Revue de presse ( 24 - 30 mars 2014)

Musées région Centre

Source : latribunedelart.com

Le coeur d’Anne de Bretagne exposé à Blois

En ce petit vaisseau de fin or, pur et monde1 / Repose un plus grand cœur que oncques dame eut au monde ; / Anne fut le nom d’elle, en France deux fois reine, / Duchesse des Bretons, royale et souveraine. ». Ces vers gravés dans le coeur d’Anne de Bretagne, ou plus précisément inscrits sur l’écrin qui le renfermait et qui est présenté jusqu’au 6 avril au château de Blois où elle vécut une quinzaine d’années et mourut il y a de cela 500 ans, le 9 janvier 1514. 2014 sera donc une année consacrée à la souveraine, les différents événements organisés à cette occasion sont recensés sur un site internet. L’exposition rejoindra ensuite le château des ducs de Bretagne du 8 avril au 18 mai 2014.
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Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Dordives) Une sculpture, un buzz et une expo

«C’est la première fois que je gagne quelque chose. Et c’est peut être le plus beau prix que j’ai jamais vu». Les yeux écarquillés, le ton enfantin, un grand sourire et sa récompense dans les mains. La chanteuse Ayo rend un touchant hommage à Alliance, la sculpture devenue trophée officiel des Globes de Cristal, cérémonie qui s’est déroulée le 10 mars au Lido. L’oeuvre est signée Natacha Mondon, artiste installée à La Selle sur le Bied, dans le canton de Courtenay. Créé pour la prestigieuse cristallerie Daum, l’objet a été fabriqué à moins de 500 exemplaires. L’un d’eux est visible actuellement au musée du verre de Dordives. Un éclairage dont pourrait bénéficier l’exposition Le verre à coeur, qui se tient jusqu’au 18 mai au musée du verre de Dordives. Elle est une porte d’entrée vers l’univers des deux artistes : Alliance y tient une place de choix, mais le public peut également admirer une trentaine d’oeuvres, en verre ou en bronze : statuettes, bas reliefs, dont l’imposante Danse des femmes et même un monumental luminaire Lumières de Bueil.
RC, Montargis/Gien, 17/03, p.7

(Brinon sur Sauldre) Les élus ont ouvert la maison de la forêt

Dominique Girard, le maire de Brinon sur Sauldre, n’a pas caché sa joie hier matin, à l’heure d’inaugurer la maison de la forêt, ses habitants au pays de Raboliot, un petit musée consacré à la forêt solognote et à Raboliot, le personnage du roman de Maurice Genevoix. Car c’est un projet qui lui tenait très à cœur qu’il voit aujourd’hui aboutir, après neuf mois de travaux, au moment où son mandat de maire, le dernier (il ne se représente pas), touche à sa fin. Mais si cette maison de la forêt a pu voir le jour à Brinon sur Sauldre, c’est surtout grâce au pôle d’excellence rurale (PER), «dont Yves Fromion est à l’origine», comme le rappelle le maire. Ce PER a permis à ce projet porté par la communauté de communes Sauldre et Sologne de bénéficier de subventions importantes.
+ 250.000 euros :  La réalisation de la maison de la forêt, ses habitants au pays de Raboliot a coûté 250.000 euros HT, mais la commune a pu compter sur 200.000 euros de subventions (État, conseil général et fonds ministériel mutualisé et la Poste pour le bureau de poste), puisque le projet a été monté dans le cadre du pôle d’excellence rurale (PER) et porté par la communauté de communes Sauldre et Sologne.
Le Berry, 17/03, p.24

(Saint Marcel) Un artiste expose à Argentomagus

L’artiste contemporain Olen est accueilli actuellement au Musée archéologique, à Saint-Marcel. D’origine champenoise, il explique : «Je présente des sculptures en bronze, dont le rapport avec ce musée passe par ma formation d’étudiant-chercheur, notamment sur l’âge du bronze.» «Cette exposition nous renvoie à l’essence de la condition humaine qui a fait que l’homme a produit, à travers les âges, des oeuvres de différentes manières, avec un message que l’on retrouve dans le travail d’Olen», constate Philippe Riffaud-Longuesté, directeur du site. (intégral)
Nr, Indre, 26/03

(Châteauroux). Sauvé par les Monuments Men

Un tableau d’Hippolyte Bellangé (1800-1866) sur lequel on distingue la silhouette de Napoléon a été récupéré par le musée Bertrand de Châteauroux (Indre). Il fait partie des oeuvres confisquées par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
Berry Rép., 27/03/2014, p. 6

