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 Revue de presse (13 - 19 juillet 2015)

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valerie.maillochon
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MessageSujet: Revue de presse (13 - 19 juillet 2015)   Revue de presse (13 - 19 juillet 2015) Icon_minitimeVen 17 Juil - 10:05

Musées région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Nogent le Rotrou) La Grande Guerre illustrée au château


“Semez des pommes de terre pour les soldats, pour la France”. “Deux fléaux : le boche, la tuberculose. L’aigle boche sera vaincu, la tuberculose doit l’être aussi”. “On les aura ! Deuxième emprunt de la défense nationale. Souscrivez”. “Pour la France, versez votre or. L’or combat pour la victoire”. Ce sont quelques uns des slogans qu’on peut lire sur les affiches actuellement présentées au château Saint Jean de Nogent le Rotrou, sous le couvert de l’exposition La guerre s’affiche, organisée dans le cadre des commémorations de la Première Guerre mondiale. Une exposition qui a d’ailleurs reçu le label de la Mission du centenaire 1914-1918. Plus de soixante dix affiches composent cette exposition. Certaines ont été prêtées par des collectionneurs privés, notamment des collectionneurs nogentais, d’autres par le musée d’art et d’histoire de Dreux et d’autres encore proviennent des collections du musée municipal ou du service des archives municipales de Nogent le Rotrou.
L'Echo, 14/07, p.18

(Loury) Trésors et caquetoires s’exposent au Musée des légendes et des métiers

Le Musée des légendes et des métiers de la forêt d’Orléans propose jusqu’au 25 octobre 2015, une nouvelle exposition temporaire «Trésors du Loiret» et «Les caquetoires locaux». Au rezdechaussée, l’exposition permanente propose une visite sur les métiers et les légendes de la forêt d’Orléans. Métiers du forgeron, charron, charbonnier, bourrelier, légendes de la Dame Blanche, créatures fantastiques, fées, légende de Riblet, loup, habitat rural entre 1900 et 1940 : autant de thèmes abordés. (intégral)
RC, Orleans, 16/07

(Orleans) Le muséum, à l’aube de sa grande mue

Annoncée depuis quelques mois, la rénovation complète du muséum avance en coulisses et entrera dans une phase plus  active prochainement, avec dès le 30 août, la fermeture des lieux au public pour laisser place aux experts. Chercheurs, directeurs de musées, de France ou du monde, composeront le conseil scientifique et viendront apporter leur analyse et leur recul. Une dizaine de personnalités reconnues ont été sollicitées. Pour l’instant, rien n’est acté, aussi Nathalie Kerrien, adjointe au maire en charge de la culture, préfère ne pas donner de noms. Ces experts auront une mission primordiale : dessiner le Muséum du futur  tant dans son propos que dans sa muséographie. Ainsi, dès la fin septembre, ils vont élaborer et phaser le projet scientifique, architectural et culturel ; enrichir et valider le contenu scientifique et culturel du projet; aider à la programmation muséographique et à la gestion des collections. Et pour cela, la ville a décidé mettre les grands moyens. Elle n’a pas hésité à réévaluer d’un million d’euros le coût prévisionnel, qui était annoncé à 5 millions d’euros au début.
RC, Orleans, 17/07, p.8

(Châteaumeillant) En visite au musée des Vieux Métiers

Depuis mardi, le musée des Vieux Métiers ouvre ses portes dans la halle de l’ancienne église du Chapitre. Une nouveauté qui résulte de la refonte du musée Émile Chenon et de l’instauration d’une nouvelle scénographie. «Depuis longtemps, nous avions l’idée d’exposer les nombreux outils anciens qui étaient stockés dans la grange du musée Émile Chenon, explique Jean-Luc Daugeron, adjoint au maire et président de l’office de tourisme. À l’exception des Journées du patrimoine ou de la Nuit au musée, le public n’avait que peu d’occasions d’admirer ces nombreux éléments.» Les antiques outils suscitaient un tel intérêt qu’il semblait tout naturel d’en faire profiter le plus grand nombre.
Le Berry, 17/07, p.24

(Issoudun) Joseph Sima : pinceau de lumière

Franchir la porte vitrée du Musée Saint-Roch par une journée ensoleillée, c’est déjà pénétrer l’univers de Joseph Sima. Un univers d’ombre et de  lumière coule dans l’esprit du peintre français d’origine tchèque. Paradoxalement, le contraste n’est jamais saisissant car les peintures et les aquarelles exposées donnent à voir un monde de douceur, un univers diaphane dans lequel le visiteur peut plonger avec beaucoup de facilité. L’oeuvre de Sima n’est pas complexe car elle est avant tout une émotion. De cet art conceptuel, nous ne retiendrons que la dichotomie entre la masse sombre identifiée à la création du monde et la masse claire découvrant la voûte céleste. De ses paysages, tantôt à l’huile, tantôt au pastel, l’artiste entretient le passage. Une porte.
Nr, Indre, 17/07, p.18

(Véron) Une inauguration réussie à l’écomusée


Jeudi 9 juillet, à l’écomusée de Véron, une centaine de personnes étaient présentes pour inaugurer l’exposition «Mémoire de tuffeau, pierre tendre du Val de Loire». Ann Chevalier, vice-présidente à la culture et à la communication de la communauté de communes Chinon, Vienne et Loire, a souligné dans son discours l’omniprésence du tuffeau dans la région et dans la vie des Tourangeaux. Angèle De Latour, médiatrice à l’écomusée, a également pris la parole pour présenter le travail de recherche et de montage réalisé par l’ensemble de l’équipe avant d’inviter le public à parcourir l’exposition.
Dans la fraîcheur des bâtiments (en tuffeau !), le public a pu découvrir l’histoire et les témoignages de cette pierre emblématique : architecture des villages, villes et châteaux, sculptures des églises, graffitis et marques sur les pierres…
Nr, Indre et Loire, 17/07, p.20

