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 Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeDim 30 Oct - 15:10

Musées région Centre

Source : journaldesarts.fr

Rénovation : Orléans lève son premier voile

ORLÉANS - Jusqu’en 2019, le Musée des beaux-arts d’Orléans connaîtra une refonte complète de son parcours de visite, sans jamais fermer complètement ses portes au public. La première tranche du chantier, qui s’est déroulée au deuxième étage de l’institution, est prometteuse pour la suite. Ouvertes en septembre, les neuf nouvelles salles consacrées à l’art européen du XVIe au XVIIe siècle viennent incontestablement magnifier les collections du musée qui comptent quelques chefs-d’œuvre, tels le Saint Thomas de [...]
Lire la suite : http://www.lejournaldesarts.fr/jda/archives/docs_article/139676/orleans-leve-son-premier-voile.php

Source : Magcentre.fr

Le Musée des Beaux Arts d’Orléans continue de s’enrichir

2600 € (sans les frais), c’est pour cette somme fort modeste, que le Musée des Beaux-Arts d’Orléans s’est enrichi de 81 dessins de Louis-Maurice Boutet de Monvel (cinq lots) et de deux autres feuilles de son fils Bernard Boutet de Monvel (un lot) auprès de la SVV Ferri, dans une vente aux enchères à Drouot le 14 octobre dernier.
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/108405-le-musee-des-beaux-arts-dorleans-continue-de-senrichir/

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Briare) Une exposition d’art statuaire unique !
Le musée des émaux et de la mosaïque de Briare présente, du 20 octobre au 31 décembre, une exposition temporaire « Entre Ciel & Terre : deux siècles de statuaire à Niderviller (1735-1935) ». « Mieux faire connaître le savoir faire de la faïencerie de Niderviller et en assurer la promotion », tel est l’objectif affiché par Jean-Claude Kergoat, président de l’association qui gère le musée. Une faïencerie appartenant au même groupe que les Émaux de Briare. En effet, depuis le XVIIIe siècle, des petites figurines et statuettes en faïence et en porcelaine sont créées dans la manufacture de Niderviller. Certaines d’entre elles sont toujours éditées dans les moules originaux. Sorties pour la première fois des réserves de la manufacture, ces pièces exceptionnelles constituent une exposition unique à Briare. Le vernissage de cette exposition a également permis aux élus présents d’exprimer espoirs, craintes et regrets. Ainsi, Frédéric Gardinier, adjoint à la culture, tout en soulignant, en artiste, l’aspect précieux de toutes ces statues, a lancé : « Espérons que vous n’oublierez jamais Briare ». Pierre-François Bouguet, le maire, lui, aimerait bien « revenir aux 1.000 salariés » que comptait jadis la manufacture. Michel Lechauve, conseiller départemental, ne verrait pas d’un mauvais oeil, la naissance d’un musée de la poterie, mais où ?
RC Loiret, 24/10, p.15

Le fleuron de la collection du musée des Beaux Arts d’Orléans reviendra au mois de mars
Le musée des Beaux Arts a perdu pour quelques mois l’un des fleurons de sa collection. Depuis hier, le Saint Thomas de Vélasquez a quitté les murs, pourtant récemment refaits à neuf, de son deuxième étage. Décroché sous haute surveillance, il quitte la grisaille orléanaise pour le soleil andalou de Séville, le temps d’une exposition d’envergure internationale consacrée à son peintre, du 8 novembre au 28 février 2017. Un événement, tant les oeuvres de l’artiste espagnol se font rares en France. Hormis Orléans, seul le musée de Rouen en possède un exemplaire. Les demandes  de prêt, comme celle de Séville, se font donc nombreuses auprès des heureux propriétaires, et les négociations préparées de longue date. « Ça se passe d’abord de manière informelle, avec des échanges de courriel entre les conservateurs », explique Olivia Voisin, directrice des musées d’Orléans. « Puis la demande de prêt passe en commission. En général, c’est deux ans avant. Pour Saint Thomas, tout s’est fait en un an. » Les collections du musée d’Orléans, pour le XVIIe et le XVIIIe siècles, sont en effet « bien connues ; nous sommes donc très sollicités, notamment pour le Vélasquez ».
+ Un voyage à hauts risques
RC Orleans, 25/10, p.7

(châteauroux) Voyage dans le temps et l’espace avec Liszt
Lundi après-midi, le vernissage de l’exposition Liszt, de Paris à Budapest en passant par le Berry, a fait carton plein.«On ne pensait pas avoir autant de monde », révèle, ravi, Nicolas Dufetel, musicologue et commissaire de l’exposition. Parmi la foule, des invités de marque, tel l’ambassadeur hongrois. Il faut dire que l’exposition est exceptionnelle. De mémoire du musicologue, cela fait bien trente ans qu’une exposition consacrée au compositeur hongrois n’avait pas eu lieu en France. « Pour marquer les 15 ans du festival, on voulait faire une exposition. Au musée et centre de recherche Liszt de Budapest, j’avais moi-même, avec la directrice Zsuzsanna Domokos, réalisé une exposition autour de Paris et Budapest. On s’était dit qu’on en ferait une version à Châteauroux, en associant le Berry. » Certains objets proviennent de cette précédente exposition. D’autres de musées français et de collections privées. « Certains sont inédits. » Comme cette caricature dessinée par George Sand, représentant Liszt et Marie d’Agoult, sa maîtresse.
NR Indre, 26/10, p.9

Nouveau mystère au Musée des Beaux Arts d’Orléans
Pour plagier le slogan célèbre d’un grand magasin parisien d’il y a quelques années, on pourrait dire: “tous les jours, il se passe quelque chose au musée” ! C’est d’abord le départ pour Séville du “Saint Thomas” de Diego Velasquez, prêt pour une exposition de plusieurs mois, qui a conduit Olivia Voisin, directrice des musées, à chercher dans les réserves du musée un tableau qui puisse respecter la cohérence du cheminement dans les salles XVIIe fraichement rénovées. Son choix s’est porté sur une œuvre, restaurée par l’ancien conservateur Eric Moinet, mais jamais présentée au public, un portrait anonyme du pape Grégoire le Grand ou de Saint Pierre, d’une facture très soignée tant dans les détails que dans ces saynètes  incluses dans la broderie. Si beaucoup d’experts attribuent ce tableau daté des années 1620-1630, au peintre italien Carlo Saraceni, influencé par Caravage, ou un de ces élèves, d’autres y voient plutôt une influence flamande ou germanique. Mais cette semaine est aussi marquée par l’arrivée discrète du portrait de Thomas-Aignan Desfriches, acquisition récente du musée, dont on peut, dès à présent, admirer l’exceptionnelle fraicheur et le talent du pastelliste Jean Baptiste Perronneau, portrait encadré par ceux de Madame Desfriches et de leur fille Perpétue-Félicité, en dépôt au musée.
Mag'Centre, 26/10

