrimoine 2012, le Pays Loire Touraine a conçu une exposition itinérante intitulée : « Fenêtres ouvertes sur le patrimoine ». Elle permet de découvrir les nombreuses fenêtres qui ornent les façades du Pays Loire Touraine. Il suffit de lever les yeux pour apercevoir des trésors méconnus. Un patrimoine ouvert sur les siècles, les styles, les matériaux et les techniques de construction à portée de regard. (intégral)
Nr, Indre et LoireE, 24/04

(La Chapelle Saint Mesmin) La charpente mise à nu

Sous les bâches blanches, apparaissent les entrailles de la charpente. Certaines pièces ont plusieurs siècles d’existence. L’église Saint Mesmin de La Chapelle Saint Mesmin fait l’objet d’un important programme de rénovation. « Il n’y avait pas eu de travaux importants sur cette église, qui pourtant le méritait, depuis 1994 », se plaît à rappeler Nicolas Bonneau, le maire PS de La Chapelle. Le chantier a débuté au début de l’année. Il durera près de deux ans et redonnera à l’édifice, classé Monument historique, son éclat. La fin de ces travaux, estimés à près de 1,2 million d’euros (financés par la ville, l’État et le conseil général), est prévue pour fin 2013. Mais d’autres opérations de restauration devraient suivre, cette fois ci, à l’intérieur du bâtiment.
+ De l’utilité ou non d’un auvent
RC, Orléans métropole, 25/04, p.18

(Selles-sur-Cher) Par passion, ils deviennent châtelains

Les Sellois attendent l’ouverture. Il y a autour de nous une espèce de solidarité, un enthousiasme et une gentillesse auxquels nous n’étions pas habitués. Noémi Brunet transforme tout ce courant positif en énergie. Pas de temps à perdre pour que tout soit prêt en cette fin de semaine. C’est ce samedi, en effet, que le château de Selles-sur-Cher rouvre ses portes au public. En 2001, il était cédé par la famille du Moulinet d’Hardemare à une SCI qui avait pour projet d’y créer un restaurant et une hôtellerie. Les contraintes sont trop grandes pour voir le projet aboutir. D’autres acquéreurs potentiels se présenteront ces dernières années. En vain. Jusqu’à ce qu’arrivent Michel
Guyot et sa femme Noémi Brunet.
Nr, Loir et CherN, 25/04, p.3

(Blois) Découverte de la cathédrale Saint-Louis

Samedi dernier, le service Ville d’art et d’histoire proposait la visite découverte de la cathédrale Saint- Louis. Séverine Degeorges, guide-conférencière, qui accueillait et accompagnait la quinzaine de participants, a rappelé en introduction la succession d’événements historiques et météorologiques qui caractérisent cet édifice religieux. Avant de se quitter, le groupe est invité à se rendre dans la cour du palais épiscopal, (actuel hôtel de ville) où la conférencière délivre les derniers compléments d’histoire, émaillés d’anecdotes, sur ce patrimoine.
Nr, Loir et CherN, 25/04, p.3

(Vendôme) La Trinité bientôt libérée de ses échafaudages

Visite très courue, lundi matin, par tous les passionnés de patrimoine vendômois, qui, malgré la pluie, se pressaient au pied de la Trinité pour une dernière visite au sommet de deux des pinacles, qui ont bénéficié d’une grande cure de jouvence. Patrick Ponsot, architecte en chef des Monuments historiques, et Jean-Philippe Mauclair, adjoint en charge de la restauration du patrimoine, ont rappelé la nature des travaux conduits depuis deux ans sur ces superbes éléments de gothique flamboyant. Après la théorie, les passionnés de patrimoine sont passés à la pratique, avec l’ascension à quarante mètres pour se retrouver au sommet des deux pinacles de la façade, dont celui qui couronne la tourelle d’escalier a été entièrement remplacé.
Nr, Loir et CherN, 25/04, p.17

