Revue de presse ( 6 - 12 mai 2013)

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(La Chatre) La vallée de la Creuse sublimée

Entre Berry et Limousin, La Creuse, une vallée atelier (1830-1930) : tel est l’intitulé de l’exposition qui est désormais proposée au château d’Ars, mais également sur trois autres sites de l’Indre et de la Creuse. Grâce à la collaboration exceptionnelle de quatre musées (Musée George-Sand, de La Châtre ; Musée Hôtel Bertrand, de Châteauroux ; Musée de Guéret et Musée de la vallée de la Creuse, d’Éguzon), qui possèdent tous des oeuvres des peintres de cette période, l’exposition va, pour la première fois, offrir une vision globale d’un mouvement artistique d’importance majeure, le paysagisme en plein air.
NR, IndreE, 07/05, p.17

(Chinon) Drolatique, l’exposition qui interpelle

Du samedi 4 mai au di- manche 15 septembre, l’art contemporain investit la ville. Drolatique serait à l’art ce que le burlesque est au cinéma ou l’humour au dessin. De l’Antiquité à nos jours, l’atypique, l’anachronisme, la fiction ont porté les artistes et offert des oeuvres décalées de la vie quotidienne, des pouvoirs profanes ou sacrés, des moeurs de l’époque. Dans la galerie contemporaine de l’Hôtel-de-Ville et au musée d’Art et d’Histoire, partez à la rencontre d’artistes.
Nr, Indre et LoireT, 29/04, p.19

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Des pupitres pour découvrir Courtenay

Courtenay chérit son histoire. C’est ainsi qu’après des plaques de rues, des pupitres d’orientation feront bientôt leur apparition dans la ville. Au nombre de sept, ils permettront aux habitants comme aux touristes et randonneurs d’en savoir plus sur les bâtiments et sites historiques dont peut s’enorgueillir la ville. Ils se présentent sous la forme de grands livres ouverts (40 x 60 cm) dont la page de gauche est occupée par une photographie, celle de droite par du texte.
RC, Pithiviers, 06/05, p.11

(Béthonvilliers) La descente de la croix a été restaurée

C'est sous la houlette de pour la sauvegarde de l'église Saint Martin de Béthonvilliers. «En 2012 nous avons assuré la réfection du mur intérieur ouest que l'humidité avait dégradé, nous concentrons maintenant nos efforts sur la chapelle de la vierge», a indiqué la présidente qui a profité de l'occasion pour dévoiler au public présent le tableau de la descente de la croix qui a été restauré «gracieusement» a t elle précisé dans l'atelier de Brigitte Malavoie. Jean Fosseyeux qui à la suite de l'assemblée générale a donné une conférence dont le thème portait sur l'avenir des petites églises. Avenirs patrimonial, cultuel, et culturel ont largement été évoqués par le conférencier. (intégral)
L'Echo, 06/05

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (16) Les reliques de la sainte patronne

Elles ne sont aujourd’hui visibles qu’une seule fois par an. Mais cela fait pourtant plus de dix siècles qu’elles ont élu domicile à Vierzon. Les reliques de sainte Perpétue, patronne de la ville, sont toujours pieusement conservées. Abritées dans un reliquaire, préservé bien à l’abri par la paroisse. Il ne s’agit pas de celui qui les protégeait à l’époque médiévale, doté, selon les historiens, d’un chef en argent. Non, ce réceptacle vitré, au bois ouvragé, relativement simple, date du XIXe siècle. Pas impressionnant, mais ses ors n’en suscitent pas moins la dévotion, lors de la procession annuelle, ravivée par la Fraternité sainte Perpétue. Ces reliques ne font pas non plus partie du mobilier classé de l’église. Mais leur histoire mérite le détour.
Le Berry, 06/05, p.16

Avoir les yeux de Chimène pour le château de Beauregard

Une billetterie et une boutique. Comme il en existe dans tous les châteaux. A l’exception près que cette maison-là a un charme fou. Restaurée dans les règles de l’art, cette ferme a retrouvé tout son cachet. «Il s’agit d’une locature, approfondit Natalie du Pavillon, qui, avec son mari, a repris en main les destinées du château de Beauregard à Cellettes. C’était une ferme qui était en train de s’effondrer. Le four à pain a été refait à l’identique par des artisans spécialisés.» La visite du château commence depuis un an dès cette entrée. Parce que Beauregard s’apprécie et se comprend grâce à sa multiplicité. Et sur le sujet, Natalie du Pavillon, mue par une incroyable énergie, est intarissable.
+ ••• L’histoire en 327 portraits
NR, Loir et Cher, 06/05, p.5

(Orleans) La maquette du clocher de la cathédrale authentifiée !