(Bourges) Derrière la façade à colombages, l’une des plus anciennes échoppes de la rue Bourbonnoux
Elle fait partie des plus anciennes échoppes enchâssées dans les façades à colombages de la rue Bourbonnoux. Derrière la porte du numéro 43, les souvenirs semblent murés dans le torchis. Intacts. Accroché à l’entrée, le vieux téléphone noir à cadran rotatif sonne encore. La ligne n’a pas été coupée, une façon de garder le fil avec un passé familier. C’est le souhait le plus cher de la belle fille et des deux petites filles de René Delhomme, qui occupa le lieu de 1938 au début des années quatrevingtdix. Ce passionné de radio  réparait les postes à lampe et fabriquait lui même ses bobines. Depuis, trente ans ont passé, et en 1995, René Delhomme a pour toujours coupé le poste. Pour la postérité et la mémoire d’un homme discret et généreux, précurseur et patriarche, l’idée serait de créer un musée. « Il y a un patrimoine à transmettre et toute une époque à faire revivre. »
Le Berry, 27/10, p.10

(Argenton sur Creuse) L’Art textile contemporain à l’honneur
L’exposition d’art textile contemporain Artextures, est à découvrir au Musée de la chemiserie et de l’élégance masculine, jusqu’au 11 décembre. Cette exposition est la huitième initiée par l’association France patchwork, dont le siège est à Paris. Trente-quatre artistes français et étrangers présentent une ou plusieurs oeuvres créées pour un concours qui renforce au fil des ans son ancrage international. Des artistes de renom exposent au côté de ceux de demain, démontrant une fois encore que l’art du fil est en pleine évolution. L’absence de thème permet à chaque plasticien de poursuivre sans contrainte son travail dans un domaine qui lui est propre, articulé autour de la fibre.
NR Indre, 28/10, p.16

(Chinon) Un artiste inédit rejoint les collections du Carroi-musée
Grâce au don de Mme Saule, originaire d’Allemagne, les collections du Carroi-musée s’enrichissent d’une nouvelle oeuvre venue compléter l’exposition « Impressions chinonaises », visible jusqu’au 13 novembre. Il s’agit d’une vue de Chinon peinte en 1890 par l’artiste d’origine champenoise Léonce Vaÿsse, qui semble avoir séjourné à plusieurs reprises à Chinon, où il produisit d’autres oeuvres. Peintre paysagiste dans la mouvance de l’école de Barbizon, il donne une vision sensible de la forteresse vue depuis la friche arborée aujourd’hui devenue la promenade des docteurs Mattraits. (intégral)
NR Indre et LoireW, 28/10

(Malesherbes) Le site dédié à l’histoire de l’imprimerie devrait ouvrir à la fin de l’été 2017
Le fameux musée dédié à l’histoire de l’imprimerie, dont on parle depuis de longues années, devrait ouvrir à la fin de l’été 2017 à Malesherbes. Ce sera l’aboutissement d’un long cheminement. « Cela fait plus de quinze ans que l’on est sur le sujet, concède le patron d’imprimerie Jean-Paul Maury. Les auteurs, ce sont les gens d’Artegraf (association Arts et techniques graphiques en France). Il y avait une collection de machines historiques à reprendre après le décès de leur propriétaire. Ils ne voulaient pas qu’elle parte au Japon ou aux États Unis. Avec Chantal (son épouse), nous nous sommes débrouillés pour l’acheter et nous l’avons donnée à Artegraf. On a ensuite cafouillé durant une dizaine d’années ! » Le « cafouillage » est donc fini. L’« atelier musée de l’imprimerie » va ouvrir ses portes au public l’année prochaine. La signalétique est déjà en place à l’extérieur du vaste bâtiment situé avenue du Général Patton. En revanche, si des dizaines de machines sont déjà sur site, aucun élément muséographique n’est encore présent à l’intérieur du bâtiment. « Nous lancerons la fabrication d’ici la fin de l’année », annonce Jean-Marc Providence, conservateur. À Malesherbes, l’atelier musée « ne racontera pas une seule histoire, mais une histoire plurielle avec un travail particulier sur chacune des grandes époques, depuis Gutenberg », avance le conservateur.
RC Loiret, 31/10, p.12

(Descartes) Une application ludique pour le musée
Jacky Frénée, adjoint en charge du budget, a présenté des demandes pour ajouter au budget l’acquisition d’une application ludique au musée. Carole Blanjot, tête de liste de l’opposition déclare être surprise que la commune qui soit obligée de payer un supplément de 1.900 € pour l’acquisition d’une application ludique au musée, qui devrait être prise en charge par la communauté de communes de la Touraine du Sud initiatrice de cette application. Le maire a précisé que le musée n’était pas initialement prévue dans cette application et qu’a la demande justifiée de Sylvie Pouliquen directrice du musée cet ajout était indispensable sachant que la CCTS y participe à hauteur de 70 à 80 %. Toutefois, le maire reconnaît être d’accord sur le fond et aurait souhaité que la commission culturelle prenne la totalité de cette dépense Au final, le conseil a donné son accord avec 20 pour et 5 abstentions. (intégral)
NR Indre et LoireW, 31/10

(Bourges) George Sand naturaliste
Dans la salle d’exposition du muséum se trouvent plusieurs livres gigantesques, des manuscrits originaux, des pages d’herbiers anciens… et deux fauteuils. Est ce une manière de suggérer que la dame de Nohant a passé de longues heures à se documenter ? Sans doute. Car George Sand, on le sait maintenant, s’est intéressé très tôt aux sciences naturelles. On connaît l’écrivaine comme étant la première femme à avoir vécu de sa plume, plus rarement celle qui s’est engagée politiquement, mais pas celle qui a multiplié les contacts, les recherches, les lectures, les visites pour étudier la botanique, la minéralogie, la paléontologie, l’ornithologie, l’entomologie. C’est à cette part de sa personnalité que se sont attachés Michèle Lemaire, directrice du muséum, et Laurent Arthur, son adjoint. Et ils se sont étonnés eux mêmes. « Nous avons mené beaucoup d’enquêtes par les réseaux des muséums, explique Michèle, et découvert des éléments que la littérature ignorait. On s’est rendu compte, en fait, que George Sand s’intéressait à tout, absolument à tout. »
Le Berry, 31/10, p.9


