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 Revue de presse ( 16-22 octobre 2017)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse ( 16-22 octobre 2017)   Revue de presse ( 16-22 octobre 2017) Icon_minitimeSam 21 Oct - 22:16

Musées région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire

(Orleans) Soyez mécène du musée des Beaux-Arts
C’est une aventure assez folle, résume Olivia Voisin, la directrice des musées d’Orléans. Aujourd’hui et pour la première fois, le musée des Beaux Arts d’Orléans lance une campagne de financement participatif pour acquérir 90 dessins de Jean-Marie Delaperche. « À part quelques érudits, cet artiste était connu par les archives, en particulier par un article de la Société d’histoire et d’archéologie de l’Orléanais paru dans les années 40 ou 50. On savait qu’il était né à Orléans en 1771 et, pour la petite histoire, que sa mère était pastelliste amateur et que son père, bonnetier, vendait du fixatif utilisé notamment sur les pastels, comme ceux de Jean-Baptiste Perronneau. Le monde est petit ! », s’amuse la conservatrice. De cet artiste, exilé en Russie pendant plus de vingt ans, « on ne connaissait qu’un dessin acquis par le musée de l’Ermitage à Saint Pétersbourg ». Or, la galerie d’art parisienne Chaptal vient de mettre sur le marché 90 dessins en excellent état, sans aucune mauvaise feuille, qui étaient en possession d’un collectionneur privé.
RC Orleans, 21/10, p.12

(Bourges) Réouverture

Après une période de fermeture pour mener des travaux, le musée des Meilleurs Ouvriers de France rouvrira ses  portes au public aujourd’hui, samedi 21 octobre. Installé dans l’enceinte de l’ancien palais archiépiscopal, à une centaine de mètres au sud de la cathédrale Saint Étienne, il donne à voir l’excellence de plus de deux cents métiers de l’artisanat, du commerce et de l’industrie. Il est ouvert de 10 heures à midi (sauf le dimanche) et de 14 à 18 heures. Fermé les lundis et les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre, 25 décembre. Accessible aux handicapés. Renseignements au 02.48.57.82.45 (intégral)
Le Berry, 21/10

(Unverre) Le Musée-École dévoile ses rendez-vous
« Grâce à votre dévouement, nous avons battu, cette année, le record d’entrées en accueillant 1.500 personnes. Félicitations aux deux employées, Amal Joron et Lucie Broyard, qui se sont relayées pour recevoir les visiteurs », lance Jean-Paul Martineau, président d’Unverre Autrefois, lors de la réunion du conseil d’administration du Musée École d’Unverre. Il l’a organisée, mercredi, pour faire le bilan de la saison écoulée et évoquer les projets à venir. Le Musée École va intégrer la maison du tourisme des Trois Rivières ; la réunion pour la signature aura lieu mi novembre. En 2018, le Musée École sera présent dans Le Pass’découverte en Pays Dunois. Il fera aussi partie d’un circuit dans le catalogue Les Journées détente au sud de l’Eure et Loir (4.000 exemplaires). Au niveau des projets à venir, cinq étudiantes en BTS, suivie par un professeur, vont effectuer, dans le cadre de leurs études, un travail pour la promotion du musée, l’organisation d’un événement et larédaction d’un article.
L'Echo, 21/10, p.26

(Chartres) Le TractoBrick du conservatoire de l’agriculture fête son arrivée dans le livre des records

Au commencement était la brique. À force d’empilements, le TractoBrick a vu le jour dans le garage d’une petite entreprise de l’Essonne. Arrivé au musée du Compa, à Chartres, le 18 avril 2016, jour de la Saint Parfait ça ne s’invente pas le CLAAS Arion 460 en Lego, vit sa vie de mascotte. Cet été, le tracteur a reçu la consécration ultime : il est, désormais, « the largest Lego brick tractor » pour le Guiness world records. C’est à dire, en version française, le plus grand tracteur en briques Lego. Le certificat officiel du Guiness world record trône sur le bureau de Morgane Thomas-Ramadou, chargée de projet événementiel au Compa. Avec Guillaume Charlès, chef de projet marketing chez le constructeur allemand de matériel agricole CLAAS, partenaire du projet TractoBrick, elle a monté le dossier de record du monde. Choix de l’intitulé du record (« C’est déterminant et ça peut faire tout capoter »), prise de mesures sous le mètre laser d’un géomètre, séances photo et puis… l’attente.
L'Echo, 20/10, p.3

(Dreux) Si on allait au musée pour les vacances

En levant les yeux ou en détournant un peu la tête de sa trajectoire habituelle, les rues de la cité recèlent de trésors insoupçonnés, étonnants, drôles et merveilleux. Mais les habitants et les passants pressés ne les voient pas toujours, ces statues, ces enseignes, ces  statuettes nichées, ces bas reliefs, ces maisons anciennes, bref, ces éléments du patrimoine. Depuis deux ans, Alice Léger est chargée de la valorisation du patrimoine, rattachée au musée d’art et d’histoire de Dreux. Sa mission : aider à la préservation du patrimoine et proposer des médiations culturelles aux enfants des écoles. Tout au long de l’année, elle propose des visites du patrimoine aux élèves, âgés de 7 à 12 ans, sur plusieurs thèmes pour découvrir la Ville, en suivant les principaux monuments, comme le beffroi, l’église Saint Pierre ou le bâtiment de la Caisse d’Épargne, à travers une chasse aux blasons ou les statues.
L'Echo, 20/10, p.17

(Argenton sur Creuse) L’art, le textile et les réseaux

Anne Guibert-Lassalle pro- pose une exposition art textile réseau au Musée de la chemiserie et de l’élégance masculine. Une trentaine d’oeuvres d’art textile contemporain, des portraits sur des fonds de toile tricotées, ont été retenues par le concours 2017, organisé conjointement par Textile-résonance (Cher) et le musée, sur le thème du réseau. Le réseau en tant qu’ensemble de lignes entrelacées au sens propre, et un ensemble de  relations, au sens figuré. Les artistes français et étrangers, l’ont traité au niveau des matières (papier, feutre, toile, cheveux, filmradiographique…) et l’ont traduit à leur façon. « Les créations traitent du réseau sanguin végétal mais aussi des relations entre les hommes, de l’émigration, etc. », a indiqué, lors du vernissage, Nathalie Gaillard, directrice du musée. Jusqu’au 3 décembre inclus. (intégral)
NR Indre, 20/10

