Revue de presse (22 septembre au 28 septembre 2014)

Musées en région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Vierzon) Le machinisme agricole à voir

Enfin quelque chose à voir ! C’est la première phrase qui sortait de la bouche des premiers visiteurs découvrant, samedi dernier, l’exposition des matériels agricoles dans les nouveaux locaux où ils sont, désormais, à l’abri, rue du Bas de Grange. «Je suis venu ici avec mon père en 1951 chercher un tracteur 302 !», s’est souvenu un adhérent de l’association Mémoire industrielle et agricole du Pays de Vierzon, qui gère le lieu. Le bruit infernal de l’usine… Enfant, c’est ce qui l’avait marqué. Pour inaugurer ces locaux tant attendus, les cent cinquante pièces de la collection étant auparavant entreposées sous les gouttières du B3, autre partie de l’usine désaffectée, Michel Hervé, président de la Mémoire, a retracé l’historique des lieux : «Ce bâtiment dit du canal, de l’usine Société Française, a été construit en 1925. Il a abrité, notamment, une chaîne de montage du célèbre tracteur de type 302.»
Le Berry, 23/09, p.2

(Orléans) Le paradoxe Roger Toulouse

L’exposition «Roger Toulouse, les 25 premières années, peintures et dessins (1933-1957)» retrace, à travers 130 tableaux, les débuts artistiques de Roger Toulouse. Une période marquée par sa rencontre avec Max Jacob (qui l’a découvert). Mais aussi par la mort prématurée de celui ci, et de son propre frère auparavant. Dès lors, la peinture, la sculpture, le dessin et la poésie vont devenir ses exutoires. «Roger Toulouse est un artiste inclassable, un créateur en recherche permanente. Il se nourrissait de ses rencontres et états d’âme pour concevoir», explique Abel Moittié, président des Amis de Roger Toulouse, qui a contribué à l’exposition qui se tient, actuellement, au musée des Beaux Arts.
RC, Orleans, 24/09, p.5

(Tours) L’histoire des métiers de bouche au musée

A l’occasion de la fête nationale de la gastronomie, le musée du Compagnonnage de Tours organise ce dimanche 28 septembre une visite thématique sur les «histoires et anecdotes des métiers de bouche». Il y sera question des tabous alimentaires, des légendes ou encore des spécialités régionales qui ont influencé l’histoire des compagnons. (intégral)
NR, Indre et Loire, 25/09

(Bourges) L’histoire des métiers de bouche au musée

Ce n’est pas à cause de l’anniversaire de la Grande guerre, mais l’exposition que le muséum consacre aux Animaux dans la guerre fera date. «Jamais, disent Michèle Lemaire et Laurent Arthur, responsables du muséum, nous n’avons eu autant de réactions, de motivation de visite, et de temps de lecture passé sur les panneaux explicatifs.» Des visiteurs sont venus de loin, de Paris, de Lyon, souvent pour voir un aspect ou un animal. La palme est remportée par les chiens : ils sont quinze, naturalisés et remis à neuf pour l’occasion, venus de Bordeaux, qui ont motivé la venue de nombre de visiteurs. «Mais ce qui nous a le plus surpris, notent les deux responsables, ce sont les lycéens. Ils viennent peu habituellement et sont plutôt dissipés. Là, c’était le contraire : certes, cette expo est dans leur cursus, mais ils étaient attentifs, concernés.»
Le Berry, 26/09, p.12

(Blois) Expo 41

Annoncée il y a un an par Maurice Leroy, la fermeture définitive d’Expo 41 se profile. Après Du Vin et des hommes qui s’est achevée le
21 septembre, l’ancienne Maison du Loir-et-Cher accueillera encore deux expositions : Rebelles Inside du 9 au 12 octobre dans le
cadre des RVH et celle consacrée au travail d’Etienne Davodeau Grand Boum 2013. Quid de l’avenir ? La réflexion est en cours indique-t-on au conseil général, propriétaire des lieux.
NR, Loir et Cher, 26/09

(Issoudun) Trois nouvelles expos au musée

Trois nouvelles expositions sont à découvrir au Musée Saint-Roch. L’une est consacrée à l’univers de Gilbert Lascault, critique d’art, essayiste et écrivain. Pour cette exposition «hors normes», le musée a complètement transformé sa salle principale en cinq chambres thématiques rassemblant près de 80 œuvres d’artistes contemporains aux domaines artistiques très divers (peinture, sculpture, gravure, tissage). «Ce qui caractérise Gilbert Lascault, c’est le foisonnement, a salué André Laignel, maire, lors du vernissage de l’exposition, vendredi. Foisonnement des talents, des amitiés et des oeuvres qu’il donne à voir.» Les deux autres expositions sont consacrées à Mélanie Berger, jeune artiste accueillie en résidence à Issoudun, au printemps 2014, ainsi qu’à Fred Deux. «C’est la troisième exposition que nous lui consacrons cette année. Le sujet n’est pas épuisé, loin de là. C’est vrai que son œuvre n’est pas toujours facile d’accès : on ne demande pas à chacun de la comprendre mais au moins de la regarder et de laisser son esprit disponible pour la découvrir.» (intégral)
Nr, Indre, 28/09

Archéologie en région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Tours) Bénédiction de l’archevêque au prieuré de Saint-Cosme

