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 Revue de presse (25 février - 3 mars 2019)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (25 février - 3 mars 2019)   Revue de presse (25 février -  3 mars 2019) Icon_minitimeMer 27 Fév - 10:04

Musées Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

Retour vers le futur du Musée des Beaux-Arts d’Orléans #1/3
Alors qu’est officiellement annoncée la future Nuit des Musées qui aura lieu le 18 mai 2019 et que les salles réanimées du  XIXe du musée des Beaux Arts d’Orléans actuellement en travaux ouvriront en 2020, on ne peut qu’être tenté de  revenir avec estime et plaisir sur l’ouverture du musée des Beaux-Arts d’Orléans, ouvert au XXe siècle et, dés ses premières heures riche d’actions et d’engagement. Ainsi le 4  novembre 1825, Monsieur de Rocheplatte inaugurait en l’ancien Hôtel des Créneaux, le musée d’Orléans fondé à l’initiative du Comte Gaspard de Bizemont (1758-1837) qui en fut le premier directeur et un des généreux donateurs. Saut dans les siècles: le 7 mai 1984, Jacques Douffiagues, alors maire d’Orléans, inaugure le nouveau musée sous la présidence de  Michel Giraud, président des Musées de France. Dès 1985 sera installée  ” La Pensive” sculpture qui semble contempler  promesse et aventure,  œuvre de Volti expressément créée pour le musée des Beaux-Arts et qui accueille toujours, dans sa belle comme opulente nudité,  les visiteurs juste à l’entrée de l’établissement.
Mag'Centre, 23/02

(Chateaudun) Deux tableaux ont gagné en lisibilité

Les tableaux Portrait de Madame Jarrethout, peint par Grasse en 1894, et Barricade tournée, achevé en 1893 par Philippoteaux, ont retrouvé leur place dans la salle du musée de Châteaudun dédiée à la guerre de 1870. Ils ont été restaurés, pour la première fois, par par Pauline Fossier, conservatrice restauratrice en Indre et Loire, spécialisée dans les tableaux et agréée par le Services des musées de France. « Ces deux oeuvres ont gagné en lisibilité surtout Barricade tournée. Les couleurs sont beaucoup plus vives, souligne Mireille Bienvenu, responsable du musée dunois. La perspective est accentuée et il y a des petits détails, comme la paille ou les armes, que l’on ne voyait pas avant. Les tirs n’étaient pas aussi vifs et ceux au fond à droit sont désormais bien visibles. » Deux nouvelles oeuvres du musée devraient bénéficier d’une cure de jouvence cette année. Mais nous n’en saurons pas plus. « Nous les avons sélectionnées en fonction de leur priorité. Nous attendons encore des devis et nous présenterons notre dossier lors de la commission automnale. »
L'Echo, 23/02, p.18

(Issoudun) Gérard Fromanger : tombé de l’arc-en-ciel !
Assis à l’entrée du musée, Gérard Fromanger semble silencieux. Ailleurs. Nous l’invitons à entrer dans son antre, là où son exposition vient tout juste de débuter, mais il hésite : « J’ai eu quelques problèmes de santé ; il ne faut pas que je reste trop longtemps debout ! » Fatigué à 80 ans, cela n’aurait rien d’étonnant. Mais à l’instant même où il pénètre dans la première salle qui lui est consacrée, c’est comme s’il entrait sur scène. La parole se libère. L’énergie redouble. Le feu de la passion est là. Une vie de peinture. Plus de soixante ans de carrière. Une vie de quête qui a pris le relais familial de six générations de peintres amateurs. « C’est un peu une rétrospective de mon travail, c’est angoissant ! » lâche-t-il avec humilité en marchant d’un bon pas, traversant une salle, puis deux. Sur les murs, la couleur explose. Du rouge, du jaune, du vert… L’oeuvre est intemporelle. Aux premiers regards, elle est même déstabilisante car elle est unique, éloignée  de bien des courants picturaux, qu’ils soient figuratifs ou abstraits.
Exposition de Gérard Fromanger, « Annoncez la couleur », jusqu’au 12 mai, au Musée de l’Hospice Saint-Roch
NR Indre, 23/02, p.6

(Tours) Balzac : les chefs-d’oeuvre reconnus de Rodin
Entre le dôme des Invalides et les dorures de l’hôtel Matignon se tient le musée Rodin, l’un des plus beaux lieux de Paris. Là, Honoré de Balzac cohabite avec Victor Hugo dans l’une des pièces de l’hôtel Biron. Deux auteurs, deux génies. Et pourtant, le moins consacré des deux, Balzac, aura bien plus intéressé Auguste Rodin. Il a réalisé des dizaines de modèles de l’auteur de « La Comédie humaine ». Pour l’exposition « Monumental Balzac », à Tours, 125 oeuvres seront présentées, dont un tiers prêté par le musée Rodin. Des terres cuites exceptionnelles, des plâtres, mais pas de bronze.
« Monumental Balzac », du 18 mai au 2 septembre, au musée des Beaux-arts de Tours.
NR Indre et Loire, 23/02, p.11