Chécy candidate

Mardi, Chécy a partagé sa « chance et le bonheur » de revoir Laure Danilo, conservatr ice du futur Muséum pour la biodiversité et l’environnement (MOBE) d’Orléans, invitée afin de présenter le projet métropolitain en préparation. Sa visite illustre notamment « les contacts  initiés depuis de nombreux mois », depuis que Chécy a proposé de « faire partie d’actions » et d’être un « site d’expérimentations concrètes ». À l’écoute, le futur MOBE a déjà prêté une exposition temporaire au musée cacien de la Tonnellerie (partenariat qui pourrait être renouvelé en 2018). « Nous avons une ambition qui serait de relier la nature et la culture. On aurait envie d’être dans une démarche de partage d’expériences et de moments festifs. Je voulais vous lancer cette idée », a terminé le premier magistrat. (intégral)
RC Orleans, 19/10

(Orleans) Le « mécénat participatif » bientôt lancé
Vous voulez participer à l’achat d’oeuvres d’un artiste orlénais, pour qu’elles viennent gonfler les collections du musée des Beaux Arts ? Ce sera possible, dès le 21 octobre, via une plateforme de financement participatif, « www.commeon.com ». Le but est d’acquér ir 90 oeuvres, des dessins de JeanMarie Delaperche, artiste orléanais méconnu du XIXe siècle, découverts à Paris. 100.000 euros sont nécessaires, 50.000 provenant du fonds patrimonial du ministère de la Culture, l’autre moitié provenant peut être des dons, de 5 à 5.000 euros, des Orléanais. Clôture de la campagne le 12 décembre, avant une expo au musée des Beaux Arts fin 2018. L’opération est amenée à se reproduire deux fois par an, si elle fonctionne. (intégral)
RC Orleans, 17/10

(Chaon) Une lettre, trait d’union des Solognes
La Sologne s’étale sur trois départements : le Loir et Cher, le Loiret et le Cher. Dans ces trois départements, plusieurs musées ou maisons à thème évoquent la Sologne. Car ce n’est pas qu’une région naturelle, c’est aussi une culture, une histoire et de nombreuses traditions : la littérature à Sainte Montaine, le braconnage à Chaon, sans oublier la forêt à Brinon, le cerf à Villeny ou encore les étangs à Saint Viâtre. Pour les touristes, désireux de découvrir ou redécouvrir la Sologne, des circuits touristiques sont possibles au delà des frontières départementales. Une lettre du 2 mars 1934, écrite par la romancière Marguerite Audoux à Maurice Genevoix, a été le prétexte pour unir deux musées, deux communes : Chaon et SainteMontaine (Cher). La mise en lumière de ce lien  épistolaire, dans ces deux musées respectifs permettra de renforcer ce pont. Vendredi, la lettre a été inaugurée à la maison du braconnage de Chaon. (intégral)
RC Orleans, 18/10 + NR41S, p.24

(La Couture Boussey) Une sorcière dans le musée des instruments…
Il se passe toujours quelque chose au musée des instruments à vent de la Couture Boussey. Les enfants sont particulièrement choyés grâce à des animations en ateliers imaginées cet automne par Laurine Millet, médiatrice culturelle, et Constance Penthiaux, agent d’accueil et de médiation. L’objectif des deux jeunes femmes est toujours le même : « Faire découvrir et aimer notre très beau musée à toutes les générations. » Durant les vacances de la Toussaint, deux rendez vous sont ainsi proposés aux enfants. Il s’agira d’un jeu de piste au cours duquel les enfants devront retrouver un instrument de musique. « Notre histoire est celle d’une gentille sorcière vivant dans une drôle de maison, aimée de tous. Elle se fâche pourtant un jour et jette un sort aux habitants du village suite à la disparition de son instrument fétiche », raconte Constance Penthiaux. C’est sur cette  aventure que les deux organisatrices inviteront tous les enfants à retrouver l’instrument de la sorcière à travers le musée. Un musée qui fait  beaucoup pour les jeunes et qui reste également ouvert aux adultes cet automne puisque la très riche exposition temporaire De Malerne à Marigaux sur les facteurs d’instruments à vent de 1935 à nos jours est visible jusqu’au 15 novembre.
L'Echo, 18/10, p.19

(Blois) Une étude et un projet
Une étude a été commandée pour une future muséographie du Musée de la Résistance, de la déportation et de la libération en Loir-et-Cher. C’est le cabinet Via Culture qui a proposé un scénario intermédiaire afin de redonner de l’attractivité à ce site. Le coût estimé serait de 700.000 €. « Ce projet ne peut pas s’envisager sans un partenariat Ville-Département. J’ai sollicité une rencontre avec Nicolas Perruchot afin d’en discuter, j’espère avoir des réponses très vite. » (intégral)
NR Loir et Cher, 18/10

(Sainte Montaine) Le musée ouvrira comme la mairie
À compter d’aujourd’hui, l’ouverture du musée Marguerite Audoux sera assurée par la secrétaire de mairie. Il ne sera donc plus ouvert les samedis après midi, dimanches et jours fériés, mais du mardi au vendredi, de 13h30 à 17h30, et le samedi, de 8 à 13 heures. Des créneaux horaires pas vraiment adaptés à un site touristique… Ces horaires sont pour le moment valables jusqu’au 1er novembre. Le musée restera ensuite fermé jusqu’à Pâques, où ces nouveaux horaires seront de nouveau appliqués. « Le musée sera ouvert en saison, de Pâques à la Toussaint, c’est ce qui se fait souvent dans les musées », indique Christine Ageny, première adjointe de la commune. « Mais si des groupes se présentent entretemps, elle pourra l’ouvrir aussi. » Ce changement d’horaires est une conséquence directe de la suppression des contrats aidés. L’animatrice du musée, Sabine Sauvage, était en effet en contrat aidé (à 20 heures par semaine) depuis son recrutement en avril 2015, quand le musée a ouvert sur la commune. Alors à moins d’une solution, financière s’entend, l’ouverture du musée pourrait donc demeurer ainsi.
Le Berry, 17/10, p.16


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MessageSujet: Revue de presse ( 16-22 octobre 2017)   Revue de presse ( 16-22 octobre 2017) Icon_minitimeSam 21 Oct - 22:20

Archéologie région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire

Que valent vos trésors ?