L’enterrement des morts a été un des marqueurs importants de l’évolution humaine, c’est d’ailleurs ce qui différencie les hommes des animaux, a rappelé Monseigneur Aubertin, lundi, en début d’après-midi, à l’occasion d’une bénédiction d’ossements humains découverts au prieuré de Saint-Cosme. Des fouilles archéologiques, effectuées en 2009 et 2010, avaient en effet révélé la présence de quelque 450 tombes. Les restes humains ont été répertoriés et datés, révélant des hommes mais aussi des femmes et des enfants dans ce monastère ; des religieux mais également des pèlerins et des bienfaiteurs, tous enterrés entre le XIIe et le XVIIIe siècle, période active du site, qui était alors une île, où repose le poète Pierre de Ronsard, mort en 1585. Ces os ont ensuite été mis dans des caisses individuelles avec une fiche d’identification scientifique sur papier en polystyrène imputrescible très précise pour chaque mort (photo de la fouille, état dentaire, pathologies…). Chaque caisse va être installée dans le plafond du déambulatoire du site patrimonial.
NR, Indre et Loire, 24/09, p.13

(Chartres) Saint-Brice à chœur ouvert

Le chœur de l’église Saint Brice est ouvert encore quelques semaines, le temps pour une équipe de trois archéologues de fouiller dans les sous sols du quartier à la recherche des traces laissées par un vaste ensemble religieux, dont la construction a commencé au Ier siècle après Jésus Christ : «Nous avons trouvé des sépultures, rappelle Bruno Bazin, responsable scientifique de l’opération de fouilles programmées sur le site de Saint Martin au Val. Une sépulture du XVIIe siècle, où une rénovation de l’église est attestée, et des sarcophages, datés du Ve siècle après Jésus Christ. Ces sarcophages avaient déjà été découverts au XIXe siècle, lors d’un sondage effectué dans le chœur de l’église». Ce sondage a laissé ses empreintes et ôté des données.
+ Pas de visite pour le grand public
L'Echo, 25/09, p.10

(Loches) Le Logis royal conjugué au passé déterré

Les vestiges de la chapelle Saint-Louis, notamment une partie de carrelage et du portail occidental, avaient été la grande émotion de l’an passé. Enfin, les archéologues du conseil général avaient une preuve concrète de son existence. Ces cinq dernières semaines, ils ont remis au jour ce site, en grandissant le périmètre des fouilles. La chapelle du XIVe siècle, contemporaine au Logis royal, allait-elle livrer d’autres secrets ? Les archéologues étaient impatients de voir où conduisait l’entrée voûtée d’un passage qu’ils n’avaient pas eu le temps de déblayer. Ce qu’ils imaginaient être une salle funéraire sous la chapelle, s’est révélé être l’ouverture d’un fourneau. Lundi, le site va être recouvert de terre pour préserver ces vestiges. Les archéologues donneront leurs conclusions en décembre.
NR, Indre et Loire, 27/09, p.24

Le préfet, la libellule et le papillon

Dénonçant une forme d’entrave au développement économique, Marc Gaudet (Pithiviers) interroge le préfet sur la réelle nécessité d’une «étude d’impact annuelle, sur les quatre saisons», avant implantation sur la zone d’Escrennes d’un logisticien (300 emplois à la clé). Sur la même zone, des fouilles archéologiques sont réclamées à la société Jourdain qui souhaite construire un hangar de stockage. D’un trait d’humour, le préfet a souligné  l’importance de l’analyse «de l’évolution du cycle de la libellule et du papillon». Puis, plus sérieusement, s’est engagé à se saisir des deux dossiers dès l’après-midi de ce vendredi. (intégral)
RC, Orléans, 27/09

Patrimoine en région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Romorantin) Pagode asiatique, 20 mètres au-dessus de la terre

Ouvert une seule fois dans l'année, le château d'eau coloré abrite aussi des vitraux d'inspiration japonaise. Dernier jour d'ascension, ce dimanche 21 septembre. A lire dans la NR Dimanche du 21 septembre.
Le 21/09

(Amboise) Un festival Renaissance autour d’Anne de Bretagne

L’ombre d’Anne de Bretagne, si ce n’est l’écho de son chant, sera présente cette année lors de la 9e édition du festival européen de musique Renaissance. Le château du Clos Lucé, qui organise cette manifestation du 26 au 28 septembre, accueillera en effet une conférence sur les musiques à la cour d’Anne de Bretagne à l’occasion du 500e anniversaire de la mort de celle qui résida à Amboise aux côtés de son époux Charles VIII. C’est Denis Raisin Dadre, directeur artistique de la formation Doulce mémoire qui animera l’après-midi du 28 septembre sur «Musiques pour la chambre d’Anne de Bretagne», avec une conférence à 14h30, puis un concert à 15h30 au cours duquel la formation se concentrera sur une forme qui s’impose à la cour, la chanson rustique, une mise en polyphonie de mélodies d’origine populaire. Auparavant, deux concerts sont proposés dans le cadre de ce festival.
Nr, Indre et Loire, 22/09, p16

(La Chapelle St Mesmin) L’église au nouveau design a été inaugurée

La cérémonie de réception des travaux de restauration de l’église Saint-Mesmin a eu lieu vendredi. Nicolas Bonneau, maire de La Chapelle Saint Mesmin entouré de Pierre-Étienne Bisch, préfet de la région Centre et du Loiret (avant l’annonce de son départ), et d’Éric Doligé, sénateur, président du conseil général du Loiret, a officiellement inauguré vendredi l’église restaurée, qualifiée de «fleuron» du patrimoine communal. L’église Saint Mesmin, bâtie au XIe siècle et restaurée au XIIe, classée Monument historique en 1862, située au sein du périmètre inscrit au patrimonial mondial de l’Unesco, a bénéficié d’un important programme de restauration et de mise en valeur. Lancés en 2012, les travaux, qui se sont achevés au printemps dernier, ont nécessité une enveloppe de 943.000 euros au total, financée par la commune, l’État (256.344 euros) et le conseil général du Loiret (154.294 euros). La maîtrise d’oeuvre avait été confiée au cabinet de Régis Martin, architecte en chef des monuments historiques. Le maire a fait savoir qu’une nouvelle enveloppe serait bientôt débloquée pour son aménagement intérieur. (intégral)
RC, Orleans, 22/09

