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 Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016)   Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016) Icon_minitimeMer 25 Mai - 15:35

Musées de la région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre


(Chartres) Le nouveau Compa en avant-première

Deux ans de fermeture, un an et demi de travaux, 1,2 million d’euros de budget… Le Compa “newlook” s’est fait attendre, mais il est bien là. L’Écho Républicain a pu le visiter hier en avant première, un jour avant l’ouverture du musée chartrain au grand public. Pour ceux qui connaissaient l’ancienne scénographie, c’est un choc. La surface est à peu près la même, mais tout a été repensé. L’espace d’exposition est beaucoup plus dense et la philosophie du lieu a évolué. Jean-Marc Providence, directeur général adjoint à la culture au Conseil départemental, la définit ainsi : «Une parade des machines». «Nous avons modifié l’échelle de l’espace et du temps. Avant, le Compa se concentrait sur la période 18601960. Aujourd’hui, nous allons plus loin dans le passé, mais surtout, nous nous projetons vers l’avenir. Le musée se penche sur les enjeux de l’agriculture à l’horizon 2050. Ou comment maintenir la santé des hommes et de la planète.»
L'Echo, 21/05, p.3 + 22/05, p.6

(Chartres) Combien de briques le TractoBrick ?


On trouvait beaucoup de monde, vendredi, à la soirée des mécènes et partenaires du Compa, à Chartres, pour commenter le nombre de briques de Lego® (795.850) utilisées pour fabriquer le TractoBrick, nouvel emblème du nouveau musée de l’agriculture initié par le Conseil départemental. Moins pour évoquer son financement.« Michelin a offert les pneus», pointait- on, ici. «La marque a apporté son aide technique et technologique», relevait-on, poliment, du côté du constructeur de tracteurs Claas. D’autres déroulaient, à l’envie, le «succès» de l’opération de financement participatif lancée par le Département : «Nous avons récolté 14.000 € venant de 250 donateurs issus de 34 départements et de 3 pays. » D’accord mais, alors, combien a-t-il coûté, au final ? Et bien il semblerait que l’engin de 3,5 tonnes pèse, au minimum 44.000 €. Le mystère du prix s’est un peu envolé juste avant les agapes.Une voix, proche de ce dossier, a osé lâcher : «C’est compliqué… Mais, au final, ça coûte moins de 30.000 € au Département. Pour un tracteur qui va devenir un des emblèmes de l’Eure-et- Loir, un nouveau moyen de communication synonyme de retombées médiatiques et économiques. » (intégral)
L'Echo, 22/05

(Dreux) Le tableau des Glycines de Claude Monet a été transporté comme un chef d’État au musée chinois


Il trône seul au milieu d’un mur. «Dans toute sa majesté», s’enthousiasme Axelle Marin, conservatrice du musée. L’étude des glycines de Monet est le dernier tableau du parcours de l’exposition Monet proposé au musée de Hong Kong, jusqu’à la mi juillet. À la différence des autres Monet, le tableau a la particularité de n’être pas verni, donnant l’impression que le peintre vient juste de l’achever. Axelle Marin ajoute : «Il a été plébiscité par les Chinois.» Le prêt du tableau a fait l’objet de mille précautions. Un déplacement intéressant pour la ville.
L'Echo, 22/05, p.10

(Loches) Courbet chez Lansyer : le maître chez l’élève

Les d eux hommes étaient de caractère si différent que les asso- Lcier dans une même exposition est déjà un beau pari. «Courbet était très provocateur, Lansyer était un peintre discret. Il a sans doute été attiré par la personnalité de Courbet», indique Véronique Lourme, responsable du service patrimoine de la ville. Attiré à tel point qu’Emmanuel Lansyer, de 16 ans plus jeune que son maître, sera un de ses premiers élèves  dans l’atelier qu’il crée rue Notre-Dame-des-Champs à Paris (1861). Lansyer en sera le massier (trésorier) le temps de la courte existence (quatre mois) de cet atelier que Gustave Courbet gérera à la manière d’un… artiste. Un sacré contraste avec le rigoureux et méthodique Lansyer. Mais pour Emmanuel Lansyer, cette étape sera fondamentale dans sa vie. Il y aura un «avant» et un «après» atelier. Autre différence entre les deux peintres, Courbet maîtrise la technique au couteau, tandis que Lansyer préfère ses pinceaux. «Mais si on compare leurs tableaux, ce qui est incroyable, c’est la similitude entre les deux, alors que la technique n’est pas la même», observe Clotilde Vidal, coordinatrice de l’exposition «Courbet s’invite chez Lansyer». Les deux hommes ont la même passion du paysage, du cadre, du réalisme, de la lumière. C’est ce que dévoilera en partie l’exposition «Courbet s’invite chez Lansyer» dans la maison familiale d’Emmanuel Lansyer, dans la cité royale.
NR Indre et LoireT, 21/05, p.28

(Orleans) Olivia Voisin œuvre pour les musées


Fraîchement arrivée depuis à la direction des musées d’Orléans, Olivia Voisin s’active à la préparation de la Nuit des musées qui se tiendra samedi 21 mai. «Un bel événement, l’occasion pour le public de découvrir les collections autrement». Enthousiaste, dynamique, la jeune femme ne manque pas d’idées. Rencontre.
RC Loiret, 15/05, p.17

(Chartres) Le Conservatoire de l’agriculture fait peau neuve

Au terme de presque deux ans de travaux, le Conservatoire de l’agriculture (Compa) rouvre ses portes et propose à ses visiteurs des espaces flambant neufs, à Chartres. Plus moderne, interactif et immersif, le Compa se réinvente après vingt cinq ans d’existence. Samedi 21 mai, le premier musée d’agriculture de France dévoilera au public des expositions inédites. Ce sera aussi l’occasion de découvrir la mascotte du musée, TractoBrick, un tracteur grandeur nature construit avec 800.000 briques de Lego.
L'Echo, 14/05, p.5