(Malesherbes) L’AMI, c’est tout un poème
Dans le cadre de sa saison culturelle lancée en janvier avec des chansons de Barbara, l’atelier musée de l’imprimer ie se met en mode poésie cette semaine. La structure ouverte depuis le mois de septembre à Malesherbes peut compter ces jours ci sur la présence de Pierre Fourny, poète et metteur en scène. Cet artiste est notamment l’inventeur de la « Poésie à deux  mi mots », un procédé consistant à découper les mots en deux d’un trait horizontal, pour obtenir d’autres mots. Pierre Fourny assurera notamment des ateliers « mots doux », ce mardi et ce mercredi, à 14 heures (pour les plus de 8 ans). Dimanche à 16 heures, le poète continuera à manipuler et à tordre les mots à l’occasion d’un spectacle, « Le cirque des mots 2.0 ». L’événement est ouvert à tous les publics à partir de 6 ans, et compris dans le billet d’entrée du musée.
RC Loiret, 25/02, p.14

(Bourges) « Un concept durable et responsable »
Directeur et conservateur du muséum d’histoire naturelle de Bourges, Sébastien Minchin va expliquer, dans sa conférence, ce soir, le rôle du muséum dans la société d’aujourd’hui. Rencontre.
+ Des expositions temporaires renouvellent l’intérêt du lieu
Le Berry, 25/02, p.8

(La Chatre) Les Amis du musée et la Ville associés
L’association des Amis du musée a pour but de contribuer au rayonnement culturel de la ville, à travers des acquisitions, dons d’ouvrages et actions culturelles diverses au profit du Musée George-Sand, depuis sa fondation, en 2008. « Ces dix années ont passé très vite, explique le président, René-Laurent Cambray. Je souhaite que nous continuions dans cet esprit constructif. Mais nous venons en soutien : en aucun cas nous n’interviendrons  dans la gestion du musée. » L’association a plusieurs projets d’acquisitions. Le président souhaite que cette générosité soit le seul moteur du partenariat qui vient d’être officialisé avec la Ville. « Cette convention prouve que nous sommes complètement à la disposition du musée et de la municipalité. Nous sommes une petite association qui veut contribuer à l’attractivité de notre département. »
NR Indre, 25/02, p.14

De Mehun sur-Yèvre à Singapour
Philippe Bon, responsable des collections au musée Charles-VII pôle de la porcelaine, à Mehun-sur-Yèvre, a passé la semaine dernière à Singapour. Tout part de la visite de deux Singapouriennes, l’an dernier, à la recherche des pièces de la collection d’André Prévot qui a été le mécanicien aérien de Saint Exupéry et était du crash dans le désert de Libye, en 1935. Un an après cette visite insolite, Philippe Bon est invité à passer une semaine à Singapour pour voir ce que sont devenues les pièces confiées au musée de la Philatélie avec l’exposition The Little Prince qu’on traduit aisément par le Petit Prince. « Tout est parti de la numérisation de notre fonds qui n’aurait sans cela jamais traversé les frontières. La gourde, les notes techniques, des cartes, un bout de l’avion, un télégramme, des photos, des ouvrages dédicacés… Mis sur internet, tout cela est arrivé aux yeux de Singapour qui préparait cette exposition », déclare Philippe Bon, enthousiasmé par son séjour au large de la Malaisie. Sans l’inventaire et le recollement des collections effectués voici cinq ans, la collection Prévot serait restée à Mehun sur Yèvre et Philippe Bon
n’aurait pas connu cette ville de Singapour.
Le Berry, 26/02, p.6

(Châteaumeillant) Émile-Chenon met au jour ses trésors
Ces temps ci, le bureau de Sophie Lacan pourrait presque compter parmi les salles à visiter au musée archéologique Émile Chenon, à Châteaumeillant. En plein récolement décennal, la responsable y travaille, en effet, sur des objets sortis des réserves. Et son bureau reste la pièce offrant la meilleure lumière pour photographier ces nombreux témoignages du passé gallo romain castelmeillantais. « Le récolement nous permet de connaître précisément les collections, d’établir des constats d’état, pour voir s’il y a eu évolution et s’il y a besoin d’une intervention sur l’objet, explique t elle. On s’assure, aussi, que tout est bien là et que rien n’a été dérobé. » Le musée Émile Chenon, dont le plan de récolement avait été validé en conseil municipal, a choisi de commencer par les collections en réserve, qui devraient faire l’objet d’une exposition, d’ici l’an prochain, dans l’église Notre Dame la Petite, connue sous le nom de Chapitre. « En plus de l’archéologie, nous avons des collections d’art et traditions populaires, des objets du  quotidien, dont une partie est déjà présentée au Chapitre, ainsi que des pièces d’archéologie médiévale, que la municipalité souhaite exposer dans la partie de cette église qui reste à rénover, détaille Sophie Lacan. Le travail sur les secondes est quasiment achevé et j’ai, déjà, des pistes à proposer sur ceux qu’on pourra exposer, comment, etc. » Certains objets, trop fragiles pour être déplacés, sont récolés sur place. D’autres sont regroupés en lots. Le récolement, obligatoire, reste une première pour le musée de Châteaumeillant, qui remplit sa mission en maintenant l’accueil du public.
Le Berry, 26/02, p.20