Du château de La Ferté à celui de Bridoire

Propriétaires du château de La Ferté Saint Aubin depuis 1987, Catherine et Jacques Guyot ont acquis, l’an passé, celui de Bridoire, situé à Ribagnac, en Dordogne. C’est dans ce cadre là que l’on pouvait voir les châtelains, mercredi soir, dans le magazine de France 3, « Des racines et des ailes ». Pinceaux à la main, bleu de travail, tous les membres de la famille mettent du coeur à l’ouvrage pour restaurer la bâtisse, dont le passé n’a pas été un long fleuve tranquille. « C’est un château martyre, tombé en décrépitude ces dernières décennies », expliquait Jacques Guyot, dans nos colonnes, au moment du rachat. Sans donner le prix de cette acquisition, la famille Guyot indique qu’elle a dû faire un emprunt sur dix ans. Mais que les Fertésiens se rassurent, « on ne va ni vendre, ni quitter La Ferté. Cet achat ne se fait pas au détriment du programme de restauration de son château ». (intégral)
RC, Orléans metropole, 27/04

(Bourges) Manoir, c’est noir mais il y a de l’espoir

Six hectares, 22.000 mètres carrés, 400 mètres carrés de grilles rouillées : le site de Manoir industries pèse de tout son poids dans le quartier de Mazières. Héritier des fonderies du même nom, créées en
1847, le site de Manoir industries va se réveiller après dix ans de léthargie. La fermeture de l’entreprise avait mis un terme à une longue agonie économique. Les locaux de Manoir industries viennent d’être rachetés par BRK compagnie. Le but : en faire du stockage pour les entreprises et les particuliers.
Le Berry, 27/04, p.9

(Châteauneuf s/ Cher) Le mur du château tombe sur le parking

Le mur du château s’effondre au niveau des écuries et du château d’eau, avec risque de chute sur la voie publique et sur le parking. Un constat d’huissier sera fait sur tout le pourtour et des barrières vont être posées. Un avis à l’architecte des bâtiments de France sera demandé. (intégral)
Le Berry, 27/04

(Tours) Le sacristain revendique la découverte d’un tableau

C’est une histoire digne d’un roman de Ian Pears, dont l’intrigue mêle étroitement les milieux ecclésiastiques et le monde de l’art. L’affaire débute en 2006, alors que la cathédrale de Tours accueille un important chantier de restauration. La grande rosace doit être réhabilitée et de nombreux ouvriers investissent les lieux, sous la houlette de l’architecte des monuments historiques. Pour faciliter le passage, ce dernier demande alors au sacristain, Thomas Cherpeau, de déblayer entièrement une salle située dans la tour sud de l’édifice. «A un moment donné, explique Me David Athénour, l’avocat du jeune homme, il fait appel aux ouvriers pour déplacer une armoire massive. Derrière, i l découvre des planches de bois et tout un fatras d’objets qui doivent être jetés au rebut. Mais dans le lot, il repère ce qui lui semble être une toile. Elle est alors complètement encrassée mais il décide quand même d’en référer à sa hiérarchie». Le tableau, qui figure la conversion de Saint-Paul et qui serait une oeuvre de l’école flamande datant du XVIIe siècle, trône désormais au dessus de l’accès au cloître. Et le sacristain rumine son dépit de ne pas avoir été prévenu des suites données à sa découverte.
Nr, Indre et Loire, 27/04, p.4 et 37

(Romorantin) Au musée Matra le mythe prend ses quartiers

En valeur et en prestige, c’est la plus belle exposition présentée au musée. Dany Chamfrault, directeur de l’espace Automobiles Matra ne cache pas sa satisfaction après plus de sept mois de travail pour monter cette exposition qui, jusqu’en novembre prochain, va évoquer la légende des 24 Heures du Mans à travers notamment l’épopée Matra, qui en 1972, 1973 et 1974, remportait la course mythique sur le circuit sarthois. Depuis hier, les quatorze voitures qui, d’une manière ou d’une autre, ont écrit une page de l’histoire des 24 Heures du Mans, sont arrivées au musée.
NR, Loir et Cher Sud, 28/04, p.22

