Revue de presse (30 décembre 2013 - 5 janvier 2014)

L'APSMRC vous souhaite une excellente année 2014, qu'elle vous apporte bonheur, santé, prospérité ainsi que l'aboutissement de tous vos projets personnels et professionnels.

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Vierzon) Une date : 11 février

Ce sera le jour de réouverture de l’exposition des collections du musée, avec un renouvellement partiel des pièces. Il vous reste deux jours pour profiter de cette première présentation, préfigurant ce que sera le musée de l’Histoire industrielle. Un dernier tour au village de Noël est aussi l’occasion de visiter l’exposition des collections du musée, qui ferme temporairement ses portes demain soir, et de découvrir les nouveaux produits à la boutique, autour notamment des tracteurs. Porcelaine, verrerie, grès Denbac, machinisme agricole et histoire ferroviaire : la réunion de l’ensemble des collections évoquant l’histoire industrielle de la ville dans un même lieu, les anciens locaux de l’office de tourisme, sur le site de la Française, a atteint son objectif.
Le Berry, 03/01, p.16

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Menetou Salon) Découverte fortuite à l’auberge Ch’eul Zib

Une mystérieuse plaque a été découverte à Menetou Salon. Dans le cadre de l’Hommage à Anatole Patouchard, homme politique de 1848 à 1914, qui lui sera rendu en septembre à  l’occasion du centenaire de sa disparition, des travaux ont été menés. C’est lors de la rénovation des cuisines de la célèbre auberge menetrosalonienne, qu’un objet insolite a été découvert. Sous le sol construit dans la fin des années 1930 par le grand père de l’actuelle propriétaire, une plaque brisée et incomplète, portant une inscription, a attiré l’attention des travailleurs. Deux archéologues voisins ont été appelés pour authentifier la découverte. Selon eux, le contexte stratigraphique est indiscutable. En effet, ladite plaque a été retrouvée sur le sol d’origine de la cave dont les archives de l’auberge ont révélé sa construction en 1905.
Le Berry, 02/01, p.13

(Orleans) Une rue qui remonte au XIIIe siècle

Suite aux études faites avant le début des travaux du parking souterrain, place du Cheval-Rouge, le service archéologique municipal d’Orléans (SAMO) a réalisé des fouilles portant sur 2.000 m2, du 29 mai au 9 novembre 2012, avec une équipe de 15 personnes. Aujourd’hui, un voile se lève sur les mystères du site. Le quartier est situé en marge de la ville antique. Lors de l’opération archéologique, il a été mis en évidence une grande esplanade, dans la continuité de celle découverte place De Gaulle, lors des fouilles du tram, en 2009. L’occupation de celle ci se situe entre la seconde moitié du Ier siècle avant Jésus Christ et le IIe siècle après J.C. Des traces d’activités artisanales prouvent le dynamisme du quartier, malgré l’absence d’habitat.
RC, Orleans, 31/12, p.12

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Orleans) Une seconde vie pour une façade unique

C’est par une journée radieuse, le vendredi 20 décembre, que l’immense bâche verte abritant les travaux est tombée. «Ouf ! Pas fâchée, lâche Cécile Guérin, pharmacienne et locataire du lieu. Nous retrouvons la lumière ! Il a fallu vivre avec le bruit, la poussière et la gêne, cachés derrière cette bâche, avec peu de lumière, pendant près de 2 ans. Mais, le résultat est magnifique», concède t elle. Dans le cadre de la campagne de ravalement, une nouvelle façade vient d’être rénovée au 289, rue de Bourgogne, à l’entrée du quartier piétonnier. Après deux années de travaux, elle dévoile son pan-de-bois remarquable, témoignage de l’architecture du XVIIIe siècle.
RC, Orleans, 02/01, p.12

(Druye) Un nouvel abri pour le lavoir

Le bac-lavoir de Druye va enfin pouvoir passer l’hiver à l’abri. En effet, les apprentis charpentiers du CFABTP de Saint-Pierre-des-Corps viennent de consacrer deux journées à la pose d’une superbe charpente. Dans les années soixante, et pour des raisons de sécurité, le maire avait dû se résigner à la démolition de la structure et du toit qui dataient de 1909. Pour alimenter le bassin, un mini-château d’eau était approvisionné par une éolienne. Celle-ci, qui surplombait un puits de 23 m de profondeur, a entièrement disparu. Le mini-château, qui a échappé à la démolition, est le seul élément qui subsiste. C 'est au cours du conseil municipal d’avril 2013 que l’un des conseillers, Noël Deblaise, a suggéré la reconstruction de l’ouvrage.
NR, Indre et LoireT, 02/01, p.13