Retour vers le futur du Musée des Beaux-Arts d’Orléans #2/3
En juillet 1986, David Ojalvo tient à présenter une rétrospective Auguste Chabaud (1822-1955), l’un des artisans du fauvisme. Peindre d’après la vie, Chabaud le fera sans vergogne. Artiste faisant aux appels aux nuances de gris, il nous emporte dans des atmosphères à la Marcel Carné et à la René Clair. Usant des contrastes du rouge et du noir, il colle du rimmel la Van Donghen aux yeux des prostituées. Moulin Rouge, Moulin de la Galette, french-cancan, restaurants, hôtels et cirques côtoyant des scènes rurales de Provence sont aux cimaises. Il y a là quatre-vingt peintures, et soixante-dix dessins qui révèlent et célèbrent un artiste intense et touchant, simplificateur à l’extrême. En vérité, Auguste Chabaud, révèle un appétit magistral de l’émotion crue qui croque et le sordide et l’amour de vivre. Mais au fil des premières années David Ojalvo met aussi sur pied un service éducatif, soutient le l’opération Musée dans l’école, célèbre le siècle d’or du paysage flamand et hollandais, la nature morte au XVIIe, le maniérisme, le pastel, l’œuvre d’Henri Gaudier Brzeska, celle du céramiste Yoland Cazenove, celle des peintres professionnels régionaux, les photographies de Manfred Paul, l’âge d’or de l’estampe japonaise et accueille pour un séjour orléanais événement “L’Escamoteur” de Jérôme Bosch.
Mag'Centre, 26/02


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Archéologie Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Chartres) Rechèvres, un vrai village de l’antiquité
C’est la découverte des bases d’une villa romaine, avenue de Verdun, qui a suscité l’intérêt des archéologues de la ville de Chartres. Jusqu’alors, on ignorait que le quartier de Rechèvres avait été habité de façon aussi importante et que, surtout, c’était un petit village « de riches propriétaires. » Lesquels possédaient des vignes aux alentours. Il faut, pour cela, remonter a presque 2.000 ans plus tôt. L’un des responsables d’opérations à la direction de l’archéologie de la Ville de Chartres, explique : « Les fouilles de la villa ont apporté de belles découvertes. Comme le fait qu’elle avait été bâtie à la fin du Ier siècle. Dotée d’une superbe vue sur la ville antique, elle devait appartenir à un riche personnage. » « On peut affirmer que nous sommes sur  un lieu d’habitation avec un jardin et deux maisons. À ce moment, on est aux abords de la ville, au milieu des vignes et ce genre d’habitation est un fait assez courant pour les gens qui en avaient les moyens. »
L'Echo, 26/02, p.10

Conseil départemental
Archéologie. Deux diagnostics importants seront menés par le service compétent départemental sur des zones d’activités (50 ha en tout) pour le compte de deux communautés de communes. (intégral)
L'Echo, 26/02, p.10


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Patrimoine Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Vierzon) Un tracteur restauré pour l’esplanade
On les voit trôner sur le site de la Société Française, mais seulement sur les affiches des rassemblements de tracteurs. Ce sera encore le cas pour Tracteurs en fête, qui aura lieu les 18 et 19 mai prochain. Les curieux les immortalisent aussi sur les photos prises lors des défilés de tracteurs, qui nemanquent pas de faire un détour devant l’usine où ils ont été fabriqués. La mission a été confiée à l’association Mémoire industrielle et agricole du pays de Vierzon Cette année, c’est un vrai tracteur Société Française de Vierzon (SFV) qui sera installé devant l’usine désaffectée, sur un socle en béton déjà construit. La mission a été confiée par la communauté de communes Vierzon Sologne Berry, propriétaire du site, à l’association Mémoire industrielle et agricole du pays de Vierzon. La date butoir a été fixée au 31 juillet. « Nous sommes heureux de cette belle initiative, confie le président de la Mémoire, Michel Hervé. Cela manquait à Vierzon. » Après un bon dérouillage, une couche de peinture verte typique des SFV peaufinera le look du tracteur de Vierzon, destiné à porter haut les couleurs de la marque.
Le Berry, 23/02, p.13

