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| | Revue de presse (31 octobre - 6 novembre) | |
| | Auteur | Message |
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valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (31 octobre - 6 novembre) Lun 14 Nov - 11:23 | |
| Musées de la région CentreSource : Panorama de presse de la Drac Centre(Bourges) Visite à la lueur des lampesLe muséum d’histoire naturelle était exceptionnellement ouvert, samedi soir, de 20 à 23 heures. Mieux, il était totalement plongé dans le noir. Les visiteurs n’ont pu voir que grâce aux lampes torches qu’ils avaient apportées. Objectif : sensibiliser à la pollution lumineuse nocturne (opération le Jour de la nuit). Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’initiative a eu du succès. Deux cent cinquante personnes ont été comptabilisées. «On a beaucoup de nouveaux visiteurs qui ne connaissaient pas le muséum», se félicite Laurent Arthur. Le Berry, 31/10, p.10 (Dreux) Quand la nature se fait artDepuis samedi et jusqu'au 30 novembre, l'Ecomusée des vignerons et artisans drouais accueille une exposition consacrée au land-art. Elle offre une occasion intéressante de découvrir cette forme artistique qui utilise comme source d'inspiration et de création unique la nature et ses matériaux. L'Echo, 31/10, p.13
(Bourges) Réseau des musées
Le réseau des musées propose de découvrir, en trente minutes, une oeuvre choisie dans les réserves ou collections permanentes des musées (musées du Berry, Estève, des Arts décoratifs et des Meilleurs Ouvriers de France). Rendez vous sur place, à 12 h 30. Présentation gratuite. Aujourd’hui les musées de Bourges lèveront le mystère de la lanterne magique, conservée à l’hôtel Lallemant musée des Arts décoratifs, 6, rue Bourbonnoux, à la lampe de poche... (Intégral) Le Berry, 02/11
(Issoudun) Jérôme Poret : d’un monde à l’autre
Artiste en résidence depuis août dernier, Jérôme Poret présente, jusqu’à ce soir, ses créations inspirées du Pleurant. Jérôme Poret n’est pas parti du Pleurant d’Issoudun mais de celui de Bourges. Un Pleurant qui l’a séduit, «car il a les mains jointes sur le visage ; elles font disparaître le genre et la fonction sous le drapé. On ne voit plus que le vêtement.» Une oeuvre du XVe siècle qui va être déterminante pour son travail. Face au Pleurant, cet ancien étudiant des Beaux-arts de Bourges, fondateur de Transpalette - espace d’art contemporain berruyer - a installé un ampli revu, redessiné, retravaillé, reformaté pour, lui aussi, entrer en correspondance avec les baptistères romans. Pour cela, il s’est inspiré d’une oeuvre de Richard Serra, un octogone d’acier qui fait face à la Chapelle Saint Éloi dans la région lyonnaise. Nr, Indre, 13/03, p.19
(Vendôme) Daniel Chompré au musée
Daniel Chompré vit et travaille à Paris et à Neuilly-en-Sancerre. Il utilise des toiles de coton, de lin, de chanvre, tissées à la main, le plus souvent de récupération. A l’origine sacs de l’armée, décousus et ouverts, ils conservent les traces des différents pliages qui feront ainsi partie intégrante du graphisme. Des zones de couleurs se répartissent, telle une architecture rurale en vue aérienne. Parallèlement à cette exposition, le musée met en place des séquences pédagogiques auprès des élèves des écoles du Vendômois. Philippe Berthommier explique ainsi la démarche, apporte quelques éléments de technique et de lecture des oeuvres exposées. Des séances de pratique complètent naturellement ses interventions, au sein de l’atelier du musée. Les enfants reprennent les principes de réalisation que l’artiste a utilisés. NR, Loir et CherN, 03/11, p.17
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| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (31 octobre - 6 novembre) Lun 14 Nov - 11:23 | |
| Patrimoine de la région Centre
Source : Panorama de presse de la Drac Centre
(Bourges) Histoires défuntes aux Capucins
À deux pas de la place Malus, le cimetière des capucins a livré ses mémoires d’outre-tombe. Avec Thérèse Legras, dimanche après-midi, les anecdotes ont fait procession. Pour la énième fois, la guide conférencière, a ressuscité l’histoire dans les allées. Le Berry, 31/10, p.7
(Orléans) L’industrie dans tous ses états
Les éloges pleuvent sur l’exposition «Laissez-nous conter l’industrie à Orléans 1650-1950» proposée par la mairie d'Orléans jusqu'au 31 décembre à la collégiale Saint Pierre le Puellier. Samedi, 180 personnes ont ainsi découvert le patrimoine industriel de la ville. Accompagnée d'un circuit patrimonial en ville, l'exposition aborde sur trois siècles, les principaux secteurs de l'industrie orléanaise : l'alimentation, le textile, le cuir, la métallurgie, la mécanique, l'électroménager et les tabacs. RC, Orléans métropole, 31/10, p.10
(Orléans) Tout sur la dynastie Dessaux