(Sainte Maure) La maison du Patrimoine inaugurée

Profitant de la présence de personnalités venues célébrer les prix nationaux obtenus par la commune, le maire et le conseil municipal les ont  invitées à venir inaugurer la maison du Patrimoine installée dans le local du château libéré par l’office du tourisme, transféré aux Passerelles. Pas de coupure de ruban mais une enseigne dévoilée. De type médiéval, elle a été conçue par Charlie Boquet. Son graphisme servira de référence à l’ensemble de la ville, que ce soit pour les bâtiments publics ou pour les commerçants qui le souhaitent. La maison du Patrimoine accueille Claire Proust, chargée de mission patrimoine, et Émilie Niquet, archiviste. Celles-ci travaillent en étroite relation avec l’Association des  amis du patrimoine également installée au château. Enjeux majeurs du développement touristique, donc économique, les projets de ce secteur sont nombreux : mise en valeur du château, chapelle des Vierges, dolmen de Boumiers, musée, crypte, cloche de l’église, signalétique  du centre historique, prix de la Ville au Salon de peinture, pour ne citer que ceux qui sont en cours actuellement. C’est sur le site communautaire des Passerelles, symbole du patrimoine contemporain, que la cérémonie s’est achevée autour d’une dégustation de produits du terroir. (intégral)
NR, Indre et LoireW, 30/12

(Sainte Maure) Défendre le patrimoine et le paysage

Pour célébrer l’obtention, par la commune de Sainte-Maure-de-Touraine, de deux prix nationaux majeurs décernés pour son action en faveur de la protection du patrimoine et du paysage, une table ronde était organisée la semaine dernière à la salle des fêtes sur le thème «Des enjeux du paysage et du patrimoine dans le développement des villes et des territoires». Présidée par l’ancien sénateur Yves Dauge, conseiller auprès du Centre du patrimoine mondial, cette table ronde a mis l’accent sur l’importance du respect de l’histoire et de l’environnement dans les nouveaux projets d’aménagement. Après que le maire, Christian Barillet, a présenté les réalisations primées de la ville, Olivier Mignauw, de la Fédération patrimoine et environnement, Martine Bonnin, de la Société pour la protection du paysage et pour l’esthétique de la France, Cécile Dublanche, directrice de Villes au carré, réseau de villes auquel Sainte-Maure est adhérente, Jacques Guionnet, de la Fondation du patrimoine et Adrienne Barthélémy, architecte des Bâtiments de France, ont tous affirmé que les habitants peuvent être fiers de leur ville et que l’attractivité était un enjeu majeur pour son développement.
Nr, Indre et LoireE, 31/12, p.14

(Richelieu) Secteur sauvegardé : du nouveau

Avant de valider les principales orientations de la révision du Plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV) de la ville, la municipalité a présenté aux habitants les premières conclusions du rapport. La réunion qui s’est tenue à la mi-décembre, en présence du bureau d’études qui conduit les travaux, a rassemblé un public intéressé. L’obsolescence et la nécessaire évolution du dispositif qui date de 1965, ont été mises en avant et largement démontrées. «La ville d’aujourd’hui mérite une autre forme d’attention, plus réaliste, en phase avec les pratiques d’une population actuelle qui se transforme et évolue sans cesse». Le projet comprend une extension du périmètre sauvegardé qui ne concerne actuellement que la cité intra-muros et ses douves. Les rajouts comprennent notamment les entrées de ville, la partie communale du parc, les Quinconces,  l’avenue du Québec et la place du Cardinal.
Nr, Indre et LoireW, 31/12, p.15