C’était une des surprises de la journée d’expertise gratuite organisée en mars par le commissaire-priseur d’origine orléanaise, Philippe Rouillac. Une maquette en bois de près d’un mètre de haut, représentant le clocher de la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans. L’objet avait été amené par un habitant de Nevers, chez qui elle demeurait depuis des décennies. Après plusieurs semaines d’investigation, à la médiathèque d’Orléans notamment, Philippe Rouillac l’a donc authentifiée. Il s’agit bien de la maquette préparatoire à la réalisation du clocher de la cathédrale, reconstruit en 1858. Elle sera vendue le 9 juin prochain lors de la vente aux enchères annuelle organisée par le commissaire-priseur au château de Cheverny (Loir-et-Cher). (intégral)
RC, Orleans, 07/05

(Dreux) Plaisir des yeux

Une façade couleur soleil d’or : l’ancienne école d’horlogerie d’Anet s’est littéralement transformée, à l’entrée de la rue Parisis, à Dreux. Les passants, eux, l’ont bien remarqué depuis quelques jours. Car l’échafaudage a disparu, dévoilant le lifting spectaculaire apporté à la façade de cette bâtisse née il y a près d’un siècle. Le style de la belle demeure privée a été respecté ; il faut dire qu’elle est située dans le périmètre architectural classé de la ville de Dreux. Les volets métalliques sont désormais habillés d’une jolie couleur chocolat. Et, en levant les yeux, on peut même voir des petits cœurs dessinés sur ceux du premier étage. Un vrai plaisir des yeux. (intégral)
L'Echo, 07/05

(Tours) Une cérémonie religieuse pour des morts du XVIe siècle

Une cérémonie tout à fait originale a eu lieu, hier en fin de matinée, à la chapelle Saint-Libert, en bordure de Loire, quai Malraux. A l’invitation de la Société archéologique de Touraine, propriétaire des lieux, Monseigneur Aubertin, l’archevêque de Tours, est venu bénir, avant leur inhumation, les ossements découverts pendant les fouilles. «C’est une marque de respect envers ces personnes, explique Yves Cogoluègnes, président de l’association. Elles ont, à l’époque, souhaité être enterrées dans une chapelle. Il s’agit pour nous d’une fidélité à leur foi.» Mgr Aubertin, avant d’officier, a pu préciser en souriant qu’en matière de cérémonies funèbres, il en avait connu de plus pénibles. Les squelettes en question, au nombre de 52, datent du XVIe siècle. Ils ont été mis au jour lors des fouilles, financées par le conseil général (celles du parvis, elles sont payées par la Ville, qui en est propriétaire). Les ossements ont été exhumés pour être étudiés et sont maintenant ré-enterrés, avant la pose de la dalle, qui scellera leur nouveau tombeau.
Nr, Indre et Loire, 07/05, p.13

(Montlouis) A la découverte des sculptures du château

Pour les vacances de printemps, le service Ville d’art et d’histoire proposait aux enfants plusieurs stages ludiques de découverte du patrimoine blésois. Vendredi, l’atelier auquel étaient inscrits 17 enfants âgés de 6 à 8 ans était consacré à la sculpture au château royal et plus particulièrement aux emblèmes et blasons.
Nr, Loir et Cher, 29/04, p.10

Des Caravage à Loches ? La parole aux sceptiques

Les Caravage de Loches cartes sur table. Le colloque sur «les biens culturels en Touraine» qui s’est ouvert hier à Loches à l’espace Agnès-Sorel a notamment tourné autour des deux tableaux exposés dans la galerie Antonine de Loches : «La Cène à Emmaüs» et «L’Incrédulité de saint Thomas», dont la municipalité défend avec vigueur qu’ils sont l’oeuvre du grand maître italien. Dans son discours d’ouverture, le maire a plaidé une nouvelle fois dans ce sens : «Nous avons la faiblesse de croire que leur traçabilité est indiscutable et qu’ils appartiennent à la collection de Philippe de Béthune. Or, si l’on s’accorde sur le fait qu’il était un grand collectionneur, comment se pourrait-il qu’il ait acheté des oeuvres qui ne soient pas du Caravage ?» Néanmoins, les spécialistes qui ont pris la parole hier ont été clairs et nets : ce sont des copies. De belle facture, certes. Mais pas des Caravage.
Nr, Indre et LoireE, 30/04, p.18

