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 Revue de presse (11 - 17 septembre 2017)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (11 - 17 septembre 2017)   Revue de presse (11 - 17 septembre 2017) Icon_minitimeJeu 14 Sep - 9:23

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Orleans) Les fondations du muséum sondées
Depuis des mois, le projet du futur muséum d’Orléans pour la biodiversité et l’environnement (MOBE) se prépare. Des opérations qui ne se sont déroulées qu’en coulisses, pour l’instant. Fin août, la future rénovation a pris un aspect plus spectaculaire : des pelleteuses ont creusé des trous assez profonds dans les trottoirs entourant l’édifice. « Ces pré-travaux sont des études géotechniques. L’objectif était de confirmer où sont les fondations actuelles et de quel type elles sont, afin de voir si elles peuvent supporter la charge de la double peau végétalisée que nous souhaitons ajouter au bâtiment, car elle ne reposera pas sur le sol. Nous avions déjà fourni les diagnostics à l’équipe d’architectes, donc ils en avaient tenu compte. Nous savions ce que nous allions trouver, mais dans ce genre de projet, il faut toujours voir s’il faut des études supplémentaires. Nous attendons les résultats mais a priori ce sera bon », détaille Cécile Rémy, chargée de projet du MOBE. Sur la partie muséographique, un premier synopsis du discours sur les différents plateaux d’exposition sera écrit. La restauration des collections
commencera en octobre et se poursuivra jusqu’à l’été prochain.
RC Orleans, 13/09, p.11

(Saint Denis en Val) La Maison du patrimoine ouvre
La nouvelle Maison du patrimoine ouvrira ses por tes le dimanche 17 septembre. Cette belle demeure, dont l’intérieur a été refait à neuf, accueillera une exposition intitulée « L’Histoire de la vigne à Saint Denis en Val ». Un travail de titan a été réalisé durant des mois par les bénévoles de l’association Histoire patrimoine et traditions locales (HPTL) pour mettre en place cette exposition. Elle présentera des outils de vignerons de la collection du Dionysien Jacques Ligneau : serpette, plantoir, scie vigneronne, bêche, faucillon et bien d’autres objets encore, avec leurs explications, seront présentés. Ce n’est pas tout. Juste à côté, la grange de la Morpoix va accueillir d’autres objets liés à la vigne (tonneaux, pressoirs à raisins, et un magnifique alambic vieux d’un siècle, propriété de Gérard Rousset, qui l’a fait venir du Berry).
RC Orleans, 13/09, p.17

Ferrières en Gatinais) De la lumière à l’obscurité, à la Maison des métiers d’art
Samedi soir, Laure Leroy, chef de projets culturels, a ouvert les portes de la Maison des métiers d’art (MMA) pour le coup d’envoi de l’exposition « Lumière ». C’est une expo collective d’artistes et d’artisans d’art, qui invite à découvrir leur savoir faire et leur univers en jouant sur la dualité entre ombre et lumière. Les artistes ont décrit quelques unes de leurs oeuvres. Le parcours débute par une première salle où la lumière du jour met en valeur les oeuvres proposées dont celles de Nicole Devis, créatrice d’abat jour. Elle conçoit des pièces uniques, en tenant compte de l’objet support, du décor environnant. Elles sont entourées de créations originales d’artistes du Gâtinais : Catherine Finot, céramiste Raku, Christine Hurier, brodeuse, et Aude Kienle, pastelliste.
RC Loiret, 12/09, p.17

(La Couture Boussey) La facture instrumentale encore d’actualité

Après un été bien rempli au cours duquel le musée des instruments à vent aura connu une fréquentation plus qu’enviable grâce aux visites et ateliers, il entame sa rentrée avec le même credo : celui de la mise en valeur du patrimoine de la facture instrumentale dans la région. C’est ainsi que le public pourra découvrir jusqu’au 15 novembre une exposition temporaire revenant sur deux grands noms de la fabrication d’instruments de musique dans la ville. La Couture Boussey, berceau de cette industrie unique depuis le XVIIe siècle perpétue toujours cette tradition de nos jours. Cette exposition revient sur l’ère contemporaine de la facture instrumentale avec deux grands noms, Malerne et Marigaux.
L'Echo, 12/09, p.20

(Loigny la Bataille) Réouverture du musée de la Guerre 1870
Si les musées consacrés aux différents conflits sont légions en France, la guerre de 1870 – qui a entraîné la chute de  l’Empire et la naissance de la IIe République – n’est honorée qu’à Gravelotte, en Moselle… et à Loigny. Là où eu lieu une terrible bataille, le 2 décembre 1870, qui a fait près de 9.000 morts. Le musée de Loigny s’apprête justement à rouvrir à partir du 16 septembre, à l’occasion des Journées du patrimoine, après deux ans de travaux d’agrandissement. Désormais, fini la sacristie, tout se passe dans le presbytère. Il a été totalement réaménagé par la communauté de communes, pour pouvoir exposer l’ensemble des collections et recevoir des groupes dans un but pédagogique. La surface a été multipliée par cinq, pour passer de 60 à 240 mètres carrés et chaque salle est consacrée à un thème particulier de la guerre.
RC Orleans, 11/09, p.33

(Saché) Balzac
Honoré de Balzac fait l’objet d’un film dévoilé ce vendredi en avant-première au musée de Saché. Une fiction originale intitulée « Balzac à Saché » articulée autour de l’oeuvre laissée par l’écrivain et ses séjours en Touraine. Il a séjourné au manoir une dizaine de fois entre 1825 et 1848 et y commença notamment « Le Père Goriot » ou « Illusions perdues ». « Le lys dans la vallée », roman écrit principalement depuis Paris, pioche également, sous la plume de Balzac, avec détails dans ses souvenirs tourangeaux. (intégral)
NR Indre et LoireW, 14/09

(Orleans) Le pastel n’a plus de secrets pour elle
Transporter 40 pastels d’une grande valeur artistique à travers l’Europe, c’est le plus gros défi qu’ait jamais eu à relever Valérie Luquet. Restauratrice au musée des Beaux Arts d’Orléans, elle a en effet permis à l’exposition « Jean-Baptiste Perronneau, portraitiste de génie dans l’Europe des Lumières » de voir le jour. Une première rétrospective de cet artiste incontournable du XVIIIe siècle, placée sous la direction d’Olivia Voisin. Rencontre.
Exposition jusqu’au 22 octobre  - Conférence « Le pastel dans tous ses états » par Valérie Luquet, dimanche 17 septembre à 16 heures.
RC Orleans, 15/09, p.13

(Bourges) Les experts, anges-gardiens des chauves-souris
« Comment faire pour que les chauves-souris ne soient pas oubliées dans les aménagements et les indispensables plans de transition énergique ? » Voilà le thème de la nouvelle exposition du muséum d’histoire naturelle de Bourges. Elle a été inaugurée hier. Cinq panneaux présentent cinq des actions menées par le muséum en faveur des chauves souris.
Le Berry, 15/09

(Anet) À la découverte de la collection Gourgand

C’est un trésor méconnu de la ville pourtant accessible au public tout au long de l’année, qu’il est possible de découvrir. Qui, en effet, qui soupçonne qu’Anet possède son musée. Une collection nichée dans deux pièces de la bibliothèque fruit du legs de Pierre-André Gourgand, collectionneur d’art éclairé qui résida à Anet au siècle dernier et légua ses oeuvres à la ville en 2006. « Un travail vient d’être fait sur cette collection par une stagiaire de la bibliothèque cette journée de visite sera l’occasion d’en savoir plus sur l’origine de cette collection et son auteur si discret » explique Angélique Fouquet, directrice de la bibliothèque. En effet, l’homme à l’origine de ce véritable cabinet de curiosités rassembla en toute discrétion un fabuleux trésor représentant toutes une palette des différents arts.
L'Echo, 15/09, p.18