(Château Renard) L’église Saint-Etienne bientôt en travaux

En l’église Saint Etienne de Château Renard, Marc Bénédic, le maire, a signé une convention avec Bernard Vella, délégué départemental pour la Fondation du patrimoine. Cette convention permettra de recueillir des dons pour aider au financement des travaux de l’église, programmés en plusieurs tranches (environ 2 millions d’euros). «Nous sommes tous mécènes pour conserver le patrimoine qui nous appartient et que l’on doit transmettre dans le meilleur état possible, pour plusieurs générations. Dans cette église qui présente un intérêt patrimonial, aucuns travaux réalisés en 50 ans. Il est temps d’agir», a précisé Bernard Vella. La première tranche des travaux devrait commencer à la fin du printemps avec la dépose de vitraux du 19e siècle et la remise en place d’une grande fenêtre à réseau, en pierre.
RC, Montargis/Gien, 30/12, p.9

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (39) Là où tournait le moulin de l’hospice

Nous revoilà sur la rive de l’Yèvre, à recoudre les souvenirs des roues à aubes qui émaillaient les bords de la rivière. Dans le jardin public, à hauteur de l’hôtel de ville, plus rien. Pourtant, c’est là que s’élevaient les moulins de l’abbaye. Ces derniers n’étaient pas les seuls moulins de la ville, loin de là. Allons à quelques pas de là, sous les arches du pont Voltaire. On ne trouve plus grandchose, là encore. Sans surprise, direz vous. Mais la dernière arche, côté rue des Ponts, servait à faire passer une dérivation d’eau canalisée alimentant le moulin de l’hôtel dieu, situé au bord de l’Yèvre depuis l’époque médiévale. Doté de deux roues, le moulin s’élevait à la pointe nord du terrain occupé par l’hospice. Autrement dit, au bout de la cour de l’école Charot. Penchons nous sur les documents anciens.
Le Berry, 30/12, p.13

Le cimetière par les Amis du Vieux La Châtre

Parmi ses nombreuses activités organisées tout au long de l’année, l ’association avait proposé la visite du cimetière. Un patrimoine funéraire souvent méconnu et fragile carsoumis aux intempéries et à l’abandon des tombes. Le site abrite également de nombreuses personnalités qui ont fait  l’histoire de la ville. A la suite de cette visite, l’idée est venue de laisser une trace écrite de ce patrimoine d’où le projet de réaliser un ouvrage. Il  vient de paraître sous le titre Le cimetière de La Châtre, art funéraire et personnalités. Une soixantaine de monuments ont été choisis pour montrer  l’évolution de l’art funéraire du XIXe siècle à nos jours. Le document est enrichi d’une cinquantaine de biographies de personnalités : grands voyageurs, grands donateurs, hommes de lettres, hommes politiques, amis de George Sand, etc.
Nr, Indre, 30/12, p.14

(Fontenay sur Eure) L’église va retrouver son éclat d’antan

Depuis le mois de septembre, l'église Saint Séverin de Fontenay sur Eure est en travaux pour un lifting complet de sa charpente. Un édifice dont le chœur du XIIe siècle est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques. L’ensemble est épaulé au nord par une tour carrée en pierre calcaire de Beauce. Des travaux confiés à l’entreprise spécialisée Cruard en Mayenne. En janvier une seconde phase de travaux débutera avec la rénovation du chœur de l'église. Une opération dont le coût total des travaux s'élève à 439.611,27 € HT. Une église qui devait perdre sa tenue de chantier fin 2014 et rayonner à nouveau sur Fontenay sur Eure.
L'Echo, 03/01, p.10

(Bailleau le Pin) L’église Saint-Chéron est mise en lumière

Une petite centaine de Bailleaulais ont assisté à la mise en lumière des extérieurs de l’église Saint Chéron. C’est entouré par Jean-François Manceau, conseiller général, Jean-Claude Sédillot, président du Pays de Combray, Jean-Pierre Cornic, curé de la paroisse, d’élus locaux et des alentours que Martial Lochon a donné vers 18h30 le top à une mise en lumière de l’édifice religieux qui sert de point d’orgue à l’opération cœur de village. Selon Ludovic Charles, chargé d’affaires chez Eiffage Energie Centre Loire de Mignières, l’entreprise qui a réalisé les travaux que nécessitaient le projet imaginé par la société NOREP, il a fallu quinze jours pour installer et caler tous les matériels nécessaires : seize projecteurs à LED sur le clocher, quatre pour le porche et vingt six pour souligner les piliers.
L'Echo, 03/01, p.12