(Chouzé sur Loire) “ Lumière ” au musée des Mariniers


Espace vivant en constante évolution, le musée des Mariniers propose, chaque saison, une exposition temporaire qui vient enrichir les  collections permanentes, dédiées à la marine de Loire et à ses hommes. Cette année, l’exposition «Lumière, s’il vous plaît» sur le thème de l’éclairage, devrait séduire les amateurs de patrimoine et d’objets rares. Elle permet de découvrir les différents modes d’éclairage du XIXe au début du XXe siècle, du chandelier à la lampe à carbure, en passant par la lampe pigeon. Ces objets ont été prêtés par d’autres musées, comme celui de Saint-Clément-des-Levées, des collectionneurs privés de Chouzé-sur-Loire et de la Sarthe, dont l’imposante collection de Monsieur Ancelin, qui présente les outils de l’un de ses ancètres cirier en 1865. Des outils qui servaient à décorer les cierges en relief. (intégral)
NR, Indre et LoireW, 20/07

Source : Magcentre

Orléans, ton musée fout le camp !

L'incurie de la Mairie d'Orléans va-t-elle détruire ce que la guerre avait épargné ?La ville d'Orléans se targue de posséder l'un des plus beaux musées de province en France, riche d'une collection inestimable d’œuvres, et ce malgré les pertes dues aux bombardements de la dernière guerre.
Lire la suite : http://www.magcentre.fr/78730-orleans-ton-musee-fout-le-camp/




Dernière édition par valerie.maillochon le Mar 21 Juil - 9:37, édité 5 fois
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MessageSujet: Revue de presse (13 - 19 juillet 2015)   Revue de presse (13 - 19 juillet 2015) Icon_minitimeVen 17 Juil - 10:06

Archéologie région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

(Le Grand Pressigny) Les préhistoriales

Partagez la vie préhistorique au musée de la Préhistoire, les 18 et 19 juillet, à partir de 10h. Deux journées riches en expérimentations et démonstrations de l’habileté technique des Hommes préhistoriques. Durant ces deux jours, les groupes de reconstitution Chalcophore et Silex Fac-Similé, vous feront découvrir en direct les savoir-faire de la fin de la Préhistoire, comme la taille du silex pour réaliser couteaux et flèches, mais aussi la fonte et le travail du bronze, la fabrication d’armes de chasse, la poterie, le travail des peaux, les bijoux et bien d’autres choses encore. L’occasion de porter un autre regard sur les 100.000 ans de Préhistoire racontés par les collections du musée. Plein tarif : 8 €, tarifs réduits, 7 € et 2,50 €, tél. 02.47.94.90.20 (intégral)
NR, Indre et LoireE, 13/07

À Pithiviers-le-Vieil, l’histoire mérite mieux

Depuis longtemps, les écoliers ramenaient à leurs maîtres de petits objets datant d’un autre âge, surgis de la terre sous l’action des socs des charrues. Lorsque des fouilles ont été entreprises dans les années 70 et 80, il s’est avéré que les restes d’une ville dormaient depuis des siècles sous les blés et les constructions contemporaines. Avec les fondations de ses maisons, de ses temples, de ses thermes. Au nom de Pithiviers le Vieil est attaché un passé gallo romain.
RC, Orleans, 15/07, p.4

Le festival archéologique passera par Bossay sur Claise

L’APAB (association de préhistoire et d’archéologie de Bossay-sur-Claise) participera les 18 et 19 juillet au festival d’archéologie organisé par «Patrimoine Vivant de la Claise Tourangelle». A cette occasion, l’association a mis en place, dans l’annexe de son musée, une exposition sur les outils de jadis. Dans une bâtisse ancienne ayant gardé son caractère patrimonial, Raoul Guichanné, le président, et Solange Bigot, la secrétaire, feront découvrir les objets utilisés par différents corps de métier. Seront en particulier présentés, le travail du menuisier, du forgeron, du vigneron, du laboureur, du bûcheron et du sabotier. Dans la deuxième pièce du musée seront évoqués les «métiers d’intérieur» comme la couturière, le  comptable, le médecin, le coiffeur et le barbier. Quelques pièces rares attireront la curiosité des amateurs comme une charrue à soc en bois et un sabot à ramasser la paille. Le tambour du garde champêtre évoquera le temps où la communication passait exclusivement, dans les campagnes, par ce personnage emblématique. (intégral)
Nr, Indre et LoireW, 15/07

(Amboise) Des fouilles archéologiques à découvrir

Une visite du site des fouilles archéologiques, au plateau des Châtelliers à Amboise, est organisée tous les jours à 11 h, jusqu’au 31 juillet, avec Jean-Marie Laruaz, attaché de conservation du patrimoine au conseil départemental d’Indre-et-Loire (service archéologie). Jean-Marie Laruaz supervise le chantier, accompagné de plusieurs bénévoles. Le plateau des Châtelliers est le cadre de la principale agglomération gauloise de Touraine. Cet oppidum de 52 hectares a fait l’objet d’une multitude d’interventions qui permettent de le considérer comme l’un des sites majeurs en région Centre. La campagne 2015 se déroule dans un nouveau secteur, situé au pied de la «Butte de César», un tertre imposant de 60 mètres de diamètre. L’objectif est d’établir l’origine et la fonction de ce monument et de mettre en évidence, le cas échéant, les modalités de son insertion dans l’agglomération gauloise. (intégral)
NR, Indre et LoireT, 20/07