(Blois) La Maison de la magie en route pour ses 20 ans
Un anniversaire festif ! C’est du moins ce que promet la directrice Céline Noulin alors que la Maison de la magie et ses célèbres dragons s’apprêtent à célébrer leurs 20 ans. Ouverte depuis le 1er juin 1998, elle s’est imposée au fil du temps comme une étape incontournable du circuit touristique de la ville. Située juste en face du château royal, elle bénéficie il est vrai d’un emplacement privilégié. Si bien que chaque année, elle accueille près de 100.000 visiteurs. « Fin août, nous étions en  progression par rapport à l’an passé, souligne Céline Noulin,mais il faut encore attendre la Toussaint pour avoir les chiffres précis. »
NR Loir et Cher, 15/09, p.14

(Chatillon Coligny) Le musée Girodet à la maison de retraite

Bien que le musée Girodet de Montargis soit actuellement fermé au public en raison de travaux de rénovation et de réaménagement (il ne rouvrira qu’en 2018), ce n’est pas pour autant que les oeuvres qu’il renferme doivent rester cachées. Alexandra Bussy, vacataire pour le musée, a donc décidé d’exporter le musée dans des endroits différents et de faire connaître les méthodes utilisées pour la restauration d’oeuvres d’art, avec leurs boiseries et dorures.
RC Loiret, 16/09, p.15

(Ferrières en Gâtinais) Carte blanche à l’expo « Blanc lumière »
La Maison des métiers d’art (MMA) donne carte blanche à Marie-Geneviève Simon-Ballou, artiste plasticienne. Elle y expose ses oeuvres en noir et blanc jusqu’au 24 septembre, sur le thème des encres et des collages. Le titre : « Blanc lumière ». Professeur d’arts plastiques, diplômée de la méthode Martenot à Paris, Marie-Geneviève Simon-Ballou s’est fait une spécialité du travail des encres d’imprimerie. Elle les « réveille », les fait respirer et trouve la juste harmonie avec le verre. Ses créations sont visibles à la fois au sein de l’exposition collective du rez de chaussée de la MMA et au premier étage. Chacune des oeuvres signées « MGSB » reflète un fragment de poésie visuelle.L’artiste confie : « Devant mon panneau blanc, je manipule les encres noires avec subtilité, obéissant à mon souffle vital, me créant un spectacle de rêver ies… À moi d’en cerner les harmonies lumineuses et de fixer cet instant de pure création ».
RC Loiret, 16/09, p.16

(Nogent le Rotrou) Le projet muséographique dévoilée
Déjà fier de son riche passé, le château Saint Jean de Nogent le Rotrou se dessine un avenir radieux depuis la signature du Contrat de ruralité en novembre dernier. Une manne d’argent injectée par l’État et le Conseil de la Région Centre Val de Loire qui va permettre au monument phare de la capitale du Perche de repenser entièrement sa muséographie. Les grandes lignes ont été exposées hier matin, en présence notamment d’Harold Huwart, vice président du conseil régional et de Stéphane Bern qui en tant qu’ambassadeur préside le comité scientifique composé d’institutionnels et d’historiens locaux. Tout a commencé avec les Comtes du Perche « Un projet de rénovation du château est un instant rare et majeur qu’il nous faut savourer, confie Harold Huwart. Nous avons oeuvré conjointement à replacer ce monument au coeur des circuits touristiques du territoire. Car c’est ici que tout a commencé avec les Comtes du Perche. »
+ « Ce patrimoine entre dans le 21e siècle »
+ Début des travaux en janvier 2018 et ouverture en avril 2019
L'Echo, 16/09, p.38

(Levroux) Le Musée du cuir à l'honneur
Mercredi soir, salle Jabeneau, les membres de l’association Levroux Cuirs et parchemins étaient réunis pour préparer les prochaines festivités. Ils s’investissent, depuis quatorze ans, en faveur du dynamisme de la commune, notamment au travers de la Fête du cuir qui se déroulera, cette année, les 21 et 22 octobre,à la Maison du peuple. Investissement récompensé puisque Laurent-Michel Pineau a annoncé que le musée, dont la fréquentation est en hausse, allait être primé pour son action touristique. Cette manifestation, qui attire de plus en plus de visiteurs, réunira artisans et industriels de la filière française du cuir et proposera de nombreuses animations : exposition, défilés, cuirothèque, ateliers enfants, voitures anciennes, motos Harley-Davidson et visite du musée. Cette année, soutenue par la Fédération nationale de tannerie-mégisserie, la fête sera orientée vers les métiers d’avenir de la filière.
NR Indre, 16/09, p.14

(Unverre) Le Musée école entre dans le giron de la Maison du tourisme
«Qui est pour l’entrée du Musée école dans la Maison du Tourisme des Trois Rivières ? » C’est la question qu’a posée Jean-Paul Martineau, président d’Unverre Autrefois, lors de l’assemblée générale qui s’est tenue mardi, à la salle des associations. Les 20 adhérents présents sur les 25 que compte l’association ont répondu favorablement, à l’unanimité. La réunion avait commencé plus tôt avec les bilans, positifs, de l’année 2017. « Tous les membres travaillent en équipe et vont assurer les ouvertures du musée en septembre et octobre, a expliqué le président. Nous avons reçu 1.228 visiteurs, soit 153 de plus qu’en 2016, avec moins de jours d’ouverture. L’équipe vieillit, il nous faut pérenniser la structure, donc je propose que nous intégrions la Maison du Tourisme. » « La CDC du grand Châteaudun a la compétence tourisme, a indiqué Hugues d’Amecourt, président de la Maison du Tourisme. Chacun garde son histoire et son autonomie, mais pour être plus forts, nous mutualiserons la communication et nous innoverons ensemble. »
L'Echo, 17/09, p.15


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MessageSujet: Revue de presse (11 - 17 septembre 2017)   Revue de presse (11 - 17 septembre 2017) Icon_minitimeJeu 14 Sep - 9:24

Archéologie région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire


(Blois) La Maison de l’archéo BD
La Maison de la BD accueille jusqu’au 4 novembre l’exposition « Bulles d’Archéo », ou « Quand la BD met en scène l’archéologie à Blois ». Cette démarche passionnante sur laquelle nous reviendrons, rassemble les travaux de Joaquim Diaz, Renaud Pennelle, Jeff Pourquié et Laurent Sieurac. En parallèle sera présentée l’exposition « Il était une fois l’homme » de Jean Barbaud, d’après la série télévisée d’Albert Barillé. (intégral)
NR Loir et Cher, 12/09

(Loches) Découverte : un rempart bien mystérieux…
Plus qu’une semaine de fouilles. Depuis le 16 août, les archéologues oeuvrent au fond du parc du logis royal et vont de découvertes en découvertes. Des découvertes qui, à leur tour, posent de nouvelles questions. Leur principale trouvaille est un mur d’1,70 m de large entre la grande salle seigneuriale du palais des comtes d’Anjou (XIe siècle) qu’ils mettent à jour depuis deux étés et les remparts actuels. C’est le vestige de remparts dont on ne connaissait pas l’existence, datant probablement de la fin du XIIe siècle ou du XIIIe siècle, même si la datation exacte reste à confirmer. Mais ce qu’il y a d’encore plus surprenant, c’est que devant ce rempart, les archéologues du conseil départemental ont également mis à jour… un sol datant de la même époque. Un sol, parfaitement visible, en surplomb du vide, à l’extérieur des fortifications ! De quoi susciter de nombreuses interrogations.
NR Indre et Loire, 11/09, p.16


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Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : mag'centre

Agora : parlons patrimoine et culture, avec Frédéric Néraud

Agora, l’émission en partenariat entre RCF Loiret et Magcentre, recevait cette semaine Frédéric Néraud, vice-président du Conseil départemental du Loiret en charge des questions économiques, du patrimoine et de la culture. Journées du patrimoine, retour sur le festival de Sully, réouverture du château de Gien (déjà 19.000 visiteurs !) et portes-ouvertes des ateliers d’artistes en octobre prochain, au programme de cette Agora de rentrée.
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/136590-agora-parlons-patrimoine-et-culture-avec-frederic-neraud/

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Fleury les Aubrais) Un beau voyage à toute vapeur

