Revue de presse (5 - 12 novembre 2018)

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Tours) Des visites flash efficaces au musée des Beaux-Arts
Hier, à l’accueil du musée des Beaux-Arts de Tours, il y avait foule. Chaque premier dimanche du mois, c’est opération Musée pour tous. Le musée est gratuit tout au long de la journée. Un rendez-vous bien connu des Tourangeaux qui, hier, sont venus en amoureux, en famille, en voisin. Marie-Noëlle, qui vit à deux pas du musée, pousse la porte presque chaque premier dimanche du mois, car « il y a toujours quelque chose qu’on n’avait pas vu avant. Un détail qui échappe. » Hier, Marie-Noëlle s’est laissée tenter par la nouveauté de la rentrée : des visites flash programmées uniquement ces jours de gratuité à 11h, 14h30, 15h30 et 16h30. Hier, deux étudiants en master 2 d’histoire des arts se partageaient ces visites de quinze minutes maximum. Axelle et Thibault ont donné des éléments essentiels pour comprendre des oeuvres sélectionnées dans les collections permanentes du musée.
NR Indre et Loire, 05/11, p.9

Romorantin. Des lettres du front en mémoire de la Grande Guerre
Du 7 au 14 novembre, le musée de Sologne fait vivre la Première Guerre mondiale, via divers documents collectés auprès de familles de poilus.
NR 41 S, 06/11/2018, p. 18

(Orleans) Les salles du musée mieux contrôlées
Le musée des Beaux Arts et deux entreprises installées au Lab’O, TLG pro et 3ZA Engineering, ont présenté, vendredi, le nouveau dispositif de suivi climatique dans les salles du musée et dans la réserve précieuse de la médiathèque d’Orléans. « Nous avions un système qui datait de 2002. Mais les capteurs étaient gros, ce n’était pas joli dans les salles. Suite à une évolution de logiciel, le système ne fonctionnait plus très bien. J’étais donc contrainte d’aller de salle en salle avec un appareil pour faire des mesures », justifie Valérie Luquet, restauratrice au sein du musée des Beaux Arts. En service depuis mai dernier, les nouveaux capteurs, de discrètes boîtes blanches, permettent un suivi en temps réel des températures et de l’humidité de chaque espace du musée. Plusieurs employés ont accès au logiciel, y compris sur leur téléphone portable, à distance. Des alertes s’enclenchent lorsque l’un des paramètres n’est pas optimal. Ceci afin de garantir des conditions de conservation des oeuvres d’art idéales.
RC Orleans, 07/11, p.13

Un ministre à Montargis ?
Le samedi 15 décembre prochain, le musée Girodet rouvrira officiellement (et enfin) ses portes au public, après quelque sept années de fermeture pour restauration et réaménagement. L’événement étant de taille, une invitation aurait été adressée au nouveau ministre de la Culture, Frank Riester, et selon Benoît  Digeon, le maire de Montargis, il semblerait qu’il ait accepté. On n’attend plus que la très officielle confirmation d’une visite ministérielle. (intégral)
RC Loiret, 07/11

« Ce projet de musée doit être fédérateur »
Interrogé par L’Écho Républicain sur l’avenir du Compa de Mainvilliers (Conservatoire de l’agriculture) en septembre 2018, Claude Térouinard, président (LR, Brou) du Conseil départemental d’Eure et Loir, a annoncé : « On réfléchit à un lieu d’implantation en milieu rural, la vraie place d’un musée de l’agriculture. Il faut que ce futur espace soit un lieu d’animation de l’histoire de l’agriculture, avec une scénographie. Daniel Guéret prend les rênes de ce projet. » Les élus du Conseil départemental d’Eure et Loir se sont réunis en assemblée, lundi. À la fin de la séance, Daniel Guéret (Chartres 1), président du groupe Les Républicains d’Eure et Loir, a pris la parole sur ce dossier : « Claude Térouinard m’a confié une mission, le 21 septembre, sur la création d’un écomusée départemental de l’agriculture, dans le sud de l’Eure et Loir, et sur les évolutions du Compa. J’ai donc pour objectif, au début de l’année 2019, de présenter un rapport d’orientation. Je conduis des auditions depuis plusieurs semaines, avec différents acteurs. » Daniel Guéret a évoqué les inquiétudes liées à l’avenir du Compa : « Aucune décision n’a été prise par l’assemblée départementale sur la fermeture du Compa ou sur son transfert. Mais je ne vois pas pourquoi on s’interdirait de réfléchir à son évolution. Le Compa est placé en pleine zone urbaine. Comme symbole de l’agriculture, on ne peut pas dire que c’est forcément extraordinaire. Ce qui est proposé, c’est de bâtir un projet global dans lequel le Compa devra trouver toute sa place. »
+ Pour les Amis du Compa, « un gaspillage de le déplacer »
L'Echo, 07/11, p.5

(Sainte-Montaine) Des amateurs bientôt à l’affiche
L’appel à candidatures est lancé ! Avec l’idée de « mobiliser tout un territoire », le musée Marguerite Audoux et la commune de Sainte Montaine vont proposer en 2019 une pièce de théâtre racontant la vie de la bergère devenue écrivaine qui a passé quelques années de sa  vie en Sologne. La pièce sera jouée par des comédiens amateurs et bénévoles encadrés par deux comédiennes professionnelles : Lucie  Contet et Salomé Elhadad-Ramon, de la compagnie albinienne Poupées russes. Un « projet fou » pour la municipalité qui aurait pu, dans le cadre des « Projets artistiques et culture de territoire » (PACT), acheter un spectacle à des professionnels, mais qui a plutôt souhaité impliquer les habitants de la communauté de communes, et même audelà. « Cela permet de développer une animation autre qu’interne au musée, pour que les gens puissent le connaître », s’enthousiasme Muriel Kubické, première adjointe au maire. L’Atelier de MarieClaire racontera la vie de jeunes filles venues de toute la France travailler dans un atelier de couture parisien, dont Marie-Claire, une jeune bergère solognote. Inspirée du livre éponyme, la pièce sera dévoilée au public le 30 novembre 2019.
RC Orleans, 07/11, p.13