(Ormes) Serge Barbier remonte le temps

Après plus de dix ans de recherches, Serge Barbier, un enfant du pays passionné d’histoire locale, est heureux de nous présenter enfin son tout dernier livre. Après un premier ouvrage «Ormes dans la tourmente» édité en 2002 et relatant la vie quotidienne des Ormois durant la guerre de 3940, c'est un nouvel ouvrage de 140 pages racontant un siècle et demi d’histoire de la ville d’Ormes qu’il nous est proposé de découvrir. Un petit chef d’œuvre publié juste avant les fêtes, riche de plus de 200 photos d’époque, de documents et autres témoignages recueillis parfois en porte à porte ou lors de rencontres d’anciens Ormois dont certains sont aujourd’hui décédés.
RC, Orleans, 05/01, p.11

(Germigny des Près) L’une des plus anciennes églises…

Un petit morceau de l’histoire de Charlemagne à Germigny des Près. Cette modeste commune du Loiret, dans le Val d’or et forêt, abrite en effet un très bel oratoire carolingien, l’une des plus anciennes églises de France. «L’origine du nom de Germigny des Près vient d’une villa galloromaine (domaine agricole) érigée par Germinacus au IVe ou Ve siècle», commence Anne de Haro, guide de l’office du tourisme. Tout en poursuivant, avec beaucoup de passion, l’histoire de la construction, elle entraîne les visiteurs du côté du jardin de l’ancien presbytère. Une vue imprenable sur la tour carrée centrale, servant de puits de lumière, que cernent trois absides.
+ Une mosaïque d’environ 130.000 tesselles
RC, Orleans, 05/01, p.20

(Thiron Gardais) « Je suis un administré comme les autres »

Depuis près d’un an qu’il a acheté l’ancien collège royal militaire de Thiron Gardais, Stéphane Bern s’investit de plus en plus dans la vie du chef lieu de canton, dont il est désormais citoyen. Hier soir, il a participé à sa première cérémonie des vœux, en présence de ses nouveaux concitoyens. Où en sont les travaux de restauration de l’ancien collège royal militaire de Thiron-Gardais ? Pendant un an, nous avons bien travaillé pour sauver ce joyau du patrimoine avec la Direction régionale des affaires culturelles, l’architecte des Bâtiments de France et Guillaume Trouvé, mon architecte. Là, on va lancer les travaux. Comme cette bâtisse prend l’eau de toutes parts, nous allons commencer le chantier par la toiture et la charpente, avec des artisans qui travaillent à l’ancienne. Vous devriez voir les premiers échafaudages se monter d’ici quinze jours. La restauration complète du site durera un an et demi à deux ans.
L'Echo, 05/01, p.3

(Chartres) L’histoire se grave en lettres de fonte

Neuf portes ont jadis marqué le domaine occupé pendant quatre siècles par les chanoines du Chapître de la cathédrale. Elles ont ceinturé le Cloître Notre Dame à partir de 1327. L’enclos a ensuite été rouvert entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. De ces clôtures ne subsistent que les gonds d’anciennes portes en bois rue de l’Horloge, une arche rue Saint Yves et une entrée rue des Acacias, qui doit être équipée d’une grille d’accès. Dans le cadre du projet de réaménagement des abords de la cathédrale, la mise en valeur des portes du Cloître est un élément central. Il donnera l’occasion aux piétons de découvrir de nouveaux circuits de visites autour du monument. «Ces nouveaux cheminements permettront de retrouver une symbolique de l’histoire de la ville» estime Élisabeth Barrault, adjointe au maire en charge des travaux. Pour mettre en valeur les anciennes portes, leur nom est inscrit sur le sol en lettres en fonte, incrustées dans un bandeau composé de dalles de pierres de Pontijou (Loir et Cher).
+ Connectez-vous au passé avec votre smartphone
L'Echo, 05/01, p.4

(Beauce ligérienne) Une trentaine de lavoirs à découvrir

En allant de Ménars à Lestiou, à flanc de coteau au dessus de la Loire, il existe une trentaine de lavoirs méconnus que l’on peut s’amuser à découvrir à bicyclette. C’est une promenade oubliée des guides touristiques qui réserve de belles surprises. Édifiés à la fin du XIXe siècle, ces petits édifices ruraux devaient répondre aux nouvelles exigences d’hygiène de la société moderne de l’époque. Ils témoignent d’un autre temps où les lavandières allaient laver le linge de la bourgeoisie.
Nr, Loir et Cher, 05/01, p.7