(Selles s/Cher) Visitez le château et aidez à le restaurer

N’imaginez pas un de ces majestueux châteaux de la Loire. Car ce que vous verrez à Selles sur Cher relève plus de l’atypique et du trésor de l’histoire de l’an 1000 au XVIIe. En fait, il y a trois châteaux, entièrement classés à l’intérieur comme à l’extérieur. Les pavillons Henri IV à l’entrée, les pavillons dorés à l’arrière, et les vestiges du XIIIe. Charles VII et Louis XI y ont séjourné. Ce site, abandonné et vandalisé durant dix ans (miroirs, cheminées, boiseries disparus, portes antiques défoncées au bélier, peintures murales taguées), a provoqué, lors d’une visite il y a quatre mois de cela, un véritable émoi chez Noémi Brunet et Michel Guyot. Ce dernier est déjà propriétaire du château de Saint Fargeau et initiateur du célèbre projet de construction de château fort de Guédelon. Il cherchait un monument historique à remettre en valeur.
Le Berry, 28/04, p.8

Construction d’une péniche berrichonne

En 2010, le conseil général a lancé un appel à projet pour organiser le chantier de construction d’un bateau historique. L’objectif est à la fois de valoriser le chantier et de proposer une animation touristique, en lien avec le patrimoine local. Les élus ont choisi d’aider l’association «La Maison des loisirs et de la culture», de la commune de Vieilles Maison sur Joudry, à construire une péniche berrichonne (appelée aussi flûte), au bord du canal d’Orléans, à Grignon. Ce chantier, à vocation pédagogique, sera ouvert au public. De plus, des animations sont prévues dans la péniche. Le Département participe financièrement à ce projet à hauteur de 40.000 euros, soit 32 % du montant total de l’opération. Le bateau mesurera 27 m de long et pèsera 20 tonnes. La durée du chantier sera de deux ans. La flûte est un navire de charge hollandais équipé de trois mâts aux voiles carrées apparu à la fin du 16e siècle. (intégral)
RC, Orléans métropole, 28/04

(Orléans) Toi, toi, mon toit...

Non, ce n’est pas une photo datant des bombardements sur Orléans mais l’aspect de la rue des Halles actuellement. Les travaux avancent bon train et les entreprises procèdent à la réfection des toitures des anciens bâtiments.
RC, Orléans métropole, 28/04

(Messas) Début des travaux de réfection de l’église

Les travaux de restauration de l’église ont débuté avec l’enlèvement, au mois de mars, des deux noues, côté sud. Cachée derrière les échafaudages, la bâtisse a presque disparu… Du côté du cimetière, les ouvriers y effectuent la reprise du solin ouest. Du côté de la nef et bas côté droit de la tour du clocher, la charpente a été renforcée par moisage. Ces travaux de toiture et de renforcement des charpentes devraient se terminer en juin, avant d’attaquer, dès 2013, les plâtres intérieurs.
RC, Orléans Sologne, 28/04, p.18

Valoriser les atouts de Nohant et de Bouges

Il a son bureau au palais Jacques-Coeur, à Bourges. Depuis mars dernier, Edward de Lumley se familiarise avec son nouveau cadre de vie. Cet homme de 43 ans est, en effet, le nouvel administrateur du palais Jacques-Coeur, de la crypte de la cathédrale de Bourges, du domaine de George Sand, à Nohant, et du château de Bouges. Quatre sites qui appartiennent aux Monuments nationaux. Un ensemble qui peut paraître hétéroclite mais que le nouvel administrateur trouve tout à fait cohérent. La première des cohérences étant leur appartenance à une entité Berry qu’il souhaite valoriser.
NR, Indre, 28/04, p.3

(Le Plessis-Dorin ) Douze fresques de l’église à restaurer

Concernant le projet de restauration des peintures murales et du tableau du retable, il apparaît que douze fresques seraient à restaurer au final, contre sept initialement prévues, ce qui remet en cause le montage financier du projet. Par conséquent, l’ensemble du dossier va être revu et les demandes de subventions réajustées. (intégral)
NR, Loir et Cher Nord, 28/04