Dernière édition par valerie.maillochon le Jeu 10 Nov - 15:33, édité 14 fois
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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeDim 30 Oct - 15:12

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Amboise) Au coeur d’un site archéologique de premier plan
Le VVF d’Amboise, Les Violettes, a été construit en 1969 sur les hauteurs d’Amboise, tout près du centre-ville, tout près de la Loire et des châteaux, mais aussi… au centre du plateau des Châtelliers, qui est un site archéologique de premier plan : c’est ici qu’a été édifiée, au Ier siècle avant JC, la plus importante agglomération gauloise du territoire des Turons. Des fouilles archéologiques ont été menées par les archéologues du conseil départemental, avant l’extension du VVF. Ces contraintes archéologiques ont dû être gérées par le maître d’ouvrage, qui a revu son projet à la baisse : la construction de douze logements, compris initialement dans le programme d’extension, a été suspendue, de façon à laisser libre tout un espace de la parcelle du VVF très riche en vestiges, a précisé Alain Chillet, président  national de VVF Association. « Vous êtes situés sur le site le plus fourni en vestiges archéologiques », a commenté le maire, Christian Guyon, lors de l’inauguration. (intégral)
NR Indre et Loire, 25/10

(Ferté Saint Aubin) Un Monopoly antique à découvrir
Sur le modèle d’un musée archéologique, Nicolas Gonati, professeur d’art plastique, et Gabrielle Brémond, musicienne, ont procédé au vernissage de leur installation artistique « Archéopoly », samedi. À l’auditorium de la bibliothèque, ils exposent ce qu’ils présentent comme le résultat de fouilles archéologiques, menées sur un prétendu site fertésien. Les deux artistes auraient découvert un jeu de Monopoly qui, après datation au carbone 14, daterait de 3.500 ans avant notre ère. Poursuivant leurs fouilles, ils auraient mis au jour la quasi totalité du plateau de jeu, mais aussi des éléments comme des jetons et des dés. Ces différents éléments auraient été soigneusement collectés, analysés en laboratoire, passés au scanner. Tout cela est prétexte à une exposition pleine d’humour et de poésie, un tantinet surréaliste.
RC Orleans, 27/10, p.17

(Aubigny sur Nère) Des fouilles archéologiques préventives au lieu-dit le Champ-des-Tailles
Dans le cadre de l’extension de la zone d’activités du Guidon (à l’entrée sud de la ville), des terrains du lieu-dit le Champ-des-Tailles doivent être aménagés. Il s’agit d’une surface de plus de 3 hectares, ce qui rend obligatoire le diagnostic d’archéologie préventive. D’autant que le site est situé le long d’une voie supposée antique et non loin d’établissements galloromains connus dans le secteur. L’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) sera alors chargé de déterminer la présence d’éventuels vestiges archéologiques, et de caractériser leur nature, leur étendue et leur état de conservation. Ces fouilles préventives devraient débuter le 28 novembre prochain et durer une vingtaine de jours ouvrés (fin au plus tard le 23 décembre), selon les conditions météorologiques et les contraintes techniques liées à la nature des sols. L’Inrap devra rendre son rapport au préfet de Région au plus tard le 28 février 2017. C’est lui qui décidera, en fonction de ce diagnostic, si des fouilles plus approfondies doivent être entreprises. (intégral)
Le Berry, 28/10


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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeDim 30 Oct - 15:13

Patrimoine région Centre

Source ! magcentre.fr

Chambord : la Fondation du patrimoine y fête ses 20 ans

Jeudi 13 octobre dernier, la délégation Centre-Val de Loire de la Fondation du patrimoine, créé en 1996, fêtait ses 20 ans d’existence dans les communs du château de Chambord. Ce lieu emblématique du patrimoine régional avait été choisi pour sa symbolique de “château rural” et ses restaurations mettant en valeur le savoir-faire des artisans. De plus, un partenariat a été mis en place entre le château et la Fondation pour lancer une souscription pour les travaux suite aux inondations de juin dernier.
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/108172-chambord-la-fondation-du-patrimoine-y-fete-ses-20-ans/

Splendeurs d'automne à Chaumont-sur-Loire
Pour la 8e année consécutive, le Domaine de Chaumont-sur-Loire propose un programme d'exception les 29 et 30 octobre : "Splendeurs d'automne".Durant le week-end du 29 et 30 octobre, pour fêter l'événement, le parc et le Château feront l’objet d’un fleurissement particulièrement riche de chrysanthèmes et de cucurbitacées réalisé pour l’occasion par les jardiniers du Domaine et ouvrira exceptionnellement les petites …
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/83634-splendeurs-dautomne-a-chaumont-sur-loire-ce-week-end/

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Boissy en Drouais) Une première partie de l’église restaurée
L’inauguration de la première tranche des travaux de l’église Notre Dame a eu lieu, vendredi en fin d’après midi, à l’abri des parapluies. Michel-Étienne Augustin, maire et Olivier Marleix député, étaient entourés d’une quarantaine de Buxéeens venus assister à cette cérémonie. Ils ont pu admirer la restauration conduite par Régis Martin, architecte. Cette première tranche concernait la toiture, le clocher, le crépi de la façade, la reprise des sculptures, l’horloge, l’installation d’un nouveau coq et le paratonnerre. Le coût de la restauration dépasse les 300.000 €. Un montant financé par une subvention de 200.000 €, un emprunt de 100 000,00 € sur 20 ans, une dotation du député de 15.00 0 € ainsi que des dons collectés par l’Association Buxéenne Culture et Patrimoine, l’ABCP, que préside Jean-Pierre Mériaux. La seconde tranche d’un coût de plus de 400.000 € est en cours de financement. Le dossier est prêt, les entreprises choisies. Fermée depuis le mois de juillet 2005, l’église Notre Dame pourra à nouveau accueillir les paroissiens à la plus grande satisfaction du père François Yambressinga. (intégral)
L'Echo, 24/10