Nadine interroge Maître Philippe Rouillac, notre commissaire priseur au sujet d’un objet trouvé… dans une rivière ! Les trésors ne se dénichent pas que dans les greniers ou les salles de vente ! La preuve en est, l’objet que nous soumet ici Nadine a été trouvé au fond de la Sauldre, affluent du Cher, qui coule au sud de notre département. En mauvais état, il présente des manques importants. Ceci rend impossible une identification péremptoire. Ce qui est certain, c’est qu’il est en bronze. Cette couleur verte est caractéristique du « vert-de-gris », l’oxyde que produit le cuivre (un composant du bronze) en se dégradant. De forme lancéolée, il présente à la base une soie, la fine partie de la lame qui vient se ficher dans le manche, comme nos couteaux de cuisine. Cette dernière est en partie enserrée dans une gangue de rouille. D’une longueur d’environ 30 cm, ce qui pourrait être la lame présente une ondulation qui semble d’origine, ayant donc un but esthétique. Quésaco ? C’est bien tout le problème… Cette pièce dite « de fouille » n’a, quoi qu’il en soit, pas grande valeur pécuniaire, son état est bien trop mauvais. Compter quelques dizaines d’euros. En revanche, elle peut présenter un intérêt considérable pour les historiens et archéologues. Nadine, si vous avez trouvé cet objet non loin d’un champ de bataille, d’une ancienne villa, château où d’un quelconque autre site archéologique, il peut fournir de précieux renseignements aux érudits qui connaissent parfaitement l’histoire du lieu. Mais vous pourriez également être carrément tombée sur un site inconnu ! Si vous trouvez un objet « susceptible de présenter un intérêt archéologique », la loi est claire : vous devez le déclarer à la mairie de la commune sur laquelle a été faite la découverte. Il est en outre conseillé de faire également cette déclaration auprès du service archéologique de la Direction régionale des affaires culturelles d’Orléans. Si le « trésor » s’avère intéressant pour l’histoire et la science, l’État peut demander à en disposer pour une durée maximale de cinq ans à compter de la date de sa déclaration.
NR Loir et Cher, 21/10, p.9


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MessageSujet: Revue de presse ( 16-22 octobre 2017)   Revue de presse ( 16-22 octobre 2017) Icon_minitimeSam 21 Oct - 22:24

Patrimoine région Centre-Val de Loire

Source : Panorama de presse de la Drac Centre-Val de Loire

Les drones poursuivent leur conquête du ciel
Ce sont les « quatre ailes » du vingt et unième siècle. Tout le monde connaît désormais les drones, engins vola n t sans pilotes à bord, pourvus d’au moins quatre rotors, et dont le côté passe partout n’en finit plus d’offrir des débouchés dans des domaines aussi variés qu’inattendus. La région n’est pas épargnée par cet essor. Cette semaine, l’aérodrome de Bourges accueillait une formation très complète pour ceux qui souhaitent faire un usage professionnel du drone. Et qui sont prêt à payer pour : dans les 2.500 euros les quatre jours. Deux jours sont dédiés à la théorie (sécurité, réglementation, technologie…). Deux autres jours pour la pratique (vol en intérieur, puis en extérieur). Parmi les apprentis ce jour là : Christian et Loïc. Le premier vient de prendre sa retraite et songe à l’occuper avec une activité de conseil auprès des agriculteurs, via des relevés par drone sur les grandes cultures et les vignobles. Le second, trentenaire, gère une agence de communication berruyère, qui est appelée à faire des films promotionnels… Où les images prises en drone sont devenues incontournables. Par exemple sur la cathédrale de Bourges. Alors que le monument fête les vingt cinq ans de son classement à l’Unesco, une vidéo à couper le souffle vient d’être réalisée par une société parisienne. Elle montre la cathédrale sous des angles inédits, qui ne sont ni accessibles depuis le plancher des vaches, ni depuis les aéronefs traditionnels, qui croisent forcément plus haut. Couvrir le chaînon manquant entre le ciel et la terre : tel est le premier atout des drones.
+ La législation de plus en plus complète
Le Berry, 21/10, p.2/3

(Bourges) « Il faut ouvrir les portes du palais »
Au palais Jacques Coeur, Aurore Proudhon travaille à destination du public scolaire, du public familial, et au développement des actions dédiées aux publics éloignés de la culture et aux visiteurs en situation de handicap. « Le service a été créé à mon arrivée, il y a trois ans, explique la chargée des actions éducatives pour le centre des monuments nationaux. Cela démontre une volonté d’ouvrir les portes du monument de manière ludique, de le faire connaître localement, de tisser un lien avec les plus jeunes. Il y a aussi un objectif de culture pour tous, d’abattre les barrières, afin que personne ne se sente exclu. » Rencontre.
Le Berry, 21/10, p.11

(Bourges) CATHÉDRALE 5/6 ■ « Un monument qui transcende »

Xavier Laurent est conservateur en chef du patrimoine et directeur des archives départementales du Cher. À ce titre, il a contribué au livre Bourges, la grâce d’une cathédrale (*) en rédigeant l’article sur les livres et les archives de la cathédrale. Il a ainsi l’occasion de souligner que cette série des archives départementales regroupant les papiers du clergé séculier d’Ancien Régime, « serait plus riche si les accidents du XIXe siècle (notamment) n’y avaient pas causé des pertes plus graves que les guerres de Religions et la Révolution française cumulées ». Xavier Laurent évoque aussi la « cathédrale de papier » que constituent les archives qui se rapportent à l’édifice. Et, comme par parallèle, qualifie volontiers la cathédrale Saint Étienne de « document de pierre ».
(*) Il s’agit de Bourges, la grâce d’une cathédrale (Éditions la Nuée bleue) et de la Cathédrale de Bourges (Éditions des Presses universitaires François Rabelais), qui ont été officiellement présentés mercredi.
Le Berry, 21/10, p.13

(Ivoy le Pré) L’église St-Aignan renaît de ses cendres

Dix mois de travaux de restauration ont été nécessaires pour assurer la pérennité de ce patrimoine au coeur du village. Demain, dimanche, à 10h30, à l’occasion de sa réouverture au culte, l’église Saint Aignan accueillera Mgr Armand Maillard, archevêque de Bourges. Ce dernier viendra célébrer la messe dominicale et bénir l’église.
Le Berry, 21/10, p.27

(Sorigny) Un trophée à Sorigny Patrimoine pour l’éolienne Bollée

Depuis plusieurs années le Crédit Agricole Touraine-Poitou organise un concours dont le but est de promouvoir et de récompenser les « initiatives locales ». Sorigny-Patrimoine vient d’obtenir à Poitiers le premier prix dans la catégorie « Patrimoine ». 135 dossiers étaient en concurrence pour la catégorie. Ce trophée vient honorer la réimplantation d’une éolienne Bollée à Sorigny. En effet, pendant 75 ans, l’éolienne Bollée a fait partie intégrante du paysage sorignois, mais au début des années 60, après de bons et loyaux services, elle a disparu du panorama en même temps  que le lavoir municipal, qu’elle approvisionnait en eau. Des bénévoles, amoureux du patrimoine, et un peu fous, ont décidé de la faire revivre et d’en assurer les opérations de A à Z.
NR Indre et Loire, 21/10, p.24