(Chateaudun) Une exposition maligne comme un singe

Chimpanzés, gorilles, orangs outans… Les grands singes sont nos plus proches parents car, contrairement à l’idée reçue, on ne descend pas du singe. «Nous avons près de 98% d’ADN en commun, a rappelé, vendredi soir, Alice Baudet, adjointe au maire de Châteaudun en charge de la culture. Nous partageons nos défauts et nos qualités, nos aptitudes et nos ressentis.» L’équipe du musée des beaux arts et d’histoire naturelle consacre sa nouvelle exposition à ces «Singes, nos cousins primates» et met en évidence leur richesse. L’intérêt manifesté aux primates se résume le plus souvent à une curiosité envers les orangs outans, gorilles et chimpanzés et à ce qui, dans leur comportement, les rapproche de l’homme. Exposition jusqu’au 2 janvier au musée des beaux-arts et d’histoire naturelle.
L'Echo, 15/05, p.12

La Vallée des peintre retrouve ses artistes
Ces quelques kilomètres de Creuse, entre Fresselines et Gargilesse, ont attiré pendant près d’un siècle, des centaines d’artistes, émus par la beauté des paysages et avides de la reproduire. Jusqu’à octobre, les musées du château d’Ars à La Châtre, de Limoges, d’Éguzon et de Guéret, présenteront le travail de quatre d’entre eux, à la fois peintres et ambassadeurs de la vallée. Chacun à leur façon, ils ont contribué à  faire connaître ce lieu auprès de leur entourage. Aujourd’hui, ils participent une nouvelle fois à mettre en lumière ce territoire qui les a inspirés, comme l’explique Aurélia Gaudio, de l’Agence de développement touristique de l’Indre (ADTI).
+ L’ouverture du troisième lieu d’exposition de ces Itinérances artistiques est prévue ce samedi, au Musée de la Vallée de la Creuse, à Éguzon. Quatre-vingts huiles sur toile d’Eugène Alluaud y seront présentées.
NR Indre, 25/05, p.6

(La Chatre) Les Amis du musée très actifs

L’association Les Amis du musée poursuit ses activités avec la signature d’une convention avec le collège George-Sand, à l’occasion d’un don de reproductions de quinze œuvres et leurs cartels, appartenant au musée, qui ont été placées dans la salle polyvalente de l’établissement «L’idée est que les élèves et leurs familles s’approprient ces œuvres pour ensuite avoir envie de venir visiter le musée», explique René-Laurent Cambray, président des Amis du musée. Les activités de l’association se poursuivent toujours dans le souci de la qualité et du partage avec d’autres associations.
NR IndreE, 25/05, p.16

(Dordives) Pour les 10 ans du Musée du Verre

Le Musée du Verre et de ses Métiers souffle sa 10e bougie. A cette occasion, l’invitation est lancée pour venir découvrir ou redécouvrir ses collections ce samedi, 28 mai, à partir de 14 heures (entrée gratuite). L’exposition «Meilleurs Ouvriers de France» sera en accès libre et diverses animations seront proposées. Les artisans d’art feront la démonstration de leur savoir faire : vitrail au plomb, vitrail Tiffany, gravure et peinture sur verre, filage de verre, fusing et mosaïque. Il y aura aussi des démonstrations de soufflage de verre au chalumeau et le fil de Florian Debu, «Le dernier souffle» sera projeté et présenté par l’auteur lui même. (intégral)
RC Loiret, 26/05

(Tours) 213.600


C’est le nombre de visiteurs ayant fréquenté les expositions organisées au château par le Jeu de Paume depuis 2010. Après des débuts timides, entre 18 et 20.000 visiteurs de 2010 à 2012, la fréquentation a progressé en 2013 (32.000) et décollé en 2014 (49.000) grâce au  succès des expositions de Vivian Maier et Gilles Caron. Si 2015 fut un peu moins bonne (39.000), 2016 s’annonce comme un grand cru avec déjà 38.000 entrées rien que pour l’expo Capa. La prochaine rétrospective, consacrée à Sabine Weiss, qui se déroulera du 18 juin au 30 octobre, pourrait bien faire de 2016 une année record. (intégral)
+ Robert Capa et la couleur : clap de fin dimanche
NR Indre et Loire, 26/05

(Senonches) Avant-première au musée scénographique

Xavier Nicolas, maire LR, de Senonches et président de la communauté de communes a souhaité ouvrir aux élus le musée scénographique qui est installé dans le château de la  commune. Il a élargi l’invitation aux élus de la communauté de communes de La Ferté Vidame dans le cadre de la fusion en cours de préparation. Dans la cour du château, sous un soleil radieux, Xavier Nicolas a accueilli les Elus. Il a exposé l’historique du château, il a aussi expliqué tous les travaux de restauration qui avaient été entrepris, et a évoqué la création du musée scénographique. Nadia Desiles,  (responsable pole touristique musée) a emmené la bonne quarantaine de personnes à l’intér ieur du musée pour la visite. Trois niveaux sont proposés aux visiteurs. Le cœur du musée, met la forêt de Senonches en exergue. L’ouverture du musée aura lieu dans le courant du mois de juin.
L'Echo, 29/05, p.11

(Guilly) Nouveautés au Musée des ponts et chaussées


S’ouvrant sur une nouvelle saison, l’Espace mémoire du patrimoine de l’équipement et des ponts et chaussées (Empe) de Guilly, entre dans une nouvelle ère avec le Musée des ponts et chaussées. Le processus est engagé pour faire de la ferme expérimentale de l’ancienne propriété de Ferdinand de Lesseps, un musée à part entière ; il porte désormais cette dénomination. Du cantonnier à l’ingénieur, le musée regroupe trois siècles d’histoire des ponts et chaussées. Michel Labrousse, son conservateur a entrepris une nouvelle muséographie, les salles se spécialisent avec des matériels provenant de toutes les structures du MEEDDM. Les nouveautés 2016 : l’accessibilité, une salle dédiée aux groupes pour des conférences ou aux ateliers pédagogiques des scolaires, lors de leur visite. Un espace dévolu pour des expositions artistiques et culturelles dont la première sera visible dès juillet.
NR Indre, 29/05, p.7

(Loches) Les trésors de Courbet sont arrivés !