(Orléans). Orléans voyage à travers son passé au musée des beaux-arts

Le musée des beaux-arts accueille du 1er avril au 6 juillet l'exposition "Regards sur Orléans". L'occasion de découvrir la ville à travers les siècles. Des conférences et des rencontres avec les archéologues du service municipal, de l'INRAP et de la DRAC Centre, ainsi que des visites guidées en extérieur sont également organisées tout au long de l'exposition par le service Ville d'art et d'histoire de la municipalité.
La Tribune d'Orléans, 27 mars 2014, p. 19

(Orleans) Revue de détails au musée d’Orléans

La collection printemps-été des Amis des musées a été dévoilée. Elle fait la part belle aux fleurs et aux bouquets bigarrés. Sous les projecteurs lors du récent Salon des antiquités, elle peut désormais être admirée à la boutique du musée. Derrière les apparences, il n’est pas ici question de haute couture… mais de peinture. L’association des Amis des musées d’Orléans a eu une idée originale afin de renouveler son stock de cartes postales. Sélectionner des détails issus d’une vingtaine de tableaux appartenant au Musée des beaux arts datant des XVIIe et XVIIIe siècles, les faire imprimer et les rassembler dans un coffret. «L’idée était de proposer une manière ludique de visiter. De donner un but à la découverte des œuvres», explique Monique Musson, vice présidente de l’association. À partir de la carte postale, le visiteur cherche à identifier le tableau d’où ce détail est tiré. Et se prend vite au jeu !
RC, Orleans, 30/03, p.8

(Saint Marcel) Les collégiens chez les Gallo-Romains

Les élèves du collège et du lycée Rollinat d’Argentonsur-Creuse ont bénéficié d’une animation culturelle financée par l’Association de sauvegarde du site archéologique et amis du musée d’Argentomagus (Assaam). Cette sortie, qui regroupait les latinistes de 4e, 3e et seconde, ainsi que vingt-six collégiens de Montrésor (Indre-et-Loire), était organisée par le service éducatif d’établissement, géré depuis peu par Marie Bouroullec, professeur de latin et français au collège et au lycée Rollinat.
Nr, Indre, 30/03, p.9

(Saché) Des visites pour tous au musée Balzac

Depuis quelques années, le conseil général d’Indre-et-Loire s’investit pour rendre ses monuments accessibles aux publics en situation de handicap, qu’il soit physique ou mental. Au musée Balzac, un cycle de visites et d’ateliers a été proposé à un petit groupe de sept personnes, en partenariat avec l’association Loisirs Culture Vacances (LCV), qui propose des sorties et des loisirs pour des personnes en situation de handicap mental. En 2013, une première visite leur a permis de se familiariser avec les lieux, de découvrir le musée et l’univers de Balzac par étapes. En janvier et février dernier, le groupe a cette fois mené une visite sensorielle évoquant Balzac, sa vie, sa résidence à Saché, évoquée par les cinq sens.
Nr, Indre et LoireW, 29/03, p.24

(Loches) Les costumes d’artistes entrent à la cité royale

Ils ont été portés par Isabelle Adjani, Daniel Auteuil, Ingrid Bergman ou encore Lambert Wilson. Cent six costumes de cinéma, mais aussi d’opéra et de théâtre, faisant écho à l’histoire de France et même de la Touraine, seront présentés dès le 5 avril dans le donjon et le logis royal. «Cinéma ou théâtre, ce sont deux façons de procéder différentes pour faire un costume. Au cinéma, le costume va être vu de près : il faut donc qu’il soit “ léché ” par la costumière. Au théâtre ou à l’opéra, on le voit au minimum à cinq mètres de distance. Le costume ne sera pas moins bien conçu, mais réalisé dans une autre optique.» Karine Fresneau sait de quoi elle parle : elle est costumière, plus précisément chef adjointe de l’atelier costumes d’Angers Nantes Opéra. Pour l’exposition de Loches, elle a travaillé à redonner vie aux costumes et à les disposer sur les mannequins de manière évocatrice.
+ ••• Une centaine de costumes exposés
Nr, Indre et Loire, 30/03, p.11

(Mer) Les petits en visite au musée

Depuis le 11 mars dernier et jusqu’au 6 avril prochain, le musée de Mer accueille une exposition réalisée par le conseil général du Val-de-Marne (94) à partir de l’oeuvre de Malika Doray. Cette réalisation est évidemment destinée au monde de la toute petite enfance. Plusieurs ateliers attendent les enfants qui sous la conduite de Cécile Gauthier peuvent tour à tour découvrir la «forêt» grâce à des illustrations surdimensionnées, mais aussi dessiner ou placer des petits sujets aimantés sur des plans sérigraphiés. Ils peuvent aussi, casque sur les oreilles, écouter l’histoire «joyeuse et légère de Quand ils ont su», annonçant la venue d’un nouveau-né.
Nr, Loir et CherS 29/03, p.18