(Château-Renault) Conseil municipal

Des subventions vont être sollicitées auprès du conseil général, de la Direction régionale des affaires culturelles, du conseil régional du Centre avec pour objectif de financer la remise en état et la modernisation l’horloge de la tannerie Peltereau-Tenneson suite au devis de la société Gougeon (2.454 € HT).
NR, Indre et Loire Est, 28/04

(Blois) Une restauration permise grâce à la générosité

L’inauguration devait se faire sur place, mercredi après-midi. Le vent et la pluie ont incité les organisateurs à rapatrier tout le monde à l’hôtel de ville. Mais découvrir le perron, le fronton et la porte Renaissance restaurés du 1 de la rue Pierre-de-Blois peut se faire quand bon semble aux amateurs de patrimoine… Menée par l’association des Amis du Vieux-Blois, la restauration a été possible grâce à un mécène, Pierre-Alban Thomas, et à une subvention exceptionnelle de la Ville qui a permis de boucler le financement. Mercredi donc, la beauté de l’embellissement Renaissance de la maison était fêtée.

+ Aucun des propriétaires de la maison historique de la rue Pierre-de-Blois n’a mis la main à la poche… Mais son patrimoine se trouve de facto valorisé par la restauration de sa porte. La Ville a versé 4.000 € de subvention à l’association des Amis du vieux Blois pour boucler le budget dont l’essentiel a été constitué par le legs fait par les Thomas. La municipalité réfléchit à des solutions à mettre en oeuvre pour sauver le patrimoine. Peut-être un montage sous forme de souscription ?
NR, Loir et Cher, 29/04, p.5


(Tours) Le sacristain revendique la découverte du tableau

Il n’est pas certain que les parties en cause ont le droit avec elles. Une analyse attentive des textes juridiques conduit à s’interroger. Il est exact que ce tableau ne figure pas sur l’inventaire dressé en 1906 qui attribue à la collectivité territoriale les biens mobiliers de la cathédrale qui y sont dûment mentionnés. Dès lors, selon la loi de 1905 modifiée en 1908 et la jurisprudence du Conseil d’État, les biens ne figurant pas sur l’inventaire demeurent la propriété de l’association diocésaine. Et ce, d’autant plus que, selon la loi du 15 février 1941 (non abrogée), les biens mobiliers ayant appartenu aux fabriques des églises et n’ayant fait l’objet d’aucun décret d’attribution à la collectivité restent acquis aux associations diocésaines. Il n’est donc pas certain que les arguments invoqués par la Drac, qui considère que le tableau appartient à la collectivité territoriale, ou par le sacristain qui estime pouvoir revendiquer cette découverte, puissent résister à l’analyse. Michel Laurencin, agrégé d’histoire (intégral)
NR, Indre et Loire, 30/04

Un tableau de Tours revendiqué par le sacristain

L’histoire est extravagante : en 2006, le sacristain de la cathédrale de Tours, à la demande de l’architecte en chef des monuments historiques, procédait à un rangement d’une pièce de l’étage de la tour sud. Un certain nombre de meubles était entreposés là, dont une toile d’environ 4 mètres de large à peu près illisible alors mais qui, après nettoyage, fit apparaître un tableau d’excellente facture, représentant la Conversion de saint Paul, probablement d’une école flamande du début du XVIIe siècle. C’est alors que le sacristain, assisté d’un avocat au barreau de Tours, prétendit qu’il était l’inventeur du tableau, et qu’à ce titre il en possédait la moitié. Bien évidemment, et à juste titre, le ministère de la Culture conteste cette vision des faits. Et la Tribune de l'art de conclure : "Dans cette affaire, la Direction Régionale des Affaires Culturelles a été exemplaire en restaurant l’œuvre et en l’exposant. Il est fort probable que la justice reconnaisse l’inanité de la demande du sacristain. On imagine les conséquences jurisprudentielles que pourrait avoir une décision contraire."
La Tribune de l'art, Lundi 30 avril 2012
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(Bourges) Les histoires de la cathédrale