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MessageSujet: Revue de presse (13 - 19 juillet 2015)   Revue de presse (13 - 19 juillet 2015) Icon_minitimeVen 17 Juil - 10:06

Patrimoine région Centre

Source : Panorama de presse de la DRAC Centre

Le moulin d’Artenay, témoin du passé

Des champs de blé à perte de vue. Au milieu, régulièrement, se dressent fièrement des moulins à vent. Vestiges du passé, restaurés au fil des années, ils continuent à raconter l’histoire de la Beauce. Comme le moulin de pierre d’Artenay, un monument rare qui fonctionne encore. Les touristes qui empruntent la RD 2020 ne résistent pas à l’envie de s’arrêter. Les pales du moulin de pierre, à Artenay, tournent grâce à la force du vent. Une fois par mois, les Amis du moulin d’Artenay ouvrent les portes de la bâtisse. Ainsi, dimanche, il sera possible de découvrir la structure de l’intérieur.
RC, Orleans, 13/07, p.4

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (93) Une église en hommage à Célestin

Elle a des airs d’église de village. Ce qui colle plutôt bien au nom et à l’esprit de son quartier, l’ex commune de… Vierzon-Villages. Pourtant, contrairement à bien de clochers de bourgs, Saint Célestin n’est vieille que d’un peu plus d’un siècle seulement. Et sa présence découle de l’urbanisation. Sa naissance a été une suite de rebondissements, presque un feuilleton de plusieurs décennies, lié à l’histoire industrielle de la ville. Replongeons nous dans le contexte du XIXe siècle. L’industrialisation a conduit au développement de nouveaux quartiers, celui des Forges, à l’Est, et celui de Saint Martin, à l’Ouest. Ceux ci appartiennent, alors, à la commune de Vierzon-Villages, qui encercle celle de Vierzon-Ville. La situation dans ces secteurs de la ville préoccupe les industriels. En effet, à Vierzon-Villages, pas d’église.
Le Berry, 13/07, p.15

(Lury sur Arnon) RCF s’intéresse au patrimoine rural

L’émission de la Radio Chrétienne Francophone Les pierres qui parlent, réalisée par René Bardiot, a fait halte dans la commune pour présenter le patrimoine culturel, historique, architectural et religieux. Le maire Jean-Claude Fagot, l’archéologue du département Jean-François Chevreau et Christophe Bouquet, de la communauté de communes Vals de Cher et d’Arnon, ont présenté les fortifications de Lury sur Arnon et le Moulin du Prieuré à Preuilly. Les émissions seront diffusées à l’antenne (RCF 91.00) vendredi 4 septembre à 19h15 (rediffusion dimanche 6 septembre à 9h15) pour Lury sur Arnon, et vendredi 10 septembre à 19h15 (rediffusion dimanche 12 septembre à 9h15) pour Preuilly. (intégral)
Le Berry, 13/07

(Chartres) La cathédrale dévoile ses décors d’origine

Dans la cathédrale, l’été est consacré à la mise en place des échafaudages. Ils permettront, dès la rentrée, de poursuivre la restauration des décors intérieurs de la nef et des verrières des baies hautes, entamée depuis un an. Les Chartrains et les touristes ne peuvent plus accéder à la zone en travaux. Des panneaux leur expliquent le déroulement des opérations, menées par seize entreprises et dix corps d’état. Une séance publique, organisée dans le chœur par la Direction régionale des affaires culturelles et l’architecte en chef des Monuments historiques, Marie-Suzanne de Ponthaud, a complété cette information, vendredi soir. Un décor du XIIIe intact Sur grand écran, une centaine de spectateurs a appris que l’essentiel du décor du XIIIe siècle de la cathédrale était conservé. L’objectif des restaurations consiste à retrouver l’enduit ocre jaune et les faux joints blancs appliqués sur la pierre de Berchères, jusqu’aux voûtes.
+ « Cette représentation de la vie du Christ n’a pas d’équivalent »
L'Echo, 13/07, p.6

(Chateauroux) A quoi ressemblait la ville au Moyen Age ?

C’était comment, Châteauroux, au Moyen Age ? Les vestiges sont tellement rares qu’il vaut mieux s’adresser aux spécialistes pour se faire une petite idée. C’est ce que nous avons fait, samedi, à l’occasion de la visite commentée proposée dans le cadre des rendez-vous de l’été. Première et importante précision de Sébastien, notre guide : avant Châteauroux, il y eut Château Raoul. Douze siècles en arrière, Déols était la principale cité de la seigneurie. Elle est alors coincée entre les royaumes de France et d’Angleterre. L’abbaye Notre-dame est fondée en 917. Pour la protéger, un château en bois est construit sur les rives de l’Indre. Ainsi naît le château Raoul en 937. Un faubourg se développe à ses pieds. La cité qui prendra ensuite le nom de Châteauroux, vient de voir le jour.
NR, Indre, 13/07, p.8