Plus qu’un voyage en train, c’est un voyage dans le temps que propose l’Amicale des anciens et amis de la traction vapeur Centre Val de Loire (AAATVCVL). Ce samedi 16 septembre, une excursion à Loches est prévue. À 7 h 55 précises, la loco américaine de 1946 s’élancera, au milieu des autres trains, de la gare d’Orléans. Image surprenante, surgie du passé. D’autant que la vieille dame n’a plus roulé depuis 5 ans. Elle a été entièrement démontée, révisée et réparée par une poignée de bénévoles passionnés, dans leur hangar de Fleury les Aubrais.
RC Orleans, 13/09, p.9

(Orleans) Les cloches en sourdine

Les cloches de la cathédrale vont se taire pendant le Festival. Pour sonner chaque heure, de 9 heures à minuit, un son particulier (oiseau, chanson de Loire, bruit en rapport avec la biodiversité locale…) ou une voix seront émis depuis Sainte- Croix et audible dans le centre-ville. Il y a deux ans, la voix un peu inquiétante diffusée jusque tard dans la nuit avait marqué les riverains… (intégral)
RC Orleans, 13/09

(Montargis) L’addition salée des arcades de Lorris allégée par l’État
Classées aux monuments historiques, les arcades de Lorris, exposées dans les jardins du musée Girodet, vont être rénovées. Un chantier délicat et coûteux, comme l’ont fait remarquer à la fois Benoit Digeon, le premier adjoint, et Bruno Nottin, élu d’opposition (PCF) : 271.000 €. Une addition qui sera allégée de 30 %, soit environ 81.000 €, après l’accord d’une subvention par l’État. (intégral)
RC Loiret, 13/09

(Sancerre) Les ruelles passées au crible
Que le lecteur se rassure, c’était un crime pour rire, un fait divers ne diffamant personne puisqu’il s’agissait de partir à la découverte des petites ruelles sancerroises, sous la forme d’une énigme policière à résoudre. Organisée par l’office de tourisme en association avec la Route Jacques Coeur, la Maison des Sancerre et la troupe des Complices, cette animation a pour objectif de faire découvrir l’histoire et le patrimoine de Sancerre de façon ludique et théâtrale. Un rapport d’enquête établi C’est donc, au cours de la visite menée par Christophe Gratias, guide conférencier, que sept comédiens se « prennent la tête », sèment le trouble et sont en désaccord sur tout le déroulement de la visite… Il y aura crime avec préméditation car tout au long de la visite, des indices sont dévoilés au hasard d’une petite ruelle, d’une explication architecturale d’un monument ou de l’histoire de Sancerre. « C’est rigolo, nous sommes d’ici, et nous ne sommes jamais passés par ces petites rues. C’est génial de découvrir l’histoire et tout ce patrimoine de cette façon », commentent Mélanie et David qui remarquent également que l’église n’a pas de clocher, au moment où les cloches retentissent. C’est à partir de cet instant que les 30 témoins deviennent par obligation des enquêteurs pour jeter toute la lumière sur le meurtre qui vient de se produire.
Le Berry, 13/09, p.21

(Saint Vitte) Une réfection pour le clocher

C’est dans l’église au coeur du village que le maire de Saint Vitte, Guy Berçon, a convié la population à une réunion publique concernant la réfection du clocher et de ses cloches. Une vingtaine de personnes ont répondu à l’invitation. La municipalité a fait faire un audit sur le clocher par une société forte d’une expérience de cent cinquante ans. Celui ci a été présenté lors de la réunion sous forme de diaporama. L’audit relate l’état du clocher, les désordres sur la charpente et la toiture, l’état des cloches, les travaux à effectuer et deux propositions de réfection.
Le Berry, 13/09, p.24

(Perche eurélien) La passion des maisons percheronnes

«Nous avons refait la toiture l’année dernière et cette année nous reprenons les enduits à la chaux aérienne et au sablon, autrefois, on appelait ça, le sable à lapin ! » Dans quelques semaines, une fois le piquetage et le dégrossi en enduit achevés, la longère d’Antoine, résident secondaire parisien, va revêtir son enduit de finition. Un bel ocre jaune qui va faire chanter les murs. Thierry Penot et sa petite équipe de trois salariés ont restauré beaucoup de maisons percheronnes. Le chef d’entreprise se souvient de chacune. « À chaque fois, c’est une rencontre
avec une maison mais aussi avec des gens qui me font entière confiance. Pour moi, le côté humain est essentiel. Je marche au feeling. » Des clients fidèles L’artisan s’investit dans chaque chantier comme s’il s’agissait de sa propre maison. On comprend pourquoi ses clients lui sont fidèles. Certains mêmes sont devenus des amis. L’adhésion de son entreprise Perche Restauration à la charte de qualité pour la restauration du patrimoine bâti percheron coulait de source. Une évidence. Elle n’a fait que souligner son engagement. La nouvelle marque Valeurs Parc a été remise à douze artisans du Perche eurélien et ornais.
+ Une marque unique pour des savoir-faire multiples
L'Echo, 13/09, p.24

Villandry à la conquête de ses objets perdus
A l’heure où de nombreux châteaux privés revendent pièce par pièce leur mobilier pour financer d’importants travaux de rénovation, le domaine de Villandry évolue un peu à contre-courant. Henri Carvallo, le propriétaire des lieux, cherche même « à embellir ses intérieurs, pour qu’ils soient du même niveau esthétique que les jardins. Les salles du château valent elles aussi le détour. » Et pour lancer cette nouvelle politique culturelle, il tente de remettre la main sur d’anciens objets ou du mobilier ayant séjourné à Villandry. Quand Henri Carvallo retrouve la trace d’un objet d’art unique, pièce maîtresse du mobilier du château à l’époque de Jérôme Bonaparte, dans une galerie parisienne, il n’a plus qu’une idée en tête : que ce guéridon retrouve sa place originelle. Pour financer l’objet, d’une valeur de 120.000 €, le propriétaire de Villandry s’est lancé en juillet dans une campagne de financement participatif sur la plateforme Dartagnans. L’objectif : récolter 40.000 € de dons et de mécénat avant la fin de la haute saison.
NR Indre et Loire, 13/09, p.6

(Meung sur Loire) Un bilan touristique positif au château

Les « Instants d’Histoire » au château de Meung sur Loire se sont achevés dimanche 27 août. Pendant deux mois, 75 « reconstituteurs » ont fait vivre l’édifice et son passé : un bivouac napoléonien, un campement de soldats de Jeanne d’Arc et des démonstrations d’escrime avec les mousquetaires. Par ailleurs, de nombreuses animations ont ponctué les visites chaque jour : archerie, armement, cosmétiques, cuisine, frappe de monnaie… Xavier Lelevé, propriétaire du château, et Marie de Rasse, médiatrice culturelle, docteur en histoire médiévale, dressent un premier bilan de la saison touristique. À Meung, Xavier Lelevé constate une fréquentation cumulée de + 7 % par rapport à 2016, avec 10.100 visiteurs, soit un gain de 11 % du chiffre d’affaires. Au château de Beaugency, dont il est également le propriétaire, la fréquentation cumulée est de + 26 % avec 7.000 visiteurs, et un chiffre d’affaires accru de 22,5 %.
RC Orleans, 07/09, p.16

(Le Subdray) L’église va faire peau neuve

L’église est l’édifice le plus ancien de la commune. Hélas, les marques du temps ont eu raison d’elle et de sa structure qui présente maintenant de nombreux désordres. L’église est d’ailleurs temporairement fermée au public depuis juin 2016 pour des raisons de  sécurité. La municipalité en partenariat avec l’association Patrimoine et mémoire du Subdray et sous l’égide de la Fondation du patrimoine a décidé de mettre en place une souscription pour sa restauration. Suite à cette souscription, la Fondation du patrimoine pourra octroyer une aide à la municipalité. L’échafaudage a été mis en place à la mi août et les travaux ont débuté début septembre pour une durée d’environ un an.
Le Berry, 07/09, p.11