Orléans fut en son temps la capitale du vinaigre de vin. Grâce à la vinaigrerie Dessaux Fils, fondée en 1824 par Charles Prosper Alexandre Dessaux, elle deviendra la première vinaigrerie du monde. L’histoire des Dessaux est intimement liée au quartier Saint Pierre le Puellier. La vinaigrerie a fermé ses portes en 1983. Durant plus de 150 ans, l’entreprise familiale a rayonné bien au delà des frontières. Une vraie référence. Les ultimes bâtiments Dessaux sont vendus à la ville à la fin des années 80. Commence alors une politique d’aménagement du secteur. Les projets architecturaux devront tenir compte du trésor précieux qu’il abrite. En effet, les bâtiments Dessaux ont été érigés sur l’enceinte de la ville qui date du IVe siècle. RC, Orléans métropole, 31/10, p.15
(Blois) Antoinette par Matisse un dessin ressuscité
Présenté à Me Pousse-Cornet, le dessin à l’encre de Chine n’était connu que de cette famille solognote. Authentifié formellement, il sera bientôt vendu. Vu la personnalité du peintre, et le caractère de « découverte » du dessin, on s’attend à voir grimper les enchères dimanche 13 novembre. « L’estimation, basse, se situe entre 12.000 et 15.000 €. Mais ces chiffres devraient largement être dépassés. De vrais acquéreurs français et étrangers se sont déjà manifestés, et ce n’est que le début. » NR, Loir et Cher, 31/10, p.3
(Nogent le Rotrou) L'église Saint Hilaire soigne son choeur
La paroisse Saint Lubin du Perche, soutenue par l'association des Amis de l'église Saint Hilaire, lance un nouvel appel aux dons afin de financer la restauration de l'édifice. Le coût des travaux d'aménagement est estimé à 18 000 €. Si les délais sont respectés, l'église pourrait reprendre du service d'ici la pentecôte 2012, seize ans après avoir fermé ses portes pour cause de vétusté. En attendant, la plus ancienne des églises de Nogent le Rotrou poursuit le chemin de croix qui mènera à sa réhabilitation en s'apprêtant à franchir une nouvelle étape avec la restauration et l'aménagement de son choeur. L'Echo, 31/10, p.20
Patrimoine, gestion publique ou privée
Pour un colloque sur le rapport entre collectivités publiques et opérateurs privés dans la gestion du patrimoine, il n’y avait pas de meilleur choix que le château de Langeais. Propriété de l’Institut de France, sa gestion en a été confiée par délégation de service publique à la société Kléber Rossillon. C’est dans ce cadre unique que Kléber Rossillon a accueilli les participants, en grande majorité représentants des collectivités publiques, venus de toute la France. Départements, régions, villes importantes sont confrontés à ces impératifs de mise en valeur, de préservation de monuments, musées, sites dont ils sont propriétaires et qui sont à la fois emblèmes de leur politique culturelle et touristique et vecteurs économiques tant directs que par les retombées sur le commerce local. Ce qui n’est pas sans poser des problèmes de savoir-faire en matière de gestion, d’animation, mais aussi d’investissement. Nr, Indre et LoireT, 02/11, p.9
(Orléans) Voyage en terres inconnues
Bienvenue en «terra incognita»… En sortant des fonds patrimoniaux de la médiathèque une soixantaine de précieux documents, Anne Monginoux, bibliothécaire au service patrimoine, invite à revivre l’aventure des grands voyageurs. Gravures, cartes, livres, la médiathèque d’Orléans propose au public de se plonger, jusqu’au 3 décembre, dans les «Miroirs du monde, atlas et livres de voyage du XVIe au XVIIIe siècles». Car dès le XVe siècle, les cartes géographiques deviennent « miroirs » pour en donner une nouvelle représentation du monde. Les navigateurs s’aventurent sur les mers à la découverte de terres inconnues : Afrique, Amériques, puis Océanie se dessinent peu à peu… + Autour de l’exposition RC, Orléans métropole, 02/11, p.15
(Vendôme) Gargouilles et chimères se refont une santé
La façade sud de La Trinité poursuit sa cure de jouvence. Petit tour auprès d’un des tailleurs de pierre en plein ouvrage. Vue imprenable sur le cloître de La Trinité et sur les pinacles de l’abbatiale en pleine restauration. Des rectangles de pierre brute qui, sous les coups précis du ciseau, massette et griffe, se métamorphosent et prennent vie. Avant le début du chantier, il a fallu choisir la pierre dont le grain et la teinte s’approcheraient le plus du tuffeau de Villedieu utilisé au XVIe siècle. C’est finalement la pierre de Thénac en Charente-Maritime, proche par sa matière de celle de Richemont qui a été retenue. NR, Loir et CherS, 01/11, p.15
(Châteauroux) Le tapis d’Arras retrouve sa place d’origine