(Bourges) La cathédrale a eu droit à son câlin
Imaginez vous 500 personnes qui vous font un câlin en même temps pour votre anniversaire. L’idée a de quoi séduire. Ce plein de sensations, la cathédrale de Bourges l’a connu hier. Pour célébrer les 25 ans de son inscription au patrimoine mondial de l’Unesco, un câlin géant était organisé en début d’après midi. Pour faire le tour complet, il fallait à peu près 500 personnes. À 14 heures, le pari était loin d’être gagné. Une vingtaine de personnes seulement avaient bravé la pluie pour se présenter sur le parvis de la cathédrale Saint Étienne. Finalement, la foule, dont une trentaine de scouts présents à proximité, est arrivée en même temps que les éclaircies. Si bien qu’une vingtaine de minutes plus tard, près de 500 personnes entouraient la cathédrale. « Écartez bien les bras », pouvait on entendre le long de cette chaîne humaine. Et même si certains se tenaient du bout des ongles, le tour complet était réalisé. Le tout photographié et filmé par deux drones. Challenge réussi.
+ Résonance monumentale entre Bach et la cathédrale
Le Berry, 22/10, p.9

(Bourges) CATHEDRALE 6/6 ■ Le photographe F. Ferranti : « On est guidé par la lumière »

Ferrante Ferranti a le rôle central dans ce livre d’avoir eu à en réaliser les illustrations « avec un regard unique », comme l’a précisé l’éditeur. Pour cet architecte de formation, photographe spécialiste du patrimoine, Ferrante Ferranti, « quatre séjours à Bourges, un par saison étaient prévus.  Mais j’y suis venu plus souvent ». Deux phases dans ce travail d’illustration : la première de liberté totale, pour découvrir le monument, « de la crypte aux charpentes, en allant où je voulais ». La seconde, plus contrainte, « pour répondre aux commandes des auteurs ».
Le Berry, 22/10, p.9

(Saint Denis les Ponts) La relique de Saint-Avit n’a pas disparu
Olivier d’Espinay habite Ruelle de Saint Avit, à Saint Denis les Ponts, depuis quarante ans.C’est peut être ce qui a déclenché son envie de découvrir l’ancienne abbaye royale dédiée à ce moine orléanais (480-570) aux dons de guérisseur et de voyance. « Je ne savais rien ou que du qu’en dira t on comme beaucoup d’habitants de la commune, avoue ce membre de l’association paroissiale Alliance et Ponts qui a décidé en début d’année d’organiser une exposition sur l’abbaye de Saint Avit. Il y avait une demande pour retrouver un peu de ce passé de la commune. » L’abbaye royale de Saint Avit, qui a existé à partir de 1045, était située derrière l’actuel drive de l’hypermarché E. Leclerc. Il ne reste plus que l’abbatiale avec le bûcher et la cuverie. « Elle n’est plus habitée depuis cinq six ans », précise Olivier d’Espinay devant un plan de la maison de Saint Avit sorti du fonds patrimonial de la médiathèque de Châteaudun. Avec une quinzaine de personnes, il a recherché des informations pendant dix mois sur « l’incroyable existence » de cette abbaye royale qui possédait des biens considérables et pouvait acheter le sel sans taxe grâce à son privilège du « franc salé ». L’abbaye était, aussi, connue pour le reliquaire de Saint Avit que les habitants de la région de Châteaudun venaient vénérer le lundi de Pâques. « On croyait que ces reliques avaient disparu mais ce n’est pas le cas. On les a a retrouvées au cours de nos recherches. On a démarré petitement mais nous sommes allés loin et ça a été comme une course au trésor. »
L'Echo, 22/10, p.15

(Ingré) La pierre bleue vandalisée
C’était un repère pour beaucoup de promeneurs, mentionné sur le topoguide. La pierre bleue est désormais couchée au sol, carbonisée, méconnaissable. Cet acte de vandalisme remonte à la nuit du 11 au 12 octobre, sur ce petit sentier forestier d’ordinaire tranquille, aux Queues de Forêt. La police municipale explique qu’un rodéo, avec une voiture volée, a été organisé à proximité. La voiture a reculé et renversé la pierre. Ensuite, la voiture et la pierre ont été incendiées. Le maire, Christian Dumas, est affligé : « Je n’ai pas de mots. C’est d’une bêtise sans nom, c’est purement gratuit. Il y a  eu une volonté de la casser ». La pierre bleue est, en effet, un symbole ingréen fort. Elle figurait sur le cadastre napoléonien dès 1812. Chacune de ses quatre faces servait à indiquer une direction (notamment « Chingy » ou La Chapelle). « C’est un ancien lieu de plantation de vignes. C’est d’ailleurs ici que nous avons replanté la vigne des écoles que nous vendangeons chaque année avec les enfants », précise Arnaud Jean, premier adjoint. L’origine de sa couleur reste plus énigmatique.
RC Orleans, 20/10, p.16

(Pithiviers) Que faire du château de Bellecour ?
Que va devenir le château de Bellecour, un des joyaux du patrimoine pithivérien ? Le bâtiment, propriété de la ville depuis tout juste trente ans,  dépérit. Le maire, Philippe Nolland, vient de charger la nouvelle équipe Cesel (Conseil économique, social et environnemental local) de plancher sur la question. Toutes les idées seront les bienvenues. Ce qui est certain, c’est que la commune ne pourra mettre plusieurs millions d’euros dans la réhabilitation de la bâtisse construite entre 1695 et 1697, par Alphonse-Charles de Bareillier de Forteville. C’est pourtant ce qu’il faudrait investir pour faire pleinement revivre ce lieu à la riche histoire. Durant la précédente mandature (2008-2014), la municipalité avait envisagé y transférer l’école de musique municipale. Cela ne s’est pas fait. En octobre 2014, lors d’une réunion de quartiers, le nouveau maire, Philippe Nolland évoque l’éventualité de l’achat du château par un privé. « On est sur quelque chose de sérieux, à mi chemin du culturel et du commercial », annonce t il alors. Mais le projet n’aboutira pas…
RC Loiret, 20/10, p.15