(Rilly sur Loire) Remise à l’heure de l’horloge de Sainte-Eugénie

Après des heures de rénovation méticuleuse, Alain Delepine, horloger place Richelieu à Amboise, a réinstallé l’horloge estampillée Henry Lepaute dans le clocher de l’église Sainte-Eugénie reconstruite en 1855. C’est en 1887 que la marquise de Chauvelin la fit installer à ses frais et, 129 ans plus tard, la remise en état a été possible grâce à une souscription publique via la Fondation du patrimoine et à une aide du conseil départemental. Pour célébrer l’événement, Maryse Moresve, maire de Rilly-sur-Loire, avait convié le conseil municipal et les habitants à venir partager ce moment magique : la remise en marche et à l’heure du mécanisme de cette vénérable et ingénieuse horloge. Geneviève Repincay, du Département, Pascale Desurmond, déléguée départementale de la Fondation du patrimoine, et Joël Girard, délégué de Pays, étaient présents à côté de l’abbé Paul-Marie Hedon. Il reste encore à réaliser la réfection de l’angle gauche de l’église. Les dons sont les bienvenus en ligne sur : www.fondation-patrimoine.
org/41812 (intégral)
NR Loir et Cher, 24/10

(Tours) Quel avenir pour la maison des Quatre Tilleuls ?
Les passants qui empruntent l’avenue de Pont-Cher, en véhicule individuel ou en tram, ne peuvent manquer cette grande et belle maison bourgeoise émergeant des grands murs qui entourent son jardin. Située juste à côté de la maison de la Gloriette, à hauteur de L’Heure tranquille, elle intrigue, tant sa présence dans le paysage, coincée entre le quartier des Deux-Lions et la vaste plaine inondable de La Gloriette, peut sembler incongrue. Ceux qui la connaissent la nomment « la maison des Quatre Tilleuls », même si, aujourd’hui, on n’en dénombre plus que deux. A l’intérieur, plus personne,  depuis que son dernier occupant, Jean-Claude Cherrier, l’a quittée, il y a quelques années. Le bien, qui appartenait à la Ville de Tours, a été vendu en décembre dernier à Tour(s)plus qui en a fait l’acquisition pour 240.000 €. Reste à savoir ce que fera maintenant la communauté d’agglomération de cette bâtisse située en plein milieu du parc de la Gloriette. Du côté de l’agglo, on explique qu’il est bien trop tôt pour en parler : on indique en substance que ce ne sont pas les projets qui manquent, mais que tout dépendra, in fine, des coûts. Une chose en tout cas est sûre : puisque cette propriété des Quatre Tilleuls est  située en zone inondable, il ne pourra y être envisagé d’extension.
+ ••• Venise à La Gloriette
NR Indre et Loire, 24/10, p.9

(Olivet) La réhabilitation des communs du château de la Mothe avance
C’est un chantier important dont les premiers coups de pioche ont été donnés fin 2015 : la réhabilitation des communs du château de la Mothe. Ces derniers, qui  appartenaient à la ville d’Olivet, ont été rachetés par l’ERTS (école régionale des travailleurs sociaux), il y a quelques années. « Le début des travaux a été impressionnant », rappelle Anne Hostalier, directrice de l’ERTS. Le gros oeuvre, désormais terminé, a consisté en la démolition du haut de la partie centrale du bâtiment. Aujourd’hui, le chantier se poursuit avec l’aménagement intérieur du bâtiment. L’aile centrale a été rehaussée pour s’aligner (presque) avec les deux autres. Le dernier niveau sera aménagé  ultérieurement. Le projet de réhabilitation a été confié à Dominique Guillet, architecte pryvatain : « Cette opération, explique t il, est une réhabilitation lourde d’un bâtiment existant d’environ 1.000 m², où les matériaux existants ont été respectés conformément aux instructions de l’architecte des bâtiments de France car nous sommes en zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager. »
RC Orleans, 25/10, p.15

(Lucé) L’église, dans son écrin, retrouve son lustre
Les travaux à l’église Saint Pantaléon de Lucé se sont terminés par la réfection des abords de l’église qui a été inaugurée le 7 octobre dernier en présence des autorités civiles et ecclésiastiques. On se rappelle les dix verrières de l’église Saint Pantaléon de Lucé qui ont retrouvé leur emplacement respectif et l’enduit intérieur refait tout comme le plafond de l’édifice. Le public est unanime sur la qualité du travail effectué et la nouvelle pelouse donne la note finale. Lors de la cérémonie d’inauguration, le maire a rappelé l’historique de l’édifice, propriété de la commune qui en assure l’entretien. Le 11 avril dernier, le maire de la Ville de Lucé, Emmanuel Lecomte, et la Fondation du patrimoine, représentée par son délégué départemental, Henri Reau, ont lancé officiellement un appel au mécénat populaire pour poursuivre la restauration de l’église. Au compteur de la fondation du patrimoine, à ce jour : 3.167 €.
L'Echo, 25/10, p.9

(Dreux) La passerelle du square de la République est de retour
L’ouvrage en ferraille est calé de part et d’autres des berges de la Blaise. Les ouvriers saluent ce moment, bel épilogue d’une manoeuvre délicate entamée en début de matinée, hier, sous le regard du maire Gérard Hamel (LR) et de quelques curieux heureux de son retour. Sitôt son arrivé, hier matin, par convoi exceptionnel, stationné avenue du Général de Gaulle, la passerelle affiche son lifting plutôt réussi.  Peinture anticorrosion, changement de pièces vermoulues, reprises diverses, lamelles de bois antidérapantes,… : pendant deux mois, les artisans du ferronnier d’art Imhotep, de Pontcharra (Isère), ont été aux petits soins avec cette vieille dame de 172 ans. Les piétons devront s’armer de patience avant de l’utiliser.
L'Echo, 25/10, p.12