La main est immense. Démesurée : à l’image du personnage. Cette main, dont on pourra voir la reproduction au musée Lansyer, a peint quelques-uns des chefs-d’oeuvre de la peinture
du XIXe siècle. Elle appartient à Gustave Courbet, dont une quinzaine de tableaux bientôt exposés à Loches sont en cours d’installation depuis jeudi. A l’image des «Roches noires à Trouville», qui ont trouvé leur place dans une pièce du rez-de-chaussée du musée, où les œuvres de Courbet voisineront avec celles de son élève lochois Emmanuel Lansyer. Carine Joly, historienne de l’art et conservatrice adjointe de l’Institut Courbet, a enfilé les gants blancs. Avec Véronique Lourme, animatrice du patrimoine, elles saisissent délicatement ce trésor de la peinture réaliste et le positionnent sur le mur. Comme une petite cérémonie, à la fois simple et pleine de précautions. Au total, l’exposition présentera une cinquantaine de pièces (toiles et objets) de Courbet ou le concernant et autant pour Lansyer. Les tableaux de Courbet qui seront présentés appartiennent en grande majorité à l’Institut Courbet, même si trois d’entre eux, dont «Les Roches noires à Trouville», proviennent d’un collectionneur privé.
NR Indre et LoireT, 28/05, p.30

(Montargis) Le P'tit Girodet met ses artites amateurs à l'honneur

Mardi, rue Dorée, le P’tit Girodet inaugurait une exposition de ses travaux d’ateliers. Depuis son ouverture, le musée propose plusieurs fois par an des ateliers d’initiation à des techniques artistiques, ouverts au grand public (à partir de 6 ans). Pour un tarif compris entre 5 et 10 €, les artistes en herbe ont l’occasion d’échanger avec les intervenants, avant de mettre en pratique et de laisser libre cours à leur fibre artistique autour d’un thème donné. Ces ateliers, qui ont tous affiché complet jusqu’à présent, seront de retour au mois d’août pour des séances en plein air dans le jardin Durzy. (intégral)
RC Loiret, 27/05


Dernière édition par valerie.maillochon le Lun 30 Mai - 16:22, édité 8 fois
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MessageSujet: Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016)   Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016) Icon_minitimeMer 25 Mai - 15:36

Archéologie de la région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre


(Saint Amand) Un puit mis au jour dans la cour de la mairie

La cour de l’hôtel de ville est en pleine réfection. De nouveaux pavés sont en cours de pose sur les côtés de la cour, par les agents des services techniques municipaux. Ce sont eux qui, jeudi soir, en décaissant une partie de la cour, ont mis au jour un puits situé près de l’entrée menant à la salle des Actes. «Nous avons enlevé trente centimètres de terre et le puits est apparu, confie Jean-Paul Chemel, le responsable de la voirie. C’est un très beau puits, en pierres sèches taillées en arrondi.» Au fond, de l’eau et une conduite qui s’enfonce dans le sol. Pendant les travaux, le puits a été protégé par des rubans, en attendant qu’il soit mis en valeur. (intégral)
Le Berry, 21/05

(Saint Amand) Une fontaine sortie de terre

A l’arrière de l’abbatiale de l’abbaye de Noirlac, sur un coteau de terre en partie décapé, les archéologues d’Études et valorisations archéologiques (Eveha) prennent des mesures. Depuis une quinzaine de jours, ils effectuent des fouilles préventives avant la construction d’un bâtiment logistique. Au milieu de cette zone de 700 mètres carrés, un trou entouré de pierres. Un puits ? C’est ce qu’ont pensé, dans un premier temps, les archéologues en le découvrant mardi dernier. «Ce qui nous a étonnés, c’est sa circonférence de 3,60 m. C’est large pour un puits. En outre, il n’est profond que de 2,10 m donc nous avons pensé à un bassin d’agrément et finalement, nous avons trouvé des marches qui donnent un accès à l’eau. Nous pensons qu’il s’agit d’une fontaine», confie Isabelle Pignot, archéologue chez Eveha et responsable des opérations. Pour l’heure, la fontaine a été mesurée, photographiée et sera «modélisée en 3D pour la garder en mémoire», assure l’archéologue.
Le Berry, 26/05, p.23


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MessageSujet: Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016)   Revue de presse ( 23 - 29 mai 2016) Icon_minitimeMer 25 Mai - 15:38

Patrimoine de la région Centre

Source : Panorama de presse de la Drac Centre


(Saint Jean de Braye) Luxe, calme et volupté à Miramion

Le cahier des charges est exigeant. Recherche: futur investisseur et exploitant pour un projet d’hôtel 4 étoiles avec60 chambres, un restaurant semi gastronomique (ou gastronomique), 3 salles de séminaire et un pôle bien être «innovant». Cet appel à projet, c’est la ville qui l’a lancé. Propriétaire du domaine de Miramion, elle cherche à en vendre la demeure principale pour un projet à vocation économique «d’exception». Un projet que la municipalité a élaboré en lien avec un cabinet de consulting. Ce dernier a notamment préconisé, après avoir réalisé une étude de faisabilité en 2015, que ce programme (autour de 25 emplois seraient créés), outre l’hébergement, la restauration et les séminaires, propose «un pôle bien être, élément différenciateur de la concurrence locale». L’idée serait de toucher à la fois une clientèle d’affaires – de nombreuses entreprises sont situées à proximité directe du site, dont Dior, qui se serait déjà montrée intéressée par le concept – et une clientèle touristique ou de loisirs.. (intégral)
RC Orleans, 21/05, p.19