La vigne de François Ier revient à Chambord

Non loin des parkings réservés aux touristes, à un kilomètre à peine du majestueux château, la ferme de l’Ormetrou bénéficie d’une vue imprenable sur les tourelles et cheminées dépassant des arbres. C’est sur cette parcelle de 70 hectares adossée au mur d’enceinte, l’une des rares plaines du massif forestier, que les responsables du domaine de Chambord ont replanté «les vignes de François Ier». Cinq cents ans après leur introduction en Val de Loire sur ordre du roi, six hectares ont pris racine à la mijuin : deux hectares de romorantin préphylloxérique et quatre de pinot noir. Six autres seront ajoutés à cette plantation en 2016. «La genèse de cette plantation, explique Pascal Thevard, directeur des bâtiments et des jardins de Chambord, est la découverte d’un plan de la fin du XVIIIe siècle sur lequel on distingue le jardin à la française, des bâtiments à droite et à  gauche et, au milieu, une petite tâche verte appelée “clos de vignes”.
RC, Orleans, 15/07, p.3

(Saint Benoit sur Loire) Quatorze siècles d’histoire à la basilique

Ce n’est pas seulement la foi qui guide les visiteurs vers la basilique. Ce haut lieu de la spiritualité où convergent les pèlerins attire également de  nombreux touristes, curieux de connaître l’histoire de cet édifice qui a traversé les orages du temps. Dans une période tourmentée, le poète Max Jacob y avait même trouvé refuge. L’abbatiale de SaintBenoît, ou abbaye de Fleury, a été fondée au temps des rois mérovingiens, en 651, sur les terres d’une ancienne villa gallo romaine. Son nom était dû au voisinage d’un village appelé Fleury. Aujourd’hui, Fleury est un quartier de Saint Benoît sur Loire. L’abbaye devient un haut lieu de pèlerinage quand les reliques de saint Benoît, père du monachisme en Occident, sont rapatriées depuis le Mont Cassin en Italie. Le reliquaire qui enferme les reliques est visible  dans la crypte, accessible aux visiteurs. Un espace plongé dans la pénombre et qui invite au recueillement.
RC, Loiret, 15/07, p.17

(Chartres) «Un moyen de promotion indispensable»


Tous ceux qui n’ont encore jamais eu la chance d’admirer les nombreux sites et monuments illuminés de Chartres peuvent, désormais, vivre cette expérience, depuis leur salon, en 75 minutes. La Ville et l’office de tourisme viennent de sortir le premier DVD Chartres en Lumières qui contient une présentation générale, les principales scénographies dans leur intégralité et des bonus (interviews des concepteurs, coulisses, informations techniques et rencontre avec les “Allumeurs d’images” de Spectaculaires qui ont rhabillé la cathédrale et la médiathèque L’Apostrophe). Une satisfaction pour Aurélien Charpille, directeur de Chartres en Lumière et de l’office de tourisme : «On ne disposait, jusqu’à présent, que d’images fixes de cet événement et on nous demandait depuis longtemps des images vidéo. Il faut voir les scénographies en mouvement pour comprendre ce qu’est Chartres en Lumières. Ce DVD est un moyen de promotion indispensable et un support de plus pour communiquer sur cet événement unique au monde.»
+ Le Parisien Wen Jié Yang remporte le concours de light-painting
L'Echo, 15/07, p.7

(Villamblain) Jean-Daniel Bellamy caresse la pierre

C’est dans son atelier de Villamblain que Jean-Daniel Bellamy exerce son art. Après une formation en dessin d’architecture, il se spécialise dans la sculpture et la calligraphie. Son savoirfaire lui vaut d’être distingué par deux titres de maître artisan en métiers d’art : «Tailleur de pierre» et «Graveur lapidaire». Artisan d’art créateur, il réalise, conçoit et réalise différents types de sculptures, gravures et ornements. Spécialiste des arts derniers, il crée également des blasons, des bornes, des plaques signalétiques ou commémoratives et divers monuments.
RC, Orleans, 16/07, p.18

(Saint Marcel) Les métiers de bâtisseurs et d’art à l’honneur

Dans le cadre de l’opération Grand chantier des savoir-faire en Bas-Berry, la municipalité de Saint-Marcel et l’association de sauvegarde du bourg médiéval invitent à découvrir, place de l’Église, dimanche 19 juillet, l’art, la technique et l’histoire des métiers de bâtisseurs, rassemblés pour un grand chantier : celui de l’église du bourg, selon la volonté du seigneur de Chauvigny et du prieur de Saint-Gildas. «Cette rencontre, dont le but est à la fois la mise en valeur et la découverte des métiers traditionnels autour du bâtiment, dans le cadre de la sauvegarde du patrimoine, est une première dans l’Indre et sans nul doute dans la région. Elle est soutenue par la Fondation du patrimoine», annonce Jean-Pierre Lécubin, élu local et président de l’Association de sauvegarde du bourg médiéval de Saint-Marcel.
Nr, Indre, 16/07, p.14

(Seillac) Quand l’église dévoile ses secrets

Samedi, l’église Saint-Jacques-le-Majeur de Seillac était ouverte à tous et la visite commentée par Xavier Anquetin, conférencier et historien. Cette église du XIIe siècle aurait été construite en même temps que le château grâce à un sieur de Silhac venu s’installer dans la région et venant du Midi. Elle présente la particularité d’un clocher-mur, très rare dans notre région. A l’intérieur, on peut admirer de nombreuses statues classées, en bois ou  en pierre, ainsi que deux bâtons de confrérie (Saint-Jacques et Sainte-Barbe). Le «mouton» qui soutenait la cloche datant de 1884 a été remplacé et déposé dans l’église dont on peut voir la signature de l’artisan, Jean Petit, un nom que les paroissiens connaissent bien puisque c’est celui due curé des villages. Cette visite permet de mieux connaître ce patrimoine qui coûte cher aux communes chargées de les entretenir. Ainsi, des travaux sont nécessaires : le tabernacle fera partie des prochains, quant à la voûte ce sera pour plus tard. Prochaine visite commentée le 5 septembre en l’église de Veuves. (intégral)
NR, Loir et Cher, 16/07