(Saint Maurice sur Aveyron) Le coq reprend sa place sur le clocher

Dimanche matin, le nouveau coq prenait place au sommet de l’église de Saint Maurice sur Aveyron. Lors de la restauration de la toiture de l’église, le coq se trouvant en haut du clocher avait été retiré. Ce coq avait plus de 100 ans. Il avait été victime pendant la Seconde Guerre mondiale de nombreux tirs de fusils et présentait au moins une vingtaine d’impacts. Ce n’est pas sans regret qu’il a fallu le remplacer plutôt que de réparer l’ancien. Une souscription a même été ouverte. Le coq avait quitté le sommet de l’église à la fin du mois de juin sous une pluie battante et le nouveau reprenait, dimanche matin, la place sous une pluie fine. Avant d’être hissé en haut du clocher, le coq était parti de la mairie sous escorte, présenté par Michèle Merlin (Mme le maire) sur le char du comice. Il était ensuite béni par le père Marcel. (intégral)
RC, Loiret, 22/09

(Loches) 6 591

C’est, en euros hors taxes, le montant des travaux de mise en sécurité d’urgence de la portion de remparts au droit de la maison Lansyer, surplombant la rue des Fossés Saint-Ours. Vendredi soir, le conseil municipal a voté une délibération pour demander une subvention d’État (DETR) à hauteur de 50 % (soit 3.295 € HT) et une participation, à déterminer, du conseil général. Le groupe d’opposition «Loches changer d’ère» a voté contre cette délibération, au motif qu’elle demande depuis plus d’un an à avoir accès à l’étude du diagnostic des remparts. «Une commission d’urbanisme se tient lundi (22 septembre) pour la présenter aux élus. Monsieur le préfet a demandé à ce qu’elle ne soit pas publiée», a précisé le maire Marc Angenault. (intégral)
NR, Indre et Loire, 22/09

(Vendome) 2 500

C’est en euros le coût quantifiable des trois jours de mise en lumière de la façade de La Trinité « En fait, le montant des dépenses engagées pour la location de matériel spécifique qui est venu s’ajouter au matériel dont dispose déjà la communauté de communes. Plus le temps de l’équipe son et éclairage du Minotaure qui a conçu et mis en place tout le dispositif », explique Christian Loiseau, adjoint de la culture de Vendôme. Une initiative très appréciée par les 200 badauds qui ont suivi la première, rejoints, samedi soir, par 500 personnes applaudissant le spectacle qui se répétait hier soir. (intégral)
NR, Loir et Cher, 22/09

Orleans) De rares sculptures de Jeanne Champillou aux enchères

Ce mardi, quelques céramiques de l’artiste orléanaise Jeanne Champillou (1897-1978) vont être dispersées lors d’une vente aux enchères après décès, au domicile de la défunte, à Olivet en bordure de Loiret. Les œuvres de Jeanne Champillou sont conservées dans les musées de Chartres, Paris et de Milan. Elle a décoré, entre autres, l’extérieur de Notre Dame des Miracles et l’escalier des Nouvelles Galeries, à Orléans…Exposition sur place, au 467, rue Albert Barbier à Olivet, de 16h45 à 17 heures. Contact auprès du commissaire priseur Philippe Rouillac, au 02.54.80.24.24.(intégral)
RC, Orleans, 23/09

Un livre sur l’église Saint-Loup de Cepoy

L’APEC (Association pour l’église de Cepoy) a présenté, dimanche, la sortie de son fascicule sur l’église Saint-Loup par la voix de sa présidente, Nicole Loiseau. Comme elle l’a rappelé, ce livre ne s’attarde pas sur l’historique de cette église classée en 1981 aux Monuments historiques. Il en fait un simple rappel et met plutôt l’accent sur la restauration du monument entreprise dernièrement par l’APEC de 1998 à 2006, puis par la mairie de 2006 à 2010 durant les mandats de Paul Ferrari et JeanPaul Schouleur qui a préfacé l’ouvrage. Frédéric Néraud, alors président de la Fondation du patrimoine, a mis de l’huile dans les rouages sur le plan financier. Il a été chaudement remercié, au même titre que Stéphanie Carrouée, première présidente de l’APEC (l’association fut créée en 1997) qui a donné l’impulsion à cette restauration. Une dernière partie du fascicule dresse la visite guidée de l’église à travers les vitraux, les divers objets et éléments qui enrichissent son intérieur. Ce livre a été tiré à 1.000 exemplaires. Il est en vente au prix de 10 € chez la présidente Nicole Loiseau, à la maison de la presse de Cepoy et à l’office de tourisme de Montargis. En attendant sans doute d’autres points de distribution. (intégral)
RC, Loiret, 23/09

(Chartres) Du talent et de l’inspiration

Le temps d’un samedi matin, le parvis de la cathédrale de Chartres prend des airs de place du Tertre, au quartier Montmartre. Les chevalets y pullulent. «J’aime bien peindre et c’est une bonne manière de protéger le monument», confie Victoria Zarski. Élève de terminale L au lycée Marceau, elle est désignée gagnante du prix jeunes de cette quatrième édition de «Dessine moi une cathédrale». Sa création porte sur la rosace du portail nord.
L'Echo, 23/09, p.8