Les objets de George Sand se sont arrachés à prix d’or
Les 344 lots mis aux enchères ont été vendus, une belle victoire pour le commissaire priseur Michel Darmancier. Lui qui a commencé la vente par un hommage à Christiane Sand, épouse de l’arrière petit fils adoptif de la dame de Nohant et « gardienne du souvenir », n’a pas manqué de plonger la salle dans l’ambiance. « Ces articles, emprunts d’une présence qu’on ne peut définir, vont continuer à vivre à travers vous. »
Le Berry, 23/02, p.5

(Orleans) Des chevaux sous le capot Jeanne d’Arc

C’est une facette de l’histoire orléanaise peu connue. Mais Pascal Delaugère s’évertue à la sortir de l’oubli. Le fondateur du Delaugère et Clayette club est l’arrière petit fils d’une lignée de carrossiers qui se sont illustrés à Orléans d’abord dans la construction d’hippomobiles, puis d’automobiles. D’où l’emblème Jeanne d’Arc sur les capots des véhicules. La marque Delaugère et Clayette « était réputée au début du XXe siècle pour la qualité de sa production tant pour les voitures de luxe que pour les véhicules industriels… » Tout a commencé en 1855, Jean-Pierre Delaugère, qui a une formation de sellier, reprend l’entreprise de Monsieur Perrault, un carrossier situé au 89 rue d’Illiers, « qui avait une entreprise bien en vue ». Jean-Pierre Delaugère reprend les ouvriers de l’entreprise Perrault. Après la mort de Jean-Pierre Delaugère, ses fils Henri et Émile gèrent l’entreprise et sont spécialistes de l’hippomobile. « Il s’agissait de voitures pour la bourgeoisie  locale. Dans chaque quartier, il y avait des constructeurs mais Delaugère sortait du lot. En 1876, ils ont eu une médaille  d’argent à l’exposition d’Orléans », précise Pascal Delaugère. Dans ces années, des expérimentations sont menées sur la motorisation. ... Il ne reste à ce jour que 27 voitures Delaugère et Clayette.
RC Loiret, 24/02, p.7

(Châteaumeillant ) Une plaquette sur la Résistance
Une présentation de la plaquette consacrée à l’organisation de la Résistance dans le secteur de Châteaumeillant et ses environs du sud du Cher et de l’Indre aura lieu jeudi 28 février, à 18 h 30, à la salle du Pôle culturel de l’étang merlin. Cette plaquette a été réalisée à l’initiative des Amis du Musée départemental de la Résistance et de la Déportation du Cher avec le soutien de la direction des Archives départementales et du patrimoine du Cher, de l’Association nationale des anciens combattants et ami(e) s de la Résistance (Anacr), et du conseil départemental.
Le Berry, 24/02, p.22

(Reugny) Une “ encyclopédie ” scientifique sur le travail de Léonard de Vinci
C'est un travail méthodique et didactique qui a été mené par Francis Nimal pendant plusieurs années. Cet ingénieur en retraite, centralien, qui réside dans l’est de la France, a travaillé dans le domaine de la sidérurgie, de l’industrie. C’est une relation familiale avec la famille Corbeau, des Amboisiens bien connus, qui l’amena autrefois à Léonard de Vinci. En effet, dans la grande maison bourgeoise de cette famille, il y avait une salle Léonard bourrée de quatre cents ouvrages sur Léonard de Vinci.  Il y a plusieurs décennies, M. Corbeau avait formé une association de passionnés de Léonard, dont la présidence fut, à un moment, tenue par René Coty. « Ce qui m’a décidé d’écrire ce livre, c’est que tous les manuscrits sont sur internet » explique Francis Nimal, dont l’ouvrage intitulé « Léonard de Vinci ou le savant avant la science » est paru fin 2018. Et l’auteur a parcouru tous ces manuscrits avec des milliers de dessins connus. Il s’est constitué une bibliothèque d’images des dessins de Léonard de Vinci. Il a travaillé trois ans pour écrire ce livre de plus de deux cents pages uniquement consacré à l’aspect scientifique de la démarche du génie italien. C’est la première fois qu’un ouvrage dresse un examen critique complet des 6.500 pages des manuscrits de l’ingénieur et du savant Léonard de Vinci. En cette année du 500e anniversaire de sa mort, c’est un livre qui apporte une pierre de plus à la connaissance du génie italien.
+ Une idée de conservatoire
NR Indre et Loire, 24/02, p.10