(Céré la Ronde) La statue de la Vierge sera reproduite

Le conseil municipal a accepté de faire réaliser un moule pour la fabrication d’une réplique de l’originale de La Vierge à l’enfant qui avait été retirée il y a plusieurs années de sa niche extérieure de l’église Saint-Martin. La statue retrouvera sa place dans la niche. Coût de l'opération: 3.200 € pour le moule, 1.800 € pour le tirage unitaire. (intégral)
Nr, Indre et LoireE, 16/07

(Quincy) Avec Magali Deboudard, Dior a choisi l’excellence

Magali Deboudard travaille la dentelle aux fuseaux depuis près de vingt ans. Vingt ans qu’elle se passionne pour son art et qu’elle contribue à son rayonnement. Elle en a même fait son métier contre vents et marées. Bien lui en a pr is. Elle travaille désormais
pour la maison Dior. Mais le chemin a été long et semé d’embûches. La dentellière a même failli lâcher fils et fuseaux. La passion et le soutien de ses proches ont contribué à sa renaissance. Les journées ne sont pas assez longues pour cette perfectionniste qui jongle entre création, dessin, gestion, comptabilité et vente. «C’est épuisant mais si c’était à refaire, je n’hésiterais pas un instant». En  septembre 2012, Dior, à la recherche un artisan capable de travailler un fil tendu, la contacte. C’est elle que la célèbre marque a choisie pour tisser des fils de soie et d’or dans le mouvement perpétuel d’une montre. «J’ai adapté mon savoirfaire à leurs exigences. Le projet, les études, tout a été intéressant. Les gens charmants. Je ne regrette rien.»
Le Berry, 17/07, p.18

(Drevant) Une nouvelle signalétique installée devant le prieuré


Intégré à la Fédération européenne des sites clunisiens depuis février dernier, le prieuré Saint Julien, qui date des Xe et XIe siècles, a désormais, juste devant la façade classée, un panneau signalétique qui retrace son histoire. «Il a été installé la semaine dernière, expliquent Alain et Anne Grare, les  propriétaires de l’édifice. Cette signalétique fait partie, avec celle à l’entrée du village, des panneaux indicateurs des sites clunisiens. C’est un résumé  succinct de l’histoire du prieuré avec la présentation de Cluny.» Le panneau rappelle le don de l’église primitive de Drevant à l’abbaye du Moutier  d’Ahun dans la Creuse en 1055, cette dernière étant rattachée à l’abbaye de Cluny en 1611 et Drevant restant sous sa tutelle jusqu’en 1788. Le panneau relate aussi la vie économique du prieuré qui était liée à la viticulture. «Les gens qui se promènent s’arrêtent désormais pour lire, confie Anne Grare. Ce panneau leur permet d’avoir une première approche historique du prieuré.» (intégral)
Le Berry, 17/07

Monuments : Azay, Chinon et Saché se rapprochent

Le président du conseil départemental, Jean-Yves Couteau, et Philippe Bélaval, président du Centre des monuments historiques, viennent de signer une convention. Le château d’Azay-le-Rideau, propriété des monuments nationaux, la forteresse royale de Chinon et le musée Balzac de Saché (propriétés du Département), trois fleurons du patrimoine, sont au centre de ce partenariat entre l’Etat et la collectivité territoriale. L’enjeu est d’établir un rapport de réciprocité entre les différents acteurs du patrimoine, afin de mener ensemble des actions pour le tourisme et la culture. «J’attache beaucoup de prix à cette convention, explique Philippe Bélaval, au-delà des statuts domaniaux, il n’y a qu’un seul patrimoine, indivisible.» Ce document va permettre d’établir un support juridique entre ces prestigieux édifices, afin de tenir compte des évolutions du marché touristique,  notamment face à une affluence internationale manifeste. Concrètement, l’achat d’un ticket pour un de ces trois monuments permettra de bénéficier du tarif réduit aux deux autres. (intégral)
Nr, Indre et Loire, 17/07

(Maintenon) Les anciennes écuries vont renaître

Pour la dernière fois avant les vacances, Philippe Auffray, président des Terrasses et Vallées de Maintenon, a convoqué son conseil communautaire. L’ordre du jour était chargé mais le point qui a retenu le plus longtemps l’attention des délégués communautaires fut, sans aucun doute, celui des anciennes écuries du château. En effet, on en est arrivé à la signature de l’acte de vente entre la société Image Inn, le vendeur, et la communauté de communes des Terrasses et Vallées de Maintenon, l’acheteur. La société Image Inn vend à la comcom le rez de chaussée des anciennes écuries, soit une superficie de 376 m², en gardant le premier étage qui abritera treize appartements en résidence hôtelière.
L'Echo, 18/07, p.10