(Romorantin) Des petites motos anglaises pour passer l’hiver
A nous les petites Anglaises ! Après avoir rugi pendant tout le printemps et l’été, le lion de Peugeot va laisser place aux motos du royaume de Sa Majesté. Pour son exposition hivernale, du 29 novembre du 17 mars, le musée Matra a fait le choix de rassembler une quarantaine de bécanes construites entre 1910 et 1970, l’âge d’or de cette industrie. « Nous n’avons pas d’exposition d’hiver systématique », indique Christophe Gonny, employé du musée et lui-même collectionneur de motos américaines. « J’ai décidé de mettre quelques motos anglaises au départ car je pouvais en obtenir, et on s’est vite retrouvé complet. J’ai dû en refuser dernièrement par manque de place. Toutes les pièces viennent de la région de Romorantin. » On y retrouvera des marques légendaires de l’industrie motocycliste britannique, comme Triumph, Velocette ou Vincent.
NR Loir et Cher, 09/11, p.22

Archéologie région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

La Région lâche Archéa : deux licenciements
L’association Archéa qui est implantée depuis près de 30 ans à Chemillé-sur-Dême (dans le nord du département) vient d’apprendre que la Région Centre-Val de Loire n’abonderait plus son budget à compter de l’an prochain. En conséquence, l’association indique qu’elle va procéder au licenciement de ses deux salariés. Fondée en 1990, Archéa regroupe des archéologues d’horizons divers (fonctionnaires, universitaires, chercheurs, bénévoles) dans le but de favoriser les études archéologiques en région Centre et de développer la formation à tous les niveaux. Elle a ainsi mené de nombreux chantiers de fouilles et études scientifiques. Depuis sa création, l’association a également contribué à la publication de nombreux ouvrages, expositions ou supports pédagogiques. On lui doit notamment des ouvrages sur les sites préhistoriques dans la Touraine du sud, les origines de la ville antique d’Amboise ou les tombes princières celtiques en région Centre. (intégral)
NR Indre et Loire, 07/11

(Ambillou) Archéologie de la Grande Guerre (1914-1918)
Une exposition de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) sera présentée du 10 au 23 novembre. Lors de la Grande Guerre, des millions d’hommes ont vécu l’enfer des « orages d’acier » et des tranchées qui ont marqué durablement le territoire. Des tonnes de débris métalliques et près de 700.000 disparus y sont toujours ensevelis. Au gré des fouilles préventives liées à l’aménagement du territoire, des traces tangibles remontent du sol : tranchées, abris de fortune, munitions de tout calibre et restes humains. Ces vestiges apportent un nouvel éclairage à la connaissance de la guerre de 1914-1918. En identifiant, analysant et interprétant les témoins les plus significatifs issus de fouilles préventives, les archéologues permettent de documenter des aspects méconnus du conflit : armement, sépultures, bâtiments, alimentation, artisanat… Rendez-vous le 10 novembre à la salle des fêtes d’Ambillou et du 11 au 23 novembre à la salle Rejaudry (au-dessus de la bibliothèque). (intégral)
NR Indre et LoireE, 08/11

(Chartres) Notre passé mérovingien et plus encore
Des fouilles qui mettent au jour le Chartres mérovingien et galloromain : voici ce que réalise, depuis 2006, le service archéologique de la Ville de Chartres dans le cadre de fouilles programmées sur le site de Saint Martin au Val. Ces dernières années, des découvertes majeures ont été mises au jour, notamment sous l’église. C’est ce qu’Émilie Portat, anthropologue à la Direction de l’archéologie de la Ville de Chartres, viendra présenter dans sa communication, qui sera au coeur des 27e s Rencontres archéologiques, organisées par le Comité archéologique d’Eure et Loir (Cael). L’anthropologue évoquera la découverte d’une nécropole mérovingienne (Ve-VIe siècles) dans l’église et d’une quinzaine de sarcophages, parmi lesquels quatre sépultures intactes contenant chacune un défunt : deux adultes, un enfant et un bébé de cinq mois. L’occasion de dresser un « état des lieux de la recherche sur le site ». Émilie Portat abordera notamment, « d’un point de vue anthropologique », la gestion des funérailles à l’époque mérovingienne et la question de l’origine sociale de la population inhumée en ce lieu.
+ Les trésors archéologiques chartrains exposés à des chercheurs
L'Echo, 10/11, p.8

Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre-Val de Loire

(Chateaudun) Le château n’a plus d’administratrice
Le château de Châteaudun traverse une zone de turbulence. Son administratrice, Anne Rousset, est absente depuis fin juillet « pour une durée indéterminée » selon le Centre des monuments nationaux (CMN). Elle a été mise à mise pied à titre conservatoire et se mure dans le silence, en attendant la décision définitive. Aucune faute grave ou lourde n’est invoquée officiellement ou officieusement. Le CMN refuse de communiquer et le personnel du château ne souhaite pas s’exprimer. Hervé Yannou, administrateur du château par intérim, n’est pas plus loquace : « Je n’ai aucune information sur la suspension de Mme Rousset. Cela ne me concerne pas. On m’a confié une mission et je la remplis. C’est la continuité de service. Le château est ouvert et fonctionne. La saison 3 de La Grande épopée aura bien lieu. Tout est en place. Il n’y a aucun changement et le château poursuit son développement. » Face à cette situation ubuesque, le Dunois Thomas Bernet a décidé de réagir. Il vient de lancer une pétition sur le site change.org pour demander le retour de l’administratrice : « Elle n’a pas été mise au courant. On était pas mal à en parler et il fallait bien que quelqu’un se lance pour que les autres puissent réagir. On a tous été surpris et étonnés qu’Anne Rousset soit suspendue de façon arbitraire. On ne sait pas pourquoi le Centre des monuments nationaux a pris une telle décision et Anne Rousset est soumise à un droit de réserve. Elle doit se défendre en silence. » Thomas Bernet a connu Anne Rousset en 2017, lors de la première saison de La Grande épopée, un spectacle historique « spécialement créé à son initiative pour le château de Châteaudun » : « J’étais bénévole et elle a su se plier en quatre pour trouver une solution avec le sourire quand j’ai été confronté à unproblème. J’ai, également, été vacataire au château pendant plus d’un an. J’ai fait office d’agent d’accueil et de sécurité et je commentais les visites. »
L'Echo, 05/11, p.20

Cher. Des photographes dans la Grande Guerre exposition organisée par les Archives départementales du Cher
Photographier la Grande Guerre, c’est d’abord affaire de militaires. « On embarque des appareils photo dans les aéroplanes, pour des prises de vue aériennes », explique Rémy Duroir, directeur du musée de la Photo Lucien Prévost, à Graçay, qui prête plusieurs appareils à l’exposition. « La reconnaissance est extrêmement importante. Elle va, notamment, permettre de renseigner l’artillerie sur les positions ennemies. »
+ Les albums d’Octave Lepineux
Le Berry 06/11 p.7

Chartres. Le Petit Poucet du patrimoine.
24 ans, Brandon Waret n’est plus un novice de Youtube. Ouverte il y a deux ans sur la célèbre plateforme de diffusion, sa chaîne Brandon Stories a déjà à son actif, quarante-cinq vidéos. Son créneau, l’histoire, et plus particulièrement le patrimoine, dont il aspire à faire découvrir les trésors. Pour cela, le jeune vidéaste ne recule devant rien : enfiler une redingote, embarquer dans un canoë ou aller rencontrer les (vrais) gendarmes.
+ Un tournage est prévu avec Stéphane Bern.
L’Écho R 06/11 p.8

Chémery. Le château en rénovation
Trois samedis par mois, des bénévoles de l’association des Amis du château de Chémery participent à la rénovation du château autour d’Axel Fontaine. Le chantier est énorme à l’image de la salle du soldat emmuré où tout un pan de mur est à reconstruire dans cette partie datant du XIIIe siècle récemment dégagée, en commençant par le déblayage de la grange aux dîmes. Les jardinières du pont ont été remplacées et confèrent à l’ensemble un bel accueil.
NR 41 N, 06/11/2018, p. 14

Loiret. Documents de la Grande Guerre recherchés.
Toute la semaine, jusqu’à vendredi, les Archives départementales du Loiret organisent une nouvelle « grande collecte » à destination de ces familles loirétaines susceptibles de conserver, chez elles, des documents relatifs à la Guerre 1914-1918, dont on s’apprête à célébrer le centenaire de l’Armistice. Il peut s’agir de photographies de poilus, de correspondances depuis le front… Cette semaine est ainsi l’occasion de rappeler « qu’il reste primordial pour la mémoire collective de faire numériser les documents autour de la Grande Guerre, même s’il est possible de le faire toute l’année ». Les Archives se trouvent au 6, rue d’Illiers, à Orléans. Avant d’y apporter les « trésors familiaux » (qui pourront être restitués après numérisation si souhaité), bien penser à d’abord prendre rendez-vous au 02.36.99.25.00 ou via
l’adresse dad@loiret.fr. INTEGRAL
RC Orléans 06/11

Olivet. De belles pièces aux enchères cet après-midi
Matthieu Semont, commissaire-priseur de cette maison de vente, orchestrera cet après-midi. Plusieurs objets d’arts orléanais, des bijoux, des tableaux, des dessins, des bronzes, des meubles seront mis aux enchères : quatre assiettes en faïence de Jeanne Champillou, signées Clos de Joye (l’atelier de l’artiste orléanaise) ; l’argenterie avec, notamment, un ensemble de cinq timbales en argent du XVIIIe siècle des maîtres orfèvres d’Orléans ; deux œuvres d’Aignan-Thomas Desfriche, une mignature circulaire et un dessin au fusain...
RC Orléans 06/11 p.13

(La Chapelle Saint Mesmin) L’église rouverte au public
Propriétaire de l’édifice classé monument historique, la Ville avait procédé à une rénovation extérieure de 2012 à 2014. Cette fois ci, ce sont les intérieurs de l’église de La Chapelle Saint Mesmin qui ont été restaurés. Les travaux, dans cette église construite au XIe siècle, ont commencé en début d’année, et mobilisé plusieurs corps de métiers : maçonnerie, menuiserie, peinture, électricité. Le tout piloté par le cabinet d’architecture Régis Martin, architecte en chef des monuments historiques. Plusieurs mises aux normes ont été réalisées, telles que le réseau d’alimentation électrique, l’accessibilité, la sécurité incendie, ainsi que la pose d’un nouveau système de chauffage et de sonorisation, incluant un système pour personnes malentendantes. Et un nouvel éclairage met en valeur l’architecture intérieure de cette église.
RC Orleans, 07/11, p.16