(Le Blanc) La quête sans fin des gardiens du patrimoine

On dit que la musique adoucit les moeurs. Elle agit aussi pour la bonne cause, à travers des concerts qui permettent de recueillir des fonds pour financer de beaux projets. L’association des Amis de l’église Saint Étienne maîtrise parfaitement ce mécanisme. Cet te so cié té de de ux cents adhérents, créée au Blanc, en novembre 2009, pour assurer la sauvegarde du mobilier de l’édifice, aligne des rendez-vous culturels illustrés, en septembre 2016, par une  conférence concert sur le vitrail et, en mars dernier, par une lecture des Moines de Tibhirine par l’acteur Michael Lonsdale, accompagné du pianiste Nicolas Celero. Mais une telle croisade s’apparente aux tonneaux des Danaïdes. Il faut sans cesse injecter de l’argent dans des chantiers coûteux et, après la restauration du tableau des Rois Mages ou de la vitrine des Croix de la Passion, l’objectif est de redonner de l’éclat à la chaire baroque du monument. Samedi, une nouvelle quête est ainsi prévue, à l’occasion de la venue du Duo Fortcello, composé du pianiste Philippe Argenty et de la violoncelliste Anna Mikulska.
NR Indre, 07/09, p.14

Chambord : visite gratuite pour les Loir-et-Chériens

Pendant un mois, du 16 septembre au 15 octobre – une période qui comprend cinq weekends – les habitants du Loir-et-Cher vont pouvoir visiter gratuitement le château de Chambord et ses jardins à la française, inaugurés cette année. Il s’agit d’une initiative du conseil départemental, présidé depuis juillet dernier par Nicolas Perruchot, qui siège également comme représentant du Loir-et-Cher au conseil d’administration du Domaine national. Un Domaine avec qui le Département a passé une convention, pour permettre cet accès gratuit aux visiteurs individuels qui résident donc dans le département. Il suffira de présenter à la billetterie du château un justificatif de domiciliation en Loir-et-Cher (facture récente, avis d’imposition) ainsi qu’une pièce d’identité. « Nous allons mettre en place un plan de communication pour inciter les Loir-et-chériens à bénéficier de cette offre, signale Nicolas Perruchot. Les jardins à la française sont une très belle réalisation qui vaut particulièrement le coup d’oeil depuis les terrasses du château, parfaitement pilotée par le directeur Jean d’Haussonville, et qui a bénéficié d’un mécénat important de la part d’un citoyen américain, Stephen Schwarzman (à hauteur de 3,5 millions d’euros, NDLR). Il nous est apparu intéressant d’offrir cette visite au plus grand nombre. »
NR Loir et Cher, 07/09, p.3

(Tours) Les halles vont fêter leurs 150 ans
Les 16 et 17 septembre, la gastronomie sera à l’honneur à Tours et qui dit gastronomie dit forcément halles de Tours. Dans le cadre du festival « Tours et ses Franco-Gourmandes », les Halles de Tours célébreront ce week-end-là leurs 150 ans. Depuis un siècle et demi le  patrimoine culinaire tourangeau se fond en effet dans l’histoire des halles de Tours, symbole incontournable d’un patrimoine et d’un art de vivre local. Et c’est pour célébrer cette riche histoire que les commerçants des halles de Tours préparent depuis des mois un anniversaire digne de ce nom. Au programme, deux jours de partage avec les Tourangeaux autour des savoir-faire des commerçants des halles. Réservations sur le site http://leshallesdetours.fr/150-ans-des-halles
NR Indre et Loire, 07/09, p.10

(Orleans) Cathédrale Ste Croix, un chantier permanent
Située au coeur d’Orléans, la cathédrale Sainte-Croix est répertoriée comme l’une des « cathédrales géantes » – en termes de dimensions (voir encadré) – de France. Depuis le XVIIe siècle, plusieurs restaurations lui ont permis de rester debout et de continuer à resplendir. « Pour un édifice de cette taille, la restauration, financée à 100 % par l’État, est permanente », précise Frédéric Aubanton, chef de service à la Conservation régionale des monuments historiques au sein de la Drac (direction régionale des affaires culturelles) Centre-Val de Loire. La dernière rénovation en date ? Celle que l’on peut voir encore aujourd’hui, sur le bras nord du transept. Depuis mars 2015, quatre arcs-boutants (élément d’ossature de l’architecture gothique) et deux culées (élément statique destiné à recevoir l’extrémité de l’arc-boutant) ont été restaurés. La restauration des arcs-boutants du bras nord devrait s’achever au début du mois de décembre, sans doute le 8. Mais les travaux ne s’arrêteront pas là : le grand vestibule de la cathédrale devrait être restauré après les prochaines fêtes johanniques. Viendront ensuite, d’ici quelques années, le chantier de la flèche et celui des arcs-boutants de l’angle sud-ouest de l’édifice.
Tribune Hebdo Orleans, 14/09, p.10

(Chartres) Vingt trois animations programmées pour la Fête de la lumière, samedi soir

Des sculptures en fil de fer, éclairées par de la lumière noire, qui donnent l’impression que des fantômes errent dans les jardins de l’évêché, derrière la cathédrale. Des titans, qui s’engagent dans un duel, place Châtelet, armés de bâtons pouvant supporter jusqu’à 4 millions de volts ! Un concert de lumière, sur la place des Épars, avec le groupe de soul funk nantais Malted Milk, accompagné d’un “pupitreur”, qui improvisera sur la musique, avec 280 projecteurs. Des déambulations de chars, de masques et de marionnettes géantes lumineuses, sur le boulevard Chasles. La 15e Fête de la lumière, programmée samedi soir, à Chartres, promet d’en mettre plein les yeux. Et pour faire participer davantage le public, Laurent Lhuillery, conseiller municipal délégué à la manifestation, promet plus d’animations interactives que lors des éditions précédentes.
+ Pour Laurent Lhuillery, « on en viendra aux hologrammes » : Laurent Lhuillery, conseiller municipal en charge de la manifestation, a fait de la ville de Chartres « un laboratoire de la valorisation du patrimoine par la lumière ».
L'Echo, 14/09, p.3

(Oysonville) 10 h 40, le temps s’est arrêté…
Les aiguilles de l’horloge du clocher indiquent toujours de façon immuable 10 h 40 depuis fin août. C’est l’heure précise à laquelle la foudre, à l’occasion d’un orage très violent, a frappé le clocher. René Dauvilliers, maire a constaté les dégâts : « Malgré la présence d’un paratonnerre, installé en 1986, le clocher a  beaucoup souffert avec de nombreuses tuiles tombées. Le système électrique, le disjoncteur, le compteur… tout a sauté. Nous avons fait venir un expert des assurances pour constater les dégâts qui pourraient être évalués entre 20 et 25.000 €. » (intégral)
L'Echo, 13/09, p.24

(Diors) Travaux terminés à la chapelle

A la chapelle Notre-Dame-des-Ailes, les travaux de mise aux normes d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite sont terminés. La haie existante a été arrachée, le parvis a été refait en béton désactivé, bordé par des pavés, l’écoulement du caniveau est également refait avec des pavés et l’éclairage multicolore de la façade mettra en valeur le monument, la nuit.
NR Indre, 14/09

(Mardié) L’église retrouve sa superbe
Inscrite pour la totalité du bâtiment à l’inventaire des monuments historiques en 2006, l’église Saint Martin est un élément majeur du patrimoine Mardésien. L’édifice religieux a été progressivement restauré. Outre l’entretien, les gros travaux ont concerné la restauration des vitraux au début des années 2000, puis le clocher avec son beffroi – qui a nécessité la dépose de la cloche – reprise des abatsons, consolidation et remplacement de l’enduit en 2006. Cette année a consisté, pour l’entreprise Lagarde, à refaire l’intégralité de l’enduit intérieur, décaper et refaire l’enduit du pignon et des deux façades, remplacer les pierres de tailles abîmées. L’ouverture murée au dessus de la porte d’entrée a été rouverte et habillée d’un superbe vitrail d’Igor Wolinski. L’escalier de la tourelle a également été refait à l’identique. Les recherches effectuées pendant les travaux ont confirmé l’âge de ce vénérable monument : XIe siècle pour la nef, XIIe pour le choeur et le clocher.
RC Orleans, 12/09, p.16