(Chateaudun) Des livres anciens à la salle des ventes

À l’abri de leur couverture de cuir, ils ont traversé le temps. C’est une très belle vente que propose, aujourd’hui, Jean-Pascal Trapenat, le commissaire priseur dunois. Des centaines de livres régionaux anciens, datant pour certains du XVIIe, sur la Beauce, le Perche, Châteauneuf en Thymerais ou Chartres notamment, seront mis aux enchères. La collection était abritée dans les rayonnages d’un amateur, aujourd’hui décédé, très éclairé sur les arts et traditions populaires, ainsi que «sur tout ce qui était régional», explique Jacques Laget, expert en livres anciens et modernes, qui interviendra aujourd’hui auprès de Jean-Pascal Trapenat.
L'Echo, 18/07, p.15

Le département du Loiret au son des orgues


Ces trésors font vibrer le chœur des églises et battre le cœur des hommes. Notamment à l’occasion de festivals comme celui de Lorris, Orléans ou du Pithiverais. Les orgues, des instruments chargés d’histoire. Grâce à eux, le Loiret peut se targuer de faire figure d’exception en région Centre Val de Loire. Avec 80 instruments dont neuf classés aux monuments historiques, il est le département le plus riche en nombre d’orgues. De quoi mobiliser une armée d’amoureux répartis dans une trentaine d’associations de cette merveille qui «respire et chante, comme une personne. Impossible de raconter tous les orgues du Loiret. Mais une chose est sûre, ce patrimoine pourrait voir ses jours comptés. Par manque d’organiste, raison pour laquelle l’orgue de Beaune la Rolande s’est réfugié dans le silence (sauf lors du festival du Pithiverais). Et par manque de facteurs. Au x oubliettes le temps où les moines de Saint Benoit sur Loire fabriquaient ces joyaux, ce patrimoine.
RC, Loiret, 19/07, p.2/3

(Blois) Des cubes content l’histoire du quartier Vienne

L’exposition “ Laissez-vous conter Vienne ”, sous forme de cubes d’1 m3, raconte l’histoire de ce quartier historique de Blois.Vous ne pouvez les manquer . Neuf cubes d’1 m3 en aluminium ont été installés, quai Villebois-Mareuil, en Vienne. Mais d’ailleurs d’où vient le nom de ce quartier ? «L’origine étymologique de Vienne reste incertaine. Mais toutes les recherches traduisent la situation géographique particulière du lieu proche de l’eau», peut-on lire. Pour réaliser cette exposition ambulante, la municipalité «a réalisé une expertise de toutes les informations qu’elle avait à sa disposition», explique Emmanuelle Plumet, responsable du service ville d’art et d’histoire. Le plus difficile a sans doute été «de faire un tri».
NR, Loir et Cher, 18/07, p.12

(Suèvres) Découvrir les villages grâce aux flashcodes


Le syndicat d’initiative de Suèvres et Cour-sur-Loire vient de mettre en place une nouvelle manière de découvrir les deux villages. Sept stations au caractère touristique clairement identifié ont été sélectionnées et équipées de flashcodes sur une petite pancarte en Plexiglass. Un flashcode est un code-barres carré qui permet d’accéder à de multiples informations en scannant simplement le code avec son téléphone portable. On trouve un guide d’utilisation de ces flashcodes ainsi que la description du circuit à la porte de l’église de Suèvres, sur celle de Cour-sur-Loire et sur le site Internet du syndicat. La procédure est simple. Au préalable, il convient d’avoir téléchargé une application «flashcode» sur play.google.com : un logo caractéristique permet ensuite de l’activer. Devant les pancartes en Plexiglass ou les panneaux d’information touristique du centre bourg, il suffit de lancer l’application, de scanner le code-barres et de suivre les instructions pour entendre tous les commentaires concernant le site où l’on se trouve.
NR, Loir et Cher, 19/07, p.7

(Amboise) «Cette fontaine est nettement mieux mise en valeur. Avant, on ne la regardait plus.»


Commentaire entendu dans le groupe qui a suivi, récemment, la visite guidée «Art et architecture du Xxe siècle», organisée à Amboise par le Pays Loire Touraine. Cette visite, proposée une seule fois en tout début de saison, en six étapes, s’est donc terminée sur le mail, devant le «clou» du programme : la fontaine de Max Ernst entièrement rénovée. Anne Brisson, guide conférencière agréée, a retracé l’histoire de ce monument, nommé «Aux drôles, aux cracheurs, au génie», faite à la demande de Michel Debré, maire de la ville, à l’époque. C’est le seul monument que Max Ernst ait jamais créé pour l’espace public. (intégral)
NR, Indre et LoireE, 18/07

Début d’été ensoleillé pour les monuments


Nous enregistrons actuellement une hausse de 12 % par rapport à l’année 2014, au même moment, confie Henri Carvallo, directeur du château de Villandry, c’est une belle saison, visiblement. Entre le 1er et le 15 juillet, le site a enregistré 26.586 visiteurs, son meilleur chiffre depuis plus de cinq ans. «Cela est notamment dû aux animations nocturnes qui attirent les visiteurs en ces chaudes journées», continue Henri Carvallo. Lors des Nuits des Mille Feux, les 3 et 4 juillet, les jardins ont accueilli plus de 3.500 personnes. «Un petit record», lâche avec satisfaction le directeur du site. Aux abords du Cher, le château de Chenonceau affiche lui aussi bonne mine. Caroline Darasse, responsable de la communication, précise que Chenonceau «ne fait pas de bilan estival, uniquement annuel, mais la tendance est plutôt en légère hausse. On se maintient », conclut-elle. Dans le Chinonais, Marie-Eve Scheffer, responsable de la forteresse royale, se flatte des bonnes retombées touristiques : «+ 4 % en ce début de saison.» Une première vague de visiteurs positive pour Villandry, Chenonceau et Chinon, mais qui n’est pas l’apanage de tous les sites tourangeaux. Néanmoins, les espoirs sont intacts.
NR, Indre et Loire, 19/07, p.3