(Saint Pierre des Corps) Les archives municipales, mine d’or historique

Créé en 1997 à la demande des élus pour sauvegarder la mémoire de la ville, le service des archives municipales contient un nombre impressionnant de documents. Avec 1.158 affiches, 2.500 photographies anciennes, 995 plans bâtiments, remembrements, constructions, aménagements paysagers), 118 cartes postales, etc., le service est une vraie mine d’or historique et culturelle pour la commune. Ajouté à cela les archives du jumelage avec la ville palestinienne de Hébron, celles de 1940 à nos jours, les archives modernes, celles des  services municipaux (comptabilité, voirie, CCAS), les Fêtes municipales, l’élection de la Marianne dans les années 1950, les  registres d’état civil et les documents officiels, les cartes géographiques, les cadastres napoléoniens et même la croix de guerre décernée à la ville en 1949 par Vincent Auriol, 16e président de la République française, la commune de Saint-Pierre-des-Corps possède un patrimoine qui mérite d’être vu et connu.
NR, Indre et Loire, 23/09, p.18

(Vendôme) Échafaudage

Emmailloté depuis des années, un des piliers de la nef de La Trinité va enfin pouvoir respirer tranquille. Enfin, d’ici quelques mois après d’importants travaux… Début octobre, des échafaudages vont être placés jusqu’à la voûte au niveau de ce pilier qui marque l’entrée à droite de l’abbatiale pour une reprise totale du pilier. Après les trois jours de mise en lumière de ce week-end, La Trinité continue de faire parler d’elle. (intégral)
Nr, Loir et Cher, 23/09

(Tours) Qui veut sauver les tableaux de la gare ?

Les 18 tableaux en céramique qui ornent les murs du hall de la gare de Tours sont en triste état. Voilà pour la mauvaise nouvelle. «La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons les restaurer», se réjouissent les responsables de la SNCF. Deux restauratrices se sont penchés sur ces petits trésors, l’an passé, avec la participation de l’architecte de la SNCF, Bertrand Ahier (NR du 12 mars 2013). «Dans l’idéal, il va falloir procéder au démontage de chaque carreau (NDLR : chaque tableau compte 120 carreaux), les nettoyer avant de les reposer», conseille l’architecte. Une opération délicate et surtout onéreuse. «Nous avons estimé à 8.000 € la restauration d’un tableau.» La rénovation de l’ensemble des tableaux s’élèverait donc à 150.000 €.
NR, Indre et Loire, 24/09, p.13

(Saint Marcel) Travaux à l’église et à la Chapelle Saint-Marin

Eglise - Il est nécessaire de réaliser des travaux de mise en sécurité (restauration des façades extérieures et notamment des absidioles de la façade est, et de la baie ouest du transept nord). La dépense prévisionnelle s’élève à 122.000 € TTC. Le maire propose de solliciter des subventions de la Direction régionale des Affaires culturelles (Drac), à hauteur de 30%, du conseil général (20%), et des fonds parlementaires (10.000 €). 62.496 € resteraient à la charge de la commune.  - Chapelle Saint-Marin. Des travaux de restauration des toitures seront réalisés en deux tranches, en 2014 et 2015, pour un coût estimé à 67.348 € TTC pour la tranche 1 et à 64.974 € TTC pour la tranche 2. Des aides seront demandées à la Drac (20%), au conseil général (20%), aux fonds parlementaires, au Fonds régional pour le patrimoine culturel de proximité (10%). 25.745 € (sur le montant total de la dépense TTC) resteront à la charge de la commune. Une souscription publique par le biais de la Fondation du patrimoine est envisagée.(intégral)
Nr, Indre, 24/09

(Ségry) L’église Saint-Martin à l’honneur

Après d’importants travaux de restauration entamés dès 2008 pour lui faire retrouver son lustre d’antan, l’église de Ségry vient de connaître, pour sa réouverture au public, un week-end particulièrement chargé. Vendredi soir, les partenaires institutionnels et financiers ont assisté à l’inauguration officielle, complétée d’un moment musical. Puis l’église a accueilli, samedi soir, les artistes de l’abbaye de La Prée qui ont offert un fort beau concert inaugural gratuit qui a obligé les organisateurs à ajouter nombre de chaises. Enfin, dimanche matin, le père Olivier Crestois a procédé à deux baptêmes avant de célébrer la messe paroissiale de rentrée devant de nombreux fidèles. (intégral)
Nr, Indre, 24/09

(Blois) Initiation aux valeurs du patrimoine

A la veille des Journées du patrimoine, le service Ville d’art et d’histoire, en partenariat avec le lycée horticole, organisait vendredi dernier une activité de sensibilisation à l’attention des jeunes élèves Celle-ci, qui s’est déroulée au château, a débuté avec la visite des lycéens de l’exposition «Jardins de châteaux . Les œuvres retracent l’histoire de la Renaissance au XVIIe siècle à travers les jardins. A partir du thème historique, les lycéens ont imaginé des ateliers ludiques, inspirés de jeux de société. Toujours vendredi, sous l’aile Gaston-d’Orléans, huit écoles primaires de la zone Agglopolys, ont participé à des jeux détournés, baptisés pour un jour «Un jardin pour le roi» et « Poursuite dans les jardins du roi».
Nr, Loir et Cher, 24/09, p.12

(Bonneval) La Ville compte acquérir la chapelle St-Roch

Après le déménagement de la maison de retraite des Marronniers, gérée par le centre hospitalier HenriEy, et la mise en vente de l’ensemble des bâtiments, la Ville souhaiterait acheter la partie historique du site. (intégral)
L'Echo, 25/09