Saint-Gaultier : au chevet de l’église

L’église de Saint-Gaultier dont la toiture et les extérieurs ont été rénovés au cours des précédentes mandatures, a belle allure. Derrière sa pimpante façade se cache pourtant un mal insidieux : les murs de cet édifice de style roman-poitevin du XIIe siècle, classé depuis 2009, bougent. Au point de perdre des éléments, comme la pierre tombée à l’automne 2012 au pied du prie dieu… du maire de la commune. Jean-Louis Simoulin décidait immédiatement d’interdire l’accès au bâtiment pour raisons de sécurité. «Nous avions déjà été alertés de la situation quelques mois auparavant, explique le premier magistrat. Une expertise avait montré que le phénomène était dû à la nature argileuse du sol. Des travaux s’avéraient nécessaires, mais cet incident a précipité les choses.» L’édifice était donc fermé au public depuis novembre 2012, avec l’accord de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac). Mais en attendant les conclusions des études réalisées par un cabinet spécialisé, la priorité était de sécuriser les lieux. L’opération de 50.000 €, subventionnée à hauteur de 40 % par la Drac et le conseil général, reposait sur la purge des fissures et la pose de filets. «Cette première étape a permis de rouvrir le bâtiment pour la messe du 25 décembre et un office religieux sera célébré le premier dimanche de chaque mois, en attendant le compte rendu du maître d’oeuvre», explique Jean-Louis Simoulin, avant d’ajouter que le plus important et le plus coûteux, restent à venir. La deuxième tranche de travaux qui consistera à solidifier les murs pour éviter leur écartement devrait avoisiner le million d’euros. (intégral)
Nr, Indre, 04/01

(Oulches) Le sentier des fours à chaux est maintenant possible

Il est maintenant possible de cheminer sur l’histoire industrielle et les particularités de la faune et de la flore des anciennes carrières de Saint-Nazaire, situées sur la commune d’Oulches. Ce sentier de découverte, de 650 m, exploite toutes richesses d’un site où était extrait le calcaire qui alimentait un four à chaux du début du XXe siècle. L’objectif est de permettre au public d’appréhender les lieux mais aussi de préserver la construction, rénovée par la Communauté de communes Brenne Val de Creuse, et son environnement. Ses pelouses calcicoles et le grand rhinolophe, espèce de chauve-souris protégée, sont des éléments à part entière d’une zone classée Natura 2000. La vallée du Brion toute proche est un centre d’intérêt supplémentaire, tout comme les ânes et les moutons chargés, en fonction du temps, d’assurer une tonte naturelle dans le cadre d’une convention avec le Parc de Brenne. (intégral)
Nr, Indre, 05/01

(Tours) Balades et découvertes pour bien débuter l’année

On ne change pas des formules qui marchent ! Au contraire, on les peaufine, on les améliore. C’est ce que fait le service patrimoine de la Ville à travers son programme Laissez-vous conter Tours, qui propose chaque trimestre de faire découvrir leur patrimoine, ancien ou actuel, aux Tourangeaux. Sous toutes ses formes, à pied, à vélo, en tramway. Les cités jardins et les quartiers de la ville sont au programme de Laissez-vous conter Tours. Pour mieux connaître sa ville et débuter l’année du bon pied.
Nr, Indre et Loire, 04/01, p.13

Source : Site DRAC Centre

Trois nouvelles restaurations de mobilier en Eure-et-Loir et Loiret

La richesse des églises rurales d'Eure-et-Loir et du Loiret a été largement éclipsée par celle des cathédrales de ces deux départements. A l'occasion des visites de récolement ou de travaux, l'on découvre avec bonheur une statuaire variée, parfois abondante, rustique ou naïve mais toujours adaptée à son environnement, ainsi que des tableaux.