Château d’Azay : des artisans 100% made in France

Pour Azay, le Centre des monuments nationaux a recruté local. Hory -Chauvelin d’Avoine, groupement Rolland- Réau de Montlouis, menuiserie Guérin frères de Pouzay… Sur neuf lots de travaux, six ont été remportés par des artisans tourangeaux. Pas par chauvinisme, mais « parce qu’ils étaient les meilleurs », répond Chrystelle Laurent, administratrice du château d’Azay-le-Rideau. Au pays du tuffeau, la concentration de techniciens en Touraine est telle que le choix a été large. Le chantier se veut ainsi être une vitrine « des compétences qui se trouvent sur place, un niveau d’excellence reconnu à travers le monde ». Comme Olivier Rolland, conservateur-restaurateur de sculptures de Montlouis, nombreux sont ceux à avoir mis en pratique leur expertise sur les monuments français les plus prestigieux. Versailles, Le Louvre ou Chenonceau portent la trace de l’intervention de ces travailleurs de l’ombre. Et ça, « ce n’est pas délocalisable », salue Philippe Bélaval, président du CMN (Centre des monuments nationaux), propriétaire du château.
NR, Indre et Loire, 19/07, p.3

(Orleans) L’appli qui donne sa valeur aux détails

Géomotifs, plus qu’une application «ludique, touristique et culturelle», une «addiction» promet Sylvain Lambert. Son but : jouer avec le patrimoine de sa ville en y retrouvant des détails cachés. Le concepteur prévient : la «contamination» localisée à Orléans, première ville française à proposer son produit, va se propager… L’origine de Géomotifs est un peu le fruit du hasard, quand Sylvain Lambert, passé par l’assurance, l’aéronautique, a rencontré l’auteur Évelyne Thomas. Ou plutôt son ouvrage «Vocabulaire illustré de l’ornement par le décor de l’architecture et des autres arts». Le quadra, vivant à Orléans depuis une quinzaine d’années, reprend alors sa vie professionnelle à zéro. Dans ce «Vocabulaire illustré», il voit des pages, à chaque définition sur l’ornement, des illustrations associées. «Très beau», le bouquin ne semble pas pour lui. Il part pourtant se balader avec lui en ville et s’aperçoit : «Je ne regardais plus pareil. J’avais là un moyen simple d’interagir avec ce que je voyais du patrimoine.» L’idée est là ! L’ingénieur se dit qu’il va «transformer» cet «ouvrage de références» pour un usage grand public.
+ Lion, terme ou bucrane : des éléments cachés sur les façades d’Orléans
RC, Orleans, 20/07, p.6

(Bourges) Une façade comme à l’origine

Derrière cet échafaudage : la maison dite «natale» de Jacques Coeur. Depuis 21 ans, Jean-Marc Blot en est le propriétaire. C’est donc un chantier privé qui s’est installé en haut de la rue d’Auron. Sans la volonté de Jean-Marc, le bâtiment aurait perdu tout son charme. «Si j’ai fait ça c’est que j’aime cette bâtisse mais j’ai un peu l’impression d’être seul.» Et pour cause, malgré ses démarches, il n’a reçu qu’un coup de pouce de la part de la mairie de Bourges. 1.400 euros : une somme dérisoire lorsque l’on prend en considération l’ampleur des travaux. Des failles insoupçonnées ont rallongé la note, mais également le planning des ouvriers. Trois entreprises ont participé à la restauration de la façade. Les maçons de l’entreprise Jacquet ont rapidement cédé leur place aux charpentiers des Métiers du bois. Enfin, la rénovation de la façade a empiété sur la toiture, pour laquelle ont dû intervenir les couvreurs de Blaise Hemery. Pour conserver leur authenticité, les pans de bois ont été refaits en Chêne, et sculptés comme à l’origine. D’ici la fin du mois de juillet, les travaux devraient être terminés et la bâtisse aura retrouvé une nouvelle jeunesse. (intégral)
Le Berry, 20/07, p.10

(Mehun sur Yèvre) Un livre pour financer des restaurations

L’office de tourisme a accueilli jusqu’au 18 juillet, Bernard Giboz, ancien industriel et Jean-Pierre Pyckhout, ancien militaire, deux retraités, réunis pour dédicacer un livre sur Mehun sur Yèvre et ses monuments du souvenir et les conditions de vie de 1914 à 1918. C’est un conseiller municipal qui les a fait se rencontrer en 2014 sachant qu’ils travaillaient sur le même thème, les monuments aux morts. Leurs travaux étant complémentaires, ils ont travaillé ensemble pour mettre en valeur une situation exceptionnelle dans la commune, concernant les monuments mémoriels dans le cimetière communal. Ce monument ayant subi les outrages du temps, les auteurs se sont impliqués dans la mise en place d’un comité de restauration chargé de redonner au monument son aspect originel. La vente de ce livre sera consacrée entièrement à ces travaux de restauration et fait l’objet d’une convention avec la ville pour l’impression. Une souscription publique sera lancée prochainement avec la Formation du patrimoine.
Le Berry, 20/07, p.15