(Chartres) Un nouveau toit pour la chapelle
Cachée derrière ses échafaudages extérieurs, la chapelle Saint Piat sort peu à peu de son sommeil. Cette partie de la cathédrale de Chartres, fermée au public depuis 2000, bénéficie, depuis quelques mois, d’une vaste opération de restauration. Un préalable indispensable pour pouvoir, de nouveau, accueillir le trésor de la cathédrale, début 2019. Le chantier, arrêté, cet été, pour cause de vacances, a repris lundi 21 août. Les travaux ont déjà bien avancé. La chapelle Saint Piat souffrait de gros problèmes d’humidité et d’infiltrations d’eau, qui mettaient en péril la conservation des oeuvres qui y étaient exposées. Avant de pouvoir y réinstaller le trésor, il faut donc restaurer l’ensemble de l’enveloppe extérieure (charpente, couverture et maçonnerie). Daniel Alazard, ingénieur du patrimoine à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) Centre-Val de Loire, précise « La charpente est aujourd’hui terminée. Les pièces de bois détériorées par les infiltrations d’eau ont été remplacées, notamment les sablières qui assurent la stabilité de la charpente. » Les travaux de la couverture qui sera refaite à neuf, en  terre cuite et en plomb pour l’étanchéité, viennent d’être lancés. Ils dureront près de deux mois.
+ Les artistes contemporains invités à créer
+ Les vitraux des sept baies vont retrouver leur aspect d’origine
L'Echo, 12/09, p.8

(Dreux) La Ville et les Amis de l’église Saint Pierre s’engagent dans la restauration du Repas chez Simon

Jésus est bien là, à table, mais ce n’est pas La Cène de Léonard de Vinci. Le Christ se fait laver les pieds par une certaine Marie Madeleine dite la pécheresse… Classée monument historique, l’huile sur bois Le Repas chez Simon n’a pas livré tous ses mystères. Si sa période de réalisation est connue, début du XVIIe siècle, son auteur est inconnu. Trouver son nom n’est pas la priorité d’Isaline Trubert, restauratrice et conservatrice agréée de peintures, qui va d’abord sauver un tableau en très mauvais état. La professionnelle sera épaulée par Sébastien David, spécialiste de la dorure pour encadrements. Fissures dans le bois et le vernis qui est aussi oxydé, moisissures de la toile, découlement de la couche picturale, assombrissement des zones peintes, ce grand malade va être opéré pendant de longs mois avant de retrouver Dreux, courant mars. Le repas de Simon participera à une nouvelle expo au musée sur le thème des “Trésors cachés”, à partir du 1er avril. D’autres toiles bénéficieront
d’un lifting car il y a urgence. « Nous avons recensé 20 oeuvres prioritaires, dont huit sont en péril, dont Le repas chez Simon.Si on les laissait en l’état, ils risqueraient de disparaître totalement. C’est pour cette raison que la Ville, en partenariat avec la Drac, a lancé un plan pluriannuel de restauration des oeuvres ».
+ Une restauration rendue possible grâce au mécénat
L'Echo, 12/09, p.17

(Bû) La municipalité au chevet de Notre-Dame
La municipalité a décidé d’engager un important programme de travaux à l’église Notre Dame, un édifice classé au patrimoine des monuments historiques en 1963. Pierre Sanier, le maire, détaille : « C’est un gros budget mais c’est surtout un devoir pour nous de restaurer le patrimoine que nous transmettrons aux générations futures ». La rénovation comporte une tranche ferme, qui devrait démarrer avant la fin de l’année et concerne essentiellement la maçonnerie. Outre la tranche ferme, cinq tranches optionnelles vont suivre, notamment pour restaurer intérieurement la façade Sud et Ouest et le choeur de l’église. L’ensemble des travaux coûtera plus de 900.000 €. Une souscription va être lancée dans quelques jours par la Fondation du Patrimoine et des subventions substantielles devraient être attribuées par la DRAC et le conseil départemental.
L'Echo, 12/09, p.20

Jean Bertin aurait eu cent ans…

Son nom ne dit pas grand chose aux jeunes générations. Il fut pourtant l’inventeur génial de l’aérotrain, dont le rail de béton continue de dominer la plaine de Beauce, entre Chevilly et Artenay. Jean Bertin aurait eu cent ans cette année. Né le 5 septembre 1917 à Druyes les Belles Fontaines (Yonne), cet ingénieur en aéronautique a consacré l’essentiel de sa vie au développement d’engins capables de circuler à très grande vitesse en utilisant le phénomène d’effet de sol. C’est ainsi que plusieurs prototypes ont vu le jour, d’abord à Gometz la Ville (Essonne), puis près  d’Orléans où un rail de 18 km a été fabriqué au milieu des années soixante. À l’occasion du centenaire de Jean Bertin, un espace portant le nom de l’ingénieur sera inauguré le 23 septembre à Monblanc, un village du Gers où il est enterré. Enfin, dans le cadre des Rendez vous de l’histoire à Blois, dont le thème, cette année, est « Eurêka ! Inventions et innovations », sera projeté, le 7 octobre, le film « Aérotrain, la vie d’après », réalisé par la journaliste de France 3 Centre, Corinne Bian Rosa.
RC Orleans, 11/09, p.4

(Beaugency) Un mois d’animations autour du pont
L’exposition « Franchir la Loire » est visible jusqu’au 24 septembre à la chapelle Sainte Anne, qui jouxte l’abbatiale. Elle inaugure ce mois au cours duquel les ponts et plus spécifiquement celui de Beaugency, sont mis à l’honneur au travers de plusieurs animations. Conçue par la Mission Val de Loire, l’exposition se présente sous la forme de panneaux richement illustrés, qui retracent les différents moyens de traverser la Loire, leurs histoires et leurs péripéties au fil des années.
RC Orleans, 11/09, p.18

(Aschères le Marché) Vers une rétrocession de Rougemont

Le dossier du château de Rougemont, situé à Aschères le Marché, a connu un nouveau revirement au coeur de l’été. Ce joyau du patrimoine local, que la municipalité a préempté, pourrait finalement être vendu à une SCI  société civile immobilière). Le couple Malherbe, qui gère cette structure, a pour projet d’y aménager des chambres et des salles pour séminaires, tout en maintenant l’actuelle locataire sur le site. C’est ce que les époux Malherbe ont expliqué aux élus avant que débute le conseil municipal du mois d’août. Six mois plus tôt, pourtant, le différend entre la SCI et la municipalité était examiné par le tribunal administratif d’Orléans… Un petit rappel historique s’impose. De longue date, le château de Rougemont est occupé par Nadine Forster, une illustratrice renommée, aujourd’hui âgée de 86 ans, et par son fils. D’abord propriétaire des lieux, elle a fait l’objet, voici plus de vingt ans, d’une saisie immobilière, mais elle a été autorisée à résider dans le manoir. Lors du conseil municipal du mois d’août, les élus ont dans l’ensemble émis un avis favorable au projet présenté. Quelques membres du conseil ont néanmoins fait part de leur tristesse de voir  ce patrimoine acheté par des particuliers, mais reconnaissent que « la raison doit l’emporter devant les contraintes financières nécessaires à la réalisation de travaux considérables pour remettre le château en état ».
RC Loiret, 11/09, p.12