Un tapis créé au XIXe siècle pour l’église Saint-André et accroché dans la cathédrale d’Arras par erreur, il y a vingt ans, a retrouvé Châteauroux, hier. Il avait été tissé à Aubusson pour l’archevêque de Bourges, Charles-Amable Ide la Tour d’Auvergne- Laurageais, et installé au sol, dans le chœur de l’église Saint- André, en 1876, pour l’inauguration du monument. Ce tapis de 6,80 m sur 8,20 m avait quitté les lieux dans les années 1970 ou 1980, revendu à un marchand, bien qu’il eût été inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1906. A l’époque, le concile Vatican II incitait au dépouillement des lieux de culte. Il fallait limiter tous les accessoires religieux et célébrer les messes face aux fidèles. Intercepté par les Douanes En 1991, le tapis est intercepté par les services des Douanes alors qu’il est en passe de rejoindre les États-Unis. Il est acquis par l ’État pour 200.000 francs et rejoint la cathédrale d’Arras qui croit y reconnaître les armes de l’ancien évêque de la ville, Charles de la Tour d’Auvergne ; ce sont en fait celle de son neveu, l’archevêque de Bourges. C’est un historien du Pas-de-Calais qui découvre la méprise, en 1998 NR, Indre, 04/11, p.10
(Blois) Exposition La Compagnie des Indes au château de Blois
Nous présentons un florilège des marchandises qui ont été transportées au cours de cette aventure commerciale et de pouvoir. Avec de la porcelaine et de la soie, les marchandises les plus anciennes venues d’Orient. Cette aventure, c’est celle de la compagnie des Indes, qui a exercé le monopole du commerce entre la France et l’Orient au XVIIe et XVIIIe siècles. Que Brigitte Nicolas,conservateur en chef du musée de la compagnie des Indes de la ville de Lorient connaît sur le bout des doigts. On peut la découvrir dans son intensité et sa complexité au fil d’une somptueuse exposition installée au château royal de Blois, depuis les Rendez-vous de l’Histoire. Elle a été faite sur mesure pour cet événement historique consacré à l’Orient, mais reste présentée beaucoup plus largement puisqu’elle est visible jusqu’au 20 novembre. NR, Loir-et-Cher, 04/11, p.6
(Giens) La Faïencerie de Gien, un patrimoine bien vivant
Prix spécial du jury aux trophées des entreprises du Loiret. Née voici 190 ans, cette entreprise mondialement connue dans le secteur des arts de la table allie tradition et modernisme. Elle est le prix spécial du jury 2011. La Faïencerie de Gien reste l‘une des références mondiales en matière d’arts de la table. Entre tradition et modernisme, elle a su traverser les décennies… et les crises. En effet, le site des techniques développées en 1850, mais possèdemaintenant deux machines de décoration automatique, uniques en Europe. Friands de simples pièces ou de services entiers de « Gien », le clients raffolent toujours de produits au raffinement mondialement connu.. RC, Orléans, Loire-Sologne, 04/11, p.II
Dernière édition par valerie.sauvion le Lun 14 Nov - 15:05, édité 6 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (31 octobre - 6 novembre) Lun 14 Nov - 11:25 | |
| Archéologie région CentreSource : Lettre INRAP n°65, octobre 2011Carte intéractive des fouilles en Val de LoireCette carte interactive du Val de Loire vous permet de localiser rapidement un certain nombre d'acteurs engagés dans la préservation et la valorisation du patrimoine, notamment le Val de Loire inscrit sur la Liste du patrimoine mondial par l'UNESCO au titre des paysages culturels. Voir la carte
Dernière édition par valerie.sauvion le Lun 14 Nov - 14:02, édité 3 fois | |
| | | valerie.maillochon webmestre
Messages : 10220 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Revue de presse (31 octobre - 6 novembre) Lun 14 Nov - 11:27 | |
| Actualités FrançaisesSource : artclair.com Bruno Racine, le président de la BNF élu à la tête de la fondation EuropeanaLA HAYE (PAYS-BAS) [04.10.11] – Bruno Racine, président de la Bibliothèque nationale de France, a été élu à la tête du conseil d’administration d’Europeana. Cette fondation est chargée de rendre accessible via internet le patrimoine culturel européen numérisé. Lire la suite(Saché) Les oeuvres saisies sont-elles de véritables Calder ?Après l’électricien à qui Picasso aurait donné 270 oeuvres, voici une autre affaire qui secoue le monde de l’art. Au centre du dossier, ce sont cette fois neuf sculptures que leur propriétaire tourangeau affirme avoir reçues de Calder dans les années 70, alors que l’artiste vivait en Touraine. L’homme est un modeste retraité qui, entre 1969 et 1975, à l’époque où Calder était installé dans son atelier de Saché, a côtoyé l’artiste. En fait, il lui apportait même de temps en temps une aide technique dans la confection de certaines sculptures. Très attaché à la commune, Calder n’hésitait pas à l’époque à offrir des gouaches ou de petits mobiles à certains habitants qui lui rendaient service. C’était aussi la période au cours de laquelle Alexander Calder faisait fabriquer ses grandes oeuvres au sein des ateliers Biémont de Tours qui employaient alors environ quatre-vingts ouvriers. + ••• Calder en Touraine + Une valeur potentielle de 2 M € Nr, IndreW, 05/11, p.53
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