Le château de Valençay se découvre aussi à hauteur d’enfant

Au château de Valençay, les enfants ont aussi leur place. L’atelier «Herbier» propose la découverte et l’usage d’une partie des arbres de la forêt du domaine de Valençay. L’atelier «les Animaux dans l’art» offre un nouveau regard sur les animaux que présente le château à travers son mobilier. L’atelier «le Petit pâtissier», déjà connu du grand public, est toujours proposé mais dans un nouveau lieu habituellement fermé au public : les arrière cuisines pour des cours toujours plus gourmands. Un nouvel audioguide pour les jeunes jusqu’à 13 ans est également désormais disponible gratuitement dans le cadre du nouveau parcours de visite. Il permet une approche plus simple du château. Un carnet de jeu est également distribué à chaque enfant (4-6 ans) ou (7-12 ans) pour explorer les différentes pièces du château en résolvant de nombreux quizz et énigmes. (intégral)
Le Berry, 21/05

(Ivoy le Pré) Appel aux dons pour l’église

«Sauvegarder le patrimoine et l’identité chrétienne.» Tel était l’engagement du maire d’Ivoy le Pré, David Dallois, au regard des importants signes de vétusté que présente l’église du village. Engagement en passe de se réaliser puisque le conseil s’est prononcé favorable pour chaque tranche de travaux envisagée. Dans un premier temps, l’architecte Christèle Aurois a réalisé un diagnostic des travaux nécessaires à la sauvegarde du bâtiment. Ces derniers ont été classés par niveau d’urgence avec, en premier lieu, ceux liés à l’infiltration d’eau et les problèmes structurels. Viendront ensuite les rénovations les moins urgents puis les étapes d’embellissement. Les travaux de mise hors d’eau, réalisés en priorité, protégeront les stalles, les parements intérieurs des murs et les peintures murales remarquables de la chapelle baptismale. La couverture sera reprise. La charpente présente également des faiblesses. Ces travaux, estimés à 246.500 euros hors taxes, imposent un très gros effort financier à la commune. Jeudi soir, une convention a donc été signée avec la Fondation du patrimoine afin de lancer une souscription.
Le Berry, 21/05, p.19

(Chartres) Top départ pour la dépose de l’échafaudage

L’équipe chargée de la dépose de l’échafaudage qui encadre la nef a pris ses quartiers, en fin de semaine, dans la cathédrale. Pendant un mois et demi, la société Europe Échafaudage, basée dans la Meuse, s’activera pour enlever 300 tonnes de matériel. Après 30 mois travaux, la nef retrouva toute sa splendeur. Daniel Alazard, ingénieur du patrimoine à la Drac (Direction régionale des affaires culturelles Centre-Val de Loire), précise : «Un quai de transfert sera mis en place pendant la dépose et servira, de 8 à 10 heures, pour sortir le matériel de l’édifice et ne pas perturber les visiteurs.» Responsable du suivi du chantier, il sera également très attentif à la dépose : «La coactivité qui existe avec le public fait que ce sera une période délicate. La première étape consistera, d’ailleurs, à mettre en place des tunnels de protection pour assurer la sécurité des visiteurs.» (intégral)
L'Echo, 21/05

(Tours) Promenade culturelle au milieu des tombes

Ce n’est pas forcément l’endroit auquel on pense en premier. Pourtant, la visite d’un cimetière permet d’en apprendre beaucoup sur l’histoire  des célébrités locales. Partant de ce constat, la Ville a décidé de mettre en avant la richesse culturelle du cimetière de La Salle, le plus grand  des quatre cimetières de Tours. Comment ? En mettant à disposition du public un dépliant intitulé Tourangeaux illustres et art funéraire. Le fascicule revient sur l’histoire du lieu et présente une quarantaine de sépultures remarquables parmi les 25.000 du cimetière. «Ce document n’a pas la prétention de tout résumer, reconnaît Jean-Luc Porhel, directeur des Archives et du patrimoine. C’est une sélection avec un intérêt historique et architectural.»
+ Un cimetière ouvert en 1857
NR Indre et LoireT, 21/05, p.14

(Orleans) Son et lumière

Jamais, le spectacle son et lumière projeté sur la cathédrale le 7 mai au soir n’avait été repris durant la saison estivale. «Nous avons les droits du spectacle. Nous avons investi 400.000 euros dans le matériel pour le projeter tout l’été», annonce Martine Grivot. Les touristes et les Orléanais profiteront de «Jeanne, visages universels» les vendredis et samedis, à 23 heures et 23h30 du 27 mai au 2 juillet inclus ; les jeudis, vendredis et samedis (23 heures et 23h30) du 7 juillet au 13 août inclus ; du 18 au 27 août inclus les jeudis, vendredis et samedis (22h30 et 23 heures) et les vendredis et samedis du 2 au 24 septembre (22h30 et 23 heures). «Le but est de faire rester les touristes à Orléans, de les faire dormir et consommer. » (intégral)
RC Orleans, 14/05

(Cléry Saint André) Les projets d’investissement sont lancés

Le déblocage de la subvention du conseil départemental, au taux exceptionnel de 44%, pour les travaux de la travée nord de la basilique permet de reprendre le chantier qui va ainsi s’achever en septembre. (intégral)
RC Orleans, 14/05

(Orleans) Les représentations de Jeanne d’Arc

Orléans, ville marquée par l’empreinte de Jeanne d’Arc. Et alors que les fêtes célébrant la Pucelle se sont terminées il y a quelques jours, l’office de tourisme propose une balade autour des représentations de Jeanne d’Arc à Orléans. Du souvenir de son passage dans la ville, il reste des noms de rues et de commerces, des statues, des céramiques, des vitraux…
+ Jeanne d’Arc en chemise et en pantalon
RC Loiret, 15/05, p.20