(Blancafort) Le château reste aux enchères

Le coup de marteau virtuel n’a pas retenti. Mis en vente hier sur la plateforme en ligne de Concierge Auctions, société américaine spécialisée dans les ventes de biens de luxe, le château de Blancafort reste ce matin encore la propriété du décorateur parisien Alban de Montjou. Organisée sur Internet, depuis New York, la vente aux enchères a finalement été prolongée jusqu’au 27 octobre. Une semaine supplémentaire pour tenter de faire décoller le prix de vente de la propriété. Débutée hier, à 16 heures heure française, la vente sans réserve – c’est à dire sans prix de départ – s’est emballée pendant 19 minutes. À coup de centaines de milliers d’euros. Démarrées à 800.000 euros, les enchères ont atteint en dix minutes la barre symbolique du million d’euros. Pour par venir, neuf minutes plus tard, de surenchère en surenchère, à 1,5 million d’euros. Loin, très loin des 4,95 millions d’euros, l’estimation faite pour cette propriété comprenant un château de 2.100 mètres carrés daté de 1453, un parc de 17 hectares, un salon de thé, une salle de réception, une boutique et une maison de six chambres.
Le Berry, 20/10, p.7

(Bourges) CATHÉDRALE (3/6) : « C’est le lieu où on se sent bien »
Emmanuel Audat est avec Joël Massip, ancien curé de la cathédrale comme lui, à l’origine du livre Bourges, la grâce d’une cathédrale, paru récemment. Référent ecclésiastique de la commission diocésaine d’art sacré du diocèse de Bourges, Emmanuel Audat a par ailleurs assuré la rédaction de deux textes, Penser une cathédrale et le Nouvel aménagement du choeur … qui lui tient à coeur. Humour, vivacité d’esprit et culture affleurent lors d’une rencontre avec Emmanuel Audat. Le prêtre évoque notamment cette sacristie de Notre Dame de Paris où, avec Mgr Maillard, archevêque de Bourges, Joël Massip, Bernard Remeux, éditeur, et Mgr Doré, ancien archevêque de Strasbourg et initiateur de la collection la Grâce d’une cathédrale, les bases du volume consacré à Bourges ont été jetées.
Le Berry, 20/10, p.15

Vacances dans les châteaux un vrai “ jeu d’enfant ”
Deux châteaux pleins de charme – Fougères-sur-Bièvre et Talcy – se transforment en terrains de jeux ! Depuis une vingtaine d’années le centre des monuments nationaux (CMN) avec ses équipes organisent en faveur du jeune public les ateliers « Monument d’enfant ». Ils rencontrent un grand succès auprès des familles. Un « castel » a choisi essentiellement les pratiques circassiennes, l’autre, des histoires qui font peur, genre Bête du Gévaudan !
+ Enfants “ Renaissance ” à Chambord
NR Loir et Cher, 20/10, p.2

La Fondation décerne 24 labels
Nicolas Perruchot, président du conseil départemental, a remis lundi dernier les vingt-quatre labels 2017 de la Fondation du patrimoine en présence de Pascale Desurmont et de Guy Sallavuard, respectivement déléguée départementale et directeur des relations institutionnelles et de l’action internationale de la Fondation. Reconnue d’utilité publique, la Fondation est un organisme privé indépendant à but non lucratif qui vise à promouvoir la sauvegarde, la connaissance et la mise en valeur du patrimoine non protégé par l’État, et plus particulièrement du patrimoine rural. Elle intervient sous la forme de labellisation. Les labels sont ainsi décernés aux propriétaires privés qui ont mené des travaux de sauvegarde ou de restauration sur un bien immobilier représentatif en matière de patrimoine, mais non protégé au titre des Monuments historiques. Depuis 2001, le conseil départemental aide la Fondation à préserver le patrimoine de Loir-et-Cher, en lui attribuant une subvention. Cette année, celle-ci s’élève à 21.850 €. De nombreux conseillers départementaux et de nombreux maires accompagnaient les porteurs de projets, privés et publics. Ceux-ci ont eu à coeur de présenter leur « chantier » en y mettant tout l’enthousiasme, la motivation et le désir de transmission qui les avaient animés, illustrant on ne peut mieux les propos de Guy Sallavuard qui voyait en eux « des passeurs plus que des possesseurs ».
NR Loir et Cher, 20/10, p.8

(Blancafort) Le château sous le marteau
Le château de Blancafort est mis aux enchères aujourd’hui. Le château de Blancafort, dit château des senteurs, est mis en vente aujourd’hui, jeudi 19 octobre, sur la plateforme en ligne de Concierge Auctions, une société américaine basée à New York et spécialisée dans la vente de propriétés de luxe. La propriété comprend le château de 2.100 mètres carrés (l’édifice date de 1453), un parc de 17 hectares, une maison de gardien, un salon de thé, une salle de réception, une boutique et une maison de six chambres. Appartenant au décorateur parisien Alban de Montjou, le château est estimé à 4,95 millions d’euros et pourrait intéresser des acheteurs du monde entier. (intégral)
Le Berry, 19/10

(Bourges) Ce que l’Unesco disait de la cathédrale

La journée d’hier a été dense pour Saint Étienne de Bourges : une journée cathédrale passée par la fondation d’un plan de gestion, le dévoilement d’une plaque commémorative, la parution de deux ouvrages de références et, bien sûr, de nombreux discours. Ces derniers ont heureusement été (relativement) brefs ; l’important n’était pas là. Il était d’abord dans la plaque dévoilée sur le chemin du solstice, à l’entrée sud, scellée dans le sol. Elle permet de retrouver les propos de l’Unesco  qui validaient l’inscription de la cathédrale de Bourges sur la liste de son patrimoine mondial. Il était surtout dans la constitution, hier matin, d’un plan de gestion qui lie désormais l’État, les collectivités locales et la ville de Bourges et établit un outil de valorisation  de la cathédrale. Quatre axes ont été validés : protéger, comprendre et diffuser, développer, animer et coordonner.
+ Deux livres de référence
Le Berry, 19/10, p.7

(Bourges) CATHÉDRALE (3/6) : Ce «C’est fabuleux, cet orgue!»