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Carrière

À Noyers sur Cher (Loir et Cher), la carrière du Busa est en sursis. Son sous sol recèle d’un patrimoine riche en pierres taillées. À moins de fouilles archéologiques dans les règles, la production de sable devrait s’interrompre d’ici 2018. Reste à savoir qui payera les 4 millions d’euros nécessaires à la mise aux normes. Une vingtaine d’emplois sont dans la balance. (intégral)
RC, Orleans, 17/03

(Orleans) Les visages de la ville au fil des siècles

Les amphores, céramiques, ex voto et autres ont quitté leurs sombres réserves pour la lumière des néons du musée des Beaux Arts. Depuis mardi, les sous sols de l’édifice grouillent. Techniciens, électriciens, scénographe, archéologues et commissaires d’exposition… Tous s’activent pour mettre en place l’exposition événement «Regards sur Orléans, archéologie et histoire de la ville», fruit d’une collaboration entre l’Institut national de recherches archéologiques préventives, le service archéologique de la mairie d’Orléans et la direction régionale des affaires culturelles. Plus d’un an de travail aura été nécessaire pour l’élaboration de cette exposition inédite «puisqu’aucune présentation des fouilles archéologiques menées sur la ville d’Orléans n’avait eu lieu depuis 25 ans», évalue Laurent Bourgeau, conservateur régional de l’archéologie au sein de la DRAC.
+ Le parcours de visite de l’exposition
+ Des périodes de l’histoire de la ville qui restent teintées de mystère
RC, Orleans, 29/03, p.9

(Sceaux en Gâtinais ) Aquae Segetae, une ville gallo-romaine

Après la saison hivernale, le site galloromain de Sceaux en Gâtinais rouvre ses portes aujourd’hui. Une curiosité locale à découvrir avec le retour du beau temps. Les visites guidées se dérouleront chaque dimanche jusqu’au mois d’octobre. À deux kilomètres du bourg, on découvre les vestiges d’Aquae Segetae, qui a connu son plein essor entre les Ier et IVe siècle de notre ère. Lieu de pèlerinage sur la voie de Sens à Orléans, elle s’étendait sur 25 hectares. Le site est classé monument historique en 1985. C’est l’association Segeta qui le gère et qui en assure les visites. Seul le lieu de culte est encore visible, autour d’une source. Le guide fait vivre pour le public cet endroit où souffle encore la magie des religions oubliées.
RC, Orleans, 30/03, p.16

(Chartres) « J’ai eu un genre de coup de foudre »

Parmi les archéologues, «le céramologue est très important parce qu’il est le principal vecteur de datation», explique Pauline Denat, capable à l’oeil nu, de dater avec parfois une précision à l’année, des pièces de terre cuite produite il y a des siècles. La jeune femme, titulaire d’un bac+ 5 en histoire et archéologie, a découvert la spécialité de céramologie au cours de ses études. Elle a choisi de développer ses connaissances sur l’époque antique par goût. «J’ai eu un genre de coup de foudre, ou de coup de cœur. J’ai su que c’était ce que je voulais faire.»
L'Echo, 29/03, p.11

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(La Châtre) Les Amis du Vieux La Châtre se tournent vers les jeunes

Les Amis du Vieux La Châtre ont tenu leur assemblée générale, samedi. Avant de rappeler les nombreuses activités organisées par l’association, Geneviève Bor, présidente, a apporté quelques précisions concernant le devenir la « maison rouge », dont la construction remonterait à 1510 : « La Ville en a acheté une partie. Il y a beaucoup de travaux à effectuer. Le bâtiment est protégé, la procédure sera donc longue et complexe. Nous sommes informés régulièrement de l’avancement du projet par la municipalité. » L’association n’oublie pas les jeunes. Dans le cadre du partenariat avec le collège George-Sand, un nouveau rallye pédestre sera organisé en juin, pour faire découvrir la ville et ses fonds patrimoniaux aux élèves.
Nr, Indre, 24/03, p.42

(Amboise) Notre-Dame-du-Bout-des-Ponts : la façade nord est terminée

 Quand on voit tout ça, on est satisfait du résultat ! Les maçons de la Ville ont passé une bonne partie de l’hiver sur les échafaudages dressés sur la façade nord de Notre-Dame-du-Bout-des-Ponts. Léchée par le flux incessant des véhicules – dont des poids lourds – qui filent vers  Blois, exposée aux vents et à la pluie, c’était bien la façade la plus abîmée de cet emblématique bâtiment d’Amboise, édifié sous François Ier. «C’est très important de restaurer cette église, qui n’était sûrement qu’une chapelle d’un bâtiment plus important, dont on cherche encore le plan initial. L’association  Ambacia y travaille », se félicite Monique Butstraen, riveraine et ancienne élue, croisée aux abords du chantier. «30 % des vieilles pierres ont été conservées», souligne Daniel Duran, le conseiller municipal délégué aux bâtiments. Car l’objectif de ce chantier conséquent, réalisé sous le strict contrôle des architectes des Bâtiments de France, est bien sûr de restaurer l’église en conservant son cachet historique.
Nr, Indre et Loire, 24/03, p.45