(Bourges) L’histoire renaît en images 3D
Une rivière sauvage coule sous un imposant pont de pierre. Quelques pas de plus, et vous voici sous une porte en pierre massive qui perce les remparts. Un décor médiéval digne des plus grands films de cape et d’épée. Nous sommes pourtant au bas de la rue d’Auron, il y a six cents ans. En avançant dans la rue pavée entre les maisons à pans de bois, on finit par arriver devant un autre édifice inconnu : la Sainte Chapelle de Bourges, adossée au palais du duc Jean. Il ne reste plus qu’à pousser la porte pour découvrir l’intérieur de ce bâtiment remarquable qu’il n’est plus donné d’observer aujourd’hui. Ce périple dans les temps jadis est le fruit du travail acharné de deux passionnés. Rassemblés pour fonder Around You, Ingrid Labeaume et Dominique Rossi ont relevé un pari fou : modéliser en  images 3D et en quatre mois la ville de Bourges au XVe siècle. Un travail de titans, de la compilation et de l’analyse des diverses sources (textes, devis d’artisans, illustrations d’époque) au montage, en passant par la modélisation sur  logiciel. Et tout cela fait bénévolement, en marge de leurs vies professionnelles respectives. Mais le résultat est là : le  film présenté l’an passé a rencontré un franc succès.
+ Révéler le patrimoine « confidentiel » de la ville
Le Berry, 11/09, p.2/3

(Châteaudun) La chasse aux fantômes est rouverte
Quelques sinistres ricanements s’échappent des grandes cuisines du château de Châteaudun. Mais n’ayez pas peur, tout n’est qu’illusion. L’exposition «  Lanternes magiques et fantasmagories » nous replonge dans l’univers du XIXe siècle, avec son obsession des esprits, des fantômes, entretenue par d’habiles faiseurs de miracles et la frénésie des inventeurs d’optiques ingénieuses. « S’il y a eu une telle fascination pour les fantômes, les revenants et les spectres au XIXe siècle, c’est parce que l’on a inventé les moyens de les faire apparaître », a précisé, vendredi, Francis Adoue, commissaire de cette exposition itinérante du Centre des monuments nationaux. Passionné par les machines optiques, il a imaginé en 2010 cette exposition qui permet à la fois de « faire découvrir le monde spectral du XIXe siècle et le patrimoine français ». Le château de Châteaudun n’est pas hanté, mais son cadre gothique et romantique est propice à la découverte de la fantasmagorie ou l’art de se faire peur à l’aide d’illusions et de lumières savamment utilisées.
L'Echo, 11/09, p.21

Mazangé : le toit de l’église bientôt refait
Dans à peine trois mois, les travaux de la toiture de l’église de Mazangé seront terminés. Jeudi dernier, une réunion de chantier se tenait en présence de Patrick Brionne, maire, de Philippe Villeneuve, architecte en chef des Monuments historiques et des entrepreneurs. Environ 47.000 tuiles de Puycheny (tuiles artisanales pour les bâtiments du patrimoine) seront posées sur neuf kilomètres de liteaux en chêne sur une pente de 60 degrés !
NR Loir et Cher, 09/09, p.19

Château de Souesmes : “ Toute une responsabilité ”

D’une couleur brique et entouré d’eau, ce château semble tout droit sorti d’un conte de fée. Construit à Souesmes, probablement au XIIIe siècle d’après ses actuels propriétaires, il a d’abord été une motte gauloise avant de devenir un poste militaire. Ses occupants y assuraient la surveillance des gués implantés sur la Petite Sauldre, à la frontière entre Orléans, fief des Carnutes, et de Bourges, où siégeaient les Bituriges. Pour contempler les deux tours qui marquent cet  emplacement stratégique, il faut faire le tour de la propriété, bien visible de la route. Ce que laissent faire volontiers aux randonneurs, les propriétaires du domaine. Anne et Gabriel de Vulpillières vivent la majeure partie de l’année à Bruxelles en Belgique, où Gabriel a passé vingt ans de sa vie comme fonctionnaire à la Commission européenne. Anne, travaillait quant à elle comme laborantine. A la mort du père de Gabriel, le château a été confié à la quatrième génération de la famille en 2001. Le plus jeune de la fratrie, Gabriel, en a eu la charge seul, depuis trois ans. Il voit cet héritage comme « une responsabilité », alors qu’Anne, « a envie d’entretenir et de faire vivre ce château », dont elle est tombée sous le charme.
NR Loir et Cher, 09/09, p.22

(Savigny-sur-Braye) Loge de vignes

La loge de vignes située en bordure de la RD 35 sera conservée en l’état pour une restauration éventuelle au titre de la protection du petit patrimoine architectural de la commune. (intégral)
NR Loir et Cher, 09/09

(Déols) Une application pour visiter l’abbaye

De la grande abbaye bénédictine, la plus importante de France au Moyen-Age, il ne reste plus que quelques vestiges aujourd’hui. Le clocher, la cuisine, la salle capitulaire… « Dans ces conditions, c’est difficile d’inciter les gens à découvrir le site, reconnaît Marc Fleuret, directeur de cabinet du maire de Déols, en charge de la communication. Il faut lui donner vie. » La mairie travaille ainsi depuis plusieurs années avec la  société Serious Frames. Cette dernière a développé une application permettant de reconstruire l’abbaye. Projetant l’utilisateur 1.000 ans  auparavant. Au milieu de ce qui était le cloître, Olivier Quibel, le concepteur, tend sa tablette vers le clocher. « Sur la tablette, vous avez une vue de ce que vous voyez en vrai, le clocher, et si vous appuyez sur ce bouton, les anciens bâtiments se superposent », décrit-il. En pivotant la tablette, il obtient une vue à 360 degrés des bâtiments de l’époque. Testée dès ce week-end par les visiteurs du 1.100e anniversaire, l’application sera ensuite accessible sur des tablettes mises à disposition à l’office de tourisme.
Indre, 09/09, p.3

(Preuilly-sur-claise) Restauration de la chapelle médiévale
Les travaux de restauration de la chapelle de-tous-les-saints ont commencé. Cet édifice qui renferme une très rare danse macabre fait l’objet d’un projet de  sauvegarde initié par la Société archéologique de Preuilly. Dans un premier temps, un échafaudage de protection de l’ensemble va être dressé. Des travaux de maçonnerie vont consolider un pignon et assurer un chaînage de l’ensemble. S’ensuivra la restauration de la toiture. Une réunion de chantier sera ouverte au public et permettra à l’architecte d’expliquer le déroulement des opérations de réhabilitation. Une exposition aura lieu prochainement à la médiathèque sur les  danses macabres afin de faire découvrir au public ces chefs d’oeuvre médiévaux et les sensibiliser à la valeur de ce patrimoine local.
NR Indre et LoireW, 09/09

(Lèves) Les ateliers Loire oeuvrent pour l’avenir
En clôture des festivités des 900 ans de l’abbaye Josaphat, la commune de Lèves a confié aux ateliers Loire la conception d’une capsule temporelle, qui sera enfouie sous la fondation d’Aligre, lors des Journées du patrimoine. Mercredi 6 septembre, Jacques et Hervé Loire ont présenté leur oeuvre aux élus : un coffre en verre réalisé selon des techniques antiques de verrerie, serti de plomb couleur bleu de Chartres, et thermoformé selon une technique contemporaine. Le labyrinthe de la cathédrale et la rosace de Lèves sont représentés sur le coffre. Un texte sur le savoir faire des ateliers Loire, le livre de l’historien Georges Bonnebas Des moines pour la cathédrale de Chartres : l’abbaye Notre Dame Josaphat de Lèves, des objets contemporains dessinés par des élèves, des photos de la fête médiévale de juillet dernier et le logo de l’abbaye y seront conservés.
L'Echo, 10/09, p.10

(Fougères sur Bièvre) Fin des mystères

Ce sera le 17 septembre la fin de l’exposition « Les mystérieux mystères insolubles ». A savoir les planches originales de sept bandes dessinées hilarantes et surréalistes, qui en prime initient de manière ludique petits et grands au riche patrimoine de la région Centre. Cette série naît d’ailleurs de la collaboration entre le service Patrimoine et Inventaire de la région Centre Val de Loire et l’éditeur jeunesse L’Atelier du poisson soluble. Avec Kocjan, auteur, Julie Ricossé, illustratrice, et la joyeuse bande de leurs héros. (intégral)
NR Loir et Cher, 14/09