Professeur en musicologie et présidente des Amis du grand orgue de la cathédrale de Bourges, Marie-Reine Renon le souligne d’entrée : « La musique, c’est toute une histoire. Et je ne sépare pas la musique de tout un monument ». Car la cathédrale Saint Étienne, c’est ce lieu « où j’ai vécu, là, pendant trois ou quatre ans, en écrivant ma thèse, en défrichant les archives qui étaient entassées dans les tours… Il y en avait même qui calaient des pieds de table ». « La cathédrale, poursuit Marie-Reine Renon, je pense tout de suite à la maîtrise, car j’ai fait ma thèse sur ce thème, et à toutes les archives qui s’y rapportent. » « Bien sûr, ajoute t elle, l’orgue m’occupe maintenant plus que jamais. C’est fabuleux d’avoir cet orgue, il a un rôle social, il permet d’organiser des spectacles. Et voir qu’on est arrivé à monter ce festival de l’orgue en Berry… »
Le Berry, 19/10, p.12

Le château de Charbonnières a trouvé un acquéreur étranger
«C’est un acheteur étranger. Je peux juste vous dire que le vendeur du château et Concierge Auctions, qui était en charge de la vente, sont satisfaits du prix ! » Tony Wells, de l’agence immobilière French Domaine, souhaite rester discret sur l’enchère finale. Il n’en dira pas plus. « Je n’ai ni l’autorisation du vendeur, ni celle de l’acheteur pour vous préciser le montant exact de l’enchère finale. Je peux juste vous préciser qu’il a évolué au cours des dernières heures. » Les enchères ont dépassé les 1,275 million d’euros lors des dernières heures de la vente sur Internet, hier. L’ancien propriétaire, qui vivrait à Londres, espérait vendre son bien 5 millions d’euros.
L'Echo, 19/10, p.6

Une Navette d’argent bien méritée
La soie est à l’honneur cet après-midi-là. La musique résonne entre les murs de la chapelle Saint-Ibert : deux hautbois et une guitare renaissance. Denis Raisin Dadre préfère chambarde et chalemie à hautbois. Le directeur de Doulce Mémoire, très attaché aux particularités des instruments d’époque, est présent ce jour ainsi que les deux musiciens de l’ensemble, Adrien Reboisson et Pascale Boquet, pour accompagner la remise de la Navette d’argent par Gérard Paumier, président du conseil départemental. Cette médaille est remise tous les deux ans au nom de l’association Tours, cité de la soie, créée il y a trente ans et que préside Antoinette Roze, qui dirige les Soieries de Touraine. Cette dernière tient à rappeler
la complicité qui unit l’association et l’ensemble musical lors d’expositions qui rassemblèrent de nombreux tourangeaux, notamment lors des Journées du patrimoine de 2015 et la présentation des costumes Magnificences à la cour du Roy François. Cette année, l’heureux élu n’est autre que le directeur du château d’Amboise : « Si quelqu’un doit recevoir cette médaille, c’est bien Jean-Louis Sureau qui a fait connaître la soierie à travers les échanges culturels avec la Chine et l’exposition réalisée au Château en 2014 ». Non sans rappeler la décision du roi Louis XI qui exigea en l’an 1470 que les ouvriers soyeux italiens viennent s’installer en Touraine, l’élu et la présidente de l’association ont insisté sur l’importance qu’il y a à conserver « cette vitrine culturelle, à perpétuer cette mémoire ». (intégral)
NR Indre et Loire, 19/10

(Bourges) CATHÉDRALE (2/6) : «Une année extraordinaire»
Philippe Goldman est attaché de conservation honoraire aux archives départementales du Cher et secrétaire de l’association d’archéologie et  d’histoire du Berry. Il est un des contributeurs aux deux livres qui paraissent sur la cathédrale Saint Étienne à l’occasion du 25e anniversaire de son classement sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. C’est pour lui, souligne t il, « un chef d’oeuvre architectural » fêté dans le cadre d’« une année extraordinaire ». Qu’on en juge : deux livres, l’un grand public l’autre plus savant, paraissent ces derniers jours, et un autre, celui de Frédéric Épaud, est paru en juin sur le thème de la charpente de la cathédrale. Tout cela pour rendre compte des différentes façons de « regarder » la cathédrale.
Le Berry, 18/10, p.10

(Sainte-Solange) La statue de sainte Solange primée

Le Cercle amical du Berry (les Berrichons de Paris) a décidé d’attribuer son prix 2017 pour l’édification d’une nouvelle statue de sainte  Solange, à Sainte-Solange (Cher). Un chèque de 1.000 € sera donc remis à l’Association diocésaine de Bourges, habilitée à recevoir les dons. La statue existante a été vandalisée, il y a déjà plusieurs d’années, et elle ne peut être « réparée » tant les dégâts sont importants. Cette statue était située sur un terrain non clos, accessible aux pèlerins. Quant à la nouvelle statue, afin de la protéger, les autorités ecclésiastiques permettent de l’installer en sécurité dans la chapelle. Cette dernière sera ouverte selon un programme organisé ou sur  rendez-vous auprès de la mairie qui est d’accord sur le projet. L’histoire de sainte Solange, la petite bergère, est bien connue. Sa  réputation de beauté attira le fils du prince du pays mais elle repoussa ses avances déclarant consacrer sa vie à Jésus. Elle fut ensuite décapitée ; tout cela contribua à créer une véritable légende et une grande dévotion qui la convertit en sainte patronne du Berry. (intégral)
NR Indre, 18/10

(Verneuil-sur-indre) Le château de Verneuil va revivre en complexe hôtelier
Le château de Verneuil pourrait bientôt revivre ! Depuis que le lycée horticole, en 2015, a quitté le château appartenant depuis 1934 aux Apprentis d’Auteuil, le bourg semblait bien vide. Aussi c’est avec un immense soulagement que Gérard Marquenet, maire, a, le 11 octobre, fait part aux élus du projet présentée par Jade Zhou, représentant la société qui a acheté le domaine et souhaite y développer un hôtel, ainsi que différentes autres activités sur le site. La transformation du château passera par la création au rezde- chaussée d’un restaurant et d’un accueil pour un public varié (golfeurs, chasseurs, familles, touristes, habitants…) et d’appartements dans les étages. L’allée principale sera mise en valeur par des jardins replantés à la française, de nouvelles plantations, l’installation de fontaines… Une orangerie, à proximité du château, accueillera différents événements : séminaires, réunion familiales… « Si tout se passe bien les travaux pourraient débuter en mars-avril 2018 et se terminer fin 2020 », espère le maire de Verneuil-sur-Indre, Gérard Marquenet.
NR Indre et LoireE, 18/10, p.16