(Boigny sur Bionne) Restauration programmée des murs de la sacristie de l’église

Lors de la séance du conseil municipal de la semaine dernière, les élus ont accepté, à l’unanimité, que le maire, Luc Milliat, signe une convention de partenariat avec le lycée Gaudier-Brzeska de Saint-Jean-de-Braye. Cette convention concerne la réalisation de travaux de restauration des murs de la sacristie de l’église Saint Pierre ès Liens de Boigny (où se déroula le mariage de Louis VII dit le jeune avec Constance De Castille en 1154). Un chantier dont le coût s’élève à 1.275,65 euros. Cette somme intègre la main d’oeuvre, mais également les matériaux et la mise à disposition d’un échafaudage. Cette convention prendra fin à la fin du mois de juin 2017, les travaux devant débuter en février prochain. Une première convention avait déjà été signée en avril 2015 pour divers travaux intérieurs et extérieurs. (intégral)
RC Orleans, 26/10

(Saint Amand Montrond) Le Cercle d’histoire et d’archéologie se réorganise après le licenciement de Dominique Lallier

Le sujet a été évoqué vendredi dernier lors du conseil municipal. La suppression du poste de Dominique Lallier, responsable au sein de la forteresse de Montrond, a entraîné une procédure de licenciement à son encontre. Au travers de cette décision, la ville souhaite mettre un terme à la présence physique d’agents municipaux à la forteresse, lieu dont elle est propriétaire. Cette nouvelle ne  remet pas en cause la vocation du Cercle d’histoire et d’archéologie du Saint Amandois (Chasa), où Dominique Lallier exerce des responsabilités, à s’occuper du site. Mais elle aura forcément un impact sur le fonctionnement de l’association et sa manière de mettre en valeur la forteresse. Gil Cazenave, président du Chasa, regrette profondément le choix de la ville, tant sur la forme que sur le fond : « Nous attendons toujours d’être informés officiellement de cette décision. La ville décide de se passer de quelqu’un de qualifié comme l’est Dominique Lallier. Il assurait le montage des dossiers techniques et financiers et la coordination effective sur le terrain ». Le licenciement de Dominique Lallier ne signifie toutefois pas la fin de son activité sur le site ou dans l’association : « Il reste impliqué dans la vie de la forteresse et membre du bureau du Chasa », précise Gil Cazenave. Il continuera également d’assurer les visites pour le public.
+ La municipalité souhaite restaurer la tour de l’horloge
Le Berry, 26/10, p.23

(Lucé) Le point sur la collecte de fonds pour l’église

La commune de Coltainville fait appel à la générosité de tous afin de préserver l’église Saint Lubin. Une collecte de fonds est lancée, depuis septembre dernier, afin de financer les travaux nécessaires à la rénovation de l’édifice. Pour le moment, le montant récolté s’élève à 2.430 €. De plus, la commune a bénéficié de l’aide du Conseil départemental, de Chartres Métropole, ou encore de la Fondation du patrimoine, qu i e st le principal partenaire pour cette opération. Les travaux doivent débuter fin 2016, au plus tard début 2017, et seront séparés en plusieurs étapes, puisque cette église du XIIe siècle a besoin de rénovations à la fois extérieures et intérieures.
L'Echo, 25/10, p.9

(Romorantinais) Les soldats de la mémoire US ne rendent pas les armes
A l’époque, on avait ouvert 48 cafés pour abreuver tous ces messieurs. Huguette Toyer n’était pas encore née et pourtant, cette histoire américaine l’a toujours habitée d’aussi loin qu’elle se souvienne. « 25.000 soldats qui arrivent dans une commune d’à peine 1.000 habitants, ça marque un peu ! », donne un début d’explication pour l’octogénaire dont la grand-mère a tenu l’un de ces bistrots éphémères. « Ce qui m’étonnait le plus, c’est d’entendre parler quasiment tous les jours des Américains », se souvient encore la Giévroise qui épousera plus tard Guy Toyer, historien de la commune et premier président de l’association « Gièvres, souvenir, patrimoine et culture ». Aujourd’hui décédé, Guy Toyer a oeuvré toute sa vie pour que les traces de cette présence américaine massive, entre juillet 1917 et juin 1919, ne tombent pas dans l’oubli. « C’est un travail de recherche permanent », souligne Claude Chavanol, l’actuel président de « Gièvres, souvenir, patrimoine et culture ». Nicolas Xavier, la jeune « garde » de l’association giévroise, veille au grain, lui qui arpente les brocantes de la vallée du Cher à la recherche d’objets US depuis une dizaine d’années déjà. A quelques mois de célébrer le centenaire de l’arrivée des Américains (pendant toute l’année 2017), les trois soldats de la mémoire locale reconnaissent que la crainte de voir certaines fugaces traces effacées définitivement avant d’avoir pu être découvertes se fait plus vive d’année en année.
+ ••• Des trésors qui dorment encore ?
NR Loir et Cher, 26/10, p.16

(Loches) A l’assaut des remparts pour les libérer de la végétation
Il fait un noeud au bout de la corde. Histoire d’éviter les mauvaises surprises si elle s’avérait trop courte. Puis il entreprend de monter à l’assaut de la paroi, sous le Logis royal. La pluie s’est arrêtée, mais elle ne lui facilite pas la tâche : les pierres sont glissantes. Néanmoins ? en  quelques secondes à peine, il parvient en haut de l’impressionnante muraille. Depuis quelques jours, l’entreprise Roc Confortation, de Parçay-Meslay, est à pied d’oeuvre sur les remparts de la rue des Fossés-Saint-Ours. Mais c’est ce lundi que la dévégétalisation a véritablement commencé. Sur ce tronçon d’une cinquantaine de mètres de long, deux cordistes et un manoeuvre ont jusqu’à la fin de la semaine pour se débarrasser de la végétation qui s’est emparée de l’enceinte fortifiée. Ils disposeront ensuite d’une quinzaine de jours pour conforter les murs. Un mois de chantier en tout. « La dévégétalisation va assez vite », assure le patron de l’entreprise Grégoire Pierson. Cela suppose, entre autres, de dévitaliser les grosses souches d’arbre ou d’arbustes qui poussent dans les murailles. Il faut pour cela creuser un trou dans la souche et y verser un produit chimique. Lorsque les remparts seront débarrassés de leur gangue verte, des archéologues viendront, avec une nacelle, pour observer de près les remparts. De quoi sans doute dénicher de nouvelles informations sur leur histoire. L’architecte des Bâtiments de France Adrienne Barthélemy se rendra également sur place dans les prochains jours. Après la dévégétalisation, des zones précises de maçonneries, nécessitant un traitement particulier, seront définies. A partir de là, Roc Confortation refera notamment les joints entre les pierres. Cette partie du travail prendra la moitié du temps total du chantier.
NR Indre et Loire, 26/10, p.24