(Artenay) Le moulin retrouve ses quatre ailes

Le moulin de pierre va retrouver ses quatre ailes. La rupture d’une vergue, il y a quelques mois, avait quelque peu interrompu les visites et gâché le côté esthétique du vieux monument. L’entreprise Girard travaille actuellement à sa réparation. Le moulin devrait redémarrer son activité courant de la semaine. Le moulin est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Sa visite est assurée par Les Amis du moulin de pierre, une association de bénévoles, chaque troisième dimanche du mois, d’avril à septembre, et toute l’année sur réservation (visites guidées et groupes).
RC, Beauce, 25/03

(Chateauneuf sur Cher) Les Amis de la basilique font le point

Les Amis de la basilique de Notre Dame des Enfants ont récemment tenu leur assemblée générale annuelle à la maison des associations en présence de William Pelletier, maire, et de Jean Tenin, architecte, devant vingt cinq personnes environ. Jean Tenin a présenté des travaux en projet : la réfection des verrières, zone sud, et l’installation des protections dont le dossier a débuté en 2011, pour un total de 65.125 euros HT. Ce dossier attend une décision de la Drac concernant des aides financières (conseil général, Fondation du patrimoine, Amis de la basilique). Le reste sera à la charge de la commune. William Pelletier a annoncé que la communauté de commune ABC avait voté une subvention de 800 euros.
Le Berry, 25/03, p.30

(Chartres) La réhabilitation de la maison continue

La maison du jardin d’horticulture, située avenue d’Aligre, a souffert du poids des années et va être réhabilitée par la Ville de Chartres pendant cinq mois. Le coût des travaux s’élève à 270.000 €, inscrits aux budgets 2013 et 2014. Une palissade de chantier est installée depuis un mois sur près de 100 m2 pour procéder aux travaux de couverture réalisés par l’entreprise Lefevre d’Alençon (Orne). La circulation est restreinte sur l’avenue d’Aligre et le stationnement interdit jusqu’au mercredi 30 avril. Des travaux de maçonnerie ravalement, menuiserie bois, cloisonnement faux plafond, électricité chauffage, plomberie, peinture revêtement de sol, clôture serrurerie sont également prévus. (intégral)
L'Echo, 25/03

(La Châtre) Les terrasses de Chambord en passe d’être validées

Entre le Domaine national de Chambord et la commune éponyme, administrée par André Joly réélu dimanche, les relations sont loin d’être idylliques. D’un côté, l’Établissement public national à caractère industriel et commercial (Epic) voudrait avoir les mains libres pour développer le domaine ; de l’autre, la commune n’entend pas être dépouillée de ses prérogatives. Fatalement, cela finit souvent devant les tribunaux. Cela a encore été le cas, hier, à Paris, devant les juges du Conseil d’État. Objet du litige du jour : les permis d’exploiter des terrasses place Saint-Louis, accordés en mai 2011 par le maire à trois établissements. Cette décision avait été attaquée par le Domaine national, qui avait obtenu du tribunal administratif d’Orléans l’annulation, en mars 2012, de l’arrêté municipal. Dernier acte hier, devant la plus haute juridiction administrative française, qui a pu examiner le dossier à la lumière de l’analyse délivrée par le rapporteur public Benoît Bohnert. Personne ne pourra reprocher au magistrat d’avoir négligé son sujet.
Nr, Loir et Cher, 25/03, p.6

(Bazoches les Gallerandes) La gare de Bazoches déplacée

L’ancienne gare de Bazoches les Gallerandes, près d’Outarville, va être déconstruite et déplacée à partir de cet après midi. Le bâtiment, construit à la fin du XIXe siècle, sur le tracé de la ligne de chemin de fer Pithiviers-Toury, sera transporté à quelques kilomètres de là, à Izy. À sa place, le Département a prévu la construction du futur collège. (intégral)
RC, Orleans, 17/03

(Bourges) Saint-Étienne fait des heureux

L’Association des amis de la cathédrale de Bourges a réuni ses adhérents, de plus en plus nombreux, samedi dernier, pour son assemblée générale. Une cinquantaine de personnes a pris place dans l’amphithéâtre de la chambre de métiers. «J’ai bien failli ne pas venir, a annoncé en préambule Bernard Brossard, président. Car ce matin, en ouvrant mes volets, la cathédrale avait disparu !» Heureusement, elle est réapparue après la brume matinale. Avec trois cent six adhérents, Bernard Brossard affichait un grand sourire. L’association, qui a pour mission de favoriser la restauration de la cathédrale, sa promotion et son rayonnement auprès du plus grand nombre, organise des expositions, des conférences, des visites de l’édifice…
Le Berry, 17/03, p.10