(Nogent le Rotrou) Un symbole patriotique non funéraire
«La place de la République était noire de monde », nous disent les archives exhumées par Stéphane Cortot. Responsable des archives municipales de la Ville et passionné d’histoire, il s’est depuis plusieurs années intéressé au monument aux morts de la place de la République dont il conte l’histoire, sur place, lors des Journées européennes du patrimoine. La dite place sera t elle dimanche aussi « noire de monde » que ce 12 novembre 1922, jour de l’inauguration du monument aux morts de la ville ? Quatre vingt seize ans après, à un jour près, les commémorations du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918 devraient en tout cas réunir plusieurs centaines de personnes au pied de l’édifice. Pour le responsable des archives municipales, « L’idée de construire des monuments aux morts est née après la guerre de 1870. À Nogent, comme dans beaucoup d’autres villes, c’est après le premier conflit mondial qu’on va le faire. C’est par une délibération du 24 juillet 1919 que la municipalité a décidé d’élever un monument en hommage aux trois cent trois Nogentais tombés durant le conflit ». Cet édifice, oeuvre de l’architecte Charles Lamichel et du sculpteur Henri Vallette (1877-1962) a coûté 45.000 francs de l’époque. Il a été financé uniquement par souscription publique. La Ville avait offert 10.000 francs. « Sa construction a duré environ cinq mois, de mai à septembre 1922. La place de la République a été choisie car elle se trouvait proche des écoles ».
+ Une nouvelle palme de lauriers, symbole de gloire
L'Echo, 07/11, p.24

(Oucques-la-Nouvelle) Il faut sauver le moulin de Lory
L’état des lieux du moulin de Lory, à Oucques, est très mauvais, il est même devenu dangereux pour le public, c’est ce qui est ressorti de la réunion organisée dernièrement à son sujet par l’Aram Beauce et d’autres partenaires. « Les ailes sont prêtes à tomber », souligne le président régional Patrick Chauveau de l’Aram Beauce (moulins de la région), accompagné de Claudine Barbosa, secrétaire de l’association. La réunion a été organisée par l’ancien propriétaire, André Levieuge et sa soeur, Annick Botton, qui avaient convié les présidents d’associations parmi lesquels figuraient les présidents du CSO Foot, les donneurs de sang, le comité des fêtes et d’initiatives culturelles et l’ancien maire Bernard Damion. « L’association, mise en sommeil en 1995, a besoin de renaître, confiait André Levieuge. Il y a près de 4.000 € en banque et il faut tenter de sauver le moulin dont l’actuel propriétaire est la mairie d’Oucques. »
NR Loir et Cher, 07/11, p.13

(Pithiviers) Un tableau retrouve la lumière
Quand une toile mulicentenaire retrouve une seconde jeunesse ! Classé au titre des monuments historiques, un tableau représentant « Jésus tombant sous le poids de la croix » daté du XVIIe siècle et dont l’auteur est inconnu, est à nouveau visible depuis mercredi matin dans l’une des chapelles de l’église Saint Salomon Saint Grégoire. Comme six autres toiles, « ce tableau, propriété de la Ville de Pithiviers, était jusqu’à présent tenu à l’écart du public en raison de son mauvais état » explique Laëtitia Jolivet, directrice de la Culture à la Ville de Pithiviers, laquelle est propriétaire du mobilier de l’église. Le coût total de cette opération est de 16.206 €, financé en partie par une subvention de 6.752,50 € de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC Centre Val de Loire) et de 2.700 € du conseil départemental du Loiret.
RC Loiret, 09/11, p.14

(Amilly) Le moulin Bardin a entamé sa mue
Tanneries, ferme du Bourg et bientôt moulin Bardin, avant l’église de Saint Firmin. À Amilly, restaurer les vielles pierres est une tradition : « On n’est pas très riche en patrimoine bâti, alors on en prend soin », lance Edmond Szewczyk, l’adjoint au maire en charge des travaux. Pour faire simple, du sol au plafond, le bâtiment va avoir droit à une restauration complète, pour un montant estimé à plus de 850.000 euros. Une extension disgracieuse, sans intérêt patrimonial, a déjà été rasée. Une autre, plus moderne et dotée d’un escalier desservant deux étages, sera construite. Le coeur du moulin, lui, subira un profond lifting mais gardera son cachet. Une nouvelle roue à aubes est actuellement en construction chez un artisan du Maine et Loire. Le chantier devrait s’étaler sur une année, avec une date bien précise dans le viseur : « On aimerait pouvoir ouvrir le moulin pour les Journées du patrimoine 2019 », explique Henri Chaves, le directeur général des services de la ville d’Amilly.  La ville d’Amilly est soutenue dans le financement par la DRAC (163.000 €), le département (154.000 €) et le tandem Fondation du patrimoine-Ag2R (45.000 €).
+ Le moulin sera-t-il alimenté par la force de l’eau ?
+ La Fondation du patrimoine et AG2R au chevet du moulin
RC Loiret, 09/11, p.16

(Châteaudun) Un travail de précision et de mémoire
«C’est la dernière ligne droite. Je tiens le bon bout. » Hervé Coupé a commencé, mardi après midi, à inscrire dans la pierre du monument aux morts de Châteaudun la phrase « Les noms des soldats morts pour la France lors des conflits ont été gravés à l’occasion du centenaire du 11 novembre 1918 ». La touche finale de  près de sept mois de travail. Artisan d’art et graveur sur pierre, basé à Orléans (Loiret), Hervé Coupé a été chargé par la Ville de Châteaudun de graver les 227 noms des soldats morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale sur le monument en calcaire de la rue de Chartres. « C’est grâce à Frédéric Broka, gérant de l’entreprise  des pompes funèbres Broka, que j’ai obtenu ce chantier. J’avais travaillé avec son père, Gérard, et il a parlé de moi à la municipalité », confie le jeune quadra qui exerce le métier de graveur sur pierre depuis 1997. Hervé Coupé avoue avoir « un peu hésité » au départ : « Je suis tout seul et j’avais peur de manquer de temps. Je travaille pour 45 marbriers, la Ville d’Orléans et Le Souvenir français. C’était un gros risque pour moi de prendre ce chantier supplémentaire mais aussi une chance. »
+ Un peu plus de 23.300 € de travaux
L'Echo, 09/11, p.21