(Gizeux) Nouvelle campagne de mécénat pour le château

A l’occasion des Journées du Patrimoine, après le succès en 2013 et à la demande des internautes, une nouvelle campagne de levée de fonds pour restaurer la galerie des Châteaux est lancée jusqu’à Noël. De juillet à décembre 2013, l’engouement des internautes pour ce projet de restauration, trésor unique réalisé au XVIIe siècle par une école de peinture, a permis de collecter plus de 21.000 €. Ces fonds, auxquels se sont ajoutés un mécénat exceptionnel de French Heritage Society et une subvention de la Drac Centre, ont permis de restaurer deux scènes de la galerie,représentant les châteaux de Fontainebleau et de Gizeux ainsi que toutes les fenêtres et d’isoler les combles. Encouragés par ce succès, Géraud et Stéphanie de Laffon, propriétaires du château de Gizeux, se sont engagés à poursuivre l’aventure : la deuxième campagne de mécénat participatif, ouvert à tous sur le site Internet de MyMajorCompany vient d’être lancée à l’occasion des Journées du patrimoine. Les dons reçus permettront la restauration des trois scènes champêtres qui ornent l’extrémité est de la galerie des Châteaux. Ce sont les plus endommagées en raison d’anciennes infiltrations d’eau. (intégral)
NR, Indre et Loire, 25/09

(Continvoir) Convention avec la Fondation du patrimoine.

Signature par le maire et son conseil municipal vendredi 26 septembre, à 19 h, à la salle des fêtes de. A cette occasion, une exposition sur l’église Saint-Martin présentera son historique et son état actuel, nécessitant des travaux de restauration à court et moyen termes. Les détails du projet seront présentés en présence des partenaires et un échange se fera autour du verre de l’amitié. (intégral)
NR, Indre et Loire, 25/09

(Amboise) Tag

La fontaine, déjà taguée. C’est écrit à l’encre noire, en tout petit, mais enfin quand même, cela ne se fait pas… La fontaine de Max Ernst, qui est en cours de restauration, a été taguée. «Moche», peut-on lire sur le monument classé. N’importe quoi !.(intégral)
NR, Indre et Loire, 25/09

(Le Pont-chrétien-chabenet) Les travaux de l’église réceptionnés

A l’occasion de la messe du soir, les travaux de l’église du Pont-Chrétien-Chabenet ont été réceptionnés  officiellement, samedi, par Pierre Fomproix, maire, en présence de nombreux habitants. Le chantier a consisté à réaliser et à poser deux croix (à droite et à gauche de l’édifice). Des pierres de taille gelées ont été également remplacées. D’autre part, la partie droite de la toiture a été refaite entièrement. Les travaux ont été réalisés par l’entreprise Didier Véron, de Chitray, concernant les croix, et pour la partie droite de la toiture, par Jérôme  Poiron, une entreprise locale. «Ces travaux représentent un montant global de 70.000 €, financés par les fonds propres de la commune», a précisé Pierre Fomproix. (intégral)
Nr, Indre, 25/09

(Eure et Loir) Les moulins prennent un nouveau cap

Ils étaient plus de quatre vingt à se rendre à la journée de l’hydroélectricité organisée la semaine dernière par l’Association eurélienne des riverains propriétaires de moulins sur le Loir. Représentants des différentes organisations françaises et propriétaires sont venus s’informer sur les démarches et techniques pour pouvoir produire de l’électricité. «Nous voulions que les propriétaires de moulins soient informés sur les aspects administratifs et les nouvelles technologies leur permettant de produire de l’électricité en respectant les normes écologiques», explique Claude Cournarie, propriétaire du Moulin de La Bazoche Gouet. Lui même a entamé les aménagements pour faire de son moulin un centre expérimental : «Je viens de faire poser mon bloc turbineur et la grille empêchant les poissons et les débris de s’y infiltrer. Il a été conçu et installé par l’entreprise Busson, basée à Chapelle Guillaume.» Claude Cournarie ne produit pas encore d’électricité, mais il a invité les propriétaires de moulins à visiter ses installations.
+ La roue tourne de nouveau au moulin d’Epassé
L'Echo, 26/09, p.4

(Gallardon) Chartres au XIXe et au XXe siècle s’expose

Une étonnante exposition sur une série de photos du début du XIXe et XXe siècle, se tient jusqu’à la fin octobre au restaurant du Commerce à Gallardon. Une dizaine de panneaux retracent les épopées épiques du siècle dernier qui se sont produites à Chartres entre 1898 et 1920. Ils sont composés de clins d’oeil sur le défilé de troupes d’infanterie, tout comme sur une charge spectaculaire de cuirassiers à cheval avec en toile de fond un ballon de la Cie d’aérostier. Une série sur les métiers de l’époque, la tripière du marché aux fleurs parmi les laitiers en livraison et les maquignons postés à la gare de Chartres. D’autres clichés sur la course automobile Paris Madrid et les obsèques nationales à la cathédrale de Chartres de Noël Ballay, explorateur et gouverneur de l’Afrique occidentale française et d’autres surprenantes photos sur la ville de Chartres. L’auteur de ces clichés est Charles Nessler, confiseur chartrain et photographe amateur chevronné pour l’époque.
L'Echo, 26/09, p.16

La tour de l’église Notre-Dame de Bourges emmaillotée

La société de Bourges GTAB a emmailloté la tour de l’église Notre-Dame de Bourges, hier, avec un filet spécial, afin d’empêcher les chutes de pierre. Le filet peut retenir une pierre pesant une tonne. D’ici là, l’église aura été, on l’espère, restaurée… (intégral)
Le Berry, 26/09

1.000 ans d’histoire en cartes postales

Pascal Calmettes ne saurait dire avec exactitude combien il possède de cartes postales anciennes. Forcément, puisque sa collection s’enrichit chaque jour ou presque de plusieurs unités. A la louche, il avance le nombre de 4.500, représentant entre 800 et 900 châteaux et manoirs d’Indre-et-Loire, soit la quasi totalité des demeures qu’il a répertoriées. Car en plus d’être collectionneur, M. Calmettes est, tout naturellement, un amoureux du patrimoine. Membre de la Société archéologique de Touraine, il possède une documentation impressionnante et connaît un pan de l’histoire de quasiment tous les bâtiments dont il a une illustration.
+ A la recherche d’un lieu d’exposition
NR, Indre et Loire, 26/09, p.11