(Châteauroux) Un joyau urbain retrouve son éclat

La façade, réunion de deux bâtiments appartenant aujourd’hui à France Bleu Berry, est indéniablement l’une des plus belles et détaillées de Châteauroux. «Le bâtiment apparaît sur des cartes postales du XIXe. Il s’agissait alors d’une boutique de lingerie féminine», explique Roger Broca, directeur de la radio. Mais la façade commençait à perdre de sa superbe, certains morceaux commençaient à tomber. Pendant quatre mois, elle a été minutieusement nettoyée. «Nous avons procédé à un ravalement complet, indique Olivier Jabneau, conducteur de travaux dans l’entreprise Martin, basée à Luçay-le-Mâle. Sur
la partie haute, pour tout le premier étage, nous avons effectué un ravalement manuel. Toutes les pierres de l’angle extérieur ont été changées, à l’identique.»
Nr, Indre, 17/03, p.6

(Loches) Résurrection d’un chef-d’oeuvre du XIXe

C’est le travail d’un « Indien ». Par ce mot, on nomme les Compagnons du Devoir de liberté. Créé dans la seconde moitié du XIXe siècle, un chef-d’oeuvre de compagnonnage a fait son retour vendredi à Loches. Pascal Dubrisay, qui laissera sa charge d’adjoint au patrimoine vendredi, l’a retrouvé il y a dix ans dans les réserves du musée du Terroir (musée qui n'existe plus aujourd'hui). Depuis, il l’avait confié aux bons soins de cinq Compagnons charpentiers des Devoirs et des Compagnons menuisiers du Devoir de liberté qui l’ont restauré gratuitement. Dès les beaux jours, les Lochois pourront venir contempler à la Chancellerie.
NR 37 Touraine Est, 27/03/2014, p. 16

(Chambord) Chambord : la reprise de l’hôtel se fait attendre

Le Domaine national de Chambord estime avoir « franchi une étape majeure dans son développement en trouvant un accord avec l’ensemble des commerçants qui exploitent sur le site », au sortir du dernier conseil d’administration tenu à Paris mercredi. Pourtant, à y regarder de plus près, la situation est plus nuancée. Si tous les commerces ont signé leur “ reddition ”, soit en partant et en acceptant une indemnité, soit en passant en régime de concession, le cas emblématique de l’hôtel Saint-Michel n’est toujours pas réglé. « Nous avons donné notre accord de principe et accepté l’indemnisation de 3 millions d’euros, mais je n’ai toujours aucun protocole de signé entre les mains ! explique Anne-Laure Fisthal, actuelle gérante de l'hôtel. Rien n’est fait, il y a encore des visites prévues pour de futurs repreneurs en avril. Alors dire qu’ils débuteront au 1er juillet, je n’y crois pas trop… »
NR 41, 28/03/2014, p. 6

Le 900e anniversaire de l’abbaye de Thiron à Paris

Le IVe arrondissement de Paris va vivre à l’heure percheronne, samedi 5 et dimanche 6 avril. Dans le cadre des festivités liées au 900e anniversaire de la fondation de l’ordre de Tiron, une plaque commémorative sera inaugurée dans la rue du même nom samedi matin. Maire de Thiron Gardais et président de l’association de l’ordre de Tiron, Victor Provôt sera du voyage, tout comme Stéphane Bern ou encore son altesse royale le Prince Jean de France. Albéric de Montgolfier, le président du Conseil général, est attendu à cette cérémonie tout comme est annoncée la venue d’Aurélie Filippetti, ministre de la Culture. Un colloque sur l’ordre de Tiron est également programmé samedi après midi à l’Hôtel de Beauvais (pour les réservations au Tél. 02.37.49.42.50). Dimanche, un marché du Perche se tiendra place Baudoyer, de 10 à 18 heures, sur le parvis de la mairie du IVe arrondissement. (intégral)
L'Echo, 29/03

(Chartres) L’histoire de la photo entre les mains

La plus ancienne photo du fonds donné par la famille Laillet aux Archives départementales d’Eure et Loir n’est pas signée de Robert, et pour cause, il n’était pas né. «C’est un daguerréotype de 1844», indique Valérie Devémy, responsable du service éducatif au sein de l’établissement départemental. Plutôt fière d’abriter un exemplaire de ce procédé primitif de la photo, inventé par le Français Louis Daguerre, l’institution conserve 7.000 pièces du fonds Robert Laillet, donné en 2008, sur l’initiative d’un de ses petits fils, François Laillet. «Quand j’ai donné la collection, j’ai aussi donné les droits», précise t il. «Dans le fonds Laillet, il y a 4.000 plaques de verre, que nous conservons dans du papier, pour absorber l’humidité, mais aussi des négatifs, et des cartes postales», raconte l’archiviste.
L'Echo, 30/03, p.21