(Tremblay les Villages) Sauver les églises : un défi à relever

Restaurons ensemble : tel est le défi qu’a lancé la municipalité de Tremblay les villages pour sauvegarder ses 6 églises. Christelle Minard, maire, entourée d’élus et d’habitants, a signé une convention avec la Fondation du Patrimoine avec son délégué départemental, Henri Réau. «Nous lançons cette première souscription pour l’église de Theuvy Achères dont il faut d’urgence remplacer deux poutres», explique Christelle Minard. L’église est interdite au public et il faut pouvoir l’ouvrir en toute sécurité. Le montant des travaux est de 16.960 € HT. La mairie compte sur des subventions de 14.416 € HT (Sdaic, Drac…). Il reste à la charge 2.544 € de la commune. Une deuxième tranche concernera la réfection de la voute.
L'Echo, 14/05, p.18

(Châteaudun) La bâche s’est encore envolée


La bâche, entourant l’église Saint Valérien, en cours de restauration, a encore fait des siennes, hier matin, nécessitant la quatrième intervention en moins d’une semaine des sapeurs pompiers. À la suite d’un coup de vent matinal, l’imposante toile blanche s’est décrochée, fragilisant l’échafaudage. Appelés à la rescousse, les hommes du GRIMP (Groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux) de Chartres et Dreux, aidés par leurs collègues de Châteaudun, sont montés sur le clocher, à plus de 40 mètres du sol, pour découper 60m² de textile de chaque côté de l’édifice religieux. Un bon exercice qu’ils aimeraient ne plus avoir à renouveler trop souvent. Les travaux devraient s’achever fin 2017 début 2018. (intégral)
L'Echo, 15/05

(Chinon) Soixante minutes pour s’échapper de la forteresse royale


Décembre 1189. Richard Coeur de Lion vient de partir pour la troisième croisade et vous voici plongé dans ses appartements privés en plein coeur de la forteresse royale de Chinon. Il est persuadé qu’un trésor se trouve dans cette bâtisse héritée deson père Henri II. Pour l’aider dans sa quête, le souverain doit faire appel à de fins limiers. En ce qui nous concerne, nous sommes une équipe de quatre. Un agent d’accueil du château, sympathique et souriant, nous explique les règles du jeu. Avant de franchir la porte, nous devons laisser au vestiaire téléphones portables, tablettes et tout autre appareil susceptible de favoriser notre progression vers la découverte du trésor. Une fois à l’intérieur de la pièce de 15 m², une ardoise magique va nous permettre de prendre des notes et un écran fixé au mur laisse apparaître le compte à rebours. Sur un pupitre, la première énigme à résoudre. Bilan de l’heure écoulée : tout le monde est unanime, chacun de nous a passé un excellent moment.
NR Indre et LoireT, 15/05, p.9

(Jargeau) Faute d’argent, la rénovation est arrêtée

«On a besoin de faire des économies», explique le maire (PS) de Jargeau, Jean-Marc Gibey. En ces temps de baisse des dotations de l’État, les municipalités serrent le budget. À Jargeau, c’est l’église Saint Étienne qui en fait les frais. La restauration du monument datant du XIIe siècle et classé monument historique en 1932 était prévue en deux temps : d’abord la résolution des problèmes d’infiltration d’eau puis la rénovation de la toiture. Pour un coût total de 1.100.000 €. «La première phase a permis d’améliorer le système de drainage autour de l’église et de la tour porche. On a constaté que les désordres avaient disparu sur les boiseries. Donc on a arrêté le projet (lancé lors du précédent mandat de Jean-Marc Gibey).»
RC Orleans, 21/05, p.19

(La Guerche sur l'Aubois) Les travaux sont lancés à la Tuilerie


L’opération de restauration de la Tuilerie Sauvart est engagée depuis le début du mois de mai. Vendredi dernier, en visite de chantier, Serge Mechin, président du Pays Loire Val d’Aubois, a effectué une visite de chantier. L’occasion de constater que le chantier relatif à l’aménagement d’un centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine dans cet ancien bâtiment industriel situé au bord du canal de Berry va bon train. Cette première tranche qui s’étalera jusqu’aux vacances consiste en des travaux de démolition, décapage, maçonnerie et isolation physique d’une partie non utilisée par le public. (intégral)
Le Berry, 25/05

(Vieuvicq) Pour sauver l’église, une souscription est lancée à la population


En décembre 2014, la découverte d’une invasion de mérules à l’intérieur de l'église Saint Martin de Vieuvicq a provoqué sa fermeture immédiate au public, pour éviter la propagation de ce champignon, véritable fléau, qui s'attaque aux charpentes et aux boiseries. En janvier 2015, la municipalité a dû faire procéder dans l’urgence à un traitement spécifique pour éradiquer ces mérules qui ont causé des dégâts irréversibles à l’intérieur de l’édifice religieux (structures porteuses, mobiliers, carrelages,  installation électrique et enduits). Pour trouver les fonds pour réaliser les travaux nécessaires, les élus locaux ont pris l’initiative de lancer une souscription publique sous l'égide de la délégation de la Fondation du patrimoine du Centre.
L'Echo, 25/05, p.15

(Sorigny) L’adresse haut de gamme qui manquait à la Touraine

Situé dans le parc d’activités de Touraine Isoparc de Sorigny, le remarquable Domaine de Thais, qui s’étale sur six hectares et demie, est à l’opposé d’un multicomplexe sans âme et sans charme, comme il en existe déjà trop en France. «Au départ, Thais était une ruine dont le tiers des murs était tombé. Quant au château qui date du XVIe, il a été détruit sous Napoléon III, en 1853», explique Gilles Mosset, son propriétaire, qui a restauré les dépendances et même sauvé le pigeonnier médiéval situé à l’entrée. Des communs qu’il a transformés en d’exceptionnels espaces événementiels, équipés de la dernière technologie ; une alliance parfaite de l’ancien et du contemporain. Et pas de petit ou de grand détail qui cloche pour celui qui est passionné de miniature ; c’est tout dire.
+ Le pigeonnier médiéval a été sauvé
NR Indre et LoireT, 25/05, p.2