(Chinon) La fuye de l’abbaye de Seuilly, «un lien touristique important»

Le colombier de l’abbaye de Seuilly s’offre une nouvelle jeunesse. Et il y a urgence : couverture et charpente ont notamment disparu. Sans parler des maçonneries, rendues fragiles par les infiltrations d’eau. Un chantier de deux mois qui devrait permettre, aux yeux de Jean-Vincent Boussiquet, vice président de Chinon, Vienne et Loire chargé du développement économique et du tourisme, de rétablir «un lien touristique important entre la Devinière et l’abbaye de Seuilly». Une considération qui fait écho au message martelé, il y a quelques jours, par Gilles Brard, président d’Accueil en Val de Vienne, qui milite en faveur d’un circuit entre la maison de Rabelais, l’abbaye et les marais de Taligny, à La Roche-Clermault (intégral)
+ La Fuye de Seuilly sera rénovée
NR, Indre et Loire, 26/09

(Aubigny sur Nère) Etude diagnostique

Après la chute d’une pierre d’une corniche du château des Stuarts (classé monument historique depuis 1862) sur le domaine public, les élus ont décidé d’engager une étude diagnostique de l’état des façades et des couvertures du château. Mais la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) a demandé  que ce diagnostic soit complété d’une étude historique et architecturale. Le coût de l’opération doit s’élever à 18.672 euros HT, mais l’État a proposé de participer financièrement à hauteur de 40% des dépenses éligibles hors taxes, soit 7.468 euros. La commune a donc décidé de solliciter cette subvention auprès de l’État. (intégral)
Le Berry, 27/09

(La Châtre) A la découverte de quarante loges de vigne

Rattrapées par la ville ou délaissées au milieu des champs, les loges de vigne sont encore très nombreuses, aux alentours de La Châtre, à témoigner des traditions viticoles anciennes. Si elles se présentent en grande densité sur le plateau de Beauregard, où la confrérie possède ses propres vignes, un second parcellaire méritait aussi d’être valorisé, cette fois à l’est de la ville. C’est aux environs de la route de Montluçon, sur les lieux dits «La Rochaille», «Les Thureaux», «Le Chêne» et «La Grande Maison», que l’association a défini une boucle de 7 km, ponctuée de plus de quarante de ces petits bâtiments.
Nr, Indre, 28/09, p.8

Incendie au château de Blois : c’était un exercice

Blois, vendredi soir, 18h30. Plus un visiteur dans la cour du château. Une sirène annonciatrice d’une catastrophe. Au même moment, le téléphone d’Élisabeth Latrémolière, la conservatrice des lieux, qui n’est plus sur place, sonne pour la prévenir d’un incendie dans l’aile François Ier. Aussitôt, elle prévient le maire et se presse d’arriver au château. Mais sans paniquer puisque toute cette mise en scène est un exercice. «Aujourd’hui avec cet exercice incendie, nous allons tester l’efficacité du plan de sauvegarde des œuvres du château. Ce plan est encore en cours d’élaboration et il va concerner deux salles de l’aile François Ier», explique-t-elle.
NR, Loir et Cher, 28/09, p.4

Saint-Martin appartenait à Chartres !

La petite commune normande de Saint-Martin-aux-Chartrains, 403 habitants, a célébré le millénaire de sa donation à la cathédrale de Chartres. Une délégation du rectorat et de la Ville a participé à la célébration festive. Comment une commune aux portes de Pont-l’Évêque (Calvados) a-t-elle été Chartraine entre 1014 et la Révolution de 1789 ? Tout simplement parce que ce secteur et les terres qui l’entouraient ont été données par Richard II le Bon, duc de Normandie, aux chanoines du Chapître de la cathédrale, pour se racheter de l’incendie du monument par les troupes de son père, en 962. La charte officielle du don a été lue. Il y a mille ans, les impôts prélevés sur ces terres ont contribué à faire édifier la cathédrale de Chartres. (intégral)
L'Echo, 28/09

Source : Le Figaro

Journées du patrimoine 2014 : plus de 12 millions de visiteurs

La 31e édition de l'événement a rencontré ce week-end un vif succès, avec 17.000 lieux ouverts au public, littéralement pris d'assaut par les Français. Le chiffre montre décidément tout l'attachement que les Français portent à leur patrimoine. Plus de douze millions de visiteurs ont participé aux Journées du patrimoine, a annoncé, hier soir, le ministère de la Culture. Un nombre similaire à l'année dernière, qui démontre le succès de cet événement. 17.000 lieux étaient ouverts au public dans toute la France. Entre l'Élysée, la prison de la Santé ou les maisons des rochers de Graufthal, cette 31ème édition réunissait patrimoine culturel et patrimoine naturel
Le 22/09 - Lire la suite...

Un musée dans la maison natale de Hitler?

La ville de Braunau am Inn, en Autriche, veut y installer une maison de la Responsabilité. La maison natale d'Adolphe Hitler, à Braunau am Inn, en Autriche, pourrait devenir un musée dédié aux crimes contre l'humanité, intitulé la Maison de la Responsabilité. La proposition, faite par un historien Andreas Maislinger, vient de récolter le soutien du conseil municipal de la ville autrichienne, ainsi que celui de Brando Lustig, producteur du film La Liste de Schindler . Le projet de musée doit encore être validé par le ministère de l'Intérieur, qui devrait se prononcer d'ici la fin de l'année.
Le 24/09 - Lire la suite...