(Richelieu) L’orgue remis en service
L’orgue de l’église Notre- Dame a été, probablement, installé au milieu du XIXe siècle, sous la conduite de Louis Bonn. En 1939, il a été amputé d’un certain nombre de pièces pour raisons financières. Classé aux monuments historiques en 1990, le projet de restauration complète s’est étalé de 1992 à 1994. Cette restauration est, alors, confiée au facteur Nicolas Toussaint. Insuffisamment protégé lors des récents travaux de réhabilitation de l’église, il nécessitait un nettoyage complet. Le facteur l’a réalisé. Dimanche, lors de l’office, les Richelais ont, de nouveau, pu l’entendre. Les claviers étaient confiés, pour l’occasion, au célèbre organiste Lodoïs Gravel. (intégral)
NR Indre et LoireW, 25/02

Les châteaux du Loiret face au risque
Les châteaux de Chamerolles, de Gien, de Sully-sur-Loire ainsi que le musée de la Déportation et de la Résistance de Lorris bénéficient, officiellement depuis hier, du label « Sécuri-site ». Mise en place nationalement au lendemain des attentats de 2015, cette certification se veut d’abord « un message envoyé aux touristes », explique le préfet du Loiret Jean-Marc Falcone. Si « le risque zéro n’existe pas », ce label certifie « la mise en place d’un dispositif de sécurité complet », assure le conseil départemental qui s’est associé à la démarche. « Sans faire de psychose, un attentat reste possible, rappelle Marc Gaudet, président du département. Le plan Vigipirate est toujours d’actualité. » Pour obtenir ce label, les quatre sites touristiques du Loiret ont donc été soumis pendant plusieurs mois à l’oeil expert de la gendarmerie afin de déceler d’éventuelles failles de sécurité.
RC Orleans, 26/02, p.4

(Saint Martin d'Auxigny) Trois fenêtres sont à restaurer
«Que s’est il passé depuis la dernière assemblée générale de l’association du Prieuré de Bléron » ? La présidente, Monique Duteil, ouvrait ainsi la séance devant un parterre bien rempli d’adhérents, samedi, salle multimodale de la mairie. Les objectifs étaient de poursuivre les travaux de restauration des trois  fenêtres de la chapelle et de continuer le nettoyage des lieux et l’entretien des pieds de murs grâce « aux besogneux » qui répondent présents  régulièrement. Malheureusement, les travaux sur les fenêtres ont été reportés pour des raisons budgétaires. Pour les réaliser, l’association (240 adhérents) organise des manifestations tout au long de l’année. Plusieurs rendez vous sont prévus cette année afin de trouver les fonds nécessaires pour les trois fenêtres qui restent à restaurer. Le devis du tailleur de pierre s’élève à 21.000 euros. Il a déjà été versé un acompte et la Direction régionale des affaires culturelles apporte 4.000 euros, mais il manquera encore environ la même somme. Il a donc été décidé de demander des subventions à la  commune, la communauté de communes et au département.
Le Berry, 26/02, p.12

(Vendôme) Une “ Nuit des légendes ” en projet au château
L’association « Château de Vendôme » s’est réunie en assemblée générale ce vendredi soir au Minotaure, autour de son président Christian Linais. Elle a annoncé son désir de lancer un projet ambitieux au château, peut-être pour 2020 ou 2021. Un événement d’un soir ou bien récurrent au cours de la saison – cela reste à définir – nommé la « Nuit des légendes ». Les contours précis de ce projet restent à établir. Mais il sera « compatible avec “ Vendôme ville d’eau et de lumière ” », annonce l’association. « Un projet taillé sur mesure pour mettre en valeur le cadre du château avec de belles idées de scénario et de mise en scène. Un projet de lumières et d’imagerie artificielle créé pour évoluer dans le temps en fonction des incessantes évolutions technologiques et en adéquation avec les nouveautés de la mise en scène. » Voilà qui permettrait à l’association de remplir son objectif principal : valoriser et animer le site du château pour « permettre aux Vendômois de se le réapproprier », « en faire un produit touristique fort » et « participer au financement de sa sauvegarde ». Pour le financement, l’association semble vouloir se tourner principalement vers le mécénat. Elle présentera d’ailleurs bientôt son projet devant les membres du Cercle des entrepreneurs du Vendômois.
NR Loir et Cher, 26/02, p.15

(Loches) 75.000 € du Département pour la collégiale
Le président du conseil départemental Jean-Gérard Paumier était en visite dans le canton hier. Il a entre autres annoncé au maire de Loches une subvention du Département de 75.000 € dans le cadre du financement de la première tranche de travaux de restauration de la collégiale Saint-Ours, dont le coût est évalué à 600.000 €. Cette aide doit être officiellement entérinée aujourd’hui. « Et pour la deuxième tranche du chantier, le Département sera également au rendez-vous », assure Jean-Gérard Paumier à la NR. (intégral)
NR Indre et Loire, 26/02