Lire la suite : http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/DRAC-Centre/Actualites/Actualite-a-la-Une/Trois-nouvelles-restaurations-de-mobilier-en-Eure-et-Loir-et-Loiret

Histoire région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

“Moblots contre Uhlans la guerre de 1870-1871 en Loir-et-Cher”

Les Archives départementales de Loir-et-Cher présentent une exposition intitulée : «Moblots contre Uhlans, la guerre de 1870-1871 en Loir-et-Cher». L’exposition se propose d’explorer grâce aux archives un aspect  méconnu de l’histoire de notre département : son engagement dans la guerre franco-prussienne de 1870-1871. Pièces d’archives, correspondance, extraits de presse, affiches, gravures, cartes et photographies viendront à l’appui de cette évocation avec la couverture photographique des monuments commémoratifs. Un chapitre sera spécialement consacré à la bataille de Chambord, à partir d’un dossier pédagogique élaboré par une stagiaire archiviste. Archives départementales de Loir-et-Cher, jusqu’au 6 janvier. Jeudi et vendredi, 9h à 17h30 ; 2, rue Louis-Bodin, 41000 Blois. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 02/01

(Olivet) Retour sur la Grande Guerre...

La ville d’Olivet souhaite participer activement à la commémoration du centenaire de la Grande Guerre (1914-1918), encourager et soutenir les initiatives et s’inscrire dans une démarche d’obtention du label «Centenaire», délivré par la mission du même nom, présidée par l’historien Antoine Prost. C’est le vœu qu’elle a formulé et inscrit fin novembre dans son débat d’orientations budgétaires 2014. «Il y a bien sûr une volonté forte de perpétuer la mémoire de cette guerre atroce, dans laquelle plusieurs centaines de jeunes Olivetains ont donné leur vie, de se pencher sur ce pan important de l’histoire de notre pays dans lequel Olivet n’a pas été absente, comme en témoigne le nom de certaines rues», explique Hugues Saury, le maire (UMP).
RC, Orleans, 31/12, p.12

(Dreux) Une exposition et des recherches

La médiathèque l’Odyssée et le musée d’art et d’histoire ont reçu le label Centenaire pour leur projet d’exposition temporaire sur la Première guerre mondiale à Dreux. Les deux établissements culturels poursuivent leur collecte auprès des Drouais. Ils souhaitent réunir des souvenirs familiaux concernant les Poilus (lettres, photos, objets, anecdotes) et la guerre. Ces souvenirs pourront être simplement photographiés puis immédiatement rendus à leur propriétaire, ou bien conser vés un peu plus longtemps en vue d’être étudiés, exposés ou d’illustrer des publications. Parallèlement à cette collecte, des chercheurs travaillent actuellement sur les régiments drouais dans la guerre. Ils ont pour objectif de révéler la réalité des batailles dont certaines rues de Dreux portent le nom, comme Ethe Virton ou les Éparges, dont Maurice Genevoix a relaté les combats.
L'Echo, 31/12, p.13

Source : lemonde.fr

« La Liberté guidant le peuple » n'ira finalement pas en Chine

La toile d'Eugène Delacroix La Liberté guidant le peuple, joyau extra-large du Musée du Louvre, n'ira finalement pas en Chine. Le ministère des affaires étrangères souhaitait en faire la pièce maîtresse d'une exposition de chefs-d'oeuvre des musées nationaux conçue pour célébrer le cinquantenaire de la reconnaissance de la République populaire par le général de Gaulle, le 27 janvier 1964 (Le Monde du 12 décembre 2013). Mais l'Elysée s'est rangé aux arguments du Musée du Louvre, qu'Aurélie Filippetti, ministre de la culture, avait elle-même soutenus le 12 décembre sur la radio France Inter : la toile est trop fragile pour faire le voyage.
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Prêt d'œuvres d'art à l'étranger : débats et blocages

La question du prêt à la Chine de La Liberté guidant le peuple, d'Eugène Delacroix divise la diplomatie française, qui veut envoyer un signal fort à son partenaire chinois avec le prêt d'un tableau illustre à l'occasion du 50e anniversaire de la reconnaissance par la France de la République populaire de Chine, et les conservateurs et le ministère de la culture, qui estiment que celui-ci n'est pas en état de voyager.
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Source : lefigaro.fr

Le château de Saint-Cloud revit dans ses meubles

Le conservateur Bernard Chevallier s'est engagé dans un travail colossal: retrouver un à un les meubles du château incendié durant la guerre de 1870.