(Beaulieu les Loches) Clocher : une étape capitale
Dans quelques jours, ce chantier titanesque aura franchi une étape capitale. La dernière pierre du clocher de l’église abbatiale de Beaulieu-lès-Loches va retrouver sa place tout en haut du monument. Et le 27 novembre, le curé bénira la croix qui viendra la coiffer à nouveau. Cela marquera la fin de la première phase de la restauration du clocher, débutée en septembre 2016. La flèche du clocher a entièrement été déposée et remontée. Sur les 5.000 pierres qui la constituaient, il n’en reste que 80 d’origine. Ce premier volet des travaux a coûté 1,7 million d’euros, une somme financée à 60 % par l’État et à 30 % par le Département. Déjà, la seconde phase a été engagée. Elle concerne la chambre des cloches.
NR Indre et LoireE, 18/10, p.16

Des visites de châteaux version 2.0

« Peu de châteaux sont à ce point équipés en France », estime le propriétaire de l’édifice, Xavier Lelevé, sa tablette qui change tout entre les mains. Mais comment ça marche ? « Les visiteurs scannent des blasons – près de 40 dans le château – via la tablette, qui délivre alors les informations. On est sur un outil de médiation culturelle hyperintuitif. » L’édifice accueille près de 20.000 visiteurs à l’année. Dont beaucoup d’enfants qui, avec cet outil, devancent leurs aînés dans le ventre du château. Mais le site compte d’autres atouts et notamment la réalité augmentée. Parfaitement stupéfiante, comme dans la salle des offices où naguère les chevaliers pouvaient boire, manger et se détendre. Dans un autre style, il est possible, depuis juillet 2016, de visiter dix huit châteaux de la Loire… depuis son salon. Le tout grâce à une application Google, réalisée en partenariat avec le Centre des monuments nationaux.
RC Orleans, 17/10, p.27

(Bourges) Dans le cadre des 25 ans du classement à l’Unesco : Cathédrale 1/6
Le livre Bourges, la grâce d’une cathédrale a été écrit par une trentaine d’auteurs. Chaque jour jusqu’à dimanche, rencontre avec l’un d’eux.
Olivier Nauleau, professeur d’histoire géographie à Bourges, chercheur spécialiste du Moyen Âge, livre son point de vue sur la cathédrale de Bourges   l’occasion du 25e anniversaire de son classement sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco et de sa participation majeure à la publication, ces jours ci, à deux livres (*) consacrés à la cathédrale Saint Étienne. « Cette cathédrale, j’ai un lien familial avec elle. Je suis Berrichon, de père du Cher et de mère de l’Indre, et c’est le bâtiment qui symbolise l’unité de notre province. » Souvenir d’enfance, donc. Depuis des années, donc, Olivier Nauleau cultive sa passion pour ce « lieu de pouvoir politique et religieux », que l’on voit à trente kilomètres et même plus.
(*) Bourges, la grâce d’une cathédrale (la Nuée bleue) et de Cathédrale de Bourges (Presses universitaires François Rabelais) qui seront présentés demain.
Le Berry, 16/10, p.2/3

(Charbonnières) Toujours à 1,275 million
La vente aux enchères du château de Charbonnières est prolongée jusqu’à demain, mercredi, 17 heures. Les enchères débutées mercredi dernier sont toujours à 1,275 million d’euros. « Je doute qu’elles auglentent avant les dernières heures de la vente », explique Tony Wells de l’agence immobilière French Domaines. Une fois la transaction close, il ne pourra pas divulguer de détails sur l’acheteur, ni sur le prix de vente final : « C’est une question de confidentialité pour les deux parties ». (intégral)
L'Echo, 17/10

Mois gratuit à Chambord : un énorme succès populaire
L’annonce n’est pas passée dans l’oreille d’un sourd. Le 16 septembre dernier, le Département lançait en partenariat avec le Domaine national une opération visant à rendre le château de Chambord gratuit pour les habitants du Loir-et- Cher pendant un mois. Résultat ? Un énorme succès. Plus de 41.000 habitants du département – ça ne s’invente pas – sont allés à Chambord en un mois, soit un Loir-et-Chérien sur 8. Samedi et dimanche pour le dernier jour de la gratuité, ils étaient 8.700 à profiter du beau temps plus que bienvenu. Dans la foulée de cette belle réussite, le directeur du château Jean d’Haussonville a annoncé que « Chambord a connu une fréquentation considérable depuis le début de l’année 2017 avec 20% d’augmentation et atteint quasiment les 900.000 visiteurs à l’intérieur du monument. Nous sommes heureux que de nombreux Loir-et-Chériens aient ainsi eu l’occasion de redécouvrir Chambord. » Le président du conseil départemental Nicolas Perruchot, à l’initiative de l’opération, s’est de son côté montré « très satisfait d’avoir financé ce projet gagnant-gagnant qui avait pour but de prolonger un été touristique déjà très beau. On pense déjà à la suite, avec des sites plus petits notamment ».
NR Loir et Cher, 16/10, p.14

(Vendôme) Le patrimoine vendômois intéresse la presse spécialisée
En fin de semaine dernière, ils étaient une dizaine de journalistes issus de différentes publications, en quête d’informations sur le Vendômois. Invités par l’association locale de sauvegarde du patrimoine Résurgence, tous étaient adhérents de l’Association des journalistes du patrimoine (AJP). Un groupement qui a pour objectif d’aider les structures qui participent à la conservation du patrimoine en France. Reçus dès le matin par André Fleury,  président de Résurgence, ils ont visité le musée et le CIAP, en présence de Pascal Brindeau, maire et de Christian Loiseau, adjoint à la culture et au patrimoine. Laurence Guilbaud, conservatrice du musée, a effectué une présentation, sur un grand écran tactile, pour retracer l’évolution de la ville. Le groupe s’est ensuite rendu aux greniers de l’abbaye, une réalisation de réhabilitation de Résurgence. Le maire a pu répondre aux questions relevant de la politique patrimoniale de la municipalité en particulier, du Territoire, puis d’un point de vue national.
NR Loir et Cher, 17/10, p.18

(Romorantin) Depuis 300 ans, l’horloge dormait dans le clocher
Elle était là depuis 338 ans, elle dominait la ville à l’abri des regards. Il aura fallu le chantier de restauration de l’église Saint-Etienne pour remettre la main sur cette horloge. « On l’a découverte de manière fortuite, c’est inespéré, exceptionnel, une très bonne surprise de la restauration », indique Martine Vallon, directrice du musée de Sologne. « Elle était dans un petit local situé entre l’oculus des cloches, une trappe par laquelle on monte les cloches, et le plancher du clocher. » La pièce a été descendue, vendredi, de son piédestal. Sous le regard attentif et impatient de Martine Vallon, d’Hélène Lebedel-Carbonnel, conservateur des monuments historiques à la Drac et de Dominique Menanteau, conservateur des antiquités et objets d’art du conseil départemental. Ce trio va être à la tête d’un groupe de travail pour étudier cette trouvaille. Après analyse et restauration, l’horloge pourrait être exposée au Musée de Sologne. Elle a trois siècles de cachotteries à rattraper.
NR Loir et Cher, 17/10, p.20