(Le Grand-Pressigny) Le château de Boufféré ravagé par le feu


Quelque cinquante pompiers sont intervenus sur l’incendie qui a débuté hier, mardi, vers 1h, sur la commune du Grand-Pressigny, dans le Sud lochois. Venus de plusieurs centres de secours, ils ont, sous le commandement du capitaine Olivier Bossard, du CSP Sud-Agglo, lutté durant quatre heures contre le feu qui s’est déclaré au niveau de la toiture du château de Boufféré, avant de se propager à l’étage et au rez-de-chaussée. De gros moyens ont été déployés, dont deux grandes échelles et trois fourgons pompe. Vers 9h, le brasier était maîtrisé et les sapeurs-pompiers avaient mis en service les moyens de la cellule de sauvetage et déblaiement pour sécuriser le site, étayer les planchers, enlever les débris afin d’éviter toute reprise du feu. Sur place, le commandant des moyens opérationnels indiquait : «On est maintenant dans la conservation du patrimoine de façon à ne pas abîmer les façades.» (intégral)
NR Indre et LoireT, 25/05

(Bueil en Touraine) Des dons pour la maison du Charron

Les habitants du village étaient réunis samedi pour assister au lancement d’une souscription avec le représentant de la Fondation du patrimoine afin d’aider à restaurer la maison du Charron, rachetée en 2013 par la commune. Le maire Rémi Tondereau a signé la convention avec Jacques Guionnet, responsable du secteur pour la Fondation du patrimoine. Les dons des  particuliers et entreprises permettront à la commune de prétendre à une subvention. Quant aux donateurs, ils aideront à sauver une bâtisse du XVIe siècle, tout en bénéficiant d’une réduction d’impôt. La commune avait déjà fait appel à la fondation pour la restauration de quelques éléments de la collégiale. Le coût de restauration du bâtiment est estimé à environ 250.000 euros.
NR Indre et LoireE, 25/05

(Montbouy) Le toit de l’église va être démoussé


Le conseil municipal de Montbouy s’est tenu vendredi dernier. Il a été question du toit de l’église Notre Dame Saint Blaise qui n’a pas été nettoyé depuis trois ans. Il convient de l’entreprendre, la mousse gagnant de plus en plus de terrain. Un long échange entre les conseillers a eu lieu pour le choix d’une des deux entreprises qui se sont présentées. Pour pouvoir obtenir une subvention du conseil départemental, le bâtiment étant classé, la certification par l’architecte des Bâtiments de France est obligatoire. Bien qu’un peu plus chère, mais répondant à ce critère, c’est la société Attila Montargis qui est retenue pour un montant de 14.941 €. Cinq conseillers se sont abstenus. (intégral)
RC Loiret, 26/05

(Bourges) Un sol du XVe sous la moquette

La moquette a parfois cet avantage qu’elle protège des trésors, même si elle vieillit très vite. Et dans la boutique du palais Jacques Coeur, avant rénovation, elle cachait un magnifique sol du XVe siècle que les travaux entrepris ont permis de révéler ! C’est d’ailleurs ce que remarquent en premier les touristes ou les habitués des lieux : ce sol, fait de dalles foulées par d’illustres souliers. «On nous dit souvent que c’est plus clair et plus grand et, pourtant, nous n’avons pas poussé les murs», sourit Nadine, responsable de la billetterie et de la boutique. La baie est dégagée et, dès l’entrée, chacun a vu sur la cour magnifique de la grand’maison : on plonge directement dans le sujet.
Le Berry, 26/05, p.10

(Bonneval) Un camion nacelle pour l’église

Des travaux d’entretien et de réparation des toitures de l’église Notre Dame sont actuellement en cours à Bonneval. C’est l’entreprise bonnevalaise Haudebourg qui a la charge de leur exécution. Pour cela un camion nacelle, dont la flèche peut atteindre 61 mètres, a été mis en place. La vue de cet engin n’est pas sans rappeler aux habitants qu’en avril 2006 une impressionnante grue  remontait le clocheton déposé en juin 1994 pour cause de mauvaise état et sur injonction du sous préfet. (intégral)
L'Echo, 26/05

(Chartres) La reconstruction de la Porte Guillaume, un chantier école

C’est l’un des projets de restauration les plus ambitieux pour les Chartrains : reconstruire la Porte Guillaume à l’identique,  comme elle était avant lanuit du 15 au 16 août 1944, où elle a été dynamitée parles troupes d’occupation. Un chantier titanesque pour redonner à cette fortification du XIIe siècle,son aspect originel : deux tours, sommées de créneaux et mâchicoulis, qui encadraient la porte en arc brisé, haute d’environ 4 m et large de 3 m, flanquée d’une porte piétonne large de 0,80 m environ. Une partie de la reconstruction pourra se faire grâce aux pierres qui ont été récupérées après la destruction de la Porte Guillaume. Elles sont stockées, depuis, sur le site des services techniques municipaux, aux Perriers. Malgré l’ampleur du travail qui attend les restaurateurs, Patrick Géroudet, l’adjoint au rayonnement de la ville, était optimiste en avril 2015, dans les colonnes de notre journal. «Il s’agira d’une reconstitution à l’identique. C’est un cas unique en France, qui n’est régi par aucun texte de loi. Mais le projet est d’une telle ampleur que le ministère de la Culture semble prêt à faire une exception pour nous faciliter la tâche.» Pour mener ce projet à bien, toutes les bonnes volontés vont être mobilisées, les membres de l’association de la Porte Guillaume en premier. Un appel au mécénat est lancé pour financer les travaux qui seront effectués en grande partie par des bénévoles.
L'Echo, 26/05, p.29

(Châteauroux) Patrimoine : un appel au mécénat

La réhabilitation de la Manufacture Royale de Balsan, à Châteauroux, aujourd’hui reconnue par la Région, «a été une mission compliquée, difficile et onéreuse mais c’est un devoir civique de sauver et faire vivre ce que nous ont légué nos prédécesseurs», a estimé Paulette Picard, présidente de la CCI, en accueillant les membres de la Fondation du patrimoine, lundi dernier. En France, la Fondation du patrimoine – qui fête ses 20 ans – représente près de 2.500 projets soutenus, plus de 40.000 donateurs et la somme de 123 millions d’euros de travaux accompagnés. «Dans l’Indre, ce sont cinquante collectivités et cent cinquante particuliers qui ont bénéficié d’une aide à la restauration, qu’il s’agisse d’un manoir ou d’un four à pain, pourvu qu’ils soient visibles de la voie publique», rappelle Arnaud de Montigny, délégué départemental.
NR Indre, 26/05, p.6