Richelieu au coeur des Secrets d’Histoire

La ville et le parc du Cardinal méritent bien le clin d’oeil télévisuel d’un reportage national de grande audience. C’est précisément ce que s’apprête à faire France 2 en enregistrant sur place les séquences extérieures de l’émission culte «Secrets d’Histoire» consacrée au célèbre ministre de Louis XIII. Fidèle aux endroits emblématiques des personnages historiques dont il conte les illustres destinées, le présentateur Stéphane Bern est venu avec son équipe tourner à l’emplacement même du château disparu et dans la ville. Au montage, la vue en 3D du château en toile de fond viendra donner l’impression au téléspectateur que la fastueuse bâtisse existe toujours et que l’animateur en franchit son entrée. La triste disparition d’autant de splendeurs du passé surprend et chacun dans le groupe émet le souhait qu’un jour, on puisse en réaliser une reconstitution d’apparence ! Le périple s’est poursuivi à la chapelle Saint-Louis de Champigny samedi et au château de Coussay dans la Vienne où séjourna à plusieurs reprises le Cardinal. Les enregistrements ont continué le dimanche à Paris sur les sites du Palais du Luxembourg et de l’Académie Française.
Nr, Indre et LoireW, 30/04, p.19

Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.fr

Un Ary Scheffer en dation pour le Louvre

Grâce à une dation, le Musée du Louvre vient de s’enrichir d’un superbe tableau d’Ary Scheffer, représentant Ruth et Noémi. Ce panneau conserve encore son très beau cadre d’origine1 où l’on peut lire des citations extraites du livre de Ruth qui explicitent le sujet, c’est-à-dire le moment où Ruth, après la mort de son mari Malchon, décide de suivre à Bethléem sa belle-mère Noémie.
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Un Rembrandt (peut-être) et un Canaletto pour le Getty

Acquisitions - Los Angeles, The J. Paul Getty Museum - Nous avions conté ici-même l’histoire de sa redécouverte : un portrait présumé de Rembrandt, sur cuivre, passé en vente dans une petite vente aux enchères en Angleterre en octobre 2007 sous l’appellation « Suiveur de Rembrandt », s’était vendu 2,2 millions de livres, ce qui suggérait que l’acheteur (et au moins un sous-enchérisseur) y avait vu une œuvre authentique du maître. Moins d’un an plus tard, le Rembrandt Research Institute le reconnaissait comme tel.
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Un paysage de Robert Seldon Duncanson acquis par l’Amon Carter Museum

Acquisition - Fort Worth, Amon Carter Museum of American Art - L’Amon Carter Museum of American Art a récemment annoncé l’acquisition d’une œuvre de Robert Seldon Duncanson (1821-1872), présenté comme le premier artiste afro-américain de renommée internationale. Intitulé Les Grottes et peint en 1869, le tableau appartenait au révérend Richard Sutton Rust (1815–1906), pasteur méthodiste, dans la famille duquel il est resté jusqu’à son achat par le musée en 2012 qui l’expose au public depuis le 4 mai dernier.
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Source : lemonde.fr

Ventes d'art à New York : Cézanne et Soutine à l'honneur

A New York ce printemps, les pommes valent 42 millions de dollars (32 millions d'euros). Du moins celles peintes par Cézanne en 1889-1890, et proposées par Sotheby's lors de sa vente du soir d'art impressionniste et moderne, mardi 7 mai. Voilà qui aurait pu réjouir le normand Georges Braque, lequel s'était rendu au début du XXe siècle dans le sud de la France, précisément pour travailler dans les traces de Cézanne : son Paysage à la Ciotat, peint en 1907 durant sa période fauve, a été vendu pour 15,8 millions de dollars, un record pour Braque auquel un hommage doit être rendu à partir de septembre 2013 avec une rétrospective au Grand Palais qui marquera le 50e anniversaire de sa disparition, le 31 août 1963.
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Une toile de Soutine se vend 18 millions de dollars

Une toile du peintre français d'origine russe Chaïm Soutine, Le Petit Pâtissier, a été adjugée jeudi pour plus de 18 millions de dollars (un peu plus de 13 millions d'euros) lors d'une vente aux enchères organisée par Christie's à New York, un montant jamais atteint pour un tableau de ce peintre.
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"Les Pommes" de Cézanne s'arrachent à 32 millions d'euros à New York

Les Pommes, nature morte peinte par Paul Cézanne, ont été adjugées mardi 7 mai dans la soirée pour 41 605 000 dollars (environ 32 millions d'euros), lors d'une vente aux enchères organisée par la maison Sotheby's à New York. L'œuvre avait été estimée entre 25 et 35 millions de dollars avant la vente.
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Source : latribunedelart.com

De bonnes nouvelles de la rue du Temple

Patrimoine - Paris - Les nouvelles s’avèrent plutôt positives au sujet de la découverte d’éléments d’architecture au coin de la rue du Temple et de la rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie.

Nous avons en effet pu joindre le propriétaire du magasin de cosmétique Huygens et l’architecte des bâtiments de France, Sophie Hyafil.
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