(Lignières) Un choeur de nouveau haut en couleur
Depuis jeudi, l’église Saint-Aignan a retrouvé le faste coloré de son imposant retable. Du XVIIe siècle, en bois polychrome et complété par deux petits retables latéraux, l’ensemble avait subi les outrages du temps. Les assemblages s’étaient déformés et le tableau du décor supérieur représentant « L’adoration des mages », huile du XIXe siècle, avait quitté son cadre et présentait de nombreux dommages. Et, ce ne sont là que quelques-unes des restaurations nécessaires car des « surprises » ont émaillé le chantier comme la pose d’un enduit sur la fenêtre percée en tiers-point rebouchée et masquée par le tableau. Cette intervention était indispensable pour assurer la salubrité du support avant la réinstallation de l’ensemble. L’ensemble de cette restauration, intégrant l’enduit imprévu, représente un investissement de quelque 24.000 €. La participation de la commune sera inférieure à 5.000 € (le montant de la Fondation du patrimoine n’étant pas encore fixé). La Drac a contribué pour 6.649 €, le conseil départemental pour 3.724 €, le fonds de concours de la CPHV s’élevant à 4.433 €, la (dernière) réserve parlementaire de Jacqueline Gourault à 1.329 €, tandis que le mécénat populaire a réuni 3.000 euros.
NR Loir et CherN, 17/10, p.19

(Loches) Remparts : “ Le véritable démarrage ” ?

Le calendrier des travaux de dévégétalisation et de restauration des remparts de Loches, dévoilé par la NR dans notre édition du 14 octobre, suscite la « satisfaction » de l’Association de défense des amis des murailles (Adam), qui réunit des propriétaires privés concernés par les remparts. En son nom, son président Bernard Verdier fait néanmoins part de sa circonspection : « Comme le journaliste, l’Adam [se demande], après deux faux vrais départs, si c’est effectivement le véritable démarrage tant attendu. » Par ailleurs, il répare un oubli de notre part : une opération de dévégétalisation a été engagée sous le mandat de Christiane Mora. (intégral)
NR Indre et Loire, 17/10

(Cussay) Ils se mobilisent pour leur patrimoine
Samedi 14 octobre, dès l’aube, vingt-deux courageux Cussayais se sont rassemblés autour du lavoir de l’Écharderie pour effectuer les travaux de nettoyage et de sécurisation à la demande du maire Alain Rocher. Cette structure du début du XXe siècle se situe au pied de l’ancien château fortifié de la Roche d’Anchaille édifié au XIIIe siècle et malheureusement disparu mais dont il reste encore les souterrains. « C’est un moment de convivialité, d’échange qui permet à un grand nombre de citoyens de mieux se connaître » souligne le maire. Pelle, hachettes, machettes, tronçonneuses, grattoirs et débroussailleuses n’ont pas eu de répit pour les ronces arbrisseaux et lierres envahissants qui ont mis à mal la charpente en peuplier.
NR Indre et LoireE, 17/10, p.19

L’année où Bourges devint l’égale de Chartres
Le 19 juin 1993, la ville de Bourges fêtait l’inscription au patrimoine mondial de l’Unesco de sa cathédrale Saint Étienne. Un moment vécu comme un événement extraordinaire, qui mettait Bourges au rang de Chartres, et permettait à sa cathédrale d’intégrer le club très fermé d’un patrimoine qui ne comptait alors que quelques dizaines de sites et monuments. Dans les faits, l’officialisation de cette inscription avait été annoncée par Federico Mayor, directeur général de l’Unesco, en décembre 1992. Elle était le résultat de plusieurs mois de candidature durant lesquels Jacques Rimbault, maire de Bourges, avait mis toute son énergie, avec l’appui d’Albert Botbol. Le contexte de la ville était particulier. Jacques Rimbault, malade, était diminué, quand au début du dernier conseil municipal qu’il a présidé, en décembre 1992, il a quitté son fauteuil pour aller serrer la main de chaque élu. Cette démarche singulière, grave, cérémonieuse, ne faisait que précéder l’annonce faite par le maire du classement officiel de la cathédrale. Jacques Rimbault avait pu boucler ce dossier en gagnant son pari.
+ Un livre sur la Grâce d’une cathédrale
Le Berry, 16/10, p.2/3

(Mesland) Des statuettes exposées à Notre-Dame
Mercredi soir, l’Amare 41, présentait en l’église Notre-Dame de Mesland des statuettes de la Vierge et l’enfant, prêtées par le musée d’art religieux de Blois. Un public nombreux est venu découvrir ces oeuvres d’art, captivé par les récits de Xavier Anquetin (président de l’Amare) qui a d’abord présenté un diaporama montrant l’évolution des statues au fil des siècles. Il est ensuite passé devant les oeuvres afin de discerner les nombreux détails que chacune d’elles recèle, en se servant de sa lampe torche, qui permet de découvrir une couleur, un défaut, un sourire…
NR Loir et Cher, 16/10, p.14

(Romorantin) Un grand pas dans le passé solognot
Le dernier bulletin du Grahs (n° 71) est, comme à son habitude, composé d’articles inédits et passionnants, sur le passé de notre région. Une région dont l’histoire semble inépuisable pour les chercheurs, les passionnés. Écrit simplement, et riche en apport de connaissances sur l’histoire locale, ce bulletin livre des articles qui s’adressent à tous. François Salerne, un médecin trop méconnu. / Architecture en Sologne, la brique dans tous ces états. / Nouan-le-Fuzelier, un singulier contrat de vente. / Les tuileries Lavaron à Romorantin et des Arches à Lanthenay.
NR Loir et Cher, 16/10, p.40

(Chemillé-sur-indrois) Antiquités et objets d’art

Suite à la visite et au compte rendu du conservateur des antiquités et des objets d’arts du 5 septembre, il serait souhaitable de restaurer le fauteuil et la statue Saint-Claude et de traiter le chasublier et la statue en bois qui présentent des traces de moisissures. (intégral)
NR Indre et LoireE, 16/10
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