(Azay le Ferron) Le château d’Azay ouvre ses portes

 Le château d’Azay-le-Ferron ouvre ses portes, dimanche 30 mars, avec quatre séries de visites : La Vie de Château, avec la présentation de photographies (début XXe siècle) ; Trésors cachés, avec la visite nocturne des pièces du château ; Dans Les Pas d’un jardinier, avec la visite animée des jardins ; Dans les pas d’un domestique : un guide, habillé début XXe, propose une visite insolite du château. A toutes ces sorties s’ajoutent des festivités estivales : Escapade printanière ; Rendez-vous au jardin ; Atelier de jardinage et marchés de producteurs et artisans. (intégral)
NR, Indre, 29/03

(Montipouret) Municipalisation du moulin d’Angibault

Le conseil municipal décide de créer une régie de recettes destinée à l’encaissement des recettes liées aux visites du moulin. Afin de permettre sa valorisation, la participation du moulin aux opérations A la découverte du Patrimoine Départemental et Visa 36, l’Indre de site en site, en partenariat avec le conseil général, est acceptée. (intégral)
NR, Indre, 29/03

(Celon) La châtelaine tombée du ciel

Elle préfère les deux tours en poivrière du château de Celon à des centaines de tours de contrôle. Pilote de ligne depuis près de vingt ans, Sylvie Guez n’a pas été aiguillée vers le site indrien par hasard : «Je cherchais un endroit où me ressourcer. Comme j’ai de la famille dans la région d’Issoudun, la mise en vente de ce château a attiré mon attention. Au départ, j’étais plutôt partie sur une fermette à restaurer, mais quand j’ai visité ce bâtiment du XVe, remanié aux XVIIIe e t XIXe siècles, il m’a plu immédiatement.» En janvier 1998, elle est donc devenue propriétaire de ce domaine, complété par un parc de 23,5 ha, mais il a fallu se retrousser les manches avant d’aménager.
NR, Indre, 30/03, p.9

(Luynes) e château rouvre ses portes

La forteresse quadrangulaire luynoise ouvre ses portes ce samedi. Ce château datant du XIIe siècle, modifié aux XVe et XVIIe siècles, surplombe la vallée de la Loire. Depuis 1619, il est la propriété de la famille de Luynes. Depuis 1996, les propriétaires permettent les visites du parc, de la chapelle gothique, de la cour et du château entièrement meublé. Une équipe dynamique apprête le site de 30 ha tout au long de l'année, afin d’accueillir les visiteurs durant la saison. Fabrice Aubin est responsable des jardins mais aussi de l’aménagement ornemental des parcs extérieurs. Accompagnés de Denis Boursier, jardinier, les deux hommes entretiennent et créent avec beaucoup de professionnalisme.
Nr, Indre et LoireT, 29/03, p.24

(Blois) Marie-Laure Duclo au coeur de la Renaissance

«Je suis entrée aux Amis comme adhérente lambda en 1996, mais allant m’impliquer de plus en plus. Jusqu’à un jour remplacer le président Jahan. D’autant que les candidatures ne se bousculaient pas ! C’est très enrichissant, cela m’a permis de m’ouvrir à de multiples activités dans une ville dont j’ai toujours aimé l’atmosphère.» Voici des conférences, des visites insolites du château et de la ville afin de mieux connaître son sujet, des voyages culturels en région ou à Paris.
+ ••• Les projets culturels affluent
Nr, Loir et Cher, 30/03, p.6

Quand le château de Meslay raconte l’histoire

Sans interruption, de Louis XIII à Bonaparte, pas moins de 30.000 documents imprimés consciencieusement archivés qui racontent l’histoire de France. Retrouvées à l’occasion d’un partage familial dans un des bâtiments du château de Meslay, s’alignent des dizaines de boîtes cartonnées abritant des documents administratifs ayant trait à l’administration du pays. Des papiers qui pouvaient surtout servir comme éléments de travail à un fermier général attentif à la bonne gestion de ses affaires comme l’était la famille des de La Porte de Meslay. Classés de façon chronologique et thématique, ces 30.000 documents sont des actes officiels émanant du roi comme des administrations et juridictions. Un ensemble unique qui, pris dans sa globalité, pourrait séduire des institutionnels. A moins qu’il ne soit finalement vendu à l’unité, lors d'une vente aux enchères insolite ce lundi, pour permettre à toutes les bourses contre un euro, de disposer d’un petit morceau d’histoire.
Nr, Loir et Cher, 30/03, p.8