(Vierzon) PATRIMOINE SECRET (94) Un édifice pour le patronage laïque

Elle n’est pas tellement secrète, la salle Collier. Elle a même pignon sur rue. Mais, justement, connaissez vous l’histoire de cette façade qui, rue AndréHénault, au Bourgneuf, porte l’inscription «Patronage laïque municipal» en larges lettres ? Et pourquoi son nom ? Son origine remonte au temps des quatre Vierzon. L’appellation de la salle vient évidemment de son usage initial. Féru d’histoire locale et auteur d’un ouvrage sur Vierzon Bourgneuf, Claude Richoux, en a retrouvé la trace. «C’est pour faire suite à la création du patronage laïque municipal, en 1935, que le maire communiste André Collier propose à son conseil de construire dans la commune une salle polyvalente qui pourrait servir à la fois à certaines activités du patronage, mais aussi à d’autres fêtes ou réunion.» Un architecte de Vierzon, Clovis Neveu, est chargé de dresser les plans et de proposer un devis. Le projet est approuvé en février 1936 et, dès l’été, les travaux commencent, pour s’achever l’année suivante. L’architecture est typique de cette époque, évoquant l’architecture art déco. D’ailleurs, la même année, s’achève le square Lucien Beaufrère et son kiosque, en centre ville, eux aussi marqués par ce courant esthétique. Fidèle à l’esprit qui a présidé a sa construction, la façade porte la devise républicaine «Liberté, égalité, fraternité».
Le Berry, 20/07, p.16

(Vierzon) Passionné par les Elgé de Louis Gueule


Il y a peu de temps encore, Daniel Mondain ignorait l’existence de la marque Elgé. Mais, aujourd’hui, ce passionné de productions vierzonnaises anciennes s’est bien rattrapé. Il a constitué une collection de plus de cent cinquante pièces sorties de cette manufacture, tombée dans l’oubli. Tout a commencé par un petit pichet, proposé par un autre collectionneur local, Serge Pruvost. «Il m’a dit : “C’est du Vierzon, cela va t’intéresser”», se souvient Daniel Mondain. Il n’en fallait pas plus pour aiguiser la cur iosité de l’intéressé. Peu à peu, le féru de céramique collecte des pièces et en apprend un peu plus. Il découvre que les productions sont signées des initiales «LG», ou du nom «Elgé», qui ne sont autres que les initiales de Louis Gueule, fondateur de l’entreprise. Elles sont souvent accompagnées d’un papillon, le symbole de la marque.
Le Berry, 20/07, p.18

(Loye sur Arnon) Le Petit Festival pour la restauration


intérieure de l’église Saint-Martin
L’association Le Patrimoine de Loye, présidée par Rémy Van Coster, organise, pour la cinquième année consécutive, son Petit Festival. S’il se veut modeste dans son appellation, l’événement est en réalité ambitieux par son objectif : collecter des fonds pour participer à la restauration intérieure de l’église Saint Martin. L’extérieur a déjà fait l’objet d’une restauration lauréate d’un label attribué en décembre 2014 par la Fondation du Patrimoine.
Le Berry, 20/07, p.24



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Source : leparisien.fr

Mali: l'Unesco saisit la CPI pour la destruction des mausolées de Tombouctou


L'Unesco a saisi la Cour pénale internationale (CPI) au sujet des destructions des mausolées de Tombouctou par les jihadistes lorsqu'ils occupaient le nord du Mali (2012-2013), a annoncé samedi la directrice générale de l'institution venue visiter des mausolées reconstruits.
"L'Unesco a saisi la Cour pénale internationale au sujet de ceux qui ont détruit les mausolées.
Lire la suite : http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/mali-l-unesco-saisi-la-cpi-pour-la-destruction-des-mausolees-de-tombouctou-19-07-2015-4955775.php
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Source : l'express.fr

Musées de Madrid : toucher, quand on ne peut pas voir

Comment permettre aux aveugles de découvrir les tableaux des plus grands peintres, ou encore les monuments les plus célèbres du monde ? En les laissant se les approprier par les mains pour s'en faire une idée précise... Une petite révolution dans l'univers des musées, où il est interdit de toucher les oeuvres.
voir le vidéo : http://videos.lexpress.fr/actualite/monde/video-musees-de-madrid-toucher-quand-on-ne-peut-pas-voir_1699535.html
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Source : latribunedelart.com

Aix-en-Provence : Hôtel Caumont versus Musée Granet


Il y a quelques années, nous avions visité l’hôtel de Caumont, propriété de la Ville d’Aix-en-Provence, qui abritait alors le conservatoire. Le mauvais état de cette très belle bâtisse du XVIIIe siècle nous avait frappé. C’est pourquoi l’annonce de sa vente par la municipalité à la société Culture Espaces pour en faire un centre d’exposition ne nous a pas réellement choqué. La situation ne pouvait pas être pire.
Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/aix-en-provence-hotel-caumont-versus-musee-granet
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Source : latribunedelart.com

Quand l’Italie « débloque ». Deux cas d’école : Florence et Modène

Cinq mille euros. Ce serait le prix d’un cocktail devant la Vénus de Botticelli1. Mais calculez plus du double pour Michel-Ange2 .
On savait que plus aucun musée, devant sa Majesté la Crise, ne refusait de louer ses espaces, ses tableaux, ses sculptures.
Lire la suite : http://www.latribunedelart.com/quand-l-italie-debloque-deux-cas-d-ecole-florence-et-modene
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