(Chinon) Objectif classement en 2017 pour les orgues
Dimanche après-midi, près de 150 spectateurs ont assisté au concert proposé par Les Amis des Orgues en Chinonais à l’église Saint-Maurice. La   conclusion d’une saison de trois prestations, qui ont semblé trouver leur public, avec une moyenne comprise entre 150 et 200 auditeurs. D’autant plus satisfaisant pour l’association que l’objectif reste d’attirer un maximum de spectateurs au pied des orgues de Saint-Etienne et Saint-Maurice. « Pour valoriser ce patrimoine », martèle l’association. Côté finances, le bilan reste à peaufiner mais les comptes devraient rester dans le vert cette année. « Nous ne sommes pas déficitaires mais ne faisons pas fortune non plus », précise François Riot, président des Amis des orgues en Chinonais. Le signe d’une formule qui tient la participation libre comme feuille de route. Le moyen, espèrent les bénévoles, de promouvoir ces instruments dont le classement au titre des monuments historiques est à l’étude. Après le passage du technicien-conseil, qui a expertisé les orgues en juin, ne reste « plus » qu’à patienter avant d’obtenir l’avis définitif. Difficile de se prononcer sur un calendrier.
NR Indre et LoireW, 26/10, p.18

Nouveau don aux Amis de La Martinerie
L’exemple chaillacois fait des émules. Soucieux de protéger l’étendard tricolore de la 2.183e section des vétérans des armées de Terre et de Mer 1870-1871 qui sommeillait depuis des décennies dans un local de sa mairie, Gérard Mayaud avait finalement décidé de le remettre aux Amis de La Martinerie. Après restauration, la précieuse oriflamme sera installée dans la magnifique salle des drapeaux de la Maison départementale de la mémoire militaire de La Martinerie. Cet article avait beaucoup intéressé Albert Dureau, lors de sa parution. Et pour cause : l’ancien président du District de l’Indre de football était luimême en possession d’une plaque portant comme mention, “ Les vétérans des armes de terre et de mer 1870-71, 503e section de Buzançais ”. Cette plaque, sans doute sortie des hauts-fourneaux de Saint-Genou ou de Villedieu, se trouvait sur la tombe de son arrière-grand-père, Jules Dureau, qui avait combattu les Prussiens en 1870 et 1871. Né à Argy en 1849, il y était décédé le 10 mars 1910. « Nous avons essayé d’en savoir plus sur cette plaque en nous rendant notamment aux Archives départementales. Mais nos recherches n’ont pas donné grand-chose. » Plutôt que de la voir se détériorer au cimetière d’Argy, les Dureau ont donc, eux aussi, choisi d’offrir la plaque aux Amis de La Martinerie. A qui le tour ?
NR Indre, 27/10

(Déols) Site de l’abbaye : plan cliquable

Dans le cadre du plan de rénovation du site de l’Abbaye, un plan cliquable a été installé mercredi après-midi. De par sa technologie, il est sans doute le premier du département. Il permet, avec une application smartphone, de voir une vidéo un peu condensée de deux minutes : la reconstitution que l’on voit au Musée lapidaire. « Quand le site est ouvert, c’est intéressant. Mais il y a beaucoup de visiteurs qui passent, avec des bouquins, parfois, mais n’ont pas forcément d’explications. On s’est rendu compte qu’une question revenait tout le temps : “ Mais avant, c’était comment ? ” », souligne Marc Fleuret, directeur du cabinet de la mairie. « Tout le travail a été fait en interne. La partie maquette a été réalisée par notre service communication et la structure par le serrurier de la Ville », poursuit Marc Fleuret. Prochaine étape : la mise en place de quinze totems qui jalonneront le parcours du site. (intégral)
NR Indre, 27/10

(Villedieu sur Indre) Travaux de l’église : c’est parti
La restauration de l’église Saint-Sébastien de Villedieu-sur-Indre a été retenue parmi les priorités régionales des actions de l’État en faveur des monuments historiques. Cet accord engage la participation financière de l’État à hauteur de 20 % du coût total du projet de restauration. La première phase des travaux de rénovation vient de débuter. Elle s’élève à 354.707 €, subventionnée à hauteur de 70.941 € par la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), et consiste, dans un premier temps, en la pose d’un échafaudage sur l’ancien clocher. Depuis une semaine, les abords de l’église sont sécurisés afin de permettre à l’entreprise retenue dans le cadre des appels d’offre de pauser les échafaudages. Cette pause va se poursuivre pendant au moins trois semaines. C’est un travail d’équilibriste effectué par les salariés de l’entreprise. Puis, les travaux de maçonnerie – taille de pierre, de pompage des fientes, charpente, couverture – seront effectués sous le contrôle de l’architecte, Marc Cioffi. (intégral)
NR Indre, 27/10

(Amboise) Saint-Florentin doit être aménagé
Les dernières expositions présentées à l’église Saint-Florentin ont rencontré un beau succès. Thierry Boutard estime que cet édifice devrait être aménagé : « Il faudrait désacraliser la nef : les objets religieux seraient tous mis dans le choeur, qui pourrait être isolé par une cloison en verre. On pourrait installer des structures, des cimaises, au centre de la nef, qui serait consacrée aux expositions. » Car présenter les oeuvres sur les murs de l’église, « ça ne tient pas la route », ajoute l’élu. (intégral)
NR Indre et Loire, 27/10

(Saint Hilaire les Andrésis) La restauration de l’église à l’ordre du jour
Après Pers en Gâtinais, Ervauville, Chantecoq, entre autres, c’est Saint Hilaire les Andrésis qui devra se soumettre au denier du culte. Un doux euphémisme pour dire que dans les années à venir et dans une période de restrictions budgétaires, la ville devra investir plusieurs centaines de milliers d’euros dans une restauration de l’église jugée nécessaire par les élus. Pour l’heure, le conseil municipal a voté une somme de 10.000 € pour une mission de diagnostic destinée à définir la nature des travaux à entreprendre et le coût de l’opération. « Dans un premier temps, a indiqué le maire Lionel de Rafelis, nous avions envisagé de ne refaire que les façades et de remplacer le ciment par de la chaux. Or, il faudra sans doute intervenir aussi à l’intérieur de l’édifice pour mettre aux normes l’électricité et le chauffage. » C’est à l’architecte du patrimoine Thierry Guittot, qu’a été confiée la tâche qui s’étalera sur environ deux mois.
RC Loiret, 28/10, p.16