(La Guerche sur l'Aubois) Une souscription publique pour la tuilerie

Le syndicat de pays travaille depuis le début du mois à la création d’un Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (Ciap) sur le site de la Tuilerie Sauvard. Un équipement culturel de proximité ayant pour objectif la sensibilisation, l’information et la formation de tous les publics. La réhabilitation du bâtiment, fondé en 1859 et qui abrite un four Hoffmann, s’inscrit dans une démarche innovante combinant développement  du tourisme et de la culture. Le Pays Loire Val d’Aubois, propriétaire et maître d’ouvrage, a décidé  d’organiser une souscription dans le cadre d’un mécénat populaire.
Le Berry, 25/05

(Thiron Gardais) « Une pure folie, l’œuvre d’une vie »


Quand Stéphane Bern raconte l’abbaye de Thiron Gardais, on se croirait dans un épisode de Secrets d’Histoire. Le ton, l’attitude, la pédagogie, tout y est. Sauf qu’à la télévision, l’animateur ne porte pas de jean, encore moins de baskets. Chez lui, dans le Perche, il reçoit en toute  simplicité. Pendant le tour du propriétaire, il est intarissable sur l’histoire de l’abbaye, instituée comme l’un des douze Collèges royaux et militaires de France par Louis XVI, mais aussi sur le travail de restauration. Celui qui «ne voulait pas de maison à la campagne», s’est pourtant lancé par hasard dans ce projet, en février 2013. Il s’est plongé dans le passé du lieu : «Moi qui me passionne pour les destins de  grandes personnalités, j’ai mis la même énergie à raconter l’histoire archi méconnue des douze Collèges royaux.» À tel point que ce fou des rois ouvrira, le 10 juillet, un Musée des Collèges militaires royaux à Thiron Gardais. Depuis des mois, il traque, chine, entasse des objets pour son musée. La plus belle pièce sera la crosse de l’abbé de Thiron, prêtée par le musée des beaux Arts de Chartres.
L'Echo, 28/05, p.2/3

(Chartres) Les grandes orgues de la cathédrale Notre Dame dépoussiérées

C’est l’un des joyaux de la cathédrale. Accrochées en “nid d’hirondelle”, grâce à des madriers s’appuyant, en partie, sur le triphorium,  les grandes orgues de Chartres ont fait l’objet d’une opération de dépoussiérage. Après ce chantier, le premier concert public, en dehors d’un  cadre liturgique, est donné, ce soir, par l’organiste Patrick Delabre, titulaire des grandes orgues de la cathédrale depuis trente ans. Un à un, les 4.900 tuyaux de l’instrument ont été déposés et méticuleusement nettoyés par des ouvriers de l’entreprise Alain Léon, implantée au Mans (Sarthe), associés à la manufacture d’orgues Roberts frères, de Nantes (Loire Atlantique). La Direction régionale des affaires culturelles, qui pilote la restauration des voûtes, a profité de la présence des échafaudages dans la nef, pour lancer, en octobre 2015, le nettoyage des grandes orgues.
L'Echo, 28/05, p.6

(Augerville) Il sort un livre sur l’histoire méconnue du château

Devenu golf-hôtel, le château d’Augerville a connu une histoire rocambolesque, que raconte aujourd’hui Thierry Bayle, après des années de travail.
RC Loiret, 29/05, p.14

“ Les Pleureuses ” de Nivet passeront l’été au Panthéon

Dans le documentaire D’âmes et de pierre, diffusé l’automne dernier sur France 3, Pascal Guilly en avait dressé un magnifique portrait en clair-obscur, évocation bien lointaine de l’image folklorique et patoisante régulièrement véhiculée. Nivet, fils de paysan, né en 1871 à Levroux, «nous dit beaucoup de choses sur le monde et sur la vie», soulignait alors notre confrère. Celui qui fut élève de Rodin avait eu droit à une reconnaissance nationale de son vivant. La guerre 1914-1918 avait constitué un tournant majeur. «Il ne représentera plus jamais de paysans après ce terrible conflit.» Aux anciennes  postures se substituèrent alors des femmes portant le deuil de leurs chers disparus. Juste retour des choses, c’est dans le cadre des  commémorations du centenaire de la Grande Guerre que le talent d’Ernest Nivet vient d’être remis en lumière. «Un appel avait été lancé en 2014 pour que soit organisée aux Rencontres photographiques d’Arles, une exposition de photos de monuments aux morts», souligne Lucien  Lacour, mari de Francesca, petite- fille de Nivet. «J’en avais envoyé plusieurs dont celle du monument du Département, installé place de la  Victoire-et-des-Alliés à Châteauroux.» Un gros plan du visage des «Pleureuses» a été retenu. La photo figure dans l’exposition nationale qui vient d’être inaugurée par la ministre de la Culture, et qui se tiendra au Panthéon jusqu’au 11 septembre.
NR Indre, 29/05, p.2

(Loches) Un livre met Loches sens dessus dessous


Le papier est de qualité, la maquette belle et classique. «Loches au cœur de laTouraine» vient de paraître aux Éditions du palais. Cet ouvrage, intégralement financé par la commune de Loches (coût : 18.300 euros HT), traite bien sûr de l’histoire de Loches, de ses figures comme Agnès Sorel et son gisant d’albâtre…Il évoque également le visage actuel de la ville, sous l’impulsion de ses élus. Un tableau idyllique qui donne envie de venir dans notre belle ville. Mais une chose est sûre : les historiens ne viendront pas après avoir lu ce livre. Ils n’auront pas le temps, puisqu’ils devront d’urgence reprendre leurs études tant «Loches au cœur de la Touraine» contient d’informations, disons… surprenantes. On passe sur plusieurs erreurs et celles que, sans doute, on n’a pas vues. Le livre coûte 15 €. «Un tel livre pourrait être un atout patrimonial et touristique» pour Loches, avait expliqué la municipalité lors du conseil municipal du 3 avril 2015 pour justifier la dépense. Voire…
NR Indre et LoireW, 28/05, p.30