(Montoire-sur-le-Loir) Mobilisation en faveur du patrimoine
Le Comité départemental du patrimoine et de l’archéologie en Loir-et-Cher (CDPA 41) met en place une action intitulée « Patrimoine dans votre commune » à Montoire et à Saint-Quentin-les-Trôo. Lors d’une réunion de travail début octobre, la démarche de collecte de documentation, de construction des articles et de repérage des lieux a été définie pour une finalisation en 2020. La réalisation d’une publication sur le patrimoine local mettra à contribution tous les acteurs potentiels des communes. Il s’agira d’une mise en valeur des richesses patrimoniales et historiques. Ces dernières seront regroupées pour la rédaction d’articles thématiques sur la géologie, la botanique, l’architecture, l’histoire, la vie quotidienne… Chacun des habitants des villages concernés peut participer en fonction des documents en sa possession : photos, cartes postales, archives familiales, collections…
NR Loir et Cher, 09/11, p.21

KM 0 pour la moitié du manteau de saint Martin
Comme un passage de témoin, la moitié du manteau a été remise par Antoine Selosse, directeur du Centre culturel européen Saint-Martin de Tours, à la dizaine de marcheurs-pèlerins partie d’Angers lundi matin, direction Tours où ils arriveront au terme du chemin de l’été de la Saint-Martin samedi soir, près du pont Wilson. Symbole de la charité de son propriétaire (*), la moitié du manteau de saint Martin est partie hier « pour une sixième ou septième remontée de la Loire, précise Antoine Selosse. C’est un tissu qui a été conçu par le couturier tourangeau Philippe Vaz, des soieries Jean Roze ». L’année dernière avait été marquée par une première avec la reconstitution du transfert du corps de l’évêque tourangeau – alors reproduit par un gisant de cire grandeur nature – de Candes jusqu’à Tours par la voie des eaux.
(*) En 334, alors légionnaire, saint Martin partagea son manteau avec un déshérité transi de froid, car il n’avait déjà plus de solde après avoir généreusement distribué son argent.
NR Indre et Loire, 09/11, p.7

(Chartres) Hommage au 302e régiment
Une exposition sur un régiment d’infanterie sans bain de sang… C’est ce que propose le musée des Beaux Arts de Chartres dans son hommage au 302e régiment d’infanterie de Chartres. Ce régiment était composé de 2.000 soldats percherons, beaucerons, chartrains et de quelques parisiens. Le peintre illustrateur Georges-Paul Leroux a effectué son service militaire à Chartres en 1898 avant de revenir sous les drapeaux en 1914. Artiste déjà reconnu avec le Grand Prix de Rome en 1906, le sergent a été sollicité par le lieutenant colonel Echard pour immortaliser des scènes de la vie au front. Il a dessiné le portrait de 130 soldats décorés de la Croix de Guerre. Cent vingt visages de ces héros sont exposés.
L'Echo, 11/11, p.9

(La Chatre) Les oeuvres du musée en vitrine
La fermeture temporaire du Musée George-Sand de La Châtre, occasionnée par d’importants travaux de réaménagement, est accompagnée par une exposition de reproductions d’oeuvres phares, issues des collections dans la ville. Cette opération, réalisée en partenariat avec le service chargé du commerce, permet d’habiller les vitrines des magasins inoccupés du centre-ville. Une vingtaine d’oeuvres de la collection beaux-arts (des portraits et des paysages liés à l’histoire locale) sont présentées dans une douzaine de commerces. Exposition permanente dans les rues de La Châtre. (intégral)
NR Indre, 11/11

Le moulin de Lory devient dangereux
Lors de la dernière réunion de l’Aram Beauce (Association régionale des amis des moulins de Beauce), à Oucques, Patrick Chauveau, président régional et Claudine Barbosa, secrétaire de l’association, ont dressé un état des lieux alarmant du moulin de Lory. En présence du président du CSO Foot, des donneurs de sang, du comité des fêtes et d’initiatives culturelles et de l’ancien maire, Bernard Damion. « L’association, mise en sommeil en 1995, a besoin de renaître, a affirmé André Levieuge, l’ancien propriétaire. Nous avons 4.000 euros en banque, il faut absolument tenter de sauver le moulin, qui appartient actuellement à la mairie d’Oucques et dont les ailes sont prêtes à tomber ». Le plus urgent est de démonter les ailes et proposer à la mairie de restaurer le moulin. « La Drac finançant entre 70 et 80 % des dépenses, il resterait environ 50.000 euros à charge de la commune », a précisé André Levieuge.
RC Orleans, 10/11, p.30

(Mézières en Drouais) Préserver le patrimoine local
Avec eux, les poteries de Brissard retrouvent vie. Samuel Collin et Catherine Asse-Collin, un couple qui habite Marsauceux, commune de Mézières en Drouais, collectionnent les poteries de Brissard depuis une trentaine d’années. Cette passion est même à l’origine de leur union. C’est un “déjeuner de bergers”, un objet qui servait à emmener le repas ou la soupe aux champs, qui les a réunis. « C’est un vrai symbole », s’amuse encore Catherine Asse-Collin. « Cet objet est composé de deux pots de tailles différentes réunis par une anse penchée. Nous étions tous deux intéressés par son histoire ». La présence de potiers à Brissard, commune d’Abondant, est avérée depuis la fin du XVIe siècle.
L'Echo, 10/11, p.26