(Saint Satur) L’abbatiale s’est refait une beauté
Commencée en janvier 2016, la deuxième phase des travaux de rénovation de l’abbatiale Saint Pierre de Saint Satur s’est achevée à la fin du mois de septembre. Hier, en fin de matinée, de nombreux élus du département et du Sancerrois ainsi que des membres de l’association les Amis de l’abbatiale, qui participe à la sauvegarde de l’édifice, se sont retrouvés devant la partie sud du monument pour la cérémonie d’inauguration. La toiture et la charpente de cette face ont été entièrement reprises et les murs extérieurs enduits, tout cela en conservant l’état d’esprit du monument. Les Amis de l’abbatiale ont également participé à ces travaux en finançant la rénovation des vitraux du baptistère, de la chapelle Saint Roch et de la chapelle Guinefort. (intégral)
Le Berry, 28/10

Un legs de 25.000 dollars au château de Saint-Denis-sur-Loire
Vingt-cinq mille dollars. C’est la somme que pourraient toucher prochainement les propriétaires du château de Saint-Denis-sur-Loire. Un legs inespéré d’un riche architecte américain qui sera, s’il se concrétise, destinée aux jardins de la propriété. Gordon Schroëder, amoureux du patrimoine français et sans héritier, est décédé en août 2014 à Seattle. A sa mort, une fondation éponyme a été créée aux États-Unis afin de satisfaire ses dernières volontés : distribuer une partie de sa fortune à six édifices de l’Hexagone. L’abbaye de Vaucelles dans le Nord et plusieurs châteaux – Arlempdes en Haute-Loire, Olhain dans le Pas-de-Calais, Sarzay dans l’Indre, Bosmelet en Seine-Maritime et Saint-Denis-sur-Loire – ont été choisis. Avec des dons s’échelonnant entre 25.000 et 100.000 dollars environs. A Saint-Denis-sur-Loire, c’est en mai 2015, que l’ex-secrétaire générale des Vieilles Maisons françaises a annoncé la bonne nouvelle à Brigitte Ayguesparsse et son mari. Quinze ans plus tôt, l’Américain avait visité le château et ses jardins.
NR Loir et Cher, 28/10, p.3

(Talcy) Le lit de Charles IX refait de fond en comble
Le château de Talcy a accueilli de nombreux illustres personnages historiques et, en particulier, Catherine de Médicis et son fils, le jeune roi Charles IX où ils avaient chacun leur chambre. Ils y feront plusieurs séjours, en particulier en 1562, accueillis par un parent de la reine, Jean Salviati ; pendant le conflit entre catholiques et protestants. Et c’est justement dans la chambre de Charles IX que s’affairent des spécialistes de la maison Bobin tradition de Paris. La présidente, Marie-Pascale Guiraud et la restauratrice du patrimoine Marina Galli ont entrepris de démonter les tentures tissées au point de Hongrie pour les emmener dans leurs ateliers de Bonneuil-sur-Marne afin de les restaurer. Sur place elles ont dépoussiéré les tentures restantes avec un aspirateur spécial, nettoyé les bois de lit avec du biocide à l’aide de pinceaux et de seringues.
NR Loir et Cher, 28/10, p.15

(Romorantin) La chaudière de la 230 G 353 se fait la “ belle ” en Italie

On ne charge pas 12,4 tonnes de métal à bord d’un semi-remorque comme ça, sans un minimum de préparation et de matériel adapté. L’Association pour la préservation du patrimoine et des métiers ferroviaires (APPMF) avait donc sollicité une grue de taille considérable mardi dernier, sur le site des Alcools à Gièvres, à l’heure de charger l’imposante chaudière de 12,60 m de long à dos de camion. Construite en 1922, avant de commencer sa carrière dans la région de Vierzon et de finir sa vie au cinéma en se constituant un casting digne des plus grands, en apparaissant notamment dans les films « Le crime de l’Orient-Express », « Vipère au poing » ou encore « César et Rosalie », la locomotive à vapeur 230 G 353 doit aujourd’hui subir d’importantes réparations de remise en état dans une entreprise spécialisée d’Italie. C’est donc chargée dans un semi-remorque, après un contretemps de deux jours, le premier camion n’étant pas suffisamment grand, que la chaudière a pris la route jeudi matin. Une poignée de bénévoles de l’APPMF, dont Lionel Henoch, le président de l’association créée en 2013 pour préserver et entretenir le patrimoine ferroviaire sur son site de Gièvres, étaient présents sur place pour un au revoir temporaire. Et le travail est loin d’être terminé. La chaudière n’est d’ailleurs pas la seule partie de la locomotive qui doit encore s’offrir une seconde jeunesse avant d’être entièrement opérationnelle.
NR Loir et Cher, 28/10, p.18

(Saint-Martin-le-Beau) Vente aux enchères de vins pour reconstruire l’église
Les vignerons de l’AOC montlouis-sur-loire ont souhaité s’associer aux festivités à l’occasion du 1.700e anniversaire de la naissance de saint Martin, en élaborant une cuvée collective. Particulièrement touchée par l’incendie criminel qui a détruit une grande partie de l’église de Saint-Martin-le-Beau en avril 2015, la profession a décidé de reverser l’essentiel de la vente des bouteilles produites au profit de la reconstruction de ce patrimoine architectural. La cuvée, un vin sec du millésime 2015, se compose de 1.700 bouteilles de 50 centilitres numérotées  de 316 à 2015 et d’un balthazar de 12 litres. La vente aura lieu au château de la Bourdaisière, à Montlouis-sur-Loire, les 4 et 5 novembre, sous le parrainage de Frédérick Gersal, Cécilia Dutter et Philippe Grimbert. Cette manifestation se déroulera en deux temps : – Le 4 novembre, à partir de 17 h, vente aux enchères animée par le commissaire-priseur Aymeric Rouillac de 36 lots, parmi lesquels des coffrets dont les numéros des bouteilles ont été choisis par des personnalités de Touraine, des vieux millésimes, un balthazar, un patchwork représentant saint Martin composé de 2.200 hexagones de tissus, ou encore un coffret composé d’une bouteille de la cuvée saint Martin, d’une médaille de saint Martin en or offerte par le joaillier E. Lecerf et d’une bouteille de la cuvée de la médaille offerte par A. Monmousseau (Château Gaudrelle, Vouvray). La totalité de la recette sera reversée pour la reconstruction de l’église de Saint-Martin-le-Beau. – Le 5 novembre, à partir de 15h, vente des bouteilles au prix de 25 € (dont 15 € seront reversés en faveur de la reconstruction de l’église de Saint-Martin-le-Beau) ; animation musicale avec Phil et Laure ; échange culturel avec Cécilia Dutter et Philippe Grimbert ; cocktail dînatoire. (intégral)
NR Indre et Loire, 28/10