Entre la pluie incessante et le Printemps de Bourges à deux pas de la cathédrale, difficile d’attirer les foules pour une visite à la fois originale et ludique, intitulée « La bande dessinée dans les vitraux du XIIIe », en ce vendredi après midi. Le guide, Roger Douillard, a pourtant trouvé trois personnes pour l’accompagner à l’intérieur de l’édifice. Ils ne sont pas venus pour rien !
Le Berry, 30/04, p.10

La grange de Saint-Jeanvrin

Nous l’avons évoqué en juin 2011, la très belle grange à auvent que l’on remarque en traversant Saint Jeanvrin, sera prochainement restaurée en bonne et due forme. La municipalité ayant redoublé d’efforts afin que cet ouvrage renoue avec sa superbe dans un avenir proche. Actuellement, ce sont la toiture et la couverture qui sont en phase de reconstruction. L’entreprise Garcia de Châteaumeillant se chargeant de cette opération. (intégral)
Le Berry, 30/04

(Le Blanc) La rénovation du moulin sous tous les angles

Ce catalogue n’est pas une simple addition de photographies comme un reportage, c’est un travail artistique qui place le patrimoine et l’homme au coeur de cette extraordinaire aventure qu’a été la rénovation du moulin. De chacune des photographies se dégagent des émotions fortes qui mêlent les machines, les matériaux, le quotidien et l’histoire, le spectaculaire, le complexe et le simple, a souligné Alain Pasquer, vendredi dernier, lors du lancement de l’ouvrage. Pascal Szkolnik est responsable depuis 1998 du service création-communication de la ville du Blanc. Pendant deux ans, il a donc effectué le suivi photographique du travail de réhabilitation du moulin.
NR, Indre, 30/04, p.12

(Blois) Les “ Trois nez rouges ” : un bistrot oublié en Vienne

Sise au 28-30 de la rue du 1er-Septembre, à l’angle de la rue Croix-Boissée, une superbe bâtisse de deux étages, édifiée au XVIe siècle, ne passe pas inaperçue avec ses colombages et ses fenêtres anciennes. Récemment rénovée à l’extérieur, elle a connu plusieurs propriétaires, mais c’est surtout pour avoir abrité un bistrot de quartier qu’elle a laissé un souvenir dans la mémoire collective locale. Bizarrement, si de nombreuses personnes de Vienne se souviennent de l’établissement à l’enseigne des «Trois nez rouges», on ne trouve aucune trace de cette dénomination dans les travaux des historiens locaux.
NR, Loir et Cher, 30/04, p.10

Source : liberation.fr

Pour un acte III de la décentralisation

Par OLIVIER ROUQUAN Politologue, chercheur associé au Centre d’études et de recherches de sciences administratives et politiques (Cersa)
Trente ans après l’acte I de décentralisation, Hollande s’est plusieurs fois référé à un acte III de la décentralisation sans trop le préciser ; Sarkozy évoque plutôt l’entrée des collectivités locales dans une cure d’austérité. Un recadrage de la décentralisation est nécessaire après la réforme territoriale de décembre 2010, dont l’application est problématique. La décentralisation permet de renforcer la légitimité de nos institutions. En effet, elle rapproche le décideur politique et administratif des citoyens. Les élus locaux sont donc plus appréciés que les élus nationaux, même s’ils ne sont pas épargnés par la crise durable de confiance à l’égard du politique. A cet égard, les collectivités territoriales, particulièrement les communes, ne s’inspirent pas suffisamment des laboratoires de démocratie participative, qui émergent en Amérique du Nord, en Espagne, ou encore en Europe du Nord. Les jurys citoyens tirés au sort pour participer à des décisions faisaient par exemple partie des idées agitées pendant la présidentielle de 2007, mais qui n’ont pas vraiment bouleversé les pratiques locales. Les modalités classiques de concertation et consultation (forum, conseil de quartier, référendum consultatif) lorsqu’elles sont utilisées, reproduisent trop la fracture politique.
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Source : lejournaldesarts.fr

395 nouveaux musées en Chine en 2011

PARIS [25.04.12] – Le New York Times fait le point sur la très expansionniste politique culturelle. Pas moins de 395 musées ont été construits en 2011 tandis que les artistes contemporains sont activement soutenus.