(Villiers sur Loir) Une peinture en hommage
Eugène Canivet est le peintre qui a restauré les peintures murales de l’église de Villiers-sur-Loir dans les années 1920, mais il est aussi l’auteur du « Mémorial des poilus » qui est présenté à l’entrée de la nef sur le mur nord de l’église. Catherine Ermisse, professeur d’histoire à la retraite et historienne, explique : « Si l’on a perdu la trace de l’auteur de cette émouvante peinture réalisée par un combattant anonyme de la guerre 14-18, on peut imaginer les sentiments qui l’animaient ». Il est impossible de connaître avec précision, ni dans le temps, ni dans l’espace, le détail des déplacements réels de ce soldat. « Était-il sur la Marne en juillet 1918 qui vit l’offensive, puis la déroute allemande ? », se demande l’historienne. La restauration de cette peinture a été confiée à la SAS atelier Moulinier, « Le Moulin de la Varennes de Naveil » et le restaurateur est Frédéric Quily. (intégral)
NR Loir et Cher, 10/11

(Tours) A la recherche du clairon victorieux de 14-18...
Mais où est donc bien passée la copie, la seule, a priori, du clairon victorieux de la Grande Guerre ? A la veille du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918, c’est la question que se pose Michel Montaubin, ancien adjoint de Jean Royer, dont l’épouse hérita de l’instrument dans les années 80. Petit rappel des faits. Le 7 novembre 1918, à 21h, à La Capelle, dans l’Aisne, le caporal clairon Pierre Sellier sonne la fin des hostilités entre belligérants, un geste qu’il répétera quatre jours plus tard. En 1925, il fait don de son instrument au musée des Invalides. Suite à ce geste, la société PGM Couesnon offre une réplique au caporal, laquelle, au décès de ce dernier, en 1949, revient à son neveu, Raymond Sellier. Exposé en 1988 puis cédé aux pompiers Ce Tourangeau passe l’arme à gauche dans les années 80. L’épouse de Michel Montaubin, nièce de Raymond Sellier, hérite alors de divers biens, dont le fameux clairon de la victoire…
NR Indre et Loire, 10/11, p.12

(Bourgueil) Abbaye et modifications budgétaires
Avant un éventuel achat de l’abbaye, Laurence Riguet a proposé que soit fait un diagnostic patrimonial par un cabinet d’études. La commune envisage d’y consacrer un maximum de 60.000 €, en grande partie subventionné (Drac, Pays, Leader). Pour l’imputer au budget, des modifications d’affectation sont nécessaires. Le vote pour ces modifications a recueilli autant de voix pour que contre (treize). Ces modifications ont été adoptées, la voix du maire étant prépondérante. Après la dissolution du Sicala, l’affection de la part communale de l’actif et du passif, a été adoptée à l’unanimité. (intégral)
NR Indre et LoireW, 10/11

(Bourges) La sphère qui fait tourner les avions
Dans son atelier de Chanteloup, à Lunery, le ferronnier Didier Paquet effectue une réalisation qui le change de ses habitudes. Il met au point les dernières touches de ce qui deviendra, bientôt, un globe évoquant le passé aéronautique de Bourges à travers l’histoire du XXe siècle. L’initiative en revient à l’association Patrimoine Aerospatiale Bourges Berry (PABB) que préside Roland Narboux et qui s’est donnée pour but d’écrire l’histoire des avions et de l’aviation à Bourges. Sept livres en ont découlé, autoédités, tous vendus, qui ont dégagé du bénéfice. Roland Narboux et ses amis ont, alors, décidé de faire un don au club aéromodélisme pour que les plus jeunes réalisent une maquette de Nord Atlas. Elle devrait être terminée en juin. Avec le reste, ils ont souhaité imaginer une réalisation qui évoquerait l’histoire de l’aviation à Bourges. L’idée de la sphère était née, dont une maquette modèle réduit a été présentée, l’été dernier, dans le cadre de l’exposition que l’association PABB organisait à la mairie. L’heure est, donc, à la réalisation de ce projet.
Le Berry, 11/11, p.10

(Chaviloy-Milon) Une nouvelle vie pour les statuettes Gabriel et Marie
L’église Saint Éloi de Chalivoy-Milon possède plusieurs bijoux. Les fresques qui ornent ses murs attirent des centaines de visiteurs chaque année. Non loin, au fond de l’église, deux autres joyaux, qui font la fierté de l’association locale Patrimoine et nature, trônent sur des colonnes. Ces deux sculptures, du XVIe siècle, représentent la scène de l’Annonciation, période de l’annonce de la maternité divine de Marie par l’archange Gabriel. Pendant longtemps, ces deux sculptures ont porté sur elles les stigmates du temps qui passe. Une restauration, nécessaire, a été entreprise en 2017 pour leur offrir une seconde jeunesse. Désormais restaurées, les deux oeuvres ont été inaugurées le 17 octobre, un an après la fin des travaux. « Elles sont belles et elles valent le coup », souligne Étiennette Mercier, vice présidente de Patrimoine et nature. Gabriel et Marie doivent leur nouvelle apparence à Hélène Gruau, restauratrice d’oeuvres sculptées, basée à Tours (Indre et Loire). Après s’être rendue sur place pour discuter avec les élus de la commune et l’association, elle a établi un devis avec une proposition de traitement. Plusieurs mois de travaux ont été nécessaires à Hélène Gruau pour redonner une seconde jeunesse à Gabriel et Marie. 6.000 euros, la somme nécessaire aux travaux des deux statuettes. Elle a été financée par la municipalité de Chalivoy-Milon, la Direction régionale des affaires culturelles, la Fondation du patrimoine et le Crédit agricole.
Le Berry, 11/11, p.16