(Montireau) Françoise Renaudot au chevet de l’église

Une page se tourne au comité de sauvegarde de l’église Saint Barthélémy de Montireau. Roger Andro, maire honoraire et président de l’association depuis 36 ans, a décidé de passer la main à l’issue de l’assemblée générale qui se déroulait à la mairie. Françoise Renaudot, l’ex et active secrétaire de l’association, a été élue présidente. Françoise Renaudot a indiqué qu’en 2013, l’association a versé 5.980 euros à la mairie pour financer les travaux de charpente de l’église. «Toutes les statues ont été inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques et le Christ a été restauré sur place par une restauratrice de Thiron Gardais. Il n’y a plus d’échafaudage depuis décembre dans l’église, nous allons pouvoir y organiser des manifestations cette année». Une cérémonie est d’ores et déjà prévue le 28 juin à l’occasion du retour de la statuette de la Vierge à l’enfant, datant du XVIe siècle.
L'Echo, 31/03, p.30

(Truyes) Le retour de la mystérieuse bannière

Mercredi, Michel Che- zeaux, impliqué dans la paroisse et la tenue de l’église Saint-Martin de Truyes, est venu, avec Jean-Claude Landré, maire jusqu’à vendredi soir avant la mise en place du nouveau conseil municipal, pour décider de l’installation dans la nef d’une bannière dédiée à saint Martin, disparue puis revenue par hasard dans la commune. C’est Michel Chezeaux qui a découvert, sur un site de vente de particuliers, qu’une bannière «Saint-Martin-de-Truyes» (sic) était à vendre pour 150 € par quelqu’un de Vannes (Morbihan). Intrigué par l’intitulé, il a eu, en tout cas, la certitude que l’objet venait bien de la commune qui n’a pas d’homonyme. Aucune recherche n’a permis à ce jour d’en savoir davantage sur le pourquoi de sa disparition de l’église du village. «C’était, en tout cas, il y a longtemps, car aucun ancien n’a de souvenir à ce sujet», précise l’intéressé. Toujours est-il que l’idée de l’acquérir est venue. La municipalité a ainsi voté une subvention de 150 € à la paroisse pour réaliser l’opération. Un agent technique va procéder, ces jours-ci, à l’installation de l’objet lié au culte. (intégral)
Nr, Indre et LoireT, 31/03

Centenaire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Saint Pryvé Saint Mesmin) La mémoire de leur père évoquée par une exposition

À l’occasion du centenaire du début de la Première Guerre mondiale, la Résidence du lac propose, jusqu’à jeudi, une exposition sur le sujet, à laquelle participent certains résidents. Alors que les derniers «poilus» se sont éteints il y a un peu plus de cinq ans, leurs enfants restent une source de témoignages sur cette période de l’Histoire particulièrement marquante pour leurs aînés. L’animatrice de la résidence, Christine Cabezas, indiquait : «Certains de nos résidents ont été impactés par la Grande Guerre car ils avaient un père “poilu” qui, parfois, y a laissé la vie. » Simone Lelait, 93 ans expliquait  : «Mon père a fait Verdun et a eu la Croix de guerre, la médaille de Verdun et la médaille militaire pour ça. Enfin de vie, il revivait Verdun…» Les époux Pillette ont, eux, été rejoints par leur fille afin de rendre hommage à leur aîné «poilu». Soutenue par l’association MVCG (pour military vehicle conservation groupe, en français groupe de conservation de véhicules militaires) Orléanais, l’exposition propose un beau panel d’objets d’époque dont certains apportés par les résidents. (intégral)
RC, Orleans, 17/03

(Vierzon) La Grande Guerre racontée

Des douilles. Un uniforme. Des cartes postales de militaires. Des ordres de mobilisation. Malgré tous ces objets de l’époque, exposés à la salle d’exposition de la médiathèque, jusqu’au 29 mars, difficile de se rendre compte de ce que les habitants du Cher, ont vécu, pendant la Première Guerre mondiale, sur le front ou à l’arrière. «Retracer l’effort de guerre pour le centenaire», c’est pourtant bien ce que souhaitent tous les acteurs qui ont participé à la mise en place de l’exposition, rassemblés samedi, pour l’inauguration.
Le Berry, 17/03, p.21

(Chateaudun) La Grande Guerre en son et images

Municipalité, associations d’anciens combattants, lycées et collèges, association philatélique, aumônerie, Conseil des jeunes, pompiers… Ils se sont tous mobilisés pour participer au centenaire de la Première Guerre mondiale à Châteaudun. Un centenaire qui se déclinera à partir de l’été, et jusqu’au 11 novembre 2018. Pendant ces quatre années, les Dunois vivront au rythme de la Grande Guerre à travers différentes manifestations. «Il fallait trouver un axe pour commencer ce travail de mémoire et lancer une dynamique», explique Alain Rambert, directeur de la culture, des grands événements et des écoles d’art. «L’objectif est aussi de montrer comment la guerre a été vécue dans le contexte local.»
L'Echo, 29/03, p.11