(Orleans) Des compagnons à l’écoute de jeunes lycéens abraysiens
La préfecture du Loiret à Orléans a accueilli, hier après-midi, deux classes de première Bac-Pro Section « intervention sur le patrimoine bâti » du lycée Gaudier-Brzeska de Saint-Jean-de-Braye. Accueillie par Taline Aprikian, directrice de cabinet du préfet, et en présence de Claude Perrier, compagnon charpentier, et Anthony Dameau, compagnon menuisier, les élèves ont appris ce qu'était le compagnonnage. Reposant sur des valeurs telles que la solidarité, le partage et l'humilité, le rôle premier d'un compagnon est « la transmission du savoir », détaille Anthony Dumeau. Après avoir débuté son tour de France à l'âge de 15 ans, ce compagnon de 23 ans est désormais formateur. Le compagnonnage est mis en valeur dans le cadre des Journées du patrimoine des 16 et 17 septembre. La Rep’ y consacre un sujet demain. (intégral)
RC Orleans, 15/09

(Beaugency) Le Grand Orgue va de nouveau résonner

Totalement restauré en 1977, le Grand Orgue de tribune de l’abbatiale a fait l’objet d’un « relevage », une opération de nettoyage d’envergure qui se fait uniquement deux ou trois fois par siècle ! Montrant des signes d’usure et un fort empoussiérage, la tuyauterie et certaines parties mécaniques ont été démontées en mars, pour être révisées et nettoyées à Sarre Union (Alsace) où siège la société Koenig. Comme l’explique Roland, l’un des facteurs d’orgue présent pour le remontage, le travail a consisté à mettre les tuyaux dans un bain d’eau savonneuse et à les nettoyer un par un. Sachant que l’orgue compte au total 2.254 tuyaux en métal un alliage de plomb et d’étain on mesure l’ampleur de la tâche.
RC Orleans, 15/09, p.19

(Neuvy deux Clochers) Deux semaines ont été nécessaires pour restaurer une pièce, créée par Jean Linard
Comme le dit l’adage, le temps passe, mais les souvenirs restent. Ces souvenirs encore visibles sont ceux d’une vie, tirés de « l’oeuvre d’art totale » créée de toutes pièces par Jean Linard et inscrite au titre des monuments historiques. Composé d’une grande maison vernaculaire et d’un jardin de sculptures monumentales, cet environnement voit l’architecture, la sculpture, la céramique, la mosaïque et l’art environnemental être explorés simultanément, dans un théâtre de verdure fascinant. L’association, Autour de la cathédrale Jean Linard, est entrée en contact avec l’École des beaux arts de Tours il y a deux ans et l’a sollicitée pour procéder sur place à des travaux de restauration. Depuis le 4 septembre et durant quinze jours (*), huit étudiants de 2e et 3e année de l’école ont pris possession des lieux, « dans le cadre d’un stage de pratique, inclus dans la formation de conservation restauration d’oeuvres sculptées » proposée par l’établissement.
(*) Pendant les deux semaines de travaux, le site est resté fermé et réouvrera ses portes au public demain matin, à partir de 10 heures.
Le Berry, 15/09, p.24

Une cité médiévale aux portes de Chartres
Imaginez vous vivre, le temps d’une journée ou d’une semaine, dans un espace de soixante hectares où le monde moderne disparaît au profit d’un univers médiéval, situé entre les Xe et XIIIe siècles, peuplé de chevaliers, de dames et de créatures légendaires ? Cette perspective séduisante et dépaysante sera peut être exaucée en 2023, si la société chartraine Graals relève son pari d’ouvrir, dans six ans, un parc d’attractions de dimension internationale, aux portes de Chartres : Graals Ecoparc. Le projet, localement soutenu par Chartres Métropole, nécessite 160 ha de terrain et représente un coût de 175 millions d’euros. Sa capacité d’accueil, jusqu’à 2 millions de visiteurs par an, en ferait, en termes de fréquentation, le troisième parc d’attractions hexagonal, loin derrière Disneyland Paris mais tout près… du Puy du Fou (2,2 millions d’entrées en 2016), en Vendée, avec lequel il partage cette thématique de la féodalité. L’ambition est à la hauteur du coût : colossale.
+ Raphaël Geslan, président de Graals : la croisade d’un fou du Moyen Âge
+ Questions à J.Pierre Gorges, Président de Chartres Métropole
L'Echo, 15/09, p.2

(Rouvres) Lorant Deutsch au chevet de l'église
L’association pour la sauvegarde et la restauration de l'église Saint Martin de Rouvres (ASRER) vient de se constituer. Les membres du bureau veulent restaurer une église qui a presque mille ans d'histoire et compte de multiples spécificités, à l'image de ses onze cadrans solaires. L'édifice est d'ailleurs classé en totalité à l'inventaire des monuments historiques depuis 1992. « Les travaux à réaliser sont particulièrement importants et nous allons nous rapprocher de la Fondation du Patrimoine et de tous les organismes susceptibles de nous conseiller sur le plan technique ou financier,» précise Martine Lavacherie, adjoint au maire et membre de l'association. Le comédien Lorant Deutsch sera présent dimanche de 14 à 16 heures pour montrer l'attachement qu'il porte à l'église de son village.
L'Echo, 15/09, p.18

Un Lorjou au château de Cheverny
Les couloirs de la célèbre bâtisse ont accueilli la semaine dernière un nouveau pensionnaire. Le marquis de Vibraye, propriétaire du château de Cheverny, a fait installer un tableau de Bernard Lorjou, peintre blésois parmi les plus célèbres du XXe siècle. Cette oeuvre, un arlequin haut en couleur, détonne aux côtés des peintures plus classiques et historiques du château. Si Charles-Antoine de Vibraye a fait le choix d’exposer un Lorjou dans son établissement, c’est parce qu’il possède un lien avec l’artiste : « Je l’ai rencontré en 1984 alors que j’étais jeune bachelier, il m’avait invité chez  lui. Il m’avait même donné son rasoir électrique que je possède toujours ! ». Le tableau n’est pas voué à s’inscrire dans la durée à Cheverny, mais le marquis de Vibraye compte sur lui pour interpeller les visiteurs : « On va essayer de récolter le maximum de réactions vis-à-vis du tableau. Et même les critiques négatives, on prend ! Pour moi, une oeuvre qui ne choque pas n’a aucun intérêt ». (intégral)
NR Loir et cher, 15/09

Orléans: les compagnons… du patrimoine exposent en préfecture
Comment sensibiliser les jeunes au patrimoine, à l’histoire de l’art, à celle de la Nation? Vaste chantier. Justement. Cette 34 ème édition des journées du patrimoine qui ont lieu ce week-end en France et en Europe se tient sur le thème de la jeunesse. Alors le préfet du Loiret, a décidé de mettre en exergue les métiers du patrimoine.
Mag'Centre, 15/09

(Serazereux) L’association fera tout pour sauver l’église

Une nouvelle association vient de naître à Serazereux : Les Amis de la sauvegarde du patrimoine de Serazereux (ASPS). Quelques habitants ont décidé de s’unir pour préserver et de mettre en valeur l’ensemble du patrimoine de la commune. L’un de principaux buts de cette nouvelle association est la sauvegarde de l’église Saint Denis. Pour sauver l’édifice, elle veut travailler en collaboration avec les élus, la fondation du patrimoine, la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles), la STAP (Service territorial de l’architecture et du patrimoine) et le diocèse. Elle envisage d’organiser des manifestations pour récolter des fonds et de faire un appel aux dons pour obtenir aides et subventions.
L'Echo, 16/09, p.25

(Huisseau-sur-cosson) Au chevet de la chapelle Saint-My

Si pour beaucoup l’intérêt porté au patrimoine se manifeste par des visites, pour d’autres il passe par des entreprises de restauration à long terme. Pour la première fois, vendredi, des bénévoles expérimentés sont venus apporter leur aide au travail entrepris depuis trois ans par les chantiers jeunes de Vineuil à la chapelle dédié à Saint My, ermite guérisseur ayant vécu au Ve siècle. « Les jeunes, tous bienvenus, se sont impliqués durant les vacances scolaires, explique Luc Leteillier, vice-président de l’association, mais, à certains moments, il faut des échafaudages et, là, l’expérience des adultes est très importante ». Un petit groupe a répondu présent et est depuis au travail avec efficacité et une bonne humeur toute juvénile. Contact et informations sur les chantiers jeunes : http://chantiers-jeunes-vineuil.e-monsite.com/ (intégral)
NR Loir et Cher, 16/09