Ce fut un incendie spectaculaire, provoqué par le tir d'un obus le 1er octobre 1870, qui dura deux jours entiers. Cent quarante-trois ans plus tard, les vestiges du château de Saint-Cloud, résidence secondaire impériale qui vit défiler les cours européennes, ont laissé place à tous les fantasmes. Alors que certains s'évertuent à croire à la reconstruction de cette bâtisse, Bernard Chevallier, ancien conservateur en chef et directeur du musée de Malmaison, s'est lancé dans une entreprise apparemment plus modeste: celle de la reconstitution de son mobilier.
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Source : lefigaro.fr

Musées: un millésime 2013 riche en fréquentation

Les visiteurs étaient au rendez-vous des divers événements culturels marquants de l'année. Les établissements français affichent un bilan globalement satisfaisant et Marseille, capitale européenne de la culture, tire naturellement son épingle du jeu.

Mauvais scores pour les uns, consolation pour les autres. Alors que le bilan du box-office 2013 paraît plutôt morose pour le cinéma français, les chiffres de fréquentation des expositions ont de quoi réjouir les musées. Stables, voire en hausse, les sorties culturelles n'ont pas manqué tout au long de l'année passée.
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Source : leparisien.fr

Fréquentation en repli au musée d'Orsay, hausse à l'Orangerie
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Le musée d'Orsay a accueilli 3,5 millions de visiteurs en 2013, une fréquentation en repli de 2,8% (-100.000 visiteurs) par rapport à celle de l'année précédente.
De son côté, le musée de l'Orangerie a attiré plus de 900.000 visiteurs, en progression de 12% sur l'année 2012 (800.000 visiteurs).
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Musée du quai Branly: 1,3 million de visiteurs en 2013

Le musée du quai Branly a accueilli 1,307 million de visiteurs en 2013, une fréquentation quasi stable par rapport à l'année précédente.

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Source : lefigaro.fr

Montignac émet l'hypothèse d'une «autre» grotte ornée près de Lascaux

La commune de Dordogne envisage l'existence d'une autre cavité préhistorique qui aurait été obstruée par ses découvreurs dans les années 1960.

Ce n'est pour l'instant qu'une hypothèse. Il existerait une seconde grotte ornée (c'est-à-dire comportant des témoignages de l'art préhistorique) près de Lascaux. Selon le maire de la commune de Montignac en Dordogne, où se trouve «la chapelle Sixtine de la préhistoire», cette seconde cavité aurait été rebouchée par ceux qui l'ont découverte en 1962.
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Source : leparisien.fr

Lascaux: Montignac explore l'hypothèse d'une "autre" grotte ornée

La commune de Montignac (Dordogne), abritant le joyau d'art rupestre de Lascaux, explore l'hypothèse, encore ténue, d'une autre grotte ornée, après des révélations sur une cavité qui aurait été obstruée dans les années 1960 par ses découvreurs, a indiqué le maire lundi.
"Nous n'avons aucune certitude, on est encore loin d'avoir les éléments nécessaires pour confirmer l'existence d'une autre grotte ornée", a déclaré à l'AFP le maire Laurent Mathieu, qui a toutefois précisé que des investigations ont été réalisées depuis les révélations, en août, d'une habitante.
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Source : lefigaro.fr

Un coffre de Mazarin, plus haute et plus étonnante enchère 2013

Acheté par le Rijksmuseum d'Amsterdam, le meuble est retourné aux Pays-Bas pour y être exposé. Il y avait été vendu aux enchères il y a 355 ans.

C'est la médaille d'or 2013, la plus belle enchère française de l'année, la plus haute et la plus étonnante. Elle n'est pas due à l'un des trois ténors du marché, tous voisins dans le triangle d'or de Paris - Christie's, Sotheby's et Artcurial -, mais à une étude de province - Rouillac. «Nous remportons cette médaille pour la troisième fois depuis l'ouverture du marché de l'art, en 2001. C'est le combat de David contre Goliath», s'enorgueillissent d'ailleurs les commissaires-priseurs Aymeric et Philippe Rouillac, à l'origine de la belle affaire.
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Source : latribunedelart.com

L’état des églises parisiennes (4) : Saint-Augustin

Alors que les Halles de Baltard ont disparu en 1971-1973 sous les coups des démolisseurs, son autre réalisation majeure, l’église Saint-Augustin (ill. 1), est dans un état de conservation désastreux. Ce n’est hélas qu’une des nombreuses églises de Paris que la municipalité délaisse de manière scandaleuse, mais celle-ci pourrait au moins, en souvenir des défuntes Halles, avoir un peu plus de considération pour cet édifice religieux majeur. Il s’agit d’un des monuments les plus importants de Paris, par la qualité de son architecture, mais aussi par sa taille et par son emplacement au croisement de deux des grandes voies de la capitale, le boulevard Malesherbes et le boulevard Haussmann.
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