(Orleans) Ils ont conçu une machine de Léonard
Le projet a démarré il y a dixhuit mois. Sur une idée folle de Jean-Pierre Anchisi, fondateur de l’association AD prod. Ce dernier a décidé de construire la vis aérienne de Léonard de Vinci. Cette machine volante est considérée comme l’ancêtre de l’hélicoptère. Ancien professeur de mathématiques établi à Orléans, Jean-Pierre Anchisi a fait appel à des élèves de la métropole pour concevoir la vis. « On a travaillé à partir du croquis de la machine et les principes consignés par Léonard dans ses carnets entre 1487 et 1490 », précise Jean-Pierre Anchisi. Une première étude de faisabilité a été réalisée par des étudiants de Polytech, début 2018. En septembre, une nouvelle promotion a pris le relais. Valentin Boubault est l’un élèves qui a piloté le projet. Lui et ses camarades ont été confrontés à plusieurs écueils. « La vis de Léonard de Vinci était censée tourner et s’envoler grâce à l’énergie humaine. On s’est aperçu que ce n’était pas possible physiquement. Il a fallu trouver des solutions techniques, par l’ajout de moteurs électriques, tout en gardant l’aspect esthétique et les proportions de la machine. » La vis sera présentée au public du 2 mars au 7 avril à la collégiale Saint Pierre le Puellier, à l’occasion de l’exposition « Léonard et les robots », dans le cadre des 500 ans de la Renaissance en région Centre Val de Loire.
RC Orleans, 27/02, p.8

(Moutiers en Beauce) Un charpentier au chevet du moulin
Les amis du moulin de Chesnay, à Moutiers en Beauce, se sont retrouvés, samedi, dans la salle communale de la mairie pour leur assemblée générale. Ils ont été accueillis par la présidente, Josette Barbier, et Samuel Maguet, vice président. Cette association avait été créée en 2003 pour assurer la sauvegarde de cet édifice classé monument historique. Le bilan de l’année a été présenté avec deux points majeurs. D’abord une baisse de la  fréquentation, hors journée du patrimoine : 257 visiteurs se sont présentés pour une visite et les groupes ont été moins nombreux, comme dans les autres moulins. Enfin, la « queue » qui permet d’orienter le moulin face au vent, a été changée par un charpentier spécialisé pour un montant de 6.600 € (des subventions ont été accordées et sont attendues). (intégral)
Le Berry, 27/02, p.12

(Boullay Thierry) Un appel aux dons pour restaurer l’église

Le conseil d’administration des Amis du patrimoine du Boullay Thierry (APBT) s’est réuni dans les locaux de l’ancienne école, pour constituer  son nouveau bureau, vendredi soir. La préoccupation immédiate de l’association est le bouclage de la restauration de pièces maîtresses du mobilier de l’église Saint Lubin du Boullay Thierry. Avec le triple défi du sauvetage de la tribune, de la structure du maître autel et du lutrin, dont le financement des travaux fait l’objet d’un appel aux dons, avec le concours de la Fondation du Patrimoine.
L'Echo, 27/02, p.19

(Chateaudun) Dans les coulisses de La Grande épopée
De petits panneaux sont posés sur les grilles de l’hôtel Dieu. Ils guident les volontaires jusqu’au casting de la troisième saison de La Grande épopée. Un spectacle programmé, en mai, au château de Châteaudun. Une trentaine de personnes enfants, adolescents, adultes prennent part au casting en ce lundi soir. Ils étaient quatre vingts, une semaine plus tôt. Deux profils sont recherchés : figurants et acteurs. Ces derniers seront un peu plus nombreux, cette année, car la troisième saison comptera une scène supplémentaire qui se déroulera dans le donjon. Après s’être enregistrés auprès de l’équipe, les  futurs volontaires sont photographiés. Puis leurs mesures sont prises pour les costumes qui leur seront attribués. « Pour les armures, il  faut être précis », rappelle Julie Gelugne, directrice logistique de Polaris, la société de production qui veille sur la conception du spectacle au côté du Centre des monuments nationaux (CMN). « La principale qualité, c’est d’être enthousiaste. Les volontaires choisissent s’ils veulent être figurants ou acteurs. Quand ils sont très bons, on leur demande s’ils veulent être acteurs. »
L'Echo, 27/02, p.21