(Vendôme) Découvrir le château du bout des doigts

En lien avec le Département, la Ville de Vendôme se lance dans le numérique appliqué au tourisme. Une plateforme interactive www.cvendome.net a été créée. Par le biais de QR Code sur le produi t, on sait tout ou presque tout sur l’objet en question. Un dispositif qui vient d’être installé au château pour être pleinement opérationnel pour ce week-end des Journées du patrimoine. Grâce à un smartphone, il suffit de scanner le QR Code d’une des six balises implantées dans le parc pour disposer d’informations visuelles et sonores sur ce que vous avez sous les yeux. Ou d’aller plus loin en surfant sur d’autres pages pour réviser votre histoire ou encore des infos sur la nature environnante. Tout sur le cèdre planté en 1807, sur la vie difficile de César de Vendôme ou encore le buste d’Henri IV… Des photos, des archives, des vidéos, des informations. Ce dispositif, une première de ce type pour le Loir-et-Cher qui a coûté à la Ville 4.000 € TTC, a été développé par une société de communication Atout rêve, implantée à Ternay depuis 2009.
NR Loir et Cher, 16/09, p.18

La vie de château de l’autre côté du miroir
Côté pile, des lieux d’exception, une richesse patrimoniale et architecturale. Côté face, des toitures abîmées, des pierres qui s’effritent, des jardins à préserver, en somme, des travaux de rénovation permanents et des coûts d’entretien qui grimpent à plusieurs centaines de milliers d’euros par an. Si les grands monuments comme celui d’Amboise ou de Chenonceau réussissent à trouver un bon équilibre financier, c’est souvent un peu plus compliqué pour les petits châteaux, moins renommés. « Que l’on hérite ou que l’on achète un château, cela reste un vrai choix de vie. C’est une forme de sacerdoce, mais on ne se plaint pas, loin de là. Nous avons bien conscience de vivre dans un endroit privilégié », explique Monique Reille. Propriétaire, avec son mari, du château de Baudry, à Cerelles, ils viennent de débuter des travaux de rénovation des façades. Des travaux qui s’étaleront sur deux ou trois ans afin d’échelonner les frais, environ 200.000 € pour une trentaine de mètres. Et ce week-end, ils ouvrent leurs portes au public dans le cadre des Journées du patrimoine. Une ouverture ponctuelle qui, avec d’autres critères, leur permet d’être classés monument historique depuis 2014 et de bénéficier d’un suivi particulier et d’aide financière pour entretenir la bâtisse. Au château de Gizeux, en partie transformé en chambres d’hôtes, c’est aujourd’hui sur le web que l’on se tourne pour récolter des fonds.
NR Indre et Loire, 16/09, p.5

Journées européennes du patrimoine : plus de 12 millions de visiteurs !
Trait d’union réussi entre la jeunesse et le patrimoine Plus de 12 millions de visiteurs ont participé aux Journées européennes du Patrimoine cette année confirmant ainsi le succès de cette manifestation et l’engouement des français pour leur patrimoine commun.
Mag'Centre, 15/09

(Lèves) Un siècle de voyage pour le coffre lévois

Si vous n’avez pas encore vu le coffre conçu par le maître verrier Jacques Loire, vous avez jusqu’à 16 heures, aujourd’hui. Sinon, il faudra se montrer patient et attendre… un siècle. Une période somme toute bien longue, même si la médecine progresse. L’oeuvre vaut le coup d’oeil. La conception de cette “capsule temporelle” s’inscrit dans le cadre du 9e centenaire de l’abbaye Notre Dame de Josaphat, à Lèves. Une fois divers documents contemporains entreposés à l’intérieur, le coffre sera enfoui sous la fondation d’Aligre, dans le cadre des Journées du patrimoine, cet après midi. Savoir-faire local Une forme de relais d’informations à destination des générations futures. La capsule, préservée par une caisse de protection, devrait être ouverte en 2117, pour le millénaire de l’abbaye Josaphat.
+ Georges Bonnebas : « L’abbaye conservait d’importantes reliques »
L'Echo, 17/09, p.8 et 10

(Meslay) Jean-Claude Ferron a fait voeu de peinture
C’est fidèle au poste malgré d’ importantes douleurs que l’on retrouve Jean- Claude Ferron. Dans une pièce de l’église des Rottes, cet habitant de Meslay travaille bénévolement à la réalisation de trois grands tableaux religieux. Né en 1943, il a une santé fragile. « C’est parfois dans une grande souffrance que je termine ces tableaux, soutient-il de son regard bleu perçant. Mais je dois les terminer coûte que coûte ». L’homme est connu pour sa persévérance. De 1988 à 1996, il s’est astreint à cinq heures de peinture par jour pour réaliser plus de 200 m2 de fresque sous la voûte de l’église de Meslay. Une oeuvre saluée notamment par le commissaire-priseur vendômois Maître Philippe Rouillac, devenu ami de Jean-Claude Ferron. « C’est un homme pur, c’est un régal de le voir travailler. Et c’est très intéressant de voir qu’il renoue avec cette grande tradition des fresques. Car au XIIe siècle dans la vallée du Loir, toutes les églises étaient peintes. » Les trois tableaux que Jean- Claude Ferron termine actuellement auront nécessité moins de temps qu’à Meslay. « J’y travaille depuis deux mois ». Des oeuvres qui igureront quelques mois de l’année dans l’église des Rottes. L’une est à la gloire de Jésus Christ, la deuxième de la Vierge Marie, et la troisième évoque la Trinité.
NR Loir et Cher, 17/09, p.9

(Loches) Un train vraiment pas comme les autres
C’est d’abord un panache de fumée noire. Puis, quand la silhouette rutilante se dessine, le cri caractéristique de la locomotive à vapeur. Il y avait foule, hier après-midi, sur le quai de la gare pour accueillir une magnifique septuagénaire. J’ai nommé la 141.R.840 : 14,639 m de long pour 4,26 m de haut. Elle brille sous le soleil et dans les yeux de ceux qui s’apprêtent à monter à bord. « Tu vois, c’est ce type de train que je prenais quand j’étais petite », raconte une Lochoise à un enfant. Partie d’Orléans dans la matinée, elle est arrivée en gare de Loches peu avant 15 h. Son premier trajet depuis cinq ans, pendant lesquels elle a « subi » une révision. Pour son retour sur les rails, « la locomotive a été parfaite », se réjouit Gérard Chazot, membre de l’Amicale des anciens et amis de la traction vapeur (AAATV) du Centre-Val de Loire. L’association est propriétaire de la locomotive, classée à l’inventaire des Monument s hi s tor iqu es . La 141.R.840 peut rouler jusqu’à 115 km/h, mais, dans le cadre d’une association, la limite est fixée à 100 km/h.
NR Indre et Loire, 17/09, p.11


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Journées européennes du patrimoine 2017

Source : magcentre.fr

Journées européennes du patrimoine : plus de 12 millions de visiteurs !


Trait d’union réussi entre la jeunesse et le patrimoine Plus de 12 millions de visiteurs ont participé aux Journées européennes du Patrimoine cette année confirmant ainsi le succès de cette manifestation et l’engouement des français pour leur patrimoine commun.
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La biennale d’architecture du Frac Centre-Val de Loire dévoilée


La première biennale d’architecture du Frac Centre-Val de Loire ouvrira ses portes le 13 octobre prochain, jusqu’au 1er avril 2018. Huit lieux d’exposition à Orléans, quatre dans toute la région Centre-Val de Loire, 53 architectes et artistes exposés, deux résidences et un invité d’honneur, l’architecte Patrick Bouchain.

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