Source : Le Monde

Fleur Pellerin : « Ni refaire ni défaire ce qui a été fait depuis 2012 »

« Je ne vais pas renverser la table ! » Plusieurs fois, au cours de l'entretien qu'elle nous a accordé – le premier depuis sa nomination le 26 août –, la ministre de la culture et de la communication, Fleur Pellerin, a eu recours à cette formule. Manière de marquer sa différence de style par rapport à son impétueuse prédécesseure, Aurélie Filippetti. Manière, surtout, d'afficher son pragmatisme, alors que ses moyens d'action sont limités – budget stabilisé après deux années de baisse – et que les dossiers chauds – intermittents, arrivée de Netflix… – s'accumulent sur son bureau. Lequel sera ouvert à tous les interlocuteurs, des géants du numérique aux syndicats les plus précaires : la ministre, qui cite autant Jeremy Rifkin que Pierre Bourdieu, entend faire de « l'accès » le maître mot de sa politique.
Le 23/09 - Lire la suite...

Double querelle autour du sculpteur Maillol

Jeudi 25 septembre, la galerie Boulakia comparaissait au Tribunal de commerce de Paris, assignée en justice par un autre marchand d'art parisien, la galerie Malaquais. Son tort, selon le plaignant : concurrence déloyale. Un bronze grandeur nature, Printemps sans bras, œuvre du sculpteur Aristide Maillol (1861-1944), est au cœur du litige. La statue, allégorie de la belle saison, représente une jeune femme nue, debout, aux traits doux, le visage serein. Aucune des deux parties ne met en doute son authenticité, mais la date de sa fonte. Bien qu'il soit impoli de demander son âge à une demoiselle, celle-ci risque fort de devoir révéler tous ses secrets et surtout celui de sa fabrication. « Si vous êtes garagiste, vous n'allez pas vendre une Aston Martin de 1964 comme un modèle de 1932 », arguait maître Dominique Mondoloni, avocat de la galerie Malaquais, au cours de l'audience.
Le 28/09 - Lire la suite...

Source : La Tribune de l'Art

Le Louvre perd deux Canaletto mais gagne deux Bellotto

ttribution - Paris, Musée du Louvre - Deux tableaux de la donation Victor Lyon au Louvre viennent de voir leurs cartels modifiés. Cette évolution n’est pas anodine : ces deux toiles que l’on pensait de Canaletto, Le Pont du Rialto et L’église de la Salute (ill. 1 et 2) sont désormais, officiellement, reconnues comme étant en réalité de la main de son neveu Bernardo Bellotto.
Le 22/09 - Lire la suite...

Une publication sur les caravagesques d’Avignon

Publication - Avignon, Musée Calvet - Le Musée Calvet d’Avignon vient de publier un petit catalogue intitulé « Autour de Caravage. Collections du musée Calvet » sous la forme d’un fascicule de 42 pages avec de nombreuses illustrations couleur et des notices très détaillées (où il est dommage cependant qu’il n’y ait ni provenance ni bibliographie).
Le 22/09 - Lire la suite...

Une pluie de Gustave Doré pour Ottawa

Acquisitions - Ottawa, Musée des Beaux-Arts du Canada - Alors que la rétrospective Gustave Doré, après son étape parisienne (voir l’article), vient de se terminer au Musée des Beaux-Arts du Canada à Ottawa, cette institution peut se targuer de belles acquisitions d’œuvres de cet artiste : peinture, dessins, sculptures, ouvrages illustrés, ce sont tous les aspects de sa production qui y sont désormais représentés.
Le 23/09 - Lire la suite...

Un tableau de Valdés Leal pour le musée de San Diego

Acquisition, The San Diego Museum of Art - Le musée de San Diego a récemment acquis un tableau de Juan de Valdés Leal, La Visitation, auprès de la galerie Caylus Anticuario à Madrid, qui était précédemment passé en vente chez Sotheby’s le 29 janvier 2009, à New York.
Le 23/09 - Lire la suite...

Le Saint Jean l’Évangéliste de Ribera restauré et exposé au Louvre

Paris, Musée du Louvre - Le Saint Jean l’Évangéliste (ill. 1) de Jusepe de Ribera, préempté par le Louvre à l’hôtel Drouot le 27 mars 2012 (voir la brève du 27/3/12)et qui sera inclus dans une exposition-dossier à Rennes et à Strasbourg1 consacrée à l’apostolado2 peint par cet artiste lors de sa jeunesse à Rome, est actuellement visible au Louvre après sa restauration dans le cadre d’un « tableau du mois »3.
Le 23/09 - Lire la suite...

Bruxelles : les esquisses de Rubens de retour dans un musée proche du Titanic

Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-Arts - Nous nous plaignions si fort de leur absence qu’on ne peut que se réjouir bruyamment de leur retour : les esquisses de Rubens, invisibles depuis que la salle qui les abritait est fermée pour des problèmes de fuites, sont désormais à nouveau exposées dans une présentation très agréable (ill. 1 et 2).
Le 24/09 - Lire la suite...

Journées du patrimoine : des ministères très désinvoltes

Les journées du patrimoine dévoilent, avec les trésors du passé, les verrues du présent. En offrant la possibilité d’admirer l’architecture et le décor de monuments habituellement fermés au public, elles permettent aussi de découvrir comment ceux qui les occupent aujourd’hui en prennent soin... Les hôtels particuliers du 7e arrondissement de Paris, qui accueillent un certain nombre de ministères, en offrent de (bons ?) exemples.
Le 24/09 - Lire la suite...

La pergola du Musée Picasso a été démontée

Paris, Musée Picasso - Laurent Le Bon l’avait promis, c’est désormais chose faite : la pergola grotesque qui défigurait la façade de l’hôtel Salé, où se trouve le Musée Picasso, a été démontée (ill. 1). Il n’en restait plus qu’un petit bout aujourd’hui (ill. 2) qui devrait disparaître dès le début de la semaine prochaine.
Le 27/09 - Lire la suite...