(Nohant) George Sand aimait les enfants
Les surnoms de Lolo et de Titite permettent d’entrer dans l’univers de George Sand. Ces diminutifs donnés à ses petites filles, Aurore et Gabrielle, témoignent de la grande affection que la romancière portait à son entourage. Ils agrémentent aussi la visite guidée réservée aux enfants, organisée en période de vacances scolaires sur le thème de la vie quotidienne de la maîtresse des lieux. Pendant plus d’une heure, Aurore Proudhon va enchanter son jeune auditoire, sans oublier les adultes qui trouvent facilement matière à s’intéresser à travers une dizaine de pièces meublées. L’histoire de celle qui s’appelait comme elle avant d’adopter un prénom masculin, s’égrène, ponctuée d’anecdotes. « Elle a été élevée à Nohant par sa grand-mère, et très jeune, elle a eu envie d’écrire », rappelle la guide avant d’emmener ses trente accompagnateurs dans la cuisine « où dix personnes travaillaient pour elle ». Les clochettes, reliées aux appartements par des ficelles en cas de besoin, ont intrigué les enfants, et l’évocation de deux domestiques très appréciés de George Sand les a forcément intéressés.
La vie quotidienne de George Sand à Nohant racontée aux enfants, à partir de 6 ans : prochaine visite, jeudi 28 février, à 14h30, au Domaine de Nohant.
NR Indre, 27/02, p.6

(Chinon) Un trophée “ musée joyeux ” récompense la forteresse
Après avoir rejoint la communauté du réseau Môm’Art « musée joyeux » en 2018, la Forteresse royale de Chinon a reçu ce lundi 25 février, le prix #AdosMuséo. Ce trophée récompense la forteresse pour la qualité, la diversité et l’originalité de son offre destinée aux familles, en particulier à l’attention des adolescents. L’association Môm’Art récompense, chaque année depuis 4 ans, un site culturel qui a signé la charte et qui est rentré dans la démarche d’accueillir au mieux les familles et se distingue par des services et des actions culturelles remarquables en direction des enfants et des familles. Une famille adhérente à l’association Môm’Art a visité incognito la forteresse. Elle a évalué le site - comme l’ensemble des sites candidats - selon les critères de la charte grâce à un questionnaire élaboré de manière participative. L’évaluation est partagée avec les membres du jury, composé de familles, d’auteurs, d’illustrateurs jeunesse, de journalistes et de parents. Après le Centre Pompidou à Paris en 2015 et 2016, et un musée toulousain en 2017, la quatrième édition récompense la forteresse royale de Chinon en 2018 du prix AdosMuséo. Le trophée a été remis ce lundi 25 février à l’équipe de la forteresse par Mme Malesevic et ses enfants, représentante des familles « testeuses » pour Môm’Art. Et ce n’est pas fini : à compter du 1er avril 2019, la technologie HistoPad, permettra d’enrichir de manière spectaculaire la découverte de la forteresse royale de Chinon, avec des reconstitutions 3D à 360°.
NR Indre et LoireW, 27/05, p.14

A Meslay : l’église Saint-Calais consolidée
L’acier est venu au secours du bois de la charpente au-dessus de la nef et de la chapelle latérale de l’église Saint-Calais. Les travaux ont été réalisés avec le concours de l’artisan couvreur zingueur, Sylvain Fournier. L’ensemble du projet s’est élevé à près de 64.000 € HT financé grâce à la Dotation de solidarité rurale (17.000 €), et l’aide départementale pour le patrimoine non protégé (14.405 €) ainsi que par le fonds de Territoires Vendômois, le Facil (9.435 €), le solde étant autofinancé par la commune.
NR Loir-et-Cher Nord 28/02/2019, p. 16

Selles-Saint-Denis. Église : début des travaux en mars
Le financement : les assurances, 397.152 € ; des subventions ; la réserve parlementaire 10 000 € ; le Département, 32.000 € ; la Fondation du patrimoine et des dons collectés, 57.645 € ; le reste à la charge de la commune, 175.382 euros.
NR Loir-et-Cher Sud 28/02/2019, p. 18

Chambord et handicap incompatibles?
Une Pryvataine de 73 ans en situation de handicap se bat depuis des années pour que soit respectée la loi sur l’accessibilité, y compris dans les sites patrimoniaux. « Je ne demande pas à aller sur les terrasses, mais j’aimerais au moins pouvoir aller au premier étage du château », explique Pierrette Huguet, qui ne comprend pas que dans un tel édifice il ne soit pas possible de trouver une solution. Une demande déjà formulée en 2016 auprès de Jean d’Haussoville, le directeur général du domaine de Chambord. Celui-ci lui avait répondu qu’« une dérogation a été accordée pour ne pas installer d’ascenseur dans un monument inscrit au Patrimoine de l’humanité ». Il rappelait par ailleurs que le rez-de-chaussée est accessible à tous. Et que, pour compenser l’impossibilité de se rendre dans les étages supérieurs, une tablette de visite numérique (Histopad) permet de découvrir huit salles du château au XVIe siècle en réalité augmentée.
Rép. Centre-Orléans 28/02/2019, p. 6