Après l'industrie, la Chine investit massivement dans l’art. L'ouverture de nombreux musées s'accompagne d'un lobbying actif tentant de faire exposer des artistes chinois à l'étranger.
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Source : lejournaldesarts.fr

Découverte d’une sculpture représentant les enfants de Cléopâtre et Marc-Antoine

LE CAIRE (EGYPTE) [25.04.12] – Après plusieurs années d’étude d’une sculpture conservée au musée du Caire, l’égyptologue italienne Giuseppina Capriotti a découvert qu’il s’agissait de la représentation des jumeaux que Cléopâtre eut de Marc-Antoine.
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Acquisition

Source : lejournaldesarts.fr

La ville de Strasbourg a préempté deux vitraux gothiques chez Sotheby’s Paris

PARIS [24.04.12] – Le 20 avril, la vente des vitraux du XIIIe siècle a créé l’émoi chez les enchérisseurs. S’ils étaient déterminés et ont rapidement fait monter les prix, un représentant du ministère de la Culture a fait valoir, pour chacun des deux vitraux, le droit de préemption de l’Etat en faveur de la ville de Strasbourg.
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Source : lejournaldesarts.fr

Laurent Sorbier nommé directeur général du musée Picasso à Paris

PARIS [26.04.12] – Le ministère de la Culture et de la Communication a fait paraître au Journal officiel la nomination de Laurent Sorbier au poste de directeur général du musée national Picasso de Paris.
Après des études juridiques, politiques et philosophiques, Laurent Sorbier s’est tourné vers la culture et a débuté aux services culturels de l’Opéra de Paris puis de l’Ambassade de France à New York (1992-1994).
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Source : lefigaro.fr

Pour les enfants, un musée beau comme un camion

Le MuMo, premier musée mobile pour les enfants, s'arrête en Afrique avant de repartir sur les routes de France.

C'est un joli nom pour un acronyme, MuMo, Musée mobile pour les enfants. Cela fait penser au MoMa. Sauf que le Musée d'art moderne de New York ne bouge pas. Or, on ne va pas au MuMo, c'est lui qui vient à nous. Un musée beau comme un camion. C'en est un.
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Source : lefigaro.fr

Présidentielle 2012 : La BnF va archiver 10.000 sites web

Pages Facebook, blogs, sites de partis politiques, de candidats ou de soutiens. La bibliothèque nationale conserve aussi la production du web. Avec l'espoir que cela serve à la recherche.

La BnF collecte, depuis le XIXeme siècle, l'ensemble des tracts et du matériel électoral. Depuis, la modernité s'est invitée dans le jeu. La Bibliothèque nationale a ajouté dans ses archives les publications en ligne de campagne, comme les sites électoraux, les sites officiels des candidats, ceux des groupes de soutiens ou encore, les sites d'analyse politique.
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Source : lefigaro.fr

Un directeur de musée italien déclare la guerre à l'État

Antonio Manfredi, directeur du Musée d'art contemporain de Casoria, près de Naples, a décidé de protester contre la politique culturelle italienne en brûlant des œuvres de la collection permanente.

Ce n'est pas un feu de joie auquel ont assisté les habitants de Casoria, près de Naples, ce mardi 17 avril, mais à l'immolation d'une œuvre artistique. Antonio Manfredi, directeur du musée d'art contemporain de la ville, a mis le feu à un tableau de la Française Séverine Bourguignon, avec son accord. Elle a d'ailleurs assisté à la destruction via Skype. Le directeur a l'intention de brûler ainsi trois œuvres par semaine dans le cadre d'une initiative intitulée «art war», la guerre de l'art, pour protester contre l'indifférence du gouvernement italien envers la culture.
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Source : territorial.fr

De l'art contemporain dans les monuments historiques

De vrais débats s'instaurent parfois sur les réseaux sociaux. Ce fut le cas cette semaine sur la question de la production d'expositions d'art contemporain dans les monuments nationaux.La journaliste Claire Bommelaer, dans un quotidien national, écrit que les conservateurs sont de plus en plus favorables à l'accueil, dans les monuments nationaux, d'installations et d'œuvres contemporaines pour élargir le potentiel des sites et stimuler la fréquentation.
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Source : lefigaro.fr

Les monuments nationaux en quête d'art contemporain

Les conservateurs sont de plus en plus favorables à l'accueil d'installations et d'œuvres contemporaines pour élargir le potentiel des sites et stimuler la fréquentation.