Un tableau de Van Gogh pour la National Gallery

Acquisition - Londres, National Gallery - C’est une jeune paysanne qui s’invite dans les collections de la National Gallery, portraiturée par Vincent Van Gogh. Elle a été acquise grâce à une nouvelle disposition fiscale mise en place en Grande-Bretagne depuis le mois de mars 2013 et destinée à encourager les détenteurs d’œuvres d’art d’une certaine valeur à en faire don, de leur vivant, à la nation.
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La Déploration du Christ de François Barrois préemptée par le Louvre

Acquisition - Paris, Musée du Louvre - On ne peut s’empêcher de souhaiter que certaines œuvres qui passent en vente aux enchères soient préemptées par un musée. Ce fut le cas pour l’esquisse de Jules-Élie Delaunay finalement acquise par Compiègne (voir la brève du 21/12/13), c’était aussi notre espoir pour le très beau relief en marbre de la Déploration du Christ de François Barrois, un sculpteur actif sous Louis XIV, proposé chez Piasa le 18 décembre dernier que nous voyions bien rejoindre les collections du Louvre.
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Source : latribunedelart.com

Vincent Droguet nommé directeur du patrimoine et des collections du château de Fontainebleau

Nomination - Fontainebleau, château - Après le départ de Xavier Salmon pour le département des Arts Graphiques du Musée du Louvre (voir brève du 17/6/13), son successeur comme directeur du patrimoine et des collections du château de Fontainebleau vient d’être nommé.
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Source : latribunedelart.com

La destruction des maisons anciennes de la Samaritaine a commencé

Patrimoine - Paris - Les mauvais coups se font en général pendant les vacances, alors que l’attention se relâche. Beaucoup de parisiens sont pour les fêtes hors de Paris, il est donc plus facile et discret de détruire un ilot entier de maisons anciennes, au cœur de la capitale, sans que cela génère des protestations.
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Source : lemonde.fr

Alain Seban, l'homme de fer à la tête du Centre Pompidou

Depuis son arrivée en 2007, le président du Centre Pompidou, Alain Seban, a connu de beaux succès : fréquentation en hausse, augmentation des ressources propres. Il a aussi imprimé une marque forte à l'institution : « Les gens ne savaient pas où aller, témoigne un proche. Seban a donné une vraie impulsion. » Si l'efficacité de ce grand commis de l'Etat ne fait pas de doute, sa personnalité et ses méthodes sont contestées au sein de son établissement.
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Source : lefigaro.fr

Culture : la tentation de la hausse des prix

Après l'Opéra, les musées souhaitent augmenter leurs tarifs d'entrée.

La décision a été prise à l'unanimité lors du conseil d'administration de l'Opéra de Paris, le 16 décembre. En 2014, les prix des places d'opéra, de catégories 1, 2 ou 3, vont augmenter de 10 %. Le taux de remplissage du Palais Garnier et de l'Opéra Bastille tourne autour de 93 %, ce qui est élevé. Mais le lundi soir, les salles sont clairsemées. Du coup, les places seront nettement plus chères les vendredis et samedis soir (+ 20 %), moment d'affluence, nettement moins (- 20 %) les lundis soir et les samedis en matinée.
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« La gratuité totale dans les musées est une folie »

De nombreuses institutions françaises, à l'instar de l'Opéra de Paris ou du musée du Louvre, songent à relever leurs prix d'entrée pour faire face, entre autres, aux baisses de subvention.

Françoise Benhamou est spécialiste de l'économie de la culture et des médias. Elle vient de publier Économie du pa­trimoine culturel, Éd. La Découverte.
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La culture apporte 3,2% de la richesse nationale

Une étude conjointe du ministère de la culture et de l'économie tend à démontrer que la culture est un secteur productif dans lequel l'État a investi 13,9 milliards d'euros en 2012.

La culture pèse plus qu'on ne le croit dans l'économie française. C'est ce que montre une étude conjointe de l'Inspection générale des finances et l'Inspection générale des affaires culturelles, publiée vendredi.
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