Allainville-en-Beauce. Pour sauver le clocher
La charpente, la couverture du clocher et la première travée de la nef n’ont jamais été restaurées. Pour financer ce vaste chantier, la municipalité compte notamment sur les possibles subventions de l’État, de la Région et du Département et fait en sorte que les gens, et notamment les paroissiens participent également. Il faut recueillir un total de 145.000 euros. Sachant que le coût des travaux de la tranche 1 est estimé à 273.997 euros. Bernard Vella, délégué départemental de la Fondation du patrimoine, a insisté sur l’acte citoyen que représente les dons et les cotisations versés à la Fondation du patrimoine.
Rép. Centre-Loiret 28/02/2019, p. 15

Neuvy-sur-Bqarangeon. Les châteaux d’eau, un vrai patrimoine
Christine et Guy Boutron se sont passionnés pour ces édifices et ont découvert une variété et une richesse insoupçonnées dans leur architecture. Leur grand plaisir est de dénicher un château d’eau là où personne ne le soupçonne, comme à l’intérieur d’un donjon moyenâgeux ou dans le clocher d’une église par exemple.
Berry républicain, 01/03/2019, p. 21

Chartres. Sculpture et “Beau” XVIe siècle
Le “Beau” XVIe siècle en matière d’art. C’est le thème qu’a choisi Nicolas Trotin, historien de l’art de la sculpture, pour une conférence sur la cathédrale, à la médiathèque L’Apostrophe, aujourd’hui, à 17 h 30.
Echo rép. 01/03/2019, p. 11

Châteaudun. La chapelle du Champdé mise en valeur
L’assemblée générale de l’Association dunoise pour la valorisation du patrimoine (ADVP). 5 ans d'existence pour l'associations... 500 ans pour la chapelle Notre-Dame de Champdé. Édifiée en 1519, la chapelle Notre-Dame-du-Champdé fête sera mise en valeur par l’Association à l’occasion de deux promenades. Également en projet : la restauration des quatre plaques de cocher en fonte situées rues de Varize, du Val, Cavée de la Reine et route de Brou.
Echo rép. 01/03/2019, p.20

Saint-Épain. Un patrimoine à conserver et valoriser
Point sur les activités de l'association "Saint-Epain mémoire et patrimoine" : un gros chantier est en cours au presbytère (XVIIe siècle). L’équipe des travaux du mercredi a débuté la démolition (cloisons, plafonds…) et a effectué des découvertes (un cadran solaire sur une pierre ou des inscriptions restent à déchiffrer). Sous les bâtiments annexes, il a été découvert une cave avec des voûtes en ogives.
NR Touraine Est 01/03/2019, p. 18

Saint-Maurice-Saint-Germain. Les bikers et temple, une histoire d’amour

L’association Sauvegarde du Temple de l’Amour organise un rassemblement de Harley Davidson avec concerts du groupe de rock folk The Swing States et Urbain Lambert les 1er et 2 juin au château des Vaux. Les bénéfices seront reversés au profit de la restauration du Temple de l’Amour. Construit vers 1880 dans le parc du château des Vaux, ce monument fait partie des 269 monuments sélectionnés à l’échelle nationale pour bénéficier d’aide pour être restaurés dans le cadre de la mission Patrimoine en péril confiée à Stéphane Bern. Grâce au loto du patrimoine, le Temple de l’Amour reçoit une aide financière de 32.000 € de la commission d’attribution de la mission Bern et la Fondation du Patrimoine. Les travaux indispensables à la sauvegarde du temple s'élèvent à plus de 60.000 € et doivent durer plus de quatre ans.
Echo rép. 01/03/2019, p.24

Bléré. Un second livre sur le site de la fonderie

En mai 2018, l’association Mémoire et patrimoine de la fonderie sortait son premier livre sur celle-ci, « Croning ». Ce, afin que la mémoire des 50 ans de présence de la fonderie Waelès dans la commune ne se perde pas. L'association a annoncé a annoncé la sortie pour 2019 d’un second ouvrage, retraçant cette fois l’histoire des quatre entreprises, Waelès, Lescuyer, l’usine à gaz et l’abattoir.
NR Touraine Est 01/03/2019, p. 18

Incendie au château de Blois : les pompiers s’exercent
Une manœuvre des pompiers au château de Blois a retenu, hier, l’attention du directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises. « Le but de cette manœuvre était de tester les réactions des équipes et de mettre en oeuvre le plan de sauvegarde des œuvres », souligne-t-il. Ce document, élaboré en octobre 2017, détermine un ordre de priorité pour les œuvres à protéger en cas d’urgence.« Ce plan indique le nombre de personnes nécessaires pour manipuler les oeuvres, comment les décrocher, comment les emporter, explique Élisabeth Latrémolière, conservatrice en chef du château de Blois. Dans un tel monument, notre plus grande crainte reste l’incendie. Ce tel plan de sauvegarde permet d’être réactif au cas où un sinistre arriverait. » Le personnel du château est aussi formé à l’évacuation des visiteurs et à l’utilisation des extincteurs.
NR Loir-et-Cher 01/03/2019, p. 4
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