(Ferrière-Larçon) La rénovation du clocher est terminée
Le vertige n’était pas de mise lorsque l ’entreprise ETH Bâtiment, de Lunay (Loir-et-Cher) est venue faire la rénovation du clocher de l’église Saint-Mandé-Saint-Jean. Spécialisée dans tous les travaux sur cordes, cette entreprise assure des chantiers qui ne nécessitent jamais l’installation d’échafaudages. Artistes de la grimpe, ces pros de l’escalade sont tous titulaires du diplôme de cordiste pour pouvoir exercer. L’église des IIe et XIIe siècles, classée monument historique, à la particularité d’être pourvue d’un clocher dont la couverture est en pierre. Les cordistes ont enfilé leur poudrier d’escalade. Puis, tout en haut de l’édifice, par une fenêtre située sur le côté droit, ils se sont jetés dans le vide, bien arrimés au poinçon du clocher. Harnachés, suspendus à des cordes et mousquetons, ils ont joué les voltigeurs à une quarantaine de mètres de hauteur grattant la mousse, nettoyant les salissures, pierre par pierre. Ils se sont également consacrés à remplacer les pierres manquantes ou abîmées, à nettoyer les chenaux, puis refaire à la chaux des kilomètres de joints. Un chantier périlleux qui a duré près d’un mois. Le monument étant propriété de la commune, l’opération a nécessité un budget de 32.200 € HT subventionné en grande partie par la Drac et le Fonds départemental de revitalisation rurale. Une deuxième tranche de travaux va suivre avec le remplacement de la couverture en tuile de la nef Saint-Jean, qui nécessitera l’utilisation de matériaux artisanaux de qualification monument historique. (intégral)
NR Indre et Loire, 28/10


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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeDim 30 Oct - 16:12

Paris se dote d’une Cité du théâtre

L’Odéon-Théâtre de l’Europe, la Comédie-Française et le Conservatoire national vont se partager le site de Berthier.
Un grand projet réjouissant va voir le jour à Paris : la Cité du théâtre, boulevard Berthier, dans le 17e arrondissement. Le président de la République, François Hollande, l’a annoncé, lundi 24 octobre, en présence des quatre représentants des institutions concernées : Stéphane Lissner, directeur de l’Opéra national de Paris ; Eric Ruf, administrateur général de la Comédie-Française ; Stéphane Braunschweig, directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe ; et Claire Lasne-Darcueil, directrice du Conservatoire national supérieur d’art dramatique. Les trois derniers se partageront le site de Berthier, qui va considérablement changer d’aspect.
Le Monde, 25/10 http://www.lemonde.fr/scenes/article/2016/10/24/paris-se-dote-d-une-cite-du-theatre_5019290_1654999.html
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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeLun 31 Oct - 21:37

Art contemporain

Source : magcentre.fr

L’art contemporain à Chaumont-sur-Loire : « c’est ma mission »

Chantal Colleu-Dumond, directrice générale du Domaine régional de Chaumont-sur-Loire, préside aux choix des artistes qui exposent dans le cadre des saisons d’art contemporain. Une 8e saison qui s’inscrit véritablement en harmonie avec le patrimoine et le Festival international des Jardins.
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/107563-lart-contemporain-a-chaumont-sur-loire-cest-ma-mission/

Le Transpalette ré-ouvert sur l’art contemporain, à Bourges


Des tags en façade d’un bâtiment pas encore défraîchi et encore moins rafraîchi. Un hangar dont quelques vitres brisées rappelle que le lieu est, à l’origine, aussi une friche industrielle. Un sol entre gravillons, sable et goudron, pas de quoi envisager une visite en talon aiguille. Un visuel général de fête techno plus ou moins clandestine, mais pas de gros son pour rassurer le badaud badin. Tout proche, un immeuble de deux étages, blanc virginal, un bloc vertical de verre en guise de fronton. Le Transpalette a fait peau neuve et le blanc lui va si bien…
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/83634-splendeurs-dautomne-a-chaumont-sur-loire-ce-week-end/

Source : lemonde.fr

Les FRAC, c’est chic

Ils sont vingt-trois et offrent un maillage unique à l’échelle d’un pays dans l’accès à l’art actuel. Ils ont une mission commune — constituer une collection, faire circuler les œuvres et sensibiliser à la création contemporaine —, mais chacun s’est modelé à sa façon en plus de trente ans d’existence, avec ses dominantes et ses singularités
Lire la suite : http://www.lemonde.fr/culture/visuel/2016/10/27/week-end-des-frac_5021540_3246.html#4LEXZ8RV6I2AxGWK.99




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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeLun 31 Oct - 23:29

Source : magcentre.fr

Loir-et-Cher : la Fondation du patrimoine remet ses labels

Pour la 14e année consécutive, la délégation Loir-et-Cher de la Fondation du patrimoine remettait ses labels, lors d’une cérémonie au Conseil départemental, qui soutient depuis longtemps ses actions.
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/109065-loir-et-cher-la-fondation-du-patrimoine-remet-ses-labels/
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MessageSujet: Revue de presse ( 24-30 octobre 2016)   Revue de presse ( 24-30 octobre 2016) Icon_minitimeLun 31 Oct - 23:52

Source : lemonde.fr

Procès Picasso : deux ans de prison avec sursis requis

Pierre Le Guennec avait déjà été condamné avec son épouse, Danielle, en 2015, à deux ans de prison avec sursis pour le recel de 271 œuvres du peintre.
Lire la suite :http://www.lemonde.fr/arts/article/2016/10/31/revirement-lors-du-proces-en-appel-de-l-electricien-de-picasso-condamne-pour-le-recel-de-271-uvres_5023250_1655012.html#e5MLQLUyLgKxcrkZ.99
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