L’incroyable souscription pour les Delacroix de Saint-Sulpice

Mécénat - Paris, église Saint-Sulpice - La Tribune de l’Art soutient toujours les souscriptions lancées pour acheter ou restaurer des œuvres ; elles permettent de compléter des chantiers ou de réaliser des acquisitions qui risqueraient, sans cela, de ne pas se faire. Mais il faut, pour lancer un appel au public, que l’institution utilise cet argent pour augmenter le budget qu’elle dédie à l’opération, pas pour le remplacer.
Le 27/09 - Lire la suite...

De Versailles à Arras : cent chefs-d’œuvre déplacés pour rien

Accablant. C’est le premier mot qui vient à l’esprit en sortant de l’exposition « Le château de Versailles en 100 chefs-d’œuvre » renommée « Arras vous fait la cour » (on appréciera le jeu de mot...) que présente jusqu’au 20 mars 2016 (un an et demi !) le Musée des Beaux-Arts d’Arras. Penser que des conservateurs (dont le premier rôle, rappelons-le, est de conserver les œuvres d’art qui leur sont confiées) ont osé déplacer les Bains d’Apollon (voir cet article, et celui-ci) mais aussi la Latone des frères Marsy, œuvres de marbre à l’origine immeubles par destination, pour les exhiber dans cette présentation ridicule et vaine, est désespérant.
Le 26/09 - Lire la suite...

Source : Le Parisien

A Florence, la remise en beauté de l'"Adoration des mages" de Vinci progresse

"L'Adoration des Mages", tableau inachevé du maestro de la Renaissance Léonard de Vinci, se révèle chaque jour un peu plus grâce à la restauration en cours à Florence, a-t-on appris mercredi auprès des responsables des travaux. "On est à environ trois quarts du travail de nettoyage et la redécouverte de l'espace typique de la perspective aérienne, atmosphérique de Léonard est déjà très évidente", a déclaré à l'AFP Marco Ciatti, directeur de l'Opificio delle Pietre Dure, dans la Fortezza da Basso.Le 24/09 - Lire la suite...

La Fondation Louis Vuitton s'apprête à accueillir ses premiers visiteurs

A deux pas du Jardin d'acclimatation, la Fondation Louis Vuitton, impressionnant vaisseau conçu par l'architecte Frank Gehry, s'apprête à accueillir ses premiers visiteurs fin octobre et à dévoiler une partie de la collection d'art contemporain constituée par le président de LVMH Bernard Arnault. Tant aux abords de la fondation que dans les lumineux espaces intérieurs, ouvriers et techniciens s'affairent encore. Mais tout sera prêt pour l'ouverture officielle le 27 octobre qui sera précédée de trois journées portes ouvertes (sur réservation, les 24, 25 et 26), assure-t-on à la fondation.
Le 26/09 - Lire la suite...

Bolivie: des trésors paléontologiques exposés aux quatre vents

Battue par les vents, la petite ville de Padilla, à l'est de la Bolivie, abrite des sites paléontologiques d'une valeur inestimable qui ont refait surface ces dernières années à la faveur de l'érosion mais qui faute de moyens servent surtout d'aire de jeux aux enfants. Quelque 70 sites paléontologiques ont été ainsi répertoriés dans cette région de Chuquisaca, aux vallées blotties entre la cordillère des Andes et la plaine du grand Chaco.
Le 26/09 - Lire la suite...

Grèce: le mystère du tombeau antique sera levé d'ici un mois

Le secret du plus grand tombeau antique jamais découvert en Grèce, à Amphipolis (nord), et de son mystérieux occupant, sera levé "d'ici un mois", ont assuré les archéologues au travail sur ce site qui date de l'ère d'Alexandre le Grand. "Selon l'archéologue à la tête du projet Katerina Peristeri, les recherches seront terminées d'ici un mois", a indiqué Anna Panayiotarea, une porte-parole du ministère de la Culture lors d'une conférence de presse sur les lieux de la fouille, à 100km de Thessalonique, deuxième ville grecque.
Le 26/09 - Lire la suite...

Source : La Croix

Au musée du Grand-Pressigny, un fabuleux voyage en préhistoire

Au Musée de la préhistoire du Grand-Pressigny (Indre-et-Loire), l’exposition « Bêtes à tout faire » fait voyager les visiteurs au temps du Paléolithique. Dans la cour du château du Grand-Pressigny, écrin médiéval au sud de Loches (Indre-et-Loire) abritant les magnifiques collections du Musée de la préhistoire, un groupe d’enfants sort en courant pour lancer les sagaies qu’ils viennent de fabriquer. Cet été, des ateliers ludiques de gravure, de couture sur peau, de peinture ou des fouilles archéologiques permettant à chacun de s’imprégner du mode de vie des hommes préhistoriques étaient proposés aux enfants.
Le 27/09 - Lire la suite...

Source : Libération

Gary Snell, le faussaire de Rodin

ugé à Paris, un Américain aurait contrefait des milliers d’œuvres pour les vendre à l’étranger. «Rodin fait partie du patrimoine universel.» C’est par ces fortes paroles qu’Aude Le Guilcher a ouvert l’acte d’accusation devant le tribunal correctionnel de Paris, au terme de trois journées du plus important procès en contrefaçon de ces dernières décennies. Au moins 1 700 faux Rodin seraient dans la nature, à en croire l’expert Gilles Perrault. Gary Snell se retrouve accusé en compagnie d’une société utilement basée au Lichtenstein, Gruppo Mondiale.
Le 28/09 - Lire la suite...