(Vendôme) Un taxi de la Marne réglé comme une horloge
Bien sûr qu’il roule. Et encore très bien ! D’ailleurs, ce dimanche à 14h30, je serai dans le défilé pour les commémorations à Montoire. Et la semaine prochaine dans la rue du Change pour l’exposition consacrée aux poilus qui se tient à la chapelle Saint-Jacques à Vendôme. Christian Gouin, 69 ans, mécanicien retraité, bichonne le Renault 1911 dont il connaît les moindres recoins. Pourtant, c’est le hasard qui lui a permis de découvrir ce véhicule mythique du front de la Marne de 1914 alors qu’il ne cherchait qu’un vieux Renault pour prendre la suite d’un Ford T 1917 qu’il avait déjà restauré. « En 1987, c’est sur une brocante dans l’Indre que j’ai surpris une conversation. Un septuagénaire ne trouvait pas d’acheteur pour son vieux taxi qui dormait sous un hangar à moitié écroulé et dont le moteur avait été retiré pour laisser place… à un pressoir ! Dans le passé, les taxis étaient reconditionnés tous les cinq ans car très fatigués par les courses sur les pavés parisiens. Ainsi les châssis étaient souvent revendus à des maraîchers. Et c’est après moult discussions que j’ai réussi à trouver un accord sur le prix. Je m’étais renseigné et avec les indications des initiales encore lisibles de la “ Compagnie française des automobiles de place ” sur le moyeu de la roue de bois, avec le nom de “ Renault frères ” frappé sur une pièce du moteur, je savais qu’il pouvait s’agir d’un des taxis réquisitionnés par Gallieni en septembre 1914 pour aller sur le front de la Marne. » Ont suivi de longues années de remise en état à partir de visite de musées, de lectures, d’observations de photos et de cartes postales scrutées à la loupe, une partie des archives de dessins Renault ayant été détruites.
NR Loir et Cher, 11/11, p.8

(Tours) Étoile bleue : la vente rapporte 4.400 €
Ce samedi, à l’Étoile bleue, siège de la Jeune Chambre économique de Tours (JCET) niché rue du Champ-de-Mars, neuf oeuvres d’artistes tourangeaux étaient mises aux enchères. « Des oeuvres offertes par les artistes ayant exposé durant l’année dans nos locaux, attirant près de 2.500 visiteurs », rappelle Marika De Laguierce, organisatrice des expositions. Des photos, des peintures, des sculptures signées Michel Audiard, Catherine Barthélémy, Laurence Dréano, Éloïse Escaffre, Caroline Gasch, Annie Gueniffey, Philippe Lucchese, Fabienne Polge, ou Jean-Pierre Sallé, qui ont été soumises au marteau du commissaire-priseur Aymeric Rouillac. Sept ont trouvé acquéreur pour un montant global de 4.400 €, les oeuvres ayant été vendues chacune entre 700 et 1.000 €. Deux oeuvres seront à nouveau mises aux enchères, ce dimanche à 14h, au CCCOD : une photo de Philippe Lucchese, qui fut l’affiche de l’exposition « L’Étoile bleue, la renaissance », et la sculpture « L’homme au chapeau » de Fabienne Polge. L’argent récolté permettra de poursuivre la restauration de l’Étoile bleue qui a abrité, jusqu’en 1946, une maison close. Après la restauration des murs et des fresques, les membres de la JCET prévoient ainsi de racheter du mobilier, et surtout de restaurer les mosaïques de Sante Vallar, datant des années 30, et figurant notamment sur la façade. (intégral)
NR Indre et Loire, 11/11

L’Exploracentre, premier musée dédié aux enfants à Genève

Sur 400 m2, un espace d’expériences scientifiques où il est interdit de ne pas toucher.

Pour un peu, on se croirait presque dans un vaisseau spatial engagé dans un tunnel de lumière infini. Mais en matière d’effets spéciaux, les dispositifs les plus simples sont souvent les plus efficaces. Un double jeu de miroir et des lampes qui se reflètent.
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Enrichissement des musées

Deux préemptions pour Fontainebleau et le Musée de l’Armée

Acquisitions - Fontainebleau, château et Paris, Musée de l’Armée - Lors de la vente de la SVV Thierry de Maigret jeudi 8 novembre dernier à l’hôtel Drouot, deux musées ont préempté des œuvres pour leurs collections.
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Une préemption de la BnF, à moins de 2000 euros...

La Bibliothèque nationale de France a préempté vendredi 9 novembre, à la vente Leclère à l’hôtel Drouot, un dessin sur vélin du graveur néerlandais Crispin de Passe représentant un portrait d’homme.
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Peintures récemment acquises par Versailles
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Deux tableaux, Hals et Fitzgerald, pour le Toledo Museum of Art
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Deux acquisitions pour Toulouse : Matylda Rosen et Dagnan-Bouveret
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Un appel au mécénat pour acquérir un chef-d’œuvre d’Émile Bernard
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Delacroix à New York
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Deux préemptions du Louvre : Gros et Peyron
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Des sculptures sur ordinateur, un musée à visiter avec les doigts… Tours sublime le handicap

« Notre idée est d’expliquer, dédramatiser, montrer que les personnes en situation de handicap sont là dans la culture : elles sont actrices, elles dansent, elles chantent, font des sketchs, de la musique, restaurent des bâtiments… Tout le monde peut trouver quelque chose à faire selon ses centres d’intérêt » : voilà comment la mairie de Tours définit Au Tours du Handicap, son événement annuel pour rendre visibles les personnes en situation de handicap, les initiatives des associations, faire de la sensibilisation auprès des jeunes ou des familles… De très nombreuses animations sont programmées jusqu’à la fin du mois de novembre autour d’un thème simple mais riche : la culture.
Lire la suite : http://www.info-tours.fr/articles/tours/2018/11/12/9906/des-sculptures-sur-ordinateur-un-musee-a-visiter-avec-les-doigts-tours-sublime-le-handicap/