Source : lemonde.fr

La gestion des arènes de Bayonne en question

«Bayonne, Bayonne, ville parfaite, fluviale, aérée d'entours sonores…» : comme dans les chansons des fêtes, Roland Barthes répète le nom de Bayonne. La ville se dédouble à l'infini. Rive droite, rive gauche. Petit Bayonne, grand Bayonne. Rugby professionnel (l'Aviron Bayonnais), rugby militant (l'ASB). Aviron et nautique. Même les fêtes sont plusieurs. Ici, on ne dit ni «feria» ni «la fête», on fait les fêtes.
Au volet culturel des listes en présence, les gros dossiers font l'objet d'un consensus à nuances : le statut de «scène nationale», le rôle du Musée Basque et de l'Histoire de Bayonne. Fermé depuis 2011, le Musée Bonnat doit subir des travaux à hauteur de 20 millions d'euros. Ce qui rend assez prudents tous les candidats.
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Source : liberation.fr

Filippetti veut faire de 2014 l'année des bibliothèques

La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a annoncé lundi des initiatives pour encourager la lecture, en recul depuis trois ans, et renforcer le rôle des bibliothèques, au cœur de la polémique sur la littérature jeunesse et sur les horaires d’ouverture. «Il est essentiel de continuer à promouvoir la lecture, notamment vis-à-vis de la jeunesse», a souligné la ministre lors d’une intervention devant les professionnels au Salon du livre de Paris. «2014 sera l’année des bibliothèques».
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Source : latribunedelart.com

La Poste du Louvre ne sera pas classée, mais elle sera cassée

Décidément, le Ministère de la culture fait preuve d’une incurie incurable à l’égard du patrimoine. Nouvelle victime de son apathie : la poste du Louvre dont Vincent Berjot, directeur des patrimoines, au nom d’Aurélie Filippetti, a récemment refusé l’instance de classement.
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Source : latribunedelart.com

Émissions

La Semaine de l’Art n° 11 - 26/3/2014 - Invité : Olivier Meslay
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La Semaine de l’Art n° 10 - 20/3/2014 - Invité : Olivier de Rohan
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Enrichissement des musées

Source : latribunedelart.com

Un dessin de plafond du XVIIe siècle préempté par le Louvre

Semaine du dessin oblige, le département des Arts Graphiques a été très actif cette semaine en vente publique. Et il colle à l’actualité, puisqu’il a préempté mercredi trois études pour des plafonds peints au moment même où il leur consacre une très belle exposition (voir l’article). Les deux premiers, des œuvres de Romanelli acquises à Drouot, ont été traitées avant-hier par une brève. Presque au même moment, chez Christie’s, le Louvre se portait acquéreur d’une belle feuille préparant le compartiment central d’un plafond et représentant L’Apothéose de Romulus.
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Un tableau de Pajou fils acquis par le Louvre

Acquisition - Paris, Musée du Louvre - Une mère s’amuse à surprendre son enfant en lui montrant son reflet dans un miroir que tient une jeune fille, tandis que son beau-père, s’amuse de la scène, que son mari regarde avec affection son père et qu’une autre femme se penche vers l’enfant. Cette scène aussi édifiante que charmante évoque au premier abord Greuze par son sujet, mais aussi Boilly par son style très porcelainé.
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Le Louvre préempte deux dessins de Romanelli

Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - C’est un très bel achat que le Musée du Louvre a pu faire par préemption aujourd’hui à Drouot, pour 60 000 euros (sans les frais), dans la vente d’Auction Art1 : deux dessins de Romanelli, représentant respectivement L’Enlèvement des Sabines et La Continence de Scipion, des études préparatoires pour les fresques du plafond de la salle de Septime Sévère au Louvre.
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Le Musée Rodin acquiert un nouveau dessin

Acquisition - Paris, Musée Rodin - On connaît ses dessins de nus féminins croqués sur le vif, dans une grand liberté d’attitudes, chargés d’érotisme - certaines feuilles ont récemment été retrouvées au Musée Clemenceau - mais c’est une vieille femme courbée par le poids des ans que vient d’acquérir le Musée Rodin auprès de la Galerie de Bayser et que l’on peut actuellement voir au Salon du dessin.
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Source : lemonde.fr

Pendant une semaine, les musées s'exposent sur Twitter

Cette semaine, les musées sont hyperactifs sur Twitter, et le résultat est plutôt réjouissant. Début mars, douze grands musées français avaient annoncé l'opération #MuseumWeek en partenariat avec Twitter, une première programmée du 24 au 30 mars. Soit une semaine pour gagner en visibilité et montrer des facettes méconnues des grandes institutions auprès d'un public jeune et connecté.
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