Depuis plus de quinze ans, les monuments d'État ont ouvert leurs portes à des installations ou des expositions d'art contemporain. Même le Panthéon, lieu propice au recueillement et à la permanence du temps, a cédé à la confrontation de l'ancien et du nouveau. Lors du Festival d'automne 2006 à Paris, l'artiste brésilien Ernesto Neto avait déployé une installation monumentale, Léviathan Thot, sous la coupole.
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Source : localtis.info

La culture inquiète de l'encadrement européen des subventions

Les collectivités délaissent les subventions au profit des procédures de marchés publics, par manque de connaissance des règles européennes. Le monde de la culture redoute cette évolution, mais les sénateurs se veulent rassurants.
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Source : ladepeche.fr

Quand les gardiens de musée dansent

Robyn Orlin, chorégraphe sud-africaine, connue pour ses créations surprenantes fait danser les gardiens du Musée des Augustins. En nocturne

« Les gardiens de musée sont souvent considérés par les visiteurs comme des objets ; ils ne bougent pas ; on les voit à peine. Et pourtant, ils ont un rôle primordial, celui de veiller sur les œuvres. Et, à force de côtoyer les peintures et les sculptures, ils deviennent familiers des œuvres d’art, il y a un attachement qui se crée. »
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/27/1340856-quand-les-gardiens-de-musee-dansent.html

Source : localtis.info

Encadrement des financements croisés : les nouvelles règles expliquées

Pourtant très discutées lors de leur examen au Parlement, les dispositions de la loi de réforme des collectivités locales sur l'encadrement des interventions financières des collectivités, en particulier les financements croisés, sont entrées en vigueur sans faire de bruit le 1er janvier 2012. Une circulaire commente la mise en oeuvre de ces mesures : champ d'application, entités concernées, règles de calcul...
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Source : localtis.info

Sites culturels et récréatifs : la province tire son épingle du jeu

L'Insee publie son palmarès 2010 de la fréquentation des sites culturels et récréatifs. Comme son intitulé le laisse entendre, ce classement présente l'originalité de mêler hauts lieux culturels ou spirituels et grands parcs à thème ou de loisirs. Le palmarès porte ainsi sur les 30 sites ayant accueilli le plus grand nombre de visiteurs - comptabilisés, pour la plupart payants - au cours de l'année considérée. Même si Paris et l'Ile-de-France trustent le podium et les dix premières places (neuf sites sur dix), la province tire plutôt bien son épingle du jeu. Ainsi, elle compte sept sites parmi les vingt premiers et douze sur les trente premiers.
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Source : lejournaldesarts.fr

Nominations au Conseil d’administration de l’Académie de France à Rome

PARIS [27.04.12] – Le Journal officiel a publié le 24 avril la liste des membres nommés au Conseil d’administration de l’Académie de France à Rome.

Pierre Oudart, récemment nommé directeur adjoint chargé des arts plastiques à la DGCA, a été désigné en qualité de représentant du ministère de la Culture en remplacement d’Anne-Marie Le Guével.
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Source : lejournaldesarts.fr

Les réseaux sociaux feront aussi partie des sites archivés par la BnF à l’occasion de la campagne électorale de 2012

PARIS [27.04.12] – La Bibliothèque Nationale de France a annoncé que « Des milliers de sites impliqués dans l’élection présidentielle et les élections législatives de 2012 vont être collectés par les robots d’archivage de la BnF en collaboration avec les bibliothèques de dépôt légal en région ». Mais à la différence des élections de 2007, les blogs et réseaux sociaux figureront aussi parmi les 10 000 sites archivés.
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