Une visite guidée pour des aveugles et des malvoyants au musée de Grenoble

Ce samedi 10 novembre 2018, au musée de Grenoble, des visiteurs mal voyants ont pu découvrir 3 tableaux du début du XXe siècle. Les œuvres ont inspiré la dernière création du chorégraphe Jean-Claude Gallotta.
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/visite-guidee-aveugles-malvoyants-au-musee-grenoble-1572792.html

Emmanuel et Brigitte Macron accueillent le monde au Musée d'Orsay

Dans le cadre des commémorations du 11-Novembre et avant la grande cérémonie de dimanche, Emmanuel et Brigitte Macron reçoivent de nombreux chefs d'Etat au musée d'Orsay.
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Saint-Lô va recevoir "courant décembre" deux oeuvres prêtées par les grands musées parisiens

Saint-Lô va accueillir à la mi-décembre deux oeuvres prêtées par de grands musées parisiens, dans le cadre de l'expérimentation "La culture près de chez vous". L'une est signée d'un artiste majeur du XXe siècle, l'autre est en lien avec la Manche.
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/saint-lo-deux-oeuvres-des-grands-musees-parisiens-arriveront-courant-decembre-au-musee-1541945485

Musée des Beaux-Arts. Le cadre déborde

Le Musée des Beaux-Arts est à l’étroit dans ses locaux de la place Saint-Corentin. Un manque d’espace qui limite notamment les expositions. Une solution de transfert des réserves, dans un bâtiment municipal créé pour les archives, est à l’étude.
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/visite-guidee-aveugles-malvoyants-au-musee-grenoble-1572792.html

Réouverture du musée des beaux-arts de Besançon : le programme des événements

Le Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon a fini sa mue. Il rouvre ses portes au public vendredi 16 novembre, à 19h, pour une visite nocturne. Découvrez le programme des événements.
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/doubs/besancon/reouverture-du-musee-beaux-arts-besancon-programme-evenements-1571916.html

Museomix. À la Villa Rohannec’h, on invente le musée du futur

Dimanche 11 novembre, de 16 h à 19 h, le grand public pourra enfin découvrir le travail des 30 artistes réunis pendant trois jours à la Villa Rohannec’h. La commande de Museomix ? Utiliser des documents du patrimoine local et les mettre en valeur de manière Lire la suite : https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-brieuc/museomix-a-la-villa-rohannec-h-on-invente-le-musee-du-futur-10-11-2018-12129241.php#eL12i9gAc0vb6CB1.99

Au Canada, les médecins prescrivent des visites gratuites au musée

Pour le mieux être de leurs malades, les médecins québécois peuvent désormais prescrire des visites gratuites au musée. Ce projet pilote démarre au Musée des beaux arts de Montréal (Québec).
Lire la suite : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/canada-les-medecins-prescrivent-des-visites-au-musee_129131

À Montréal, des visites au musée sur ordonnance

Convaincu des effets bénéfiques de l'art sur la santé, le musée des beaux-arts de Montréal multiplie les initiatives «pour se mettre au service du public». Des médecins pourront désormais administrer des visites gratuites à leurs patients.
Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2018/10/30/03015-20181030ARTFIG00007--montreal-des-visites-au-musee-sur-ordonnance.php

Au Canada, des médecins pourront prescrire des visites au musée

Des patients atteints de maladies mentales ou physiques pourront être envoyés voir gratuitement des expositions au Musée des beaux-arts de Montréal.
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2018/10/24/au-canada-des-medecins-pourront-prescrire-des-visites-au-musee_5373872_4832693.html

La base de données de la statuaire publique enfin disponible sur internet

A nos grands hommes, une base de données de la statuaire publique en France fut publiée en 2004 sur un double cédérom. Une technologie que les moins de vingt ans sont de moins en moins nombreux à connaître, et un support qui sera bientôt aussi obsolète que les cassettes VHS... Il était donc temps que ce remarquable travail soit enfin versé sur internet, comme nous l’appelions déjà de nos vœux en 2006 lorsque nous en avions parlé (voir cet article). C’est désormais chose faite, grâce au Musée d’Orsay qui fut à l’origine de ce travail, avec l’aide de nombreux partenaires, dont l’INHA, l’École du Louvre, l’Université Paris-Nanterre.
Lire la suite : https://www.latribunedelart.com/la-base-de-donnees-de-la-statuaire-publique-enfin-disponible-sur-internet

Nomination de Chris Dercon à la tête de la RMN-GP

Nomination - Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais -Dans notre article du 27 octobre dernier, nous annoncions la nomination à la tête de la Réunion des Musées Nationaux du belge Chris Dercon, ainsi que celle d’une femme comme directrice de cabinet.
Lire la suite : https://www.latribunedelart.com/nomination-de-chris-dercon-a-la-tete-de-la-rmn-gp

Deux préemptions du Louvre : Gros et Peyron

C’est un véritable chef-d’œuvre d’Antoine-Jean Gros (ill. 1) qu’a acquis ce soir le département des peintures du Louvre chez Sotheby’s, lors de la vente Pierre Bergé. Un achat d’autant plus réjouissant que ce tableau nous avait marqué lors de la première vente Bergé-Saint-Laurent. Il n’avait alors pas été adjugé et était donc resté chez le collectionneur. Il vient de se vendre 369 000 € (avec les frais) avant d’être préempté par le Louvre.
Lire la suite : https://www.latribunedelart.com/deux-preemptions-du-louvre-gros-et-peyron-7483