Se prendre pour Léonard de Vinci au château d’Amboise

Depuis quelques semaines, le parc du château royal est agrémenté d’accessoires, des grands chevalets et des cadres en bois. Ce n’est pas une lubie créatrice d’un artiste en mal de reconnaissance contemporaine mais des objets pratiques destinés aux visiteurs qui veulent laisser libre cours à leur imagination et à leur créativité. L’idée de lancer un concours créatif ouvert à tous est venue en regardant le dessin fait par Léonard de Vinci en 1517 du château. Les visiteurs sont donc invités à puiser leur inspiration dans ce décor, dans le paysage, mais aussi dans les personnages d’aujourd’hui. Le parc du château est transformé en studio photo, en atelier d’artiste de plein air. Cette appropriation artistique du site est la première étape de ce jeu interactif. La seconde, c’est une mise en ligne sur les réseaux sociaux avec un concours à la clé.
NR Indre et Loire, 29/05, p.13

(Chateau Renault) Une collecte pour la Tour de l’horloge

En septembre dernier, à l’occasion des Journées du patrimoine, une souscription avait été lancée pour la restauration de la Tour de l’horloge, dont une partie s’était effondrée en décembre 2014. A ce jour, la souscription organisée conjointement par la Ville et la Fondation du patrimoine a permis de récolter 29.076 €, des dons provenant d’entreprises et de particuliers. Deux commerçants s’étaient ensuite associés à ce mouvement de solidarité pour la reconstruction du monument emblématique de la commune, en reversant une partie de la recette de certains de leurs produits. Sur le principe des pièces jaunes de La Poste, dès mercredi 1er juin, une soixantaine de commerçants et d’artisans adhérents à l’association Coeur de ville se joindront à la collecte de fonds, en présentant des boîtes-tirelires dans leurs commerces pour une opération intitulée «Des pièces pour la tour».
NR Indre et Loire, 29/05, p.13

(Montbouy) Opération rénovation du lustre de l’église

Le lustre de l’église Notre Dame de Charmont en Beauce a été rénové. Et cela grâce au travail de quelques adhérentes du club des anciens : Bernadette, Lucette, Raymonde et Delphine Prunet (adjointe de la structure). L’initiative revient à Rémy Leprince, l’agent communal qui a descendu le lustre. Suscitant l’enthousiasme des fameuses adhérentes à l’idée de participer à la restauration du luminaire. Une opération qui a permis aux habitants de contribuer à l’embellissement de leur village, et plus particulièrement de son église. Une belle initiative à souligner.
RC Loiret, 27/05, p.17

(Montrichard) Le nettoyage a commencé !


Ce matin du 25 mai, la première pelleteuse est arrivée rue de La Chancellerie pour commencer à déblayer l’énorme tas de gravats. Cette tour qui s’est écroulée après un premier éboulis du rempart de l’ancienne ville fortifiée avait répandu sur toute la chaussée toute un pan de l’enceinte. Protégé par des barrières de sécurité, le site demeurait interdit et la rue barrée aux voitures. Pour des raisons juridiques et patrimoniales, le délai a pu paraître long, mais finalement le nettoyage du site a commencé tôt ce matin. Il faudra encore plusieurs jours pour tout débarrasser puis viendra le temps de la reconstruction (à l’identique ?) du mur d’enceinte. L’amas de gravats d’un esthétisme douteux va disparaître. Tant mieux ! (intégral)
NR Loir et Cher, 27/05

(Saint-cyr-sur-loire) La Fondation du patrimoine a remis ses labels


Lundi soir, dans les salons Ronsard de l’hôtel de ville,la délégation départementale de la Fondation du patrimoine remettait plaques et diplômes à trente-sept récipiendaires. La Fondation récompense chaque année les propriétaires privés, les collectivités territoriales et les associations pour la réalisation de travaux de restauration sur leurs bâtiments. La cérémonie, présidée par Jean-Pierre Déchelle, délégué départemental, et Francine Lemarié, adjointe, représentant le maire, Philippe Briand, en présence de nombreuses personnalités de la Région et du Département, a débuté par un hommage à Jean-Yves Couteau. A l’issue de la présentation de leur projet, vingt-cinq propriétaires privés ont reçu plaque et diplôme qui témoignent de leur implication à rénover leurs bâtiments. De plus, onze projets publics et associatifs ainsi qu’un chef d’entreprise ont été mis à l’honneur. Il s’agit de Julien Hébras, ébéniste d’art, qui a repris en 2015 l’atelier Lemaire, à Saint-Cyr.
NR Indre et Loire, 27/05, p.19


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Source : lemonde.fr

Les instituts français en voie de destitution

Quatre cents ans d’histoire… et 4 000 m2 à chauffer et à entretenir : c’est trop pour le budget français. L’Etat a donc décidé de revendre la Maison Descartes, un beau bâtiment du cœur d’Amsterdam, édifié sur pilotis par l’architecte Adriaan Dortsman lors du Siècle d’Or des Pays-Bas. L’ensemble du Vijzelgracht, l’un des célèbres canaux de la capitale néerlandaise, abrite à la fois l’Institut français des Pays-Bas et le consulat général. Acquis en 1966 par la France, l’ancien hospice devenu la Maison Descartes, devrait être fermé le 30 juin. Ses activités et ses cours de langue devraient être abandonnés, ses 30 employés néerlandais et professeurs licenciés.
Lire la suite : http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/05/25/les-instituts-francais-a-l-etranger-en-voie-de-disparition_4925822_3224.html
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